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Portraits territoriaux du marché du travail de la région de la Capitale-Nationale

2006-2011

Portraits territoriaux du marché du travail de la région de la Capitale-Nationale2006-2011

Cette publication a été réalisée par : Guy Faucher, économiste régional

Avec la collaboration de :Julie FortinCéline MiletteRenaud TurcotteDiane Wagner

Sous la direction de :Louise Bilodeau Directrice de la planification, du partenariat et de l’information sur le marché du travailRégion de la Capitale-Nationale

Dépôt légalBibliothèque et Archives nationales du Québec, 2014ISBN 978-2-550-70957-2

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AVANT-PROPOS

Un des rôles majeurs d’Emploi-Québec à titre de service public d’emploi est de produire et de diffuser de l’information sur le marché du travail (IMT). L’objectif est de faire en sorte que le personnel d’Emploi-Québec et les différents acteurs du marché du travail (citoyens et citoyennes, entreprises) aient accès à une information à jour pour appuyer leurs différentes décisions relatives au marché du travail.

Les portraits territoriaux, basés principalement sur les résultats du Recensement de 2011 et de l’Enquête nationale auprès des ménages de 2011 effectués par Statistique Canada, présentent plusieurs informations traitant des caractéristiques démographiques et socio-économiques de la région. Le but de cette publication est d’appuyer la planification et le développement de l’emploi par une meilleure connaissance de la réalité du marché du travail des différents territoires de la région.

Le marché du travail de la région de la Capitale-Nationale a bien performé depuis 2006. En effet, le taux d’activité et le taux d’emploi ont progressé positivement et le taux de chômage, quant à lui, se trouve, en 2014, sous la barre des 5 %. Toutes ces données portent à croire que le marché du travail de la région se dirige vers le plein emploi. Ces bons résultats, dans un contexte de vieillissement de la population, laissent présager des défis importants sur le plan du recrutement pour les entreprises.

Bonne lecture!

Michel GingrasDirecteur régional Direction régionale de la Capitale-Nationale d’Emploi-Québec

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NOMBRED’ÉTABLISSEMENTS

PART DU TOTALDE LA RÉGION

(%)

NOMBRE D’EMPLOIS

RÉPARTITION DES ÉTABLISSEMENTS ET DU NOMBRE D’EMPLOISSELON LA TAILLE DE L’ÉTABLISSEMENT (%)

TAILLE DES ÉTABLISSEMENTS

ÉTABLISSEMENTS(%)

NOMBRE D’EMPLOIS(%)

CLE de La Malbaie 651 3,5 7 792

Moins de 5 employés5 à 19 employés20 à 49 employés50 employés et +

51,434,010,9

3,7

9,423,825,241,6

CLE de Baie-Saint-Paul 573 3,1 6 014


50,636,5

9,23,6

10,529,123,936,5

CLE des Quartiers-Historiques 3 368 18,1 100 778


36,139,913,510,5

3,111,512,772,7

CLE de Charlesbourg 2 485 13,4 40 399


50,034,1

9,96,1

7,117,716,858,4

CLE de Beauport 1 805 9,7 36 597


45,435,911,9

6,8

5,115,916,862,3

CLE de Sainte-Foy 7 699 41,5 179 056


38,638,613,7

9,2

4,014,716,764,6

CLE de La Côte-de-Beaupré 618 3,3 7 608


51,532,712,04

3,9

8,822,826,841,6

CLE de Portneuf 1 365 7,4 16 365


49,836,3

8,75,2

8,726,720,244,4

Région de la Capitale-Nationale 18 564 100,0 394 609


42,437,412,3

7,9

4,715,416,363,6

Source : Emploi-Québec, Répertoire des établissements de la région de la Capitale-Nationale, compilation réalisée en mai 2014.

PORTRAIT DES ÉTABLISSEMENTS PAR CENTRE LOCAL D’EMPLOI (CLE)

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L’établissement est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l’entreprise. Une entreprise peut comporter plusieurs établissements, lesquels peuvent être éventuellement de nature différente.

Les établissements de moins de cinq employés sont les plus nombreux; ils repré-sentent à eux seuls 42,4 % des établissements de la région. Leur apport est essentiel pour créer une diversification économique. En ce qui concerne les établissements de 50 employés et plus, ceux-ci représentent 7,9 % des établissements. Toutefois, ils comptent près des deux tiers des emplois (63,6 %).

Plus de 80 % (82,7 %) du total des établissements de la région se concentre sur le territoire des centres locaux d’emploi situé géographiquement dans la ville de Québec, soit les CLE des Quartiers-Historiques, de Charlesbourg, de Beauport et de Sainte-Foy. Sur le plan de l’emploi, cette proportion s’élève à plus de 90 % (90,4 %).

Le CLE de la Côte-de-Beaupré affiche la plus forte proportion d’établissements comptant moins de cinq employés, avec 51,5 % des établissements du territoire classés dans cette catégorie. Le CLE de La Malbaie suit de près, avec un taux de 51,4 %.

TENDANCES RH

Qu’elles soient petites ou grandes, les entreprises de la région partagent le même bassin de main-d’œuvre. Elles doivent donc trouver dans leurs forces respectives les atouts à jouer afin de se rendre attractives en matière de gestion des ressources humaines, dans un marché du travail tendu où le recrutement est plus ardu.

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SECTEURS NOMBRE D’EMPLOIS

PART DES EMPLOIS(%)

CLE de La Malbaie

Services d’hébergement et de restaurationCommerce Services d’enseignementSoins de santé et assistance sociale

1 9671 045

933816

25,313,912,010,6

CLE de Baie-Saint-Paul

Services d’hébergement et de restaurationSoins de santé et assistance socialeCommerce Fabrication

1 128924815731

18,915,513,712,3

CLE des Quartiers-Historiques

Administrations publiquesCommerceServices d’hébergement et de restauration Soins de santé et assistance sociale

31 72911 12610 72710 555

31,711,110,710,5

CLE de Charlesbourg

Soins de santé et assistance socialeCommerce Administrations publiquesServices d’enseignement

8 1985 6203 7523 734

20,514,1

9,49,4

CLE de Beauport

Soins de santé et assistance socialeCommerce ConstructionServices d’hébergement et de restauration

14 5354 6102 5852 463

40,012,7

7,16,8

CLE de Sainte-Foy

Commerce Services d’enseignementAdministrations publiquesSoins de santé et assistance sociale

31 43920 49019 07818 973

17,711,510,710,7

CLE de La Côte-de-Beaupré

CommerceArts, spectacles et loisirsServices d’hébergement et de restaurationFabrication

1 3481 2061 012

961

17,916,013,412,7

CLE de Portneuf

FabricationCommerce Soins de santé et assistance socialeServices d’hébergement et de restauration

2 9452 8782 6581 275

18,017,616,3

7,8

Région de la Capitale-Nationale

Commerce Soins de santé et assistance socialeAdministrations publiquesServices d’hébergement et de restauration

58 88157 31756 95233 787

15,014,614,5

8,6

Source : Emploi-Québec, Répertoire des établissements de la région de la Capitale-Nationale, compilation réalisée en mai 2014.

RÉPARTITION DES EMPLOIS PAR CENTRE LOCAL D’EMPLOI SELON LES PRINCIPAUX SECTEURS D’ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE

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TENDANCES RH

Les secteurs du commerce, des soins de la santé et de l’assistance sociale, des administrations publiques, ainsi que de l’hébergement et de la restauration occupent à eux seuls 54,7 % des emplois de la région de la Capitale-Nationale, qui en compte tout près de 400 000. La région est résolument axée sur les services avec 87 % des emplois, tandis que les industries productrices de biens accaparent 13 % de ceux-ci.

Cette situation est bien représentée lorsque nous observons le principal secteur d’activité de chaque territoire des centres locaux d’emploi :

+ CLE de Baie-Saint-Paul : Hébergement et restauration

+ CLE de La Malbaie : Hébergement et restauration

+ CLE de La Côte-de-Beaupré : Commerce de gros et de détail

+ CLE de Portneuf : Fabrication

+ CLE de Beauport : Soins de santé et d’assistance sociale

+ CLE de Charlesbourg : Soins de santé et d’assistance sociale

+ CLE des Quartiers-Historiques : Administrations publiques

+ CLE de Sainte-Foy : Commerce de gros et de détail

Le territoire du CLE de Portneuf se distingue, puisqu’il est le seul à obtenir une dominance dans le secteur des industries productrices de biens, avec 18 % de part d’emploi dans le secteur de la fabrication.

La région de Charlevoix, composée des territoires des centres locaux d’emploi de Baie-Saint-Paul et de La Malbaie, s’affirme comme l’une des destinations touristiques incontour-nables de la région de la Capitale-Nationale, avec une part de 44,7 % de ses emplois dans le secteur de l’hébergement et de la restauration.

Dans la région de la Capitale-Nationale, la constance d’un secteur des services assure la stabilité du marché du travail, qui voit aussi se développer divers créneaux liés à l’économie du savoir et aux technologies de pointe. De plus, de nouvelles activités issues des secteurs des assurances ainsi que des technologies de l’information et des communications amènent un dynamisme et une diversification des emplois des plus enviables dans la région.

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TGN1

(%)REVENU MÉDIAN

DE 2010($)

COMPOSITION DU REVENU TOTAL2 DE 2010

REVENU D’EMPLOI

(%)

TRANSFERTS GOUVERNEMENTAUX

(%)

AUTRES REVENUS

(%)

Charlevoix 24,9 25 716 65,2 20,8 14,0

Charlevoix-Est 20,9 25 623 62,2 23,8 14,0

La Côte-de-Beaupré 27,1 32 552 70,6 14,1 15,3

Portneuf 33,8 28 461 68,7 17,6 13,7

La Jacques-Cartier 25,8 39 176 78,4 9,6 12,0

L’Île-d’Orléans 35,9 32 855 67,9 13,0 19,1

Agglomération de Québec 20,7 31 775 71,3 13,0 15,7

Ensemble du Québec 20,8 28 099 71,7 15,0 13,3

Source : Adapté de Statistique Canada, Enquête nationale auprès des ménages (ENM) de 2011, profil de l’ENM par division de recensement et par province. Cela ne constitue pas une approbation de ce produit par Statistique Canada.

1. Le taux global de non-réponse (TGN) est le principal indicateur de qualité de l’ENM pour juger de la qualité des estimations de l’ENM et évaluer dans quelle mesure les comparaisons sont possibles avec les estimations du recensement de 2006. Ainsi, il existe un biais de non-réponse lorsque les non-répondants d’une enquête sont différents des répondants à cette même enquête. Plus le taux de non-réponse est élevé, plus le risque de biais de non-réponse est également élevé. La détermination du seuil de 50 % a été fondée sur les analyses du taux global de non-réponse par rapport aux indicateurs de biais de non-réponse. Les analyses ont montré qu’avec un taux global de non-réponse de 50 % ou plus, le niveau de biais était assez important pour que les estimations ne soient pas d’assez bonne qualité.

2. La composition du revenu total correspond à la part relative que représente chaque source de revenu exprimé en pourcentage du revenu total de la région. Outre le revenu d’emploi, on trouve les transferts gouvernementaux qui comprennent notamment les prestations du Régime de rentes du Québec ou du Régime de pensions du Canada; les prestations de l’assurance-emploi, les prestations pour enfants ou tout autre revenu provenant de sources publiques. Les autres revenus sont les revenus de placements, de pensions et de rentes privées.

REVENU MÉDIAN ET COMPOSITION DU REVENU TOTAL POPULATION ÂGÉE DE 15 ANS OU PLUS

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La médiane est la valeur qui permet de partager une série en deux parties égales. Le revenu médian est donc la valeur centrale, exprimée en dollars, qui sépare en deux parties égales la répartition par tranche du revenu d’un groupe donné, ce qui veut dire que 50 % des personnes gagnent plus que le revenu médian et 50 % des personnes gagnent moins.

La majorité des MRC de la région affichent un revenu médian supérieur à celui de la moyenne provinciale, lequel s’élève à 28 099 $; seuls les revenus médians des MRC de Charlevoix et de Charlevoix-Est se situent en deçà.

Les habitants et habitantes de la MRC de La Jacques-Cartier disposent d’un revenu médian de 39 176 $, soit le plus élevé de la région. Cette MRC a été le site privilégié du récent étalement urbain de la région métropolitaine de Québec. Cela a contribué à attirer de jeunes familles bénéficiant de bons revenus d’emploi. La population de la MRC de La Jacques-Cartier tire la part de revenu d’emploi la plus élevée de la région (78,4 %).

La part de revenu d’emploi la plus faible est obtenue par la population des MRC de Charlevoix-Est et de Charlevoix, au profit d’une part de revenu provenant des trans-ferts gouvernementaux. Tant la démographie, avec une population plus âgée, qu’une plus grande part de bénéficiaires de revenus de pensions et de rentes publiques, ainsi qu’un marché du travail dont le taux de chômage est plus élevé, contribuent à expliquer ce positionnement. Il demeure néanmoins que la MRC de Charlevoix est la seule de la région de la Capitale-Nationale à présenter une augmentation de la part du revenu provenant des revenus d’emploi depuis 2005.

Les MRC de L’Île-d’Orléans et de Portneuf présentent les parts de revenus d’emploi les plus faibles, après celles de Charlevoix-Est et de Charlevoix. Toutefois, pour la MRC de L’Île-d’Orléans, la prépondérance des autres revenus, comparativement à la part des revenus des transferts gouvernementaux, traduit une certaine aisance des insulaires, lesquels tirent leurs subsistances de revenus de placements, de pensions et de rentes privées.

TENDANCES RH

Les habitants et habitantes de l’agglomération de Québec tirent une moindre part de leurs revenus d’emploi que ceux du Québec et une plus grande part des autres revenus. De plus, le revenu médian y est supérieur. Il s’agit dans ce dernier cas d’un atout pour l’attraction de main-d’œuvre dans la région. Il convient également de relever les progressions spectaculaires des revenus médians entre 2005 et 2010 pour les MRC de Charlevoix (27 %), de La Côte-de-Beaupré (24 %) et de La Jacques-Cartier (25 %).

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TGN3

(%)PERSONNESRECENSÉES

SEXE (NOMBRE)

AUCUN CERTIFICAT,

DIPLÔME OU GRADE

(%)

DIPLÔME D’ÉTUDES

SECONDAIRES OU

L’ÉQUIVALENT(%)

CERTIFICAT OU DIPLÔME D’APPRENTI

OU D’UNE ÉCOLE DE MÉTIERS

(%)

CERTIFICAT OU DIPLÔME

D’UN COLLÈGE, D’UN CÉGEP OU

D’UN AUTRE ÉTABLISSEMENT

D’ENSEIGNEMENT NON UNIVERSITAIRE

(%)

CERTIFICAT OU

DIPLÔME UNIVERSITAIRE,

TOUT NIVEAU(%)

HOMME FEMME

Charlevoix 24,9 7 145 3 595 3 555 16,2 20,2 29,7 17,1 16,9

Charlevoix-Est 20,9 8 945 4 400 4 540 19,1 22,8 27,5 17,3 13,3

La Côte-de-Beaupré 27,1 14 820 7 415 7 400 9,8 19,3 24,1 23,5 23,3

Portneuf 33,8 27 410 13 815 13 595 13,4 20,2 29,4 19,9 17,0

La Jacques-Cartier 25,8 21 975 11 415 10 555 7,4 18,7 23,9 22,9 27,1

L’Île-d’Orléans 35,9 3 675 1 765 1 905 7,2 15,1 18,0 25,4 33,9

Agglomérationde Québec

20,7 305 115 150 240 154 875 8,4 18,2 17,8 21,4 34,1

Région de laCapitale-Nationale

21,6 389 085 192 645 196 425 9,2 18,5 19,6 21,4 31,3

H - 9,7 F - 8,6 H - 17,5 F - 19,6 H - 24,3 F - 15,1 H - 19,4 F - 23,3 H - 29,3 F - 33,3

Le Québec 20,8 4 370 130 2 160 025 2 210 100 14,8 19,5 18,9 18,3 28,5

H - 15,9 F - 13,7 H - 18,6 F - 20,4 H - 22,7 F - 15,2 H - 16,5 F - 20,1 H - 26,3 F - 30,5

Source : Adapté de Statistique Canada, Enquête nationale auprès des ménages (ENM) de 2011, commandes spéciales d’Emploi-Québec. Cela ne constitue pas une approbation de ce produit par Statistique Canada.


SCOLARITÉ DES 25 ANS À 64 ANS

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Sans diplôme

+ La région de la Capitale-Nationale performe mieux avec un taux de 9,2 % pour les personnes âgées de 25 à 64 ans sans diplôme comparativement à 14,8 % pour le Québec;

+ C’est la MRC de L’Île-d’Orléans qui obtient les meilleurs résultats avec un taux de 7,2 %, alors que Charlevoix (16,2 %) et Charlevoix-Est (19,1 %) sont les MRC où l’on trouve les taux les plus élevés de personnes recensées sans diplôme.

Diplôme d’études secondaires

+ La région de la Capitale-Nationale, avec un taux de 18,5 % de personnes recensées possédant un diplôme d’études secondaires, est très près de la proportion provinciale qui s’établit à 19,5 %;

+ C’est dans la MRC de Charlevoix-Est que l’on trouve le plus fort pourcentage de personnes recensées avec un diplôme d’études secondaires, soit 22,8 %.

Diplôme professionnel

+ Dans l’ensemble de la région, 19,6 % des personnes recensées possèdent un diplôme de cette catégorie. Pour le Québec, le taux est de 18,9 %;

+ Dans les MRC à l’extérieur de l’agglomération urbaine, ce type de diplôme est le plus présent. La MRC de Charlevoix est celle qui compte le plus de ces personnes diplômées à 29,7 %, mais elle est suivie de près par celle de Portneuf avec 29,4 %.

Diplôme collégial

+ Le taux de la région est supérieur à celui du Québec, soit 21,4 % comparativement à 18,3 %;

+ La MRC de L’Île-d’Orléans et celle de La Côte-de-Beaupré atteignent respectivement 25,4 % et 23,5 %.

Diplôme universitaire

+ Les MRC de Charlevoix-Est, de Charlevoix et de Portneuf ont les plus petits bassins de personnes diplômées de l’université avec 13,3 %, 16,9 % et 17,0 %; des pourcentages nettement plus faibles que celui de la région (31,3 %).

+ La MRC de L’Île-d’Orléans et la ville de Québec, avec des taux de 33,9 % et 34,1 %, surpassent le niveau de diplômés et diplômées universitaires du Québec (28,5 %).

TENDANCES RH

Les entreprises de la région de la Capitale-Nationale peuvent compter sur une main-d’œuvre de plus en plus scolarisée. En effet, depuis 2006, le taux de personnes recensées sans diplôme a diminué de 11,5 % à 9,2 % et celui des personnes avec diplôme collégial ou universitaire a augmenté de 48,9 % à 52,7 %. La scolarisation est certes un atout pour répondre aux besoins de main-d’œuvre des entreprises. Cependant, le plus grand défi des partenaires réside dans l’amélioration de l’adéquation entre l’enseignement et les besoins de main-d’œuvre des entreprises, afin de contribuer à l’augmentation de la productivité et de la compétitivité des entreprises.

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NIVEAU DE COMPÉTENCES POPULATION ACTIVE 2006 TGN4 (%) POPULATION ACTIVE

2011TAUX DE CHÔMAGE CALCULÉ

2011 (%)

Charlevoix (Charlevoix et Charlevoix-Est)

GestionProfessionnelTechniqueIntermédiaireÉlémentaire

1 0801 2304 7354 5352 705

Charlevoix : 24,9Charlevoix-Est : 20,9

1 1401 4205 2554 0852 265

3,12,16,99,3

17,4

La Côte-de-Beaupré


1 0001 6604 1253 7351 695

27,1

1 4902 2605 1653 5501 655

2,00,03,04,9

16,0

Portneuf


1 4002 7458 1207 3403 540

33,8

2 2202 960

10 0606 9753 340

1,62,04,45,29,4

La Jacques-Cartier


1 8202 8305 4105 6051 715

25,8

2 6103 8758 5654 6901 905

1,11,42,13,23,7

L’Île-d’Orléans


330690

1 3701 045

315

35,9

475715

1 110865200

0,00,03,26,90,0

Agglomération de Québec


23 78063 05083 91582 63533 360

20,7

25 49066 03099 62076 16032 280

2,42,64,66,29,3

Région de la Capitale-Nationale


29 41072 205

107 675104 895

43 330

21,6

33 42577 260

129 77596 32541 645

1,71,73,34,47,7

Sources : Adapté de Statistique Canada, Recensement de 2006 et Enquête nationale auprès des ménages (ENM) de 2011, commandes spéciales d’Emploi-Québec. Compilation spéciale, Direction régionale de la Capitale-Nationale d’Emploi-Québec. Cela ne constitue pas une approbation de ce produit par Statistique Canada.


LA POPULATION ACTIVE EXPÉRIMENTÉE PAR NIVEAU DE COMPÉTENCES

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Pour bien estimer le portrait des compétences d’un territoire, nous devons porter notre attention uniquement sur les personnes occupées ainsi que les chômeurs et chômeuses expérimentés, soit la population active expérimentée. Le taux de chômage estimé est celui qui compare les chômeurs et chômeuses expérimentés à la population active expérimentée. Les niveaux de compétences regroupent les professions en les classant par niveau d’études et de formation requis pour accéder à ces professions. Par ailleurs, la comparaison entre les données issues du Recensement de la population de 2006 et celles de l’Enquête nationale auprès des ménages (ENM) de 2011 propose une perspective sur l’évolution de la population active occupée, selon les niveaux de compétences par territoire.

Il est observé, dans la région comme ailleurs, que le taux de chômage affiche une relation inverse au niveau de compétences, c’est-à-dire qu’il tend à diminuer au sein des professions lorsque le niveau de compétences requis augmente. C’est donc sans surprise qu’on peut observer également cette relation au sein des MRC de la région.

À deux exceptions près, l’ensemble des MRC affiche, entre 2006 et 2011, une croissance de l’emploi au sein des groupes gestion, professionnel et technique et une baisse de l’emploi au sein des groupes intermédiaire et élémentaire.

TENDANCES RH

Ces résultats témoignent du bon fonctionnement de notre marché du travail. Les taux de chômage diminuent à la faveur d’une augmentation du niveau de compétences, comme on doit s’y attendre. La croissance de l’emploi entre 2006 et 2011 a pris place au sein de professions appartenant aux groupes dont les compétences sont les plus élevées. Les entreprises, les travailleurs et travailleuses, les chercheurs et chercheuses d’emplois de même que les institutions qui offrent de la formation sur le territoire doivent intégrer ces informations dans la réalisation de leur mission ou de leurs objectifs.

14

TGN5 (%)

TAUX D’ACTIVITÉ (%) TAUX D’EMPLOI (%) TAUX DE CHÔMAGE (%)

2006 2011 2006 2011 2006 2011

Charlevoix 24,9 57,0 58,0 51,2 52,8 10,1 9,0

Charlevoix-Est 20,9 58,8 58,0 52,6 51,5 10,6 11,1

La Côte-de-Beaupré 27,1 64,9 67,5 61,4 63,7 5,5 5,6

Portneuf 33,8 60,8 63,5 57,4 59,7 5,5 5,9

La Jacques-Cartier 25,8 74,1 76,9 71,4 74,5 3,7 3,2

L’Île-d’Orléans 35,9 65,0 60,1 61,9 56,9 4,8 5,6

Agglomération de Québec 20,7 65,8 65,6 62,6 62,6 4,9 4,7

Région de la Capitale-Nationale 21,6 65,4 65,7 62,1 62,5 5,1 4,9

Le Québec 20,8 64,9 64,6 60,4 59,9 7,0 7,2

Sources : Adapté de Statistique Canada, Recensement de 2006 et Enquête nationale auprès des ménages (ENM) de 2011, commandes spéciales d’Emploi-Québec. Cela ne constitue pas une approbation de ce produit par Statistique Canada.


COMMENT A ÉVOLUÉ LE MARCHÉ DU TRAVAIL DE 2006 À 2011

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Trois indicateurs pour suivre l’évolution du marché du travail

Le taux d’activité :

Lorsque les personnes estiment que leurs chances sont bonnes de décrocher un emploi, elles sont généralement nombreuses à entreprendre des démarches en ce sens. C’est la raison pour laquelle on dit que le taux d’activité est un indicateur de la confiance des travailleurs et travailleuses à l’égard du marché du travail. C’est donc le rapport entre les personnes en emploi et celles qui sont à la recherche d’un emploi sur l’ensemble de la population âgée de 15 ans ou plus.

Une croissance historique d’emplois ayant débuté en 2000 a contribué à faire augmenter le taux d’activité de la région de la Capitale-Nationale de 0,3 point de pourcentage entre 2006 et 2011. De plus, celui-ci est supérieur au Québec de 1,1 point de pourcentage.

Le taux d’emploi :

C’est un indicateur quantitatif qui fait le lien entre les personnes en emploi sur l’ensemble de la population âgée de 15 ans ou plus.

Pendant que le taux d’emploi au Québec reculait de 0,5 point de pourcentage entre 2006 et 2011, celui de la région de la Capitale-Nationale progressait 0,4 point de pourcentage.

Le taux de chômage :

L’indicateur le plus souvent utilisé qui mesure la proportion des personnes à la recherche d’un emploi sur un territoire. C’est le rapport entre les personnes à la recherche d’un emploi et celles qui sont en emploi ou à la recherche d’un emploi.

Toutes les MRC en 2011 ont un taux de chômage avoisinant les 5 %, sauf les MRC de Charlevoix et de Charlevoix-Est qui connaissent un taux supérieur à 9 %.

TENDANCES RH

Le marché du travail de la région de la Capitale-Nationale a bien performé depuis l’an 2000. L’évolution positive des trois principaux indicateurs démontre que la région se positionne avantageusement par rapport au Québec. Ces excellents résultats sont un atout majeur pour attirer et maintenir une main-d’œuvre qualifiée pour les entreprises de la région, et ce, dans une perspective de croissance, de productivité et de pérennité.

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15 À 24 ANSVARIATION 2011-2021

55 ANS OU PLUS VARIATION2011-2021

2011 2016 2021 2011 2016 2021

Charlevoix 1 280 1 072 953 -327 5 595 6 202 6 714 1 119

Charlevoix-Est 1 580 1 374 1 217 -363 6 315 6 777 7 204 889

La Côte-de-Beaupré 2 680 2 480 2 419 -261 8 385 9 700 11 055 2 670

Portneuf 5 055 4 695 4 266 -789 17 345 20 022 22 287 4 942

La Jacques-Cartier 3 980 3 323 3 179 -801 6 995 8 312 9 470 2 475

L’Île-d’Orléans 635 561 497 -138 2 730 2 976 3 160 430

Agglomération de Québec 70 300 62 951 56 607 -13 693 179 605 200 684 220 334 40 729

Région de la Capitale-Nationale 85 505 76 456 69 138 -16 367 226 970 254 673 280 224 53 254

Le Québec 981 165 935 820 863 077 -118 088 2 349 795 2 673 518 2 976 213 626 418

Sources : Année 2011, données arrondies adaptées de Statistique Canada, Recensement de 2011, commandes spéciales d’Emploi-Québec. Cela ne constitue pas une approbation de ce produit par Statistique Canada. Années 2016 et 2021, Institut de la statistique du Québec, Perspectives démographiques des MRC, 2006-2031. Compilation spéciale, Direction régionale de la Capitale-Nationale d’Emploi-Québec.

LE VIEILLISSEMENT DE LA POPULATION

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On cite fréquemment le choc démographique. Celui-ci représente, comme on le constate à la lecture du tableau, l’effet conjugué de moins de jeunes entrant sur le marché du travail et une augmentation de la population des 55 ans ou plus.

Ainsi, la région de la Capitale-Nationale connaîtra, d’ici 2021, une diminution de 19 % de ses 15-24 ans et une augmentation de 23 % de ses 55 ans ou plus.

Les MRC de Charlevoix et de Charlevoix-Est connaîtront la plus forte diminution du groupe des 15-24 ans, soit une diminution de 25 % et de 23 %. D’autre part, ce sont les MRC de La Côte-de-Beaupré et de La Jacques-Cartier qui connaîtront la plus grande augmentation du groupe des 55 ans ou plus avec des taux de 31 % et de 35 %.

TENDANCES RH

Où que l’on soit sur la planète, le talent est en demande. Cette situation crée une concurrence féroce entre les employeurs d’ici et d’ailleurs. C’est l’enjeu mondial des dix prochaines années de tous les marchés du travail. Le fait qu’il y a moins de jeunes de 15-24 ans pour prendre la relève des milliers de personnes de 55 ans ou plus qui prennent leur retraite, crée une rareté de main-d’œuvre qui laisse présager des défis de taille sur le plan du recrutement pour les entreprises de la région.

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PÉRIODE D’IMMIGRATION(EN % DU TOTAL)

TGN6 (%) POPULATION IMMIGRANTS

IMMIGRANTS/POPULATION

(%)

AVANT 2001(%)

2001-2005(%)

2006-2011(%)

Charlevoix 24,9 11 235 125 1,1 72 n. d. 16

Charlevoix-Est 20,9 13 585 80 0,6 75 n. d. n. d.

La Côte-de-Beaupré 27,1 21 190 375 1,8 55 28 17

Portneuf 33,8 40 745 505 1,2 64 12 24

Agglomération de Québecaugmentée de la MRC l’Île-d’Orléanset celle de La Jacques-Cartier7

497 180 25 655 5,2 51 20 29

Région de la Capitale-Nationale 21,6 583 935 26 735 4,6 51 20 29

Le Québec 20,8 6 474 590 902 990 13,9 65 15 20

Source : Adapté de Statistique Canada, Enquête nationale auprès des ménages (ENM) de 2011, commandes spéciales d’Emploi-Québec. Cela ne constitue pas une approbation de ce produit par Statistique Canada.


7. Le TGN de cette région n’est pas calculé par Statistique Canada. Notez qu’il s’élève à 25,8 % pour la MRC de La Jacques-Cartier, à 35,9 % pour la MRC de L’Île-d’Orléans et à 20,7 % pour l’agglomération de Québec.

POPULATION SELON LE STATUT D’IMMIGRANT ET LA PÉRIODE D’IMMIGRATION

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Les données présentées ici constituent un portrait partiel des statuts de la population immigrante. En effet, il faut tenir compte également de l’apport des résidents et résidentes non permanents, soit les personnes titulaires d’un permis de travail ou d’un permis d’études ou qui revendique le statut de réfugié.

Dans le but de pourvoir l’ensemble des postes disponibles de la région, dans le contexte du vieillissement de la population, la migration de travailleurs et travail-leuses vers la région de la Capitale-Nationale est nécessaire et, à ce titre, l’apport des personnes immigrantes contribue à donner des marges de manœuvre dans un marché du travail relativement tendu par un taux de chômage très faible.

Un constat s’impose : la présence des personnes immigrantes est concentrée dans l‘agglomération de Québec. En effet, selon que la part des immigrants et immigrantes dans la population est observée dans l’agglomération de Québec ou dans le reste de la Capitale-Nationale, le taux varie entre 5,2 % et 1,2 %.

Il convient de relever qu’il s’agit d’une immigration récente, arrivée dans les cinq dernières années en grande partie. La région affiche une part de personnes immigrantes au sein de la population de 4,6 %, tandis que la part du Québec est de 13,9 %. Toutefois, on constate que pendant la période 2006-2011, la part de la région (29 %) est plus importante que celle du Québec (20 %).

TENDANCES RH

L’immigration est l’une des solutions aux difficultés de recrutement des employeurs. La cohérence dans les actions menées par tous les partenaires de la région, tant en ce qui concerne la formation que l’intégration et le maintien en emploi, fera la différence pour les entreprises.

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De 1988 à 1993 : La faible création d’emploi gonfle le bassin de personnes en chômage à un volume qui persistera après cette période. À ce moment, on observe un afflux de main-d’œuvre plus important que ce que le marché parvient à absorber, puisque la population active augmente de 1,2 % annuellement et que l’emploi ne croît que de 0,2 %. Il en résulte une augmentation du nombre de personnes en chômage de l’ordre de 7,2 % par année. La région parviendra à absorber cette main-d’œuvre disponible autour de l’an 2000.

De 1994 à 1999 : Le manque de vigueur du marché du travail amène la main-d’œuvre disponible à quitter la population active. C’est le phénomène nommé le découragement des chômeurs et chômeuses. Durant cette période, la population de 15 ans ou plus augmente de 0,4 % par année, tandis que la population active diminue de 0,3 % par année.

De 2000 à 2008 : Sous l’impulsion d’une croissance de l’emploi au rythme rapide de 2,5 % par année, pendant les huit ans de cette période, l’attraction du marché du travail régional s’est décuplée. Afin de pourvoir les nombreux emplois créés, les entreprises disposent d’une main-d’œuvre disponible grâce à une croissance démographique, à un solde migratoire positif, à un bassin de personnes en chômage important et au retour des inactifs, qui reprennent confiance dans leur chance de se trouver un emploi. Le taux de chômage de 2008 atteint un record minimum historique avec un taux de 4,6 %.

De 2009 à 2013 : Le ralentissement économique, à la suite de la crise financière de 2009, a laissé une empreinte somme toute légère sur l’évolution de l’emploi dans la région; dès 2010, la croissance de l’emploi était de retour, pour un taux de croissance annuel moyen de 1,7 % entre 2009 et 2013.

L’ÉVOLUTION DU MARCHÉ DU TRAVAIL DE LA CAPITALE-NATIONALE DEPUIS 19888

Au cours de la période de 1988 à 2013, la région a connu :+ Un accroissement du taux d’activité, lequel est passé de 60,2 % à 67,3 %;+ Un accroissement du taux d’emploi de 9,3 points de pourcentage, pour atteindre 63,8 %;+ Un taux de chômage sous la barre des 5 %.

8. Données de l’Enquête sur la population active

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La création d’emploi de 2000 à 2013

Entre les années 2000 et 2013, il s’est créé 72 800 emplois dans la région de la Capitale-Nationale. C’est une performance enviable, puisque la région a créé 14 % des nouveaux emplois au Québec alors que celle-ci occupe 9 % de l’emploi de la province.

La création d’emploi a eu lieu principalement (95 %) dans des établissements spécia-lisés dans la production de services. Les compétences de niveau professionnel (41 %) ou technique (40 %) étaient les plus recherchées.

Pendant ce temps, la production de biens a connu un léger gain, provenant d’une poussée de l’industrie de la construction. Celle-ci a contré les pertes d’emplois vécues dans le secteur manufacturier.

Et d’ici 2016

Des investissements et des emplois :• De nombreux projets institutionnels et privés de construction offriront un nombre

élevé d’heures travaillées dans la région;• Le secteur des technologies de l’information, déployé dans plusieurs domaines,

demeure vif et actif dans la région;• Le commerce de détail continue de développer son offre dans la région.

Des secteurs d’activité en croissance :• Les soins de santé et l’assistance sociale;• Les services professionnels, scientifiques et techniques;• Le commerce en général;• L’hébergement et la restauration;• La finance et les assurances.

La région présente les dispositions pour une progression vers un marché du travail de plein emploi, avec une réduction de son bassin de chômeurs et chômeuses qui culminera en l’atteinte d’un taux de chômage de l’ordre de 4 %. Les employeurs devront alors utiliser tous les bassins de main-d’œuvre disponible, car la croissance de la population active sera affaiblie par le vieillissement de la population. De plus, les entreprises devront porter une attention toute particulière aux conditions de travail qu’elles offrent, afin d’attirer et de retenir la main-d’œuvre.

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Direction régionale de la Capitale-Nationale 2500, boulevard Montmorency, bureau 301 Québec (Québec) G1J 5C7 Téléphone : 418 643-6875

Centre local d’emploi de Beauport 773, avenue Royale Québec (Québec) G1E 1Z1 Téléphone : 418 646-3350

Centre local d’emploi de Charlesbourg8000, boulevard Henri-Bourassa, 2e étage Québec (Québec) G1G 4C7 Téléphone : 418 644-1266

Centre local d’emploi de La Côte-de-Beaupré 9104, boulevard Sainte-Anne Sainte-Anne-de-Beaupré (Québec) G0A 3C0 Téléphone : 418 827-6730

Centre local d’emploi de Sainte-Foy1020, route de l’Église, 4e étage Sainte-Foy (Québec) G1V 5A7Téléphone : 418 646-8066

Centre local d’emploi des Quartiers-Historiques 400, boulevard Jean-Lesage, Hall Ouest, bureau 40 Québec (Québec) G1K 8W1 Téléphone : 418 643-3300

Centre local d’emploi de Baie-Saint-Paul 915, boulevard Monseigneur-De Laval Baie-Saint-Paul (Québec) G3Z 1A2 Téléphone : 418 435-5590

Centre local d’emploi de La Malbaie 21, rue Patrick-Morgan Case postale 338 La Malbaie (Québec) G5A 1T8 Téléphone : 418 665-4491

Centre local d’emploi de Portneuf 100, route 138, bureau 220 Donnacona (Québec) G3M 1B6 Téléphone : 418 285-2622

BUREAUX D’EMPLOI-QUÉBEC RÉGION DE LA CAPITALE-NATIONALE

Capitale-Nationale

Consultez nos publications sur le marché du travail de la région de la Capitale-Nationale au

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Facteur RH - Emploi-Québec€¦ · De plus, de nouvelles activités issues des secteurs des assurances ainsi que des technologies de l’information et des communications amènent