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Quel regard porter sur cette année 2008 qui vient de s’achever ?
Côté plus, on se rappelle en début d’année des perspectives encourageantes que lais‐ sait entrevoir pour la bio le bilan de santé de la PAC. Puis au printemps, l’adhésion quasi una‐ nime des paysans bio interrogés au projet de marque collective privée. Cet été également, avec la publication d’une nouvelle circulaire visant à intégrer pleinement l’enseignement de la bio dans les établissements agricoles.
Au niveau régional, des actions ambitieuses ont abouti avec succès. Dans le domaine de la communication d’abord, avec la naissance du guide d’animations pédagogiques de GABLIM, l’avènement de Tech Innov, concept de revue technique innovant adopté depuis dans d’autres régions françaises, ou encore la montée en puissance du site internet de GABLIM, qui affiche 5000 pages visitées par mois.
A saluer également, quelques très belles initiatives de nos collectivités partenaires, comme la création par le Conseil Régional du réseau DIVA, outil d’accompagnement aux por‐ teurs de projets agricoles ou agri‐ruraux, ainsi que le travail considérable réalisé par les équi‐ pes du Conseil Général de Corrèze pour développer la restauration collective bio.
Côté moins, plusieurs faits marquants au niveau national. La nouvelle réglementation bio européenne bien sûr ‐ avec tous ses défauts ‐, la condamnation de Kokopelli pour concur‐ rence déloyale, les inquiétudes sur le nouveau parcours à l’installation (PPP), ou encore le scandale des réunions secrètes organisées par Monsanto qui, pendant qu’elle déposait plainte pour association de malfaiteurs contre des faucheurs volontaires, parcourait discrè‐ tement les couloirs de Bruxelles pour faire passer les OGM…
Au niveau régional, nous formulions le vœu ambitieux, il y a exactement un an, que 2008 soit l’année du développement de la production pour le Limousin, condition pri‐ mordiale pour atteindre les objectifs fixés pour 2012 et répondre aux attentes des consommateurs. Malheureusement, et ce depuis 2001, notre région a perdu 2% de fermes bio, 8% de surfaces en bio, et 35% de surfaces en conversion, alors qu’au niveau national le nombre de fermes bio progresse de 2,5% par an.
Notre vœu 2008 n’a donc pas été exaucé, comme celui, désormais récurrent, d’une vraie coopération entre les acteurs du développement agricole régional, au‐ jourd’hui très insatisfaisante. Sans y voir nécessairement de lien de cause à effet, il est évident qu’une plus grande synergie avec nos partenaires ne pourra qu’être bé‐
néfique aux agriculteurs, anciens, nouveaux et futurs bio du Limousin.
Ce sera donc notre double vœu pour 2009.
Le Conseil d’Administration de GABLIM Journées d’automne de la FNAB
Nouveau règlement européen
Laurent BERNARD, chevrier bio en Creuse
Pratiquer la biodyna mie en Limousin
OGM
Echos du réseau
N° 99 janvier 2009
Annonces
Calendrier
Actu Limousin
Portrait
Pour la reconnais sance des PNPP, alternatives aux
pesticides de synthèse
Tribunes libres
Règlementation
Les années passent plus vite que les voeux ne s’exaucent...
Coexistence, moratoire, Haut Conseil : où en eston ?
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Des normes commerciales moins contraignantes pour
les fruits et légumes...
Congrès 2008 des biodynamistes Agriculture et éthique du vivant
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La Feuille bio du Limousin N° 99 janvier 2009
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Les sénateurs comme les députés ont voté un amendement dit « Pré‐ parations Naturelles Peu Préoccupantes » à la loi sur l’eau en décem‐ bre 2006. Cet amendement avait pour but de corriger la LOA (loi d’orientation agricole) de janvier 2006 en prévoyant une procédure simplifiée, fixée par décret, destinée à permettre leur commerciali‐ sation et leur utilisation.
Concrètement, avec la LOA, quasiment tous les produits naturels s’étaient retrouvés exclus des produits autorisés à l’usage dans nos champs, nos jardins mais aussi nos villes, du fait des coûts exorbitants des homologations et de l’inadaptation des procédu‐ res.
Un moyen subtil de laisser le monopole aux pesticides de syn‐ thèse.
Pour l’instant, la loi Grenelle 1 ne reprend pas l’amendement PNPP de la loi sur l’eau et ne tient pas compte d’une proposi‐ tion en faveur des PNPP, présentée par l’UMP (initialement Lionel Tardy), appuyée par Germinal Peiro (PS) puis par Wil‐ liam Dumas (PS) et François Sauvadet (Nouveau Centre). Tous les quatre (députés) ont déposé des questions écrites au gouvernement (sans réponse à ce jour). Ces questions interrogent le ministère de l’agriculture sur le fait qu’après 2 ans, les PNPP ne sont toujours pas autorisées en France.
Un projet de décret proposé par l’administration chargée de mettre en application l’amendement à la loi sur l’eau est rédigé depuis fin 2007. Or, ce projet de décret stipule que les matières premières comme les plantes doivent : « avoir fait l’objet d’une procédure d’inscription sur la liste commu‐ nautaire des substances actives en application des articles R. 253‐5 et suivants du code rural et ne pas avoir fait l'objet d'une décision de refus d'inscription ». Une procédure longue et très coûteuse, loin de l’esprit de l’amendement à la loi sur l’eau, qui bloque toute alternative.
Ceci est en totale contradiction avec l'amendement voté qui indiquait « Ces dispositions ,ne s¹appliquent pas aux préparations naturelles peu préoccupantes... »
Pourtant, de nombreuses PNPP non homologuées en France sont auto‐ risées et utilisées dans de nombreux pays Européens : Allemagne, Espa‐ gne, Italie, Pays Bas, Royaume Uni ...
Le projet de loi dit Grenelle II prévoit une obligation d’agrément et de certification pour toute commercialisation et utilisation de produits phytopharmaceutiques, ainsi que pour toute communication, même générique, sur leur intérêt, sans dérogation pour les PNPP. Le coût et les normes liées à ces agrément et certification rendront impossible leur utilisation. Qui plus est, ces procédures sont totalement inadaptées aux PNPP.
Aujourd’hui, le gouvernement s’est fixé pour objectif de diminuer de 50% l’usage des pesticides. Mais cette intention louable a une face ca‐ chée : le blocage des alternatives aux pesticides mettra de facto l’agri‐ culture dans l’impossibilité de la respecter. Ce blocage des alternatives aux pesticides limitera également l’autonomie des jardiniers. Déjà, les producteurs de fruits et légumes dénoncent l’obligation de réduction des pesticides car ils craignent, faute d’alternatives, de ne pas pouvoir assurer les récoltes en 2009. Ils demandent des dérogations. Nous assis‐ tons à un retour en arrière alors que les solutions peuvent exister.
C’est une question de choix…et de reconnaissance.
Qui de bonne foi, peut encore contester les effets négatifs des pestici‐ des de synthèse sur la santé ? Leur coût parfois élevé, leur efficacité parfois très discutée n’en font pas des solutions durables ni indispensa‐ bles. L’image même des aliments produits avec de telles substances est dégradée.
En tant que usagers et consommateurs, nous sommes les premiers concernés. Nous demandons la reconnaissance des PNPP dans les lois Grenelle1 et Grenelle2, pour en favoriser le développement comme alter‐ natives aux pesticides, avec des procédures d’agrément allégées, adap‐ tées, faciles et rapides à mettre en oeuvre.
Signataires : ASPRO – PNPP (ASsociation pour la PROmotion des Produits Naturels Peu Préoccupants), Nature et Progrès, Les Amis de la Terre, La Confédération Paysanne, Les Amis de l’Ortie
Pour la reconnaissance des PNPP, alternatives aux pesticides de synthèse
La pratique de la biodynamie suppose l’application sur le sol, les plantes, et les composts de « préparations » biodynamiques. Sans entrer dans le détail de leurs actions, on peut dire qu’elles sont des auxiliaires indispensables pour restaurer et maintenir la fertilité des sols, pour assurer la santé des plantes et des ani‐ maux et pour obtenir des aliments de haute qualité pour l’homme. Contrairement à de nombreuses « spécialités » mira‐ cles qui sont vendues dans le commerce (bio aussi !), ces préparations sont simples à élaborer par tout paysan un peu attentif. Encore faut‐il quelques connaissances de base.
Confrontés à cette question depuis de nombreuses an‐ nées, quelques paysans du Limousin se sont regroupés pour élaborer ensemble ces fameuses « préparations ».
Les « préparations » pour le compost sont élaborées à partir de fleurs ou plantes semi‐médicinales (pissenlit, valériane, camomille, ortie, écorce de chêne, achillée millefeuille). La préparation « bouse de corne » est élaborée à partir de bouse de vache et de corne de vache. Quant à la préparation « silice de corne, il s’agit de farine de quartz introduite dans une corne de vache. Ces différents consti‐ tuants sont enterrés six mois en terre.
Ainsi, comme vous avez pu le lire dans la rubri‐ que rencontres de la Feuille Bio, nous nous retrouvons depuis plus de 15 ans, deux fois par an pour mettre en terre et pour sortir ces « préparations ».
Aux environs de la St Michel (29 septembre ), notre rencontre est cru‐ ciale. Il faut que ce jour là, nous ayons tous les ingrédients nécessaires ; cela nécessite une bonne coordination et chacun est chargé de fournir un élément : l’un, les fleurs de pissenlit récoltées au printemps, l’autre les fleurs de camomille, encore un autre apportera les plus belles des bouses de ses vaches, ou sa récolte d’écorce de chêne…Nous pouvons alors mettre en terre, soigneusement, à l’endroit choisi, ces prépara‐ tions.
Au bout de 6 mois, vers Pâques, leur maturation étant achevée, il est temps de les sortir de terre pour les utiliser. Nous nous retrouvons à nouveau pour découvrir le résultat de notre travail. De nouvelles ques‐ tions nous viennent : est‐ce réussi ? Avons‐nous une préparation de qualité ? Année après année notre jugement s’affine. Cette année, nous avons des cristallisations sensibles pour nous aider à répondre.
Et puis vient le moment de partager le fruit de notre collaboration : chacun emporte la quantité nécessaire à la grandeur de son domaine agricole. Des conseils sont donnés pour conserver toute l’efficacité de ces « préparations » ainsi que sur leur utilisation. Des échanges très fructueux qui permettent à chaque participant de progresser avec l’aide des autres.
Pratiquer la biodynamie en Limousin est à la portée de tout paysan ; le groupe est ouvert à tous !
Patrick LESPAGNOL. N.B. :Une formation biodynamique de base est proposée par GABLIM dans le cadre des formations VIVEA. (Voir rubrique formation).
Pratiquer la biodynamie en Limousin
N° 99 janvier 2009
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La Feuille bio du Limousin
♦ Pourriez-vous faire un historique de la ferme ?
J’ai toujours eu envie de travailler la terre. Dès le bac passé, je suis parti une année entière comme berger dans les Pyrénées où j’ai appris à faire le fromage de brebis. Puis j’ai fait une formation de palefrenier qui m’a amené jusqu’au hameau de Diozidoux où je m’occupais des chevaux mais aussi des vaches. En 1996, le propriétaire de la ferme décide de quitter son exploitation. Il souhaite que s’implante une activité originale et écologique. Il me propose alors de reprendre la ferme.
Je me suis installé en bio, les terrains qui avaient été simple- ment fauchés depuis plusieurs années sont passés directement en bio et les animaux au bout de 2 ans. Pour moi, c’était une évidence, j’ai choisi d’être agriculteur pour nourrir les hommes. Je voulais d’un contrat clair avec les consommateurs avec un cahier des charges. Je suis heureux d’être paysan avec ce contrat.
Au départ, mon projet était de faire du fromage de vache, mais c’était très difficile d’obtenir des quotas de vente di- recte. J’ai pu en avoir mais pas suffisamment pour faire passer mon EPI (étude prévisionnelle d’installation). J’ai donc démarré avec des vaches et des chèvres. Pendant 2 ans j’ai fait du fro- mage de vache et du fromage de chèvre. Mais la charge de tra- vail était beaucoup trop lourde pour une seule personne (ma compagne travaille à l’extérieur). Je suis donc devenu chevrier malgré moi. J’ai actuellement 55 chèvres et une douzaine de vaches allaitantes, des Salers et des Ferrandaises.
♦ La charge de travail ne reste-t-elle pas trop lourde malgré tout ?
Oui, c’est pour cela que je pratique la monotraite depuis 3 ans. Denis Fric, le vétérinaire de GABLIM ainsi que mon techni- cien fromager m’avaient parlé de cette pratique assez cou- rante dans le sud de la France. Il n’y a qu’une traite par jour, le matin. La moyenne de litre de lait par jour (2l) a di- minué mais par contre il n’y a pas de différence en nombre de fromages. Il y a moins de lait mais il est plus riche. Je ne re- grette qu’une chose, ne pas avoir commencé plus tôt.
Ce système me permet de continuer la vente directe. Je vends mes fromages (crottin, bûche, pyramide, tome de 3 à 4 kg) sur les marchés, foires et aussi beaucoup à la ferme bien que nous soyons plutôt isolés.
Je vends aussi la viande (boeuf et veau) directement au consommateur en caissettes de 8 kg. Je fais partie du collectif «abattre et valoriser la viande en Limousin». Mais pour l'ins-
tant mes animaux sont abattus à l'abattoir d'Ussel et découpé à Giat dans le Puy de Dôme. L'abattoir est certifié bio mais pas l'atelier de découpe.
La main d’oeuvre reste malgré tout un problème, il y a beaucoup de travail pour une personne mais nous ne dégageons pas encore assez de revenus pour avoir un salarié .
♦ Et les chevreaux, comment les commercialisez-vous ?
L’autre particularité de mon élevage, c’est que j’élève les chevreaux sous les mères jusqu’à 12 kg. Je ne commence la fabrication de fromage que fin mars début avril. Je les vends à des grossistes. Ils ne sont malheureusement pas toujours commerciali- sés en bio, ils partent parfois dans la même filière que les chevreaux élevés à la poudre de lait.
♦ Quelle est votre autonomie alimen- taire ?
J’achète des céréales en complément de celles que je
cultive (1,5 ha) et parfois de la luzerne quand nous n’avons pas assez de fourrage. Ce qui n’est pas le cas depuis plusieurs années. Le fourrage est abondant et de bonne qualité. Je fauche mes prairies le plus tôt possible en faisant de l’enrubannage. Ceci me permet d’avoir une bonne pousse d’herbe pour les chèvres avant l’été et parfois de faire une 2ème coupe.
♦ Pour vous, quel est l’avenir de la bio ?
Il est urgent que la BIO se développe. Cepen- dant, je n’aime pas le mot bio. Il ne devrait plus exister. Ce mode de production devrait être la norme pour tous et non pas une pro- duction à la marge.
Les produits de qualité ne devraient pas être réservés à une partie de la popula- tion plus aisée. C’est pour cela que je pratique la vente directe, pour donner la possibilité à tous d’avoir des pro- duits de qualité à des prix raisonna- bles.
Propos recueillis par Jenny Gutteridge
Port
rait
Producteur Biologique en
Creuse
Date d’entrée en Bio :
1997
SAU totale en Bio : 34 ha
Laurent Bernard
diozidoux
23260 Flayat
Tél : 05 55 67 82 33
Fromages de chèvre,
viande bovine
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La Feuille bio du Limousin N° 99 janvier 2009
Ü Session d’information des élus et dé- cideurs locaux du PNR Périgord Limousin
Mardi 9 décembre 2008, le Parc Naturel Régional Péri gord Limousin a organisé dans le cadre des sessions d’informations des élus et décideurs locaux sur le développement durable, une soirée dédiée à la « Mise en place d’une restauration bio et lo cale dans nos cantines scolaires ».
M.Rougier, Maire de Rochechouart, a expli cité l’intérêt des com munes du territoire à s’approvisionner au près de Manger Bio Limousin sur le plan de la santé, de l’aménagement du territoire et du soutien aux producteurs locaux. Cette commune, pionnière dans cette démarche, a accueilli la conférence au sein de son restaurant scolaire.
M.Couturier, cuisinier de la structure, a présenté les avantages nutritionnels et gustatifs des produits issus de l’Agriculture Biologique locale.
M. Aumenier, gestionnaire, a mis en évidence qu’une bonne gestion des achats de ce type de produits per mettait un équilibre financier.
Martin François, administrateur de Manger Bio Limousin, a fait un historique de la genèse de l’association.
Marie Cadet, chargée de développement de MBL, a détaillé les étapes d’une démarche globale d’intégra tion des produits bio dans la restauration scolaire en s’ap puyant sur le fonctionnement de la plateforme et sur des exemples.
Isabelle Granet, chargée de mission de GABLIM, a exposé le type d’animations pédagogiques pouvant accompa gner la mise en place de repas bio.
Des guides pédagogiques de l’Agriculture Biologique en Limousin, des plaquettes du Réseau des fermes de dé couverte bio, des Guides Bio ainsi que des brochures d’information sur la viande, le lait et le pain bio ont été distribués aux participants.
La soirée a remporté un vif succès : une soixantaine de personnes se sont réunies et ont été fort réacti ves, sollicitant les intervenants par leurs nombreuses questions.
Isabelle Granet
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Le Marché du mois þ Livre “Les PGM insecticides : évaluation des impacts sur les insectes auxiliaires” de lilian Ceballos édition Rés’OGM
Info, Décembre 2008, 250 pages, 15 €
L’enjeu de ce livre est de faire le point sur les connaissan- ces scientifiques relatives aux impacts des cultures Bt sur les insectes auxiliaires. Il est la première synthèse de ce genre et s’adresse à un public averti, désireux de com- prendre l’impact des toxines insecticides Bt sur les insectes non ciblés (pollinisateurs, ennemis naturels des rava- geurs), sur les organismes du sol (lombrics, mycorhizes) mais aussi sur les organismes aquatiques (daphnies, moules).
Lilian Ceballos, Scientifique indépendant, écologue. Co- auteur de « OGM, Sécurité, Santé » et de diverses publi- cations sur les PGM, il collabore régulièrement avec des organisations environnementales sur des questions d’éco- logie et d’agroécologie.
Bon de commande sur www.resogm.org
Guide BIO 2009/2010
Il est encore temps de vous ins‐
crire. Contactez Jenny au plus vite
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Les repas du mois
1 25 repas complets
51 repas partiels
2590 repas complets
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La Feuille bio du Limousin
« La ferme de la Motte (41370) commercialise depuis plus de 10 ans des oignons biologiques. Pour faire face à l’augmentation de ces ventes et à l’élargissement de sa gamme, la ferme de la Motte recherche des producteurs bio avec qui contrac- tualiser des productions d’oignons pommes de terre échalote et ail. Toute personne susceptible d’être intéressée par ce type de production peut contacter julien Lemaire.
Tel : 02 54 81 44 25 / 06 60 07 99 09 - Fax : 02 54 81 44 20 - [email protected]
Ü Manger Bio Limousin : les projets se développent en Corrèze Le mardi 16 décembre, les administrateurs de Manger Bio Limousin étaient à Brive pour un Conseil d’Administration déloca lisé et une réunion d’information sur MBL à destination des producteurs corréziens. Des débouchés potentiels s’ouvrant en Corrèze, il était temps de mobiliser les forces dans ce département.
Une douzaine de producteurs bio étaient présents ce soirlà, une quinzaine s’est excusée de son absence, plusieurs ré unions ayant lieu le même jour, mais souhaite participer à la dynamique lancée. La Mairie de Brive et le Conseil Général de Corrèze nous ont honorés de la présence de leurs techniciens.
Cette réunion a permis de présenter le fonctionnement actuel de la plateforme ainsi qu’un bilan de l’année scolaire 20072008, de soulever de nombreuses questions en particulier concernant les marchés publics stricts et les contraintes en cuisine, peu adaptés à l’utilisation de produits bio locaux.
Ont aussi été mis en avant les partenariats possibles avec les collèges de Corrèze et la cuisine centrale de Brive. La Mai rie de Brive mène en effet une réflexion afin d’introduire des produits locaux respectueux de l’environnement dans sa cuisine centrale (3000 repas/jour). Le Conseil Général de Corrèze, quant à lui, mettra en place une subvention aux surcoûts des produits bio et locaux pour quelques collèges pilotes, subvention testée entre février et juin 2009 pour ensuite être étendue à l’ensemble des collèges en septembre 2009. Un véritable partenariat est souhaité, afin que les commandes permettent un développement et une structuration des filières bio en Corrèze et en Limousin.
Les projets de restauration collective bio se construisent en Corrèze, à nous de prévoir la production et d’organiser une logistique professionnelle au plus vite pour y répondre !
Producteurs corréziens, n’hésitez pas à rejoindre la dynamique et à nous contacter : Manger Bio limousin Marie Cadet au 05.55.31.86.88 – [email protected]
Ü Le Projet DIVA s'adapte éga- lement aux projets de diversifica- tion collectif
Bénéficiaire : Olivier Breuil, Michel Limes, Didier Vincent, Frédéric Faure
Contexte : En 2007 une dizaine de producteurs bio se sont engagés dans la filière restauration collective, dans le but de renforcer la viabilité de leur entreprise, et de concourir au développement de l'économie locale et solidaire, basée sur des produits saisonniers, respectueux de l'environne ment et de haute qualité nutritionnelle.
Projet : Après plus d'un an d'expérience, un certain nombre d'entre eux face à l'augmentation des be soins, et à la nécessaire réorganisation de leurs ou tils de travail, souhaitent engager une démarche de diagnostic des moyens de production actuels, et de monter des stratégies collectives de planifi cation des productions.
Leur DIVA : Accompagnés par GABLIM, le groupe a établi un plan d’accompagnement comprenant :
Un diagnostic de production des fournis seurs en RHD
Étude de faisabilité économique pour la mise en place de moyens adaptés (humain, équipements, transport, ...).
Création d'outils de planification et de contractualisation.
Vous pouvez retrouver les informations sur le réseau DIVA sur le site Internet du Conseil Régional du Limousin.
Laurent Bordey
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Manger Bio limousin s’est vu remettre le 1 ier prix « Initiateurs du Demain » 2008 dans la catégorie Économie Sociale le jeudi 4 décembre, par la Caisse des Dépôts et Consignation. Le concours était organisé par l’association Airelle Limousin afin de récompenser de jeunes créateurs d’entreprises.
Manger Bio limousin s’est vu félicité pour son activité de com merce équitable local et de développement durable : économi que, sociale et environnementale.
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La Feuille bio du Limousin N° 99 janvier 2009
Nouveau règlement européen Ça y est, le 1er janvier est passé, et le nouveau règlement européen sur la production biologique est entré en vi- gueur. Les guides de lectures sont en cours de finalisation pour une validation officielle par le comité bio de l'INAO en mars.
Extraits :
Alimentation des animaux
ü Herbivores : 50% de la ration produite sur la ferme ou provenant de la région administrative avec un contrat de coopération assurant la traçabilité bio et régionale
pas de limitation de l ensilage
ü Monogastriques : 50% de la ration produite sur la ferme ou provenant de la région administrative ou des régions les plus proches
Lien au sol et taille des ateliers
Dans la limite des 170 kg de N /ha/an :
ü Pas de chargement maximum
ü Pas de limite de taille des élevages de porc
ü Pondeuse : maximum 3000 poules par bâtiment de 500 m² minimum et 1600m² en tout
ü Volaille de chair : selon l espèce de
2500 à 5200 volailles par bâtiment et 1600m² en tout, densi- té maximum entre 21 et 30 kg de poids vif par m² en fonc- tion des espèces.
Traitements vétérinaires
ü Traitements antiparasitaires allopathiques non comptabili- sés, forme bolus autorisée
ü Traitements antiseptiques externes hors antibiotiques non comptabilisés
ü 1 traitement allopathique sur les poulets hors antiparasi- taire
ü Délai d'attente légal doublé et au moins 48h
OGM
Utilisation d OGM interdite
Inscription d un seuil à 0,9% maximum lié à la réglementation générale concernant la contamination, et qui s'applique à cha- que ingrédient d'une formulation.
Vous pouvez également consulter les textes sur le site du minis- tère (où ils seront régulièrement mis à jour) : http:// agriculture.gouv.fr/sections/thematiques/environnement/ agriculture-biologique/reglementation
Laurent Bordey
Les normes relatives à la taille et plus généralement à l appa- rence des fruits et légumes ont été « repassées au crible » par les États membres de l Union Européenne le 12 novembre 2008, qui ont ainsi validé les propositions de la Commission visant à abroger les normes de commercialisation applica- bles à 26 types de fruits et légumes. Cette initiative est à marquer d une pierre blanche quand on sait la place cen- trale tenue par les critères « d apparence » dans les filières fruits et légumes et leurs conséquences sur les prix de vente de ceux-ci.
Cela dit, il s agit avant tout d une démarche de rationali- sation et de simplification des règles de l UE ainsi que de réduction des lourdeurs administratives. En effet, pour certains types de fruits et légumes, notamment pour les pommes, les fraises et les tomates, les normes de commercialisation seront maintenues en l état. Pour ceux-ci, les États membres pourront cependant autori- ser la vente au détail des spécimens ne correspondant pas aux normes, pour autant qu ils soient étiquetés de manière à les distinguer des produits relevant des catégories «Extra», «I» et «II».
En d autres termes, les professionnels seront autorisés à mettre en vente tous les fruits et légumes, indépen- damment de leur taille et de leur forme. On peut ce- pendant regretter que cette ouverture européenne se fasse par le « bas » car, en créant cette nouvelle classe
de qualité « industrielle » ( forcément dépréciée sur le plan commercial) dans la vente au détail, on risque de contribuer aux dérives de la « mal bouffe », et il y a fort à parier que les enseignes de discount soient les premières à proposer cette gamme de produits : les légumes moches pour les pauvres !
Non pas que les fruits moins beaux soit moins bons, mais en créant cette nouvelle catégorie on donne l opportunité aux professionnels peu scrupuleux de trier volontairement pour la vente des produits proches de l invendable (immatures, caren- cés, fatigués par un long stockage).
Quand on connaît les aberrations (eau, énergie, pesticides ) engendrées par la production de fruits et légumes parfaits, on regrette que la révision des normalisations ne se soit pas faite par « le haut », c est à dire en abaissant les critères de qualité visuelle des produits de catégorie 1, et en faisant disparaître cette catégorie « Extra » qui incite certains producteurs à tendre vers des produits proches de l Extra terrestre en terme de taille et de conformité !
Attention donc aux abus d interprétation car ces nouvelles nor- mes qui, si elles limiteront parfois le gaspillage des produits moins beaux, ne changeront pas forcément grand chose aux pratiques de production et ne seront donc pas le gage d un produit moins traité !
Arnaud Dutheil
Des normes commerciales moins contraignantes pour les fruits et légumes…
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N° 99 janvier 2009
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La Feuille bio du Limousin
Pour repenser un nouveau modèle agricole, il ne suffit pas de trouver de nouvelles méthodes, il faut aussi repenser les fondements éthiques de notre rapport à la Terre et aux êtres vivants. C’est la raison pour laquelle les organismes de l’agriculture biodynamique ont organisé un congrès sur ce thème au monastère de Cluny en Bourgogne, haut lieu du Moyen Age, symbolisant le renouveau de l’agriculture et de la spiritualité liée à l’action dans le monde (ora et labora). Ce congrès, auquel de nombreux partenaires locaux ont contribué, a visiblement répondu à une forte aspiration pour découvrir ou approfondir les fon
dements éthiques et spirituels de la biodynamie et plus généralement d’une agriculture du futur. Presque 200 per sonnes se sont retrouvées dans les ma jestueux locaux du monastère pour ap prendre, réfléchir et échanger sur ces sujets d’actualité. Ce congrès a été suivi par l’assemblée générale commune des 3 associations biodynamiques fran çaise, marquant une étape pour la biody namie française.
Brèves Bio FNAB du 19 janvier 2009
La FNAB a rencontré J.A. Gauthier, chargé du dossier OGM au cabinet de M. Barnier le mercredi 7 janvier. Elle s’est vu confirmer que les projets d’arrêté de l’administration concer nant la coexistence étaient retirés, et qu’une nouvelle réunion avec les professionnel et les associations de défense de l’envi ronnement et des consommateurs aurait lieu prochainement pour connaître les positions des uns et des autres. Selon J.A. Gauthier, le gouvernement ne souhaite pas passer en force, et se rangera à l’avis du Haut conseil des biotechnologies.
Par ailleurs, la FNAB semble avoir été entendue dans sa de mande que les règles de coexistences soient soumises chaque année à des relevés de contaminations sur le terrain, et revues en conséquence pour diminuer ces contaminations.
Le Haut conseil des biotechnologies, dont la création a été publiée début décembre au Journal officiel, a pour vocation d'éclairer le gouvernement sur toutes les questions intéressant les OGM ou toute autre biotechnologie. Il peut se saisir d'of
fice, à la demande de l'Office parlementaire d'évalua tion des choix scientifiques et technologiques, ou à la demande d'un député ou d'un sénateur, des associa tions de défense des consommateurs ou de protection de l'environnement. La FNAB aura un représentant au comité socioéconomique de cette instance.
Côté moratoire, et si l’on en croit les membres du cabinet de J.L. Borloo, que la FNAB a rencontré longuement lundi 12 janvier, les délais ne per mettront pas à la Commission européenne d’é tudier le dossier présenté par la France pour défendre son moratoire, avant la période des semis de maïs de cette année. Par ailleurs, en période préélectorale, la Commission a plutôt tendance à éviter les sujets qui fâ chent.
Brèves Bio FNAB du 19 janvier 2009
Elles avaient lieu à Vichy, les 9 et 10 décem bre dernier.
Beaucoup d’informations sur le contexte natio nal et international la 1ère journée, suivi l’après midi de débats en ateliers sur des su jets techniques et politiques.
La seconde journée était axée sur le projet d’identifiant. Le bilan présenté par Aurélie Scheider chargée de mission identifiant à la FNAB fait apparaître un fort soutien au pro jet, tant du côté des producteurs que du côté des consommateurs (largement confirmé par un sondage en ligne). Le reste de la matinée a permis d’approfondir des questions techniques et de situer des niveaux d’exigence du futur cahier des charges (ex : pour les OGM, plutôt une obligation de moyen qu’une obligation de résultat probablement impossible à atteindre).
Pour finir, l’après midi du 10 a donné la pa role à l’ensemble des partenaires : témoignage de nos voisins Belge de Bioforum Wallonie, po sition de nos collègues de Nature et Progrès,
de la Confédération Paysanne, de structures de collecte (Biolait, Unebio), de distributeurs avec Biocoop et Biomonde ainsi que des consom mateurs avec bioconsommateur.
Ils ont réaffirmé leur intérêt au projet de la FNAB d’initier un nouvel identifiant bio, sur la base minimale de la réglementation française en vigueur jusqu’à la fin de l’an née dernière. Un nouveau séminaire de tra vail, les 27 et 28 janvier, devrait réunir ces mêmes acteurs de l’aval, la FNAB et les GRAB, pour créer une association de préfi guration de cette marque. La FNAB passerait ainsi le flambeau à un groupe plus large d’acteurs.
Comme chaque fois, les journées d’automne FNAB 2008 furent riches et intenses. Dom mage toutefois que les bio Limousins y aient été si peu représentés cette année.
Michel Deslandes, président de GABLIM
Echos du réseau o
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coexistence, moratoire, haut conseil : où en eston ?
! Congrès 2008 des biodynamistes Agriculture et éthique du vivant
� Recherche vache laitière ou génisse + 1 an, recherche poules pondeuses Carole Zufferli (23230) ): 05 55 65 78 41 (HR)
� A vendre 1 veau nourrisson Limou‐ sin. TGS Earl Sardenne Vigroux (19160) ): 05 55 98 28 07
Matériel � A vendre voile Filbio, 3 rouleaux 1,65 X 250m, cuisinière à bois + ballon mixte germinox 150 l Carole Zufferli (23230) ): 05 55 65 78 41 (HR)
�⌧Recherche concasseur céréales tri‐ phasé Vincent Bellan (87110) ): 05 55 48 96 37
Emploi � Cherche à me loger dans un gîte moyennant un échange d’aide aux mul‐ tiples travaux éventuels. Dominique Lehiani
): 06 37 58 64 07
� Pour accéder à une formation adulte en maraîchage bio, j’ai besoin de faire un an de professionnalisation. Je suis donc à la recherche d’un emploi chez un maraîcher bio. Je suis titulaire d’un BTS protection de la nature et j’ai fait un stage de 3 mois chez un maraîcher bio en Corrèze Karine Lachaud (23260) ): 06 37 14 37 04
Ferme/associé � Recherche ferme à louer secteur Ladignac le Long pour exploitation en maraîchage biologique Frédéric Faure (87380) ): 05 55 31 20 08 / 06 22 18 14 26
� Ferme de 55 ha AB, production de volailles de chair, oeufs, ovins, vente en direct, cherche pour développement un(e) associé(e) avec cerveau, capitaux mini et dur à la peine. Amour de la vie paysanne obligatoire. Développement important et rapide possible. ): GABLIM 05.55.31.86.87
Foin et céréales �cA vendre pommes de terre de consommation et foin 2008, balles de 120x120 Anne‐Marie Bugeat (19410) ): 05 55 73 77 55 le soir
� A vendre paille d’orge‐pois bio (10t), récolte 2008 GAEC Mona Lisa (24630) ): 05 53 52 82 09
�⌧A vendre céleri rave, paille sous abri, foin sous abri, enrubannage Vincent Bellan (87110) ): 05 55 48 96 37
Animaux �cA vendre jeunes reproduc‐ teurs bovins HBL type mixte, très doux, parents qualifiés, Garantie sanitaire + génisses
Vincent François (87190) ): 06 79 90 12 95
� Donne chiots Border Collie, Carole Zufferli (23230) ): 05 55 65 78 41 (HR)
maraîcher et président Demeter France 1er jour : histoire et bases théoriques de la biodynamie 2ème jour : pratique et démarche de conversion (journée terrain sur ferme biodynamique) i GABLIM : 05 55 31 86 87
! 14 février : s’initier à la maréchalerie
i CFPPA Limoges Les Vaseix : 05 55 48 44 30
! 23 février : transformer des fruits et légumes
i CFPPA Limoges Les Vaseix : 05 55 48 44 30
! 3 mars : Réaliser le suivi sanitaire dans un élevage bovin allaitant
» RENCONTRES ! 22 janvier : rencontre technique à Lanxade (24) ‐ Agriculture biologique
fruits i Ctifl, centre de lanxade : 05 53 58
00 05
! 23 janvier : soirée débat sur la fièvre catarrhale « Faut‐il vacciner ou non le cheptel souche ? » à la salle municipale de St Christophe (23) à 20h00
» FORMATIONS ! 27 janvier et 24 février : initiation à l’agriculture biody‐ namique Intervenant : Michel Leclaire,
i CFPPA Limoges Les Vaseix : 05 55 48 44 30
» REUNIONS ! 15 janvier : CA GABLIM
! 20 janvier : CA et AG Manger Bio Limousin
! 26 janvier : réunion des référents éducation et animateurs du réseau des fermes de découverte et autres person‐ nes intéressées pour promouvoir le guide pédagogique de l’AB en Limousin à GABLIM
! 3 mars : CA GABLIM
! 31 mars : AG GABLIM
J’adhère à GABLIM ¨ je suis agriculteur Bio (ou en conversion). Je cotise en tant que membre actif Montant de la cotisation = 50 € + (0,7 € X ...Ha de SAU)
¨ je ne suis pas agriculteur Bio, je soutiens l’Agriculture biologique et GABLIM Je cotise en tant que membre associé Montant de la cotisation : 30 €
Nom , Prénom : ……………………………………………………………………… Adresse : …………………………………………………………………………………..
tél. : ………………………………………….. Fax : …………………………………………... Mail : …………………………………………………………. Profession : …………………………………………………………..
Chèque à l’ordre de GABLIM, à envoyer à 4 rue Thomas Edison, 87220 FEYTIAT
Pour diffuser une annonce, adressez‐la par courrier avant le 25 du mois, accompagnée du règlement correspondant : 8,50 €. Nous rappelons que les annonces sont gratuites pour les adhérents de GABLIM et pour les personnes à la re‐ cherche d’un emploi
La Feuille bio du Limousin Bulletin de liaison des AgroBiologistes du Limousin
GABLIM ‐ Association loi 1901, membre de la FNAB Centre Technique Régional de l’ITAB –Organisme de formation
4 rue Thomas Edison, 87220 Feytiat Tél. : 05 55 31 86 80 Fax : 05 55 30 32 75
E‐mail : [email protected] Directrice de publication : Chantale De Plasse
ISSN : ‐1628‐0865 Dépôt légal en janvier 2009 Imprimé sur papier recyclé et réalisé par nos soins
avec le concours financier de l’Union Européenne, le MAAPAR et le Conseil Régional du Limousin
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Ca
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