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Directeur de la publication Gérard Seyzériat, mairePhoto de couverture Pierre Vellay (avec tous nos remerciements)Comité de rédactionJean-Claude Ballet, Judicaëlle Cevasco, Sylvie Charvenet, Georges Puvillan, Nadège Ravet, Gérard Seyzériat, Jacques Vermeulin.Photos et illustrationsSylvie Charvenet, France 3, Martine Perrat,Catherine Penez, Georges Puvillan, Denis Tavel, Pierre Vellay, Jacques Vermeulin.Article « Les abeilles, de précieuses alliées » rédigé par Philippe Marchenay. Photos de Agnès Dalphin, Jérôme Gauthier, Hugues Mouret-Arthropologia, Simon de Vaulchiez. Maquette et mise en page  Judicaëlle CevascoImpression  Espace copie pro

Le comité de rédaction remercie les associations pour leur aimable participation.

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État civil - Nouveaux habitants

Vie municipaleÉcole

Se déplacer autrementVie intercommunale

Divers et variésRepas du CCAS

Biodiversité : Les abeillesAssociations

DossierPetit tour de la fôret

ÉchangesPortraitsAnnuaire

AgendaInfos pratiques

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Sommaire

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Vingt-huit ans après, alors que nous avons franchi l’échelon supérieur, et que nous appartenons maintenant à une collectivité de 133  000 habitants et de 75 communes, la question reste posée. Après un an passé dans cette nouvelle collectivité, nous pouvons apporter quelques éléments de réponse.Il n’y a pas eu de bouleversement de notre village, nous disposons toujours d’une mairie, d’une école, d’un camping.La viticulture, qui a fait la richesse de notre commune à une époque, a bien été prise en compte dans le Scot (schéma de cohérence territoriale), en matière d’aménagement du territoire. Au début du siècle dernier, la vigne recouvrait près de 100 ha (sachant que la superficie totale de la commune est de 230 hectares).Aujourd’hui elle ne représente que quelques hectares mais de jeunes viticulteurs s’installent et croient en cet avenir viticole.L’agglo nous offre par ailleurs des ser-vices nouveaux  : piscine pour les enfants de l’école, aide en matière d’urbanisme, et je l’espère, prochainement, amélioration des transports vers la ville-centre.Toutefois, il est un domaine où je pense que nous avons subi un recul, c’est celui de la représentation démocratique des élus locaux au sein de cette super-structure. Auparavant, nous avions deux représen-tants à la communauté de communes BDSR, et chaque conseiller municipal pouvait s’investir dans des commissions spécifiques, selon ses pôles d’intérêt et ses compétences. Toutes nos communes recèlent des trésors humains, à la retraite ou pas, qui pouvaient apporter leurs connaissances, bénévolement, à la collec-tivité. Cela créait également du lien social. Maintenant ce n’est plus possible. Il n’y a plus qu’un seul représentant par petite commune au sein de l’agglo, et la

conférence territoriale du pôle de Ceyzériat, regroupant les deux anciennes communautés de communes de BDSR et La Vallière, n’est qu’une chambre d’enregistrement des décisions prises plus en amont.Nous assistons progressivement à une fonctionnarisation du système et ce réservoir de compétences intellectuelles, présent dans toutes nos communes, ne peut plus s’exprimer, aux dépens de la démocratie participative.Mais, en lisant ce bulletin municipal, vous pourrez vous rendre compte des réalisations municipales 2017, des projets 2018, vous pourrez également apprécier le dynamisme de nos associations et constater que Journans n’a pas perdu son âme.

Les membres du conseil municipal et moi-même vous présentons nos meilleurs vœux de bonheur et de santé pour cette nouvelle année 2018.

Gérard Seyzériat, maire

Vœux 2018Le conseil municipal vous invite à la traditionnelle cérémonie des vœux samedi 6 janvier 2018 à 11 heures à la salle communale.

En 1989, dans son édito du bulletin municipal, le maire, Gérald Lévy, écrivait ces mots en parlant du projet de création d’une communauté de communes : « Que deviendront nos petites communes dans un tel bouleversement ? Qu’en sera-t-il de notre spécificité ? Certes, il nous faut aller de l’avant, mais il ne faudra pas pour autant que nos villages y laissent leur âme ».

Édito

NaissancesJoan, Marius, Cyril CAPEL, né le 21 décembre 2016 à Viriat, fils de Alexandre, Paul, André CAPEL et de Gaëlle, Marie- Hélène CARIÉ, domiciliés 116, chemin des Grandes-Vignes.

Emma PERRET, née le 2 août 2017 à Viriat, fille de Nicolas PERRET et de Sandra VERNOUX, domiciliés 85, rue Neuve.

MariagesPhilippe Michel GONNET et Brigitte BOGREAU, le 24 juin 2017.

Jérôme Vincent Antoine MASSET et Virginie Marie-Françoise Simone Augusta MARSEILLE le 14 août 2017.

DécèsAlfred DE FILIPPIS décédé le 02 février 2017 à Viriat (Ain).

Lucien GUYON décédé le 24 novembre 2017 à Viriat (Ain).

Madame Gaëlle GIORIA230, impasse des Hannetons Monsieur Adrien CHAGNEUX 263, rue Neuve

Madame Laurette GERBEMonsieur Sébastien TERRAL106, rue de l’Église

Madame Caroline THIBAUT Monsieur Guillaume GAVAND177, rue Neuve

Mme et M. Sandrine et Florent DELAYE61, montée de Saint-Valérien Madame Marie BOUTEAU 5, rue de Boisserolles

Madame Christel DONZE Monsieur Pierrick MUZY 56, rue de la Balme

Alfred De Filippis

Alfred nous a quittés en ce début d’année 2017. Qui, au village, n’a pas croisé sa frêle silhouette, apprécié la discrétion, la gentillesse de ce facétieux personnage, toujours à l’affût d’un bon mot ou d’une plaisanterie.Il avait choisi, avec Élise son épouse, de venir vivre à Journans depuis près de trente ans.Ce lutin malicieux, passionné de musique et expert en tango, restera une des figures qui ont marqué la vie de notre village.

Lucien Guyon

Lucien Guyon nous a quittés récemment. Il est parti discrètement, suite à une longue maladie. Lucien était quelqu’un de réservé, mais avec un grand cœur pour ceux qui le connaissaient bien.Après avoir passé l’essentiel de sa vie professionnelle à la ville de Bourg-en-Bresse, au service des espaces verts, Lucien et sa femme ont pendant de longues années entretenu le fleuris- sement de la commune. Il avait également quelques poules et lapins et surtout un magnifique jardin que les gens pouvaient admirer face au monument aux morts.Lucien bricolait beaucoup et était très habile de ses mains. Il aimait confectionner des « benons » en paille de « boué » comme il disait. Il fabriquait aussi de multiples objets en bois  : tracteurs, camions de pompiers, pressoirs, personnages… et son atelier recelait de nombreux trésors.

Jean-Michel Seyve

Jean-Michel nous a quittés brusquement – brutalement - le 7 août, lendemain de son anniversaire (62 ans) qu’il avait fêté en famille. Habitant de Rignat, mais titulaire d’une sorte de «  double communalité  », il avait adopté Journans, après la mort de Jean-Baptiste, son fils aîné, auprès de qui il repose désormais. Il a été président du Sou des écoles, il aidait chaque année aux vendanges, était inscrit à la bibliothèque, participait aux Journan-dises dont il fut le magistral chef-buvette. Il fréquentait aussi les caves, auxquelles il a d’ailleurs consacré un «  carnet de voyages » de fin connaisseur des lieux et de grand cœur attentif aux gens. Il nous laisse le souvenir de tant de moments partagés. Sa présence chaleureuse, sa curiosité des autres, sa générosité, sa voix sonore vont nous manquer.

Nouveaux habitants 2017

Nécrologie

Au revoir...

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État civil - Nouveaux habitants

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Vie municipale

Petits et gros travaux 2017Comme vous pouvez le voir ci-dessous, en 2017, la commune a entrepris de petits travaux indispensables, notamment en matière d’accessibilité des bâtiments aux personnes à mobilité réduite. Le monument aux morts a bénéficié d’un grand nettoyage grâce à l’huile de coude du maire, des adjoints et des conseillers, aidés de Christophe, qui n’ont pas ménagé leur peine.

En 2018, un chantier plus important est prévu pour l’agrandissement du cimetière.

École- Réfection de la classe de la salle du haut.- Installation de rayonnages salle de garderie.- Installation de barrières de sécurité cour côté ouest.

Accessibilité des bâtiments publics- Mise aux normes des sanitaires publics, place de la Fontaine.- Création d’une douche et d’un WC accessibles aux personnes à mobilité réduite au camping et accès au bureau d’accueil.

Cimetière- Installation d’une main courante à l’entrée du cimetière.- Projet d’extension du cimetière : réunion publique et lancement du marché.Les travaux seront réalisés au 1er semestre 2018.

Voirie- Réfection des peintures de signalisation : stop – ligne blanche.

Forêt

- Exploitation des bois de la forêt suite à la tempête.

Monument aux morts- Nettoyage du monument et aménage-ment des abords (voir article p6).

Réseau d’eau potable- Intervention de Sogedo pour réparation de 4 fuites sur le réseau et d'une rupture de canalisation.

Jeux place de la fontaine- Réfection et entretien des jeux.

Affichage- Changement du tableau d’affichage rue Neuve.

Camping- Numérotation des places des emplace-ments.- Installation des sièges en pierre. - Démolition des douches actuelles et installation de nouvelles  : les travaux de démolition sont achevés et les nouvelles douches seront installées en début d’année 2018 avant l’ouverture du camping.

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Vie municipale

En fin de matinée, la blancheur de la pierre du monument réapparaissait après de nombreuses années passées sous une couche noirâtre. Une plaque cassée a été changée  et la chaîne entourant le monument a subi un décapage et a été repeinte. Simultanément, Christophe, au volant de son tracteur équipé d'une élingue, arrachait les résineux bien défraîchis qui trônaient tout près. Dans la semaine qui a suivi, Patrice a gracieusement décaissé le sol, transporté du gravier qu'il a répandu tout autour et confie : « C'est mon geste en mémoire de nos anciens ». Un banc a été installé, un érable du Japon planté, la barrière décapée et repeinte. Le  11 novembre dernier, le sous-préfet de l'Ain nous a fait l'honneur d'accepter l'invitation de notre maire pour rendre hommage aux soldats morts pour la France.La traditionnelle gerbe de fleurs a été apposée  au pied du monument et la cérémonie s'est close autour du verre de l'amitié à la salle communale.

Par ailleurs, toutes les personnes qui souhaitent participer à la commande de fleurs sont les bienvenues (pour s'incrire : 06 25 94 82 28)

Le monument aux morts a retrouvé son éclat !Armés de brosses métalliques, de javel et d'huile de coude, le maire et des conseillers municipaux ont, un matin de novembre pluvieux, rafraîchi le mémorial de notre village.

À vos agendas! La matinée de plantation des fleurs et d'arrachage des mauvaises herbes est prévue en mai 2017.

Poursuivons ensemble l'embellissement de notre village !

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Dépenses Recettes

Charges à caractère général 86 590,00 € Produits des services 38 850,00 €

Charges de personnel 133 210,00 € Impôts et taxes 184 550,00 €

Amortissements 5 917,00 € Revenu des immeubles 1 700,00 €

Autres charges de gestion courante 26 180,00 € Dotations et participations 46 395,00 €

Charges financières 6 200,00 € Atténuation de charges 500,00 €

Dépenses imprévues 3 055,56 € Produits exceptionnels 0.00 €

Atténuations de produits 300,00 €

Titres annulés (exerc.antér.) 0.00 €

Total des dépenses 261 452,56 € Total des recettes 2014 271 995,00 €

Virement à l’investissement 49 490,00 € Excédent reporté 38 947,56 €

Total 310 942,56 € Total 310 942,56 €

FONCTIONNEMENT

INVESTISSEMENT

Dépenses Recettes

Remboursement emprunts 24 019,00 € Amortissements 5 917,00 €

Panneaux élections 590,00 € FCTVA 61 000,00 €

Plate-forme forêt : étude 840,00 € Taxe d'aménagement 7 000,00 €

Plate-forme forêt : travaux 4 200,00 €

Atlas de la biodiversité 1 500,00 € Subvention biodiversité 1 500,00 €

Archives rénovation 1 480,00 € Subvention rénovation archives 550,00 €

Agrandissement cimetière 132 300,00 € Subvention cimetière 30 000,00 €

Accessibilité bâtiments publics 20 350,00 € Subvention accessibilité 7 052,00 €

Achat de terrains 2 510,00 € Total des recettes 113 019,00 €

Réfection des douches camping 5 000,00 € Produits des cessions

Refection classe du haut 4 560,00 € Excédent de fonctionnement 2016 44 122,72 €

Solde d'exécution Investissement reporté 2016 39 282,72 € Virement du fonctionnement 49 490,00 €

Emprunt 30 000,00 €

TOTAL DÉPENSES 226 546.00 € TOTAL RECETTES 236 631,72 €

Pour l'année 2017, le conseil municipal a établi le budget prévisionnel suivant(décisions modificatives comprises)

Budget

8

Budget

EXPLOITATION

Budget service eau

Pour l'année 2018, le conseil municipal avait établi le budget prévisionnel suivant :

Dépenses Recettes

Charges à caractère général 25 300,00 € Produits des services 33 600,00 €

Charges de personnel 2 700,00 € Quote-part des subventions Invest. 1 150,00 €

Atténuations de produits 4 700,00 €

Amortissements 4 830,00 €

Charges financières 1 500,00 €

Charges exceptionnelles 200,00 €

Total des dépenses 39 230,00 € Total des recettes 34 750,00 €

Virement à la section d'investissement 3 300,04 € Excédent de fonctionnement 2016 7 780,04 €

Total 42 530,04 € Total 42 530,04 €

Dépenses Recettes

Subvention d’équipe 1 150,00 € Dotations fonds divers réserves 179,84 €

Remboursement d’emprunt 3 385,00 € Amortissements 4 830,00 €

Travaux 3 595,04 € Total des recettes 5 009,84 €

Déficit antérieur 179,84 € Virement à la section d'exploitation 3 300,04 €

Total des dépenses 8 309,88 € Total 8 309,88 €

INVESTISSEMENT

En 2017, il a accueilli de nombreux campeurs et réalisé un bénéfice de plus de 6  000 euros. Cette recette inaccoutumée va financer la création d’une douche et d’un WC accessibles aux personnes à mobilité réduite ainsi que l’accès au

bureau d’accueil par une rampe. Elle va également nous permettre de refaire entièrement les douches, quelque peu vétustes. La commune aura également les moyens de racheter le lave-linge qu’on nous a volé !

Bonne année pour le camping !Grâce à une meilleure visibilité, notamment sur Internet et dans les réseaux touristiques, notre camping bat des records de fréquentation, ces deux dernières saisons.

Dépenses fonctionnementPersonnel 5 386,32 €

Eau 1 178,37 €

Electricité et gaz 1 240,00 €

Publicité et accueil 118,45 €

Achats divers 236,33 €

Maintenance citerne + vérification des installations 207,71 €

Entretien batiment + graviers 917,74 €

TOTAL 9 284,92 €

Recettes 15 493,50 €

Résultat 6 208,58 €

BILAN DU CAMPING SAISON 2018

Infos pratiquesOuverture du 1er mai au 30 septembreContactRégisseur du camping - Fabienne Antoine06 52 47 47 63

Une vraie ruche

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Bibliothèque

Chaque année, la bibliothèque prend un coup de jeune, que ce soit par l’âge de ses lecteur.trice.s ou par le dynamisme de son équipe, qui s’est enrichie en 2017 de l’arrivée de Marie-Christine Billon, qui va nous permettre de proposer de nouveaux services et de nouvelles animations, notamment en direction de l’école et des enfants.

Une année activeLa bibliothèque a proposé en 2017 plusieurs animations. Deux séances du jeu Pause photos prose se sont tenues à la salle des associations, dont l’une était réservée au Photo club de Tossiat. Programmée dans le cadre de Culturiosités, la semaine culturelle intercommunale, la conférence sur l’homme et l’abeille a réuni une centaine de personnes captivées par la passionnante prestation de Philippe Marchenay, ancien chercheur au CNRS et habitant de Journans. En août, la première édition du vide-grenier a été bien sympathique, même si les visiteurs ne se sont pas bousculés. Co-organisée avec le bistro-resto Le Petit Campagnard et la commune, cette animation devrait être reconduite en 2018 assortie de quelques ajustements  : date, publicité…Au mois de novembre, dans le cadre des Journandises d’hiver, la bibliothèque a mis à la disposition des visiteurs, durant trois jours, une malle de livres pop-up prêtée par la bibliothèque départementale.

NouveautésLa bibliothèque départementale change un peu son fonctionnement. De bonnes nouvelles  : la navette passera désormais tous les quinze jours offrant un service de réservation plus rapide. Des permanences Open bib nous sont également ouvertes pour rencontrer le personnel de la bibliothèque départementale et les collègues des autres bibliothèques ou participer à des ateliers. On pourra ainsi échanger régulièrement une cinquantaine de documents.Ces échanges nous permettront de tenir un rayon documentaire bien plus à jour qu’il ne l’est actuellement avec des ouvrages plus récents, sur des sujets plus variés. En revanche, le bibliobus ne passera plus, il nous faudra donc systématiquement faire nos réapprovisionnements à Bourg, ce qui donne accès à davantage de choix, mais nous demande aussi plus de temps et de travail.

Au programme des animations 2018, vous pouvez déjà noter le spectacle théâtral des 17 et 18 mars. Il s’agit de la reprise, par la compagnie du Bord de l’eau, du témoignage de Rose Deville devant des collégiens et lycéens de Nantua, le 12 novembre 2001. Elle y parle de son arrestation, son emprisonnement puis sa déportation, mais aussi sa vie d’avant et d’après. (Toutes les infos sont page 30).

Nous vous proposerons des séances du jeu Pause photo prose et pensons également reconduire le vide-grenier, sans doute le 3e dimanche d’août.

2017 a été un millésime très actif pour la bibliothèque : jeu, conférence, vide-grenier… Et 2018 s’annonce tout aussi affairé.

En novembre, nous avons fait nos traditionnelles courses d’automne et plein de nouveaux livres vous attendent !

En pratiqueHoraires d'ouverture : mercredi de 17 h à 18 h et samedi de 11 h à 12 h (en juillet et août, unique-ment le samedi). Fermeture durant les vacances de Noël.

RéservationsNous n’avons pas le livre que vous souhaitez  ? Réservez-le ! La navette passe tous les quinze jours.

Le photo club de Tossiat planche sur la lecture d’images. Pas si évident !

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École

Elle a été fêtée dignement, entourée de ses élèves, des anciens élèves et de ses collègues. Elle a pu cette dernière année participer aux divers projets de l’école. Les élèves ont pu participer notamment à des petites scènes vertes et à une sortie scolaire au parc des oiseaux.

Ils ont offert aux parents un spectacle mu-sical réalisé notamment avec le concours de notre intervenante en musique, Évane.

En septembre, un nouveau maître, Mr Jean-Luc Bougeault est venu renforcer l’équipe en prenant la classe du CE1 au CM2. Dès septembre, les enfants ont profité d’une sortie aux Floralies de Bourg-en-Bresse, d’un atelier autour de la feutrine (par Mme Marie-Thé Ballet) ainsi que de deux interventions artistiques dans le cadre des Journandises.L’effectif de rentrée reste stable cette année avec 32 enfants.

Une année riche en émotions…

Cette année, notre enseignante Mme Sylvette Chatelet a pris sa retraite bien méritée, après 34 ans de service, au sein de l’école de Journans.

Infos pratiques :Tél. : 04 74 51 61 27Garderie périscolaire :matin de 7h30 à 8h50soir de 16h30 à 18h30sauf vendredi 18h

Un nouvel enseignant à l’école : Jean-Luc Bougeault

« J’ai enseigné dans la région lyonnaise, à Bellegarde-sur-Valserine et à Bourg-en-Bresse.Mes passions sont la lecture, l’histoire, les sciences et les voyages.Je souhaite donner à mes élèves l’envie d’apprendre, et aussi développer chez eux la curiosité et l’autonomie. Pour progresser, on apprend aussi de nos erreurs  : il faut apprendre à les surmonter et ainsi on a de plus en plus confiance en soi. »

Pierre Bertin habite Journans depuis long-temps. Fin 2016, il a été hospitalisé et il est revenu au village avec interdiction de conduire. Pour une raison ou pour une autre, nous sommes tous à la merci d’une mésaventure de ce genre. Vivre à Journans sans voiture… comment ferions-nous ?Pour aider Pierre, une liste de trente habi-tants du village s’est constituée début

janvier. La liste a été baptisée Pierre qui roule. Elle a servi à Pierre jusqu’au mois de mai. Deux autres personnes s’en sont servies ponctuellement. Voici comment ça marche. Si je dois me rendre en ville, je lance un appel à toute la liste par courriel, de préférence la veille. Si quelqu’un va au même endroit au même moment et veut bien m’aider, il me contacte directement.

Les autres jettent le courriel à la corbeille.Dans les premiers mois de cette année, il y a eu 18 appels à l’aide et une grande majorité d’entre eux ont été entendus. Il n’y a eu que quatre échecs. On aurait peut-être pu faire mieux si la liste avait regroupé plus de monde.Essayons donc de l’agrandir  : inscrivez-vous s’il vous plaît en envoyant un petit mot à contact@ autosbus.fr (attention, il y a un ‘s’ à ‘autos’).Depuis cet été Pierre a retrouvé sa liberté de conduire et plus personne n’utilise la liste. Pourtant, le système pourrait bien nous servir de temps en temps. Pensons par exemple à une panne de voiture, à un voisin âgé qui doit aller en ville ou à un jeune qui doit prendre un train. Alors n’hésitez pas à lancer des appels.Voici l’adresse de la liste :pierrequiroule@autosbus.fr

Improvisé en janvier dernier, voici un système simple pour s’entraider dans nos déplacements entre ville et campagne.

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Se déplacer autrement

Pierre qui roule

Nouveau !Sur le site internet de Journans  : une nouvelle page pour vous aider à vous déplacer autrement – www.journans.fr rubrique : vivre à JournansTous les 3e samedis de chaque trimestre à 12  h, un apéro ouvert à ceux qui aimeraient se déplacer autrement. Le premier se tiendra le 20 janvier, salle des associations.

Jacques fait de l’auto-stop

Jacques et Marie-Thé se débrouillent avec une seule voiture pour deux. Quand il faut trouver une solution de secours, Jacques utilise souvent l’auto-stop - et il remercie les nombreux lecteurs de La Feuillette qui se sont déjà arrêtés pour le prendre. Il faut quelquefois monter dans plusieurs autos successives pour arriver à Bourg mais au total, le trajet prend rarement un quart d’heure de plus qu’en voiture. Le bonus de l’auto-stop, ce sont les discussions et les rencontres entre concitoyens.

Martine en marche

Une règle à laquelle Martine ne déroge pas  : ne jamais prendre la voiture pour aller à Tossiat ou à la Vavrette. Elle mange le plus possible local et achète donc à proximité. Il lui arrive même d’aller s’approvisionner à la ferme Dienet (Saint-Paul-de-Varax) en vélo.Pendant cinq ans alors qu’elles ensei-gnaient dans la même école, elle a covoituré avec Babette  : « C’est comme ça qu’on a créé des liens d’amitié. »

Marie-Christine et le vélo électrique

Marie-Christine utilise son vélo électrique pour tous ses déplacements dans le vil-lage. Elle s’en sert également pour aller à Bourg  : «  J’ai mon circuit, par Monta-gnat, Bouvent et la voie verte. Je mets entre 30 et 45 minutes. Il faut prévoir le temps.  » À propos de temps, Marie- Christine préfère quand il est beau : « Je n’en suis pas encore à sortir mon vélo dans les intempéries, ça viendra peut-être… ».

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Vie intercommunale

Fiscalité : harmonisationdes tauxLe conseil communautaire a fixé les taux des taxes locales (taxe d’habitation, foncier bâti et non bâti) et approuvé les abattements. Cela se traduit par une augmentation ou une baisse du montant de l’impôt de quelques euros par foyer.

Gratuité d’accès à la plagede la plaine toniqueÀ partir de 2018, les habitants des 75 communes de CA3B auront accès à la plage sur présentation d’une carte individuelle nominative en cours de validité. 

Cours de natationDepuis septembre, CA3B finance des séances d’enseignement de la natation à tous les élèves de CE1. En 2019, les CM1 bénéficieront également de sessions. Les enfants de notre école devraient donc tous en profiter au cours de leur scolarité.

Les points info emploi accueillent les habitants de l’ensemble de l’Agglomé-ration. Cinq conseillers et une équipe de bénévoles sont disponibles pour aider à la rédaction d’un CV ou d’une lettre de motivation, faire bénéficier de leur réseau ou encore orienter vers les organismes compétents. Renseignements auprès de la responsable, Muriel Bansillon au 06 87 02 61 81.

La Station facilitevos déplacementsL’agence de mobilité basée en gare de Bourg-en-Bresse propose des locations de vélos (traditionnel ou à assistance électrique), la vente de tickets pour le réseau de transports urbains de Bourg-en-Bresse et plus largement des informations sur les transports et la mobilité.

Les travaux de la voie verte sont lancésCA3B aménage l’emprise foncière de l’ancienne ligne de chemin de fer Bourg-en-Bresse/Chalon-sur-Saône pour y créer une voie verte. Dans un premier

La communauté d’agglomération du bassin de Bourg-en-Bresse (CA3B) est née le 1er janvier 2017. Elle est issue de la fusion des intercommunalités de Bourg-en-Bresse, Bresse-Dombes-Sud- Revermont, Coligny, La Vallière, Montrevel-en-Bresse, Saint-Trivier-de-Courtes, Treffort-en- Revermont et du syndicat mixte Cap3B. L’agglomération exerce toutes les compétences qui étaient celles des intercommunalités fusionnées. Les premières actions concrètes se sont mises en place.

Une nouvelle intercommunalité au service des habitants

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L’école de musique communautaire change de nom et devient école de musique BDR !

École de musique communautaire

L’école de musique, basée à La Tranclière, accueille tout le monde à partir de 4 ans pour un voyage musical riche et varié. L’école est une entité bien structurée avec :- 10 professeurs pour un large choix d’instruments enseignés - cours d’éveil et de formation musicale - un parcours découverte instrumental à partir du CP - de nombreux orchestres et ensembles instrumentaux qui travaillent autour de projets variés - un chœur adulte

Des cours et des ateliers dispensés dans les six villages de l’ancienne communauté de communes BDSR : Saint-Martin-du-Mont, Tossiat, Journans, Druillat, Certines et La Tranclière. Pour cette année scolaire, l’école de musique travaille autour du thème « Corps et mouvement » et ouvrira la semaine « Culturiosités » 2018, le samedi 28 avril à 18 heures à la salle des fêtes de Tossiat. Participation exceptionnelle des élèves de l’école de musique, de leurs professeurs et

du groupe de musique irlandaise festive « Noir Houblon » Nul doute que cette structure dynamique, avec une équipe professionnelle et des bénévoles enthousiastes saura trouver sa place dans la nouvelle agglomération !

Chiffres clés- 133 000 habitants- 75 communes- 119 élus au conseil communautaire, 15 vice-prési-dents et 10 conseillers délégués- 600 agents qui dépendent de quatre directions générales  : économie/attractivité, infrastructures/aménagement, ressources/moyens, proximité

Parmi les équipements et services de proximité gérés par la nouvelle agglomération :- 6 multi-accueils,- 2 micro-crèches,

- 6 relais assistant.e.s maternel.le.s,- 9 centres de loisirs,- 10 déchetteries,- 25 parcs d’activité économique,- 2 terrains de rugby,- 8 terrains de football, - 7 gymnases.

Les équipements qui rayonnent sur l’ensemble du territoire : la piscine Carré d’eau à Bourg-en-Bresse, la Plaine tonique à Montrevel-en-Bresse, le conser-vatoire à Bourg-en-Bresse (musique et théâtre).

Contact et renseignementsMathilde Lagrange au 06 70 01 96 52ou math.lagran@gmail.com

temps, les travaux concernent un premier tronçon de 11,5 km jusqu’à Jayat avant à terme un prolongement vers la base de loisirs de Bouvent à Bourg-en-Bresse. La voie sera réservée aux piétons et aux cyclistes qui pourront circuler en toute sécurité. Une voie verte est également à l’étude entre Ceyzériat et le plan d’eau de Chambod.

Eau et assainissement  Comme la loi l’y oblige, un travail est actuellement mené pour la reprise de compétence de l’eau et de l’assainisse-ment par l’agglo. À terme cela devrait conduire à une harmonisation du prix sur l’ensemble de l’agglo, sachant qu’à Journans, nous sommes dans la moyenne plutôt basse en ce qui concerne le prix de l’eau potable, et la moyenne plutôt haute en ce qui concerne l’assainissement.Pour en savoir plus rendez-vous sur : www.ca3b.fr

Répétition avec Yannick Pirri pour le projet jazz et gourmandise. Mai 2017

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Divers et variés

Lotissement du Domaine du MoulinLes travaux d’aménagement s’achèvent.

Toutefois, il n’est pas neutre sur le plan financier pour notre commune, de l’ordre de 130  000 € (HT et hors subvention), et nous vous devons de vous présenter ce projet.Quelles sont les raisons qui ont motivé cette décision :- le nombre d’emplacements libres dans l’ancien cimetière devient limité- nous ne disposons pas d’espace cinéraire, ni d’ossuaire, tous deux obligatoires- un nombre de plus en plus important de personnes souhaitent être incinérées et nous ne disposons pas de colombarium, ni de jardin du souvenir.Une première ébauche avait été étudiée sur la face sud de l’ancien cimetière, mais compte tenu de la pente immédiate du terrain, cela nécessitait de faire un grand mur de soutènement, relativement onéreux, et très visible du village.Une deuxième solution a été étudiée au-dessus du cimetière actuel. Pour mener à bien ce projet nous nous sommes entourés d’une assistance à maître d’ou-vrage (l’Adia du Conseil départemental), du CAUE de l’Ain (conseil en architecture urbanisme et environnement), et plus récemment d’un maître d’œuvre, le bureau d’études Infratech de Revonnas.Nous vous présentons ci-contre le fruit de nos réflexions.

Cimetière

Après la réalisation des travaux de viabili-sation en 2014/2015 et la construction des premières maisons, les travaux de finition des voies de circulation, des trottoirs en béton désactivé et du cheminement piétonnier (platelage en bois) se terminent en cette fin d’année 2017.La cession des lots à construire s’est faite progressivement : trois lots demeurent à la vente. Chaque acquéreur a pu bénéficier des conseils et d’un avis du CAUE de l’Ain en respectant un cahier des charges établi dans le cadre du permis d’aménager.La commune a conservé un lot à l’entrée de cette opération permettant de disposer

d’une réserve foncière pour l’accueil éventuel d’un futur équipement public.Le programme de construction de 14 logements locatifs a été lancé par Dynacité mi-2017. Il est réparti en deux bâtiments distincts qui accueilleront respectivement 6 et 8 logements. Leur construction s’achèvera à l’automne 2018 pour une mise en service fin 2018. Ils sont constitués de 5 appartements de type T2, 5 de type T3 et 4 de type T4.Un lot restera, potentiellement, destiné à un dernier bâtiment locatif, la date de réalisation n’étant pas arrêtée pour l’instant.

À en juger par le nombre de participants à la présentation publique de l’aménagement du cimetière, le 24 novembre dernier - trois personnes en dehors des élus - il semble que ce dossier intéresse peu les habitants.

Colombarium

Nouvelles

tombes

Espace

cinéraire

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Les pompiersL'assemblée générale de l'amicale des sapeurs-pompiers de Tossiat a lieu tous les ans début février.

Depuis près de 3 ans, la municipalité s’est engagée dans la réalisation d’un atlas de la biodiversité communale.

L'occasion pour le bureau de tenir informés ses membres et de faire le point sur les manifestations passées et à venir.L'assemblée va aussi se pencher sur les coûts des mesures adoptées l'année précédente.Pour ses 25 ans, notre concours de pétanque a retrouvé le soleil sous les premiers accords de guitare du groupe Undercover, cette éclaircie musicale a fait sortir la population et les poulets ont fini par manquer !!!Il était prévu de renouveler le drapeau de la compagnie, usé par des années de service, à l'heure où j’écris ces quelques lignes, son successeur est en cours de réalisation.L'amicale organise un voyage tous les 3 ans, en 2018, les amicalistes et leurs familles s'envoleront pour Amsterdam.

Une première phase de diagnostic, comprenant un état des lieux de la connaissance de la biodiversité communale, puis des inventaires de la faune et de la flore locale ont été réalisés. Une troisième phase consistait à faire des choix sur le plan des actions à mener par la suite, sachant que l’accompagnement de la Frapna ne va pas au-delà de 2017.Le plan d’action communal pour la biodiversité (PACB) validé par le conseil le

25 septembre 2017, s’articule autour de 5 axes :Connaître  : continuer d’améliorer la connaissance, en réalisant des cartogra-phies plus fines des espaces à enjeux, et en alimentant le site Faune Ain (voir page 30). Gérer et restaurer : favoriser la reprise du vignobleProtéger  : inscrire les sites remarquables dans les documents d’urbanisme. Certains sont déjà inscrits dans notre PLU, tels que la ripisylve (végétation de bordure de la Reyssouze et du bief de Challix).Sensibiliser et former : communiquer sur le patrimoine naturel de Journans.C’est dans cet esprit qu’une soirée a été proposée cet automne sur l’analyse de pelotes de réjection des rapaces nocturnes.Coordonner et évaluer  : poursuite de l’action en créant une commission ad hoc au sein du conseil municipal et avec des habitants volontaires.

Refaire un diagnostic dans 10 ans pour mesurer l’évolution de cette biodiversité, afin d’enrichir la connaissance de la faune et de la flore.

Une assemblée studieuse

Atlas de la biodiversité

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Midi, ce dimanche 3 décembre, les convives du repas du CCAS sont contents de se retrouver pour cet après-midi convivial. On se salue, on échange des nouvelles, on bavarde, on rigole… Après la photo de groupe tout le monde s’installe à table pour l’apéritif. Le froid est resté dehors, la salle et la table sont superbes  : le club du 3e art a accroché ses tableaux au mur et confectionné les menus. Quant aux enfants de l’école, ils ont fabriqué les très jolies décorations de la table et ont offert à chaque invité.e une boule à neige originale.

C’est André Tonnellier qui a souhaité la bienvenue aux 28 retraités présents  : il a excusé Gérard Seyzériat, opéré de la hanche de fraîche date, qui ne pouvait pas être présent. L’adjoint au maire a également rendu hommage aux deux absents de cette fête 2017, Alfred de Filippis et Lucien Guyon.

Entrée, plat, fromage, les conversations allaient bon train puis ont laissé place au théâtre. Pour changer un peu, cette année, la municipalité avait choisi d’animer le repas par un spectacle de théâtre. La compagnie amateur L’écho des Hameaux de Druillat a joué une comédie vaudevillesque à trois personnages.

Le menu a été couronné par un sabayon aux fruits frais, papillotes et clémentines. Et la journée a fini, bien sûr, par des chansons…

Un repas très théâtralComme chaque année, les seniors de Journans se sont retrouvés autour de la table de Noël à la salle communale. Une occasion d’être ensemble, de discuter, de prendre des nouvelles.

Agenda 2018Dimanche 2 décembre : repas du CCAS

Les enfants de l’école ont confectionnéune décoration magique

Repas du CCAS

La troupe de Druillat a bien amusé les convives avec « Anniversaire au self »

Marcelle Ballet, heureuse gagnante du tirage au sort, repart avec un tableau réalisé par

Élise de Filippis à l’atelier du 3e art

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Biodiversité

Un long compagnonnageLes abeilles étaient présentes sur la pla-nète bien avant l’espèce humaine. On a retrouvé des spécimens dans l’ambre – une résine fossile - datant de 100 millions d’années, alors que les primates humains sont là depuis 3 à 4 millions d’années et l’Homo sapiens – notre espèce actuelle – seulement depuis 2 à 300  000 ans  ! Bien plus récents, les premiers rapports entre l’homme et l’abeille remontent à moins de 10  000 ans comme en témoignent plusieurs dessins rupestres. Depuis, cette relation n’a jamais cessé  : cueillette du miel dans les forêts, confection d’abris de toutes sortes, coexistence d’empirisme

et de découvertes scientifiques : tous les stades y sont passés pour aboutir à ce qu’est l’apiculture contemporaine. Un âge d’or qui a perduré jusque dans les années 1980. Puis tout a commencé à mal aller.

Le déclin des abeillesLe nombre de colonies en France et plus généralement en Europe diminue depuis quelques années de façon inquiétante, obligeant de plus en plus d’apiculteurs à cesser leur activité. Avec des taux de mortalité allant jusqu’à 80% dans certaines régions, le «  syndrome d’effondrement des colonies  », observé depuis les années 1990, a des impacts

de plus en plus marqués sur le secteur apicole, plus largement sur l’agriculture et sur l’ensemble de la biodiversité. Les scientifiques ont du mal à préciser les raisons de ce drame silencieux. Parmi de multiples causes, la principale est l’emploi massif de molécules insecticides aux noms barbares, du genre néonicotinoïdes. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, frelon asiatique, varroa et autres coléoptères parasites des ruches viennent s’ajouter à la funeste liste.Face à ces agressions multiformes, les colonies voient leurs populations fondre rapidement et les maladies envahir les ruches affaiblies. Sans compter d’autres facteurs comme la disparition des haies

Les abeilles, de précieuses alliéesNotre relation millénaire avec l’abeille connaît aujourd’hui une brutale évolution et met en évi-dence un paradoxe étonnant. Jamais le public n’aura montré autant de sympathie pour cet insecte, fournisseur de miel et reconnu comme indispensable pour la planète et ses occupants. Malgré cela, jamais son avenir n’a été aussi sombre. D’un côté, des discours pavés de bonnes intentions, de l’autre, une réalité alarmante.

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Biodiversité

et des prairies permanentes, riches en plantes mellifères, les aléas climatiques de plus en plus fréquents ou l’urbanisation galopante.Les produits de traitement des grandes cultures, bien que reconnus nocifs pour les abeilles (et les hommes) ont le plus grand mal à être éradiqués. Les lobbies de l’agrochimie sont puissants, les enjeux économiques forts et leur remplacement difficile tant ces pesticides sont ancrés dans les systèmes de culture. Parce qu’elle est connue, respectée, popu-laire et qu’elle fournit le miel, la tendance est de ne se préoccuper que de l’abeille mellifère. Toutefois, seule à être élevée en Europe, elle ne représente qu’une espèce, parmi les 20 000 présentes dans le monde et les quelque mille espèces sauvages d’abeilles vivant en France. Les scienti-fiques avancent des chiffres très inquié-tants pour ces populations peu visibles, beaucoup moins connues, et pourtant également menacées, comme d’ailleurs tous les pollinisateurs, papillons compris, et même les oiseaux et les chauves- souris…

Maçonnerie et charpente : des artisans ailés à JournansParmi les centaines d’espèces d’abeilles au sens large, y compris la vaste famille des utiles bourdons, intéressons-nous à deux inoffensives abeilles sauvages indigènes, très communes à Journans  : l’abeille maçonne, ou osmie, et l’abeille charpen-tière ou xylocope, toutes deux dites « soli-taires  ». Elles ont en commun d’indiquer l’arrivée du printemps  : ce sont elles que l’on voit voler aux premiers beaux jours. Elles féconderont les premières fleurs bien avant les autres pollinisateurs. Utiles au potager et au verger, il est important de les protéger. L’abeille maçonne est velue, noire et rousse. Dès mars-avril, elle recherche de petites cavités de toutes sortes. Heureuse-ment pour elles, il existe encore pas mal de murs non jointés à Journans, une oppor-tunité pour leur habitat  ! L’osmie collecte de la terre qu’elle humidifie avec sa salive et confectionne un ciment avec lequel elle construit des compartiments. Dans ces al-véoles, elle déposera ses œufs, du pollen et du miel en guise de provisions pour les futures larves. On peut faciliter l’installa-tion de cette abeille en perçant dans un morceau de bois des trous d'un diamètre de 7 mm et de 6 cm de profondeur. Ins-tallé dès le mois de mars en hauteur, ce nichoir accueillera bien vite ses hôtes, qu’il sera passionnant d’observer. L’abeille charpentière, de son nom xylo-cope, est un bel insecte de grande taille

Abeille charpentière ou xylocope.

Capture d'un essaim dans une ruchette. Lors de l'essaimage, les abeilles sont douces...

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aux reflets bleu-violacés. On l’appelle ainsi car elle creuse son nid dans du bois déjà dégradé. Son vol bruyant peut im-pressionner  ; toutefois, comme l’osmie, elle n’est nullement agressive, sauf si on s’amuse à la presser entre les doigts ! Avec le frelon, c’est un des plus grands Hymé-noptères d’Europe. De vieux morceaux de bois tendre disposés en hauteur dans un coin du jardin lui conviendront. La femelle pourra y construire son nid en ménageant plusieurs galeries parallèles divisées en loges par des cloisons de sciure mélangée à de la salive. Dans chaque compartiment, elle pondra un œuf et laissera une provi-sion de pollen et de miel pour nourrir la larve, jusqu’à ce qu’elle se transforme en nymphe puis en adulte, prêt à s’’élancer dans les airs.

Les pollinisateurs, des agents indispensablesLa plupart des plantes à fleurs nécessitent, pour leur pollinisation - donc leur repro-duction - l’intervention d’un agent inter-médiaire : vent, eau, insecte ou oiseau. La pollinisation des plantes sauvages, phéno-mène d’une grande discrétion, est essen-tielle pour le maintien des espèces et de la diversité génétique végétale. Les insectes pollinisateurs, surtout les abeilles, sont en grande partie à l’origine de cette biodiver-

sité. Plus de 80 % des fleurs sauvages et 70 % des plantes cultivées - au total des milliers de végétaux - dépendent de ces précieux auxiliaires.Aujourd’hui, des ruches d’abeilles et de bourdons sont fréquemment introduites dans les cultures de fruits et de légumes, afin d’en améliorer la quantité et la qualité.

L’abeille, un indicateur biologiqueEn observant dans le miel les grains de pollen, les chercheurs peuvent identifier les plantes d’une région et en évaluer la diversité. Par des analyses appropriées, ils obtiennent aussi de précieuses indica-tions sur la qualité de l’environnement : présence ou absence de polluants atmos-phériques et autres substances nocives (pesticides, métaux lourds), contami-nation nucléaire, etc. Ainsi, les abeilles rendent doublement service à l’homme : en plus du miel, elles jouent un rôle de sentinelles dans la production agricole et la vie des écosystèmes.

Entre alarmisme et réalisme : la voie de la sagesse ?Ce déclin généralisé des abeilles met en évidence les conséquences désastreuses d’une agriculture intensive où seul le pro-fit domine. Heureusement, de plus en plus d’agriculteurs s’inscrivent dans le dévelop-pement d’un modèle différent, mettant en avant la diversification des productions, la limitation des intrants chimiques et la mise en œuvre de techniques de culture respectueuses du sol. Les voies pour pré-server les équilibres menacés sont semées d’embûches, mais tout doit être entrepris pour éviter le pire. À l’échelle du village de Journans, entre pierres, lieux de verdure et jardins, chacun peut apporter sa contri-bution en préservant ces agents discrets et nécessaires au maintien de la diversité biologique.

Non, ce n'est pas du tout une guêpe, mais une inoffensive Anthidie cotonnière, apportant un amas de poils végétaux pour en revêtir son nid dans une tige creuse.

Différentes espèces d'abeilles sauvages viennent nicher dans cet hôtel à abeilles. Facile à construire, ce nichoir permet d'observer ces insectes facilement. Ceyzériat.

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Le Sou des écoles a pour objet de collecter des fonds pour permettre aux 32 enfants de 21 familles de faire des sorties scolaires, avoir de nouveaux livres ou jeux pour la garderie, des instruments de musique etc. et faire des réserves pour de plus grands projets (classe verte). Bref pour permettre aux enfants de découvrir de nouvelles choses.Le Sou finance également un spectacle de Noël et un défilé de carnaval.Cette année, il y a un peu de changement. À l’école tout d’abord avec l’arrivée d’un nouveau maître et une nouvelle cantinière que nous sommes très heureux d’accueil-lir, mais aussi au bureau où l’équipe conti-nue de se renouveler (voir encadré).Pour autant, nous ne changeons pas une formule qui marche avec l’organisation de nos deux événements phares :La vente de tartes cuites au feu de bois  : une nuit de labeur (et de franche rigolade il faut bien le dire !) qui soude l’équipe et permet aux gourmands de se régaler. Mer-ci encore à la Saint-Valérien qui nous prête généreusement son four tout confort et sans laquelle tout cela ne serait pas pos-sible !L’Escrapade, le petit trail qui est devenu grand, fêtera cette année sa 14e édition  !

Retour sur la 13e édition de l’Escrapade Encore un soleil radieux pour cette édition et le dicton des anciens organisateurs se vérifie : « Il fait toujours beau pour l’Escra-pade » !Du coup, plus de 400 coureurs étaient au rendez-vous pour sillonner la cam-pagne revermontoise, ce qui a provoqué quelques embouteillages à l’inscription (des embouteillages, un comble à Jour-nans !).Des records d’affluence, mais aussi des records sportifs puisque Rémi Voisin remporte pour la deuxième fois consé-cutive le 18,5 km améliorant son record de près de 2 min (1 h 13 min 47 s contre 1  h  15  min  26  s) tandis que, sur le 9 km, Jérémy Levasseur en 38 min 4 s succède à Mathieu Venet, vainqueur en 2015 et 2016 et passé cette année au 18,5km.L’Escrapade n’est pas qu’une manifesta-tion du Sou des écoles, mais du village tout entier avec l’investissement de nom-breux villageois et d’anciens du Sou. Ce qui permet à l’Escrapade de continuer d’exister vu l’ampleur que prend cet évé-nement. Ainsi, l’espace d’un dimanche,

Le Sou des écolesFort de ses 360 habitants, Journans a su garder sa petite école rurale qui permet d’animer la vie du village. Le Sou est là pour aider à la faire vivre…

Agenda 2018 :

Défilé du carnaval dimanche 4 mars 2018Escrapade dimanche 8 avril 2018Vente de tartes cuites au feu de boissamedi 20 octobre 2018Vente de calendriers (pour voir la bouille de nos écoliers) début décembre 2018

Infos pratiques sur notre site : escrapade.free.fr

Associations

Nous tenons à remercier tout particu-lièrement notre ancienne présidente Chantal Bourbon qui a fait vivre notre association grâce à sa bonne humeur et son investissement sans faille !Le nouveau bureau du Sou : Alexandre Capel, président, Olivier Guyonnet, vice-président, Cédric Hamonet, tré-sorier, Estelle Charnaux, secrétaire.

Chantal à la sortie au parc des oiseaux

nous avons plus que doublé la population de Journans !C’est pourquoi nous tenions à tous vous remercier :merci à tous les bénévoles, parents, famille, amis et habitants de Journans,merci à Pierre Romain, médecin de course, qui a pris le relais de Coralie Guichard qui, après plusieurs années d’astreinte, avait elle aussi envie de courir !merci aux pompiers de Tossiat,merci à la mairie, à tous nos sponsors et notamment Le Petit Campagnard et les commerçants et entrepreneurs de Tossiat.

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Une volonté de changement pour continuer de surprendre et de proposer au public de nouvelles découvertes et rencontres.

Au final, une édition qui fera date, et un résultat époustouflant.

La magie et la poésie du parcours avec les sculptures de papier de Karine Chantelat, mises en lumière par le peintre éclairagiste Claude Husson.

Les artistes témoignant tous leur recon-naissance pour l'accueil, l'organisation et l’ambiance si particulière des Journan-dises.

Un public incroyablement nombreux.

Un programme musical varié et de grande qualité.

Des pauses gourmandes qui n'ont pas désempli.

Un grand merci aux habitants et aux nombreux bénévoles.

Les Journandises 2017 - 11e édition« PAPIER D’HIVER »

www.journandises.com

25 expositions, 120 bénévoles, plus de 3  000 visiteurs, 1000 bougies, un lâcher de 100 lanternes, 1 km de ru-ban blanc déroulé dans les rues, 5 km de papier découpé et des milliers de petits nœuds réalisés...

Associations

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Inscriptions tout au long de l'année  ! Pour débutants et initiés, guidés dans leur démarche créative  au cours : - d'ateliers réguliers où chacun suit son projet (pour le travail de la terre) : séances à la demi-journée ou à la journée, le jeudi, vendredi ou samedi matin selon un calendrier pré-établi. - des stages ponctuels à thème pour ou-vrir à de nouvelles techniques.L'année a été marquée par un essor des ateliers réguliers. 8 stages ponctuels ont

eu lieu allant de la soudure, au fil de fer, en passant par la cuisine orientale ou le des-sin à partir de modèle vivant. Des inter-ventions scolaires ont eu lieu à Certines, Saint-Martin-du-Mont et Bohas. À noter, la participation, en mai, à l'exposition Art Cité de Bourg et à Culturiosités, l'événe-ment culturel de BDSR. L'originalité de 2017, c'est l'accueil d'une résidence d'artiste  ! Début octobre, Christina Zofall Wilson, artiste feutrière, a fait une recherche de modèles pour Trem-plin, visant à intégrer le feutre dans sa gamme de créations de mode, en vente à la boutique Frip'One de Bourg-en-Bresse. Belle aubaine pour proposer une initia-tion aux enfants de l'école de Journans : il leur a été donné les gestes de base pour faire du feutre avec la laine de mouton. La réalisation d'un bracelet coloré a servi de support pédagogique.

Depuis septembre les membres de cet atelier ont repris leurs pinceaux avec plai-sir et enthousiasme.Cette année, dans le cadre des « Culturio-sités » nous avons réalisé des tableaux sur le thème de l'abeille. Ils ont été installés à Druillat sous un vieux lavoir situé sur le cir-

cuit de la balade gourmande. Ils ont servi ensuite à décorer la salle communale lors de la conférence «  L'homme et l'abeille  : un long compagnonnage » organisée par la bibliothèque avec la participation de Philippe Marchenay.En octobre dernier, 8 panneaux ont été

mis à notre disposition pour accrocher nos aquarelles, acryliques et pastels à l'oc-casion de la journée culturelle, exposition organisée par la municipalité de Péronnas.Pour le repas de fin d'année du CCAS, comme depuis de nombreuses années, les menus sont illustrés avec nos créations.

La Table des matières

“L’atelier du 3e art”

La Table des matières, atelier d'expression artistique, déploie ses activités 125, rue Neuve à Journans. La 4e assemblée générale s'est tenue en août. Avec 70 adhérents, l'association poursuit sur sa lancée

Agenda 2018 :

Programme sur www.latabledesmatieres.frcontact@latabledesmatieres.frM-Th. Ballet – au 06 10 30 97 89

Saint-Jean 2017

Le samedi 24 juin ont eu lieu les tradition-nels feux de la Saint-Jean. Le beau temps était de la partie car depuis un mois pas une goutte d'eau et ce printemps très sec nous a même posé question. Mais tout s'est déroulé comme à l'accoutumée avec cependant un feu moins conséquent.Nos deux experts de la fabrication des gaufres à l'ancienne ont régalé les plus gourmands et la buvette a permis à tous de se rencontrer. Cette année, la toute jeune Emmy est venue avec sa voix cha-leureuse nous interpréter des ballades en

français et en anglais en s'accompagnant de sa guitare. Un très agréable moment et une jeune fille pleine de promesse. Les enfants n'ont pas été oubliés et ont pu allumer leurs lampions multicolores. Mais la pluie (tant attendue pour certain) est venue abréger la soirée vers minuit. Dame nature avait donc décidé que tout le monde irait se coucher de bonne heure et comme on ne peut rien contre la nature...Rendez vous le 23 juin 2018 pour une nou-velle édition.

Amicale de la Saint-Jean

Agenda 2018 :Saint-Jean : 23 juin

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80 repas ont été vendus et les sachets de petits fours faits maison ont connu leur succès habituel. Les « plus frileux » ont ap-précié le vin chaud offert par l’association.

Pour un moment de convivialité avec tous ceux qui ont contribué à la bonne réussite des différentes manifestations, un repas au Petit Campagnard a été organisé le 11 juin et a réuni une vingtaine de personnes.

La fête de la Saint-Valérien a eu lieu les 2 et 3 septembre 2018.Le samedi matin, tout le monde s’est attelé à la confection des tartes qui se sont bien vendues, surtout les oignons.Malgré la fraîcheur du soir, les habitués se sont déplacés pour apprécier le menu lasagnes et les jeunes ont profité du bal animé par « Grobi » pour la dernière année.La buvette n’a pas désempli.

Saint-ValérienLe repas de la Saint-Vincent a eu lieu le 22 janvier 2017.

Agenda 2018 :

Pour la Saint-Vincent le dimanche 21 janvier  : repas à emporter, petits gâteaux maison

Pour la fête de la Saint-Valérienles 1er et 2 septembre

Le dimanche, la messe de Saint-Hubert à l’église de Journans a permis au comité paroissial de Tossiat-Journans de changer de cadre et tout le monde a apprécié l’apé-ritif à la Reyssouze offert par l’association.

Les ateliers vannerie et travaux divers pro-posés en hiver ont permis aux adeptes de passer des moments agréables.

Encore merci à tous ceux qui permettent que les différents manifestations se passent au mieux.

La présidente, Françoise Vernoux

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Associations

C’est presque devenu une habitude. De temps à autre, des musiciens posent leurs instruments à Journans, sur la place ou en salle selon la saison, et nous invitent à un moment d’écoute. Faisant abstraction des plans de communication qui accom-pagnent (voire dépassent) n’importe quel spectacle, ce type de concert invite à la découverte et à la rencontre. 2017 n’a pas échappé à cette jeune tradi-tion, avec la venue de Gaëdic Chambrier - l’homme aux 22 guitares - le 12 février et du trio Cielo Tisu pour une soirée cubaine le 5 août. Pas de projet précis pour 2018, mais qui sait, une surprise est toujours possible.

Association Sarabande

De concerts en récital

L’amicale des donneurs de sang de Tossiat-Journans a pour but de promouvoir le don du sang et de sensibiliser la population aux besoins quotidiens des malades.Donner son sang est un acte généreux, solidaire et responsable qui permet de soi-gner chaque année 500 000 malades.

Pour sauvez-des vies, donnez votre sang !L’EFS rappelle que les dons de sang doivent être réguliers et constants car la durée de vie des produits sanguins est li-mitée (5 jours pour les plaquettes, 42 jours pour les globules rouges). 10 000 dons de sang sont nécessaires chaque jour pourrépondre aux besoins des malades dans le pays.En 2016, 166 donneurs - dont deux nou-veaux – se sont présentés aux collectes de Tossiat. Pourquoi pas vous ?

Pour donner, il faut :• être âgé de 18 à 70 ans• être en bonne santé• peser au minimum 50 kg• être reconnu apte au don par un médecin de l’Établissement français du sang (EFS)• ne pas être à jeun• présenter une pièce d’identité (pour un premier don).

Toute personne est bienvenue au don du sang – sous réserves des contraintes liées à la sécurité des patients et des don-neurs. C’est pourquoi avant chaque don un entretien confidentiel est réalisé par un médecin de l’EFS.

Amicale des donneurs de sangde Tossiat-JournansLe don du sang : un geste indispensable

Agenda 2018 :

Assemblée générale - Samedi 27 janvier à 18 h00Salle des associations de TossiatSuivie du repas des donneurs de sanget amicalistes

Thé dansant - Dimanche 25 févrierL’amicale donne rendez-vous aux danseurs de Tossiat, Journans et des autres villages.

Les collectesMardi 6 février - Mardi 29 maiMardi 31 juillet - Mardi 13 novembreSalle des fêtes de Tossiat

DOSSIER : Petit tour de la forêt

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DOSSIER

À l’époque néolithique la forêt recouvrait plus de 75 % du territoire. En quelques siècles, à l’époque gallo-romaine, un gros travail de défrichement va être entrepris pour transformer les forêts en terres culti-vables. Défricher était faire œuvre de civi-lisation. Ce déboisement va se poursuivre jusqu’au XIXe siècle pour subvenir aux besoins de la construction, du chauffage, des forges, de la marine : jusqu’à ce que la forêt ne représente plus que 12 % du terri-toire sous la Révolution.Suite à la Révolution, les grandes forêts appartenant autrefois à la noblesse et au clergé, reviennent à l’État. Les paysans les investissent pour s’y procurer du bois et faire paître leurs animaux. Devant cette exploitation anarchique, l’État confie la gestion des forêts aux communes, sous le contrôle d’une administration centralisée.

De la forêt naturelle à la forêt artificielleEn 1824, une ordonnance crée l’école forestière de Nancy, qui a pour mission de former des cadres de la gestion fores-tière. Une science est née : la sylviculture, qui s’inspirera largement du modèle alle-mand. La futaie régulière à régénération naturelle, avec des coupes d’améliora-tion successives sera le modèle privilégié. Une nouvelle conception de la gestion forestière s’imposera, incompatible avec le pâturage des animaux en forêt, ce qui engendrera des conflits parfois violents entre forestiers et agriculteurs qui trou-vaient dans la forêt en période de sèche-resse une source de nourriture pour les animaux.

Des inondations catastrophiques en 1850 qui déciment le sud de la France font prendre conscience d’un rôle écologique de la forêt : la régulation de l’écoulement des eaux. L’exemple le plus célèbre fut le reboisement du massif de l’Aigoual dans les Cévennes. À partir de 1830, et sous Napoléon III, les plantations vont s’accélé-rer, d’autant plus que la nation a besoin de bois, pour les mines, puis le chemin de fer.La forêt va ensuite souffrir de plusieurs guerres successives, gourmandes en bois. La Première Guerre mondiale pour la construction des tranchées ou tout sim-plement à cause du bombardement des forêts, et la Seconde Guerre mondiale en raison de la réquisition par l’envahisseur de millions de m3 de bois. Ce n’est vérita-blement qu’après la Seconde Guerre mon-diale que la forêt va connaître un essor

Vénérée par les uns, crainte par les autres, peuplée de légendes et d’animaux sauvages, voire de brigands, la forêt a toujours fasciné l’homme et excité son imaginaire. Elle a parfois été son refuge, a fourni chauffage, bois de construction, champignons, litière ou nourriture pour les animaux. L’exploitation en a été parfois désordonnée, voire conflictuelle.

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DOSSIER Petit tour de la forêtimportant, grâce à la création, en 1946, d’un fonds forestier national permettant la replantation de 2 millions d’hectares, favorisée par le début de la déprise agri-cole, pour arriver au niveau de boisement actuel équivalent à celui du Moyen Âge (35 % de boisement). Cette forêt, soumise à la demande industrielle de plus en plus forte pour la reconstruction du pays, est essentiellement constituée de résineux. Grâce aux progrès de la science sylvicole, de nouvelles variétés qui ont un cycle de croissance plus rapide font leur apparition : le sapin de Douglas, le chêne rouge amé-ricain. De grandes superficies en mono-espèce seront plantées. Cette politique atteindra ses limites lors de la tempête de 1999 qui verra de nombreuses forêts rava-gées où les arbres tomberont comme des quilles.

De la monoculture à la forêt jardinée En ce début du 3e millénaire, de nouvelles fonctions de la forêt vont se faire jour :- la forêt espace de détente et de nature pour une population de plus en plus cita-dine- la forêt refuge de la biodiversité- plus récemment la forêt puits de carbone pour faire face à l’augmentation du taux de gaz carbonique dans l’air.

La forêt de JournansLa forêt communale de Journans est gé-rée depuis 1892 par le service des Eaux et forêts, devenu Office national des forêts (ONF) en 1964. Elle était exploitée en tail-lis sous futaie et divisée en 33 parcelles de taille identique. Un quart de la surface était en réserve pour financer des besoins exceptionnels de la commune (école, mai-rie, eau potable…). Le reste, c’est-à-dire environ 25 parcelles était exploité pour les besoins en bois de feu des habitants. La mise en lumière brutale lors des coupes faisait des arbres de mauvaise qualité avec l’apparition de gourmands sur les arbres conservés.

En 2016, l’ONF propose à la commune une nouvelle méthode de gestion de la forêt. Le nombre de parcelles est réduit à 12 et ne seront exploités chaque année que cer-tains arbres désignés par l’ONF sans mise à blanc. La fonction de production ligneuse reste prépondérante mais de nouvelles fonctions seront intégrées. La forêt sera désormais gérée sous le vocable de futaie irrégulière, nouveau mode de gestion des forêts publiques de feuillus. L’article 1 de l’arrêté préfectoral validant ce nou-veau plan de gestion est ainsi rédigé  : «  La forêt communale de Journans (Ain), d’une contenance de 47,61ha, est affectée prioritairement à la fonction de production ligneuse, tout en assurant la fonction éco-logique et la fonction sociale, dans le cadre d’une gestion durable multifonctionnelle ». En feuilletant les archives depuis la Révo-lution, on trouve de nombreux écrits qui mettent en avant l’importance qu’avait la forêt pour les habitants. C’était une valeur refuge, vers laquelle on se tournait dans les périodes difficiles : besoin de bois pour le chauffage, besoin de bois d’œuvre pour la construction, ramassage des feuilles pour la litière des animaux, châtaignes, champignons, glands. Mais tous ces usages ne peuvent se pratiquer sans éta-blir des règles.Le 29 prairial an 10 de la République, l’ins-pecteur des forêts des départements de l’Ain, du Rhône et de la Loire écrivait  au maire de Journans :  «  L’esprit d’indépen-dance poussé jusqu’au désordre pendant

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DOSSIER

la Révolution avait persuadé la plupart des habitants des campagnes, qu’en conqué-rant la liberté, ils avaient acquis le droit de tout détruire. Des agents… ont porté eux-mêmes le fer et la cognée dans les forêts communales… C’est pour faire cesser de pareils abus que les consuls ont soumis les forêts communales au même régime forestier que les forêts nationales… »Journans a toujours été une commune prompte à contester l’ordre établi. En 1816, une pétition des habitants deman-dait à extraire plus de bois de la forêt, car les récoltes avaient été mauvaises. De-mande qui sera renouvelée régulièrement mais qui sera systématiquement refusée par l’administration, sauf en 1821, pour la reconstruction de l’église.En revanche, les habitants avaient déjà une certaine conscience écologique, puisqu’en 1868, ils demandaient à la pré-fecture de conserver les châtaigniers. Refus de la préfecture car ils étaient trop vieux !La gestion de la forêt était régulièrement remise en cause par les habitants et l’est encore de nos jours. En 1884, le maire écri-vait au préfet en ces termes : «  M. le Maire expose que toutes les années des contes-tations s’élèvent au sujet de l’exploitation des coupes affouagères et qu’il est urgent d’y mettre un terme en réglementant les droits et les devoirs de chacun. »

Toutes les ressources de la forêt étaient utilisées, même les feuilles. En 1870, M. le Maire écrivait au préfet afin qu’il autorise les habitants à ramasser les feuilles dans la forêt pour la litière des animaux. Cette autorisation fut accordée, sous certaines conditions  : à la main, dans des sacs et seulement dans les fossés et à certaines périodes. Jusqu’à une époque récente (années 1990), la production de châ-taignes faisait l’objet chaque année d’une vente par adjudication en plusieurs lots.Le bois avait beaucoup de valeur pour les habitants. Les conflits n’étaient pas rares. Il arrivait parfois que l’on se vole le bois, ainsi en 1862 un procès-verbal avait été dressé à l’encontre des sieurs Barrachin,

Berger et Dupuis, pour avoir traîné deux fagots de bois dans la coupe exploitée.Aujourd’hui notre forêt est sous-exploi-tée et n’intéresse plus guère les habitants pour sa production de bois de chauffage. Les coupes affouagères ne trouvent plus preneur et certains arbres meurent de vieillesse (robiniers). Les causes sont mul-tiples : une population nouvelle ne maîtri-sant pas la coupe des bois ou sous- équi-pée en matériel, une énergie fossile bon marché, une forêt difficile d’accès car très en pente.En 2010, lors de l’aménagement foncier et forestier de la commune, des chemins d’accès ont été aménagés, avec places de retournement et places de dépôt. Cette accessibilité reste toutefois insuffisante, notamment aux grumiers (camions trans-porteurs), si bien que le coût d’extraction est parfois supérieur à la valeur intrin-sèque du bois. Une nouvelle place de dé-pôt, accessible aux grumiers, sera créée en 2018, au sommet de la forêt, en limite avec la commune de Saint-Martin- du-Mont. La capacité productive de la forêt est de l’ordre de 4 m3/hectare/an, soit un total proche de 200 m3/an. Elle est composée pour 30 % de chênes sessiles et pour 65 % d’une grande diversité de feuillus  : meri-siers, hêtres, charmes, érables sycomores, frênes, tilleuls, érables champêtres, ali-siers, châtaigniers, robiniers. Les résineux ne représentent que 5 % de la surface. Le plan de gestion adopté en 2016 a réduit le nombre de parcelles à 12 et vise une gestion des coupes de type irrégulier. La futaie et le taillis seront marqués en

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Le châtaignier : un arbre de notre forêt

Petit tour de la forêt

même temps en travaillant au profit des plus belles tiges d’avenir (feuillus). Dans la mesure du possible, le taillis sera exploité avant les grumes. Afin de canaliser le pas-sage des engins et d’éviter le tassement des sols, des cloisonnements d’exploi-tation d’une largeur de 4 m, sur lesquels on ne laissera pas croître de gros arbres, seront aménagés.

La forêt du futurEn mai 2017, un événement météoro-logique de type tornade, non anticipé par les services d’annonce préfectoraux, s’abattait sur le Revermont. Heureuse-ment, les conséquences ne furent que matérielles : toitures arrachées, arbres ren-versés, et pour ce qui nous concerne, une partie de la forêt dévastée. La commune a dû faire intervenir des entreprises spécia-lisées pour extraire le bois et le valoriser.C’est maintenant une certitude, les pé-riodes de sècheresse et les tempêtes seront de plus en plus nombreuses. Le changement climatique va modifier sé-rieusement l’aspect des forêts. Certaines espèces vont avoir du mal à se main-tenir  comme le hêtre. D’autres feront

sans doute leur apparition  : le mélèze, le cèdre. Le robinier ou faux acacia devrait s’étendre.La gestion de la forêt devra désormais prendre en compte ces nouvelles pers-pectives climatiques.

Même s’il est moins présent que dans certains massifs du sud (Cévennes, Corse, collines du Limousin…), le châtai-gnier occupe une place importante dans notre forêt. À Journans, on le trouve plus spécialement sur le flanc nord de la «  montagne  », notamment dans le sec-teur de la Balme, au-dessus de l’école. Les fruits de cet arbre, synonymes de repas des pauvres et qui ont alimenté la littérature d’une époque (« Sans famille » par exemple), sont toujours l’objet d’une curiosité et d’une attention particulière : marquant l’approche de l’hiver, ils se sont depuis longtemps insérés dans notre culture populaire. C’est avec des marrons qu’on fêtera Noël, leur récolte est tou-jours un moment de plaisir, on les mange avec joie dans les rues de nos villes et à Lyon ils ont donné leur nom à la grande vogue de la Croix-Rousse (de septembre à novembre).Historiquement, l'arbre serait arrivé chez nous via la Grèce et l'ltalie dès le pre-mier siècle après J.C. II y prospère alors en choisissant ses terrains de prédilec-tion en fonction de leur acidité, de leur

exposition, de leur altitude (rarement au-dessus de 600-700 mètres) mais surtout en fonction du climat : la température ambiante doit être chaude pour que la pollinisation se fasse dans d'excellentes conditions. Aussi, trés sensibles aux grands froids, les châtaigneraies furent-elles anéanties certains hivers rudes, notamment en 1685 dans les Cévennes, ou 1709 en Limousin ou durement éprouvées récemment en 1956.Si on a longtemps considéré la châ-taigne comme synonyme de pauvreté, c'est parce que ses lieux de consomma-tion correspondaient à des zones écono-miquement faibles. Cette considération a été renforcée par l'assimilation de cette nourriture à celle des porcs, animaux peu distingués… Cependant, même si elle n'a plus l'importance d'antan, la châtaigne a été une bienfaitrice de la Nation, permettant de « passer l’hiver » à de nombreux habitants de ces régions.À noter que jusqu’au milieu du XXe siècle, elle avait un intérêt particulier à Journans. Même si une parcelle importante de châ-taigniers était concédée à la commune

de Rignat, le mois d’octobre venu les gamins du village avançaient leur réveil, pour faire la cueillette avant l’école. Et surtout empêcher les «  Rignatons  » de leur ôter le marron de la bouche. L’histoire ne dit pas cependant si ces récoltes se terminaient à coup de châ-taignes…

Article écrit d’après les travaux de Claude Para-do et la tradition orale de Journans…

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Échanges

Depuis quand sommes-nousfrançais ?Le 17 janvier 1601, les ambassadeurs du roi de France, Henri IV, et ceux de Charles-Emmanuel, duc de Savoie, signaient le traité de Lyon par lequel les provinces de Bresse (et du Rever-mont), Bugey et pays de Gex étaient rattachées définitivement à la France. Le pays s’enrichissait ainsi de pro-vinces francophones admirablement situées sur les grandes routes du com-merce qui reliaient la région lyonnaise à la Suisse et surtout l’Europe du Nord aux pays méditerranéens.

Le 11 avril 1944 suite à la rafle du maquis de Chougeat (Matafelon-Granges), Rose Deville est déportée avec six autres jeunes du village. Elle a 23 ans. Elle reviendra des camps en mai 1945, mais ne parlera de son calvaire que beaucoup plus tard, dans les années 80. En novembre 2001, elle témoigne devant des collégiens et lycéens. C’est ce mono-logue saisissant, qui fut enregistré, que la compagnie du Bord de l’eau met en scène : un texte brut, l’expression d’une femme simple, « une gardienne de troupeau qu’a quitté l’école bien tôt » comme elle se présente. Ce n’est pas une héroïne, c’est une personne prise dans l’histoire mondiale qui témoigne, sans esprit de revanche, avec beaucoup d’humilité, d’authenticité, d’émotion et d’humour.

Journans fait partie des quatre communes de l’Ain qui se sont portées candidates afin d’élaborer un atlas de la biodiversité com-munale. Avec l’appui de la Frapna et la participation des habitants, la commune a établi un inventaire de la faune et de la flore, présents sur le territoire du village.Vous pouvez contribuer à cet état des lieux en signalant vos observations sur www.faune-ain.org. Ce site collaboratif est à la disposition de tous et rassemble des don-

nées naturalistes dans notre département. Il vous permet d’intégrer des données d’oiseaux, de mammifères, de reptiles, d’amphibiens, de libellules, de papillons diurnes, cigales... Si vous souhaitez contribuer, il suffit de vous inscrire. Une fois inscrit et connecté, vous pouvez saisir vos observations en cliquant sur "Participer", puis "Transmettre mes observations". Les informations peuvent aussi être transmises à la mairie qui a déjà un compte sur Faune Ain. Vous pouvez également participer aux inven-taires et atlas en cours.Rendez-vous sur www.faune-ain.org

Spectacle théâtral en mars 2018 : Avant la nuit

Veilleurs de nature

Le 12 novembre 2001, Rose Deville témoigne devant un groupe de collégiens et lycéens de la guerre, de sa déportation, de sa vie d'avant, de sa vie après. La compagnie du Bord de l’eau met en scène ce témoignage, sans retouches. La bibliothèque accueille cette création les 17 et 18 mars 2018 à la salle communale.

Avant la nuitPar la compagnie du Bord de l’eauSalle communale de JournansSamedi 17 mars 2018 à 20 h 30Dimanche 18 mars 2018 à 15 heures

Avec Sophie HaudebourgMusique et voix : Thierry KüttelVidéo : Olivier BignonMise en scène : Marie Pustetto et Gérard Santonja

Entrée : 15 euros. Réservation très conseillée au 06 47 24 88 19 ou 06 18 92 37 50. Billets en vente à la bibliothèque et auprès de S. Charvenet, F. Daniel et M.C. Billon.

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Même si la foule n’était pas au rendez-vous, les participants au vide-grenier du 15 août sont plutôt contents : une bonne ambiance, un temps de rencontre avec ses voisins et l’occasion de trier tout le fourbi qu’on accumule au fil des ans.L’atmosphère chaleureuse et l’accueil sympathique ont beaucoup plu aux visi-teurs qui ont pris plaisir à la formule de vide-grenier à l’ancienne et à la balade dans le village, sans se bousculer. L’espace-détente installé dans le jardin des Olivier, avec la buvette, les fauteuils à l’ombre et les jeux pour enfants a eu beaucoup de succès.Si tous les brocanteurs d’un jour sont par-tants pour une seconde édition, il reste quelques points à améliorer  : davantage de pub, notamment dans la presse et sur les sites spécialisés (en veillant à conserver la spécificité du village). La date choisie n’était pas forcément idéale  : il s’agissait

d’un week-end long, en fin de vacances. De plus, les vide-greniers ont traditionnel-lement lieu le dimanche. Peut-être faudra-t-il la décaler, par exemple, au troisième dimanche d’août.

Les maisons de Journans ont vidé leurs greniers

Vous connaissez ce jeu où l’on annonce trois mots et il faut trouver l’intrus  ? Exemple  : Anisoptère, Sulfoxaflor, Lépi-doptera. Si l’on ne sait pas que le Sulfo machin pas chouette est un «  néonicotinoïde  » tueur d’insectes, on est marron comme tous les potes jardiniers qui ne sont pourtant pas des courges et apprennent surtout à aimer le taon qui passe.Pourtant toutes ces petites bêtes qui piquent ou qui grattent, ces obscures du purin, les sans grade du compost, tra-vaillent jour et nuit pour réussir ce que l’homme a toujours rêvé de faire  : trans-former le crottin en or… et pas que le crottin d’ailleurs… Assurer les nourritures terrestres pour les navets et les tomates, c’est une chose, mais que dire de ces 2012 variétés d’abeilles qui mettent les petites graines des papas dans les pistils des mamans et font que les cerises sont sur le gâteau ou que l’on travaille parfois pour des prunes. Ce qui est sûr, c’est qu’il va falloir rester éveillé avec la chouette hulotte qui, ces derniers temps, a tendance à manquer de culot. Et oui, avec les gros légumes qui pensent surtout à faire du blé, on risque de se retrouver dans les choux.

Mais tant qu’il y a des fleurs, il y a de l’espoir, et il va falloir revoir nos critères de beauté concernant les jardins. Car le plus beau, aujourd’hui, c’est celui de ma voisine, avec des fleurs toute l’année en défilé de mode permanent de toutes les couleurs.Allez, ce n’est pas la fin des haricots, car quand je regarde son jardin, avec un lys discret mais somptueux en plein no-

vembre, ce sera peut-être demain «  libel-lules et papillons ». 

PS  : Pendant que les abeilles coulent, les poissons rouges de la fontaine prospèrent. Tant que son eau ne sera pas nitratisée, Journans pourra continuer à s’enorgueillir de son Reyssouzopolis pour attirer le cha-land, les petits… et les grands.

Libellule ou papillon ?

Beau temps et ambiance cordiale s’étaient donné rendez-vous à Journans, le 15 août.

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Portraits

Depuis 1983, Sylvette a eu la lourde tâche d’aider les enfants de notre commune à faire leurs premiers pas dans l’acquisition des savoirs fondamentaux que sont la lec-ture, l’écriture et le calcul. Successivement elle a enseigné aux petits jusqu’au CE1, puis depuis 2009 aux maternels jusqu’au CP. À en juger par les solides études qu’ont fait la plupart d’entre eux par la suite, c’est plutôt une réussite.Issue d’une famille de 6 enfants avec des parents agriculteurs, très tôt Sylvette a appris à se battre, et c’est en 1973 qu’elle devient institutrice. Après plusieurs écoles dans le département, Sylvette obtient un poste à Journans en 1983. Bien que ce ne

fût pas son premier choix, elle y restera toute sa carrière, sans doute tombée sous le charme de notre commune. Elle a eu successivement de nombreux collègues  : Daniel Michelin, Chantal Morand, Jean-Paul Tourte, Christine Luzy, Christophe Be-rodier, Gaël Carpentier, Rémi Bouzignac, et enfin Gaëlle. Elle a usé trois maires, Gérald Lévy, Sylvain Dérognat et Gérard Seyzériat, 2 Atsem  : Marie-Ange Ballet et Fabienne Antoine. 250 élèves lui doivent l’apprentissage de la lecture, de l’écriture et du calcul. Quel beau palmarès !Sylvette laisse l’image d’une enseignante

volontaire, intransigeante, voire sévère mais juste et efficace. Ce caractère de battante, il le lui a fallu pour affronter cer-taines épreuves difficiles de sa vie. Il le lui a fallu également pour enseigner aux Kévin, Anthony, Benoît, et les autres, qui ne lui en veulent sans doute plus aujourd’hui de les avoir quelque peu « remués ».Pour fêter son départ en retraite, la muni-cipalité et le Sou des écoles ont organisé une petite fête fin juin, à laquelle de nom-breux anciens élèves ainsi que d’anciens collègues ont participé et sont venus lui témoigner leur reconnaissance.Aujourd’hui, Sylvette ferme son cahier d’école, mais un autre cahier s’ouvre, celui de sa retraite qui sera rempli de belles pages. Des pages de randonnées pédestres, qui peut-être repasseront par Journans, des pages de jardinage qu’elle affectionne  : fidèle à ses origines rurales, Sylvette cultive un lopin de terre aux jar-dins ouvriers de la Croix-Blanche.Enseigner n’est pas un métier mais une vocation. La commune de Journans, les parents et des enfants, remercient chaleu-reusement Sylvette pour les 34 années de sa vie professionnelle vouées à la trans-mission de son savoir à plusieurs généra-tions d’enfants.Bonne et longue retraite.

Sylvette ChateletEnseigner est une vocation

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Marcelle est née en mai 1928, à Cuisiat. Elle n'est pas trop sûre du jour : le 9 selon elle, mais le 3 d’après l’état civil…À 14 ans, après le certificat d’étude, elle quitte son village pour travailler à Lyon. Elle est embauchée dans une pension de famille aux Brotteaux. C’est la guerre, le rationnement  : «  Je me levais à 5 heures pour aller faire la queue pour acheter des légumes pour la pension. La patronne n’était jamais là, elle me laissait toute la responsabilité  : la maison, les tickets, les clients, tout… »

À l’opéraEn 43, la pension ferme et Marcelle rejoint le restaurant des Terreaux où travaille sa sœur aînée, Maria. « Une grande partie de la clientèle venait de l’Opéra, juste à côté. J’ai plusieurs photos dédicacées des chan-teurs de l’époque. On avait droit à des bil-lets de faveur et c’est comme ça que je suis allée à l’opéra et au théâtre des Célestins. »Tout ce que gagnent les deux sœurs est envoyé à leurs parents. Elles sont logées dans des chambres de bonnes sous les toits où on gèle l’hiver. Il leur reste juste les pourboires, comme argent de poche. « Il y avait de bons côtés : le dimanche on allait se promener, on visitait les musées ou on allait à l’opéra…»

Quand sa sœur se marie, Marcelle quitte le restaurant et trouve du travail dans une usine de broderies. « Je faisais des re-touches sur des tissus superbes. J’adorais

ce travail. On vivait à Rillieux et je travail-lais en équipe  : une semaine sur deux, je rentrais à 22 heures. C’est la seule chose que je n’aimais pas : Caluire-Rillieux à pied par la route des Choux, dans le noir. J’avais peur. »

J’aurais voulu apprendre«  Mon rêve, c’était de continuer l’école. J’aurais voulu apprendre, apprendre. J’ai toujours aimé lire, depuis toute gamine. Les livres m’apportaient l’évasion et la connaissance. Mais mon père était dur. Pour lui, l’école et les livres c’était du temps perdu, le seul travail qui comptait c’était celui qu’on faisait avec ses mains. Ma sœur était très douée : elle a eu le cer-tificat d’étude à 11 ans !! L’instituteur était venu dire qu’elle devait continuer. Mon père n’a jamais voulu. »Marcelle rencontre Paul tout de suite après la guerre. Ils sont originaires du même vil-lage et il vient tout droit du maquis. « On se voyait, tous les quinze jours (une fois, il a même fait Cuisiat-Lyon à vélo !) et au bout de quelques mois on s’est mariés, le 18 octobre 1947 ».Le couple s’installe au château de La Vernay, à Revonnas. Paul est régisseur de la pro-priété et s’occupe de la vigne et du jardin. Marcelle fait la cuisine et le ménage. Ils y

resteront 13 ans, logés dans une aile du château, dont le propriétaire bloquait l’is-sue pour qu’ils ne puissent pas s’absenter. C’est là qu’ils auront leurs trois enfants  : Martine, Annie et Jean-Claude.«  En 1960, mes beaux-parents ont fait le partage et avec la part de Paul, on a fait construire à Journans, la maison où je vis toujours aujourd’hui.  » Paul est allé travailler à l’extérieur et Marcelle gardait les chèvres. Elle en profitait pour tricoter, écrire des poèmes et lire beaucoup. Le temps passe. Les enfants grandissent, font des enfants. Puis Paul tombe malade et meurt le 19 octobre 2000. Aujourd’hui, Marcelle est plusieurs fois grand-mère et arrière-grand-mère. Elle aura 90 ans au muguet. Elle vit encore chez elle. Et elle lit toujours autant…

Marcelle Ballet : une vie bien remplieMarcelle Ballet est une figure de Journans. Elle y vit depuis 57 ans. Elle fêtera ses 90 ans dans quelques mois, dans la maison même qu’elle et Paul avaient fait construire en 1960.

Au restaurant Le Moulin de Beurre, en juillet 1944

À Journans, en discussionavec la Louise Seyzériat

J’ai toujoursaimé lire, depuis

toute gamine.

Artistes - Galeries Julien DANIEL Animateur d’ateliers

de sculpture - 16, chemin de la Reyssouze Tél. : 04 74 51 62 70

Dingues d’art Christian GERAYPlace de la Fontaine - Tél. : 04 74 42 62 56

La Plantaie Christine LÉVY65, montée de Lachat - Tél. : 04 74 42 92 97

L’Entrée en matières Marie-Thé Ballet Atelier d’expression artistique125, rue Neuve - Tél. : 04 74 42 65 51

Artisans

Entreprise régionale charpente et menuiserie Challix Tél. : 04 74 51 64 21 - Fax : 04 74 42 62 29

Entreprise de travaux forestiersOlivier AUDUC : 6, rue de BoisserollesTél. : 04 74 42 68 37 - Port. : 06 15 68 34 53

Christian BAL Plâtrier peintre45, passage des Ruelles - Tél. : 04 74 42 62 11

Éric GENET : Ébéniste d’ art251, rue du Moulin - Tél. : 04 74 51 63 98

IDM - Fabien RODET Décoration événementiel et pose de sol tout type pour particulier et professionnel139, rue de Boisserolles - Port. : 06 21 83 69 08

Bien-être Éric CUCHET Shiatsu – magnétisme –

Thérapie Dorsal Dorm – Vertèbre Atlas – Hypnose70, rue de Boisserolles - Tél. : 04 74 24 65 42

Marie-Louise VARÉON Magnétiseuse 196, rue du Moulin - Tél. : 04 74 51 64 09

Coiffure VALÉRIE Coiffure à domicile

Port. : 06 61 10 48 73

Gestion patrimoine

Cabinet Alain CLERC Conseiller en gestion patrimoniale - Tél. : 04 74 42 61 39

Gîtes

Gîte La Plantaie Christine LÉVY 65, montée de Lachat - Tél. : 04 74 42 92 97

Gîte Jacques MARTINACHE168, rue du Moulin - Tél. : 04 74 51 64 47

Gîte Accueil paysanÉdith et Patrice GROSBOIS139, rue du Puits - Tél. : 04 74 42 62 58

Gîte VigneronGrégoire PERRON et Judicaëlle CEVASCO227, rue de l'Église - Tél. : 04 74 21 02 28

Producteurs EARL DU MONT LOVET

Édith et Patrice GROSBOIS Fromages chèvre - Chemin de Mons- Fontaine Tél. : 04 74 42 62 82

René BRENDEL Viticulteur267, rue de l’Église - Tél. : 04 74 42 62 46

La Combe aux RêvesGrégoire PERRON Viticulteur227, rue de l’Église - Tél. : 04 74 21 02 28

Association Batucada DEFIVES Simon 107, montée de Lachat JOURNANSAssociation culturelle TARIN CUSIN Cécile 181, rue du Moulin JOURNANSAssociation culturelle - Les Journandises GERAY Christian 15, rue Neuve JOURNANSAssociation des conscrits Tossiat-Journans BAL Aurélien 52, rue des Varilles JOURNANSComité paroissial de Tossiat 06 42 99 75 38 ALESI Stéphane 42, allée des chênes CERTINESDonneurs de sang Tossiat Journans BOUILLOUX Fabienne 431, mas Gruzin TOSSIATFnaca Tossiat Journans CLERC René 1001, route de la Vavrette TOSSIATL’amicale de la Saint-Jean LARCHER Philippe 16, montée Boisserolles JOURNANSLa Table des matières MACQUART Danièle 101, rue de l’Église JOURNANSLe Botaret BARSE Philippe 90, montée de Lachat JOURNANSLes Amis de St-Valérien VERNOUX Françoise 158, rue du Moulin JOURNANSLes Vignerons de Journans BRENDEL René 267, rue de l’Église JOURNANSPlace au livre CHARVENET Sylvie 121, rue du Puits JOURNANSSauvegarde de St-Vincent ABBIATECI Jeanine 175, rue de L’Eglise JOURNANSSavagn’Ain Moto-Club BERNARD François 7, rue de Boisserolles JOURNANS

Société de chasse GROSBOIS Patrice 150, rue du Puits JOURNANSSou des Écoles CAPEL Alexandre 116, chemin des Grandes-Vignes JOURNANS

Annuaire

Associations

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SAMEDI 6Vœux de la municipalité à 11h

SAMEDI 13Vente de civier – Société de chasse

DIMANCHE 21Plats à emporterLes Amis de la Saint-Valérien

SAMEDI 8Concours de pétanque - E.C.T.T.J.

DIMANCHE 4Carnaval des enfants – Sou des écoles

SAMEDI 17et DIMANCHE 18Spectacle – Place au livre

SAMEDI 23Feu de la Saint-JeanAmicale de la Saint-Jean

DIMANCHE 8Trail Nature Escrapade à Journans Sou des écoles

SAMEDI 28et DIMANCHE 29De Ferme en Ferme

SAMEDI 1 et DIMANCHE 2Fête de la Saint-Valérien

Les Amis de la Saint-Valérien

SAMEDI 8 et DIMANCHE 9Portes ouvertes de l’associationLa Table des matières

DIMANCHE 19Vide-grenier

SAMEDI 20Vente de tartes – Sou des Écoles

DIMANCHE 2Repas du CCAS

JANVIER

MAI

MARS

JUIN

AVRIL

SEPTEMBRE

AOÛT

OCTOBRE

DÉCEMBRE

Calendrier des manifestations 2018

Agenda

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Mairie Tél. 04 74 51 64 45 Fax : 04 74 42 64 83courriel : mairiejournans@wanadoo.fr - www.journans.fr

Ouverture au publicFermeture

Permanences des élus

Lundi et jeudi 9h à 12h – 14h à 17h - Mercredi et samedi 9h à 12hpremier samedi du mois - dernier mercredi du moissur rendez-vous : lundi et jeudi après-midi et samedi matin

École 04 74 51 61 27Directrice : Gaëlle Carpentier - Instituteur : Jean-Luc Bougeault

Garderie périscolaireFabienne Antoine

Matin de 7h30 à 8h50Soir de 16h30 à 18h30 sauf vendredi 18h

Bibliothèque Mercredi de 17h à 18h et samedi de 11h à 12hy compris vacances scolaires sauf celles de Noël

Centres de loisirsintercommunaux

Le Cotillon 01240 Certines 04 74 42 63 15Bulles de sourires le Farget St-Martin-du-Mont 04 37 86 15 62

Ecole intercommunalede musique

04 74 35 54 33Président : Pascal Vieudrin

Tonte, bricolage bruyantHoraires à respecter(arrêté préfectoral)

Jours ouvrables : 8h à 12h et 14h à 19h30Samedi : 9h à 12h et 15h à 19h Dimanche et jours fériés : 10h à 12hLe brûlage des déchets végétaux est strictement interdit.(voir arrêté préfectoral sur www.journans.fr, rubrique infos pratiques)

TransportsBourg-en-Bresse - Ambérieu-en-Bugey

Horaires disponibles en mairie

Arrêt sur la place de la FontaineTransports : ligne régulière Bourg et Ambérieu (hors transport scolaire)

Cars Philibert N° vert : 0810 744 744 - www.car.ain.fr

Services d’aideà la personne

. ADMR - Tél. : 04 74 25 04 38 - www.ceyzeriat.fede01.admr.org

. AIDS - Tél. : 07 87 02 29 06

. Service d’aide et d’accompagnement à domicile - Tél. : 04 74 34 56 67

. Ain domicile services - Tél. : 04 74 34 56 67

. ADAPA - Tél. : 04 74 45 59 65

Ramassage des orduresménagères

Lundi matin (Sortir les poubelles le dimanche soir)du 01/01 au 31/05 tous les 15 jours (voir planning)Les mardis matin suivant les lundis fériés

EncombrantsDéchetterie du Mollardà Saint-Martin-du-Mont(demander une vignette en mairie)

Horaires : (été 01/4 au 31/10) - (hiver 01/11 au 31/03) Lundi, mercredi, vendredi : 14h-18h30 (été) 14h -17h30 (hiver)Samedi : 8h30-12h30, 14h-18h30 (été) - 9h-12h30, 14h-17h (hiver)Dimanche : 8h30 à 12h30 ( été) 8h30 à 12h (hiver)

Pompiers Chef de corps de pompiers de Tossiat : Anthony Duraffourd 01250 Tossiat - 07 62 23 43 14

SDIS secours incendie 18

Samu 15

Gendarmerie de Pont-d’Ain 17 ou 04 74 39 10 55

Curé Abbé Antoine Désarbre Antoine : Tossiat 04 74 51 61 52

Correspondants de presse Denis Tavel (Le Progrès) 04 74 42 64 41 - denis.tavel@free.frGilles Simonnet (Voix de l’Ain) 04 74 51 65 00 - simonnet.gi@orange.fr

Poste (Tossiat) Lundi, mardi, jeudi, vendredi de 8h30 à 12h15Samedi de 9h à 12h. Attention : fermeture le mercredi.

Maison médicale (Tossiat) Médecins : 04 74 55 22 56 / Infirmières : 04 74 51 60 11Diététicienne : 06 07 95 24 64 / Kiné : 04 74 42 67 34Podologue : 04 74 55 25 18 / Sage-femme : 04 74 23 95 50

Pharmacie (Tossiat) 04 74 51 60 94

Infos pratiques