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Retrouvez-nous sur notre site www.catholiquesmantois.paroisses.net

l’1vité page 12

l1visible.com JOURNAL CATHOLIQUE OFFERT n° 59 sEpTEmbRE 2015

été dans les maisons des sœurs franciscaines p. 2

12 et 13 sept 2015 : ordination à ManteS Témoignages des nouveaux diacres page 4

aumônerie tibériade Trois lieux d’accueil page 8

Un été chaleureuxPromenade dans le Vexin page 6

Mantois

n ous rentrons de vacances, p l e i n s de

forces nouvelles. Ce temps du ressource-ment, nous l’avons souvent vécu en famille et retrouvé dans les rêves et les projets réalisés durant l’été, le goût de ceux dont nous partageons la vie.

Pourtant, la famille est-elle toujours un lieu de ressourcement, quand, dans un monde épris d’épanouissement individuel, le tissu familial se détériore ou laisse apparaître des fragilités, quand des enfants ont du mal à exprimer leur souffrance face au divorce de leurs parents et à la recompo-sition de leurs familles, quand ils ne peuvent exprimer leur désarroi d’ignorer qui est leur père ou leur mère ? Dans une société souvent dure et concurrentielle, la famille demeure un lieu d’estime et de confiance, un lieu où chacun de nous peut recharger ses batteries. C’est le lieu où les hommes apprennent la confiance en eux-mêmes et la confiance dans les autres. C’est en famille que nous apprenons comment aimer, comment pardonner, comment être généreux et ouverts. C’est aussi en famille que nous apprenons comment prier. Quand la famille prie ensemble, elle reste ensemble. Le pape François est très préoccupé par la précarité de la vie en famille. Ce n’est pas pour rien qu’il consacre cette année un synode sur la famille. En attendant les conclusions qui en résulteront, ce temps n’est-il pas propice pour chacun de nous de refaire le point en toute sincérité et sans pré-tention sur notre vie en famille ? a

Père Emery-Pamphile MBADU

éditoVive la famille !

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2 Mantes xw n°59 septembrein 2015RetOUR SUR l’aCtU

au service des enfants, au service des familles !

Été dans les maisons des sœurs franciscaines

À la veille des départs, la maison des Francis-caines ressemblait à

une ruche. Tant à faire avant la dispersion, et pas seulement des valises ! La communauté ne prend pas de vacances. Au contraire ! Elle poursuit sa mis-sion d’accueil dans ses maisons de Normandie ou de Bretagne.Une cinquantaine de jeunes filles ont été accueillies à Cosqueville, en Normandie, pour un séjour de trois semaines loin des écrans et des téléphones. C’est le temps nécessaire à un vrai repos et à la construction de relations humaines véritables. Soucieuses d’éduquer, les sœurs invitent leurs jeunes hôtes à participer aux services quotidiens entre deux activités nouvelles.Les Franciscaines accueillent

plus largement : des randonneurs en halte sur le chemin, des personnes seules qui retrouvent chez elles la chaleur d’une atmosphère familiale, des couples ou des familles en quête de repos. La chapelle est toujours ouverte pour les chercheurs de Dieu, et les sœurs disponibles pour répondre à leurs questions. « Notre apostolat, nous le vivons dans la relation à l’autre, qu’il soit chrétien ou non », confie une sœur.Sans doute est-ce ce souci de la personne et de son cheminement propre qui stimule l’inventivité des Franciscaines. Certains vacanciers se retrouvent, en famille, pour un camp spirituel de deux semaines en Bretagne. Enfants et parents peuvent mettre à profit le temps d’été pour vivre ensemble la relation à Dieu. De quoi repartir du bon pied, riches de silence, de joie et de partage ! a

M.-Ch. Géraud

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La maison de Cosqueville, dans la Manche.

le temps nécessaire à un vrai repos

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témoignage

Victoire pour AgatheSouvent privée d’école, Agathe travaille très bien. Elle aime notre belle langue et elle la connaît... pas mal ! Si elle est en fauteuil électrique, sa tête est entiè-rement libre. Au concours national « Defi’mots », elle a été la meilleure de son collège de Mantes-la-Ville. Et au niveau de la France, elle est classée 128e sur 5726 candidats ! Elle savoure cette « petite joie » comme celles que lui accorde la Providence, au milieu des tribulations qui émaillent son quo-tidien. A la rentrée prochaine, elle n’a pas l’auxi-liaire de vie scolaire qui lui permettrait sa rentrée au lycée. Jésus a dit de ne pas se soucier du lendemain... elle garde donc l’espoir et le sourire ! a

Les hommes de ménage et leurs outils.

n°59 septembre 2015 xw Mantes 3

p armi ses activités, l’association des Amis de la collégiale procède au nettoyage de l’intérieur de l’église. Des femmes et des

hommes s’y activent régulièrement. Ces derniers sont regroupés au sein de l’atelier Saint-Joseph qui se réunit un jeudi après-midi sur deux.C’est l’occasion de se retrouver entre jeunes et moins jeunes - quatre-vingts ans allègrement dépassés - pour discuter entre deux coups de balais, et prendre des nouvelles des absents. Comment va Jacques ? Va-t-il nous rejoindre bientôt ?Le doyen de l’équipe arrive avec ses chiffons et ses sacs en plastique. Il y a quelques années c’était à vélo, maintenant il est amené puis repris en voiture par sa femme.Le responsable de l’atelier définit les orientations du travail… puis chacun fait suivant ses habitudes et ses goûts, dans une ambiance gaie et détendue. Nous sommes heureux, la poussière sur les dalles de pierre est le signe de la fréquentation de l’église.

La hiérarchie se résume le plus souvent à peu de choses : il y a celui qui tient le bas de l’échelle et celui qui, cinq mètres plus haut, change les éclai-rages à LED.Le silence tout relatif observé par les membres de l’équipe est parfois brisé par le basculement géné-ralisé des rangées de chaises qui, telles des domi-nos, s’abattent du haut en bas de la nef. Fait de novice qui provoque l’hilarité générale en rappe-lant aux autres que cela leur est arrivé précédem-

ment. Plus rarement, fort heureusement, lors de l’utilisation du palan électrique, un nœud mal réalisé provoque la chute, dans un fracas épou-vantable, d’un vieux meuble que l’on montait au triforium ; bilan : trois chaises cassées.Depuis peu, nous avons accueilli un nouvel arri-vant qui, jusqu’à présent, fréquentait davantage le parvis de la collégiale que l’église elle-même. Quelle ne fut pas la surprise du « titulaire de l’as-pirateur » de se voir dessaisi de son précieux outil par ce nouvel embauché plein d’ardeur ! Bien que nous fassions partie d’un même corps, nous ne sommes pas hostiles aux greffes et accueillons avec enthousiasme tout nouvel aspirant. a

Serge Verrey

Chacun fait suivant son goût.

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photo mystèreLe chanoine Guériteau

S ous cette pierre tombale reposait un prêtre, né en 1581 et mort en 1644, chanoine à la collégiale et fondateur du couvent des Ursulines de Mantes. On lui attribua plusieurs miracles de gué-

rison. «Guériteau» était connu aussi comme «Guérit tôt», sans attendre... Sans doute son nom ne lui aurait-il pas mérité cette réputation s’il n’avait été tenu pour un très saint homme... a

éChappée belle

Le corps de balais de la collégiale

Les hommes de ménage et leurs outils.Découverte

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Ami lecteur, si vous sentez poindre une vocation (tardive ?) de balayeur de collégiale, n’hésitez pas à contacter Jean-claude Géraud au 06 31 70 01 21.

a savoirVisite de la collégiale de Mantes

D es vidéo guides sont dorénavant mis gratuite-ment à la disposition des visiteurs au bureau d’accueil de la collégiale tous les après-midi

entre 14h30 et 17h30. Ils permettent en particulier de voir des détails architecturaux ou des vitraux peu repé-rables à l’œil nu. a Guérit tôt, guérit vite, guérit tout.

DE ViVE Voix.

En prélude à l’ordination retrouvez Benoit, Daniel et Baudoin lors de la veillée à la collégiale de Mantes, le samedi 12 à 20h30. ils pourront témoigner plus longuement de leur vocation.

nomination du doyenÀ la suite du départ du Père Olivier de Rubercy, doyen de Mantes, c’est le Père Landry Védrenne, curé du secteur Yvelines-Ouest qui a été nommé à cette responsabilité par Monseigneur Aumo-nier. Le doyenné de Mantes s’etend d’ouest en est de Chaufour à Seraincourt.

SaGeSSe« tuer un homme, ce n’est pas défendre une doctrine, c’est sur-tout tuer un homme »

Sébastien Castellion (1515-1563)

en avant !

a rriver à l’ordination diaconale, c’est comme pour un bateau quitter le chan-tier naval et prendre enfin le large.

J’ai entendu l’appel à devenir prêtre quand j’étais enfant. Autour de moi, je voyais des prêtres heureux, et j’étais touché par la beauté de leur vie donnée au service de Dieu et des gens. Du coup, devenir prêtre ne m’a jamais semblé une chose bizarre ou impossible. En grandissant,

j’ai découvert différents visages de l’Eglise : ma paroisse dans les Yvelines, un groupe de prière, la communauté de l’Emmanuel à laquelle j’appartiens maintenant, l’aumônerie de mon école d’ingénieur, l’association «Chré-tiens en Grande Ecole». L’Eglise du Christ est vraiment belle, et je veux donner toute ma vie pour la servir.Le 13 septembre je deviendrai diacre par l’imposition des mains de Mgr Aumonier, uni à Jésus qui s’est fait le serviteur de tous les hommes. Alors, comme on dit : « En avant! » a Jean-Baptiste Bienvenu

« Je t’exalte Seigneur car tu m’as relevé »  (ps 29).

C e psaume que j’aime à entendre de la bouche du Christ Jésus louant son Père au sortir du tombeau raconte aussi

l’histoire qui m’a amené jusqu’à Mantes. En effet, si c’est déjà en préparant ma première communion, vers 7 ans, que j’ai dit pour la première fois au curé de ma paroisse de l’époque, à Toulon, que je désirais devenir prêtre, le long

chemin qui a suivi n’a pas manqué de difficultés. Etudiant en Grande Ecole à Paris (ESCP) je voyais avec assurance le monde s’offrir à moi. Mais en marchant vers le sacerdoce, sans renier ce qui précède, j’ai plus découvert ma pauvreté face à la beauté de l’appel reçu. Quelle confiance m’est faite par le Seigneur et son peuple de m’appeler à ainsi servir !Ma faiblesse a toujours été portée par Jésus et par les sacrements qu’Il a donnés à son Eglise : c’est en Lui que j’espère pour l’année qui vient !  a Baudouin de La Bigne

Dimanche 13 septembreLes nouveaux diacrescomme les trois mousquetaires, ils seront quatre diacres, ce dimanche après-midi, à être ordonnés par Monseigneur aumonier, à la collégiale de Mantes. Ils nous communiquent leur envie de devenir prêtres.

J’ai reçu gratuitement.

C e que nous avons vu et entendu, nous vous l’annonçons» (1 Jean 3). À l’origine, je n’avais jamais imaginé devenir prêtre. Mais le Seigneur

m’a un jour saisi par son Amour et mes perspectives ont changé : mon regard sur l’Eglise, mon regard sur le monde, mon regard sur mes proches et aussi sur moi-même. En cheminant dans un compagnonnage avec Jésus, petit à petit, l’appel à me donner et à servir l’an-nonce de l’Évangile a retenti en moi. Cet Amour et cette

joie que j’ai moi-même reçus gratuitement, j’ai un grand désir qu’ils soient donnés et reçus par tous. C’est pourquoi, avec la grâce de l’Esprit Saint, je réponds de grand cœur à une telle vocation qui me dépasse mais qui est si belle ! a

Daniel Le

Qui comblera mes plus profonds désirs ?

D ieu me choisit pour le servir comme diacre, quel don! Comment résumer mon appel? Avec les mots du prophète Jérémie : « Seigneur, tu m’as

séduit, et j’ai été séduit  ; tu m’as saisi, et tu as réussi ! » (Jr.20,7). Je rends grâce pour la famille qu’il m’a donnée, elle a su me transmettre la foi. Pourtant, à 20 ans, quand le Seigneur m’a appelé pendant les JMJ de Cologne, ou plutôt quand je me suis posé la première

fois la question d’être prêtre, j’ai tout de suite trouvé plein d’excellentes raisons pour la repousser... Jusqu’à ce que je sois saisi par une évidence : Dieu est bon. Pourquoi craindre sa volonté alors ? Qui peut savoir mieux que mon Créateur ce qui comblera mes plus profonds désirs? Cette question redoutée du début m’est apparue progressivement comme une voie possible pour atteindre ce bonheur que je cherche. J’entrais alors en école de commerce où j’ai découvert la joie de parler du Christ dans un monde où la religion est taboue mais la soif est immense. Les “open bars“ d’école cachent (ou révèlent en creux) une soif plus profonde, celle du seul capable de l’étancher : Dieu. C’est Lui que je veux servir par toute ma vie, dans le célibat, à travers les pauvres qu’il mettra sur mon chemin. Je suis ce premier pauvre, priez donc pour que je me laisse toujours plus saisir par Dieu, qu’Il devienne ma seule richesse, que je la transmette en devenant ce que je serai à partir du 13 septembre : votre serviteur par toute ma vie et, s’il plaît à Dieu, toujours! a Benoit d’Argenlieu

Benoit d’Argenlieu

Daniel Le Jean-Baptiste Bienvenu

Baudouin de La Bignerejoint cette année l’équipe de prêtres de Mantes-la-Jolie.

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4 Mantes xw n°59 septembrein 2015zOOM paROiSSeS

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n°59 septembre 2015 xw Mantes 5

À l’origine des rencontres, l’hiver 2013. D’abord intrigués par leur présence, puis émus de les voir, si jeunes, se livrer par tous les temps et peu cou-

vertes, à leurs activités, nous sommes allés à leur rencontre, après avoir prévenu les autorités de notre présence, ponctuelle, espacée et régu-lière, auprès d’elles. Notre objectif était de leur proposer une aide (soins, apprentissage de la langue, correspondance, démarches…), de leur apporter le témoignage d’une autre humanité que celle de leurs clients, le temps, très court, d’un verre d’une boisson chaude et de quelques friandises, sans les gêner dans l’exercice de leurs activités que, par ailleurs, nous ne com-prenons, ni ne cautionnons.Nos premiers échanges se sont faits dans leur langue, avec l’aide d’un interprète, ce qui a permis de lever toutes ambiguïtés sur nos ren-contres et de gagner leur confiance.Dans le même temps, nous avons suivi à Paris une journée de formation avec Henri Marescaux, diacre permanent du diocèse de Versailles, dont l’association Tamaris « se donne pour mis-sion de rencontrer les

personnes prostituées et de les accompagner pour quitter le monde de la prostitution et de se réinsérer dans la vie sociale ».Au cours de ces échanges amicaux et joyeux, nous avons appris qu’elles ont chacune trois ou quatre enfants dont elles nous ont montré les photos. Leur premier souci est la libération de leur mari emprisonné, ou l’acquisition d’une maison dans leur pays. Leur objectif atteint, elles reviendront, disent-elles, dans leur village.

Avec le souhait de les détourner de la prostitution, tant que notre présence sera toujours souhaitée, nous poursuivrons avec elles notre dialogue, sans les juger, comme le demande le Christ et le rap-pellent ses disciples. a

J.-F. Vidal, M. Chauvin

boulevard de l’europeSur la routeLa présence régulière, à Magnanville, de femmes venant se livrer à la prostitution ne pouvait laisser indifférent. Des paroissiens de Mantes-Sud sont allés parler avec elles.

témoignage Etre grand-mère

n ous les Mamie, Bonne-maman, Grand-mère, Babouchka, Granny, sommes dans les familles, les sentinelles, les pivots, les rocs, les

repères, les refuges, les relais…Nous sommes toujours là pour accueillir nos petits-enfants pendant les vacances ; faire tourner les maisons, remplir les frigos, prévoir les repas, faire les lits, laver le linge, recoudre les boutons, tout cela n’est rien, l’essentiel n’est pas là !Ecouter les secrets, être disponible pour jouer, apaiser les conflits, mettre en valeur ceux qui s’effacent naturellement, détourner les orages qui menacent par une pirouette, faire passer des messages personnalisés, faire des com-pliments mais aussi les reproches nécessaires, rire et chanter, organiser des fêtes, et enfin donner des montagnes d’Amour et de ten-dresse dont notre cœur déborde ! En quelques mots notre devise est : être dis-ponible à tous, et pour tout ! Donner du temps et de l’amour et écouter, écouter, écouter ! a

Une « Bonne-Maman »

Une complicité qui se moque du temps.

leur apporter un témoignage d’humanité autre que celui des clients

RenCOntRe

Retrouvailles

Un été chaleureux Rassemblements conviviaux culturels ou festifs, rencontres sportives, retour sur quelques événements de la belle saison auxquels vous avez pu participer.

6 Mantes xw n°59 septembrein 2015éClatS De vie

auto-tamponC’est sur le manège des autos-tamponneuses qu’a lieu la rencontre entre les forains et les habitants de Mantes-la-Ville lors de la messe précédant la bénédiction des stands, avant que ne commence la fête foraine au Parc de la vallée.

Feu de la Saint-JeanPour marquer le début de l’été, retour à la tradition : sur le parvis de l’église Saint-Jean-Baptiste a été allumé le feu traditionnel autour duquel a été chantée la gloire de Dieu.

bulles de MantesPrésenté tous les deux ans, le festival de bande dessinée de Mantes-la-Jolie a réuni plus d’auteurs et plus d’amateurs du 9éme art que lors des précédentes manifestations.

DécouverteL’été, c’est aussi l’époque des petits travaux. Dans la sacristie des clercs de la collégiale, le démontage de vieux placards ayant soufferts de l’humidité a permis la découverte de ces doubles tournois, pièces de deux deniers en cuivre datant du roi Henri iii.

DépaysementVacances tranquilles et découverte du Vexin au pas d’un âne, à Jambville... ou plus folles et mouvementées, comme à Montalet-le-Bois, lors de “la ruée des Fadas”, course d’obstacles par équipes, toutes déguisées.

JumelageDepuis 1993, les paroissiens de Mantes-Sud entretiennent des relations spirituelles très fortes avec les catholiques de la paroisse Sainte-Marie de Neunkirchen, ville jumelle de Mantes-la-Ville. Cette année, le dernier week-end d’août, ils se sont retrouvés une cinquantaine à mi-chemin, dans les vignes champenoises, à Baye, sur le thème inspiré par le lieu « le vin dans la Bible »

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7n°59 septembre 2015 xw Mantes

ConférencesLes besoins de sommeil selon les âges Sports, alcools, drogues, écrans, études agissent sur le sommeil des adolescents.Le 15 octobre, à 20h30, l’Association familiale catholique du Mantois organise une conférence à l’Agora de Mantes-la-Jolie, sur les règles éducatives pour un meilleur équilibre de vie des enfants. Le docteur Pascale Morinère interviendra sur les grands mécanismes physiologiques qui règlent les besoins de sommeil et de repos selon les âges, permettant ainsi aux parents d’ajuster les règles éducatives mises en place dans la famille.

Avec les Chrétiens de BethléemLe 6 novembre 20 h 30 salle paroissiale du Sacré Cœur conférence par Laurent Kair sur les chrétiens de Bethléem organisée par l’association des arti-sans chrétiens de cette région. (Vente de produit artisanaux à chaque messe ce week-end).

Les potirons sont de retour !Les samedi 17 et dimanche 18 octobre, de 14 à 18 h, le « Clos Saint-Joseph » (11 sente des Prés, à Vert) met à votre disposition ses produits: poti-rons, noix, pommes, confitures et autres frian-dises. Les bénéfices de l’opération sont destinés à soutenir les orphelinats de Bethléem et de Bétha-nie.

bénédiction dans les cimetièresDes accueils sont prévus dans les cimetières à l’occasion de la Toussaint et de la journée des défunts. Notamment à Mantes-la-Jolie, au cime-tière Duhamel à 15 h le 1er novembre, et au cime-tière de Gassicourt, le 2 novembre après la messe de 10h.

agenDa

limay-vexinInstallation d’un nouveau curé

C’est le dimanche 6 septembre à 11h, à l’église de Gargenville, que Monseigneur Aumonier viendra installer officiellement le nou-veau curé de Limay et du Vexin. Le père Pierre Amar, est prêtre depuis 13 années et a 42 ans. Né à Versailles, il est le quatrième d’une famille de cinq enfants.

C’est dans le scoutisme qu’il a entendu l’appel du Seigneur à le suivre dans son Eglise. Il se définit avec enthousiasme comme un prêtre de la génération Jean-Paul II, le pape du « n’ayez pas peur ! ». Licencié en droit, chargé de communication d’une communauté religieuse, puis aumônier militaire, il a été vicaire dans différentes paroisses du diocèse et vient de terminer un Master de théologie à l’Ins-titut Catholique de Paris. Auteur de spectacles pour les familles, il est aussi l’un des rédacteurs du Padre-blog, un site où des prêtres proposent une parole franche et réactive sur l’actualité (www.padreblog.fr).

Mantes-la-JolieUn jeune vicaire

En 29 ans, de Toulon où il est né, de Brest où il a grandi, de Rome où il a été formé, Guillaume Dupont a déjà bien voyagé. Il y a trois ans il est passé à la collégiale de Mantes où il a été ordonné diacre. Prêtre depuis deux ans, après un séjour à Jérusalem, il revient

à Mantes-la-Jolie pour ses premiers pas comme jeune vicaire dans une paroisse.

hospice Saint-CharlesLes vieux métiers

L’association Art espace et vie secteur Rosny-Bonnières organise cette année la Kermesse de Rosny à l’Hospice Saint-Charles, 30 rue Natio-nale, le dimanche 27 septembre, sur le thème

des métiers d’hier et d’aujourd’hui. L’après-midi spectacle costumé sur ce thème par les jeunes. Outre les stands habituels, vous y trouverez des démonstrations d’artisanat d’autrefois (forge-ron, vitrier) ou traditionnel (menuisier, restau-rateurs de vitraux ou de tableaux anciens, relieur, apiculteur). Les bénéfices sont destinés à l’entretien et à la réparation de l’orgue de Rosny.repas sur place à partir de 12 h 30. renseignements et réservation au 06.76.04.04.55

Du côté de Mantes-sud Assemblée générale de la paroisse Le 20 septembre, à l’église du Sacré-Cœur, après la messe unique de rentrée à 10h30, repas convi-vial partagé apporté par chacun. A l’issue, chaque mouvement et activité se présentera afin de mieux se connaître et appréhender la réalité de la paroisse.

Fête de la châtaigneVous êtes tous les bienvenus le 15 octobre à 12h30, salle paroissiale du Sacré-Cœur pour ce repas paroissial traditionnel préparé par les parois-siens portugais. N’hésitez pas à vous inscrire début septembre.

le gOlDen gate QUaRtet

le 13 novembre à la collégialeDans le cadre du festival Blues sur Seine et d’une tournée européenne pour fêter les 80 ans de leur groupe, le Golden Gate Quartet viendra chanter le 13 novembre à 21 h.Ensemble vocal fondé en 1934, le Golden Gate Quar-tet est considéré comme le plus ancien groupe de gospel et negro spiritual encore en activité. Plusieurs voix se sont succédées dans la composition du qua-tuor.

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Golden Gate Quartet mars 2015

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8 Mantes xw n°59 septembrein 2015COntaCt

lieUX D’aCCUeil paROiSSiaUX

SeCteUR YvelineS-OUeSt

Curé : Père Landry VedrennePresbytère, 43 rue Georges Herrewyn 78270 Bonnières-sur-SeineTél. : 01 30 42 09 55 Du mardi au vendredi de 9 h 30 à 11 h 30.

SeCteUR liMaY-veXin

Curé : Père Pierre AmarMaison paroissiale Saint-Aubin, 32 rue de l’Église78520 Limay Tél. : 01 34 77 10 76 Lundi, jeudi, vendredi de 14 h à 16 h.Mardi, mercredi, jeudi de 9 h à 11 h.Vendredi de 9 h 30 à 11 h 30.Samedi de 10 h 30 à 12 h.

Presbytère, 6 rue de la Mairie 78440 Fontenay-Saint-Père Tél. : 01 34 79 11 65

Mardi et mercredi de 14 à 17 h.Samedi de 10 à 12 h.Relais paroissial, 38 avenue Lucie Desnos78440 Gargenville Tél. : 01 30 42 78 52 Mardi de 14 h à 17 h.Samedi de 10 h à 12 h.

SeCteUR ManteS-la-JOlie

Curé : Père Matthieu WilliamsonSaint-Jean-Baptiste du Val-fourré Presbytère, 2 rue La Fontaine78200 Mantes-la-JolieTél. : 01 30 94 23 58 Du mardi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h.Le samedi de 10 h à 12 h.

Le Relais Sainte-Anne 11 impasse Sainte-Anne 78200 Mantes-la-JolieTél. : 01 34 76 92 03

Centre paroissial Notre-Dame13 rue Stephane Bonneau 78200 Mantes-la-Jolie Tél. : 01 34 77 04 64 Lundi, mardi, jeudi, vendredi de 8 h 25 à 11 h 25 et de 14 h à 16 hMercredi et samedi de 8 h 25 à 11 h 25. SeCteUR ManteS-SUD

Curé : Père Gérard VerheydeMaison paroissiale du Sacré-Cœur, 36 rue René Valogne 78711Mantes-la-Ville Tél. : 01 34 77 00 15 Mardi, jeudi, vendredi de 14 h 30 à 19 h.

Presbytère, 1 rue PasteurGuerville 78930 Tél. : 01 30 42 63 06samedi de 10 h à 12 h.

librairie catholique

du MantoisSpécialisée en litérature religieuse – Sélection de cadeaux – Livres – images - objets religieux

Place Jean XXIII Mantes-la-Jolieouverte du mardi au samedi de 10h à 13h30.

Tél : 01 34 78 29 15librairiecatholiquedumantois@orange.fr

p ar des rencontres régulières, des débats, des actions, des soirées et repas en commun, des week-ends, des retraites ou pèlerinages, des célébrations et

rassemblements (temps forts du doyenné ou du diocèse), ils vivent sur l’année ce parcours de formation humaine et chrétienne, approfondissant leur foi, et la partageant avec des jeunes de milieux différents.

Ils mènent des projets pour devenir responsables, des actions de solidarité, et bien sûr se préparent aux sacrements (baptême, première communion, confirmation). Dans ce sens, à partir de la rentrée, l’aumônerie Tibériade propose trois lieux (Sacré-Cœur à Mantes la Ville, St-Jean-Baptiste Val-Fourré et Collégiale à Mantes la Jolie) et trois horaires différents, au choix, pour permettre au jeune qu’il choisisse l’heure et l’endroit qui lui est le plus pratique, quel que soit son domicile.• Pour les 6ème-5ème, le jeudi à 17h à la Collégiale,

le samedi 14h à Saint-Jean-Baptiste, ou 17h au Sacré-Cœur

• Pour les 4ème, vendredi 18h St JB et Collégiale, et un samedi sur deux à 17h15 au Sacré-Cœur.

• Pour les 3ème, mercredi 17h30 à St JB, vendredi 20h à la Collégiale, un mardi sur deux à 18h15 au Sacré-Cœur.

• Pour les lycéens et grands jeunes, chaque mercredi 20h-21h30 au Sacré-Cœur.

Inscriptions Saint Jean-Baptiste et la Collégiale : aux perma-nences d’accueil des presbytères.Sacré-Cœur : mercredi 2 et 9 septembre de 15 h à 19 h, samedi 12 et 25 septembre de 14h à 18h. a

Suzanne Béral, responsable de l’aumônerierenseignements : 06 46 33 22 38

aumônerie tibériade

Pour une transmission de la foi L’aumônerie catholique tibériade de Mantes propose depuis plusieurs années, un lieu de vie et de formation chrétienne ouvert à tous les collégiens et lycéens de Mantes la Jolie, Mantes la ville et alentours.

Cette année du nouveau, l’ aumônerie évolue en s’élargissant à trois pôles.

Festivis, un temps fort de l’année.

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Denierde l'EgliseCatholiquede Nanterre

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LE DENIER, C’EST CONCRET.

Nous, nous donnons tous les mois pour faire vivre nos prêtres. Et vous ?

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