nº3Février 2015

Bulletin Vertréalisé par des élèves de 6ème

dans le cadre des séances d’AP au CDI

Edito

Cette année scolaire 2014-2015 s’avère riche

en évènements autour de la biodiversité. De

nombreuses classes continuent à bénéficier

de cours pratiques aux jardins de la Maternelle,

du Primaire ou du Collège. Un système de

lombricompostage a été mis en place au

potager des petits (cf. notre article en page 3) ,

Au collège, de nombreux élèves se sont

engagés à venir 1h le mercredi pour s’occuper

de l’entretien du potager. Quant à nos élèves

de 6º en Aide Personnalisée au CDI, ils ont

repris avec enthousiasme la rédaction du

Bulletin Vert.

Bonne lecture !

Mélanie Bisel

(documentaliste CDI Collège)

Au potager ! p.3 Qu’est-ce que le compost ?Le lombricompostage

Actualités p.5Le recyclageSemaine anti-gaspi au LFM

Un arbre ... p.7Le sapin de Noël

Focus sur ... p.8Le Land Art et le Graff Végétal

La Bibliothèque Verte p.9Nos coups de coeur

Récréation p.10Quizz La biodiversité dans la peinture

SOMMAIRE

A u p o t a g e r !

Qu’est-ce que le compost ?Les déchets compostables représentent près d’un tiers du poids de nos poubelles, soit environ 80 kg par personne et par an !Collecter, transporter et incinérer nos déchets, cela coûte cher. Or il existe un moyen très simple de traiter soi-même ses déchets organiques : le compostage individuel !

Qu’est-ce que est le compost ?Le compost est le résultat du recyclage de matières organiques. Les organismes vivants dans le compost ne sont ni des parasites ni des maladies. Ce sont des éléments naturels qui décomposent des substances organiques (seulement des déchets vegetaux et animaux). Le compost retient son eau et ses substances nutritives et ne les livre qu’au fur et à mesure que les racines de la plante en ont besoin.Il posséde une forte concentration en matière organique et aide à rendre à la terre plusieurs de ses caractéristiques qui se sont épuisées avec le temps et l’utilisation.

A quoi sert le compost ?Au printemps le compost est un engrais idéal pour les semis, les cultures potagères, le rempotage*, la floraison, les haies...À l’automne, répandu en couche superficielle, il protége les cultures, les arbustes...Il prévient aussi l’apparition des mauvaises herbes.

Comment faire son compost ?Jardiniers en herbe ou bons cuisiniers, nous produisons tous des déchets compostables ! Pour produire un compost de qualité, il vous suffit de suivre ces 3 étapes :• Mélangez vos différents déchets organiques ! Attention pour obtenir un bon compost, il est important de diversifier les types de déchets compostables - déchets de cuisine : épluchures, sachets de thé, pain, restes de repas... - déchets de jardin : feuilles, branches réduites en morceaux, tontes de pelouse sèches enpetites quantités, fanes* de légumes...• Veillez à l’aération. Pensez à brasser votre compost régulièrement !• Contrôler l’humidité de votre compost : il doit être humide comme uneéponge essorée.

* Rempotage : Changer une plante de pot lorsque le premier est devenu trop petit ou que la terre en est épuisée.* Fanes: tige herbacée et feuillage de certaines plantes cultivées (pomme de terre, haricot, pois, colza, etc.).

Rédacteurs : Gaël Huertas, Francisco Rodriguez

A u p o t a g e r !

Le lombricompostage au LFM

Le lombricompostage est une technique de recyclage qui qui permet d’avoir de l’engrais grâce à des vers de terre.

Avantages

- la réduction du poids des poubelles. - il est aussi sans odeur.- il est facile à fabriquer. - il n’occupe pas beaucoup de place.

Etapes à suivre

1 - Les déchets organiques sont coupés en petits morceaux et déposés tout en haut.2 - Le lombricompostage est en marche c’est à dire que les vers de terre commencent à manger les déchets organiques.3 - Au bout de trois mois minimum, le compost est prêt à être utilisé.

Le l o m b r i co m p o s t a g e a u L F MA la Maternelle du haut et du bas, on trouve 2 lombricomposteurs. Laura Redal, de la Coopérative Terrativa en charge des projets Jardins au LFM, nous en explique le fonctionnement. Des élèves du groupe d’AP CDI sont allés faire une visite en Maternelle du bas afin de mieux comprendre leur fonctionnement.

“ Les lombricomposteurs que nous avons sont de petites tailles, adaptés aux enfants. Ils se composent de 5 étages formés par des plateaux superposables. Le plateau du bas récupère l’excès d’eau libérée par les déchets “verts” (épluchures de fruits et de légumes, mauvaises herbes). L’eau passent à travers le compost déjà formé s’enrichissant donc davantage en matière minérale assimilable par les plantes. Un robinet situé dans la partie du bas de ce plateau permet de récupérer ce fertilisant liquide. Dans le plateau suivant on met l’ensemble des vers avec un peu de lombricompost. La litière doit être assez épaisse pour que les vers soient en contact direct avec le plateau suivant. Par dessus le plateau-litière on met un autre plateau dans lequel on dépose les déchets. Ce plateau possède des trous à la base pour que les vers de terre puissent monter manger. Il faut veiller à mélanger les déchets verts avec des déchets secs comme des feuilles sèches ou du carton, pour équilibrer le pH. Il faut toujours mettre un couvercle pour protéger les vers de la lumière et des oiseaux. Les vers montent toujours à la recherche de nourriture qui transforment au fur et à mesure en lombricompost. Si on réussi à conserver les conditions d’humidité, de température et de pH nécessaires, le lombricompost du premier plateau sera prêt en 3 mois à peu près. Normalement, une fois que les déchets ont tous été mangés et transformés, les vers quittent ce plateau et remontent à la recherche de nouveaux déchets. De cette façon on pourra récupérer le compost du plateau du bas, qui sera ainsi vidé, et le replacer tout en haut pour continuer à rajouter des déchets.

Rédacteurs : Lisa 6º8, Clara 6º7

A c t u a l i t é s

Un guide pratique pour bien recycler

Les professeurs ont sensibilisé leurs élèves au tri sélectif. Pour les aider dans cette démarche, il existe un guide, téléchargeable sur le site E3D du LFM.

Le recyclage

DéfinitionLe recyclage, c’est une action qui consiste à transformer des déchets pour en faire de nouveaux objets. Par exemple, avec 27 bouteilles en plastique, on peut fabriquer un pull.

Pourquoi faut-il recycler ?Il faut recycler pour économiser des matières premières et ainsi protéger la nature.

Qu’est-ce qu’on recycle au LFM?Au LFM, on recycle le papier, le carton

et les emballages dans des poubelles qui se trouvent dans les cours et jardins du lycée.Dans les poubelles qui se trouvent à l’intérieur des salles de classe et à l’administration, on recycle le papier ainsi que les journaux et les revues.À la cantine, on recycle les déchets alimentaires comme le pain, les pots de yaourts, les épluchures et restes de fruits.On recycle également le matériel usé : les stylos, les feutres, les surligneurs, les marqueurs, les correcteurs (Tippex), les porte-mines, ... Les poubelles pour ce type de matériel au collège se trouvent dans la salle des profs, en permanence et au CDI.

Conférence au LFM pour la semaine anti-gaspiAu mois de novembre, le journaliste José Luis Gallego est venu nous parler des déchets. Voici quelques points importants qu’il a abordé : - Les 3 R : Réduire, Recycler, Réutiliser.- Les poubelles mobiles : elles servent à jeter les déchets que l’on ne peut pas jeter dans les poubelles normales.- Augmentation des déchets: on jette beaucoup plus de déchets qu’avant. - Utilisation des bouteilles en plastique: des marques importantes comme Levis utilisent les bouteilles en plastique pour faire leurs vêtements.- Jouets: Les jouets sont jetés dans des poubelles mobiles et pas dans les poubelles en plastique. On peut aussi les donner à des associations. Mémento des poubelles du LFM

Symbole du recyclage

Bouteilles, flacons, pots et bocaux en verre.

Papier, carton, briques, journaux, magazines et emballages métaliques

Bouteilles et flacons en plastique, pots barquettes,socs de caisse et d’autres emballages rigides.

Restes et déchets organiques. Rédacteurs : Irene, Emilie, Hugo et Sebastien 6-7

Le gaspillage alimentaire représente la nourriture jetée, c’est à dire, 33 % des aliments produits par an. En France, chaque français gaspille en moyenne 7kg de nourriture par an.Quand on jette de la nourriture, il faut penser à l’argent qu’on a dépensé, à l’énergie qui a été nécessaire pour la produire mais aussi à ce que coûtera le traitement des déchets. Au final, ce sont 20 kg de nourriture jetée par personne et par an malgré tous les efforts faits pour vider le frigo... C’est décourageant !

Les actions menées au LFMAu LFM, près de 3000 repas sont servis chaque jour à la cantine et plus d’une tonne de restes de repas non consommés sont jetés chaque semaine,Lors de la « Semaine Européenne de Réduction des Déchets » qui a eu lieu du 22 au 30 novembre, le LFM a mis en place de nombreuses actions pour promouvoir la nécessité de réduire et recycler nos déchets, qu’ils soient alimentaires ou non.

Opération anti-gaspi à la cantine Pour eviter le gaspillage alimentaire, à la cantine, ils ont installé des bacs pour récupérer le pain qu’on n’a pas mangé et d’autres aliments qui seront donnés donner à des animaux. On nous a appris aussi à bien réfléchir à ce que l’on choisi à la cantine. Si on n’a pas très faim, on ne prend pas de pain ou pas de premier plat et, plutôt que de jeter la pomme, on la garde pour la manger plus tard.

Rédacteurs : Sara 6ª9, Ibai 6º9, Tomas 6º8

A c t u a l i t é s

Novembre 2014

CDO St Ex Total Base de 3 jours

11.090 1.616 12.706 10.025

149 26 175 131

41 4 45 71

1.128 125 1.253 1.064

14 14

1.169 129 1.298 1.135

Par personne (kg) 0,11 0,08 0,10 0,11Par personne (en g) 105 80 102 113

Rappel novembre 2013

Total repas servis semaine 24 au 28.11

Collecte épluchures et restes de fruits (kg)

Collecte restes de pains (kg)Collecte restes de repas

servis (kg)

Collecte repas non servis (kg)

Total restes de pain et de repas servis (kg)

On constate que volume de restes de repas jeté chaque semaine au LFM reste très conséquent (1,3 tonne hebdomadaire, soient environ 45 tonnes par an) toutefois le résultat s’est amélioré par rapport à l’année dernière : le volume de restes jetés par personne s’est situé à 102g/repas cette année contre 113g/repas l’an dernier, soit une diminution de près de 11%.

Semaine anti-gaspi au LFM

C’est en 1521 que l’arbre de Noël aurait fait sa première apparition en Alsace, Dans cette région, les habitants sont autorisés à couper les arbres encore verts lors de la Saint Thomas (21 décembre). Ces derniers sont décorés de roses, de pommes (faisant référence à Adam et Eve), de confiseries et de petits gâteaux.Le sapin est une décoration de Noël (souvent associée aux cadeaux de Noël) servant à souligner une tradition païenne christianisée dans certaines églises chrétiennes locales en Europe au long du Moyen Âge et généralisée au début du XIXe siècle sous le règne de la reine Victoria .

L´expansion de l’arbre de NoëlAujourd’hui, l’arbre de Noël est reconnu dans le monde entier. Aux États Unis , le traditionnel «éclairage de l’arbre » est l’un des symboles officiels au début de la saison des vacances. Dans l’hémisphère sud, bien que Noël tombe en plein été, on trouve aussi des sapins. En Nouvelle-Calédonie par exemple, région où pourtant il n’existe aucune variété d’épicéa, on utilise des petits pins ou la cime des pins adultes.Les premières décorations étaient faites

d´éléments naturels(pommes, noix, biscuits, objets en bois ou bougies) puis, avec l’apparition de l’électricité et l’invention du plastique et des matières synthétiques, les sapins de Noël se parent d’ornements lumineux et inventifs. Chaque région apporte sa petite touche d’originalité!

La légende du sapin NoëlOn utilise un sapin pour Noël car la

légende raconte qu’il y a lontemps, un bucheron allemand, en rentrant

chez lui par une nuit d’hiver claire mais glaciale fut ébahi par le merveilleux spectacle des étoiles qui brillaient á travers les branches d’un sapin recouvert de neige et de glace.Il y accrocha des

rubans et quelques bougies et l’emmena chez lui .En entrant

dans le village tous les habitants virent le beau sapin et très vite ils

allèrent tous en chercher un. C’est comme ça que peu à peu, tout le monde eut son propre sapin de Noël .

Rédacteurs : Jaime 6º9, Paola 6º8, Antonio 6º8, Clarisse 6º8

Le sapin de Noël

U n a r b r e . . .

L’épicéa

C’est le plus traditionnel des sapins de noël. Sa bonne odeur de résine le caractérise ainsi que ses fines aiguilles.

Le Nordmann

Il est devenu, depuis quelques années, la variété préférée des français, profitant d´une bonne conservation dans l´habitat.

Le Nobilis

Il se distingue par ses aiguilles bleutées et douces au toucher. Odorant, il répand un parfum boisé dans la maison. Une fois coupé, il conserve longtemps ses aiguilles.

L’ Omoriqua

Moins courant, il se caractérise par sa cime élancée et ses aiguilles vert foncé au revers argenté. Sa forme est le résultat de tailles successives pour atteindre la forme conique du sapin traditionnel.

Le Pungens

Il est plus connu sous le nom de sapin bleu en raison de la couleur bleutée de ses aiguilles, longues et très piquantes. Plus de 10 années lui sont nécessaires pour atteindre les 2 mètres.

Le sapin est un élément incontournable des fêtes de Noël. Nous vous expliquons aujourd’hui comment s’est construite la tradition du célèbre Sapin de Noël.

Le Land Art Le Land Art est une tendance de l’art contemporain, utilisant le cadre et les matériaux de la nature (bois, terre, pierres, sable, rocher, etc.). Le plus souvent, les œuvres sont à l’extérieur, exposées aux éléments, et soumises à l’érosion naturelle; ainsi, certaines ont disparu et il ne reste que leur souvenir photographique et des vidéos.

Le Land Art apparaît aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne dans les années 60. On peut observer 2 optiques de création distinctes. L’une de grande envergure, qui utilise de grands moyens (bulldozer,camion ...), à l’échelle du paysage ; l’autre, beaucoup plus réduite, à l’échelle humaine, la main de l’homme.

Marc Pouyet au LFM en mai pour les journées de la Biodiversité !Marc Pouyet a suivi une formation de graphiste, à l’école d’arts graphiques Corvisart de Paris. Ses premiers pas, il les a effectués dans la publicité puis en tant que graphiste – illustrateur.Il exerce aussi son talent en tant que plasticien. Il réalise alors un travail de recherche personnel en lien avec la nature : créations Land art, photos d’observation (abécédaire nature), décors et mises en scène de spectacles des « arts du chemin ».Marc organise en parallèle des ateliers de pratiques artistiques enfants et adultes en milieu scolaire et associatif, des ateliers Land art (enfants et adultes), des balades artistiques et créatives. Il sera au LFM au mois de mai dans le cadre des journées de la Biodiversité et proposera à certaines classes de maternelle, primaire et collège des activités Land Art.

Le Graff Végétal

Les graffitis en mousse, aussi appelés « écograffitis » ou « graffitis verts » remplacent la peinture en bombe, les marqueurs et autres substances chimiques généralement utilisées pour graffer. Ils utilisent à la place un pinceau normal et de la mousse qui pousse toute seule sur les murs. Avec la montée des produits bios et écologiques, le graffiti a donc su séduire les artistes militants de tous bords. De plus, il peut aussi faire partie de la révolution du jardinage.

Ouvrage disponible au CDI 1

Fo c u s s u r . . .

Nos coups de coeur ...

Pour une éducation au développement durable et solidaire Guide pédagogique

Ce guide pédagogique invite les personnels de l’Éducation nationale et les acteurs de la jeunesse à sensibiliser les enfants et les adolescents à ces questions en agissant localement par des actions éducatives concrètes.Enseigner l’éducation au développement durable et solidaire, concevoir et conduire des projets de solidarité internationale dans un contexte de développement durable, voilà un ensemble d’actions permettant de donner aux jeunes générations les clés pour comprendre le monde interdépendant dans lequel elles vivent et des objectifs d’engagement en milieu scolaire et associatif.

Quand la nature inspire les peintres

Pourquoi le blé, la rose et le raisin sont-ils omniprésents dans les tableaux célèbres ? Pourquoi les coquelicots sont devenus, grâce aux impressionnistes, des fleurs des champs fragiles, lumineuses et bucoliques alors qu’elles sont associées à la guerre dans d’autres pays ? Saviez-vous que les Tournesols de Van Gogh sont un véritable autoportrait ?L’art sait nous révéler la beauté de la nature. Certains artistes en ont été de véritables amoureux comme Monet ou Van Gogh, mais tous les peintres ont utilisé les plantes au-delà de leur simple représentation. L’approche unique et transversale des plantes et des tableaux célèbres présentés dans cet ouvrage apporte un éclairage encore inédit qui ravira les amoureux des plantes et les amateurs d’art. Légumes, fruits, fleurs ou encore arbres...

L’homme qui plantait des arbres

Redécouvrez ce grand classique de Jean Giono.En Provence, le narrateur rencontre un berger, Elzéard Bouffier, qui, chaque jour, plante des glands. Quelques années après, le narrateur revient et découvre une magnifique forêt : des chênes, mais aussi des hêtres et des bouleaux. D’année en année, la forêt s’étend, permettant à toute la région de revivre. L’administration des eaux et forêts, avertie, parle de génération spontanée, et le rôle d’Elzéard Bouffier reste secret, un secret que seules quelques personnes, connaissant la valeur du silence, partagent

L a B i b l i o t h è q u e V e r t e

Jouons ensemble ! (réponse en bas de page)

Le saviez-vous ?Le corbeau est un animal très intelligent !

Dire que l’on a une cervelle d’oiseau est loin d’être la pire des insultes. Du moins, si l’on se réfère aux corbeaux. Une équipe de chercheurs d’Oxford (Royaume-Uni) a publié, mercredi 5 août, une étude dans la revue scientifique en ligne PLoS One, qui tend à démontrer que les corbeaux sont des animaux dotés d’une forme d’intelligence analytique et déductive.

Deux facteurs importants :- le cerveau des corvidés est très gros : à peu près la même taille que le cerveau d’un chimpanzé.- la vie en groupe. Les créatures dites “sociales”, comme les dauphins, les chimpanzés, les humains et les corvidés, ont besoin de mémoriser davantage d’éléments pour vivre en société, ce qui oblige sûrement le cerveau à travailler plus fort.

En plus d’être particulièrement doués en résolution de problèmes, ces oiseaux ont une capacité de mémorisation très développée, se rapprochant de la nôtre. Plusieurs études ont démontré que les corbeaux sont capables de reconnaître les visages, de communiquer entre eux de manière très précise et qu’ils n’oublient pas les endroits qu’ils ont identifiés comme dangereux.

R é c r é a t i o n

Quel arbre / fleur est représenté(e) sur ce tableau ?Connaissez-vous le titre et l’auteur du tableau ?

Réponses 1 2 3 4 Tournesols Nénuphares Lilas Cyprès Les Tournesols Les Nymphéas Bouquet de Lilas Eglise à Cassone Vincent Van Gogh Claude Monet Edouard Manet Gustav Klimt

Ce corbeau appelé “Betty” est capable de fabriquer un crochet pour soulever un panier installé au fond d’un tube en verre...