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GACHETTE COLLECTION > Dobermann Nous aimons les armes à feu, les trucs et les machins qui font BANG BANG, pour saigner à blanc les gentils comme les méchants. Pas de quartier. Comme sur les frites, on aime le Ketchup en abondance, rouge vif ou cramoisi, faut que ça gicle et que ça goutte. La viande doit être saignante. Nous ne sommes pas des machistes, mais on aime les films qui en sont. En rapport avec l’article 1, nous prônons la langue de Molière, surtout quand elle sort des tripes et des bas instincts. Le dialogue cru est souvent culte les amis. Nous ne sommes pas paroles d’évangiles, peut être adorerez vous ces films, peut être les détesterez vous. Faites vous votre propre idée. Nous n’avons pour patrie cinématographique que celle de nos illustres prédécesseurs, les Frères Lumières, ou Kourtrajmé. Oncle Sam n’est pas le bienvenu. Nous n’aimons pas ces clowns qui s’auto-proclament héros ou illustre sauveur de l’Humanité. Nous prônons le culte de l’antihéros, celui qui le devient malgré lui, c’est ça la classe baby. On aime aussi les grosses voiture, les gros calibres... Bref, tout ce qui brille et qui est précédé du mot gros. La démesure est un bien traitre mot. Gâchette Collection

gâchette collection

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Avec Thomas Lucas - Romuald Lay - Justin Bihan Ouvrage d'une série de livre sur le thème "le film d'action à la Française" avec comme film principal Dobermann de Jan Kounen. Volonté d'étudier le film au maximum au travers de textes et de graphiques avec un parti pris très affirmé.

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GACHETTE COLLECTION > Dobermann

Nous aimons les armes à feu, les trucs et les machins qu i font BANG BANG, pour sa igner à blanc les gentils comme les méchants. Pas de quartier.

Comme sur les frites, on aime le Ketchup en abondance, rouge vif ou cramoisi, faut que ça gicle et que ça goutte. La viande doit être saignante.

Nous ne sommes pas des machistes, mais on aime les films qui en sont.

En rapport avec l’article 1, nous prônons la langue de Molière, surtout quand elle sort des tripes et des bas instincts. Le dialogue cru est souvent culte les amis.

Nous ne sommes pas paroles d’évangiles, peut être adorerez vous ces films, peut être les détesterez vous. Faites vous votre propre idée.

Nous n’avons pour patrie c i n é m a t o g r a p h i q u e q u e c e l l e d e n o s i l l u s t r e s p rédéce s s eur s , l e s Frè re s Lumières, ou Kourtrajmé. Oncle Sam n’est pas le bienvenu.

Nous n’aimons pas ces clowns qui s’auto-proclament héros ou illustre sauveur de l’Humanité. Nous prônons le culte de l’antihéros, celui qui le devient malgré lui, c’est ça la classe baby.

On aime aussi les grosses voiture, les gros calibres... Bref, tout ce qui brille et qui est précédé du mot gros. La démesure est un bien traitre mot.

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GACHETTE COLLECTION > Dobermann

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GÂCHETTE COLLECTION > Dobermann > Sommaire

IL A ÉTÉ DIT QUE…

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BLABLABLA

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IMPRESSIOND’ÉCRAN

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COMMENTC’EST FAIT

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LES APÔTRES

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LE CRÉATEUR

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FILM

GA-CHET-

TE POURQUOIGACHETTE

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LA RECETTE

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ON VOUSCONSEILLE

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À ÉVITER

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LE LIVRE

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BRAQUAGES

PERSONNAGES

52

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BOLIDES

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ROULAGE DE PELLESINTENSE

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LES MORTS

50

FLICS ET BANDITS

49

LE FILM SELON GACHETTE

43

À LA LOUPE

38ANALYSE

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GÂCHETTE COLLECTION > Dobermann > Sommaire

IL A ÉTÉ DIT QUE…

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BLABLABLA

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IMPRESSIOND’ÉCRAN

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COMMENTC’EST FAIT

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LES APÔTRES

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LE CRÉATEUR

10LE

FILM

GA-CHET-

TE POURQUOIGACHETTE

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LA RECETTE

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ON VOUSCONSEILLE

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À ÉVITER

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LE LIVRE

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BRAQUAGES

PERSONNAGES

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BOLIDES

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ROULAGE DE PELLESINTENSE

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FLICS ET BANDITS

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LE FILM SELON GACHETTE

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INTRODUCTION

Gachette collection est fier de mettre en lumière dans cet ouvrage un film qui malgré son originalité et une certaine démesure, peine à saisir le grand public : Dobermann. Jan Kounen n’en est pas à son premier coup d’essai dans le milieux, nous non plus me direz vous, mais nous avons voulu en savoir un peu plus sur ce film qui, au dela d’offrir au spectateur un casting des plus alléchant, reflète un genre nouveau du film de flingues made in France.

Et pour cela, nous allons vous offrir une analyse dès plus détaillées, du nombre de balles tirées aux différentes marques de voitures utilisées, sans omettre bien entendu les biographies des acteurs. Kounen lui même n’aurait pas pu rêver mieux.

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LE FILM > Le créateur

Jan Kounen fa i t ses études supérieures à l’École des Arts Décoratifs de Nice, où il tourne ses premiers courts métrages. Il obtient en 1988 le diplôme National Supérieur d’Expression Plastique. Il filme dans les années 1990’s plusieurs spots publicitaires en France, en Allemagne et en Grande-Bretagne. Parmi ces spots se trouvent des publicités pour  : Nuts, Peugeot 806, Tang, Gordon’s Gin, Miko, Adidas, Smirnoff, Toyota, Bacardi Rigo, Bass (bière du groupe InBev),...

En 1997, Jan Kounen réal ise son premier long-métrage  : Dobermann adapté de l’œuvre de Joël Houssin. Ce film d’action excentrique et survitaminé met en scène le couple Vincent Cassel et Monica Bellucci, épaulés par Tcheky Karyo et les acteurs fétiches de Jan  : Dominique Bettenfeld et Antoine Basler, que l’on retrouve tous deux dans quasiment tous ses films. En 2011, le projet d’une suite est officiellement

abordé. Il faut attendre sept ans pour voir le second long-métrage de Jan Kounen. Blueberry, l’expérience secrète, adapté des bandes-dessinnées de Gir et Charlier, sort en 2004.

À cette occasion, Jan Kounen retrouve son acteur de Dobermann, Vincent Cassel. Les visions chamaniques sont tirées de la propre expérience de Jan Kounen, initié aux planteTs psychotropes lors de ses voyages en Amérique du Sud, et notamment dans la jungle péruvienne, où il rencontre le shaman Kestenbetsa, auquel il dédie d’ailleurs le film («To my brother Kestenbetsa»). Le film, d’une grande liberté visuelle, divise la critique et déconcerte le public. L’année suivante, en 2005, sort le documentaire D’autres mondes, offrant un parfait complément à Blueberry, l’expérience secrète. L’on y voit une partie des voyages de Jan en Amérique du Sud et son apprentissage du chamanisme et de la culture Shipibo-Conibo, en

Études à l’école des Arts Décoratifs de Nice

Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique

En 1997, il réalise son premier long-métrage : Dobermann

Filmographie : • Doberman • Blueberry • To my brother Kestenbetsa • D’autres mondes • Darshan : L’étreinte • 99 francs • Coco Chanel & Igor Stravinsky

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Coco Chanel & Igor Stravinsky est le film le plus «sage» de Jan

100 000 entrées en deux semaines

LE FILM > Le créateur

Amazonie péruvienne. Toujours dans cette veine mystique, sort en 2006, Darshan  : L’étreinte, nouveau documentaire, cette fois-ci sur Amma, une femme indienne considérée comme une sainte dans son pays et pour laquelle des gens sont prêts à parcourir des kilomètres pour recevoir son étreinte (Darshan). Une nouvelle fois, le film est très sensoriel.

Nouvelle adaptation en 2007, avec la sortie de 99 francs, tiré du roman du même nom de Frédéric Beigbeder. Pour cette satire du monde de la publicité, il dirige Jean Dujardin, Jocelyn Quivrin, Elisa Tovati, Patrick Mille et Vahina Giocante. Outre la présence de ses deux acteurs-fétiches Antoine Basler et Dominique Bettenfeld, on y voit des apparitions de Frédéric Beigbeder et de Jan Kounen lui-même. Le film regorge d’effets spéciaux et de trouvailles visuelles, faisant du film un objet relativement à part dans le cinéma français. Son dernier

film en date, Coco Chanel et Igor Stravinsky sort fin 2009. Il met en scène la relation amoureuse et admirative entre Coco Chanel (Anna Mouglalis) et Igor Stravinsky (Mads Mikkelsen) au début des années 1910. Le film fera la clôture du Festival de Cannes 2009. Il s’agit du film le plus «sage» de Jan, délaissant les prouesses visuelles et les mouvements de caméra pour adopter un style plus posé. Le film effectuera une modeste carrière en salles (100 000 entrées en deux semaines). En 2011, Il soutient officiellement le Chef Raoni dans sa lutte contre le Barrage de Belo Monte.

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Vincent Cassel Yann Le Pentrec, dit DobermannTchéky Karyo Inspecteur Sauveur Cristini, dit la hyèneMonica Bellucci Nathalie Vidal, dite Nat la gitaneAntoine Basler Jean-Claude Ayache, dit MoustiqueDominique Bettenfeld Elie Frossard, dit l’abbéPascal Demolon Lefèvre / EmmanuelleMarc Duret Inspecteur BaumannRomain Duris ManuFrançois Lavantal LéoIvan Merat-Barboff SilverbergStéphane Metzger Olivier Brachet, dit SoniaChick Ortega Jacky Sueur, dit PitbullPatrick Rocca Commissaire ClodarecFlorence Thomassin FlorenceRoland Amstutz Jo Hell (Oncle Joe vieux)Gaspard Noé Le marchand de merguezJan Kounen Homme à la banque

LE FILM > Les apôtresJ

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Vincent Cassel Yann Le Pentrec, dit DobermannTchéky Karyo Inspecteur Sauveur Cristini, dit la hyèneMonica Bellucci Nathalie Vidal, dite Nat la gitaneAntoine Basler Jean-Claude Ayache, dit MoustiqueDominique Bettenfeld Elie Frossard, dit l’abbéPascal Demolon Lefèvre / EmmanuelleMarc Duret Inspecteur BaumannRomain Duris ManuFrançois Lavantal LéoIvan Merat-Barboff SilverbergStéphane Metzger Olivier Brachet, dit SoniaChick Ortega Jacky Sueur, dit PitbullPatrick Rocca Commissaire ClodarecFlorence Thomassin FlorenceRoland Amstutz Jo Hell (Oncle Joe vieux)Gaspard Noé Le marchand de merguezJan Kounen Homme à la banque

LE FILM > Les apôtres

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RéalisationJan Kounen

MusiqueSchyzomaniac et François Roy

PhotographieMichel Amathieu

FormatCouleurs - 2,35:1 DTS Dolby Digital - 35 mm

MontageBénédicte Brunet

Durée103 minutes

LE FILM > Comment c’est fait

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TitreDobermann

ScénarioJoël Houssin Production

Frédérique Dumas et Éric Nevé

Pays d’origineFrance

Budget33 000 000 FFsoit 5 030 818 €

GenreAction, policier

Date de sortie18 Juin 1997

Film interdit aux moins de 16 ans lors de sa sortie en France

LE FILM > Comment c’est fait

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LE FILM > Impressions d’écran

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LE FILM > Impressions d’écran

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LE FILM > Impressions d’écran

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LE FILM > Impressions d’écran

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LE FILM > Impressions d’écran

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LE FILM > Impressions d’écran

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On pourrait faire court : Dobermann est un film nul. Le scénario est d’une vacuité abyssale ; les personnages, d’une inconsistance navrante, à commencer par le héros, ce Dobermann au flingue long comme ça mais figé dans les postures grotesques d’une marionnette sans vie (Vincent Cassel, hélas...) ; l’action, enfin, se réduit aux lieux communs les plus éculés du polar urbain années 90... Mais Dobermann n’est pas que nul. Il est pire que ça : tellement roublard et racoleur qu’il en devient franchement douteux. Flics et voyous. C’est une vieille histoire à laquelle Jan Kounen et son scénariste, Joël Houssin, n’ont strictement rien de neuf à ajouter. Sauf une provoc en toc qui tient lieu de tout et débouche donc sur n’importe quoi. L’histoire, en une phrase : un flic psychopathe a décidé de « se faire » le gang du Dobermann, ramassis de crétins décérébrés et fiers de l’être. L’un est capable d’exécuter les pires saloperies (dont le vol de bébés) dans le seul but de coincer les

autres, qui jouent, eux, de la grenade et du bazooka comme s’ils évoluaient dans un jeu vidéo. Tous les coups sont permis dans un univers où l’ultra violence gratuite apparaît comme l’unique mode de com- munication autorisé. Dobermann, c’est la routine vaguement nauséeuse d’un cinéma qui roule des mécaniques mais ne fait que recycler à l’esbroufe tous les trucs vus ailleurs. Pilleur émérite s’il en est, un Tarantino se donne au moins le mal d’avoir du talent. C’est-à-dire de réinventer dialogues et situations pour leur imprimer sa marque. Ici, rien. Rien qu’un ripolinage esthétisant à mort, une fantasia speedée par un montage aux amphétamines d e s t i n é à f a i r e m o n t e r l’adrénaline du spectateur. Mais aussi à masquer le cynisme de la démarche. Mon film, dit Jan Kounen, est « plus proche de la BD que du néoréalisme. En tant que tel, il peut se permettre tous les excès ». Il revendique aussi le droit de « provoquer des rires gras » (1). Echantillon de dialogue (fièrement reproduit dans le dossier

On les aimes, on les détestes, les critiques permettent néanmoins de faire un rapide compte rendu de la notoriété d’un film, et non de sa qualité, car les gouts et les couleurs, ça ne se discute pas. Mention spéciale aux cahiers du cinéma : merci Romain Duris ! (cf anecdotes du film) En voici quelques unes, tant chez nos amis de la presse spécialisée à la parole unique, que de ceux qui font réellement la vie d’un film, j’ai nommé les spectateur. Vox Populi !

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LE FILM > Bla bla bla

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de presse). Un jeune travesti lance à son père, qui vient de découvrir la double vie de son fils : « Tu voulais que je devienne un avocat ?! Eh bien, c’est à moitié réussi, j’suis déjà un enculé. » Autre échantillon : l’un des tueurs, pris de colique, se soulage en plein air et se torche avec... Les Cahiers du cinéma. (Un oeil attentif notera qu’il avait aussi Télérama à portée de main...) Un coup (plus quelques autres) pour les « pédés ». Un coup pour les « intellos ». Qu’est-ce qu’on se marre ! Caché derrière l’alibi du « deuxième degré », protégé, pense-t-il, par sa façade d’habile « faiseur d’images » que les Américains s’arrachent déjà, Jan Kounen, 33 ans, est prêt à tout pour atteindre le public. Comme si l’épaisse « beaufitude » où il patauge ne le concernait pas et n’engageait que ceux qu’elle est censée combler. Dobermann, ou le temps du mépris. On ne se marre plus du tout. C’est sinistre.

TéLéRAMA 1997

Speed, tape à l’oeil, complaisant, ok, mais c’est un des rares films français rock’n’roll. Avec Gaspar Noé, Kounen est insulté et traité de merde par bon nombre de commentateurs et c’est très bien comme ça. On a besoin de réalisateurs qui choquent et qui dérangent et de films qui dépotent. Dobermann fait partie du lot, si il est souvent gratuit il vaut largement mieux que le dernier opus de Jan K (Coco Chanel & Igor Stravinsky) qui, lui, fait vraiment peur et ne sert à rien.Ici,la bande son est technoîde à souhait.Si vous n’avez jamais vu de film de ce cinéaste (99f, Blueberry) c’est une excellente occasion pour commencer.Pour un premier film, c’est assez agité du bocal.Ah oui, au fait, c’est un peu violent !

MEL TORMé 18/10/2011 - 11h20

LE FILM > Bla bla bla

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Pas spécialement branché film «intello», j’ai adoré la critique de Télérama qui résume bien la situation: Dobermann est le degré zéro du cinéma, à coté Max Pécas ou Luc Besson sont des grands... Le personnage le moins ridicule du film est encore Monica Belluci, qui interprète une muette, chance insigne vu la qualité des dialogues… Un scénario Bonux, une violence gerbante et bete, une réalisation clipesque bien tape à l’oeil, on tient là une des plus grandes m..... du cinéma français.

KROCK’N’ROLL 18/10/2011 - 12h45 C’est sur ce type de film (culte) que la critique de Télérama prend toute sa subjectivité !!! Une critique d’intello pour un film anti intello ! La boucle est bouclée

ZEB59 18/10/2011 - 13h52

Dobermann à sa sortie avait fait sa petite sensation. 15 ans après et un second visionnage, l’impression laissée est : Un gros film d’action à la Die Hard made in France avec les braqueurs en stars. L’exagération à outrance est généralement toujours la bienvenue pour offrir un côté grand guignol ou plaisant. Ici la sauce ne prend pas magré une très bonne performance des différents protagonistes. Une mention spéciale au curé et à Monica Bellucci dans le rôle de la sourde.

PIXEL44 25/09/2011 - 19h02 Un scénario écrit sur la paume de la main, un réalisateur médiocre, des acteurs qui surjouent tous plus les uns que les autres, des dialogues improvisés, le tout pour résultat merdique du nom de «Dobermann». Vraiment rien à retirer de ce film, si on peut appeler cette bouse un film.

TEDY 20/12/2010 - 10h44

LE FILM > Bla bla bla

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On ressent tout de suite l’ inspiration américaine et l’attention porter à l’esthétique de la part de Kouenen. Pour son premier long métrage, ce film d’action est mené tambour battant par une poignée de cinglée psychopathe mais attachant rebelle et flic ripoux. Une guerre impitoyable et un finish a vous couper le souffle. PARFAIT

LEHLE78 10/06/2011 - 17h36 Jn Kounen reste un réalisateur vraiment trés interréssant et montre pas mal bonnes de voies pour le cinéma français en terme de mise en scène. On passe un bon moment mais Kounen se contente de juste filmer l’action et les personnages sont un peu trop oublier. Les acteurs ne sont pas assez éléctrique et le tout un peu gros… le film d’action a moitié réussi. Mais sachant que ça viens de la France ...

GOODFELES 21/10/2010 - 08h03

Franchement g trop adorée se film vincent cassel il est terrible et moustik se sont mes perso prefere une histoire bien monté des prise vue genial tre tre bon film a voir absolument pour ceux qui ne le connaisse pas.

YO9ZERO 25/08/2007 - 01h35 Ce film est vraiment enorme, j’ai trop adoré. je voudrais savoir s’i l sedrait possible que quelqu’un m’envoi le tatouage du dobermann dans le dos car je voudrais me le faire. merci d’avance

CHAK 19/04/2009 - 11h47 CHAK, prend contact avec moi si tu veux le tatouage du doberman. @+Sheraf

SHERAF 12/01/2011 - 12h32

LE FILM > Bla bla bla

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LE FILM > Il a été dit que…

Un homme sans un flingue c’est pas un homme.

Après l’baptême des curtons là c’est l’baptême des mecs, l’baptême du feu.

Ah t’es dégueulasse! Tu t’es pissé dessus t’es vraiment trop une merde. Bang. Changes de fringues mec, de nos jours on fait pas de vieux os avec un uniforme.

Ils ont tous des têtes de camés, ça se défonce c’est à la mode, avec moi tout ces bouffons ils seraient déjà morts.

Putain, ces connards trouveraient pas Mesrine dans un paquet de nouilles.

Mais gardez les m’dame on est pas des voleurs.

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Parain

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Yann/Dobermann

Inspecteur Sauveur Cristini

Inspecteur Sauveur Cristini

Pitbull

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LE FILM > Il a été dit que…

Un motard invisible, l’enfer nous envoie ces anges barbares.

Le seigneur l’a châtié, il a rejoint le paradis des homes sans tête.

J’vais lui faire une super tombe, y’aura aucun chien au monde qu’aura une aussi belle tombe que lui (pleur) Et après j’irai désosser un flic.

Braquer une banque pour le plaisir, c’est pas humain ! On n’a pas le droit de mépriser l’argent comme ça !

Tu te rends compte faudrait en sucer des kilomètres de queue hein pour se payer une bagnole comme ça.

Et toi, maman, c’est plus la peine de me donner tes cachets , si j’pète tout le temps c’est que j’arrête pas d’me faire défoncer le cul.

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L’abbé

L’abbé

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Inspecteur Sauveur Cristini

Inspecteur Sauveur Cristini

Olivier Bréchet/Sonia

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LE FILM

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ANALYSE

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Le cinéma d’action a connu de meilleurs jours diront certains, consternés devant l’insipidité des films d’action hollywoodiens des dernières années. On pense à tous ces navets qu’on croirait produits dans la même usine que les romans Arlequin et on se voit obligé de retourner à notre bonne vieille trilogie Die Hard. En 1997, toutefois, nous est expédié de la France un film de Jan Kounen intitulé Dobermann, où une star montante en France tient le rôle principal : Vincent Cassel.

Personne n’est à l’abri des préjugés assez courants en Amérique du Nord insinuant que les films français sont « plats » et « ennuyeux ». C’est que les films français ont parfois tendance à moins mettre l’accent sur les effets spéciaux, les cascades spectaculaires, les armes à gros calibre, etc. Eh bien, si Dobermann était un clown, il viendrait solidement entarter cette idée préconçue. Le film de Kounen est une c r i t ique/ sa t i re de l ’ excès

présent dans le cinéma d’action hollywoodien et est agrémenté de multiples et savoureuses touches françaises, le tout dans un emballage où on retrouve tous les éléments gagnants de la formule américaine à la puissance dix.

On suit l’histoire d’une bande de voyous féroces mais en quelque sorte sympathiques qui s’amusent à braquer des banques de temps à autres, question de faire un peu de pognon. Au milieu de ce gang, on retrouve le fameux Dobermann (Vincent Cassel), criminel recherché par la police, ainsi que sa sublime mais fatale demoiselle (Monica Bellucci). Du côté des opposants, on retrouve un flic complètement détraqué et barbare dénommé Cristini (Tchéky Karyo) qui n’a qu’un seul et unique but en tête  : éliminer le fameux malfrat et sa fidèle bande.

Une bande de voyous féroces mais en quelque sorte sympathiques

Critique/satire de l’excès présent dans le cinéma d’action hollywoodien

Un spectacle où tout est excessif : violence, drogue, musique techno, coups de feu, attitude de dur, explosions, poursuites, personnages, etc.

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ANALYSE > À la loupe

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Voilà une histoire simple. Trop simple? Pas dans ce cas-ci. Contrairement aux films Américains, où on tente souvent tant bien que mal d’insérer des éléments complexes ou des intrigues parallèles question de justifier quelques explosions de surplus, Kounen, lui, conserve le concept de base du film d’action  : l’affrontement. Oui, Dobermann n’est qu’un combat entre les policiers et les bandits (et notez bien que je n’ai pas parlé de bons ou de méchants, puisque cette notion est absente dans le film), mais on a misé ici sur des éléments qu’on néglige souvent dans ce genre de cinéma. Tout d’abord, les personnages.

On a droit à une vaste palette extrêmement colorée de personnages, tous plus fous, sadiques, brutaux, speedés, et caricaturaux les uns que les autres. Ils sont tous là; le travesti, le jeune pervers, le mafieux brutal et orgueilleux, le gentil et lourdaud barbu qui ne vit que pour son petit chien

qu’il adore, le prêtre qui semble si sage mais qui dissimule une grenade dans sa Bible et récite des prières morbides après avoir descendu un ennemi, la femme du Dobermann, une séduisante et agressive dame souffrant de surdité, un commissaire de la police peureux, un autre policier sadique et complètement camé, etc. Puis, parmi tous ces hurluberlus à perruques, cigares et armes automatiques, on retrouve le protagoniste, magnifiquement interprété par Vincent Cassel, qui, dans ce monde où l’excès est roi, vient tempérer les choses.

Le second côté fort intéressant de Dobermann, toutefois, est son aspect satirique et parodique. Certes, on peut interpréter le film comme une avalanche de scènes d’action et de fusillades hyper speedées qui se prend au sérieux, mais ce serait là une grave erreur. On a ici droit à un spectacle où tout est excessif  : violence, drogue, musique techno, coups de feu, attitude de dur, explosions, poursuites, personnages, etc.

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ANALYSE > À la loupe

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Et cet excès, on le reconnaît, est très souvent marqué dans les films d’action d’Hollywood et commence à envahir également le cinéma européen. On nous donne ici une surdose de tout cela, et on fait exprès. Il s’agit d’une caricature, d’une espèce de bande dessinée sur pellicule, d’un espèce de « thrash » savamment administré dont le but reste purement critique.

D’ailleurs, le caractère humoristique parfois assez cru de plusieurs scènes laisse clairement voir l’aspect de parodie. Il y a notamment les deux premières scènes, la première étant une animation tridimensionnelle où un chien vêtu d’un manteau de cuir et armé d’un pistolet tire dans la « lentille « de la caméra, qui tombe par la suite au sol pour laisser voir un jet d’urine éclabousser le générique. Puis, on enchaîne avec le baptême du Dobermann, bébé, qui reçoit de son parrain un superbe magnum chromé. Il y a aussi quelques scènes où, Cristini,

complètement enragé et drogué, fusil d’assaut en main et énorme cigare au bec prononce des phrases hyper clichées en anglais, question pour lui d’avoir l’air dur et question pour Kounen de critiquer l’américanisation du cinéma français.

Kounen es t un exce l lent réalisateur qui fait preuve d’une inventivité impressionnante  : il utilise le principe du « split-screen » de façon absolument remarquable, il trouve des transitions fort originales entre les scènes et offre un ensemble d’un dynamisme et d’une énergie constants grâce à sa maîtrise des mouvements de caméra. Plusieurs scènes dans le film sont vraiment hallucinantes, je pense notamment à celle où Cristini quitte la vie, dans une espèce de séquence de rêve comateux qui a, d’après moi, volé la place de Blade Runner pour ce qui est de la « meilleure scène de mort de l’ennemi ». Les personnages ont chacun leur personnalité distincte, ce qui n’est pas peu

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ANALYSE > À la loupe

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dire dans un film d’action. L’interprétation est impeccable. Vincent Cassel joue son rôle à merveille et Tchéky Karyo nous offre une performance absolument exceptionnelle. Monica Bellucci a quelques excès de jeu peut-être, mais cela reste discutable, puisque le film en tant que tel s’avère être une critique de l’excessivité et que son rôle, comme celui du reste de la distribution, est de reproduire un personnage exagéré.

Bref, un film où il n’y a pas réellement de bons ni de méchants, mais plutôt des fous et des très fous. Malgré ce qu’on pourrait penser à première vue, Dobermann est un film qui fait appel à l’intelligence. Si on analyse le comportement du protagoniste et qu’on le compare à celui des autres personnages, le film, lors de son point culminant, e s t d ’une force e t d ’un symbolisme très développés.

Dans un univers caricatural hyper violent, tout ce beau monde se poursuit, se tire dessus et se saigne à blanc pour finalement arriver à une conclusion où la prise de conscience de tout cet excès se fera non seulement chez les personnages, mais aussi chez le spectateur, qui devrait conséquemment comprendre l’essence même de ce film. éducalcool devrait s’en servir pour faire passer son message  : « la modération a bien meilleur goût ». Voilà donc un sacré film d’action et une très efficace satire du cinéma d’action américain assaisonné de la sauce française d’un sacré cuistot!

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l’inspecteur Lefevre tire en l’air

Cristini tue la mère †Cristini tire sur Manu

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Nat tue un �ic † Cristini tue Pitbull †Manu se tire une balle †

Dob tire dans la TV

Cristini tire dans l’ambulance de Dobun �ic tire sur Dob et Nat †††

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les �ics tirent sur Moustique et l’abbéMoustique tire sur les �ics

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Manu tue l’inspecteur Lefevre †Léo mitraille le motard

le motard tire sur Dob et tue le chien †

l’abbé mitraille la main du motardl’abbé grenade la tête du motard †

Manu tire sur les �ics

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Manu tue l’inspecteur Lefevre †Léo mitraille le motard

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Manu tue l’inspecteur Lefevre †Léo mitraille le motard

le motard tire sur Dob et tue le chien †

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Manu tue l’inspecteur Lefevre †Léo mitraille le motard

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l’abbé mitraille la main du motardl’abbé grenade la tête du motard †

Manu tire sur les �ics

Moustique tire en l’airauteurs des tirs

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l’anim de Dob tire sur la caméra Dob tire dans le fourgon Moustique tire dans la balle de tennis Nat tire une rocket dans la banqueDob tire dans la caméra

l’inspecteur Lefevre tire en l’air

Cristini tue la mère †Cristini tire sur Manu

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Nat tue un �ic † Cristini tue Pitbull †Manu se tire une balle †

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ANALYSE > Graphique

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ANALYSE > Braquages

Paris La Défense

> Banque Commercialde de France > La banque de l’Union

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Plan des banques parisiennes braquées à 27’50’’

ANALYSE > Braquages

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ANALYSE > Graphique > Bolides

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ANALYSE > Graphique > Bolides

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ANALYSE > Graphique > Bolides

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ANALYSE > Graphique > Bolides

Chevrolet Corvette C4 L98 Vitesse max 235 km/h0 à 100 km/h 5,8 sPrix 265000 FFAnnée de sortie 1985Consomation 11,4 L/100kmMoteur V8 à 90°Energie EssencePuissance 230 ch Type PropulsionLongueur 448 cmLargeur 179 cmHauteur 119 cmPoids 1460 Kg

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GACHETTE

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N’en déplaise aux Cahiers Du Cinéma, il n’est pas ici question d’un polar sombre, ou d’une combinaison stéréotypée de flics divorcés versus jeunes délinquants de cité. Dobermann nous offre une version nouvelle du grand banditisme sur les écrans. Certes, il en va de l’exagération de certains passages, mais après tout, pourquoi s’en priver ? La jubilation se retrouve dans le fait que les personnages n’ont d’estime que la taille de leur calibre, alors forcément, ça ne fait pas dans la dentelle... À noter que notre petit chouchou Cassel n’en n’est pas à son premier coup d’essai dans le genre. Et entre nous : ça lui va tellement bien !

On note aussi les dialogues crus : les discours flingo-bibliques de l’abbé, les petites blagues salaces du flic véreux, la puérilité totale de cette bande de braqueurs ahuris... On se régale ! Dobermann n’a rien d’un film sombre, c’est au contraire un joyeux cirque d’armes à feu en tout genre, d’explosion

abracadabrantes, où des voitures surpuissantes crissent des pneus comme jamais. La palme va également aux nombreuses références et parodies habilement incrustées par Kounen dans plusieurs séquences du film

De plus, on ne compte plus le nombre de film retraçant b r aquage monument aux , biographie de criminels en tout genre, ou pire : le combo super-flic contre super- méchant. Ici, nous sommes dans le pur divertissement, alternant entre le film d’action qui fait mal aux oreilles et le comique du mardi soir sur tf1. Mélange surprenant, certes, mais qui a sa part de charme, tant l’alternance de ces deux registres ne peut vous laisser indifférents.

Dobermann fait partie de ces films typiquement gâchette, à savoir bien cinglant, doté d’un humour presque pitoyable (donc drôle) et d’une armada impressionnante, fait rarissime dans le paysage cinématographique français. Le casting est également digne d’un blockbuster amerlok’, sauf que contrairement à Hollywood, notre bon vieux Kounen a su faire les choses avec subtilité.

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GACHETTE > Pourquoi Gachette

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GACHETTE > La Recette

1) Prenez une belle brochette de rejetons de la société, évitez le surgelé afin de garder la saveur d’une bonne barbarie printanière.

2) Aromatisez au préalable vos personnages d’une armada gargantuesque. Cela rajoutera un soupçon de piquant à vos personnages.

3) Pour la cuisson, nous vous conseillons la marque lamborgini sur le thermostat V8 durant 1h43. Faites attention cependant à ficeler votre viande à l’aide des ceintures de sécurité prévu à cet effet, afin d’ éviter un désastreux éparpillage de membres.

4) Surtout ne piquez pas vos victimes dès la première demi heure de cuisson ! Laissez les tranquillement baigner dans le jus de leur anxiété.

5) Afin de ne pas dessécher votre viande criminelle, penser à la retourner de temps en temps dans quelques blagues vaseuses, disponibles chez tout bon réalisateur de série B.

6) Durant la cuisson, épluchez tranquillement quelques policier pour préparez un jus bien saignant, idéal pour ce genre de plat !

7) Versez ensuite ce délicieux nectar de gardien de la paix (et accessoirement de pauvres père de famille) à part dans un petit bol, de préférence à l’effigie d’Al Paccino.

8) Pour les 5 dernière minutes de cuisson, pensez à saupoudrer le tout d’une bonne salve de mitrailleuse. Mieux vaut un film bien épicé qu’horriblement fade. Souvenez vous des déboires du chef Christophe Honoré...

9) C’est près ! L’idéal est de servir votre film autour d’un bon canapé entre amis. Préparez vous à dégustez un met typiquement gâchette !

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GACHETTE > On vous conseil

Jan Kounen

Kourtrajmé

Vincent Cassel

S’ arrêter à Dobermann serait une bien grossière erreur pour juger de l’ampleur du travail de ce réalisateur. Ainsi, si vous avez appréciez ce dernier, on vous conseil également son autre long métrage, également très populaire dans la culture du cinéma français : « 99 Francs ».

Si Vincent Cassel vous à surpris en incarnant ce gangster décadent, vous n’en serez que plus surpris en découvrant ses diverses apparition au sein de ce collectif de banlieue génialissime ! Le film «Sheitan» pour un berger plus que barré, ou «Notre Jour Viendra», le dernier film de Romain Gavras vous raviront à coup sur.

Comme dit précédemment, voici un acteur hors du commun. Véritable empereur du grand banditisme français dans Mesrine, gangster italien rempli de classe dans Ocean’s Twelve, ou encore un détenu troublant dans la Haine. Que des chefs d’oeuvre à découvrir si ce n’est pas déjà fait.

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GACHETTE > On vous conseil

Dans la veine de Dobermann, ce film de Kader Aym et Karim Abbou propose lui aussi un portrait de gangster made in France, le tout sur un ton à la fois parodique et (faussement) dramatique. Méprisé par la critique que nous méprisons, il est pourtant tout à fait dans la veine de gâchette collection.

Dobermann de Kounen est basé sur la série de romans de cet écrivain, au départ intitulée «Le Dobermann» américain publiée en 1981. Forcemment tout commence ici, donc si vous êtes curieux et près à passer de bonnes nuits blanches, nous vous recommandons ces livres.

Oldschool

Joel Houssin

5560

Christophe Honoré

Les cahiers du cinéma

Le Boulet

Forcement il y’en a qui vont parler de ce réalisateur comme du prince incontesté du renouvellement du cinéma français. Nous, nous en parlons plutôt comme d’un marchand de sable extrèment efficace au sein des salles obscures. Si vous voulez payer un ticket de cinéma pour dormir trois heures durant, en face d’un Louis Garrel pleurnichant sur sa pauvre existence, ça vous regarde.

A t’on réel lement besoin d’expliquer pourquoi ?

La aussi, un bel exemple de pauvreté d’esprit de la part d’Alain Berbérian et Frederic Forestier, en même temps leurs filmographie respectives en dit long.

GACHETTE > Évitez ça

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Nous aimons les films d’action français, mais notre conception de l’Action, avec un grand A ne doit pas être la même. Comment peut on s’appeler Luc Besson et produire un tel navet aux dialogues et scénario plus que navrants ? Peut être une soudaine envie de sa part de jeter de l’argent par les fenêtres ? Ce en parodiant de manière honteuse l’immense Scarface à la fin d’une heure quarante cinq de supplice.

Un film d’action, ou tout autre film d’ailleurs, produit par TF1 peut vous être fatal ! Surtout soyez prudent en allumant votre téléviseur, ou en vous rendant dans votre vidéoclub favoris. Prudence !

Taxi 4

TF1

GACHETTE > Évitez ça

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GÂCHETTE > Le livre

Nombre de pages 72

Typographies utilisées Adobe Garamond Pro bold, italique, régular ( Claude Garamond - 1530) Chapparral bold italique ( Carol Twombly - 1997) Gâchette régular, gâchette ( J. Bihan, A. Benassis - 2011)

Couleurs (C= 0 M=0 J=0 N=100) (C=100 M=0 J=0 N=0)

Type de papiers Clairefontaine Trophée 80 g bleu royal

Type de reliure Dos carré collé apparent.

Format du poster A1

Type d’impression(s) Numérique

Nombre de caractères 36.953

6872

GÂCHETTE > Le livre

Nom et adresse de l’éditeur Gâchette Collection 34 rue Hoche salle 201

Nom et domicile de l’imprimeur Identik Z.A La Carrière rue de la Carrière BP 11414 35514 Cesson Sévigné Cedex Mois et année de création Septembre 2012

Date d’achèvement du tirage 13/12/2012

Conception graphique Thomas Lucas, Romuald Lay, Justin Bihan et Axel Benassis

Dirigé par Aurélie Gasche et Benjamin Gomez

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GÂCHETTE > Le livre

Nombre de pages 72

Typographies utilisées Adobe Garamond Pro bold, italique, régular ( Claude Garamond - 1530) Chapparral bold italique ( Carol Twombly - 1997) Gâchette régular, gâchette ( J. Bihan, A. Benassis - 2011)

Couleurs (C= 0 M=0 J=0 N=100) (C=100 M=0 J=0 N=0)

Type de papiers Clairefontaine Trophée 80 g bleu royal

Type de reliure Dos carré collé apparent.

Format du poster A1

Type d’impression(s) Numérique

Nombre de caractères 36.953

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GÂCHETTE > Le livre

Nom et adresse de l’éditeur Gâchette Collection 34 rue Hoche salle 201

Nom et domicile de l’imprimeur Identik Z.A La Carrière rue de la Carrière BP 11414 35514 Cesson Sévigné Cedex Mois et année de création Septembre 2012

Date d’achèvement du tirage 13/12/2012

Conception graphique Thomas Lucas, Romuald Lay, Justin Bihan et Axel Benassis

Dirigé par Aurélie Gasche et Benjamin Gomez

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GACHETTE COLLECTION > Dobermann

Gachette collection est fier de mettre en lumière dans cet ouvrage un film qui malgré son originalité et une certaine démesure, peine à saisir le grand public : Dobermann. Jan Kounen n’en est pas à son premier coup d’essai dans le milieux, nous non plus me direz vous, mais nous avons voulu en savoir un peu plus sur ce film qui, au dela d’offrir au spectateur un casting des plus alléchant, reflète un genre nouveau du film de flingues made in France.

Et pour cela, nous allons vous offrir une analyse dès plus détaillées, du nombre de balles tirées aux différentes marques de voitures utilisées, sans omettre bien entendu les biographies des acteurs. Kounen lui même n’aurait pas pu rêver mieux.

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