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N°38 DÉCEMBRE 2008 -1- www.lefildentaire.com Partageons Notre Savoir-Faire

Gestion RH

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Conseils Gestion RH

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N°3

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Partageons Notre Savoir-Faire

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APPAREILS MATÉRIEL INSTRUMENTS

Idées pour la technique dentaire

Basic master

Basic quattro

Basic quattro IS

Technique Renfert de micro sablage

âPrécision & efficacité – un cône de sablage trèsconcentré qui empêche les déperditions d’énergieet d’abrasif

âReproductible – Propriétés d‘adhésion parfaites

âNette économie de produits de sablage

Basic classic

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Sur le fil > 6 à 14 Actualités France et International Nouveaux produits – Revue de presse

Interview Côté Jardin > 16 à 18 Sécurité des prothèses dentaires : Protilab répond

Clinic Focus > 20 à 22 Intérêt d’une microsableuse au sein d’un cabinet dentaire

Conseil Organisation > 24 et 25 Management d’équipe : Où en êtes-vous ?

Conseil Gestion RH >26 et 27 L’affichage obligatoire en cabinet dentaire

Conseil Éco > 28 et 29 Crise financière et économique : sécurisez et sachez saisir les opportunités

Interview Rencontre > 30 Rencontre avec le Dr Philippe Battu

A l’Affiche Formation > 32 2e congrès ITI France : « Les clés de la Réussite en prothèse implantaire »

Au Fil du temps > 33 à 36 Agenda

Petites Annonces > 37 et 38

edito sommaire

www.lefildentaire.com > �

Mesure d’audience

orsqu’il m’arrive d’emprunter les trans-ports en commun, mes yeux sont atti-rés, déformation professionnelle oblige, par les titres de presse qui occultent les

yeux des voyageurs. A mon grand étonnement, je constate que les « Métro », « 20 minutes » et autres « Direct  Matin » se sont substitués aux célèbres « Le Monde », « Le Figaro » et autres « Le Parisien » formant le bastion de la presse quotidienne française. La presse gratuite aurait-elle pris une longueur d’avance ?Le choix d’un tel modèle économique a été celui

du Fil Dentaire voilà maintenant 5 ans avec pour ambition de parvenir gratuite-ment chaque mois à votre cabinet, vous offrir des contenus rédactionnels prati-ques, proches de votre réalité quotidienne dans tous les univers touchant à votre exercice et comme si cela ne suffisait pas, nous avons également mis l’accent sur la qualité esthétique du support.Un challenge difficile pour une publication qui, tout en vivant de ses ressources publicitaires, a su conserver toute son intégrité rédactionnelle.Les mails et courriers de confrères qui parviennent à la rédaction, les éloges que nous recevons de tous bords lors de nos déplacements en congrès sans oublier l’implication constante de nouveaux auteurs parmi les plus grands noms en Fran-ce nous indiquent que le support évolue dans le bons sens et que vous êtes certai-nement de plus en plus nombreux à prendre plaisir à nous lire. Néanmoins, certains attribuent notre pérennité à une appartenance cachée à un grand groupe de presse ; d’autres, estiment que notre support, faute d’être vendu, n’est pas valorisé et d’autres plus récemment encore, s’appuyant sur la crise actuelle, ont déjà programmé notre disparition. Mais, contre vents et marées, nous sommes là, constants et innovants, avec une perspective 2009 qui ne manquera pas de vous séduire.Pour toutes ces raisons, après 5 ans d’existence, il nous paraît intéressant de mesu-rer cette audience avec votre aide. Votre fidélité est sans aucun doute le meilleur faire valoir de notre travail – Pour cela, que vous soyez lecteurs inconditionnels, assidus ou occasionnels, nous vous saurions gré de vous identifier en postant un email à l’adresse suivante : [email protected] ou en envoyant un cour-rier portant la mention « Je lis le Fil » à l’adresse suivante :

LE FIL DENTAIRE – Audience 95 rue de Boissy, 94370 Sucy en Brie.

Dans l’attente impatiente de vous découvrir nombreux, toute l’équipe se joint à moi pour vous souhaiter d’excellentes fêtes et que l’année 2009 se place sous l’augure de la réussite et l’épanouissement dans votre exercice.

Patricia Levi

LImages de Marques

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sur le fil

Revue mensuelleTIRAGE 38 000 exemplaires95 rue de Boissy - 94370 Sucy-en-Brie.Tél. : 01 56 74 22 31 Fax. : 01 45 90 61 [email protected]

Directrice de la publication : Patricia [email protected]

Une publication de la société COLELSARL de presse – RCS 451 459 580ISSN 1774-9514 – Dépôt légal à parution AIP N°0001300

Rédacteur en chef : Dr Norbert [email protected]

Directrice commerciale : Patricia LEVI

Direction artistique : [email protected]

Rédaction : Dr Adriana AGACHI, Catherine BEL, Dr Steve BENERO, Dr Edmond BINHAS, Georges BLANC, Dr Éric BONNET, Dr Jacques CHARON, Rodolphe COCHET, Dr Angela GILET, Catherine N’GUYEN, Dr Philippe PIRNAY, Yves ROUGEAUX, Dr Déborah TIGRID

Conseiller spécial : Dr Bernard TOUATI

Comité scientifique :Dr Fabrice Baudot (endodontie, parodontologie)Dr Eric Bonnet (radiologie numérique, blanchiment)Dr Alexandre Boukhors (chirurgie, santé publique)Dr Nicolas Cohen (microbiologie, endodontie, parodontologie)De Georges Freedman (cosmétique) (Canada)Dr David Hoexter (implantologie, parodontologie) (USA)Dr Alexandre Miara (blanchiment)Dr Hervé Peyraud (dentisterie pédiatrique et prophylaxie)Dr René Serfaty (dentisterie restauratrice)Dr Raphaël Serfaty (implantologie, parodontologie)Dr Stéphane Simon (endodontie)Dr Nicolas Tordjmann (orthodontie)Dr Christophe Wierzelewski (chirurgie, implantologie)

Secrétaire de rédaction : Barbara [email protected]

Secrétaire de direction : Marie-Christine GELVÉ[email protected]

Imprimerie : Savoy Offset : 4 rue des Bouvières, PAE Les Glaisins, B.P. 248, 74942 Annecy-Le-Vieux

Couverture : © Luis Ceifao/Fotolia

Photos : DR, Fotolia, Rodolphe Cochet

Publicité : Patricia LEVI - 06 03 53 63 98

Annonceurs :Axel Dentaire, Ekler, E-motion, Foxy, Groupe Edmond Binhas, Hyphen Développement, Import Dentaire, Prodont Holliger, Protilab, Renfert, Sun dental Labs, TBR Group, Thommen Medical, Vita Zahnfabrik

Encarts :Guide « Se former en odontostomatologie »

le fil DeNTaire< < N°38 < décembre 2008�

Un premier congrès international réussi Défi relevé et franc succès pour le premier congrès internatio-

nal de la firme française spécialisée en implantologie, Euro-Teknika, qui a proposé les 25 et 26 septembre dernier ses journées « Rencontres  et  réflexions pour  l’implantologie », au centre de conférence Etoile Saint Honoré de Paris. 19 conférences de spé-cialistes en implantologie ont placé ces premières rencontres sous le signe de l’échange, de la diversité et de l’originalité, comme en attestent les thèmes « Maîtrise du risque et gestion du stress : un parallèle entre le ski extrême et l’implantologie » et « Mondiali-sation et implantologie ». Une large place a été faite aux débats et aux discussions à la fin de chaque présentation dans une at-mosphère très conviviale. Rendez-vous est pris en 2009 pour une deuxième édition : à vos agendas ! www.euroteknika.com u

EUROTEKNIKA

« Ecouter et comprendrenos patients » Une erreur s’est glissée dans notre précédent numéro, consa-

cré à l’Esthétique. L’auteur de l’article d’analyse, « Ecouter et comprendre nos patients » (LFD n°37, p.20-23), est le Doc-teur Marie-Hélène MAKARIAN YEROKINE, diplômée en Occlusodontologie et en Odontologie restauratrice et esthétique. Le Dr J.-C. Paris, a collaboré à ce travail en tant que co-auteur. L’article étant un extrait de l’ouvrage Le Guide Esthétique, paru aux éditions Quintessence International, réalisé par les Drs JC Paris et AJ Faucher. Toute l’équipe du Fil Dentaire tient à pré-senter au Docteur Makarian-Yerokine ainsi qu’à l’ensemble de ses lecteurs ses plus plates excuses. u

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Le 3e Symposium de Médecine Dentaire du Moyen-Orient s’est tenu à Jérusalem

les 5 et 6 Novembre 2008. Co-organisé par la Faculté de Médecine Dentaire d’Hadas-sah (Hebrew Univerity) et la Faculté Den-taire de l’Université Al-Quds et sous les auspices du Centre D. Walter Cohen pour l’éducation Dentaire du Moyen-Orient, sur le thème Prévention et Reconstruction Tis-sulaire », ce symposium a réuni plus de 400 chirurgiens-dentistes Palestiniens et Israé-liens : le premier jour à Jérusalem Est (Fa-

sur le fil

L’assistante en implantologie chirurgicale et prothétiquePar G. Droulhet, P. Missika, F. Arnaud

R ichement illustré, cet ouvrage est dédié à l’assistante pour compren-

dre les différentes étapes d’un traitement implantaire, depuis l’étude pré-implan-taire jusqu’à la chirurgie implantaire et la réalisation prothétique sur implant.P. Missika, G. Drouhet, P. Cherfane et E. Zaghroun développent, dans la partie chirurgicale, leur approche et méthode de la préparation de la salle d’interven-tion à l’installation du patient et la pré-paration de l’équipe chirurgicale. Y. Sai-zou et P. Dormagen s’appuient sur une abondante illustration pour mener leur explication de la prothèse sur implant, décrivant chacune des pièces prothéti-ques caractéristiques de l’implantologie et son rôle, ainsi que chaque étape clini-que. J. Fesneau et F. Arnaud consacrent un chapitre à l’importance de la commu-

le fil DeNTaire< < N°38 < décembre 20088

culté Al-Quds), le second jour à Jérusalem ouest (Faculté d’Hadassah). Réunis pour la 3ème fois hors des barrières de religion et dans une initiative pacifique de collaboration entre les diverses communautés ce congrès a réuni de nombreux doyens américains des Universités d’Harvard, Pennsylvanie, Case Western… Invité d’Honneur pour la 2ème fois de ce Symposium, le Dr B. Touati de Paris a été nommé Visiting Professeur de la Faculté de Médecine Dentaire d’Hadassah à l’issue du Symposium. u

Un congrès pour la Paix

Au suivant !

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Greffes osseuses et implantsPar A. Seban

nication, dans laquel-le l’assistante joue un rôle central. Enfin, dans le dernier cha-pitre, Kathy Denys explique comment maîtriser une bonne assistance au cours d’une intervention, avoir une position confortable tout en permettant un accès simple du champ opératoire.Un outil de travail conçu pour permet-tre tant aux assistantes qu’aux praticiens d’améliorer la performance de l’équipe qu’ils doivent former afin d’obtenir la satisfaction optimale du patient. u

L’arbre  de  paix  à  l’entrée  de  la  faculté d’Hadassah. La même sculpture sera faite pour l’Université Al-Quds. 

© D

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Le conseil scientifique de l’AFPAD a étudié avec la plus grande attention les

travaux qui lui ont été soumis pour l’ob-tention du prix AFPAD 2008… Le grand gagnant, Monsieur personne : « Malgré l’ampleur des recherches conduites, il est apparu  que  les  critères  d’innovation  et de rigueur scientifique qui sont la raison d’être  du  prix  AFPAD  n’ont  pas  été  at-teints.  Il n’y a donc pas de  lauréat cette année. » Rendez-vous donc en 2009, pour un prix de 6 000 €. u

PRIx AFPAd 2008

C e guide de référence répond à toutes les questions en lien avec les tech-

niques de greffes osseuses et d’implants qui peuvent se poser face aux insuffisan-ces osseuses maxillaire et mandibulaire de certains patients. Ce livre expose en détail l’attitude thérapeutique indispen-sable à la préservation du tissu osseux, à la prévention de la résorption osseuse et à l’interception de l’atrophie des crêtes osseuses maxillaire et mandibulaire. Les spécificités des comblements sinusiens

à visée implantaire sont développées dans un chapitre qui fait état de l’actuali-sation des nouvelles technologies pour améliorer les per-formances chirurgi-cales. Le protocole chirurgical de mise en place d’implants dans une greffe osseuse et des cas

complexes de reconstructions des atro-phies osseuses sont également traités. u

A LIRE

A LIRE

3E SyMPOSIUM dE MÉdECINE dENTAIRE dU MOyEN-ORIENT

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3373

F

Les grands évènements se fêtent - comme par exemple les

10 ans du VITA SYSTEM 3D-MASTER. 1998 a marqué le

début d'une nouvelle ère dans le monde dentaire. Pour la

première fois, il a été possible de définir toutes les teintes

de dent naturelles d'une manière systématisée et de les

reproduire fidèlement. Depuis, le hasard a laissé la place à

la sécurité et à la précision. Les patients sont déjà des

millions à apprécier la parfaite esthétique de leurs prothè-

ses et les professionnels la très haute valeur ajoutée de leurs

travaux. Participez à la fête / www.10years3D-Master.com

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sur le fil

Thommen propose une nouveau pi-lier, venant compléter sa gamme

Vario Multi, destinée à la prothèse à «multi » éléments. Angulé à 17°, il nécessite un instrument particulier pour sa pose. Ce pilier permet d’ac-commoder une divergence de 17° en plus des 20° autorisés par le système de piliers droits Vario Multi. u

54 %C’est le nom-bre de Fran-çais jugeant

que la qualité des soins prodigués aux patients a stagné ou baissé durant ces dix dernières années, selon une étude sur le degré de satisfaction du public face aux services de santé menée par la société Picis. Ils sont 91% à penser que la technologie constitue le princi-pal facteur à l’amélioration de l’effica-cité des soins de santé. u

Source : www.picis.com/fr/

Clé Affinitotq

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CARESTREAM HEALTH

le fil DeNTaire< < N°38 < décembre 200810

Cette nouvelle clé AFFINITOTQ réunit deux applications, l’une

en chirurgie pour la mise en place de l’implant dans le site osseux, l’autre en prothèse pour le serrage calibré des pièces prothétiques.En procédant par réglages progressifs de 10 N cm en 10 N cm, à partir de 10 N cm jusqu’au couple d’insertion souhaité, la clé dynamométrique four-nira une indication précieuse sur le couple d’insertion des implants à tous les implantologues qui ne souhaitent pas mettre en place leurs implants au moteur, ou qui ne disposent pas d’un moteur avec réglage du couple. Elle

KOdAK 9000C 3dUn 3 en 1 idéal pour l’ortho

Le nouveau système KODAK 9000C 3D est un concentré de technolo-

gie qui propose des images en trois dimensions ainsi que des images pa-noramiques et céphalométriques en un seul appareil. Au design convivial - comme toujours chez Kodak - et 20 % plus compact que son prédécesseur, ce dernier né propose, outre les images cephalométriques du crâne complet, une variété époustouflante de formats d’images, qui répond à tous les besoins en matière de tracés orthodontiques, du crâne entier (30 x 30 cm), aux for-mat standard (18 x 24 cm) et réduit (18 x 18 cm) pour limiter l’exposition du patient. Le système produit des images latérales, frontales (AP/PA), submen-

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permet une mesure précise de la stabi-lité primaire de l’implant.En prothèse, si l’assemblage des constructions prothétiques ne se fait pas avec la précontrainte recomman-dée, la vis pourrait se desserrer après quelques sollicitations. De plus, un couple de serrage trop faible ne créera pas de tension suffisante pour absor-ber les contraintes subies par la vis, un couple de serrage trop important

pourrait endommager le pas de vis de l’implant ou déformer la vis ne lui per-mettant pas d’absorber les contraintes masticatoires. u

Clé  Universelle,  adaptateur  fourni  (pour  clipper tout mandrin), en inox stérilisable, réglable de 10 à 75 N cm.

to-vertex, obliques et carpus avec une reproductibilité constante. La tech-nologie céphalométrique “One-Shot” assure l’exposition du crâne en moins

d’une seconde. La qualité de l’image panoramique est optimisée en fonction de la morphologie du patient grâce à un plan de coupe ajustable. Enfin, un

logiciel exclusif de tracés automa-tiques, fourni avec le système, permet aux orthodontistes de reconnaître, d’un seul clic, jus-qu’à 26 points et 13 structures de la région faciale. Le prati-cien peut utiliser les analyses

prédéfinies (Ricketts, Steiner, McNamara ou Tweed) contenues dans le logiciel ou personnaliser son propre modèle. En intégrant trois modalités d’imagerie dans un même appareil, ce système KODAK 9000C 3D s’impose comme l’outil de luxe incontournable à l’orthodontiste. u

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sur le fil

Le jury du concours « Imagine ta Santé » organisé par GlaxoSmi-

thKline Santé Grand Public en juin, qui invitait à proposer des solutions innovantes pour encourager petits et grands à prendre soin de leurs dents, a délibéré. A l’occasion d’une soirée dans les locaux de l’école Créapole, il a récompensé 9 des 150 projets reçus depuis juin dernier par une dotation globale de 12 000 €. Les participants concouraient dans trois catégories :

La profession signe une charte de bonne conduite

le fil DeNTaire< < N°38 < décembre 200812

à l’occasion de l’ADF et suite à la polémique sur la prothèse

dentaire, les principaux de la pro-fession (Conseil de l’Ordre, ADF, UJCD-Union Dentaire) ont désiré recentrer le débat en cosignant une charte d’engagement sur les bonnes pratiques en matière de réhabilita-tion prothétique. L’objectif : faire preuve de transparence, rassurer les patients, et rappeler aux chirur-giens-dentistes leur responsabilité en matière de traitement prothétique global et de son suivi. En 5 points, cette charte engage le praticien à respecter les obligations légales qui lui incombent : recueillir le consentement éclairé du patient, établir un devis préalable à tout traitement prothétique (où doivent figurer les types de matériaux utili-sés) et en assurer la traçabilité, au moyen d’une fiche navette prati-cien/prothésiste, conformément à la directive européenne 93/42 CEE. u

Prix AdF de l’innovation professionnelleLe fil, le miroir et la seringue !

De son côté l’ADF est venu remettre son prix de l’Innovation professionnelle à

trois ingéniosités : MirroscopeTM Pro 200, le premier miroir dentaire numérique avec caméra miniature incorporée ; SanijectTM, une seringue avec diffusion… indolore ! Et enfin, Monocryl Plus, un fil chirurgical avec antiseptique contenu à la fois en sur-face et à l’intérieur. u

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PROTHESE

Prix « Imagine ta Santé »Remise des prix du concours de créativité sur la santé bucco-dentaire

brossage at ‘‘home’’, brossage nomade, et communication brossage. 60 projets avaient été présélectionnés, beaucoup d’ingéniosité, d’humour et de créati-vité furent au rendez-vous. Le Grand prix du jury a été remis au projet Les dents  du  bonheur, une courte vidéo réalisée sous forme de scénettes de 3 minutes se déroulant en famille, dans la salle de bain. Le concours continue en ligne avec le vote des internautes, trois Ipod Nano à gagner à la clé ! u

Prix Septodont 2008 de la Meilleure Publication Française

Pour la 8e année consécutive, Septodont a décerné le prix destiné à récompen-

ser le meilleur auteur d’une publication française. Le Jury s’est réuni fin novembre, présidé par le Professeur J-Ph. Lodter, et a désigné le lauréat 2008, le Docteur Nicolas Mailhac pour sa publication « Acide zole-dronique : Effet iatrogène précoce », parue dans la revue Le  Chirurgien  Dentiste  de France d’octobre 2007. Remis à l’ADF, le chèque du prix a été reversé, à la demande du Lauréat, à l’association SFMBCB (So-ciété Francophone de Médecine Buccale et de Chirurgie Buccale). u

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Les dents du bonheur, grand gagnant  du concours «Imagine ta Santé».

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Indications

Avantages

De l’élément unitaire jusqu’au bridge.

Parfaite résistance à la corrosion et à la

être recouvertes

exigences

de céramique dentaire.

et répond aux température,particulières des restaurations qui doivent

AvantagesPas de crochet métallique.Une plus haute résistance aux taches que les autres acryliques. Une parfaite �exibilité.La possibilité de rebaser et réparer.Indéformable, incassable.

IndicationsUne prothèse adjointe d’un esthétismeparfait alliant confort et fonction. Idéal pour prothèse provisoire Implantaire Recommandé aux personnes allergiques au monomère.Peut être utilisé sur un châssis métallique.

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sur le fil Rubrique animée par le Dr Angela GILET

dr Angela Gilet

. . . de la presse étrangère

Un état émotionnel négatif raccourcit la durée de la séquence masticatoire L’objectif de cette étude française était d’évaluer par

électromyographie les effets des états émotionnels positifs et négatifs lors de l’ingestion alimentaire. Ils ont utilisé une association d’images et sons extraites du « sys-tème d’images émotionnelles international » (IAPS*) et du « système de sons émotionnels numérisés » (IADS**). Ces effets qui allaient de neutre à agréable ou désagréable ont été utilisés pour examiner l’activité musculaire de 26 jeunes adultes exposés à ces stimuli lors de la mastication de fromage. L’état émotionnel a été évalué par l’enregis-trement de variations du rythme cardiaque. Résultats : quand on compare les stimuli agréables et neutres aux stimuli désagréables, on observe moins de mastication et d’activité musculaire lors des stimuli désagréables, résul-tant d’une séquence masticatoire raccourcie. u

*IAPS : International Affective Picture System** IADS: International Affective Digitized Sound

deiss v., Rossignol L., Bourdiol P. Negative emotional state shortens the duration of the chewing sequence. Food Quality and Preference. 20 (2009) 57–61.

OMNIPRATIQUE

des facteurs qui affectent la composition du biofilm supragingival chez l’humain : Quantité de plaque dentaire et positionnement dentaire Deux publications consécutives du Journal of pe-

riodontal research ont présenté les travaux de recherche d’une équipe qui étudie la relation entre l’examen d’ADN des échantillons de biofilm supra-gingival, les paramètres cliniques et la composition du biofilm supragingival. Elle teste l’hypothèse sui-vante : la position de la dent affecterait la compo-sition microbienne de la plaque supragingivale au delà de l’effet dû à la plaque dentaire. Pour ce faire, des échantillons de plaque dentaire supragingivale de 187 adultes sains (n=4745 échantillons) ont été analysées : le contenu de 40 espèces de bactéries et l’analyse de surfaces dentaires (Kruskal-Wallys test appliqué aux molaires, bicuspides, incisives/ca-nines, maxillaires et mandibulaires). Ils concluent que les proportions des espèces microbiennes au

Haffajee et al. Factors affecting human supragingival biofilm composition. I. Plaque mass / II. Tooth positio-ning. Journal of periodontal research. Published on-line: 7 oct 2008.

niveau du biofilm supragingival sont influencées par la quantité totale d’organismes du biofilm, et que le positionnement dentaire est aussi fortement corrélé à la proportion des espèces. Les dents avec beau-coup de plaque –molaires et incisifs inférieurs - ont une forte proportion de Capnocytophaga gingivalis, Actinomyces  naeslundii,  Campylobacter  rectus  et Campylobacter showae. Pour Veillonella parvula et Streptococcus sanguinis, leurs proportions varient si-gnificativement entre différentes positions des dents, pour une même plaque dentaire. u

OMNIPRATIQUE

le fil DeNTaire< < N°38 < décembre 200814

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le fil DeNTaire< < N°38 < décembre 20081�

interview CoTé jarDiN

Depuis sa création il y a seulement 3 ans, rien ne semble arrêter la croissance vertigineuse de Protilab. Où en êtes-vous aujourd’hui et à quoi attribuez-vous ce succès dans un secteur pourtant très concurrentiel ?Au cours de mes études (ndlr : Frédéric Samama est  diplômé de l’ESSEC, promotion 1995), mes profes-seurs m’ont toujours enseigné que toute politique commerciale ou marketing, même brillamment menée, sert à peu de choses si les produits ou les services proposés ne sont pas à la hauteur. Même si notre politique de communication a été ambitieuse, la raison essentielle de son succès est l’excellence de ce que nous offrons à nos praticiens : l’excel-lence de la qualité des prothèses réalisées, bien sûr, avec un laboratoire partenaire certifié ISO où vivent toute l’année trois de nos collaborateurs pour y for-mer les techniciens, contrôler l’ensemble des tra-vaux avant expédition et veiller au strict respect des normes de sécurité ; l’offre d’une gamme complète de produits qui inclue les dernières technologies de pointe (couronnes Captek, Cercon Zirconium, travaux sur Titane etc...) ; enfin, l’excellence du service rendu par notre équipe jeune, dynamique et motivée constituée de plus de 40 personnes à Paris, dont 15 prothésistes diplômés.

Aujourd’hui, Protilab compte plus de 2 000 prati-ciens, dont la plupart nous envoient des travaux de manière régulière. Jamais n’avons-nous reçu de leur part autant de messages de satisfaction et d’encoura-gements, nous félicitant de la régularité de la qualité de nos prothèses, de la fiabilité de nos délais et de l’excellence de l’accueil téléphonique ou du suivi personnalisé par nos prothésistes-conseil. Je profite d’ailleurs de cette interview pour remercier l’ensem-ble des praticiens qui nous font confiance, ainsi que chacun des membres de l’équipe Protilab sans qui cette réussite n’aurait pas été possible.

Quels sont vos objectifs pour 2009 ?Franchir un nouveau cap dans notre développement pour devenir le leader du marché. Notre stratégie de communication aura pour but de faire connaître à la profession dentaire nos atouts en termes de qualité, de service et de délai. Concernant ce dernier point, par exemple, beaucoup de praticiens, sans doute échau-dés par des promesses pas toujours respectées par nos concurrents, peinent à croire en notre délai de 7 jours porte-à-porte partout en France (soit 1 semaine,

frédéric samaman Directeur Général

de Protilab

Sécurité des Prothèses DentairesProtilab répond...

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Département Céramique.

Le certificat ISO.

Suite à la polémique portant sur la qualité et la traçabilité de la prothèse dentaire récemment relayée par la presse et les médias Grand Public, Le Fil Dentaire est allé à la rencontre d’un des principaux laboratoires délocalisant leur production. Frédéric Samama qui dirige le laboratoire Protilab, modèle de réussite dans ce domaine, apporte un éclairage à ce dossier.

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Sécurité des Prothèses DentairesProtilab répond...

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y compris pour des bridges de longue portée ou des stellites en finition directe). Et pourtant : notre grille des délais a été respectée dans 92 % des cas depuis le début de l’année (en cas de retard, le praticien est prévenu 48h à l’avance afin de ne pas perturber son agenda). D’autres encore sont sceptiques sur la qua-lité (et la régularité de la qualité) de nos travaux, je leur réponds : essayez-nous ! D’ailleurs, nous vous offrons la réalisation d’une CCM de démonstration gratuite, car nous ne doutons pas que vous serez conquis par votre première expérience Protilab.

Certains articles et reportages qui sont passés tout récemment dans la presse grand public font état d’une moindre qualité et d’une présence de plomb dans des prothèses fabriquées à l’étranger. Comment réagissez-vous ?Tout est parti d’un article publié dans le magazine Capital du mois de Novembre qui a comparé les qualités de 4 CCM vendues en France : 3 de « pre-miers prix », fabriquées en Chine et 1 classique, réalisée en France.

Il convient tout d’abord de préciser que ces cou-ronnes « premiers prix » correspondent en fait aux gammes « économiques » qu’offrent la plupart des laboratoires d’importation, mais aussi un nombre croissant de laboratoires français classiques. Elles ne sont généralement réalisées qu’avec une seule poudre céramique (dentine) alors que les couronnes classiques, sont, elles, montées avec un minimum de 3 poudres (5 pour ce qui concerne les couron-nes en gamme Perfection de Protilab). Cette gamme économique répond à une demande bien particuliè-re de la part des praticiens pour leurs patients à fai-bles ressources et/ou couverts par la CMU. A cette patientèle qui n’avait auparavant d’autres choix que de se satisfaire d’une prothèse amovible ou de couronnes coulées, l’existence de cette gamme économique leur offre désormais une alternative : des dents blanches, certes moins jolies que des CCM classiques, mais aux mêmes qualités fonc-tionnelles ! Cette gamme est cependant marginale dans notre secteur d’activité : à titre d’exemple, la

gamme Eco Plus de Protilab ne représente que 6 % de nos ventes.

Quoi qu’il en soit, la comparaison esthétique entre une couronne économique fabriquée en Chine et une couronne classique fabriquée en France est un exercice qui revêt, plus ou moins, la même pertinen-ce que l’organisation d’une course de vitesse entre une Peugeot 307 fabriquée en Chine (à Wuhan), et une Peugeot 607 qui, elle, est fabriquée en France (à Sochaux). Conclurait-on, à l’issue de cette cour-se, que les usines chinoises sont inaptes à fabriquer des voitures haut de gamme ? Si oui, il faudrait en avertir au plus vite Citroën qui compte fabriquer toutes ses nouvelles C5 en Chine dès 2009. Pensez-vous que le « Comité des Constructeurs Français d’Automobiles » (ndlr :  le  syndicat  professionnel des  constructeurs  d’automobiles) se risquerait à conclure, au vu du simple résultat de cette course, à la supériorité des ouvriers français sur leurs homo-logues chinois ? S’ils craignent le ridicule, ils s’en garderaient probablement… Et pourtant, tout der-nièrement, et dans un autre domaine que l’automo-bile, un syndicat français n’a pas craint de monter au créneau, suite à ces articles et reportages dont il est le probable commanditaire.

Quant à la remise en cause de la sécurité des cou-ronnes fabriquées à l’étranger : que nous révèle réel-lement cet article ? La présence de plomb dans les 4 prothèses analysées (y compris celle élaborée en France). Cet article précise également que la pro-thèse qui a le plus fort taux de plomb a été réalisée à l’étranger (en termes probabilistes, il convient de relever que si ces 4 prothèses étaient constituées des mêmes matériaux, cet évènement aurait une probabi-lité d’occurrence de 75%...). Or, les poudres cérami-ques fabriquées par les meilleurs fournisseurs mon-

Supervision par des techniciens français.

Un environnement de travail agréable.

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interview CoTé jarDiN

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diaux ont toujours contenu du plomb. Cependant, il faut préciser que celui-ci, après la cuisson de la céra-mique à plus de 900 degrés, ne présente absolument aucun risque d’être assimilable par l’organisme ; en tout cas, pour quelques milliers d’années… Quoi qu’il en soit, cette présence de plomb dans les pro-thèses n’a rien à voir avec leur fabrication à l’étran-ger. Je laisserai donc aux principaux fabricants mon-diaux de poudre céramique le soin d’expliquer leur composition.

Mais quelles sont les gages de sécurité et de qualité que peuvent offrir des laboratoires tels que le vôtre ? Et comment un praticien peut-il faire la différence entre plusieurs laboratoires quant au respect plus ou moins scrupuleux des normes ?Depuis sa création en 2005, la sécurité a été et sera toujours la priorité de notre laboratoire. Mais je ne souhaite pas ici parler exclusivement de Pro-tilab. La grande majorité des laboratoires dits « d’importation » sont dignes de la confiance que leur accordent leurs praticiens. Certains confrères, qui offrent des garanties de sécurité semblables à celles de Protilab, dans la mesure où leurs la-boratoires partenaires n’utilisent que des maté-riaux marqués CE et sont certifiés ISO, nous ont d’ailleurs donné leur accord de principe pour se joindre à notre projet, en cours d’élaboration : une charte regroupant les laboratoires français les plus fiables et qui offrent les meilleures garanties de sécurité et de qualité. Car tous les laboratoires ne remplissent pas toujours les engagements pris en-vers leurs praticiens.L’objectif principal de cette charte de qualité est précisément de permettre aux praticiens de faire la différence entre les uns et les autres, entre les la-boratoires prêts à s’engager et subir des contrôles réguliers sur le strict respect de règles de qualités et de sécurité, et les autres, qui ne mettent en gage que leur bonne foi.Les membres de cette charte devront, entre autres, s’engager formellement sur certains points essen-tiels : certification ISO de leurs partenaires, uti-lisation exclusive de matériaux marqués CE, en-gagements dans les domaines du développement durable et du management social (conditions de travail, sécurité, jours de repos etc…). Ils devront également se soumettre aux contrôles réguliers d’une agence indépendante qui veillera au strict respect de ces règles de sécurité, de qualité et d’éthique. u

Cyber-café à la disposition

du personnel.

Développement durable:Laboratoire équipé

de panneaux solaires.

Département Stellites.

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Intérêts d’une microsableuse au sein d’un cabinet dentaire

L e microsablage est un procédé simple à mettre en œuvre. Souvent assimilé à une sableuse miniature de précision, une microsacrosableuse fonctionne

en mélangeant uniformément des particules abrasives, sous forme de poudre, à de l’air sec et propre. La poudre est alors propulsée par la buse, donnant un débit abrasif finement concentré et facile à diriger. Le type d’abrasif, l’air comprimé, le diamètre de la buse, permettent de garder des paramètres constants, procurant un haut degré de reproductibilité à chaque sablage. Le procédé de mi-crosablage est à la fois bon marché et sans danger pour l’environnement, si les conditions d’utilisation sont bien respectées.L’appareil (la microsableuse) est constitué d’un réservoir contenant la poudre abrasive, relié à un système de pro-jection et de mélange dans l’air ; la projection est assurée par un outil à main de la taille de celle d’un stylo, terminé par une buse de faible ouverture (Fig. 2). Le fonctionne-ment d’une microsableuse est soumis à plusieurs facteurs que sont la nature de l’abrasif (dureté et grosseur des par-ticules inférieures à 50 microns) et sa quantité (concentra-tion), le type et le diamètre de la buse (Fig. 3), la pression de l’air, la distance entre la buse et l’objet à traiter. C’est en modulant ces différents paramètres que l’utilisateur obtient un jet de particules adapté au dépôt à enlever (na-ture, épaisseur, dureté) ainsi qu’à la nature et à l’état de l’objet à préparer. Il existe des instruments aéroabrasifs, portables, pour un chantier ou un atelier, fonctionnant à air comprimé, outil qui est devenu indispensable dans les opérations de net-toyage d’œuvres en pierre, bois, objets archéologiques, mosaïques, fresques, etc.Les appareils de microsablage de précision sont destinés à

des traitements de petites pièces. Compte-tenu des condi-tions particulières nécessitées par la faible taille des pièces et souvent la difficulté d’accès à la partie à traiter, il est essentiel d’avoir une fine taille des particules abrasives, des conditions particulières de puissance, de souplesse et de précision requises par le traitement. Pour notre part, nous avons choisi la microsableuse de la société Renfert, la Basic Master associé à une aspiration Silent (Fig. 1). L’enceinte de sablage étant fermée, reliée à l’aspiration, on constate deux avantages : éviter l’inhala-tion de microparticules pour l’utilisateur et maintenir une salle de travail parfaitement propre.Cette machine comporte deux silos permettant d’utiliser deux types de granulométrie. Dans notre cas, un silo com-porte de l’oxyde d’alumine de 50µ et l’autre les mêmes particules ; seul le diamètre change, il est ici de 110µ dans le deuxième silo. Un sélecteur à l’intérieur de l’enceinte permet de sélectionner instantanément le choix de la gra-nulométrie (Fig. 4). Il est indispensable de bien utiliser les abrasifs livrés avec la machine. En effet, un abrasif peu raffiné peut entraîner des dysfonctionnements du type en-crassage de la buse et sortie irrégulière de l’abrasif. Avec des abrasifs correctement raffinés, on observe les avanta-ges suivants : une force de sablage régulière et continue et une consommation de produit extrêmement faible. Le volume de l’enceinte ainsi que son accessibilité nous per-mette de parfaitement visualiser l’objet à traiter et autorise des manipulations aisées (comme des rotations de la pièce à traiter) au sein de l’enceinte.Couplées à l’aspiration Silent qui est réglable sur 9 ni-veaux de puissance, toutes les particules sont instantané-ment évacuées de la cabine, laissant la zone de travail par-faitement propre (Reston, 2004). De plus, cette aspiration

Avec de nouveaux matériaux et des techniques d’assemblages de plus en plus performantes, de nombreuses professions utilisent des traitements de surface : il existe actuellement différentes solutions de traitement des surfaces : soit par impact (comme le sablage ou le grenaillage), soit du grenaillage de précontrainte (aussi appelé shot-peening) ou de la vibro-abrasion pour toutes les industries (automobile, aéronautique, médical, forge, fonderie, constructions métalliques).

dr eric Bonnet

clinic foCUs

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5a 5b

Silent porte bien son nom, car le niveau sonore est très faible (à savoir de 56 dB, soit l’équivalent de celui d’un lave-vaisselle). Les machines de la société Renfert sont garanties 3 ans.Les applications principales sont l’ébavurage, la création de rugosité et tout traitement de microsablage localisé sur de petites pièces ou parties de pièces et sur toute ma-tière. Les matériaux traités pour le décapage microabrasif sont le titane, l’acier inoxydable, le carbone pyrolytique, le cuivre le silicium, le nitinol, l’aluminium, le polypro-pylène, la céramique, le graphite, le PTFE, le laiton, le silicone, le verre. Il est même proposé de l’utiliser direc-tement en bouche avant de réaliser un collage, pour la préparation des tissus dentaires (Magne, 2002). Le microsablage est très utile dans de nombreuses pro-fessions : Il est utilisé, par exemple, pour nettoyer des bois morts. C’est une projection sous pression d’air (environ 7 bars) d’une poudre d’oxyde d’aluminium. C’est une technique qui existe depuis longtemps et qui a été transposée aux bonsaïs par certains Japonais. Cette technique n’est pas destructrice pour le bois car elle n’enlève que très peu de matière. Mais elle permet un décrassage en profon-deur des fibres associé à une sorte de lustrage. C’est une technique douce, ce n’est en aucun cas un sablage avec corindons sous 15 à 20 bars d’air !Dans le cadre de restaurations de sites, on utilise aussi le microsablage ; surtout que dans les interventions de res-taurations, on doit tenir compte des principes déontologi-ques définis lors de réunions internationales, notamment par la Charte de Venise (1964) et qui sont : intervention minimale en respectant au maximum les matériaux origi-naux ; stabilité et réversibilité des produits et des restau-rations ; rendu de la lisibilité de l’œuvre. Ces considéra-tions déontologiques, ainsi que la notion de conservation préventive, ont accompagné et initié des progrès tech-niques et scientifiques notables pour la restauration de la statuaire en pierre avec notamment, en France, les travaux du laboratoire de recherche des Monuments historiques. Par exemple, la restauration du relief des Ponts-Jumeaux à Toulouse a comporté deux phases prin-cipales : le nettoyage des dépôts et la consolidation. Le nettoyage est une intervention irréversible qui doit donc être menée très délicatement. Aux premiers sablages ou lavages grossiers ont succédé des méthodes beaucoup plus fines et variées comme celles mises en œuvre sur le relief des Ponts-Jumeaux, différentes selon le type de dépôt à éliminer. Le traitement des dépôts biologiques a été traité par de la vapeur d’eau. Pour le traitement des poussières noires indurées, c’est la technique du microsa-blage qui a été utilisée. Il s’agit d’une méthode à sec, qui évite la pénétration d’eau ou de tout autre produit dans la pierre. Pour ces croûtes noires du relief des Ponts-Ju-meaux, c’est une microbille de verre de granulométrie 40 microns à une pression de 1 kg/cm2 qui a été retenue après des essais ; une pression plus élevée présentant en effet un risque d’attaque de la surface de la pierre. Cette technique a permis un travail très précis, minutieux, et respectueux de la surface du marbre ; appliqué à un en-

semble de grandes dimensions, le travail a cependant été long en raison de la vitesse de travail assez lente (environ quelques dizaines de cm2 par heure). La seule contrainte pour le restaurateur, sur le plan de la sécurité, est le port d’un masque respiratoire et de lunette pour se protéger des poussières. Le microsablage, s’il sert dans de nombreuses profes-sions, a aussi ses limites : Inversement, on constate qu’après dix ans d’interven-tions « brutales », la situation des antiquités grecques et romaines dans les musées nationaux est dramatique. Le plus grave, l’irrémédiable, est l’attaque des superficies par tous les moyens, au gré de la dernière technique en vogue. C’est ce côté « irrémédiable » qui nous intéres-se. Dans la situation des antiquités actuellement, il faut considérer deux éléments : le rôle des patines sur les an-tiquités et les voies de destruction de ces patines.Les patines nous font voir ce que les anciens sculpteurs associés aux peintres nous ont transmis pour protéger et compléter l’œuvre sculptée. Cette couche de cire empê-che que la lumière du soleil et de la lune ne ternisse la couleur (Causis en grec). Mais, pour nos conservateurs, tout ceci n’est que de la « crasse » (!) et, pour l’enlever, tous les moyens sont bons, même si l’on attaque l’épais-seur du marbre comme avec ce funeste outil appelé mi-crosableuse ou avec les fraises rotatives ou encore avec les brosses et autres scalpels. L’utilisation de systèmes mécaniques provoquant un impact ou une usure sur la surface des pierres et marbres entraîne inéluctablement

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une érosion qui emporte les parties faibles et fait ressor-tir les parties dures, cristaux, grains, coquillages, fossiles divers. Il s’ensuit alors une réflexion de la lumière com-plètement différente de celle voulue par les sculpteurs ou les architectes. Dès lors, l’endommagement est irrémé-diable.Il est donc indispensable de bien connaître l’action des matériaux que nous utilisons pour pouvoir effectuer cor-rectement le travail demandé.En odontologie, mieux que des mots, choisissons des images qui sont là pour traduire l’ensemble des évène-ments quotidiens auxquels cette microsableuse peut ré-pondre.S’il est un élément très utile, c’est celui du nettoyage et notamment les prothèses provisoires dont le ciment de scellement reste inexorablement accroché à cette coque lors de nos différents démontages (Fig. 5a). A l’aide de la sableuse et du choix de la granulométrie à 50µ, on retrouve une couronne provisoire propre, prête à être réutilisée, dans un temps réduit (Fig. 5b) (Gburek, 2004 - Kanie, 2004).Pour le collage des pièces en composite (comme des in-lays – onlays), l’intrados de ces éléments est régulière-ment contaminé (Ohsawa, 2004). Cette surface nécessite d’être traitée pour deux raisons : créer des microréten-tions d’une part, et obtenir une base propre d’autre part. On peut arriver à ce résultat soit en utilisant des fraises diamantées, soit un microsablage. On obtient ainsi une très bonne mouillabilité pour l’adhésif qui sera mis au contact de cette surface (Diestchi, 1997). Par contre, selon la nature des matériaux à préparer, le sablage n’est pas toujours le procédé de choix (Amaral, 2006 - Akgun-gor, 2008 – Cobbs, 2000).Lors du descellement intempestif (!) de certains éléments prothétiques (couronnes ou bridges), il n’est pas rare d’avoir de grandes difficultés à nettoyer l’ensemble du ciment, parfois du tartre qui collent (Fig. 6a). Un sablage précis de l’ensemble de ce bridge permet d’obtenir un état de surface impeccable et autorise même le démon-tage des faux-moignons qui y sont rattachés  (Fig. 6b, 6c). L’ensemble est alors prêt à être rescellé en bouche (Fig. 6d). On se retrouve dans le même cas, lors d’une pose d’une couronne. En effet, après l’avoir essayée de nombreuses fois en bouche et effectué les différents ré-glages qui s’imposent, un sablage de l’intrados de cette prothèse juste avant le collage augmente considérable-ment son potentiel d’adhésion.

Avant le rebasage d’une prothèse en résine, on peut ob-tenir un état de surface prêt à recevoir le produit d’em-preinte ou de rebasage provisoire (Fig. 7a). Il nous est possible d’utiliser deux types de granulométrie en fonc-tion des actes : une granulométrie fine de 50µ pour la préparation des surfaces métalliques ou le nettoyage de l’intrados des prothèses (résines ou métalliques), une gra-nulométrie plus importante (125 à 250 µ) pour se débar-rasser de résine en surplus dans une prothèse (Fig. 7b). Par contre, il ne faut pas trop insister sur un point précis ou bien connaître les épaisseurs à sabler, car une zone fine peut très vite être perforée (Fig. 7c). Dans tous les cas, ce travail s’effectue en un temps record et s’adapte parfaitement à notre ergonomie de cabinet.En conclusion, s’il est des outils très utiles dans nos cabi-nets, la microsableuse en fait partie. C’est une aide quoti-dienne dans la plupart de nos actes, qui demande très peu de temps d’utilisation. Quant à la phase d’apprentissage, elle est quasiment nulle, tellement les stylos sont simples à utiliser. Il s’agit donc d’une machine qui s’installe et s’intègre très facilement au sein d’un cabinet dentaire. u

Bibliographie1. Akgungor G., Sen D., Aydin M. Influence of different surface

treatments on the short-term bond strength and durability between a zirconia post and a composite resin core material. J Prosthet Dent. 2008 May;99(5):388-99

2. Amaral R., Ozcan M., Bottino M.A., Valandro L.F. Microtensile bond strength of a resin cement to glass infiltrated zirconia-reinfor-ced ceramic: the effect of surface conditioning. Dent Mater. 2006 Mar;22(3):283-90

3. Cobb D.S., Vargas M.A., Fridrich T.A., Bouschlicher M.R. Metal surface treatment: characterization and effect on composite-to-metal bond strength. Oper Dent. 2000 Sep-Oct;25(5):427-33

4. Dietschi D., Spreafico R. Restaurations esthétiques collées. Quintes-sence international. 1997

5. Gbureck U., Lansnicker L., Holste T., Thull R. Comparative studies on the applicability of a new surface conditioning system (Airsonic Mini Sandblaster) in adhesive bridging technic - Biomed Tech (Berl). 2004 Jan-Feb;49(1-2):11-7

6. Kanie T., Arikawa H., Fujii K., Ban S. Adhesive strength of paint-on resins to crown and bridge composites. Dent  Mater  J.  2004 Dec;23(4):441-6

7. Magne P., Belser U. Restaurations adhésives en céramique sur dents antérieures : approche biomimétique. Quintessence  international. 2002

8. Ohsawa M., Yokota H., Hayashi Y. Sandblasting of inlay mar-gin-marginal abrasion and bond strength. Dent  Mater  J. 2004 Dec;23(4):600-3

9. Reston E.G., Closs L.Q., Sato C.T. Customized and low-cost as-pirator device for intra-oral sandblasting.  Oper  Dent. 2004 May-Jun;29(3):354-6

clinic foCUs

7b7a 7c

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conseil orGaNisaTioN

La fin d’année est souvent propice aux bilans : bilan de l’année qui vient de s’écouler mais aussi projection sur les projets et perspectives de l’année suivante. La cohésion d’équipe n’échappe pas à cette règle. En effet, nous avons pu constater que c’est souvent à cette période que les praticiens organisent des entretiens annuels et individuels avec les membres de leur équipe dentaire.

L ’entretien annuel est un moment important pour toute l’équipe, praticien compris. C’est un point clé du développement du cabinet et

de la gestion des ressources humaines. Il doit tou-jours se faire de façon individuelle. Pour le person-nel, l’entretien est un moment privilégié pour faire le bilan de l’année écoulée et de mesurer les éven-tuelles différences de perception avec le praticien, sur son activité. Il a pour but d’évoquer aussi bien les points positifs que les points à améliorer. Cet entretien va permettre au praticien de mesurer les éventuelles différences de perception sur les pres-tations fournies. Ce doit être le moment d’exprimer plus précisément ses attentes vis-à-vis du rôle de l’assistante et/ou de la secrétaire.

Pourquoi faire un entretien annuel ?L’entretien annuel est un moment de dialogue et d’échange. Il doit permettre d’obtenir un retour d’informations sur les résultats obtenus par rapport aux objectifs fixés en début d’année. Tous les do-maines doivent ainsi être abordés. Il a également pour objet de faire connaître les ob-jectifs de l’année à venir et aussi d’évoquer les évo-lutions et les perspectives pour chaque poste. En outre, je retiendrai les points suivants, qui sont à mes yeux les garanties d’une cohésion d’équipe réussie :

• Préciser les décalages d’interprétation sur les tâ-ches accomplies et les attentes ;

• Eviter que chacun se replie sur sa tâche et sa fonc-tion ;• Reconnaître et développer les initiatives ;• Favoriser la coopération et l’esprit d’équipe ;• Permettre au personnel de situer son travail dans

un cadre plus vaste et plus motivant ;• Mobiliser et fédérer l’ensemble du personnel

autour de la « raison d’être » du cabinet.

Cet entretien doit être conduit de façon OBJECTI-VE ET CONCERTEE. Il s’agit d’évaluer la pres-tation, ce que la personne a fait (et non ce qu’elle est). Il ne doit en aucun cas s’agir d’un tribunal dans lequel le praticien juge la personne ni en sens

inverse d’un bureau des plaintes de la part de l’as-sistante.

Alors que ces entretiens ont fait leur preuve dans l’entreprise, ils sont encore trop rares dans les cabinets dentaires. Au vu des bénéfices que vous pouvez en retirer, vous et votre équipe, je ne peux donc que vous inviter à les organiser. Laissez-vous toutefois du temps. Faites un premier essai puis améliorez la conduite et le contenu de ces entretiens au fil des années. N’oubliez pas que l’on apprend en faisant.

Réflexion commune sur la cohésion d’équipe au cabinet Indépendamment de cet outil qu’est l’entretien annuel, le questionnaire ci-après vous aidera, tout d’abord, à mesurer la cohésion d’équipe actuelle dans votre cabinet. Dans en deuxième temps, il pourra vous permettre de mettre en place une ré-flexion suivie d’axes de travail sur le sujet.

Vous l’avez vraisemblablement déjà constaté au gré des différentes personnes qui ont occupé le poste d’assistante/secrétaire chez vous (ou car vous avez plusieurs employés) : les patients qui viennent à votre cabinet ne reçoivent probable-ment pas le même niveau de service et d’écoute suivant la personne de l’équipe à laquelle ils ont à faire. Vous avez également observé qu’au sein de votre équipe, certaines personnes prennent plus de responsabilités que d’autres. Pour vous, l’objectif est cependant de distribuer les respon-sabilités de manière équitable tout en assurant une qualité de traitement et de service constante à chaque patient.

En proposant aux membres de votre équipe, une base de réflexion sur la cohésion d’équipe vous aurez l’opportunité de mobiliser le personnel vers un objectif commun : rendre l’organisation plus ef-ficace tout en assurant une atmosphère conviviale. Voici le questionnaire destiné à évaluer votre cohé-sion d‘équipe. Proposez à votre personnel de pren-dre quelques minutes pour répondre aux questions proposées ci-contre :

Dr edmond BiNhasn fondateur

du Groupe edmond Binhas

Management d’équipe : Où en êtes-vous ?

1. �Si�une�personne�de�l’équipe�doit�s’absenter�de�son�poste�ou�

partir� en� urgence,� des� membres� de� l’équipe� se� proposent-

ils� de� la� remplacer� ou� est-ce� que� les� tâches� que� gère� cette�

personne�restent�suspendues�pour�la�journée�?

� a. �Chaque� membre� de� l’équipe� se� propose� pour� assurer� le�

relais�� b. Certains� membres� de� l’équipe� se� proposent� d’accomplir�

partiellement�les�tâches

c. Les�tâches�restent�en�suspend

2. Dans�le�cabinet,� la�règle�est-elle�de�collaborer�sur� les�tâches�

et� les�fonctions�ou�chacun�assume-t-il�une�tache�précise�du�

début�à�la�fin�?

a.�Il�y�a�un�total�travail�en�équipe

b.�Il�y�a�parfois�une�collaboration

c. Chacun�travaille�en�solo

3.� �Est-ce� que� chacun� des� membres� de� l’équipe� connaît� et�

comprend�les�objectifs�de�production�journaliers,�mensuels�et�

annuels�du�cabinet�?

a.�Tous�les�membres�de�l’équipe�connaissent�les�objectifs�

b.�Seules�quelques�personnes�connaissent�les�objectifs

c. Le�praticien�seul�connait�les�objectifs

4.� �Face� à� un� problème� intervenu� avec� un� patient,� tous� les�

membres�de�l’équipe�se�sentent-ils�concernés�?

� a. �Toute�l’équipe�s’implique,�propose�des�solutions�et�tire�des�

enseignements

� b. La�personne�de� l’équipe�concernée�par� le�problème�gère��

la�situation

� c. Aucune� solution� n’est� apportée,� aucun� enseignement��

n’est�tiré

5.� �Les� membres� de� votre� équipe� arrivent-ils� à� résoudre� leurs�

problèmes�entre�eux�ou�faut-il�que�le�praticien�intervienne�?

a. L’équipe�est�organisée�pour�gérer�ses�problèmes�seule

b. Le�praticien�ou�une�tierce�personne�doit�intervenir

c. Personne�ne�résout�les�problèmes�

6.� �Est-ce�que�les�membres�de�l’équipe�sont�ouverts�pour�donner�

ou� recevoir� des� critiques� ou� des� retours� d’informations�

constructifs?

a.��Tout� le� monde� donne� et� reçoit� des� critiques� et� retours�

d’informations

b.��Des� critiques� positives� et� certains� retours� d’informations�

sont�parfois�faits

c. Les�critiques�sont�toujours�négatives�

7.� �Les�membres�de�l’équipe�sont-ils�prêts�à�apprendre�les�uns�des�

autres�? a. Chacun�apprend�des�autres�(les�savoirs�sont�partagés)

b. Les�tâches�sont�réparties�et�globalement�apprises�sur�une�

base�individuelle

c. Une�seule�personne�forme�tout�le�monde,�sans�interaction

8.� �Existe-t-il� des� systèmes� pour� renforcer� la� cohésion� et� la�

confiance�au�sein�du�cabinet�?

a. Des� réunions� régulières� non� professionnelles� sont�

organisées

b. Les�anniversaires�et�les�vacances�sont�généralement�fêtés

c. Les�sujets�personnels�ne�sont�jamais�abordés

9.� �Votre�équipe�donne-t-elle�une�image�de�cohésion�auprès�des�

patients�? a. Chacun�participe�à�promouvoir�l’image�d’une�équipe�unie

b.��L’équipe�tente�de�maintenir�une�image�positive�malgré�les�

problèmes

c. Les�assistantes�se�disputent�devant�les�patients

10.��Est-ce� que� toute� l’équipe� motive� chaque� personne� qui� la�

compose�en�vue�d’améliorer�les�compétences�individuelles�?

a. Chacun�participe�à�la�motivation�de�l’autre

b. Chacun�se�motive�seul

c. Une�seule�personne�arrive�à�démotiver�toute�l’équipe

le fil DeNTaire< < N°38 < décembre 200824

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Management d’équipe : Où en êtes-vous ?

Groupe edmond BinhasClaudette� rue de Copenhague, BP 200�713742 Vitrolles CedexN° vert : 0800 �21 7�4 - Tél. : 04 42 108 108email : [email protected]

contAct

www.lefildentaire.com > 2�

1. �Si�une�personne�de�l’équipe�doit�s’absenter�de�son�poste�ou�

partir� en� urgence,� des� membres� de� l’équipe� se� proposent-

ils� de� la� remplacer� ou� est-ce� que� les� tâches� que� gère� cette�

personne�restent�suspendues�pour�la�journée�?

� a. �Chaque� membre� de� l’équipe� se� propose� pour� assurer� le�

relais�� b. Certains� membres� de� l’équipe� se� proposent� d’accomplir�

partiellement�les�tâches

c. Les�tâches�restent�en�suspend

2. Dans�le�cabinet,� la�règle�est-elle�de�collaborer�sur� les�tâches�

et� les�fonctions�ou�chacun�assume-t-il�une�tache�précise�du�

début�à�la�fin�?

a.�Il�y�a�un�total�travail�en�équipe

b.�Il�y�a�parfois�une�collaboration

c. Chacun�travaille�en�solo

3.� �Est-ce� que� chacun� des� membres� de� l’équipe� connaît� et�

comprend�les�objectifs�de�production�journaliers,�mensuels�et�

annuels�du�cabinet�?

a.�Tous�les�membres�de�l’équipe�connaissent�les�objectifs�

b.�Seules�quelques�personnes�connaissent�les�objectifs

c. Le�praticien�seul�connait�les�objectifs

4.� �Face� à� un� problème� intervenu� avec� un� patient,� tous� les�

membres�de�l’équipe�se�sentent-ils�concernés�?

� a. �Toute�l’équipe�s’implique,�propose�des�solutions�et�tire�des�

enseignements

� b. La�personne�de� l’équipe�concernée�par� le�problème�gère��

la�situation

� c. Aucune� solution� n’est� apportée,� aucun� enseignement��

n’est�tiré

5.� �Les� membres� de� votre� équipe� arrivent-ils� à� résoudre� leurs�

problèmes�entre�eux�ou�faut-il�que�le�praticien�intervienne�?

a. L’équipe�est�organisée�pour�gérer�ses�problèmes�seule

b. Le�praticien�ou�une�tierce�personne�doit�intervenir

c. Personne�ne�résout�les�problèmes�

6.� �Est-ce�que�les�membres�de�l’équipe�sont�ouverts�pour�donner�

ou� recevoir� des� critiques� ou� des� retours� d’informations�

constructifs?

a.��Tout� le� monde� donne� et� reçoit� des� critiques� et� retours�

d’informations

b.��Des� critiques� positives� et� certains� retours� d’informations�

sont�parfois�faits

c. Les�critiques�sont�toujours�négatives�

7.� �Les�membres�de�l’équipe�sont-ils�prêts�à�apprendre�les�uns�des�

autres�? a. Chacun�apprend�des�autres�(les�savoirs�sont�partagés)

b. Les�tâches�sont�réparties�et�globalement�apprises�sur�une�

base�individuelle

c. Une�seule�personne�forme�tout�le�monde,�sans�interaction

8.� �Existe-t-il� des� systèmes� pour� renforcer� la� cohésion� et� la�

confiance�au�sein�du�cabinet�?

a. Des� réunions� régulières� non� professionnelles� sont�

organisées

b. Les�anniversaires�et�les�vacances�sont�généralement�fêtés

c. Les�sujets�personnels�ne�sont�jamais�abordés

9.� �Votre�équipe�donne-t-elle�une�image�de�cohésion�auprès�des�

patients�? a. Chacun�participe�à�promouvoir�l’image�d’une�équipe�unie

b.��L’équipe�tente�de�maintenir�une�image�positive�malgré�les�

problèmes

c. Les�assistantes�se�disputent�devant�les�patients

10.��Est-ce� que� toute� l’équipe� motive� chaque� personne� qui� la�

compose�en�vue�d’améliorer�les�compétences�individuelles�?

a. Chacun�participe�à�la�motivation�de�l’autre

b. Chacun�se�motive�seul

c. Une�seule�personne�arrive�à�démotiver�toute�l’équipe

Score :Pour chaque réponse « a », affecter 3 pointsPour chaque réponse « b », affecter 2 pointsPour chaque réponse « c », affecter 1 point

Résultats :Si votre score est entre :28 et 30 points : La cohésion d’équipe de votre cabinet est excellente !24 et 27 points : La cohésion d’équipe de votre cabinet peut être améliorée.Moins de 23 points : Un effort important doit être réalisé pour améliorer la cohésion d’équipe. u

Questions Réponse Score12345678910

Total :

Page 26: Gestion RH

La loi n° 2008-496 du 27 mai 2008 relative aux dispositions d’adaptation au droit communautaire dans la lutte contre les discriminations impose désormais que les textes des articles 225-1 à 225-4 du Code pénal soient affichés dans les lieux de travail ainsi que dans les locaux ou à la porte des locaux où se fait l’embauche. Rappelons que l’affichage obligatoire ou légal est un ensemble de textes de loi que l’employeur est légalement tenu d’afficher sur le lieu de travail.

C ette réglementation est issue des directives du Code du travail et s’applique à tout employeur qui a dès lors l’obligation de réaliser l’informa-

tion légale des salariés, notamment au moyen d’afficha-ges dont la liste s’accroît avec le nombre d’employés.Ainsi, l’affichage des horaires collectifs ou individuali-sés, l’avis relatif à la convention collective applicable et de nombreuses autres informations (tabagisme, coordon-nées de l’inspection du travail…) doivent être accessi-bles à tous les salariés et consultables de façon régulière (sous forme de panneaux dans l’un des lieux visibles du cabinet, en salle de stérilisation ou en salle de repos par exemple), sous peine de sanctions diverses pouvant aller jusqu’à des amendes de plus de 6 000 euros.

Les honoraires (applicable�à�tout�praticien,�même�sans�employé)

Les honoraires du praticien doivent être affichés dans la salle d’attente et visibles par tout patient. Cette obligation a été introduite à l’article L. 1111-3 du Code de la santé publique par la loi n° 2007-1786 du 19 décembre 2007 de financement de la sécurité sociale : « Le professionnel de Santé doit en outre afficher de façon visible et lisible dans sa salle d’attente ou à défaut dans son lieu d’exerci-ce les informations relatives à ses honoraires, y compris les dépassements qu’il facture. »

Les coordonnées obligatoires

Relativement à l’article L. 4711-1 du Code du travail, cette affiche doit comporter les coordonnées postales et téléphoniques, et selon les cas les horaires d’ouverture des services suivants : Inspection départementale du travail (mention obligatoire du nom de l’inspecteur compétent), service de santé au travail, et tous les services de secours d’urgence (entre autres, SAMU, police, pompiers).

La Convention Collective applicable : CCN 3255Conformément aux articles L. 2262-5, R. 2262-1 & R. 2262-3 du Code du travail, un avis comportant l’in-titulé de la convention et les accords collectifs de travail

L’Affichage obligatoire en cabinet dentaire

applicables dans l’établissement doit être affiché aux emplacements réservés en principe aux communications destinées au personnel.L’avis doit préciser où les textes sont tenus à la dispo-sition du personnel au sein même du cabinet, ainsi que les modalités permettant à tout salarié de les consulter pendant son temps de présence sur le lieu de travail.En l’absence de cette mise à disposition des textes ré-glementaires, il pourrait ne pas être reproché au salarié de ne pas tenir compte des obligations que la convention collective met à sa charge.

Les horaires de travail et de repos

Article L. 3171-1 : « L’employeur affiche les heures aux-quelles commence et finit le travail ainsi que les heures et la durée des repos. Lorsque la durée du travail est orga-nisée sous forme de cycles ou lorsque la modulation du temps de travail sur tout ou partie de l’année est mise en œuvre, l’affichage comprend la répartition de la durée du travail dans le cycle ou le programme de la modulation. La programmation individuelle des périodes d’astreinte est portée à la connaissance de chaque salarié dans des conditions déterminées par voie réglementaire. »

A savoir : Tenue obligatoire d’un registreArticle L. 3171-2 : « Lorsque tous les salariés occupés dans un  service ou un atelier  ne  travaillent  pas  selon le même horaire collectif, l’employeur établit les docu-ments nécessaires au décompte de la durée de travail, des repos compensateurs acquis et de leur prise effective, pour chacun des salariés concernés. »

L’affichage des congés

Les articles D. 3141-5 & 3141-6 imposent également à l’employeur non seulement de porter à la connaissance de son personnel les périodes de prise de congés, mais d’af-ficher dans l’un des locaux accessibles du cabinet l’ordre des départs. L’article 6.2.4 de la Convention Collective 3255 est très précis à ce sujet qui est parfois source de polémique dans les cabinets dentaires. Afin d’éviter tout malentendu, voici la copie du texte réglementaire :

rodolphe CoCheTn Consultant

en management odontologique

n Chargé de cours à l’Ufr d’odontologie de Garancière

conseil GesTioN rh

le fil DeNTaire< < N°38 < décembre 20082�

Page 27: Gestion RH

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« La  période  des  congés  payés  doit  être  portée  à  la connaissance des salariés au minimum deux mois avant son ouverture (c’est-à-dire, au plus tard avant le 31 mars). À l’intérieur de cette période, l’ordre des départs est fixé par  l’employeur  et  communiqué  aux  salariés  un  mois avant leur départ notamment par voie d’affichage. Sauf cas de force majeure, ces dates ne peuvent être modifiées dans le délai d’un mois avant la date prévue du départ. »

Principe d’Égalité Hommes/ FemmesÉgalité professionnelle (Articles L. 1142-1 à 1144-3)

Article L. 1142-5 : « Il incombe à l’employeur de prendre en compte les objectifs en matière d’égalité profession-nelle entre les femmes et les hommes dans l’entreprise et les mesures permettant de les atteindre… »Article L. 1142-6 : « Le texte des articles L. 1142-1 à L. 1144-3 est affiché dans les lieux de travail ainsi que dans les locaux ou à l’entrée des locaux de travail. Il en est de même pour les textes pris pour l’application de ces articles. »

Égalité de rémunération (Articles L. 3221-2 à L. 3221-7)

Article L. 3221-2 : « Tout employeur assure, pour un même travail ou pour un travail de valeur égale, l’égalité de rémunération entre les femmes et les hommes. »

Interdiction de fumer

Même si l’interdiction de fumer dans un cabinet dentaire semble évidente, il est nécessaire de notifier par voie d’af-fichage cette interdiction de fumer « dans les lieux affec-tés à un usage collectif » tels que le stipulent les articles R. 355-28 à R. 355-28-12 du Code de la santé publique (Décret n° 2006-1386 du 15 nov. 2006).

Sécurité des personnes

Il s’agit des consignes générales de sécurité physique et mentale des personnes (article L. 4121-1) ainsi que

rodolphe cochetConseil en stratégies de management odontologique- Développement et accompagnement managérial- Conférences, formations & ateliers pratiques 7 rue Nicolas houel – 7�00� ParisTél. : 01 43 31 12 �7 - email : [email protected]

Auteur

des consignes en cas d’incendie (articles R. 4227-28 à R. 4227-41). L’employeur doit prendre toutes les mesu-res nécessaires pour que tout commencement d’incendie puisse être rapidement et efficacement combattu dans l’intérêt du sauvetage des travailleurs.

La lutte contre les discriminations

La loi n°2008-496 du 27 mai 2008 portant sur la lutte contre les discriminations impose désormais à tout em-ployeur d’afficher dans les lieux de travail ou à la porte des locaux où se fait l’embauche les articles 225-1 à 225-4 du Code pénal.

Conclusion

Il ne faut pas voir dans ces obligations légales de simples contraintes qui alourdissent toujours et encore le poids des multiples devoirs du chirurgien-dentiste employeur qui impliquent également des droits, ne l’oublions pas. Bien au contraire, ces affichages réglementaires, et en particu-lier la mise à disposition de la Convention Collective, per-mettent d’améliorer le dialogue social avec son personnel, de limiter l’absentéisme, et de favoriser tout naturellement la motivation et la responsabilisation du personnel, qui dès lors, peut entretenir une relation de confiance étroite avec le(s) praticien(s) gérant(s). Combien de temps n’auriez-vous pas déjà perdu en conflits inutiles par simple mécon-naissance de règles élémentaires que vous aviez à portée de mains… ? Faut-il le savoir également, nombre des rè-gles de la CCN des cabinets dentaires protègent aussi bien l’employeur que le salarié, et même plutôt l’employeur, quand on y regarde de plus près… u

1. Au-delà de 20 salariés, d’autres affichages deviennent obligatoires, tels que celui du règlement intérieur.

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PRATIQUEVous pouvez vous procurer facilement et gratuitement ces panneaux d’affichage règlementaire sur le site internet de l’ONCD, http://www.ordre-chirurgiens-dentistes.fr/ chirurgiens-dentistes/securisez-votre-exercice/affichage-obligatoire.html. Plusieurs sites commerciaux sur le Net proposent également un pack d’affiches avec une mise en forme attractive, mais prenez garde que tous les panneaux d’affiches y soient. Le site Legiest, http://www.legiest.fr/ semble à ce titre complet.

À�partir�du�1er�mai�2008,�le nouveau Code du travail�est�entré�en�vigueur.�Dans�le�fond,�les�dispositions�du�Code�n’ont�pas�été�modifiées.�Certaines�ont�été�retirées�en�raison�de�leur�désuétude�ou�de�leur�inutilité.�Par�ailleurs,�le�Conseil�constitutionnel�a�validé� l’adoption�de�ce�nouveau�Code�du�travail� (décision�du�17� janvier�2008,�n°2007-561�DC).�L’objectif�de�cette�réforme�a�consisté�dans�le�fait�de��rendre�le�Code�plus�lisible�et�plus�facile�à�consulter.En�pratique,�le�plan�du�code�est�plus�développé�et�la�numérotation�du�Code�du�travail�a�changé�:�sa�numérotation�passe�de�3�à�4�chiffres.�Le�nouveau�Code�du�travail�qui�s’étend�désormais�de�l’�article�L.�1111-1�à�l’article�L.�8331-1,�se�présente�ainsi�:1. �Les�relations�individuelles�de�travail2. �Les�relations�collectives�de�travail3. �Durée�du�travail,�salaire,�intéressement,�participation�et�épargne�salariale4. �Santé�et�la�sécurité�au�travail5. �L’emploi6. �La�formation�professionnelle�tout�au�long�de�la�vie7. �Dispositions�particulières�à�certaines�professions�et�activités8. �Contrôle�de�l’application�de�la�législation�du�travail

BON À SAVOIR

Page 28: Gestion RH

le fil DeNTaire< < N°38 < décembre 200828

conseil éCo

La crise que nous traversons est grave, mais arrêtons de noircir le tableau. La crise va aussi générer un nouveau monde avec de nouvelles références. Elle va engendrer des mutations riches de possibilités et d’opportunités. Rappelons que c’est dans les périodes de crise que sont nées bien des entreprises leaders, que se sont forgées de grandes fortunes.

A lors si, comme nous, vous pensez que la crise peut aussi constituer une véritable chance, don-nez-vous les moyens d’en profiter. Notre article

vise à vous aider en vous donnant des pistes à suivre. Vous avez du cash et/ou vous pouvez emprunter, alors vous allez pouvoir agir. Préparez-vous à profiter d’oc-casions financières historiques et à bénéficier d’oppor-tunités immobilières. Et bien sûr, pensez aussi à réduire vos impôts.

Immobilier : Prix revus en baisse et économies d’impôts, jusqu’à quand ?La crise a le mérite de faire baisser les prix de l’immobi-

Crise financière et économique : sécurisez et sachez saisir

les opportunitéslier, aussi bien dans l’ancien que dans le neuf, en raison de la diminution du nombre des transactions. Ces derniè-res se raréfient car les banques se font tirer l’oreille pour prêter et la hausse des taux d’intérêt a réduit le nombre de candidats acquéreurs ! La crise a également le mérite de mettre l’accent sur les erreurs à ne pas commettre comme construire trop de logements dans des villes où la de-mande est faible. Alors que par ailleurs, structurellement, nous allons manquer de logements car la production de logements neufs va être très insuffisante. D’ailleurs, l’Etat, dans son plan de relance, a annoncé la construc-tion et l’acquisition de 100 000 logements sociaux neufs, mesure couplée au doublement du prêt à taux zéro. La conjugaison de ces différents facteurs crée et va créer des opportunités à saisir par ceux qui ont les disponibilités et/ou qui pourront obtenir les prêts nécessaires.

Ainsi, nous avons déjà pu observer des baisses de prix intéressantes sur des résidences neuves, par exemple à Issy-Les-Moulineaux, valeur sûre de la région parisienne ou encore à Montrouge, Suresnes, Sceaux, ou Choisy-le-roi… Ces villes sont très proches de Paris et recèlent de très importantes demandes locatives. Donc des valeurs sûres. Sur la Côte d’Azur à Nice ou encore en Corse à Calvi, les marchés tiennent grâce aux résidences secon-daires. Ce sont elles qui participent au maintien de prix élevés. Eh oui, la mer et le soleil continuent heureuse-ment de faire rêver !

Ces résidences peuvent être acquises dans le cadre des lois Robien Recentré ou Borloo Populaire autorisant d’importantes économies d’impôts pouvant s’élever à 30, 40 ou 50 000 €, si vous êtes titulaire de revenus fon-ciers positifs.Mais attention, le régime Robien/Borloo devrait être re-manié prochainement pour un mécanisme défiscalisant beaucoup moins intéressant pour les personnes les plus fiscalisées. En effet, il est envisagé de remplacer la dé-duction du revenu global par une réduction d’impôt qui serait plafonnée à 30 000 € sur 9 ans.Vous avez donc intérêt à profiter de prix revus à la baisse et d’importants avantages fiscaux qui risquent de dispa-raître. De plus, en ces périodes troublées, l’immobilier bénéficie de son côté valeur refuge (bien tangible), sous réserve bien entendu qu’il soit bien placé. Certains in-vestisseurs déçus par les actions se tournent déjà vers le marché immobilier.©

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En revanche, il faut plus que jamais être très sélec-tif : retenir des régions dynamiques et qui le res-teront malgré la crise. Evitez les régions où l’of-fre est surabondante ! Optez pour des régions où la demande locative est structurellement forte (région parisienne, Côte d’Azur…). Fuyez les résidences « Robien » ou « Borloo », c’est-à-dire uniquement dédiées à la défiscalisation.

La BCE vient encore de baisser son taux direc-teur de 0.75 points et elle pourrait encore l’abais-ser pour le début de l’année. Alors, seulement, la conséquence devrait être enfin une baisse des taux pratiqués par les banques. Mais pour l’heure, cette baisse des taux se fait encore attendre. En effet, les taux des prêts à long terme, restent supérieurs à 5,25 % ou 5,30 %.

Bourse : Des occasions historiques

La bourse, quant à elle, offre et va offrir de vraies bonnes affaires ! Ceux qui n’ont pas de portefeuille boursier peuvent commencer à investir progressi-vement en bourse de préférence lors des séances de forte baisse, en privilégiant les grandes socié-tés internationales, bien gérées, ayant une position dominante sur leur marché et capables de générer encore un minimum de croissance et le plus possi-ble de cash.

Pour ceux dont le portefeuille a subi de plein fouet la baisse de la bourse, il convient de ne pas céder à la panique qui est le plus souvent mauvaise conseillè-re. A ceux-là, nous conseillons de procéder à une analyse méticuleuse de leur portefeuille afin de céder les titres de qualité médiocre susceptibles de disparaître ou ne permettant pas de profiter d’un rebond. Le cash dégagé leur permettra de se repo-sitionner sur les grandes valeurs internationales visées ci-dessus.

A tous, nous conseillons de céder ou d’éviter les so-ciétés trop endettées, trop cycliques ou encore trop valorisées. Ensuite, il ne vous restera plus qu’à pa-tienter. Vos investissements devront en effet être réalisés dans une optique à long terme (8 à 10 ans). La récupération ou l’enrichissement (selon le cas) se fera d’autant plus vite que vous aurez su vous re-positionner sur les valeurs de qualité, les leaders de demain. N’hésitez pas à faire étudier vos porte-feuilles et les SICAV de vos contrats d’assurance-vie. C’est maintenant qu’il faut faire le grand net-toyage. Donnez-vous les moyens de gagner. Partez sur des bases saines !

Voici  quelques  exemples  de  valeurs  de  grande  qualité  susceptibles  d’achats  progressifs  (sur  la  base des cours du 3/12/2008) (Fig. 1).

catherine BelPatrimoine PremierCif réf.sous n°a043000 par la CiP assoc. agréée par l’amf32 av. de friedland, 7�008 ParisTél. : 01 4� 74 01 0� - fax : 01.4�.74.01.1�email : [email protected]

Auteur

Protégez et sécurisez votre épargneA côté des opportunités à saisir en bourse et en immobi-lier, nous vous recommandons de sécuriser votre épar-gne. Pour le moyen/long terme, privilégiez le fonds euros des contrats d’assurance-vie, lequel est généralement composé d’emprunts d’état et d’obligations très bien no-tées. Pour le court terme, optez pour des livrets super-dopés, avec encore des taux de 6 % (brut) jusqu’à la fin de l’année, sous certaines conditions, une bonne solution en compte d’attente. Evitez de placer des sommes trop importantes sur un même compte ou sur un même contrat d’assurance-vie.

Nouvelles émissions obligataires : Profitez de rendements importants Les entreprises privées émettent des emprunts à des taux très compétitifs ! Ainsi par exemple, BMW Finance vient d’émettre un emprunt au taux de 8,875 %. Bien sûr, vous pouvez préférer un autre secteur d’activité, moins cycli-que, comme EDF, par exemple. Dans cette hypothèse, le taux sera moins élevé et sera de seulement 5,625 %, ou encore Danone dont le taux sera de 6,375 %. Pour ne pas prendre de risque en capital, vous détiendrez vos em-prunts jusqu’à leur échéance. Ainsi, dans les exemples cités, l’échéance est en 2013.

Le bon sens : Diversifier vos investissements et vos gestionnaires

Tout d’abord, conservez des liquidités, placées sur des livret A, livret bleu, ou spéciaux pour qu’elles soient correctement rémunérées ; pour autant, vous pourrez opérer des retraits facilement et ainsi pourrez facilement saisir les opportunités s’ils s’en présentent. Diversifiez les secteurs d’investissements : immobilier, assurance-vie, livrets et comptes à terme bancaires, actions, obli-gations,…or. Si vous détenez des capitaux importants, ne placez pas la totalité de vos capitaux dans une seule compagnie d’assurance ou dans une seule banque. Nous vous recommandons de diversifier les établissements dé-positaires, les gestionnaires, …. le bon sens ! u

s�:�plus�risquéd�:�défensif

valeurs Cours le plus haut sur les 5 derniers années

Cours le plus bas sur les 5 derniers années

Cours du jour

AIR�LIQUIDE�d 95,65€ 49,21�€ 65,36�€ALSTOM�s 84,12€ 6,20�€ 42,81�€PERNOD�RICARD�d 83,33�€ 35,04�€ 46,40�€SAINT�GOBAIN�s 85,85�€ 24,85�€ 32,48�€SUEZ�ENVIRONN.d 19,95�€ 12�€ 13,09�€VINCI�s 62,42€ 15,15€ 30,82�€VIVENDI�s 33,04€ 16,32�€ 23,10�€

1

Page 30: Gestion RH

Rubrique animée par le Docteur Philippe Pirnay

interview reNCoNTre

Avec le Dr Philippe BattuDr Philippe Pirnay : Tout débute par le Mont Blanc, puis le Pérou, les Etats-Unis, le Népal, l’Inde, l’Ar-gentine, la Patagonie, le Chili, l’Alaska, la Suède, le Tibet… Vous êtes un voyageur doublé d’un al-piniste aguerri. Comment cet appel de la monta-gne est-il apparu ?Dr Philippe Battu : Je pratique depuis longtemps (début des années 70) la montagne sous toutes ses formes : es-calade, alpinisme, ski de randonnée. Pendant mes études dentaires (été 1978) je suis parti au Pérou avec un grou-pe d’amis. Ce premier voyage m’a permis de découvrir d’autres montagnes : les Andes, et de goûter à cette pre-mière expérience d’une « petite expédition montagne ».

Dr Ph. P. : Que recherchez-vous dans vos expédi-tions : l’exploit, la découverte, l’aventure… et/ou tout simplement prendre de la distance avec vo-tre cabinet ?Dr P.B. : Tous ces voyages (à caractère plus ou moins sportif) me permettent avant tout de découvrir un pays, une région. Le côté aventure me plait, tout en restant dans le raisonnable. Par rapport à la vie quotidienne du cabinet, c’est vraiment le contraste total. Je ne recherche pas l’ex-ploit, car quelquefois en montagne, on peut le payer cher ! Tout le problème est de savoir quelles sont les limites à ne pas dépasser et donc de bien se connaître.

Dr Ph. P. : Félicitations ! Vous avez gravi le Mont Everest (8 848 m) par l’arête nord-est du versant tibétain le 18 mai 2007 et êtes arrivé sur le toit du monde… Comment avez-vous vécu cet exploit ?Dr P.B. : Cette ascension de l’ Everest par le versant ti-bétain, réalisée avec une équipe d’amis bien entraînés, a été tout d’abord une opportunité, un projet, puis une expé-rience à vivre pendant deux mois. Le concours de circons-tances favorables nous a permis de réussir l’ascension de ce sommet mythique (avec utilisation d’oxygène à partir

Dr Philippe BaTTUn Docteur en chirurgie

dentairen alpiniste

de 7 800 m). Les conditions sur la montagne et la météo étaient optimales ce printemps 2007. Du sommet, la vue est impressionnante aussi bien du côté chinois que sur le versant népalais ; là-haut les sensations sont particulières. Le temps passe très vite et il faut penser à la descente, re-passer au plus vite sous la barre des 8 000 m (en si haute altitude, la moindre faute peut tourner au drame).Je ne considère pas cette ascension comme un exploit ; néanmoins cette réussite reste pour moi un moment fort, bien conscient que la chance était de la partie lors de cette expédition. Je tiens à garder beaucoup de considération pour ceux qui ont réussi l’ Everest sans oxygène artificiel et parfois dans des conditions beaucoup plus difficiles. Un grand merci également à notre équipe de sherpas !

Dr Ph. P. : A quoi peut rêver un alpiniste après cela ?Dr P.B. : L’Everest n’a jamais été un rêve pour moi, ni une finalité. Je pense qu’en montagne on peut se faire plaisir sur de nombreux sommets, sans aller ni très loin, ni très haut.

Dr Ph. P. : Comment organisez-vous vos expédi-tions avec vos rendez-vous au cabinet ?Dr. P.B. : Dans le cas de cette expédition, j’ai eu la chance de trouver une remplaçante pour cette période de deux mois. Autrement, il faut reconnaître que ce n’est pas tou-jours facile lorsque l’on part 15 jours ou 3 semaines.

Dr Ph. P. : Trouvez-vous un bénéfice pour votre exercice dentaire dans vos activités sportives ?Dr. P.B. : J’aime bien avoir des projets sportifs et de voya-ge, cela me permet de trouver un équilibre avec mon exer-cice dentaire. C’est aussi un moyen de travailler au cabinet avec motivation.

Dr Ph. P. : Quel est votre plus agréable souvenir dans votre exercice de praticien ?Dr. P.B. : Au cabinet, on a toujours des moments de satis-faction qui nous marquent ; mais j’ai en mémoire quelques situations en Patagonie, au Népal, au Tibet où je suis inter-venu sur des dents avec du matériel restreint ; cela m’a fait plaisir d’avoir pu soulager ces personnes dans des condi-tions totalement différentes du cabinet.

Dr Ph. P. : Avez-vous une expérience que vous aimeriez partager avec nos confrères ?Dr P.B. : Je pense que dans notre profession, un certain nombre de confrères partagent ce goût de l’aventure et de l’engagement ; dans d’autres domaines sûrement : mer, désert, régions polaires... Toutes ces expériences doivent être passionnantes à écouter, à voir (film, photos) : cela fait rêver, et déjà on quitte un peu le cabinet ! u

Remerciements aux sociétés Apol, Easy Implant, Komet, SDM

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FABRICANT FRANCAIS D’INSTRUMENTATION ET PRODUITS DENTAIRES

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A l’AFFicHe formaTioN

Deuxième Congrès ITI France :

« Les clés de la Réussite en Prothèse Implantaire »

23 et 24 janvier 2009Notre visite à l’ADF fut l’occasion d’une rencontre avec le Président du Congrès ITI, Dr Chawket Mannai, dont la seconde édition consacrée à la prothèse implantaire est imminente.

Vous êtes le président du Congrès ITI qui aura lieu les 23 et 24 janvier à Paris, pouvez-vous nous pré-ciser le rôle de l’Association ITI et son lien avec la société Straumann ? L’ITI (ou International Team for Implantology) est un ré-seau médical et scientifique indépendant regroupant des experts de renommée internationale dans un grand nombre de domaines. L’association compte plus de 4 300 mem-bres. Ils ont pour principale vocation la recherche, l’ensei-gnement et le développement des techniques et méthodes de traitement en implantologie dentaire. Straumann, quant à lui, est un leader mondial dans la fabrication des implants dentaires et la régénération tissulaire. Depuis sa création en 1980, il est le partenaire exclusif de l’ITI. Ils travaillent en totale symbiose dans le cadre du développement des produits, des tests cliniques et de la formation dentaire, de manière à garantir des critères de qualité élevés pour les produits Straumann.

Pouvez-vous nous donner un avant-goût de ce que sont « les clés de la réussite en prothèse im-plantaire » ?L’ambition de ce congrès intitulé « Les clés de la réussite en Prothèse Implantaire » est de mettre à la disposition des congressistes les outils nécessaires pour réaliser et offrir aux patients une prothèse optimale. La réussite d’une pro-thèse repose sur une cascade d’évènements indissociables les uns des autres, allant de l’examen préopératoire minu-tieux en passant par la planification détaillée du traitement et en terminant par la sélection optimale du type d’implants ainsi que des protocoles chirurgicaux et prothétiques per-mettant un succès clinique et esthétique prévisible. Tous ces aspects et beaucoup d’autres seront explicités dans le détail par des praticiens émérites.

Le congrès se placera-t-il sous le signe de l’inno-vation, si oui quelles seront-elles ?Oui sans aucun doute. D’abord, des innovations techno-logiques constantes apportées par l’ITI qui fait table rase des dogmes du passé avec l’utilisation récente de l’implant « Bone Level » qui vient compléter la panoplie de Strau-mann et adresse spécifiquement la résolution des problè-mes esthétiques, l’introduction très récente par Straumann d’un nouveau matériau en implantologie, le Roxolid™, dont les propriétés mécaniques et biologiques vont per-mettre le placement d’implants dont des zones où l’indica-tion de régénération osseuse s’imposait jusqu’alors. Enfin,

Dr Chawket maNNain Président

du Congrès iTi

par l’intermédiaire du système ETKON, le praticien aura à sa disposition les céramiques à très haute résistance pour la réalisation d’une prothèse « tout céramique ».C’est aussi un congrès qui se veut rassembleur non seule-ment au niveau de toutes les générations, mais aussi des diverses tendances et « philosophies » de l’implantolo-gie de haut niveau actuelles ; Nous avons convié d’émi-nents experts et spécialistes pour partager avec nous leurs connaissances indépendamment du type de système im-plantaire qu’ils pratiquent, mais en ayant pour seul souci de transmettre l’information la plus complète et les derniè-res techniques de pointe.Nous avons aussi mis en place des petits déjeuners clini-ques qui reprennent le thème des conférences magistrales de façon beaucoup plus conviviale et qui vont permettre à ceux qui le souhaitent de dialoguer autour d’une table avec le conférencier. Enfin, nous avons créé le Premier Prix ITI France d’Excellence en Implantologie qui va ré-compenser le praticien français qui, par ses travaux ou ses recherches, aura permis de faire avancer l’Implantologie française. Ce prix sera décerné au Docteur J.-F. Tulasne dont les travaux notamment sur les greffes osseuses ont permis de repousser les limites de l’implantologie conven-tionnelle.

Selon vous, quel est le futur de l’implantologie ?Ce congrès reflète tout à fait l’effervescence actuelle dans le domaine de l’implantologie dentaire. Les recherches tout azimut, au niveau des nouveaux biomatériaux à la fois plus résistants et plus esthétiques ou au niveau bio-logique des surfaces implantaires bioactives, laissent à peine entrevoir les possibilités thérapeutiques futures. Je considère que nous sommes au tout début d’une ère riche en innovations qui transformeront encore plus notre prati-que implantaire pour le plus grand bien de nos patients. Le deuxième congrès ITI s’ouvrira donc dans cet esprit d’in-novation tout en restant résolument proche des problèmes quotidiens du praticien. Le Docteur P. Renault, Président scientifique, s’associe à moi pour convier tous nos confrères ainsi que nos amis prothésistes et nos jeunes étudiants, à venir nous rejoindre pour cette manifestation. u

Propos recueillis par le Dr Norbert Cohen

congrès iti les 23 et 24 janvier 2009eurosites Georges v, Paris 8e

site : www.iti.org/congres-france

Pour en sAvoir Plus

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Programme et inscription www.iti.org/congres-france

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Au Fil DU TemPs

Tous vos rendez-vous

www.lefildentaire.com > 33

PAROdONTOLOGIE IMPLANTOLOGIE

14 janvier 2009 à NancyFaculté d’odontologie - 13-15 boulevard JoffreMOTIVATION DU PATIENT : LE BROSSAGE MANUEL EST-IL TOUJOURS D’ACTUALITE ?Dr Michel BLIQUEFrais d’inscription : 70 €PDIFrançoise Vernageau Maison dentaire - 25-29 rue de Saurupt - 54000 NancyTél : 06 30 27 26 38 Email : [email protected] ____ 15 et 16 janvier 2009 à Clermont-FerrandABORDER L’IMPLANTOLOGIE - MODULE 119 février 2009 à Clermont-FerrandMODULE 219 mars 2009 à Clermont-FerrandMODULE 3Dr Dominique AUBAZACFrais d’inscription : 4 500 € le cursusDOM IMPLANTSKarineTél : 04 73 93 28 14 ____ 15 au 17 janvier 2009 à Chessy-RibécourtPLANIFICATION DE POSE D’IMPLANTSDr Charbel EL KHOURYFrais d’inscription : 1 200 €SEFIOPPatriciaTél : 03 44 75 77 77 Email : [email protected] ____ 15 au 17 janvier 2009 à ParisATTESTATION D’ETUDE ET DE RECHERCHE APPROFONDIES EN IMPLANTOLOGIE ORALE - U. V. 3 : L’ABORD DE LA CHIRURGIE IMPLANTAIRE (2e PARTIE)19 au 21 février 2009 à ParisATTESTATION D’ETUDE ET DE RECHERCHE APPROFONDIES EN IMPLANTOLOGIE ORALE - U. V. 4 : LA PROTHESE SUR IMPLANTS (1ERE PARTIE)6 et 7 mars 2009 à ParisATTESTATION D’ETUDE ET DE RECHERCHE APPROFONDIES EN IMPLANTOLOGIE ORALE - U. V. 5 : L’ANATOMIE IMPLANTAIRE : TP SUR PIECES ANATOMIQUES AVEC MISE EN EVIDENCE DES OBSTACLES ET POSES D’IMPLANTS DES SOCIETES PARTENAIRES - PREMIER GROUPEPrs Jean-Paul BELLIER, Philippe CAIX, Drs Thierry BEAU, Stéphane BEAL, Alain RUET, Françoise GRENIER, Mme Marie-Françoise HARMANDFrais d’inscription : 4 800 € pour la formation complèteSFBSI - ASSOCIATION PHILOTECHNIQUE79 rue Charles Duflos - 92270 Bois-ColombesTél : 01 47 85 65 12 - Fax : 01 47 85 79 28Email : [email protected] ou [email protected] Site Internet : www.sfbsi.com

16 et 17 janvier 2009 à Clermont-FerrandIMPLANTOLOGIE CLINIQUE, DU FONDAMENTAL A LA PRATIQUE : MODULE 127 et 28 mars 2009 à Clermont-FerrandIMPLANTOLOGIE CLINIQUE, DU FONDAMENTAL A LA PRATIQUE : MODULE 2Drs Yves DOUILLARD, Jean-François BORELFrais d’inscription : 850 € ACTIS DENTAIREIsabelleTél : 04 73 17 60 68 Site Internet : www.actis-dentaire-formation.com____ 16 janvier au 9 novembre 2009 à BordeauxC. P. T. G. - 38 rue Castéja - 33000COURS DE PARODONTOLOGIE FIABLE AU SEIN DE LA THERAPEUTIQUE GLOBALEDr Hugues AUBERTUNIODF : UNION NATIONALE POUR L’INTÉRÊT DE L’ORTHOPÉDIE DENTO-FACIALENathalie - 37 rue d’Amsterdam - 75008 ParisTél : 06 07 03 88 10 - Fax : 01 70 79 05 71Site Internet : www.uniodf.org____ 20 janvier 2009 à LyonHôtel Mercure Lyon Lumière, 69 cours Albert Thomas, 69003 LyonFORMATION GREFFES OSSEUSES ET CHIRURGIE AVANCEEMarc BERDOUGO, Roch DE VALBRAY Frais d’inscription : 900 €GENERATION IMPLANT134 avenue des Arènes de Cimiez - 06000 NiceTél : 0820 620 017 - Fax : 04 93 81 72 41Email : [email protected] Site Internet : www.generation-implant.com____ 22 janvier 2009 à NiceAéroport de Nice, Terminal 1 Centre d’affaires, Salle New York - 2e étage«LA CONFERENCE DONT ETES LE HEROS»Marc BERDOUGO, Roch DE VALBRAY, Antoine DISS, Patrick MAHLER Frais d’inscription : gratuitGENERATION IMPLANT134 avenue des Arènes de Cimiez - 06000 NiceTél : 0820 620 017 - Fax : 04 93 81 72 41Email : [email protected] Site Internet : www.generation-implant.com____ 23 janvier 2009 à Lyon161 boulevard de la Croix Rousse - 69004CYCLE DE FORMATION EN CHIRURGIE IMPLANTAIRE ASSISTEE PAR ORDINATEUR (CIAO) - MODULE 4 : APPORT DE LA PAO DANS LA GESTION DES RECONSTRUCTIONS IMPLANTAIRESDr Michel ISIDORIISCADIS6 rue Lesdiguières - 38000 GrenobleTél : 04 76 42 23 97 Email : [email protected] ou [email protected] Site Internet : www.iscadis.fr

29 janvier 2009 à Pont-à-MoussonCentre culturel des PrémontrésTHERAPEUTIQUES NON CHIRURGICALES ET CHIRURGICALES DES PARODONTOPATHIES - L’APPORT DE LA CHIRURGIE PRE-PROTHETIQUE AU CABINET DENTAIREDr Jean-Marc SVOBODAFrais d’inscription : 150 €SOSNE - SOCIÉTÉ ODONTO-STOMATOLOGIQUE DU NORD ESTFrançoise Vernageau - Maison dentaire - 25-29 rue de Saurupt - 54000 NancyTél : 06 30 27 26 38 - Fax : 03 83 56 81 17Email : [email protected] ____ 29 au 31 janvier 2009 à GenèveUniversitéPrs Urs BELSER, Jean-Pierre BERNARDFrais d’inscription : 2 200 € 12 au 14 mars 2009 à Aix-en-ProvenceDrs Jean-François MOURET, Stephan DUFFORT26 au 28 mars 2009 à ToulouseDrs Jean-Marc CHAMOUX, Stephan DUFFORTPROGRAMME D’EDUCATION PRATIQUE EN IMPLANTOLOGIEFrais d’inscription : 1 450 € STRAUMANNSéverine DelmasTél : 01 64 17 30 16 Email : [email protected] ____ 30 et 31 janvier 2009 à Cannes-Le CannetRésidence Azur EdenPRATIQUER L’IMPLANTOLOGIE FORMATION COMPLETE DE CHIRURGIE ET PROTHESE IMPLANTAIRE FORMATION EN ANATOMIE ET DISSECTION MODULE 1 : DECISIONS ET PLANIFICATION DES TRAITEMENTS IMPLANTAIRES 27 et 28 mars 2009 à Cannes-Le CannetMODULE 2 : CHIRURGIE DE POSE D’IMPLANTSPr Paul MARIANI, Dr Franck BONNETFrais d’inscription : 1 050 € - 3 900 € les 5 modulesFIDE : FORMATION IMPLANTAIRE ET DENTAIRE ESTHÉTIQUECatherine Boyadjian - Azur Eden 28 boulevard Gambetta - 06110 Le CannetTél : 04 93 99 72 81 - Fax : 04 92 98 82 33Email : [email protected] ____ 2 février 2009 à MarseilleHôtel Pullman Marseille Provence -Aéroport Marseille Provence 13728 Marignane DEMARRER EN IMPLANTOLOGIEOlivier HENRY-SAVAJOL, Stéphane ALBARET, Antoine DISSFrais d’inscription : gratuitGENERATION IMPLANT134 avenue des Arènes de Cimiez - 06000 NiceTél : 0820 620 017 - Fax : 04 93 81 72 41Email : [email protected] Site Internet : www.generation-implant.com

6 février 2009 et 2 et 3 avril 2009 à LyonHôtel Mercure Lyon Lumière, 69 cours Albert Thomas, 69003PARODONTOLOGIE - LYON CYCLE 2 X 2 JOURSMarc BERDOUGO Roch DE VALBRAY Frais d’inscription : 1 700 €GENERATION IMPLANT134 avenue des Arènes de Cimiez - 06000 NiceTél : 0820 620 017 - Fax : 04 93 81 72 41Email : [email protected] Site Internet : www.generation-implant.com____ 12 février 2009 à ParisMaison Nicolas Barré - 83 rue de Sèvres - 75006INITIATION A L’IMPLANTOLOGIE MAITRISEEDr Carole LECONTEFrais d’inscription : Adhérent : 250 € - Non adhérent : 320 €AFOS - ASSOCIATION DE FORMATION ODONTO-STOMATOLOGIQUE12 bis rue du Cadran - 94220 CharentonTél : 0 875 24 99 24 (Appel local) Email : [email protected] ____ 12 et 13 février 2009, 9 et 10 avril 2009, 11 et 12 juin 2009, 10 et 11 septembre 2009 à NiceCentre de Formation, Villa La Tour, 134 av. des Arènes de CimiezGREFFE OSSEUSE ET CHIRURGIE AVANCEE - NICE - CYCLE 4X2 JOURSMarc BERDOUGO, Thierry BRINCAT, Roch DE VALBRAY, Antoine DISSFrais d’inscription : 3 700 €GENERATION IMPLANT134 avenue des Arènes de Cimiez - 06000 NiceTél : 0820 620 017 - Fax : 04 93 81 72 41Email : [email protected] Site Internet : www.generation-implant.com____ 25 février 2009 à NancyFaculté d’odontologie - 13-15 boulevard JoffreDIAGNOSTIC DES LESIONS DEBUTANTESDr Michel BLIQUEFrais d’inscription : 70 €PDIFrançoise Vernageau Maison dentaire - 25-29 rue de Saurupt - 54000 NancyTél : 06 30 27 26 38 - Email : [email protected] ____ 9 et 10 mars, 2 et 3 juin, 14 et 15 septembre 26 et 27 octobre à Aix/MarseilleClinique du sourire en Provence Avenue de Mermoz - Lotissement Mermoz 13160 Châteaurenard de Provence FORMATION IMPLANTOLOGIE 4 X 2 JOURS - AIX/MARSEILLEOlivier HENRY-SAVAJOLFrais d’inscription : 2400 €GENERATION IMPLANT134 avenue des Arènes de Cimiez - 06000 NiceTél : 0820 620 017 - Fax : 04 93 81 72 41Email : [email protected] Site Internet : www.generation-implant.com

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Au Fil DU TemPs

11 mars 2009 à NancyFaculté d’odontologie - 13-15 boulevard JoffreVERRES INOMERE : QU’EN FAIRE ?Dr Michel BLIQUEFrais d’inscription : 70 €PDIFrançoise Vernageau Maison dentaire - 25-29 rue de Saurupt - 54000 NancyTél : 06 30 27 26 38 Email : [email protected] ____ 13 et 14 mars 2009 à PauCabinet de chirurgie -PauCOURS ET TP DE PROTHESE IMPLANTAIRE- STRAUMANNDrs Eric BIEHLER, Julien JEANDETFrais d’inscription : 600 €FORMATION IMPLANTOLOGIE DU SUD OUEST19 boulevard Guillemin - 64000 PauTél : 05 59 14 33 33 Fax : 05 59 14 33 34Email : [email protected] Site Internet : [email protected]____ 13 et 14 mars 2009 à PoitiersTECHNIQUES DE GREFFES OSSEUSES ET D’AMENAGEMENT DES TISSUS MOUS : TPDr Charbel EL KHOURYFrais d’inscription : 900 €SEFIOPPatriciaTél : 03 44 75 77 77 Email : [email protected] ____ 16 et 17 mars 2009 à ParisUNPDDLE STRAUMANN BONE LEVEL AU LABORATOIREM. Marc SOMMERFrais d’inscription : 650 € STRAUMANNSéverine DelmasTél : 01 64 17 30 16 Email : [email protected] ____ 16 et 17 mars 2009, 16 et 17 avril 2009, 18 et 19 juin 2009, 8 et 9 octobre 2009 à NiceCentre de Formation, Villa La TourFORMATION IMPLANTOLOGIE NICE - CYCLE 4X2 JOURSThierry BRINCAT Antoine DISS Frais d’inscription : 2 400 €GENERATION IMPLANT134 avenue des Arènes de Cimiez - 06000 NiceTél : 0820 620 017 Fax : 04 93 81 72 41Email : [email protected] Site Internet : www.generation-implant.com____ 20 et 21 mars 2009 à RennesINITIATION A LA CHIRURGIE IMPLANTAIRE AVEC TP SUR PIECES ANATOMIQUESDr CHEBAROBIOMET 3i en partenariat avec la SFFI : SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE FORMATION EN IMPLANTOLOGIESylvie Ponthieux - 7-9 rue Paul Vaillant Couturier 92300 Levallois-Perret

Tél : 02 99 670 570 ou 01 41 05 43 48 Fax : 01 41 05 43 40Email : [email protected] Site Internet : www.3i-online.com/france/index.cfm____ 26 et 27 mars 2009 à LilleREHABILITATION ORALE GLOBALE MODULE 1Dr Frédéric GADENNEFrais d’inscription : 700 € SFPIO NORD PICARDIESéverine DelmasTél : 01 64 17 30 16 Email : [email protected] ____ 26 et 27 mars 2009, 4 et 5 juin 2009 à NiceCentre de Formation, Villa La TourPARODONTOLOGIE NICE CYCLE 2X2 JOURSAntoine DISSFrais d’inscription : 1800 €GENERATION IMPLANT134 avenue des Arènes de Cimiez - 06000 NiceTél : 0820 620 017 - Fax : 04 93 81 72 41Email : [email protected] Site Internet : www.generation-implant.com____ 26 et 27 mars 2009 à Vigneux de Bretagne Brit HôtelINTEGRER LA PARODONTIE A VOTRE EXERCICE D’OMNIPRATIQUEDr F. FURICFrais d’inscription : 480 €AOBO16 rue Beethoven - 44300 NantesTél : 02 51 89 02 28 - Fax : 02 51 89 02 28Email : [email protected] Site Internet : aobo.fr____ 26 au 28 mars 2009 à Chessy-RibécourtPLANIFICATION DES GREFFES OSSEUSES ET D’AMENAGEMENT DES TISSUS MOUSDr Charbel EL KHOURYFrais d’inscription : 1 200 €SEFIOPPatriciaTél : 03 44 75 77 77 Email : [email protected]

ENdOdONTIE20 et 21 février 2009 à NiceVilla La TourENDODONTIEÉtienne MEDIONI Catherine RICCI Frais d’inscription : 890 €GENERATION IMPLANT134 avenue des Arènes de Cimiez - 0600 NiceTél : 0820 620 017 - Fax : 04 93 81 72 41Email : [email protected] Site Internet : www.generation-implant.com

OMNIPRATIQUE14 Janvier 2009 à ParisEspace Athènes (à côté de la gare Saint-Lazare) RADIOPROTECTION DES PATIENTS EXPOSES AUX RAYONNEMENTS IONISANTS Pierre MENS (agréé CEFRI)

Frais d’inscription : 250 €ASSOCIATION PRECAUTION 89 rue Saint Denis - 77400 LagnyTél : 0 820 821 466 - Fax : 01 60 27 91 67Email : [email protected] Site Internet : www.associationprecaution.fr____ 15 janvier 2009 à MulhouseHôtel Holiday Inn (Le Trident)SE METTRE A L’ESTHETIQUE 1ERE PARTIEDrs J. P. ATTAL, Gil TIRLETADFOC 68Tél : 03 89 52 13 85 Email : [email protected] ____ 15 janvier 2009 à Toulouse22 janvier 2009 à Strasbourg29 janvier 2009 à Rennes5 février 2009 à Limoges19 février 2009 à Amiens12 mars 2009 à Caen19 mars 2009 à BiarritzFORMATION EN ANESTHESIE OSTEOCENTRALEAFPAD : ASSOCIATION FRANÇAISE POUR LE PERFECTIONNEMENT DE L’ANESTHÉSIE DENTAIRE66 avenue des Marronniers - BP 20521 - 49300 Cholet cedexTél : 02 41 56 05 53 Fax : 02 41 56 41 25Email : [email protected] Site Internet : www.afpad.com____ 17 janvier 2009 à MetzCescom - 4 rue Marconi - 57000 Metz TechnopoleREUSSIR LE SOURIRE DE VOS PATIENTS !Dr Franck BONNETFrais d’inscription : Praticien : 85 € - Assistante : 45 €. Lunch compris.ADD VISION - SOCIÉTÉ DE FORMATION CONTINUE EN CHIRURGIE DENTAIRE3 rue Édouard Belin - 57000 MetzTél : 03 87 35 85 05 Fax : 03 87 39 97 16Email : [email protected] ____ 22 janvier 2009 à LilleNovotel Lille Aéroport 55 route de Douai - 59810 Lesquin28 janvier 2009 à AgenHôtel Au Colombier du Touron 187 avenue des Landes - 47310 Brax29 janvier 2009 à BordeauxMercure Bordeaux Sud - 10 avenue du Général Leclerc - 33140 Villenave d’Ornon4 février 2009 à ValenceHôtel Valentia RN 532 - route de Romans - 26000 Valence5 février 2009 à ToulonNovotel Toulon - A50 - Le Camp Laurent ZA La Capellane - 83500 La Seyne sur Mer 12 février 2009 à NiortMercure Niort Marais Poitevin - 80 bis avenue de Paris et 27 rue de la Terraudière - 79043 Niort cedex 924 février 2009 à NîmesHoliday Inn Nîmes Petite Camargue - 202 rue Nicolas Ledoux - 3090025 février 2009 à PerpignanHôtel Mas des Arcades - 840 avenue d’Espagne - 66000SOIREE D’INFORMATION NTI-TSSFrais d’inscription : 35 €

E:-)MOTIONChloé Plenet - B. P. 116 - Villebon - 91944 CourtaboeufTél : 01 60 92 41 62 Fax : 01 72 72 93 94Email : [email protected] Site Internet : www.e-motion.eu.com____ 27 février 2009 à Vigneux de BretagneBrit HôtelL’URGENCE AU CABINET DENTAIRE, FORMATION AUX GESTES DE PREMIERS SECOURSDrs J.Ph. PERRIN, Ph. LE CONTEFrais d’inscription : 250 €AOBO 16 rue Beethoven - 44300 NantesTél : 02 51 89 02 28 Fax : 02 51 89 02 28Email : [email protected] Site Internet : aobo.fr____ 12 et 13 mars 2009 à NiceVilla La TourDENTISTERIE ESTHETIQUEDavid GERDOLLEFrais d’inscription : 890 €GENERATION IMPLANT134 avenue des Arènes des Cimiez - 06000 NiceTél : 0820 620 017 Fax : 04 93 81 72 41Email : [email protected] Site Internet : www.generation-implant.com____ 12 mars 2009 à Vigneux de BretagneBrit HôtelLE CHASSIS AMORTI EN PROTHESE ADJOINTE - UN CONCEPT INNOVANT CLEF DE LA REUSSITE POUR UNE PROTHESE COMBINEE FIXE ET AMOVIBLEDr G. JOURDAFrais d’inscription : 200 €AOBO16 rue Beethoven - 44300 NantesTél : 02 51 89 02 28 Fax : 02 51 89 02 28Email : [email protected] Site Internet : aobo.fr

OCCLUSOdONTIE9 et 10 mars 2009 à NiceVilla La TourOCCLUSODONTIE - NICE -David GERDOLLE Patrick MAHLERFrais d’inscription : 890 €GENERATION IMPLANT134 avenue des Arènes de Cimiez - 06000 NiceTél : 0820 620 017 Fax : 04 93 81 72 41Email : [email protected] Site Internet : www.generation-implant.com

ORTHOdONTIE19 janvier 2009 à ParisSalons de l’aéroclub - rue GaliléeLES DYSFONCTIONS CRANIO-MANDIBULAIRES POSTURALES CHEZ L’ENFANT ET L’ADOLESCENTDr Antonio PATTISOCIÉTÉ BIOPROGRESSIVE RICKETTS RÉGION ÎLE-DE-FRANCE

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Au Fil DU TemPs

Dr Deborah TIGRIDFBM FORMATION15 rue Victor Duruy - 75015 ParisTél : 01 56 56 59 85 Fax : 01 56 56 59 84Email : [email protected] Site Internet : www.fbmformation.com____ 26 et 27 mars 2009 à ParisINTEGRER LA PROPHYLAXIE DENTAIRE INDIVIDUELLE DANS VOTRE CABINET (PRATICIENS ET ASSISTANTES)Dr Michel BLIQUEFBM FORMATION15 rue Victor Duruy - 75015 ParisTél : 01 56 56 59 85 Fax : 01 56 56 59 84Email : [email protected] Site Internet : www.fbmformation.com

ERGONOMIE8 et 9 janvier 2009 à ParisINTEGRER UNE ERGONOMIE PRAGMATIQUE ET TRAVAILLER SEREINEMENT A 4 MAINS (PRATICIENS ET ASSISTANTES)Dr Herluf SKOVSGAARDFBM FORMATION15 rue Victor Duruy - 75015 ParisTél : 01 56 56 59 85 Fax : 01 56 56 59 84Email : [email protected] Site Internet : www.fbmformation.com

ORGANISATION5 et 6 février 2009 à ParisRE-ORGANISER VOTRE CABINET : GARDER LA MAITRISE DE SON AGENDA (PRATICIENS ET ASSISTANTES)Drs Mahsa SEPEHR, Jean-Raoul SINTÈSFBM FORMATION15 rue Victor Duruy - 75015 ParisTél : 01 56 56 59 85 Fax : 01 56 56 59 84Email : [email protected] Site Internet : www.fbmformation.com____ 12 et 13 mars 2009 à ParisORGANISATION CLINIQUE EN TUBS ET TRAYS : CONJUGUER QUALITE ET EFFICACITE (PRATICIENS ET ASSISTANTES)Drs Mahsa SEPEHR, Jean-Raoul SINTÈSFBM FORMATION15 rue Victor Duruy - 75015 ParisTél : 01 56 56 59 85 Fax : 01 56 56 59 84Email : [email protected] Site Internet : www.fbmformation.com

MANAGEMENT12 janvier 2009 à Maroc - CasablancaATELIERS PRATIQUES DE MANAGEMENT ODONTOLOGIQUE - GESTION DU CABINET ET DU PERSONNEL DENTAIREM. Rodolphe COCHET

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