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Un week-end à l’Espace Galatée Une nuit à la Résidence le Tréhélu #10 express’ Le magazine d’information interne des agents de la mairie et du CCAS de Guichen Thierry Orain, notre moniteur SST nous fait part d’un changement de législation : depuis le 1er janvier 2012, le réfé- rentiel technique SST / INRS prévoit l’utilisation du défibrillateur chez le nourrisson. Ce protocole sera également intégré prochainement dans les textes PSC (prévention et secours civiques – forma- tion de base aux premiers secours) et PSE (premiers secours en équipe). La défibrillation chez le nour- risson n’est pas une nou- veauté en soit. Elle est juste rendue possible à des « non médecins », du fait de l’évolution des performances des appareils sur le marché. Il faut utiliser le patch « enfants » : une électrode sur le sternum et l’autre dans le dos. En l’absence d’électrodes adaptées, on peut, dans un contexte de sauvetage, utiliser des électrodes adultes. Les études ne montrent pas une augmentation de la mortalité dans ce contexte. Mais Thierry tient à nous rassurer : les défibrillateurs installés dans les bâti- ments communaux sont équipés de patch «enfant» où la mention 0 à 8 ans est clairement indiquée. Cette évolution réglementaire vous sera enseignée en recyclage mais, pas de panique, malgré l’anxiété de l’hypothétique situation, un arrêt car- diaque chez un nourrisson intervient le plus souvent en milieu hospitalier. L’utilisation du défibrillateur chez le nourrisson Depuis le 8 novembre 2011, un décret permet aux collectivités territoriales de participer à la protection sociale complémentaire de leurs agents. Cette nouvelle loi marque une avan- cée sociale incontestable dans le domaine de la fonction publique territoriale. Conscients du bénéfice qu’une telle mesure peut entraîner pour les agents de la Commune et du CCAS, les élus ont pris la décision de se lancer dans la démarche. Le rôle du CTP est important dans la mise en oeuvre de ce dispositif, il devra en effet donner son avis sur les différentes modalités. Dans un premier temps il conviendra de cibler si la participation doit porter sur le risque « san- té » et/ou le risque « prévoyance ». Le CTP devra ensuite faire le choix entre les deux procédures possibles : - soit la convention de participation : la collectivité retient une mutuelle pour l’ensemble des agents - soit la labellisation : l’employeur contribue au financement d’un contrat que choisit l’agent directement auprès d’une mutuelle ou d’un organisme privé habilité par un organisme cer- tificateur. La dernière étape consistera enfin à déterminer le montant de la participation. Afin que le groupe de travail se positionne sur ces différents points il doit disposer d’éléments concrets. C’est la raison pour laquelle vous avez reçu un questionnaire récemment. Vos réponses sont essentielles pour définir les besoins de cha- cun et proposer une aide qui conviendra au plus grand nombre. Ce questionnaire ne vous engage en rien, je vous rappelle d’ailleurs que l’adhésion à cette complémentaire santé sera facultative. Je compte sur vous pour le retourner en Mairie complété dans les plus brefs délais. Merci pour votre participation et bonnes vacances à tous ! Elisabeth Le Berre Directrice Générale des services Page 2 Passion Page 4 Page 2 SOMMAIRE

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Journal interne pour les agents de la commune de Guichen et du CCASS

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Un week-end à l’Espace Galatée Une nuit à la Résidence le Tréhélu

#10

express’

Le magazine d’information interne des agents de la mairie et du CCAS de Guichen

Thierry Orain, notre moniteur SST nous fait part d’un changement de législation : depuis le 1er janvier 2012, le réfé-rentiel technique SST / INRS prévoit l’utilisation du défibrillateur chez le nourrisson. Ce protocole sera également intégré prochainement dans les textes PSC (prévention et secours civiques – forma-tion de base aux premiers secours) et PSE (premiers secours en équipe). La défibrillation chez le nour-risson n’est pas une nou-

veauté en soit. Elle est juste rendue possible à des « non médecins », du fait de l’évolution des performances des appareils sur le marché. Il faut utiliser le patch « enfants » : une électrode sur le sternum et l’autre dans le dos. En l’absence d’électrodes adaptées, on peut, dans un contexte de sauvetage, utiliser des électrodes adultes. Les études ne montrent pas une augmentation de la mortalité dans ce contexte.Mais Thierry tient à nous rassurer : les défibrillateurs installés dans les bâti-ments communaux sont équipés de patch «enfant» où la mention 0 à 8 ans est clairement indiquée.Cette évolution réglementaire vous sera enseignée en recyclage mais, pas de panique, malgré l’anxiété de l’hypothétique situation, un arrêt car-diaque chez un nourrisson intervient le plus souvent en milieu hospitalier.

L’utilisation du défibrillateur chez le nourrissonDepuis le 8 novembre 2011, un décret permet aux collectivités territoriales de participer à la protection sociale complémentaire de leurs agents. Cette nouvelle loi marque une avan-cée sociale incontestable dans le domaine de la fonction publique territoriale. Conscients du bénéfice qu’une telle mesure peut entraîner pour les agents de la Commune et du CCAS, les élus ont pris la décision de se lancer dans la démarche.Le rôle du CTP est important dans la mise en oeuvre de ce dispositif, il devra en effet donner son avis sur les différentes modalités.Dans un premier temps il conviendra de cibler si la participation doit porter sur le risque « san-té » et/ou le risque « prévoyance ».Le CTP devra ensuite faire le choix entre les deux procédures possibles :- soit la convention de participation : la collectivité retient une mutuelle pour l’ensemble des agents - soit la labellisation : l’employeur contribue au financement d’un contrat que choisit l’agent directement auprès d’une mutuelle ou d’un organisme privé habilité par un organisme cer-tificateur. La dernière étape consistera enfin à déterminer le montant de la participation.Afin que le groupe de travail se positionne sur ces différents points il doit disposer d’éléments concrets. C’est la raison pour laquelle vous avez reçu un questionnaire récemment. Vos réponses sont essentielles pour définir les besoins de cha-cun et proposer une aide qui conviendra au plus grand nombre. Ce questionnaire ne vous engage en rien, je vous rappelle d’ailleurs que l’adhésion à cette complémentaire santé sera facultative. Je compte sur vous pour le retourner en Mairie complété dans les plus brefs délais. Merci pour votre participation et bonnes vacances à tous !

Elisabeth Le BerreDirectrice Générale des services

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Un week-end à Galatée...

Une des missions du GPR Express’ est de mettre en lumière le fonctionnement de l’ensemble des services de la Commune et du CCAS (aide à domicile et Ehpad). Ainsi, dans ce nouveau numéro, nous avons décidé de vous faire dé-couvrir le travail des collègues dont les horaires ou jours de travail diffèrent de la majorité des autres.

Pour illustrer mon propos, j’ai décidé d’aller à la rencontre de Claude Charbonnel et Thierry Orain. Tous deux sont chargés du suivi des régies techniques et du matériel lors des mani-festations organisées par les associations et la Commune. Direction donc l’Espace Galatée !Claude, Thierry, pouvez-vous me raconter le déroulement d’un week-end type ? Mais là, première difficulté : quel week-end choisir ?! Je me rends compte (enfin je le savais déjà) que certains mois de l’année les manifestations s’enchaînent sans répit. Prenons l’exemple du gala de danse qui a eu lieu le 1er week-end de juin. Même si l’événement se déroule en fin de se-maine, le travail de préparation dans la semaine est intense. « Les répétitions se déroulent la se-maine précédant le spectacle, explique Thierry, nous sommes donc mobilisés deux soirs jusqu’à 23 heures. Il faut caler la bande son et adapter la poursuite lumière pour mettre en valeur les chorégraphies imaginées par les pro-

fesseurs de danse...».Lorsqu’enfin les grands soirs arrivent – représentations pu-bliques vendredi, samedi soir et dimanche après-midi – la ten-sion monte : danseuses, profes-seurs et techniciens se commu-niquent leur trac !Malgré l’embauche d’un renfort, les nombreuses sollicitations obligent Claude et Thierry à travailler à tour de rôle. Deux heures avant l’ouverture des portes, le technicien du soir s’isole dans la régie, où la chaleur et la pression montent. Après les véri-fications d’usage, concentration maximale et c’est parti pour le show… !«Si des problèmes techniques interviennent, comme çà a été le cas cette année, indique Claude, il faut attendre l’entracte car seul, im-possible de quitter sa régie. Quand on aime ce que l’on fait, on veut que tout soit parfait et c’est frustrant…»Quand les lumières s’éteignent et que les dan-seuses sont parties, le travail du technicien n’est pas terminé : il faut, dans la foulée ou dès le lendemain, ranger les éclairages, restituer le matériel de location…Car d’autres manifes-tations les attendent les week-ends suivants : concert Musicole, 20 ans de radio laser, assem-blée générale d’une association, la St-Jean…Chaque intervention nécessite un travail de

logistique en amont qui est coordonné par le secrétariat de l’Espace Galatée. Les services techniques peuvent également être amenés à donner un coup de main.Donc suivant les demandes et les contraintes des utilisateurs, il faut avancer la scène, démon-ter les gradins, remonter les gradins, tirer des lignes électriques, sonoriser les équipements, sécuriser les lieux de manifestations… être prêt avant 8 h 00, revenir pour gérer une demande de dernière minute et finir vers 23 h 00, enfin, si tout va bien ! Outre une grande disponibilité, il faut être organisé, savoir gérer son temps et être débrouillard pour parer à toute « totoche ».Bien évidemment, Claude et Thierry me parlent de la difficulté de faire accepter leur contrainte professionnelle à leur famille mais l’intérêt qu’ils portent à leur travail et les ren-contres qu’ils ont la chance de faire leur font accepter ces conditions de travail.

Hélène

Jeux de lumière, sons, fumée ...Tout est mis en oeuvre pour sublimer le travail des danseuses ! Merci Claude et Thierry !

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1 h 23 du matin... La plupart d’entre nous dorment profondément... Quand tout à coup, à la résidence Le Tréhélu, une sonnette s’active ! Un résident a be-soin d’aide pour se désaltérer, puis un autre pour se rendre au petit coin ! Voilà le quotidien de nos collègues qui travaillent de nuit à l’Ephad. GPR Express’ est allé à la rencontre de l’une d’elles pour découvrir leur mission durant ces horaires atypiques.

20 h 45 : début de la journée (ou plutôt de la nuit), Brigitte prend son poste après avoir couché ses enfants. La soirée commence par 15 min de transmis-sion avec le personnel de jour. Un temps très utile qui permet à l’équipe de nuit de prendre connaissance des éventuels problèmes qu’auraient rencon-trés les résidents pendant la journée, les changement de traitements...

21 h 15 : Sylvie, la « coéquipière » de Brigitte, arrive à son tour. Après 11 ans de «nuits communes», les deux femmes se connaissent parfaitement et ont tissé des liens. «Nous formons une équipe soudée et c’est très important, explique Brigitte, nous devons pouvoir compter l’une sur l’autre en cas de soucis avec un résident».

Il est vrai qu’à 2 personnes pour gérer l’établissement la nuit, mieux vaut bien s’entendre et être très organisé ! Aller, c’est parti pour 10 h non stop !

Brigitte et Sylvie se séparent. Chacune dans son aile, elles s’occupent de la dis-tribution des médicaments. Ce moment leur permet de retrouver les papis et mamies qu’elles connaissent depuis longtemps et qui attendent leur visite du soir ! Tous ne prennent pas de médicament mais ce n’est pas pour autant qu’ils sont oubliés : les filles se rendent dans chaque chambre pour vérifier que tout va bien. «Notre présence est rassurante pour les résidents, la nuit est souvent source d’angoisse, nous sommes à leurs côtés pour les accompa-gner et les réconforter».

Les médicaments distribués, elles enchaînent sur deux heures de ménage chacune. Puis, dans l’ambiance feutrée de la nuit, les rondes se suivent. Tout va bien... Cette nuit est plutôt calme. Et lorsqu’un problème intervient ? Bri-gitte explique qu’avec le temps Sylvie et elle ont appris à faire preuve de calme et de sang froid, «si quelque chose survient, le SAMU est tout de suite contacté ».

5 h 00 : le réveil des résidents approche, les appels se font plus fréquents, notamment pour les changes.

7 h 00 : Le soleil se lève, l’équipe de jour entre en scène... Transmission des infos, petit compte rendu avec l’infirmière pour Brigitte et la journée est finie !

Enfin pas tout à fait, elle arrive juste à temps à la maison pour accompagner les enfants à l’école avant d’aller se coucher !

Cela fait 19 ans que çà dure pour Brigitte et elle ne changerait pour rien au monde ses horaires. «Bien sûr le rythme de travail est très différent du jour, mais je peux profiter de mes enfants ! Un plaisir qui me fait oublier les petits inconvénients. Et puis j’aime mon métier, je suis vraiment passionnée par ce que je fais et çà c’est le plus important !»

Concours - examens

Concours d’éducateur des activités physiques et sportivesDébut des épreuves le 8 novembre 2012 - Retrait des dossiers du 5 juin au 4 juillet 2012Concours d’ingénieur en chefDébut des épreuves le 6 novembre 2012 - Retrait des dossiers du 25 juin au 20 juillet 2012Concours d’agent de maîtriseDébut des épreuves le 16 janvier 2013 - Retrait des dossiers du 28 août au 19 septembre 2012Concours d’infirmière Début des épreuves le 7 février 2013 - Retrait des dossiers du 2 octobre au 7 novembre 2012

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Quelques principes fondamentaux , initiés par les créateurs d’Internet, sont souvent méconnus : réseau décentralisé, toile d’araignée, neutralité du réseau, principe de bout-à-bout, architecture plate... des termes barbares, hein ! Expliquons tout cela avec docteur Allison, en plusieurs épisodes s’il vous plait, comme dans Star Wars !

Episode 2 : La neutralité du réseau

Ce principe est simple, mais Ô combien important, et très débattu actuellement : on parle d’Hadopi, de loppsi, d’ACTA, PIPA... et en substance, c’est de la neutralité du réseau dont on parle.Nous avons vu à l’épisode précédent qu’Internet est un réseau routier. Il permet aux données d’aller d’un point à un autre en les laissant choisir le plus court chemin. Il n’est rien d’autre.Ce réseau routier est neutre. A aucun moment, il ne va porter un jugement sur la donnée qui circule sur son réseau.Ce n’est pas de son ressort d’ouvrir l’enveloppe et de voir si ce mail est pour tata Jeanine ou le Pré-sident de la république. Le réseau traite l’achemi-nement de chaque donnée de manière impartiale.Le mail pour tata Jeanine a donc autant de chance d’arriver que le mail pour le Président. Le réseau n’est pas discriminatoire.Super ! dit Tata Jeannine. J’ai la même importance que le président !Et si l’e-mail est un spam ? Ou qu’il comporte un vi-rus ? Il est traité de la même manière. Et si c’est une infâme vidéo terroriste ? Aucune discrimination non plus. C’est là que des voix s’élèvent, remettant en cause le principe de neutralité.Interrogeons-nous : et si ce n’était pas des données sur Internet, mais bien un courrier par la Poste ? Faut-il que chaque facteur inspecte chaque colis, juste au cas où ? Voici en substance, le débat actuel autour d’Internet et de la surveillance du réseau.Ce questionnement en appelle un autre, qui sera l’objet du prochain épisode : le principe de bout-à-bout, qu’on peut aussi nommer « c’est qui qui commande ? »

Une nuit à la résidence le Tréhélu

Brigitte

Sylvie

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Lizéa chez Marina Bertin et son conjoint - le 8 mars 2012

Aydenn chez Laëtitia Hervé et son conjoint - le 20 mars 2012

Gabriel chez Géraldine Béniguet et son conjoint - le 22 mars 2012

Nolan chez Maxime Testard et sa compagne - le 29 juin 2012

Preston chez Thierry Audran et sa compagne - le 30 juin 2012

Ambre chez Pierre Boliveau et sa conjointe - le 14 juin

Nino chez Boris Javayon et sa compagne - le 2 juillet

Portrait d’agent : Michelle Garnier

L’échelon spécial de la catégorie C

G•P-R express est édité par les services municipaux de la mairie de Guichen. N°10, tiré à 160 exemplairesDirectrice de publication : Elisabeth Le Berre / Comité de rédaction : Allison Gaulier, animatrice cybercommune, Jérôme Leparoux, Services Techniques - espaces verts, Isabelle Laisné, EHPAD, Mireille Duchon, Médiathèque, Thierry Gaudron, restauration scolaire, Nadine Berthelot, aide à domicile, Hélène Poulain, service du personnel, Elodie Girot, service communication / Secrétariat de rédaction : Hélène Poulain, Elodie Girot.Contact : 02 99 05 75 72 - [email protected] / N’oubliez pas de nous envoyer vos idées, photos et propositions d’articles pour le prochain numéro !

Le décret n°2012-552 du 23 avril 2012 relatif à l’échelon spécial de la catégorie C de la fonc-tion publique territoriale est paru au journal officiel du 25 avril 2012.Il permet aux fonctionnaires territoriaux, autres que ceux de la filière technique, qui appartiennent à un grade de la catégorie C classé en échelle 6, d’accéder à l’échelon spé-cial doté de l’indice 499.

Concrètement, les grilles de rémunéra-tion des grades d’agent social principal de 1ère classe, d’ATSEM principal de 1ère classe, d’auxiliaire de soins principal de 1ère classe, d’adjoint administratif principal de 1ère classe, et d’adjoint du patrimoine principal de 1ère classe, notamment, seront dotées d’un éche-lon spécial.Cet échelon sera accessible, pour ces agents,

après inscription à un tableau d’avancement établi, au choix, après avis de la CAP.Les agents devront justifier d’au moins 3 ans d’ancienneté dans le 7ème échelon de l’échelle 6 et respecter la règle des ratios.Cette nouvelle mesure sera intégrée dans votre déroulement de carrière, vous en serez informé personnellement par le service des Ressources Humaines.

La sélection de la Médiathèque

Service Technique, Voirie Cédric Barre, nouvel agent de voirie depuis le 1er juin 2012

Service administratif Audrey Leparoux remplace Christelle Guittet, partie en congé maternité

EphadGilles Poirier, agent technique a pris un congé parental. Il est remplacé par André Rivoalan.

A joyful noise, Gossip (Sony music, 2012)Le trio américain Gossip est de retour, et c’est encore une réussite. L’excentrique Beth Ditto troque ses gui-tares contre des synthés. Ecoutez cet album pop cet été !

Le premier jour du reste de ta vie de Rémi Bezançon (DVD)C’est un très beau film sur l’intimité et les moments clés d’une famille qui pourrait être la vôtre.Les acteurs Jacques Gamblin et Zabou Breitman sont irrésistibles.A voir et à revoir avec autant de plaisir.

Portugal de Cyril Pedrosa (BD adulte)Simon Muchat est un auteur de bandes dessinées devenu animateur scolaire. Peu investi dans des projets, il part au Portugal rejoindre sa famille et découvre une autre façon d’exister. Ce récit introspectif, à la dé-couverte d’un lieu d’enfance et d’une quête d’identité est à découvrir absolument.

Cabanes d’exception d’Alain Laurens, Daniel Du-four, Guislain André - Editions de la MartinièreCe très beau livre nous fait rêver avec ces magnifiques cabanes perchées. Celles-ci transforment l’habitat dans les arbres en un véritable art de vivre. Elles offrent un espace de plus en plus confortable tout en se fondant dans la nature.Cela vous donnera peut-être l’envie d’y passer une nuit !

GPR express’ est curieux, très curieux ! Il s’est fixé un nouvel objectif : découvrir parmi les agents les talents cachés !Première pioche : Michelle Garnier !Michelle travaille en tant que remplaçante pour la Commune depuis 2 ans (plus précisément dans les domaines de la restauration scolaire et de l’entretien des locaux). Sa passion? La création. Faire plaisir et se faire plaisir c’est ce qui lui plaît !Décoration, art floral, création de bijoux, font d’elle une passionnée débordante d’imagination.Ses 29 années d’expérience dans l’art de la décoration (papier peint, voilage, tissu d’ameu-blement, linge de maison, art de la table, lumi-naire…) se ressentent à travers ses créations. Que ce soit dans ses compositions florales ou ses réa-

lisations d’objets personnalisés (cadre, meubles, entourage de miroirs…), on perçoit son goût pour l’harmonie et l’équilibre des couleurs, des matières et des volumes. « Cette passion est pour moi un loisir dans lequel je m’épanouis totalement ! » confie-t-elle timidement.Et puis, parce qu’un talent en cache souvent un autre, Michelle nous avoue qu’elle a également un petit faible pour la poésie. GPR ne résiste pas à vous présenter une de ses oeuvres :« La créativité avec les fleurs, c’est un arc-en-ciel de couleurs aux multiples senteurs,Un bouquet de bonheur... qui embaume votre cœur. »