“HIP-HOP, EST-CE BIEN SERIEUX?” - 6edimension.fr · de Fosses, le Centre de danse du Galion à Aulnay-sous-Bois, l’Espace Lino Ventura de Torcy pour la mise à disposition de

Hip-hop, est-ce bien sérieux ? – Compagnie 6e Dimension – Mai 2017

“HIP-HOP, EST-CE BIEN SERIEUX?”

Pièce chorégraphique pour 5 interprètes,

à partir de 7 ans.

Durée : 1 heure - Possibilité d’une discussion de 15

minutes avec le public à l’issue du spectacle.

La chorégraphe Séverine Bidaud

raconte, avec humour et dérision, sa

rencontre avec la danse hip-hop. Sur

scène, la troupe de cinq danseurs met

tout en œuvre pour transmettre sa

passion avec authenticité et sincérité.

En conférencière drôle et vivante,

Séverine Bidaud cite les principaux

danseurs hip-hop qui ont influencé son

propre parcours artistique. Ces figures

mythiques judicieusement choisies lui

permettent de retracer l’origine du

mouvement hip-hop, ses racines et ses

influences, depuis son émergence aux USA dans les années 1970 jusqu’à nos jours.

Locking, popping, break… A partir d’image d’archives, différentes techniques de la danse hip-hop sont ainsi

présentées de manière ludique et pédagogique. Traitée par le biais de l’anecdote et de la technique, cette

histoire de la danse hip-hop est avant tout un hommage à ceux qui ont formé des générations de danseurs

et qui continuent de faire évoluer cette pratique.

L'occasion pour les jeunes et les moins jeunes de comprendre l'essence de cette culture.

Distribution Direction artistique : Séverine Bidaud

Textes : Séverine Bidaud et Marion

Aubert

Assistante à la chorégraphie : Jane-

Carole Bidaud

Aide à la mise en scène : Delphine

Lacouque

Regard complice : Flore Taguiev

Interprètes : Cynthia Barbier, en

alternance avec Aline Da Silva et Jane-

Carole Bidaud, Ange Koué, Valentine

Nagata-Ramos en alternance avec

Emilie Schram, Cault Nzelo en alternance avec Marc-Olivier Picard et Séverine Bidaud

Costumes : Alice Touvet

Création lumières : Esteban Loirat

Création musicale et montage vidéo : Séverine Bidaud, assitée de Pascal Minet

Editing / Mastering bande sonore : Xavier Bongrand

Production : Compagnie 6e Dimension Soutiens : Odia Normandie sur certaines dates, l’Espace Germinal

de Fosses, le Centre de danse du Galion à Aulnay-sous-Bois, l’Espace Lino Ventura de Torcy pour la mise à

disposition de ses lieux de recherche et de création.

Cie de danses urbaines

« Peace, unity, love and having fun ! Ça,

c’est les valeurs du hip-hop. Ça veut dire

que chez nous tout le monde peut

danser »


Une histoire de la danse hip-hop ludique et pédagogique… Note d’intention de la chorégraphe

« L'art de la danse hip-hop fait aujourd'hui partie du paysage culturel français. Il connaît un essor

grandissant. Son enseignement, les festivals, les créations chorégraphiques y contribuent. Depuis plusieurs

années, les actions que nous menons avec la Compagnie 6e Dimension œuvrent pour sa diffusion, son

développement au croisement des cultures et des genres.

Dans mon parcours, ce spectacle est né d’un réel besoin, une nécessité, de transmettre à un large public

l’histoire et les valeurs de la danse hip-hop.

Pour moi, il complète mon travail de création et crée un endroit de communication entre les générations.

Mon envie d’aller vers l’autre est toujours chez moi une source d’inspiration et se traduit par le partage

d’expériences, de mouvements, la collecte de témoignages… c’est ce qui symbolise ma démarche.

« Hip-hop, est-ce bien sérieux ? » est donc un spectacle décalé et plein d’humour, où l’on abat les clichés du

hip-hop, en démontrant que cette danse et cette culture ne se résument pas au bitume et à tous les maux

de la rue. C’est un outil pédagogique essentiel pour nourrir mon travail.

L’objectif de ce spectacle est de donner une idée simple, chronologique et globale de l’histoire de la danse

hip-hop. Elle nous fait revivre l’origine de ce mouvement, ses racines et ses influences, depuis son

commencement aux Etats-Unis. L'occasion pour les jeunes et pour les moins jeunes de comprendre le sens

premier, l'essence de ce mouvement. »

Séverine Bidaud

Un Bal hip-hop a été créé autour du spectacle, pour une immersion ludique et joyeuse dans les

danses urbaines et l’univers de la compagnie, Le principe, c’est la participation concrète, physique du public à travers une approche ludique et festive de la danse. « Le bal représente pour moi une manière de retrouver le caractère social de la danse hip-hop. Au-delà de la

performance, à travers ce bal, la danse hip-hop devient un moyen de (re)créer du lien entre les générations

mais aussi du contact physique. Comment revisiter les bals d’hier en leur apportant le dynamisme et la

modernité de la danse hip-hop? Autant de nouvelles possibilités à explorer que de plaisir à partager, sans que

jamais la performance physique soit ce qui prédomine. »

Séverine Bidaud


La Chorégraphe

Séverine BIDAUD, dite Lady Severine, co-fonde la

compagnie 6e DIMENSION en 1998 avec sa sœur

Jane-Carole BIDAUD. En devenant chorégraphe, elle

va d’abord écrire et diriger plusieurs projets qui

prendront divers formats : festivals Hip-hop,

événementiels, émissions télévisées, etc.

Danseuse hip-hop, elle va progressivement

collaborer auprès de nombreux chorégraphes

prestigieux : Montalvo-Hervieu (« Les Paladins », «

On danfe », « La Bossa Fataka de Rameau », « Lalala

Gershwin »), Christine Coudun, Cie Black Blanc Beur

(« My Tati Freeze ») ou encore Marion Lévy (« Dans

le ventre du loup ») et Laura Scozzi (« Barbe

Neige »).

Mais en tant que chorégraphe, Séverine Bidaud écrit

ce qu’elle considère comme « sa première pièce »

en 2010 : « Je me sens bien ». En mettant sa

sensibilité au service d’un sujet rarement abordé

par les danseurs du genre (la vieillesse), la

chorégraphe imprime la marque de fabrique de la

Compagnie qui fait cohabiter humanisme et poésie.

La pièce reçoit un accueil chaleureux et remporte

plusieurs prix : le Prix « Beaumarchais SACD » en

2010, lors du concours H2O qu’elle a remporté ; Le

Prix « Chemin des Arts » au 16ème concours

chorégraphique des Synodales ; repérée au Festival

« Région en scène », puis sélectionnée au Festival

« Le Chaînon Manquant » en 2012. En 2015, elle est

sélectionnée pour représenter la France au 18ème

Festival Européen de danse à Chypre.

Nourris d’une gestuelle hip-hop métissée et inspirée

du quotidien, les spectacles de la Compagnie 6e

Dimension proposent des univers poétiques

décalés.

Parcours de la chorégraphe en quelques dates…

1979 : Naissance à Le Blanc-Mesnil (93)

1984 : pratique du modern jazz puis danse classique

au Conservatoire de Drancy (93)

1996 : pratique de la danse hip-hop aux Halles (75)

1998 : création de la Cie 6e Dimension à Evry (91)

1999 : chargée des Danses Urbaines à l’ADIAM 91

pendant 4 ans

2002 : pionnière dans l’organisation de Battles

internationaux en France « Benji vs Crumbs »

2002 et 2003 : 3ème place Popping contest aux

« B.boys Summit » (L.A.) et « B.boys Pro-Am »

(Miami) / USA

2003 : Nomination aux « Dance Hip hop Awards »,

catégorie Popping, à Hollywood / USA

2004-2012 : Cie Montalvo-Hervieu (4 pièces

chorégraphiques)

2006 : Vainqueur du « Funkstyle Contest », catégorie

Popping / Clamart, jugé par la créateur de ce style

2009 : La compagnie 6e Dimension s’installe en

Haute-Normandie

2009-2012 : Cie Black-Blanc-Beur « My Tati freeze »

2011-2014 : Cie Marion Lévy « Dans le ventre du

loup »

2014-2016 : Cie Laura Scozzi « Barbe Neige »


Biographies de l’équipe

Marion Aubert Co-auteur des textes Marion est diplômée du Conservatoire National de Région de Montpellier. En 1996, elle écrit son premier texte pour le théâtre : Petite Pièce Médicament. Cette pièce est créée l’année suivante, date à laquelle elle fonde la Cie Tire pas la Nappe avec M. Guerrero et C. Ducastelle. Depuis, toutes ses pièces ont été créées dans des mises en scène de M. Guerrero. Marion Aubert répond aussi aux commandes de théâtres, metteurs en scène ou chorégraphes, parmi lesquels la Comédie Française, la Comédie de Valence, le Théâtre du Rond-Point, le CDR de Vire, le Théâtre Am Stram Gram de Genève, le Théâtre du Peuple de Bussang, Philippe Goudard, Guillaume Delaveau, Babette Masson, Matthieu Cruciani, Marion Levy… Son travail d’auteure se réalise le plus souvent dans le cadre de résidences d’écriture : à la Chartreuse de Villeneuve-lès-Avignon, au Festival des Théâtres francophones en Limousin, au Théâtre de la Tête Noire à Saran (Orléans), à la Bibliothèque de Saint-Herblain (Nantes), au Royal Court à Londres… Marion Aubert est marraine de la promotion 26 de la Comédie de Saint-Étienne et intervenante au département d’écriture de l’ENSATT. Elle est aussi membre du comité de lecture du Théâtre du Rond-Point, et membre fondatrice de la Coopérative d’Écriture initiée par F. Melquiot.

Jane-Carole Bidaud Assistante Chorégraphe et interprète Jane-Carole débute la danse à l'âge de 7 ans (classique et modern jazz) et s’oriente dès 1996 vers la danse hip-hop. Cette rencontre fut pour elle une révélation et le « Popping » devient sa discipline de prédilection. Jane-Carole va se former auprès du groupe légendaire « The Electric Bogaloos », créateurs américains, et participer à de nombreuses compétitions (en Europe, aux USA et au Japon). En 1998, elle co-fonde la Cie 6e Dimension et en devient l’assistante chorégraphe. Elle est l’une des interprètes majeures de la Cie et danse dans les principales créations (“Apparences”, “Je me sens bien”,

“Satisfaite”, “Dis, à quoi tu danses ?”). Titulaire d’un diplôme d’Etat en danse jazz, elle met à profit cette formation pour transmettre la danse hip-hop grâce aux actions culturelles menées par la Cie 6e Dimension. Pédagogue capable de s’adapter à tout type de public, sa formation polyvalente lui permette d’enseigner un style métissé, nourri de multiples influences : danse moderne, jazz, contemporaine et popping.

Ange Ismaël Koué aka Elfonkyjuice Interprète Ange est né en Côte d’Ivoire en 1976. Il s’établit ensuite en France et fonde en 1989 son premier groupe « Créateur Unique », qui allie danse et rap. De 1989 à 2000, cette double passion va l’amener à partager son temps entre ces deux univers. En 1991, il va participer à la formation du crew « OPosse ». Puis il intègre, de 1996 à 1998, la Cie « Boogie Saï », pour des tournées nationales et internationales. En parallèle, il approfondit sa formation de 1995 à 1999 auprès de Brian Green, Suga Pop, Sketer Rabbit, Poppin Taco, Wiggles, Poppin Pete. Il s’initie également à la danse Jazz, à la Capoeira, à l’acrobatie… Il s’ouvre ainsi à de nouvelles expressions scéniques, ce qui l’amène à occuper le poste d’assistant chorégraphe et danseur de Pierre Doussaint en 1998 lors des Suresnes Cité Danse. Depuis 2010, il danse avec le crew « Serial Stepperz » et en 2013 il crée un groupe de danse « Hype ‘n’ Spicy » avec les meilleurs élèves de son cours. Par ailleurs, à partir de 1995, il commence à enseigner au sein de différentes structures, telles que l’Académie des Arts Chorégraphiques, le Centre International de la Danse Jazz, le Centre Georges Momboye, La Juste debout School, ou encore La Maison de M.A.I. C’est en 2015 qu’il rejoint la Cie 6e Dimension pour son spectacle « Hip-hop, est-ce bien sérieux ? ».


Aline Da Silva Cynthia Barbier Interprète Interprète Aline débute la danse classique à l’âge de 7 ans et découvre le modern’jazz à l’adolescence. Sa rencontre avec le hip-hop en 2000 fut une révélation : lui permettant de s’exprimer plus librement et de créer un rapport plus harmonieux avec la musique, c’est le freestyle, l’improvisation qui va lui permettre de se découvrir en tant que danseuse. Le locking devient sa danse de prédilection, qui l’emmène en Europe mais surtout aux USA. Elle a participé à de nombreux battles, notamment le Juste debout Bercy, l’Euro Battle. Parallèlement au milieu «underground», elle fait son chemin dans le milieu plus «commercial» de la danse (chorégraphie pour le jeu vidéo Just dance, pour les clips vidéos des Superman Lovers…) et participe à de nombreux shows évènementiels. C’est en 2013 qu’elle entre réellement dans l’univers de la Cie 6e Dimension pour une reprise de rôle dans les pièces « Satisfaite » et « Je me sens

bien ». Enrichie de ces expériences diverses et titulaire d’un diplôme d’Etat en jazz, elle enseigne sa passion.

Spécialisée en locking, Cynthia a d’abord débuté la danse par le jazz et les danses de salons. Participant à de nombreuses compétitions de rock acrobatique, elle intègre l’équipe de France en 2003 et 2004. En 2004, elle découvre l’univers du Hip-Hop et intègre le groupe Scoobim’Dooz. Elle s’intéressera plus particulièrement au locking, danse issue de la funk, qui lui permet de retrouver et de s’inspirer des mouvements issus du Charleston et du rock. En 2006, elle fonde en trio la Cie Terpsyfunk et réalise un show construit essentiellement sur les inspirations et les influences du locking, mélangées aux tap dance et au wacking. Ce show intitulé « Rythm’nlock » leur permettra de gagner le concours chorégraphique de Cachan en 2007. En 2010, elle intègre la Cie 6e dimension pour « Je

me sens bien ». Depuis 2010, elle participe également à des shows de locking avec le groupe les Virtuoses de l’instant pour divers événements (Animation Samsung au salon de la photos, émission sur France O…).

Marc-Olivier Picard Cault Nzelo

Interprète Interprète Marc-Olivier a découvert la danse à l’âge de 18 ans, en 2009, dans une MJC de la Réunion. Il a commencé à danser « sérieusement » lors de son entrée à l’Université, rencontrant des danseurs professionnels hip-hop formés en Métropole. Il a ainsi eu connaissance de la Juste Debout School à Paris qu’il a intégrée en 2012. Il se spécialise alors dans le hip-hop free-style, la house mais aussi la danse contemporaine par le biais de modules proposés par l’école. En 3e année, il intègre la Cie Pure (Bastien Nozeran) et touche ainsi à la danse contact et au Modern’ jazz. En fin d’année, il participe à une création hip-hop avec le chorégraphe Romuald Brizolier. C’est en 2016 qu’il rejoint la Cie 6e Dimension pour une reprise de rôle des spectacles « Dis, à quoi tu

danses ? » et « Hip-hop, est-ce bien sérieux ? ».

Originaire de Rouen, Cault s’essaye dès son plus jeune âge à diverses gestuelles : Hip Hop New Style, House, Krump. Il débute sa carrière de danseur en Angleterre au sein de la compagnie Karismatik, s’inspirant de la culture Krumping. De retour en France, il intègre les Cies S2H (Christophe Zami), et P3 (Passion Pleasure and Progress), qui lui permettront de se produire sur de nombreuses scènes et plateaux télé. En 2015, il danse pour le « Big Band Fusion » et enchaîne les représentations en live avec des musiciens. Parallèlement, Cault remporte plusieurs battles de danse (« Mastershow 1ère et 2ème édition à Evreux, « Pfingstcamp Battle 2012 et 2013 » en Allemagne, « Battle Lounge 2013 » également en Allemagne). Professeur de danse depuis 2008, il intègre la Cie 6e Dimension en 2015 avec “Dis, à quoi

tu danses ? »”.


Emilie Schram A.K.A Haoura Valentine Nagata-Ramos dite

B.girl Val Interprète Interprète Originaire de Nice, Emilie commence la GRS à l’âge de 5 ans. En 2002, elle découvre le Breakdance aux côtés de son premier crew « Kamikaze Flex » avec lequel elle expérimente les battles et les shows de rue. En 2006, elle devient danseuse professionnelle en intégrant les Cie Blacks Blanc Beur, X-Press, Nathalie Billard et 6e Dimension. C’est dans une envie de perpétuelle évolution qu’elle s’ouvre à d’autres formes artistiques telles que le théâtre et la musique. En 2012, elle intègre la troupe de Madonna pour la tournée MDNA. Dépassant ses propres limites, elle s’installe à Los Angeles où elle poursuivra son apprentissage en chant avec Cari Golden, en cirque au Cirque School LA et en danse auprès des plus grands chorégraphes américains du moment (Liz Emperio, Alison Faulk, Megan Lawson, Jason Young…) En 2014, son envie de retrouver la scène l’oriente vers les arts du cirque et elle rejoint la troupe Canadienne du Cirque du soleil, pour le spectacle «VAREKAI ». Forte de ces expériences, elle rentre en France pour entamer des projets plus personnels et en 2015, elle retrouve la Cie 6e Dimension comme interprète de « Hip-hop, est-ce bien sérieux ? ».

Née au Japon, Valetine pratique le « Breaking » (danse au sol) depuis 13 ans. En 2003, elle intègre la Cie professionnelle hip-hop « Black Blanc Beur » (avec les créations « Si je t’m », « Défilles », « Contrepied » et « Au féminin »). Elle s’est également fait une place au sein du groupe masculin « Fantastik Armada » avec qui elle remporte de nombreuses compétitions nationales et internationales (vice-championne du monde au BOTY 2004). Elle obtient aussi à plusieurs reprises la première place en solo (IBE 2008, Just4ladies 2006). Elle a également participé à la 1e émission hebdomadaire française dédiée à la danse hip-hop « MTV Dance Crew » et diffusée sur le câble « MTV France ». Entre octobre 2008 et février 2009, elle se produit au sein de la Cie Montalvo-Hervieu pour une reprise de rôle dans la pièce « Paradis ». En 2009, elle rejoint la Cie 6e Dimension pour la pièce « Je me

sens bien », et la Cie Par Terre pour le duo « Yonder Woman ». Elle obtient, en 2009, le 2nd prix avec le solo « Square root » (Cie Par terre), au festival de danse contemporaine Mas Danza 14 (Canaries, Espagne). Depuis 2008, elle se consacre plus largement à la création chorégraphique et a monté en 2011, sa propre Cie de danse (Cie UZUMAKI).


Stéphane Loirat dit Esteban Créateur lumières Créateur lumière et régisseur de compagnies, fils du soleil, il a accompagné et accompagne des spectacles très différents les uns des autres : la danse hip-hop avec les compagnies Black Blanc Beur, Phase T, Par Terre, Uzumaki, Artzybrides, 6ème Dimension, et Kafïg, la danse contemporaine avec Emilio Calcagno, le déplacement urbain avec World Movment Company (Yamakasi), et le concert avec Karpatt, La Rue Kétanou, Mon Côté Punk, P18, Claire Diterzi, François Maurin (FM). Il travaille également au théâtre avec plusieurs metteurs en scène comme Luc Saint-Eloi, Julien Sibre ( » Le Repas des Fauves » récompensé par 3 Molières), Marcial di Fonzo Bo, Philip Boulay, Aline César, Agnès Desfosse, Agnès Boury, André Salzet, Marc Goldberg, Tadrina Hocking, Delphine Lacouque, Noémie de Lattre. Il est directeur technique, éclairagiste, vidéaste et compositeur de la compagnie La Barak’A Théâtre. Il rejoint la Cie 6e Dimension en 2015 pour la création lumières de « Dis, à quoi tu danses ? » et accompagne la Cie lors des reprises de « Je me sens bien ».

Alice Touvet Costumière Après son Bac Arts Appliqués, Alice Touvet sort, en 2004, diplômée de L’ENSAD (École Nationale Supérieure Arts Décoratifs) de Paris. Elle débute rapidement son travail de costumière avec deux metteurs en scène à qui elle reste encore fidèle aujourd’hui : Pauline Bureau avec près de 15 mises en scènes (De Un songe, une nuit d’été au Théâtre du Ranelagh (2003), à Modèles au Théâtre du Rond-Point (2011), ou encore Sirènes au CND de Montreuil (2014)) et William Mesguich (13 créations de Comme il vous plaira au Théâtre XIII (2004), aux Mystères de Paris au Théâtre de la Tempête (2013)). Elle collabore également, pour l’opéra, avec Michel Podolak (Renaissance 2043 au Théâtre du Gymnase) et pour le spectacle jeune public (Babayaga par la Barak’A Théâtre (2006), Les Malheurs de Sophie par Rebecca Stella au petit Gymnase (2011)). En 2015, la chorégraphe Séverine Bidaud la sollicite pour la confection des costumes de sa nouvelle création « Dis, à quoi tu danses ? ».

Xavier Bongrand Son Après une formation en 1983 au cirque Annie fratellini, Xavier devient marionnettiste comédien de 1988 à 1992. En 1996, il devient ingénieur son au studio d’enregistrement de DISNEYLAND Paris et ingénieur son pour divers groupes sur scène. C’est ainsi qu’il rencontre la Cie 6e Dimension pour « Hip-hop, Est-ce bien sérieux ? ». Il est par ailleurs, concepteur audio pour divers sons et lumières.

Pascal Minet Aide au montage des images d’archives Vidéaste et Régisseur vidéo. Après avoir travaillé dans le milieu de l’audiovisuel, il rejoint fin 1995 la Cie Montalvo-Hervieu, ayant l’opportunité d’associer sa passion pour la Danse et son métier la vidéo. Il collabore à toutes les créations de la Cie de 1995 à 2004 et de 2008 à aujourd’hui. Depuis septembre 2004, il est responsable des équipements vidéo au Centre national de la danse à Pantin et participe à la réalisation de projets pédagogiques et artistiques. Parallèlement, il poursuit une collaboration de création vidéo avec diverses compagnies de danse et de théâtre ainsi que des projets de documentaires et d’installations. C’est ainsi qu’il rejoint la Cie 6e Dimension pour la pièce « Dis, à quoi tu danses ? » en 2015.


Calendrier de diffusion - « Hip-hop, est-ce bien sérieux ?

Tournée 2017-2018

01/10/2017 Bal Hip-hop le Gymnase CDC / Roubaix (59) 15h (horaire à confirmer)

10/11/2017 Théâtre Montodry Barentin (76) 20h30 17 ou 18/11/2017 à définir Pont de l’Arche (27) (Option) Entre le 15/11 et le 04/12/2017 CCN / La Rochelle (17) (Option) + Bal Du 23 au 27/01/2018 Festival Villes en scène La Manche (50) 6TP 03/02/2018 Festival HH Com com de l’Ourcq (77) (Option) 14 ou 21/03/2018 Festival Magny les hameaux (78) (Option) + Bal Mars 2018) Centre Ch. Chaplin Vaulx en Velin (69) 2 JP + 2TP (option) 21 ou 22/04/2018 Festival I POP 2 Creil (60) (Option) + Bal 18/05/2018 L’Entre-deux-Parcs Lésigny (77) 1 TP + 1 Bal Juillet 2018 Festival d’Avignon (84) en cours d’organisation

Tournée 2016-2017

14/10/2016 La Licorne Cannes (06) 10h30 et 19h30 19/10/2016 Festival J2K Laval (53) 20h30 03/11/2016 Espace Aragon Oissel (76) 14h et 18h30 08/11/2016 Le Sillon Petit-Couronne (76) 13h30, 19h et 10h 15/11/2016 Festival H2O Aulnay-sous-Bois (93) 10h et 14h30 07/01/2017 Bal Hip-hop Festival Suresnes Cité danse (94) 20h30 17/01/2017 Casino Lavelanet (09) 20h 24/01/2017 Salle Aragon Romilly-sur-Andelle (27) 14h et 19h 25/02/2017 Salle Jean Vilar Mitry Mory (77) 20h30 31/03/2017 Espace Lino Ventura Torcy (77) 20h30 7/04/2017 Espace culturel de la Hague Beaumont-Hague (50) 14h15 et 20h45 19/04/2017 Les 3 colombiers Notre-dame-de-Gravenchon (76) 14h30

Tournée 2015-2016

22/10/2015 Festival Banc Public Saint-Brieuc (22) 15h 07/11/2015 Val au Grès Bolbec (76) 20h30 20/11/2015 La Rotonde Fauville-en-Caux (76) 20h45 26/01/2016 La Traverse Cléon (76) 10h et 13h45 12/02/2016 Espace Marcel Pagnol Villiers le Bel (95) 9h30 et 15h15 27/02/2016 Centre Culturel Liffré (35) 15h 08/03/2016 Le Phare - CCN du Havre / Festival Région(s) en scène Le Havre (76) 14h 20/04/2016 Salle Verdun L'Aigle (61) 18h30 25/04/2016 Théâtre Roger Ferdinand Saint-Lô (50) 14h30 26/04/2016 Théâtre Roger Ferdinand Saint-Lô (50) 14h30 et 20h30

Tournée 2014-2015

06/11/2014 Salle Georges Brassens Villiers/r Marne (94) 9h30 et 14h30 07/11/2014 Salle Georges Brassens Villiers/r Marne (94) 9h30 14/11/2014 Espace Bel Air Saint-Aubin-du-Cormier (35) 14h 25/11/2014 Le Briscope Brignais (69) 14h


01/12/2014 Le Triangle Rennes (35) 14h30 07/05/2015 Théâtre du Forum Falaise (14) 10h et 20h30 04/05/2015 Théâtre du Forum Falaise (14) 13h45

Tournée 2013-2014

21/01/2014 Théâtre Juliobona Lillebonne (76) 20h30


« J’ai envie de faire partager ma vision humaniste et optimiste de notre société contemporaine, en utilisant une

gestuelle hip-hop originale, métissée et inspirée du quotidien.

Ce qui m’intéresse avant tout est d’aborder des thèmes actuels, qui résonnent dans l’imaginaire de chacun.

Depuis plusieurs années, je m’entoure de danseurs issus du mouvement hip-hop mais aux univers distincts (chacun

spécialiste d’une technique en street-dance). Cette différence m’inspire et ces pratiques se complètent,

s’enrichissent et s’entremêlent dans chacune de mes pièces.

Si je devais définir mon style chorégraphique, je dirais que celui-ci s’est précisé au fil du temps, et qu’il consiste

avant tout à puiser dans chaque artiste impliqué dans le projet une énergie, un élan et une personnalité forcément

singulière. Ma démarche artistique consiste donc à me nourrir de ces rencontres avec des artistes mais également

avec le public.

Car, pour moi, la création artistique n’a de sens que si elle s’accompagne d’actions de sensibilisation visant à la

participation du public. L'objectif initial visé a toujours été de promouvoir la danse Hip Hop en privilégiant à la fois la

production et la diffusion de spectacles vivants mais aussi en mettant en place des actions culturelles autour des

créations (bals intergénérationnels, ateliers, répétitions publiques, stages, etc.).

Collecte de témoignages, expériences racontées, cuisine et mouvements partagés, c’est également ce qui symbolise

la démarche de la Compagnie ».

Séverine Bidaud

Au sujet de la Compagnie 6e Dimension…

Toujours en tournée :

2015 : « Dis, à quoi tu danses ? » 3 danseurs hip-hop évoluent dans un univers visuel, peuplé de dessins et de vidéo. Un voyage symbolique et onirique vers les contes de notre enfance, où les histoires se mêlent et se métamorphosent. Rêve et poésie laissent place à un univers burlesque qui emmène le spectateur de tout âge dans des sensations et des émotions diverses.

2007 (recréation 2015) : « Aspects de femmes » Forme courte de 20 min pour 4 danseuses. Dans cette satire contemporaine de la vie des femmes, la chorégraphe Séverine Bidaud propose à quatre danseuses de revisiter, à partir de leur technique hip-hop, leur(s) identité(s) de femmes, ancrées dans leur époque.

2010 : « Je me sens bien » Dans une société qui prône le culte de la beauté, la chorégraphe Séverine Bidaud, nous fait partager sa vision de la vieillesse et les défis à relever face à une société d’exclusion. Mêlant Charleston, Shim-sham, tango et valse avec l’énergie des danses urbaines, Je me sens bien esquisse avec tendresse, nostalgie et humour, six portraits de femmes, qui voient poindre les effets du temps qui passe.


Quelques repères historiques sur la culture hip-hop

Voulant rompre avec la violence des gangs du Bronx, Africa Bambaata, membre du gang des Black Spades,

crée la Zulu Nation en 1975. Cette nation se veut pluri-ethnique et pacifique, et prône des valeurs positives

de fraternité et de partage avec pour mot d’ordre : pas de violence, pas de drogue, pas d’alcool, pas

d’arme. Il faut respecter l’autre et transformer la violence en défis artistiques. La transmission de messages

est au cœur de ces formes artistiques que sont la musique, la poésie, la danse, le tag (signature) et le graff

(peinture).

L’influence de la Zulu Nation s’étend en Europe au milieu des années 80. La jeunesse française découvre ce

nouveau mouvement notamment en 1984, lorsque Sidney, un Dj (Disk jockey) antillais amateur de funk,

anime l’émission télévisuelle H.I.P.H.O.P. . La culture hip hop connaît alors un développement fulgurant

mais éphémère, car dès 1985, la disparition de cette émission entraîne un abandon de cette pratique

parmi ceux qui pensaient que cette culture n’était qu’une vague passagère, reléguant les inconditionnels

du mouvement dans l’underground.

C’est alors que les discothèques jouent un rôle essentiel dans ces regroupements passionnels dédiés à la

fête du corps et du partage. Le rôle des Dj fût très important pour faire connaître les musiques du hip hop

(soul, funk, électro, rap…) et les sélectionner pour les danseurs. C’est dans ces lieux que se sont constitués

et soudés des groupes qui deviendront plus tard les compagnies de danse.

En 1994, grâce au Théâtre Contemporain de la Danse à Paris, la danse hip hop connaît un nouveau départ

avec le spectacle Sobédo. Son vif succès marque le début d’une nouvelle ère pour la danse hip hop au

niveau de sa connaissance, de sa diffusion auprès d’un large public, de son entrée officielle au théâtre.

Après le festival Envol de Beaubourg en 1990, d’autres festivals suivront : Danse Ville Danse à Chambéry,

Danses Urbaines à Suresnes en 1992, Les Rencontres de la Villette en 1996.

Compétitions de danse, démonstrations, battles, et spectacles, la danse hip hop depuis ses débuts en

France s’exprime ainsi dans différentes voies qui l’inscrivent dans l’histoire de la danse. Certaines

compagnies sont davantage tournées vers la scène, d’autres vers la rue.

Danses debout ou danses au sol, les b.boys et les b.girls ont commencé en effet à danser dans la rue,

celle-ci représentant un espace d’apprentissages, de rencontres, de créations, de spectacles et donnant

lieu à de multiples événements, grands ou infimes, organisés ou spontanés.

La scène et l’écriture chorégraphique ne modifient pas les fondements du hip hop. Le free style clôture

nombre de spectacles et le rapport avec le public, l’échange, la proximité demeurent essentiels.

De nos jours, le nombre de groupes de danse va croissant, les demandes de cours et de stage également.

Mais la danse hip hop n’est pas qu’une technique, c’est aussi un mode de vie ; et si des bases techniques

peuvent être transmises par l’enseignement, les danseurs souhaitent aussi que les élèves s’intéressent à

l’esprit de liberté et de créativité inhérent à cette danse. La curiosité et le respect envers les aînés et le

mouvement hip hop dans toutes ses dimensions sont la condition d’un véritable apprentissage et de sa

transmission.


Lexique de la danse hip-hop

BATTLE (batailles, défis de danse entre deux équipes) : Un Battle s’organise sous forme de pools au cours

desquels les groupes (ou les individus) se défient devant un comité artistique composé d’un président et

de ses membres.

Un système de pools est donc mis en place au cours desquels les groupes (ou les individus) disputent

plusieurs manches. Huit groupes (ou individus) sont retenus pour les quarts de finales, quatre groupes (ou

individus) pour les demi-finales puis deux groupes (ou individus) s’affrontent en finale.

CREW (ou posse) : Troupe, groupe, équipe de personnes qui se retrouvent entre elles par affinités

artistiques ou géographiques.

FREE STYLE : Danse individuelle improvisée où le danseur agence à sa façon les figures et affine son propre

style.

B.BOYING ou BREAK DANCE : Le B.boying est un style de danse né à New-York en 1976, avec le Top-rock.

Quelques années plus tard, les figures au sol viennent enrichir cette danse.

Le B.boying, introduit par le groupe Rock Steady crew, alterne phases, top-rock et passe-passe au sol. Il

mêle figures imposées et liberté de style. C’est la danse par excellence des compétitions internationales,

elle se compose des éléments suivants :

• Le Top-rock : déplacement debout avant-arrière latéral qui peut préparer la descente au sol ;

• L’Up-rock : danse guerrière qui exprime l’idée d’un affrontement dansé ;

• Les Power-moves (ou grandes phases) : assimilés le plus souvent à de la gymnastique et des acrobaties,

ils demandent de l’énergie et de la force physique et se traduisent par des figures telles que la

coupole (tour sur le dos), le thomas (cheval d’arçon au sol) ; le head-spin (tour sur la tête)…

• Les Foot-works (ou passe-passe) sont des variations entre les phases qui permettent leur préparation

et qui contribuent au style du danseur.

FUNK STYLES : Les Funk styles (danses debout) sont nés dans les années 70 en Californie, sur la Côte ouest

des Etats-Unis. Ces danses, notamment le locking, le wacking, le popping et le boogaloo furent plus tard

assimilées à la culture hip hop new-yorkaise, berceau de la danse au sol ou break dance.

• Le locking a été inventé par Don Campbellock et son groupe The Lockers au tout début des années

70. “ Soul Train ”, une émission mythique américaine mettant en avant lors de chaque émission un

nouveau style de danse, a permis à Don Campbellock de faire découvrir le locking au monde entier.

Le locking est un mélange des danses de club des années 1970 et des mouvements acrobatiques des

danseurs de claquettes régi par un principe de décomposition des mouvements et « d’arrêt sur image ».

Il est marqué des sauts, des mouvements pointés et roulés des bras, des mains, des jambes et des pieds,

le tout réalisé de manière très rapide, rebondie et entrecoupée de courts moments de pause, sortes

d’arrêts rythmés distinctive de ce style. L’une des figures les plus repérables est le pointing qui indique

des directions dans l’espace le doigt pointé en s’inspirant de l’affiche d’Oncle Sam pointant son doigt

avec le slogan : “ Engagez-vous dans l’armée ”.

• Popping et Boogaloo : Créé par Boogaloo Sam et son groupe The Electronic Boogaloo, le popping,

danse originaire de Californie, voit le jour au milieu des années 70. Son nom lui vient alors de “ Do the

Boogaloo ” de James Brown. Le popping et le boogaloo sont des danses inspirées par les mouvements

de dessins animés, de mime, de gestes robotiques et de la vie quotidienne.

• Wacking : Créé par Adolpho Shabba doo Quinones durant les années 70. Le wacking s’inspire des

danses des Clubs gays de Los Angeles.


Autres esthétiques de la famille de la danse hip-hop :

• NEW-STYLE

La danse hip hop dite new style n’est pas considérée comme un genre à part entière. Les danseurs qui la

pratiquent y intègrent des pas issus de tous les styles de danse debout et utilisent des mouvements au sol

empruntés au break. C’est une danse en gestation dont les techniques sont celles des danses qu’elle

associe.

• KRUMP

Le Krump est une danse née dans les années 2000 au cœur des bas quartiers de Los-Angeles. Cette danse,

non-violente, malgré́ son apparence agressive, à cause des mouvements exécutés très rapidement, de la

rage ou la colère, qui peut se lire parfois sur les visages des danseurs, que l’on appelle les « Krumpers », se

veut être une danse représentant la « vie » et toute sa « jouissance ». En effet, c’est plus une décharge

d’adrénaline, un réceptacle de secousses et de mouvements d’une extrême dextérité́, un peu comme une

transe, où̀ tous les muscles du corps sont sollicités. Son style, emprunté aux danses hip-hop « old school »

ainsi qu’aux danses tribales africaines est une façon de dépasser la violence et un message d’acceptation

en même temps (comme dans tous les styles de danse hip-hop d’ailleurs), car sur la piste peuvent

s’affronter des danseurs de tous âges, de tous sexes et de toutes morphologies. Une danse où la liberté́

d’improvisation est importante et dans laquelle ce qui compte c’est la puissance de la personnalité́

exprimée, à travers les mouvements.


PRESSE

Article Magazine PATAQUES #7 – Janv-Mars 2016




Paris Normandie – 19/11/2015




Restitution Etude IADU – 10/02/2017

Cette enquête, lancée par les deux cofondateurs du programme, la Fondation de France et la Villette, part des 17 années d’existence de IADU (Initiatives d’Artistes en Danses Urbaines) mais dresse également un

panel des différentes soutiens apportés par les institutions à la danse hip-hop.


Coordonnées de la Compagnie Siège social : c/o Maison des associations et de la solidarité de Rouen 22 bis, rue Dumont D’Urville 76000 ROUEN FRANCE Adresse de correspondance : 55, digue Jean Corruble 76450 Veulettes Sur Mer FRANCE Contact artistique : Séverine Bidaud +33(0)6 15 95 57 35 Contact pédagogique : Jane-Carole Bidaud +33(0)6 24 80 34 25 Contact diffusion : Audrey Bottineau +33(0)6 12 37 78 12 Site internet : www.6edimension.fr Facebook : 6e dimension Adresses mail : [email protected] / [email protected]

N° de SIRET : 434 920 732 00055

N° d’affiliation à l’URSSAF : 760 1730244347 5 Code APE : 9499 Z Licences d’entrepreneur de spectacles : N°2-1007349 et N°3-109 6077 Présidente : Sylvie BUNEL Association Loi 1901 déclarée au J.O. n°2442 du 5 décembre 1998

Documents

“HIP-HOP, EST-CE BIEN SERIEUX?” - 6edimension.fr · de Fosses, le Centre de danse du Galion à Aulnay-sous-Bois, l’Espace Lino Ventura de Torcy pour la mise à disposition de