42
A2Z ART GALLERY 24, rue de l’Echaudé 75006 Paris / Tel: + 33 (0) 1 56 24 88 88 / www.a2z-art.com / [email protected] HOM NGUYEN

HOM NGUYEN - cannes-collection.com · émotions qui bouleversent l’âme humaine.! ... Hom Nguyen pousse chacun de nous à une réflexion, une introspection, sur ce que nous montrons

Embed Size (px)

Citation preview

A2Z ART GALLERY 24, rue de l’Echaudé 75006 Paris / Tel: + 33 (0) 1 56 24 88 88 / www.a2z-art.com / [email protected]

HOM NGUYEN

Hom Nguyen, né à Paris en 1972, est un artiste autodidacte au style instinctif et sans complexe. !Personnalité anticonformiste, ses œuvres le sont tout autant. Travaillant au fusain, au feutre gouache, à l’huile voire même au stylo, chacune de ses toiles apparait tel un combat, un corps à corps avec la matière d'où surgit une volonté : révéler le plus profond de l’être humain à travers les traits et la couleur. !L’essentiel du travail de Hom s’articule autour de la création de portraits monumentaux. Le choix des couleurs, l’application de la matière ou encore la vivacité du geste se font toujours dans le but de montrer au monde sa vision de l’être humain par-delà les apparences. Ses œuvres capturent et transcendent ainsi la profondeur des sentiments et la complexité des émotions qui bouleversent l’âme humaine. !Ses représentations subtiles abordent la dualité du visible et de l'invisible, du matériel et de l’immatériel. En ce sens, Hom Nguyen pousse chacun de nous à une réflexion, une introspection, sur ce que nous montrons de nous-mêmes, ce que nous essayons de cacher et ce que nous sommes réellement.

SERIE « AUTOPORTRAITS »

Hidden Autoportrait (Kikazaru), 2015, technique mixte sur toile, 180 x 140 cm.

Hidden Autoportrait (Iwazaru), 2015, technique mixte sur toile, 180 x 140 cm.

Hidden Autoportrait (Mizaru), 2015, technique mixte sur toile, 180 x 140 cm.

SERIES « PORTRAITS »

Bruce Lee, 2013, technique mixte sur toile, 150 x 150 cm.

Mick Jagger, 2013, technique mixte sur toile, 200 x 200 cm.

Sans titre, 2013, technique mixte sur toile, 200 x 200 cm.

Encre du Mekong, 2015, technique mixte sur toile, 200 x 200 cm.

Encre du Mekong, 2015, technique mixte sur toile, 200 x 200 cm.

SERIE « SANS REPÈRES »

La série « Sans Repères » : des masques crayonnés

entre liberté et prise de risques

À peine avons nous le nez devant les toiles de Hom Nguyen, que le regard du public s’immisce dans la profondeur de son style. Né en 1972, Hom Nguyen est un enfant né d’une famille vietnamienne venue en France dans les années 1960. Menant une carrière artistique riche et variée, Hom Nguyen attache à la représentation de la figure humaine une place prépondérante dans son œuvre. Son histoire personnelle le conduit à produire un geste dont le vocabulaire plastique se fonde dans une certaine écriture automatique. !Malgré un début prometteur à l’école, Hom Nguyen est devenu autonome très tôt et livré à lui même. L’artiste débute sa carrière en tant qu’artisan autodidacte ayant appris à faire des patines sur du cuir. C’est en apprenant à gérer la coloration sur le cuir que l’artiste s’intéresse à la peinture et au dessin. Son passé de sportif extrême peut l’avoir inconsciemment poussé à revivre cette sensation de puissance, glisse, de vide et de légèreté que l’on retrouve dans ses masques crayonnés. Constamment confronté à une réelle prise de risque, l’assurance du geste graphique, qui court sur le support papier, laisse libre place à l’accident. Le geste dessine le motif sans vraiment savoir où il va. Hom Nguyen s’illustre en héraut explorant le chemin d’une quête spirituelle et identitaire. !Son style fait de touches impulsives et de mouvements vivaces renvoient pour les historiens de l’art à diverses expériences plastiques. Hom serait en effet la rencontre entre le Pop-art d’Andy Warhol par le choix de ces sujets : des visages de célébrités, celle de l’art figuratif de Lucian Freud avec une touche expressive et torturée et son travail de superposition de matière, et celle du dynamisme pictural de Jackson Pollock. On pourrait aussi penser à l’œuvre de Yan Pei Ming qui s’attache lui aussi à la figure humaine. On retrouve chez ce dernier et chez Hom cette volonté de laisser un témoignage, d’un côté, des icônes de notre temps, et de l’autre, des appels à la prise de conscience du contexte socio-politique que représente l’immigration.

Le travail sur la série des masques, axé plus particulièrement sur le regard des enfants asiatiques sans bouche, est le fruit d’une projection mentale réalisée sans modèle antérieur, en se fondant uniquement sur sa mémoire et l’émotion du moment. Pour l’artiste, «  la beauté n'est pas forcément la difficulté d'une œuvre mais de ce que vous éprouvez en la regardant ». !Par là-même, Hom Nguyen parvient à sonder le « miroir de l’âme » en captant la noirceur profonde des yeux de ses sujets. L’artiste s’assure que le visage doit l’intéresser : « ce n’est pas leur beauté, ni leur notoriété qui m’interpellent mais leur expression. Ce que leur physionomie, les sentiments et l’émotion qui y flottent traduisent ». Les historiens de l’art pourront trouver des chemins de correspondance entre l’art masqué de Hom Nguyen et celui de Zeng Fanzhi. Tous deux affublent leurs personnages d’un masque cachant leur identité intime. Selon la critique et historienne d’art Catherine Francblin, « on n’apparait jamais en société sans un masque ». Selon le conservateur au musée d'Art moderne de la Ville de Paris, François Michaud, «  la vivacité du trait marqué tire son origine de la pensée chan, c’est-à-dire que tout dans la pratique se réfère non pas dans la liberté et le hasard du geste mais dans une technique du contrôle, de l’extrême précision du geste ». En accentuant davantage le sentiment et l’émotion sur le regard en particulier, la philosophie asiatique pourrait occuper une place prépondérante dans le travail de Hom Nguyen. L’artiste pourrait vouloir atteindre le « Tao », cette voie spirituelle où l’art nait de la main, pour ensuite voyager dans l’esprit puis dans le coeur jusqu’au moment où l’âme et la main ne font plus qu’un. !Certains pourront voir dans le travail de Hom Nguyen une forme d’exutoire psychologique et plastique du fait de son passé intime avec sa mère. L’absence volontaire du motif de la bouche dans les portraits graphiques rappelle intrinsèquement la condition et l’attitude des immigrants notamment asiatiques en France « qui ne parlent pas, n’écoutent pas, ne voient pas ». N’ayant pas le droit à la parole une fois arrivés en France, les immigrés devaient en réalité travailler dur sans se plaindre.

Ses visages graphiques illustrent un continuum dans lequel le public est invité à plonger. Au plus profond des différentes strates graphiques, les portraits masqués de Hom Nguyen innovent tant sur le plan traditionnel que technologique. Face au dessin, toute personne contemple une nouvelle définition du portrait tant par l’innovation plastique que numérique. D’un bout à l’autre et sans traverser l’espace entier de la composition, le regard proche de la toile voyage et aperçoit des formes légèrement abstraites. C’est en reculant davantage que les ombres et lumières laissent entrevoir la poésie du regard. La révolution technologique nourrie de l’image numérique permet au public d’apprécier une autre lecture de l’œuvre de Hom Nguyen. Les traits du visages s’effacent peu à peu et se dissimulent dans le jeu des ombres et lumières. Ce travail de lissage du crayon via l’apport technologique d’un écran numérique, par exemple, permet au vocabulaire plastique de Hom Nguyen de présenter une réelle originalité. La technologie de pointe ramène en effet la place primordiale de l’observation. Avec l’appui de toutes nos technologies de capture instantanée, le public peut être en train de perdre sa capacité d’observation. Alors, grâce au dessin de Hom Nguyen, c’est ce que l’on pourrait apprendre en premier. L’œuvre de Hom Nguyen est accessible et sans prétention. L’image parle à tous. !Hom Nguyen présente un parcours atypique. Béni d’un don certain, l’artiste vietnamien n’a pas suivi de formation académique. Rejetant tout conformisme, Hom Nguyen ne peint pas pour plaire. Sa volonté est ancrée dans la perpétuelle envie d’enrichir ses expériences plastiques. La vitesse à laquelle il évolue dénote une passion bouillonnante qui suscite de plus en plus l’intérêt des collectionneurs, des institutions européennes et asiatiques. Toujours inquiet et ambitieux de progresser, de retranscrire graphiquement l’expression complexe de l’humanité, Hom Nguyen est un artiste contemporain qui redonne au grand genre du portrait ses lettres de noblesse.

Sans repères, 2016, pierre noire sur toile, 200 x 200 cm.

Sans repères, 2016, pierre noire sur toile, 200 x 200 cm.

Hidden 3, 2016, dessin sur papier, 80 x 120 cm.

Hidden 1, 2016, dessin sur papier, 80 x 120 cm.

Hidden 2, 2016, dessin sur papier, 80 x 120 cm.

DISCOURS DE HOM NGUYEN A2Z ART GALLERY, PARIS

1er Avril 2016 — 16h

• Bonjour Monsieur Hom Nguyen. Pourriez-vous vous présenter ?!

!Hom NGUYEN (ci après H.N.) : Bonjour, je suis un artiste d’origine vietnamienne né en

France. J’ai 43 ans. J’évolue dans l’univers de la peinture et du dessin. !

!• Pourriez-vous nous préciser quelles sont vos sources d’inspiration ? !

!H.N. : De par mon histoire personnelle, l’humain est au centre de ma recherche. J’ai été

d’abord amené à m’exprimer au travers d’idoles. J’ai commencé par travailler le portrait

de célébrités qui ont bercé mon enfance au travers du regard de ma mère et de mon

oncle. Je me rends compte aujourd’hui, de manière introspective, que je me lançais déjà

dans une démarche d’enquêteur, dans une recherche de mes origines. C’est alors que j’ai

réalisé la série l’Encre du Mékong au travers de portraits peints de personnes âgées,

symbolisant pour la communauté asiatique les piliers d’une famille. Puis, je me suis

tourné vers la série d’autoportraits appelée Hidden avec laquelle j’ai pu, pour la première

fois, me mettre en scène. Cette réflexion plastique a naturellement conduit aujourd’hui à

la série Sans Repères qui s’inscrit dans la continuité de la quête identitaire de mon passé. !

!• Que faisiez-vous auparavant ?!

! H.N. : Étant adolescent, j’ai été amené me responsabiliser très tôt à cause d’une tragédie

qui a bouleversé mon destin et celui de ma mère. Malheureusement, elle a été victime

d’un accident de voiture qui l’a rendu paraplégique. Il a donc fallu que je subvienne à ses

besoins très tôt. Nous n’avions pas de famille une fois arrivés en France. Ma mère est ma

seule famille. !

De fil en aiguille, le destin m’a amené à travailler comme artisan dans la patine de

chaussure, période durant laquelle j’ai pu expérimenté mes premières recherches

plastiques. À la suite de la demande très particulière d’un de mes clients, j’ai pu m’exercer

dans le dessin et réalisé un tatouage sur une paire de chaussures. S’en sont suivies des

expérimentations colorées et graphiques appliquées directement sur d’autres supports : le

papier puis la toile.

25

• Votre travail établit donc un lien très fort avec votre mère, n’est-ce-pas ? "

!H.N. : Oui, tout à fait. J’ai vécu une relation fusionnelle avec ma mère qui me permet aujourd’hui de savoir quelle est la première source d’inspiration de mon œuvre. Ma mère fait partie de cette génération de personnes vietnamiennes qui ont immigré en France dans les années 70. Je veux évoquer dans mon travail artistique les questions relatives à l’intégration dans l’immigration, notamment l’immigration asiatique. Je l’exprime à travers le regard et non à travers la bouche. Je l’omets volontairement. À cette période, communiquer avec l’autre était beaucoup moins évident qu’aujourd’hui. Nous n’avions pas les mêmes outils technologiques qui nous permettaient d’échanger. !

Tout mon travail rend hommage à ma mère depuis qu’elle est décédée en 2009. Les yeux de toutes ces figures plus ou moins âgées ne renvoient pas à n’importe quelle vision. Ils véhiculent le regard protecteur de ma mère qui, lui-même, voyage à travers de celui de mon enfance. Ce voyage introspectif se projette ainsi sur la toile en commémoration de ma mère. Il illustre également une manière de me réapproprier mon enfance. !

Je n’oublierai pas de mentionner que l’inspiration de ma mère se joint à celle de mon fils, ma deuxième source d’inspiration. Grâce à cette combinaison nourrie d’un amour maternel et paternel, la série Sans Repères a pu émerger de mon subconscient. Cette oeillade vécue à la fois à travers des yeux d’un enfant et d’un père part d’un sentiment tourné tantôt vers le passé tantôt vers l’avenir. À présent, je tente d’exprimer graphiquement cette dualité.!

!• On peut voir au travers de votre série une certaine écriture mécanique faisant indirectement écho aux esquisses d’Alberto Giacometti ?  "

!H.N. : Dans mes recherches de référence plastique, j’ai été amené à surfer sur la toile à la découverte de formes d’expressions qui me correspondaient le plus. Je ne cherchais pas à m’inspirer du travail antérieur d’un artiste en particulier. Je suis heureux que vous faisiez cette référence par rapport à mon travail. Mais, je suis moi-même tombé dans ce mouvement, cette mécanique personnelle qui passe par le crayonné.

• Pourquoi insistez-vous sur la technique de ce que l’on pourrait appeler le crayonné ? "

!H.N. : Le crayonné est un outil à la portée de tous, découvert et expérimenté depuis les premiers âges de l’humanité. L’usage du fusain sur la toile fait échos à l’usage du charbon sur la surface murale d’une caverne. Le crayonné est une piste de recherche que je souhaite développer parce qu’il me permet de déployer l’énergie qui bouillonne en moi en ce moment. Chaque réalisation est une performance. Je me sens à chaque fois habité au moment de la réalisation, submergé par une émotion inconsciente qui guide mes gestes et libère tout la rage contenue en moi. !

!• En tant que spectateur, nous ne voyons qu’une forme abstraite d’un regard. Pourquoi choisir un tel vocabulaire ?"

!H.N. : Le crayonné crée un trouble qui forme un voile symbolisant la barrière qu’il existe entre chacun de nous, cette peur de l’inconnu. C’est pourquoi chacun de nous serait amené à se vêtir d’un masque derrière lequel nous cachons notre réelle personnalité. Ce sont des codes liés à l’organisation d’une société. Nous répondons tous face au regard de l’autre, contraint par rapport à des lois sociales qui nous imposent de respecter la liberté et l’intégrité de l’autre. Cette peur d’empiéter la liberté de l'autre nous frustre et nous déshumanise. Ceci nous permet d’avoir une idée sur la juste valeur des ressentiments qu’un étranger peut avoir lorsqu’il arrive dans une nouvelle terre d’accueil. En terme de raisonnement, ne pas parler la langue permet de revenir à l’essentiel. En ne parlant plus pour rien dire, on entre dans une recherche sensorielle, didactique qui passe par d’autres formes de langages et de gestuelles dont le plus communicatif est le regard. Voilà pourquoi mon geste si violent et dynamique insiste sur le mouvement et la profondeur du trait. Voilà pourquoi aussi je n’intègre pas la bouche dans la composition du visage. C’est alors qu’émerge de la toile ce masque.

• La technique que vous utilisez pour réaliser ces masques est tout à fait singulière, certains parleraient même d’une nouvelle vision contribuant à apporter à l’Histoire de l’Art un nouvel -isme, qu’en pensez-vous ? "

!H.N. : Tant mieux si je contribue à de nouvelles propositions dans la grande Histoire de l’Art. Maintenant, la technique du trait crayonné, plus ou moins profond, est issue de mon histoire personnelle et non d’un mariage d’influences tirées d’une quelconque formation académique. En effet, je ne suis pas issu de l’école des Beaux-Arts. Après, libre à chacun d’interpréter mon travail. Je suis dans une démarche d’offrande, de transmission. Pour moi, le principal est d’arriver à être au plus proche dans la matérialisation de mes ressentiments les plus profonds. Peu importe où la technique me mènera, je me laisse guider tantôt par le geste tantôt par mes impressions. J’entreprends un voyage intérieur. !

!• Quels seraient vos projets à venir ?"

!H.N. : En parlant de voyage, je développe actuellement une collaboration avec deux amis chers qui va se concrétiser sous forme d’une exposition au Palais de Tokyo. Fred Pinel, artisan malletier parisien, m’a invité à m’exprimer sur l’une de ses créations, chose qui m’a tout de suite emballé du fait que toutes ces malles sont en cuir et renvoient à un support pour lequel j’ai beaucoup d’affection. Il était évident pour moi d’accepter l’invitation de par la symbolique de la malle évoquant les choses essentielles qu’une personne puisse emmener et garder auprès d’elle lors d’un voyage sans-retour. Cette exposition bénéficiera également du soutien de ma deuxième amie. Son histoire est emprunte d’un parcours de vie auquel je me suis complètement identifié. De par ses origines, j’ai ressenti toute la force de caractère qu’il fallait déployer pour mener un tel combat.

EXPOSITIONS

Exposition personnelle, Le combat du siècle, !21 mars — 8 avril 2015, !

A2Z Art Gallery, Paris, France

Vue de l’exposition Le combat du siècle

Exposition collective, Etat second, !12 décembre 2015 — 16 janvier 2016,!

A2Z Art Gallery, Paris, France

Vue de l’exposition Etat second

Vue de l’exposition Etat second

FOIRES

Art Paris au Grand Palais 2015

Anthony Phuong et Smaïn

Art Stage Singapore 2016

Anthony Phuong et Kevin Seah

Art Stage Singapore 2016

PROJET PALAIS DE TOKYO

Le 15 juin 2016, Hom Nguyen présentera son exposition personnelle au YOYO, espace situé au cœur du Palais de Tokyo. !Portant toute son attention sur la question de l'intégration et de l'immigration, Hom présentera une nouvelle série de portraits réalisés grâce sa technique particulière. !Avec le soutien, la participation et le regard d’Isabelle Adjani, Hom Nguyen souhaite discuter de l'identité des immigrants et a fortiori celle de l’humanité.

Hom Nguyen et Isabelle Adjani devant l’oeuvre intitulée Grand-mère au stand de la galerie A2Z au Grand Palais 2015

Hom Nguyen   1972 naît à Paris (France), d’origine vietnamienne 2009 s’installe dans un grand atelier à Bagnolet en 2009 2011 commence les portraits de très grand format sur toile 2015 expose son travail au Grand Palais pour Art Paris Art Fair où ses œuvres ont rencontré un vif succès auprès de la presse. !Expositions personnelles / Solo Exhibitions   2015 Le combat du siècle, A2Z Art Gallery, Paris, France 2014 Hom Nguyen, le parcours fulgurant d’un artiste multifacettes, Levée de voile, Solo show, Galerie Favardin & De Verneuil, Paris, France 2013  Beirut Art Fair, Solo show, Beyrouth, Liban !   Expositions collectives(sélection)/Group   2015 État second, A2Z Art Gallery, Paris, France 2013  Hôtel Drouot, Vente aux enchères, Paris, France 2011  Fondation Pierre Bergé, œuvre Geisha réalisée en collaboration avec Ora-ïto, vente aux enchères, Bruxelles, Belgique

Depuis 2014, les œuvres de Hom Nguyen font partie de l’exposition permanente de la A2Z Art Gallery !!

Foires d’Art/Art Fairs 2016 Art Stage Singapore, représenté par la A2Z Art Gallery, Marina Bay Sands Expo & Convention Centre, Singapore 2015 Art Paris Art Fair, représenté par la A2Z Art Gallery, Grand Palais, Paris, France 2013  Beirut Art Fair, Beyrouth, Liban

A2Z ART GALLERY 24, rue de l’Echaudé 75006 Paris / Tel: + 33 (0) 1 56 24 88 88 / www.a2z-art.com / [email protected]