Initiation maconique v81 n3 1908 Dec

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revue initiation maconique

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  • , [1

    Bevue pnllosoplllque des Hautes tudesPl'BLlE MENSUELLEMENT SOUS LA DIRECTION or

    81 mo VOLUME. - 22 mB ANNEE

    SOMMAIRE DU N 3 (Dcembre 1908)PARTIE PHILOSOPHIQUE

    Les Couleuvres scientifiques (p. '93 'g8) .L'vangile et la Nie (p. '99 212) . . . . .L'Opothrapie ct la Medecine des signattll'es(p. 213 223) .

    La Doctrine de saint Jean de la Croix (p. 224 235). . . . . . . . . . . . .

    Au Progrs de l'humanit (p. 236 et 237) .Explicatioll fournil' (p. 23 et 23g) . .La Peinture spiritualiste (p. 240 :l.p). .De la Phase de transformation Ip 243 il 247)L'Esprit, seule ralit (p. 248 252). . .'

    PARTIE INITIATIQUEOrphe et les Ol'phique (sl,ite) (p. 253 266).

    PARTIE L1TIRAIREA Ull F.. du Grand-Orient (p. 26). . . . ,

    Papus.G. Phaneg.

    C. B.

    Sdir.Isidoro Viliarino.Teder.Richard Burgstral.Jean Siprel.Spro.

    Combes Lon.

    Combes Lon.

    Janvier occultiste. - La Pression de la lumire. - Les Confrences Nancv.- Mouvement psychique.- Socit magntique de France.-Librairie du 1agnusme. - Livres nouveaux. - 'crologie.

    Tout ce qui concerne la Rdaction et leI changel doit tre adrelle5. rue de Savoie, Paris-VI". Tlphone - 8i609

    Tout ce qui _concerne l'Administration:ABONNEMENTS, VENTE AU NUMRO. ANNONCES

    doit tre adress la

    LIBRAIRIE INITIATIQUEPARIS - 23, Rat Saint-Muri, _ rP

    gllzedby

  • Lei Doctrines matrialistes ont vu.Elles ont voulu dtruire les ternels sont l'essence

    Je la de la et de mais elles n'ontabouti vaines et striles n,galtions. Science exoerl-mentale a conduit les savants eux

  • Le mdium IIUler et Il. de Vesme

    m'tais biencouler bellUc:ouiP t'I...n".....

    dans le

    nereste enlFantine, etfaits

    C'est une excution enPour M. de Miller n'est pas du tout mdium

    et c'est unJe encore l'0IJinjon

    que des mdiums l'tat dese aller la mais dOlonlmt

    des rels. Pour M. debien Tout est et si lesse laissent il n'en est pas de mme

    ne le pas. Et il fournit trucsCette eXl=lliClltio,n est

    tient aucun cOinpite13

  • L'INiTIATION

    fiU-Ut:lii. Lade

    un mdium et on nous aferait fortune dans lesa pu coter de

    avons cru avoirun escamoteur

    :>liIUIJ:il. Pour le cela peu l'rn011voirMais comme toutes les sont respe

  • LES COULEUVRES SCIENTIFIQUES 195repasse sans doute de mme au compre qui l'aidaitdans cette fameuse sance de contrle.Si ce fait s'est produit, cela indique une bien mau-

    vaise surveillance de la part des contrleurs quiavaient pris soin de ne laisser personne approcher lemdium.C'est se demander si ce n'est pas M. de Vesme

    lui-mme qui aurait t le compre" car, ma con-naissance, c'est le seul des quatre contrleurs dont jeme mfierais, tant il est connu que fa ngation desphnomnes les plus simples est la joie de M. deVesme. Mais un examen plus srieux de la questionva nous permettre de voir que M. de Vesme est inno-cent et que son objection est, du moins dans sa formeactuelle, aussi innocente que lui-mme.En effet, M. de Vesme a seulement nglig une

    petite exprience pralable qui aurait frapp des cer-veaux d'hommes h.abitus aux expriences scienti-fiques.A un moment de sa sance, en effet, Miller fait

    apparatre trois ou quatre personnages. Ils parlent ouils font semblant de parler et ils saluent alternative-ment et souvent simultanment l'assistance. A cemoment, les rideaux sont relevs.Chacun des personnages apparaissant est revtu de

    tulle illusion. On. voit ces personnages en eptier etils en saluant.Tel est Je phnomne de l'apparition d'Effie Dine

    et KaryWest, si je me souviens des noms.Je vais, pour un moment, me rallier la thse de

    M. de Vesme et supposer que tout est truqu dans

    DiQitiZedbyGoogle

  • au

    boule

    L'INITIATION

    vais mme"""'lU"'. je vais me

    mieux 1',s,I'urli.....de la science

    Mainte:narlt, il enque le ......"triln..",,' see me.

    faire les apilariticins que lemdium se tient leur extrme il un

    de transmission de la du cabinet.centimtres.

    Il faut aussi une autredroit sur la

    20 centimtres de ha'uteur.

    nous donne :centimtres OOUViant tl,escopler

    20 centimtres.besoin et deuxIl faut "'",nt ,. encore qUlelques

    qUlelques centimtres dephOlspt:lor:e, des de sOret pour

    ilJulsion et une noireJo) que le va passr au

  • "'''''1-'''''', nous dit M. de Vesme. Millerle morceau de

    et il sort en rentrant dans sa

    hypolthse. Mais alors que cecommissaires le mdium?

    bien que n'a pas puloiindlre ce morceau de tulle au des 5 mtres

    a par l\ son comdes ses faits

    LES COULEUVRES SCIENTIFIQUES 197M. de Vesme a-t-il eu de reconsti-

    ce ? A-t-il euncessaires un si mes

    essais sont mal conduits et s'il a trouv mieux?essaye un peu, et il verra

    une accusation contre un hommeans et a t contrl aux

    aussi mfiants queM. de peser toutestances d'un mme ps)rch,ique.Mais notreOn a

    tours va se montre entreElle fait ses calembolLlrs et sesrentre dans le cabinet. Elleune quesalle.Rien

    a

    iJ1

    etIl n'est pas srieux dire:

    Mon inteHigellce ne mesont de la

    d'ex-

  • L'INITIATION

    la d'entre eux, mais je suis perslJladltous les assistants sont des

    De le doute doit l'accus:.bealUC()UP pour des

    encore ttrom[leri.e. Jllsoue,la on doit le dlFendre

    l'accusent de res)roduireeXlpr'jm:enta!lement ses sances.

    A un docteur de mes contre le....."'..... , a tenu le de de l'autrect du rideau la sortie

    des ridjeaux.Moi-mme vu se

    tion sans m'aitformer une autre contre moncentimtres et je sait pas de pOlJp:es.Il est que je suis un gros mais ma

    nalive:t demande comme des faits et nondes

    nouvel u .......... "'" ob]jecl:ioI1S deM.j'al:terlds mieux d'autres

    PAPUS.

  • (i)

    l'liU-quelque

    LA MALADIE

    Mon inl:entio,n n'est pas, dans cet essai sur .... "".,-et la de un travail

    froidement et schelnelot,-i'''hul.. mentale. Coins.d:ral:tt

    nosmatres que contient bien exactement lat1n,,..tr,inp du Rvlateur notre race. et que riend'essenti'el n'a pu y tre omis ou je rai yclairer leentoure de toutes vie sur la terre.delnalrlde:ra que tres danssible mot des lvres du Sauveurentr'ouvrent chacun la du dont ils ont

    dans la mesure o il me sera po:ssiltlle(1) C'est dessein que j'omettrai de citer les chapitres et les

    Tersets seront empruntes les citations quel'occasion faire dans le cours de ces essais.

  • 200 L'INITIATION

    supporter la connaissance. Il n'y a pas de vritqui ne puisse un moment tre rvle et le nombreen est assez grand pour que tous les travailleurs del'Idal, mme les plus petits, trouvent tre employs.C'est cette considration qui m'a pouss entre-

    prendre ce travail. - Puisse-t-il ne rien contenir quine soit conforme la Vrit et la Volont du Ciel 1

    S'il est une cnose qui attire notre attention lorsque,cessant de nous considrer comme seul tre impor-tant dans l'Univers, nous commenons sortir denotre tour d'ivqire et regarder autour de nous dansla vie, la souffrance dont nous voyons partoutles signes. Au dbut, la souffrance physique, lamaladie, nous sollicite surtout. Demandons-nousdonc ce qu'est la maladie? Il parait facile prioride rpondre cette question. En ralit, c'est beau-coup plus compliqu qu'on ne le croit gnralement.Au point de vue humain, la maladie est une ruptured'quilibre; au point de vue rel, vivant, c'est lepain de l'esprit que nous demandons chaque jour,c'est un bonheur rel, car c'est une dette paye, unlien de bris. Combien rares sont les tres quipeuvent voir, dans une souffrance physique, la rper-cussion d'un acte mauvais dont ils se sont renduscoupables un moment donn et reconnatre en leuresprit la grce que le ciel leur fait, lorsqu'il leur per-met de se librer ainsi, ds la vie terrestre 1Tel homme, vingt-cinq ans, a troubl et dtruit

    tout le bonheur d'une famille, pour satisfaire ses

    DiQitiZedbyGoogle

  • L'VANGILE ET LA VIE 201

    ans,vieillit cirllquante

    meurt en trois

    consdenteet de nos diffrents organes sur-

    pnmeire vue; si l'on a russi vivreun peu hors se de la nature, reconnatre la vie etla Vie consciente par-tout, lesdu celte ide devient vite farnilire, et 1'00 arrive

    s'en sur soi-mme.de nos organes est

    notre conscience a voulu unemau-

  • 202 L'INITIATION

    vaise et 2"organe. La ,.,' u .. naturellement notre

    l'aura seradans l'Univers; une celluleosseuse, par a deux routes toutcomme notre aller dans la voiedroite et arriver tre un constituante denotre cur, constitue son ou ne pas travaIl-ler et rester infrieure. unea mrit se trouver dans notre main cettemain commet un voulu par notre c'est

    n'a rien fait pour viter son sort; elle estdonc res:ponsllble, et si le ciel notre mainsoit brle et notre sa detteen et la la sienne; sonascension. maintenant le cielmain soit brise et te de notrecrime ne soit combien s'claire alors cette

    : votre main droite est pour vous une occasion de et loin de vous,(oC car il vaut un vos mem-bres que si tait la(oC Ghenne. li)Une autre corlscluence de cetltelcli, de la reSIPOI1lsa-

    organes, se trouve vr'i1:!ele suicide. (oC Il nous a t encoup d"infirmes sont des tres humainsaUI:reiois le crime de le corps eux parla nature une existence. Leur corps

  • EV'ANGll.E ET LA VIE

    actuel est inc,omlplet ou

    aeltOrltnle5 ou

    dansavaient t

    au moment sui-cide.Il y a ensuite une autre cause aux maladies

    c'est notre propre - Nous avonspeu tudier le monde o noustions vivre; nous en connaissons ounous devrions en lois. parvoyance, ou nous nous expo-sons une ne crions pas l'iriju:stc:ene croyons pas avoir nous ne pa't'ollS

    ce cas que notre notre inatten-ou notre Chacun de nos actes

    apl;lelle une dans le mme il at fait. nous un verre d'eau froide

    si nous nous tOt unrepas, si nous pensons tout en nousservant d'un couteau la conges-

    ou la blessure en saufqUlelques ex(:eplons. d'autre cause que nous-mmes etnous ne dans ce cas, ne nous en

    nous. Toutes les maladies auront une ori-an,aloigue, seront du reste en faciles

    ranger encore les maladies dont lescauses sont l'hommeses ou de ses Nous y reconnais-sons la stricte de nos actes et il n'est pas

    d'insister sur le fait des maladies de parsurvenant la suile de des

  • 204 L'INITIATIONblessures dues un caractre des ac(:id,enltsgraves causs par la ou desmaladies d'estomac dont la cause est la gour-ma.nd.ise, etc. Il est vident que dans tous ces casrien ne notre ni la cause ni les

    est ....pp... ,o nous pouvons

    exemple de l'volution desse tue pour sauver lene que

    se

    ceux: unissentceIltnlle, la volont

    pre:mi'ers, et trs lesrec:onnatri::mt aux maladies etd'al:cidlents, d'vnel'lilents o ce

    nomment le hasard se reconnatLUll':ii4IJe les dernier's, C'esta-(l1re

    sous la Protection

    rsultats. Et nous "''''''".,'' .... " ...,.....ota servi commettre la fautele cas des maladies de

    trouver au contraire uncellules par le sacrifice.reste du corps, etlorsql.lle le foie estEnfin les maladies de notre corps

    vent soit la Pnwil:1erlce.sauver ou nous payer une soit

    la nous atteint.vons que rarement avoir la certitlldeest Il est

  • L'VANGILE ET LA VIE

    fraJ:lps accidcIltcllement, onalors d'une dette

    d'une bndictionsembler adlnet:trcde nos per'ccJ:ltions.

    205

    vn'"nrll: main-p01LurioliS savoir des mSllaclies

    II

    nouslimites.

    lui-mme

    hYPCI'pl:l.ysiQlJle a une

  • L'INITIATION

    (

    sur unDelgraves

    est ent:irement

    mal,adie deet contre

    rCTint1in:er, comme

    phol:>ies. la dperdition

    ph'Y'S'QUl!s dues notre

    la ral:tion, pllisqlJe

    Un exernple

    li penl!antLes rpercussions,

    autre sont aussil'existence

    les pil:1nlies ph)'siqlaes.

    la sens:ibiliitastraux et c'est aussi la facil i tmaladie pour dans son propre saitque, nous, maladie est un tre vivantsa vie dans le astral et voluant lui

    comme tous lesIl ne sur le corps par contre-

    coup. tandis actionne directement lieL'action de l'Astral la terre, n'est

    aussi avoir beau.-d'illftuLen

  • ..L'VANGILE ET LA VIE 207

    se rendre1

    r

    sans cause et d'autrestrs tenaces contre lesquleU($ la n'a pasmoyer!!' rels.Ces donnes suffiront pour

    cOlllpte de la

    Il Ya aussi des

    raisondans le

    notredes maladiesnous dire que la

    la cause remonte auelles dethf!Ur,giq[ue a pu en obtenir

    nous ne que nous ne pouvonspellcevoir les causes. Une observation est faire ici. C'est que, par la mme des maladies

    que nous pouvons sur notrenous voyons que la loi de la respolllSlltbilit

    augmerltantav,ec le de conscie1nce,sances et de moyens

    bout pullsqlle la sont certainement nous pouvons sup-

    agiisslmt dans son propre doitterrible

  • 208 L'INITIATION

    IIIVoyons maintenant quelles sont les leons pro-

    fondes contenues dans l'vangile au sujet des mala-dies, Rechercho(ls-y les lumires qui nous permet-tront de savoir la ligne de conduite adopter quandnous seronsmalades nous-mmes, ou que nous aurons tre employs pour soigner ceux qui souffrent.La premire grande loi qui nous frappe est celle

    de l'identit de la faute et de la maladie. La maladieest si bien le rsultat de la faute que, ds le pardonaccord, les organes dsquilibrs redeviennent sains,parfois instantanment, parfois plus lentement. - Te voil guri 1dit Jsus au paralytique, ne pcheplus l'avenir, de peur qu'il ne t'arrive quelque chosede plus fcheux (Rcidive). :Lequel est plus ais dedire: Tes pchs te sont pardonns ou de dire: Lve-toi et marche? Et il en est toujours ainsi.Ceux qui ayant gard la parole ont reu le

    pouvoir de faire sur terre ce que le Christ a fait,ceux-l peuvent pardonner et remettre les pchs etpartant gurir les maladies les plus terribles, mmeparfois l'pilepsie. C'est donc une gnrale, uneloi absolue; maladie gurie, cela signifie: faute par-donne et que le clich form par cette faute a tdtruit.Le deuxime enseignement retenir est la discr-

    tion, dans tout ce qui concerne une gurison 1Dans beaucoup de passages, Jsus recommande aux

    malades guris de ne pas le dire .

    DiQitiZedbyGoogle

  • ta

    L'VANGILE ET LA VIE

    la rsurrection de la fille de Jaire il atenaltdire personne ce tait arriv . Au

    il : d'en rien persOllneprsente en de ta

    l'olfframdle que Moise a 'li> Au" ildit: Prenez que n'en sache rien .Il a c'est il est nces-saire pour certaines raisons que la le

    bruit mais arriveNous ne devons donc le

    avons t tmoin

    n""I"' __ et le cas arrive encore assez La cause de ce nous dlappe.mais il que nous trouvions la recommandation

    silence dans pour que nous fassionstous nos efforts dans ce Nous voyons ensuite si la n'est pas

    lument pour que la gU1ri:SOfl,OU mmele de la fille

    est ncessaire la duaccordl aux malades leurCh.lqlIe page, pour ainsi

    nous trouvons la de cette assertion : fi: Il tesera donn ce que tu as cru, queje vous ? - A cause de votre peu

    vous n'avez pu chasser ce - Mau

  • 210

    gulri:sofl ....'lIi,,....,," ainsi: si DOUS sommes mieux si nous avons de.mlallldE:S soigrterleIon:S-11101liS aux de

    foi t'a l':u'erl'I:. -- Ne crains crois sellleme:nt! toutest pour celui croit. La ne consiste pas, comme on le assez

    croire une affirmationqucelc()nqlue. EUe est la d'une per'CetltlolO

    par que le cerveau. 00c'est du cur.

    a t amen dans une de l'ulniverstelle vrit est aussi aussi certaine que

    le brillant midi de tout son il "'lIT'\nt1.rfpavec lui LA CERTITUDE et notre cerveau e!>1

    nous en mmeforce alors en nous

    cette union intime de notre cur et de notre cerveau1La lumire a notreil nos organes

    C()UtileS parnous a

    Il qe la Nature par le man-teau lumineuxdont la fdi a recouvert notre humjilit1,ne demande alors Et voilJsus affirme: Tout est croit. Il

    le dont il a peru la uninstrument dont le se servira pour aiderles Les

    d'une

  • L'VANGILE ET LA VIE 211

    ter: Il est

    rions fait si nous avions eu lebonheur de le voir passerlentement sur les bords la mer de Tib-riade.Il esttoutet nous ne sommes mais il accordebelluc:oupa1ux Ipetits. Demandons donc aussi lonlgte:ml:JS

    ; souvent Il et le mal serade

    'avleugle que Jsu..

  • 212 L'INITIATION

    gent au moins sous la table les miettes que les en-.fants laissent tomber. Jsus affirme que c'est cette parole, expression d'un

    lan d'humilit vraie, qui obtient la gurison. Acause de cette parole, dit-il, va, le dmon est sorti deta fille! Un acte, un mot rellement humble, peu-vent donc donner des ailes la prire faite pour unmalade. N'oublions jamais cela.Tels sont les enseignements principaux qui ressor

    tent des paroles mmes du Christ en ce qui concerneles maladies et les malades.Il n'y a qu' les suivre de son mieux. Celui qui

    nous les a donns n'est pas mort, mais il est vivantet il sera toujours avec nous jusqu' la consommationdes sicles.

    G. PHANEG.

    DiQitiZedbyGoogle

  • autre-de ce traite-

    et sa bizarrerielazzis nous avons t

    La sciencement que par lament et

    rires et les

    cet auteur, l'urine aecn:len tait souverainecontre les morsures de les et les

    surtout si on de nitre.L'urine taureau mle de la calmait les .

    dOIJlelLlfS (.t'oreilles; l'urine de salllgl1er diisSCllvSlit

    les de mcHaa-menls d'autres et iltait assez rare en nature, au moins l'intrieur. comme il y avait une mdica-tion des riches et une autre celui des pau-vres, il arrivait que, ces on sebe,aU(;OUlP l100iins et on conseillait tout sil10pllenlerlt

    leur urine. Le remde ne coOtait rien et iltout le malade tant la fois le

    teur et le consommateur. Dioscoride conseillait deboire leur urine tous ceux avaient t m()rdluspar une ou avaient un commencement

  • 214 L'INITIATION

    calculs de la vessie; celle de chvre gurissait l'hydro-pisie et Jes douleurs d'oreilles, la dose de deuxverres chaque jour; enfin l'urine d'ne le meil-leur spcifique contre les douleurs des reins. L'urinedu mari, bue par la femme en travail facilite l'accou-chement, comme J'exprience journalire en fait foi.Ettmuller dit qu'un goutteux s'est guri en donnan.t

    manger un chien ou un cochon un morceau delard ou de chair de porc, qu'il avait fait bouillir danssa propre urine i d'autres y font cuire un uf au lieude chair, et le faisant lIIanger un

  • 1L'OPOTHRAPIE 215

    on urine dans uneAussidu

    oblllge de

    des ICU,UII::S dans l'urine d'un malade et si les ne se fanent pas, mais restent vertes, il n'estpas en mort; si au cOllltrair,e, les feuilles se

    et deviennent la mort oula maladie trs grave.

    on a des caIJchlerrla r:s,et on la

    reste bOllch:e, la sorcirepourra pas et elle sera

    venir de vous sa dllivl'ance. Il ne fauturiner sur un cimetire ou dans une vous gagne.

    aussi nn'i,."5rfil,,,

    pr

  • 216 L'INITIATIONelle

    mais.an,n....... l'extraor-

    tissus

    cette coutumebesluce)up de DOS

    jUl:ltleDts et

    sont pr:cs1m1ent

    mange sonmle. serait pour

    commela

    une fenrlelleprclcr:e ensuite un

    on empe':hel'ex:erc:ice de l'instinct de

    les animaux dOlmcsticlue:s.pour les la aurait

    une action favorable contre la strilit et les attiectiorlSl'eltlcphale; elle la dlivrance et

    mme la terminaison de ral:couc.helnent.On en hausser

    ques avant les travauxla reconstitution des olPothJrap1iqtleS, personne nedin:aire puissance quesucs certains organes.

    les sucs placerltairesl : ils rellvent. avec une sif1lguliJre ae:tivit,

    rtablissent la santtaux et prl)Ve)qlJerlt la mise en uvre lactation.Mme trs nous

    dit avec une que l'on est peu hat,ittl trouverchez une : Rien n'estcontraire aux vues de la nature queirraisonne rencontrecampagnes. les

    en de dvorer leur arrlerle-uux.contraire et savoir dcider

    le d'un peu deaux femmes en COUCltle,

    J

  • suret accou
  • :&18 L'INITIATiONaua::

    du-sera

  • !;

    L'OPOTHRAPIE

    lui enlever les rognons , et, faire avec cettedes chandelles les mmes pro-

    La a servi aux usages les va-ris; aussi ne reculait-on devant rien pour s'en pro-curer. Le grave historien de Thou a cet

    un fait frissonner: un la populal:c

    en tureur et tous ces corps dans larserve des gras abandonna aux

    les pour en avoir la gn:lllSS!I;;.

    La scne se passe en 1 cadavres quel'on sont ceux des pf()te:stants victimesdu massacre de la Saint-BllrtlhlerrlYA o Balzac crivait les Mmoire$ dt

    il tait en la familledu Ilau que lesgens du ve-naient sans cesse demander li. acheter de la de

    ou de ce pour eux, tait toutcomme. aides du leur cons-ciendeusement du de la cha.r-cuterie voisilrle,dans desse retirait cm:hantAvec la

    a rot1:i1po:s

    crAne hurnailG, C:rivBLit

  • 220 L'INITIATION

    on calcil1le Mais ce magsltre

    de vertu; onle crne d'un

    n Il'11 ri" ttemieux d'em-

    homme mort demort vio'leI1lte.Le crne humain

    srie de reJ1nCles, tOlln bc!sl'eau d'hirondelle con,po.se,An,gleiterl"e etc.

    d'uneoubli :

    dr()gulstles allgllljs, surtout ceux deveiod,ient, outre le crne des criminels pel1ldus, de son pallllCIUle UllU1L.1,son et de tout ce

    , des tts de mort surune mousse verdtre

    prsltiquelrtt dans

    phalrmaci

  • -..,

    filton mal

    et suivent le ; lui aussi estcouleurs du taureau rouge nous fe:IlVlelopp1onl.les et les nous di)Osl:msteint et dans les ton teintnous le .. Mais le charme est en mme

    aIl4Jpalthiqu,e, en ce administre auo l'on a des

    MJrthiqlJlenlel1lt, ce taureau est le

    L'OPOTHRAPIE 221

    de entrent en eux-mmes ditfrlen-cis en deux tendances.Allopillthie: le est la est

    toulcher; la fracheur de la et et on lave le maJac:le

    d'ablution retombe surpasse dans la

    les traits ne s'en eXlpl11Cjulent

    ya verse. le malade a la il est

    c'est un teint n'est COliltraire,certains oiseaux sont

    passer dans ces oiseaux la cotlletlrtrouvera son milieu y

    restera, elle y - On demme que avoir attach sous le lit

    la d'un

    l

  • 222 L'INITIATION

    attelOdre, l o ils sont: il faut donc les craser eneffigie, et pour cela, manier un pilon, broyer desobjets qui les reprsentent ou les substances qu'ondonne ingrer au patient. On prend un tachet de noir ou une racine de karira (Capparisaphylla); on y entortille, de droite gauche, des poilsde la queue d'une vache, et on les crase avec unepierre; on en jette les morceaux au feu, et on fait res-pirer la fume. On broie du sable fin dans la maingauche, le regard tourn vers le sud, et on le rpa.ddoucement sur le malade. Si c'est un enfant, on leplace dans le giron de sa mre, et on lui touche troisfois le palais a vec le bout du pilon enduit de beurre,qu'on ramne d'arrire en avant. On traite de mmepar broyage vingt et une racines d'andropogon, etl'on en administre la poudre, qui peut-tre en effetest un vermifuge. On se garde enfin d'oublier la vertude l'eau mlange de sampata, et l'on asperge large-ment le sujet, pour finir. dans ces prati-ques, la prdominance de la gauche: c'est que lesvers sont des dmons, ainsi qu'on va le voir.Les bizarres attributs que le sorcier pote assigne

    ces parasites incommodes, les sobriquets aux CQD-sonances peu sanscrites dont il les affuble, les fontconfiner de fort prs ces dmons autochtones etmonstrueux que nous avons dj rencontrs notre chemin. Au food, vers et dmons, pour lui,c'est tout un, et son hymne, comme sa mdication, atout l'air d'un exorcisme.Atharva-Vda - 1. J'invoque (?) le Ciel et la

    Terre. J'invoque la desse Sarasvati, j'invoque Indora

    U "11

  • ,L'OPOTHRAPIE

    C. B.

    le ver. - 2. 0cet Tus sont

    3.

    et

    rampe autource ver nous

    brc)vons. - 4, Ui:Ul:ll:S. les deuxne le sont pas, les deux deux rouRes, le

    brun et celui a les oreilles nrlln..,,_ et Je coucou (?),les voil tus. - 5.les noirs aux devant bblnc:he:s,

    les vers de toutes IOrmes,- 6. Le se lve l'n,r,,,,,,tdes les et les iO'li,jsible!s.et tous les vers. -:- ... 9. Le ver trois trois je brise 11::>";VI.II;:'.je lui fends la tte. 6 vers jevous lapar la les vers.-1 1 est le roi des vers. et ; tuest le ver, tue sa tu son tue sa sur.

    12. Tus sont ses commensaux, et tus ses voi; et mme les tout tous vers sont

    - 13. Et tous vers et tous les vers fen1ellles,avec la je la avec le feu je leur

    la f';UOCI.I.I'I:.

  • (i)

    voici

    collaborateur de sainte nous a unSVs:tllt1eS les de la vie

    on y retrouve le trait toute morale: larenonciation. L'effet de cet acte, est

    dans les uvres des carmesdchausss enautre mvsti(]ue aussi.Cet homme se meut dans l'Absolu; c'est pourses sont et que ses pensers attei-sans des aussi

    ceux des anciens dechemins s'ouvrent devant nosest la montaJRne verdoJran'te

    du Les deux autres, de directions mnent l'un la

    biens de ce la cOIlql1lete

    Biens lHonneursterrestres Libert tli3.....5

    Savoir Consolations B'eJoies 1 nsSuret clestesGloire

    (1) Doctrine identiliue l celle de Krishna.

  • LA DOCTlUNE DE SAINT JEAN DB LA CROIX 225

    Considrez ces deux sries : l'arrire-pense deleur auteur a quelque chose d'eftrayant, tant elle estprofonde.Il est simple, en effet, de renoncer aux biens de la

    terre, une vie paisible, honnte, civique, et lasomme de bonheurs tangibles qu'elle procure.Mais, j'en appelle ici ceux qui connaissent l'insup-

    portable chaleur qu'allume dans leurs entrailles ledsir des choses du Ciel:La soif de connatre, de scruter les mystres de la

    Nature et de l'Homme, de possder quelque puissancepour faire le bien;La douceur de se sentir guid par l'invisible, de

    l'apercevoir dans le sommeil, de reconnatre sa maindans la trame de notre existence iLes joies des rencontres angliques, les batitudes

    du cur, de l'intelligence et du goOt ;L'inbranlable confiance, la foi toute-puissante, la

    saveur de l'ternit;Les magnificences intrieures des gloires paradi-

    siaques:Devant toutes ces merveilles, pour la possession de

    la moindre desquelles on donnerait dix fois sa vie,Jean de la Croix nous dit: Rien, rien, rien, rien etrien i renonce savoir quelque chose d'intellectuel; Renonce toute consolation; Renonce toute conversation i Renonce toute certitude; Renonce enfin l'espoir mme de la rcompense.c Tu seras d'autant plus que tu voudras tre

    moins. 111

    DiQitiZedbyGoogle

  • 226 L'INm&TJON lDCEMBRECes quelques paroles contiennent tout le travail ;

    aussitt que ralises, le but est atteint, les routess'arrtent, le disciple est sur la montagne, il y aspireles sept dons de l'Esprit, il y expire les sept vertuscardinales et thologales; il est assis au banquet per-ptuel, dans le silence divin de la Sagesse. Depuisqu'il est tabli dans le Rien, rien ne lui manque;tout lui est donn sans qu'HIe cherche quand il nedsire pas par amour-propre. Il est juste, il n'y aplus de loi pour lui.La connaissa.nce rationnelle de Dieu s'appelle

    mtaphysique, thodice ou thologie naturelle.La connaissance supra-rationnelle de Dieu s'ap-

    pelle, en thorie, thologie spculative, qui inter-prte les donnes de la rvlation, et, en pratique,Thologie mystique, qui s'entralne vrifier par l'ex-prience les dogmes de la foi.Notre auteur ne s'occupe que de ces dits entratne-

    ments, qu'il divise en trois degrs:Le purgatif, dcrit par la Monte du ;

    . L'illuminatif, dcrit par la Nuit obscure.Et l'unitif, dcrit par le Cantique spirituel et la

    Vivejlamme d'amour.

    ...LA MONTE DU CARMEL

    LA NUIT OBSCURE DES SENS ET DI!: L'ENTENDEMENT

    Dans le degr purgatif, l'exercice de la volont estde rigneur.

    DiQitiZedbyGoogle

  • LA DOCTRINE DE SAINT JEAN DE LA CROIX 227

    ce-aux",,," ..11,, nous apIPOr1erlt d'aRlrable

    sont des pour DOUSt puisqlle lie la Tout toute la

    toute la sagesse, toute la PUilssslDc1e.. toute la des creatures

    sont rien des Dieu. Desensoriels tourmentent,

    obscurcissent et affaittUS5eIltminutes de nous convaincre'

    ces

    : en somme nese aucunacte dont l'excution semblerait devoirau moi.

    nedplaisant, 1'8t-

    COlmmlent vaillcre ses ?1" Aimer Jsus assez pour vouloir comme Il

    l'aurait fait Lui-mme notre2" aucune des sens ne

    tende Dieu ;3" le dUficile, l'ins'pidle,

    tris:tant, le .........,rien vouloir.

    bien:l\>

    2" Parler son ds:a Y'llDtl!Ule3" Avoir

    autres

  • LA DOCTRINE DE SAJNT JEAN DE LA CROa

    .....LA IIIIn,NTfRnll CAiUlEL

    DE LA FOI

    rail;onneiloenits iI:ltel]lec1:uels, on dans

    proliiuit dans la mmoire.CDlirne, le pr()dujt dans

    cr:attlre. aucun sentiment aucuneint,elli,f{ible ne un

    l'......" .... D1vs,tiqUe. car tout le relatif est infiniment

    percep,tiollS ou, sont

    soot une con-

  • L'INITIATION

    sique qu'un objet invisible i mais, mme quand ellesforment la base voulue d'une mditation pieuse, eUesne procurent qu'une approche de l'union divine (1),bonne pour les seuls commenants, qu'un plaisir psy-chique dont il faut savoir se priver.Voici trois signes qui, s'observant la fois, indi-

    .quent le moment de quitter la mditation discursive.1 L'impuissance d'imaginer, le dgoOt de cet uer-

    -cice;2 La cessation du dsir de contempler des objets

    ioternes ou externes;3 La joie intime de l'inaction psychique, avec Ja

    sensation de la prsence divine, d'abord presqu'im-perceptible, mais s'affirmant peu peu avec accrois-,sement de quitude.Toutefois, il est avantageux de revenir de temps.

    .autre la mditation, lorsque le besoin s'en fait sen-tir.Quant aux rvlations intrieures, dites symboli-

    .ques, il y faut du discernement: toute forme est uneporte ouverte aux Tnbres; c'est une cole, une gym-nastique provisoire.Il faut suivre ce cours sans s'y attacher du fond du

    .cur, sans les rechercher, sans les provoquer. La cir-

    .conspection la plus prudente est de rgle, qu'il s'agissede perceptions corporelles, de perceptions imagina-tives, ou de connaissances de l'me (1).

    (l) C'est-A-dire en langage moderne: phnomnes matriel.comme tlpathie, spiritisme, magntisme, magie; ou percep-tions psycbomtriques, symboliques, prescientes; ou percep-tions d'un plan paradisiaque dont les vibrations sont trop finespour notre systme nerveux conscient.

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  • 1

    LA DOCTRINE DE SAINT JEAN DE LA CROIX 231

    Ces dernires se produisent en dehors de tout senset de toute facult mentale, dans un tat passif de lavolont. A ce moment, il est bon que le contempla-teur apprenne oublier, afin derester ouvert l'actionde la grce. Notre auteur les classe ainsi:1. Visions d'objets physiques de tout l'Univers;2. Visions d'esprits, d'anges, de l'essence divine;3. Intelligences abstraites des vrits divines, con-

    cernant les cratures et le Crateur; ces derniressont indescriptibles. Exemple : le ravissement desaint Paul;4. Rvlations des secrets de toute nature, des arti-

    des de foi;5. Raisonnements intrieurs;6. Paroles formelles. comme entendues d'un tiers:

    les ordres de Dieu;7. Paroles substantielles, productrices de la chose

    qu'elles noncent, comme celles de Jsus-Christ;8. Sentiments spirituels, soit touchant la volont,

    soit suprieurs celle-ci; leur cause dterminanteest inconnaissable;

    *LA MONTE DU CAIWEL,

    LA NUIT OBSCURE DE LA M.MOIRE

    ET DE LA VOLONT

    Oublier les notions mnmoniques acquises par letmoignage des sens, sauf celles qui ont trait auxchoses divines: ainsi on diminue les raisonnementsimparfaits, les associations d'ides, les actes mlangs.,

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  • L'INlTaTION

    le renouvellement des convoitises, les suggestions duMalin j on augmente la paix intrieure.Ne pas faire effort non plus pour retenir les percep-

    tions et les notions reues par une voie surnaturelle,sans quoi on s:expose se tromper,' tre vaniteux, se faire tromper par Je dmon, diminuer I"esp-rance, et affaiblir notre ide de Dieu.Ds que la connaissance est reue, quelle qu'en

    soit la nature etla source, l'homme spirituel doit s'le-ver par un lan d'amour au-dessus de ces images dansune abngation absolue.Quant la volont, quatre passions la lient d'ordi-

    naire : la joie, l'esprance, la douleur et la crainte;ce sont les quatre animaux d'zchiel.Il y a six sources de joie :10 Les biens temporels qu'il ne faut accepter que

    pour le service de Dieu;2 Les biens naturels, les qualits physiques et mo-

    rales qu'il ne faut employer que pour le servicedeDieu;3 Les sensibles procurs par les perceptions,

    en les leyant vers Dieu.40 Les vertus morales qu'il faut exercer en vue de

    Dieu, dans l'humilit;5 Les biens surnaturels, miraculeux, thaumatur-

    giques, qui n'ont pas d'importance relle pour celuiqui les reoit;6 Les biens spirituels, mystiques, subjectifs, dans

    l'usage desquels il faut par-dessus tout viter la jouis-sance propre j Dieu n'est li aucune forme.La mme analyse peut se rpter facilement pour

    les trois autres passions.

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  • LA DOCTRINE DE SAINT lEAN DE LA CROIX 233

    LA NUIT OBSCUR

    Les sept principales imperfections des commen-ants sont: le dsir d'tre les premiers parmi lesnovices, lacupidit des dons de Dieu, lasensualisationdes impressions de la grce, le dpit impatient, larecherche passionne des douceurs, la jalousie et latideur..La nuit des sens se manifeste par une insipidit

    dans les cratures et les choses divines; - par unsouvenir anxieux de Dieu; - par la scheresse, l'im-puissance mditer.Il suffit ici de se teair tranquille et de prier sans

    cesse, mme sans lan.Viennent ensuite les tentations de toute intensit

    qui se prsentent l'imagination: luxure, blasphmes,scrupules, etc.La nuit de l'esprit commence alors. Aprs des

    alternatives de scheresses nouvelles etd'clairs d'illu-mination, la lumire agit; l'me se croit rejete cause qu'elle se voit telle qu'elle est; elle dfailledans une agonie de dsagrgation, de dnudement,d'impuissance agir: elle descend toute vivante enenfer. Aucun livre, aucun homme, ne peut l'aider;le remords, l'impossibilit de prier, de penser, l'ac-cablent plusieurs reprises, spars par quelquesclaircies.De tout cela jaillit un amour vhment; l'entende-

    ment s'illumine; la scurit intrieure s'tablit; la

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  • '234 L'INITIATIO'Nsagesse seCrte se communique au-dessus e(en dehorsdu mental; l'me s'lve par dix degrs: la langueurdfaillante, la recherche du Bien-Aim, l'nergie, lasouffrance constante et patiente, l'impatience dvo-rante de Dieu, la course vers Lui, la hardiesse, labatitude intermittente, l'ignition, et l'union pOlt-mortem.Dans toute cette ascension, les vertus thologales

    revtent l'Ame comme de trois tuniques; le dmon nepeut plus l'approcher. Aucune crature ne la voit, ellen'en regarde aucune, elle ne regarde que Dieu.

    ..LE CANTIQUE SPIRITUEL

    Selon les commentateurs, cette uvre expose lesdegrs de la vie unitive.C'est une tendance fcheuse, laquelle obit et l'enseignement oral de!! sminaireset l'enseignement crit des asctiques, que de vouloir,de propos dlibr, partager en tranches nettes lesphases de l'volution mystique.Il n'est pas vrai que l'homme puisse quitterd'abord

    la vie active, puis ne plus vivre que dans la contem-plation ; personne ne peut vivre sans agir physique-ment.Il n'est pas vrai que, dans la vie contemplative, le

    disciple se purifie fond d'abord, s'illumine ensuite-compltement, et s'unifie enfin. Ces trois modes de lagrce ne sont pas successifs mais simultans; l'Espritne suit pas ceque l'homme appelle un enchanementlogique. L'union peut se produire sans iIIumination r

    DiQitiZedbyGoogle

  • LA DOCTRINE DE SAINT JEAN DE LA CROIX 235avant mme que le disciple soit pur; et ainsi desuite. L'expos de la thologie mystique ne doit trecon!iidr que comme un systme; qui ralise uneseule parole de l'vangile, du fond du cur, celui-lest uni.Ceci bien entendu, continuons d'exposer la doctrine

    de Jean de la Croix.(A sui"re.)

    DI II1i, 'd by 1ec

  • AU PROORS DE L'HUMANIT

    Puissant grand matre, notre retour de l'excursion oblige que nous avons faite dans les rgions deValence, d'Andalousie et du Portugal, nous trouvonsl'avis que le 8 mai dernier votre suprme Conseilnous a fait parvenir,. en mme temps que le gramme du Congrs spiritualiste. J'aurais voulu pouvoir assister ce Congrs et lui offrir le concours desnombreuses bonnes volonts, des adeptes espagnolsmais, il suffit de fixer lesyeux, mme superficiellement,sur la situation de la malheureuse Espagne pour sefaire une ide de la terreur et de l'abaissement danslesquels vivent aujourd'hui les Libraux Espagnolsqui sont obligs d'employer toute leur nergie sedfendre contre les ennemis de la lumire et du grs. En Espagne, aujourd'hui, on doit s'occuper dedmolir au lieu d'difier. Le Snat vient de voter uneloi qui nous met politiquement plus bas que laRussie, la Turquie ou le Maroc. Pour une simplednonciation anonyme, disant qu' tel endroit setient une runion de personnes qui conspirent, c'estla prison sans JURement.Si la Chambre des dputs adopte cette loi, c'est

    l'exil pour tous ceux qui pourront s'expatrier.

    DiQitiZedbyGoogle

  • AU DE

    prOI)ages en nous sommes nous font nos ennemis.

    votre uvrecur et

    nos sincrle5

    ISIDORO

  • A ne se sont vus;rel,aticms avec eux, on est

    ...La

  • EXPLICATION A FOURNIR

    libre cIe croire pu un vll1icule entre eux.

    savants en

    trsil Ya un peuvrage leDieu a

    ut ais de se COltJla:inl':re

  • aplpar'alt nos sens, com-int1elligerlce et une

    prllllCllle men-

  • LA PEINTURE SPIRITtiALISTEl' ....lri ..h. vaui1queur de l'otljectivit

    vatranSf>OSler le exactement

    le monde ser:lsit>le.des formes vont

    :'

    ;

    ;'J'."f

    la

    it desl/lll let 16

  • "242 L'INITIATION

    possibilits objectives d'dification, variables selon letemprament de l'artiste.La technique est la plasticit infinie et l'artiste la

    transforme sans cesse et la soumet aux exigences de-de son Idal. Il faut carter de la technique ainsi-envisage, le mtier, qui n'est qu'une trituration de la matire, et la formule de ralisa-tion qui n'est que la facult routinire d'assujettir unIdal a une habilet sensible dj prouve. L'Art spi-ritualiste dont je viens de dire les lmentsconstitutifs-est celui o l'intelligence est complice de l'Idal et ola matire est oblige de reprsenter l'Ide. Alorsl'uvre brise tout, mtier, formules, lois, portant'toujours plus loin les possibilits de sa plastique.(A suipre.)

    . RICHARD BURGSTRAL.

    (198.)

    DiQitiZedbyGoogle

  • ,l'1i'olution, il n'en est pasmltrquant le de

    inconsciente rvolutionn'en est pas

    serlsitlles et aussil'1rldi'vid.u suivant la

    derniers stades du

    sa fin ; nlllmrnoins,priode, l'.ndilvidlu est unique:me:nt

    dicte sesmSltrieUles;, la loi de la lutte pour laDans cette dont

    nairement n'obtient comme rsulUltUlIII.nUI, au de vue son que le

  • L'INITIATION

    de sa volont..

    dula Providence

    collle(:th'it cette direction vers le mieux

    aucun sthnulan:t,lui une directionment de sa volont. Jsus : malhe:un:ux les ncessits de la vieobliB4mt une tension continuelle

    au d'relclppement

    que nous nommons Cepcmdant la vol(l,ot, aigulillOlme

    dv'eloppepeu peu et l"ndvducul.minallt de son VCllut:ion nQ'ati"eser ensuite au pn:m.ier:+ 1.commence leNous ne voulons nu:Uelllelrlt

    l'hlldi'lI'idu ne soit

  • li sur son a.vc:aUI,soit inductive

    connaissance

    DE LA PHASE DE TRANSFORMATION

    commence la voie bienqUielq.ueloi:s, non les nous con-traint de contre nous-mmes et contre au

    contre la sans cesse rabaisser son niveau l'iradividlution mais surtoutd'lI,m,'rtllme. d'indiffrencele la vie viennent de la dl:en'te de certains ressorts secretsnotre tre et que tous ceux traversentcetteA

    ter le matriel

    sitt.de est

    viennent se briser tous les dsirs-spiirituel de ceux ne se rendent pas exactement

    des dallge:rs

  • L'INITIATION

    nous avons ditmante de la colllec:tiv't

    Pro,videnc:e. il s'e,xplrirrler en deux mots:SOLITUDE ET PRIRE

    Prllvi,derlce. il se relie avec le die forces le rconfortent et le sotUienOlent dans ses oreu"es.Par la et l'initi verra

    rir le rameau vert et peu tira ses morales se il cOlillp,reIldi'aalors est tout, matiresoumise et ne sert le et VU1'iiillU,l.l'ii1lfluenl:e du sur le ses

    autres surson ilet remerciera

  • DE LA PHASE DB TRANSFORMATION 247

    DE L'ARTICLE OccuJr/isme el sDlrri,tis:me

    Juin, IgoS, n' 9, p. uS.

    de l'au-

    a retourner leLe cep de devait

    avoir sa grappe perldante vers le sol et les deux et les deux devaient tre en

    les trouve dans du

  • A Mon.ieur Henri Membrede rAcadlmie de, ,cience,.

    MONSIBtlR ET lLLUSTIil.B MAfiRE,

    contradiction pour ceuxgc)logiq[ue nous montre que laentre deux ternits de mort,

    la consciente n'aLa n'est

    c'est cet clair

    Voulez..vous permettre un tras humble penseur,ne reconnaft d'autre culte que celui de la de 'VOUIsoumettre rflexions lui ont t pula conclusion de votre livre la Valeur de la,ci,nce.c En reS'l1me, CSlltes-vo'us. la seule ralit ce

    sont les rapports des d'ob rsulte l'harmonie uni-verselle;'nTout ce n'est pas est

    nous ne pouvons penser que de lamots dont nous pour"Vent que des ; dire.fue la c'est donc une afJ'iNl1alionde,en,.c Et cependlant

    croientauvie n'est courtet que, dans cetdur et ne dureraclair au milieu d'une

    est tout. 1IlIl me tout que votre affirmation:

    c Tout ce n'est pas est le pur nant est encontradiction avec cette autre affirmation nanriste : c La

  • n'estVoici pOIJrquoi

    SEULE RALIT

    clair au milieu d'une nuit

    que chez l'im-est, de sa nature,

    les circon-

    vous avez crit: Tout ce n'est pas.est le pur nant , vous avez bidemment

    en elle-mme sans vous de sala mon sens, est un

    dont il convient de rechercher la cause. Pour que la pen-'se se il faut ncessairement un penseur,dans ne peut tre que Certains savantsmatrialistes n'ont vu dans les intellectuels

    scrtion du cerveau , mais je ne vous fais pasde supposer que telle soit votre Vous

    reconnattrez lieu de que est legltlf'ate:urde la et votre affirma-tion doit tre modifie comme il suit: Tout ce n'estpas est le pur nIant.Cette modification "'irnn.",,..

    mense des hommes latrs selon lesstances, les et les humeurs et desubit l'influence de l'ambiance tandis questable dans son essence.

    au lieu d'crire: c Dire y a autre chose quela c'est une affirmation Ile peut avoir de sens ,il faut rectifier ainsi : c Dire y a autre chose que

    etc. . Cette dernire dclaration est l'heureux etlumineux d'une autre, trs que jetrouve dans votre livre la .Science et

    et est par M. de laFacult des Sciences de dans son livre la

    ; c'est celle-ci: c que soientles notions nouvelles que les nous donnerontsur le nous sommes stirs d'avance y auraquelqlue chose demeurera constant et que nous pour-\

    l;

  • 250

    celled'huideconstituerents stades de l'volution de l'tre.

    s'il a autre chose que se substituant lla chose demeure constante, nous pouvons

    avecvos propresarriver formuler cet en COD-cordance absolue avec les de la sagessesnuque: Tout en apparence, toul est 4!:lIIlriali.t; la matire n'est fue le repltement passager d'u_

    llOlue et se manijes/.e.

    n,tr.l1r'e. S'il chose que refI-la ds se

    substituer et vous voil en concor-dance avec M. Sabatier comme il suit: oC Unmatrialiste aussi et sincre que mal medisait un d'un air oC Je suis matrialisteparce que la a se a se mais l'es-

    a ne se voit ni a ne se touche,,. N'est-ce pas lecontraire faudrait dire ? S'il Y a choseDOUS fuit et nous c'est la matire; mesure quenous voulons la entre nos et il n'enreste rien de de nommable. Mais ce semllnifeste, ce constate, ce reste et ne passe pas, cedont l'existence est certaine et il c'est

    car el sont une mime chose. ,.Comme vous le voyez, monsieur et illustre

    tes tout fait d'accord avec M. vous dclarez a autre chose que l ".U"-JLglrlh"at,';ce de la

    que non seulement la est, de sanature, variable et comme je l'ai mais

    constitue ou caractrise laen vertu de la loi du pnJl{res,tandis que

  • SEULE 1:'(E;/l.L1:TE.

    :::>onR'ez.;v, monsieur et illustre n'est peut-tre pas o la science cette sublime

    que vous avez et presque formule envous-mme; ce de la mentalithumaine sera transforme. la vieillematrialistes et des D'aura ni deraison d'tre; le terrain d'entente entre les hommes seratrouv. disant: c Tout ce n'est pasest le pur nant :., vous avez la salva-trice; vous avez cru, - dans un moment de m-1&IlICUIlI:. - faire une dclaration nantiste i en vousavez la haute vrit tout endemeurant l'homme de science admirable que vous tes.Reste l'incidente de votre conclusion: c Et

    contradiction pour ceux croient au temps-gl:>logiqlue nous montre que la vie n'est

    entre deux ternits de mort, et que, dansla consciente n'a dur et ne

    moment. :t Le temps n'existe que pour lesvous le savez et je suis assur

    faisant abstraction des ter-la claire notion de L'tergl:>logiclue - et je serais

    heureux d'avoirvotre sentiment ce elle montre simple:me:Dt l'In""nrl>.. la mort terrestre, les lments

    le corps se dissocient etlaboratoire de la nature.

    principede III \'II:"se:Ule vie csode :t de terrestre, a anim le corps. son rev-tement passager, son instrument de mlmifestatioll,l'esprilt.essence lment ,table de notre

    son avec son corps facteurimpOl:tarn de son des lments dans la

    n'a il. la des l

  • L'JNITIATlON

    ments organiques pour remplir, dans une nouvelle vie, surun plan suprieur un r61e analogue 1 celui que son corpsmatriel a jou pendant son sjour sur la terre. Darwinn'a envisag que l'volution physique dans les diversrgnes de la nature; il s'est arrt au point le plus intres-sant, celui oil l'volution cesle d'Itre physique pour delle-nir psychique, c'est-l-dire au moment oil l'tre devientconscient, entre en possession de son libre-arbitre quilui-mme est progressif. - Il convient ici d'observer quel'hypothse catholique d'uDe existence terrestre unique estinconciliable avec la loi d'volution, et consacre une mons-trueuse iniquit: L'ingalitprofonde- physique, intellec-tuelle, morale et sociale - entre des tres qui auraient uneorigine identique. L'volution, qui implique des incarna-tions antrieures, successives, simples tapes dans la lIietotale', explique, seule, et justifie cette ingalit.Tel est l'enseignement de toutes les ftrandes doctrines

    orientales et occidentales, de tous les grands initis, savantset philosophes spiritualistes, sous l'gide desquels jeplace mon infime personnalit. J'ai l'honneur de vous prier,monsieur et illustre maltre, de vouloir, bien lucider lespoints obscurs que je me suis permis de vous signaler, etdont l'importance ne vous chappera pas, pour l'dificationde la mentalit de notre poque, qui, au point de vue de lacroyance se dbat dans les tnbres entre deux dogmesgalement exclusifs, excessifs et intransigeants, le dogmeromain et le dogme nantiste.Veuillez, monsieur et illustre mattre, excuser mon

    importunit, et agrer l'expression de mes sentiments lesplus respectueux.

    SPERO,Rdacteur l'Initiation, la Revue du Spirituali,me Moderne, La Paix univerlJelle, ete.

    DiQitiZedbyGoogle

  • ORJl'HE ET EUlllYDIlCE

    D'EURYDICE

    G()ruiau,es {Liv. IV,

    en

    livret notre a auteur italien mC:OnlI1U, .......;...ullSmoderne n'a encore remis ce sujet

  • son Arlgollatlltik: J'ai la route tclbre\lSeplltlr dans les

    l::p1.IUi>'C:, et me CODlalnt

    unsuivre la mthodeet

    UM la ntre.

    comment certains auteurs ceet la la des1cen'te

    F'alco,nnet:1arls ses Petits Pomesprimit:its, cetInslpHle crivain de l't;mJ:lire

    vers le commencement de sasa femme de la morsure

    un secret tenait descelle-l:l tant morte de

    palals-t

  • pu

    sur nos

    ,JI'!:,,,,,,,,,.. et du

    nous sommes l(J,igI1s assez COltlsidl,ablernelltde ce rcit dans notre traRcUe.Aglaorlice pour Fnr'vtii,rop Diluvant

    de,renir de BakkosOrphson

    ORPHE ET LES ORPHIQUES

    mourut de la morsureUA)'lUL, travers le

    son amour.,t;dOUlUd ::'CltlUI, dans ses r;,",t'lItuf.Ifnous donne une autre velrsilln.

    certes, fort maisretrouver dans aucun des auteurs an,ciens,toutes nos recherches. M. E. .;;ll\.llU,umais ses crits d'aucune note indicatrice nette, nousn'avons pu l'authenticit son rcit. La

    de la mort M. estnanmoins assez et c'est lui que nousdevons l'ide de la mort mise lascne dans notre ou le par laLumire Voici la M. Schur :

    pri!:tresse de Bal"kos, tant devenue amoureusede la de lal'entraner au culteFascine par les

  • L'INITIATION

    AglaOlni

  • ORPHE ET LES ORPHIQUES

    des sens, la pas;sion cllar:nel'le

    ORPHE AUX ENFERS

    ?

    ,oiseaux et d'un

  • 2'58 L'INlTIATlON

    Le mme Pa.lJ.Sanias dit: Lanie de

    marais Acbrusien dont il estest u.ne rivire; on 'Y

    est d'un

    'BlieSlpra'tie a aussi ses mE:tvleiJJles.. , l"l.uun:::s00 voit le

    tant ettrouve aussi dsagrable; il y a de visit tous ces lieux et que c'est cedonn l'ide d'en faire a fait lacription des o il a coullV noms de cesrivires.

    et "S'tant ftatt le il vint il derrire il fut de ne pas la vOT etde il se tua lui-mme,

    que la ? C':est une contre de

    i,

    allllierlt dooc tous

    PllstarqlJe dans sa vie

    ment 'l.njiJu..... ililClJll'lsolable dela mort de son voulut 'SQ'ft me.

    ;t,reuvait un un antre o l'onmorts. et,

    d'autres auteurs

    la fille (l'A.IOOnellls, sa femme le nom de

    et sa fiUe celui de et avaitson chien Kerbl'e... ,.

    com-ment invenll la lg;encle et PirithOOs

    aUreDt chezlt comment se cr6i

  • ORPHE ET LES ORPHIQUES

    les Thse (1), Piri-thos et furent tre descendus auxEnfers en se j'endant dans .cette contre de

    SCllUr:, dams ses Grands ne taitpas descendfle mais daDs l'antre,de

    sorte clbre situe .QOlIl:ioinde Lebade en Botie o se trouvait un dans

    ceux dsiraient consulter l'oracle ou -vo-quer une morte Y WI)C1llaj't-on rellement les morts ou supposer, comme

    avait l quel::1l1nl"l'1"hl"ri,1" et mercantilisme des ?.. Nous

    notre il y avait dans ces aflirnrlatiorlSun peu de et d'erreur; la Salette etLourdes en sont, de nos des

    dsirant n'allait pas besoin de se rendre dans

    un sanctuaire vocatoire commun aux Sascience et en lui fournissait nom-bre moyens pour arriver ce but: con-l>1,;11:uL.c:,le sommeil ou sortie en corpsre,'oc.aticm pure et sur Je enfin suivant le rite

    pure et que nous noussommes arrts dans notre mais en la ren-.dant vivante et au.concours de la surPh()jb;ls-A,pollon et mdiium

  • L'INITIATION

    lasommeil hYlpn()-mldiaQ.imiqtleson de sane tarde pas la

    dium ou mue un lme:ntl f;"".........mon tude la recherche de ce

    MORT D'ORPHE

    Les se .."r'nr... la mort d'()rrlh'f'nombreuses. Pausanias ch.

    On dit que les de lui desle de ce que leurs

    maris les suivre, La crainteretint ces durant s'tant elles s'enhardirent et excutrent leurmauvais dessein... Suivant une autre

    fut tu d'un coup de et ce fut une pu-nition dieux parce des pro-fanes les mv'stresles secrets. Thraces disentque les ont leurs nids aux environs du

    chantent avec de etautres. Mais les

    du montleur pays

    on trouve unemal'bre o les

  • ET LES ORPHIQUES

    du pays assurent que a261

    les cendres

    ma.nul.crit, dclare nn'I[)rn,hl'!donne pour

    assez

    Ma.cdloirle prouveson : Icicras par la Les Musesl'erlse:lJel;ir et renfermrent sa

    le monument ""'..11,,,,,de

    Laerte etc, p. 2) niu'hurele mme avis: commune est que les Bac-chantes le dchirrent mais sonvoit Dion enparde Thracef1ri"re11t soin de

    mort

    les ens;eigoeIltlents il1liti2ltiques

    de les mettre la veu-lent un peu tudier. genstaxaient et taxent encore ces irlOC)Va.tellrs.de des

    renare: compte si la de

  • L'INITIATION

    le bien Rn'",,, .... que l'on

    rvle ainsi ne compense pas,l'accusation de

    contre eux.Du reste VI:IPUt;c:; rvla

    le sens que nous dOlnn()DS auiourd'll1uiIl les revtit d'une parure, d'un

    pOlticlue encore que ne l'avait fait ledes ne pasdil10iler mais bien voiler de noU1l'tau : Re-pe/are.

    notre ne mourut pas

    l'opini()O la mort par 'les ne-

    lui pas d'avoir arrach lenr culte de'tnbres et de mort la de la Thracel'a

  • ORPHE ET LES. ORPHIQUES 263DiU!):>, lesprtres:ses de

    les premi:res compagnes du Bakkos thbainson eXJlditicm Indes o il tranaiLsasuite: pans, etc..Plus tard les femmes furent admises c!brer

    de Bakkos d'eHes le. nom de Bac-

    mots de ces pr:tresses.

    ontdona

    ou H\rad.es.etc., mais chacune de ces

    tait une contre.Les Bacchantes \Da''''x,"'''J

    tresses de lors de son toute femme se livrant aux la

    ba.:ch:iqllles propres aux de ce dieu.PlLltal:que, dans sa vie {. 3, IWWI

    aplpre:nd que l' On dit que toutes les femmes de. endroits et som tresaisies des Bacchan-tes aux que de l on les i.1PII./C111:::

    Mimallones etchoses celle que f.ontniennes et Thraciennes autour du montHmos. Il semble mm.e que de: ce que font cesThraciennes on a tic le

    pour dire: se livrer d;un.e manire etsUflen,titieu!,e au culte des dieux. Or (1.)

    .chantes.Les auteurs grecs et

    indiffremment le nom de Bal::ch.an:tes, MjltnaJllolles,

    fi) Mere d'AiJexandre le gran,d.

  • L'INITIATION

    disent

    Macd,oil1le (

  • ORPHE ET LES ORPHIQUES

    et s'tre

    V"-'I1"", paya de sa vie lade ce culte nouveau,

    Bacchantes et la

    dans Antigcme

    l1rltn:>dIJis:it dans sanous d'une avoir franchi

    im;plant en Thrace eten le culte de passa Thbes o il fut trs mal accueilllipar le roi de cette vit dans ses ritesun lment de trouble et

    uvuv"" sous mille noms... hros des au sein de Demeter 1 0 quenous ne pouvons donner ici. A Thbes les ferventesdu de Bakkos le nom de et de

    .. Je runirai mes MallOlldes, marchant leur ttecomme un tait dire t:uripide sonsos ; et loin.

    WI1:11

    Jr

  • 266

    ?

    L'INITIATION

    m:ythiqu1es de cemont Parnasse o tous les ans, suivant

    bac:dlllDales. C'taie.tltl

    1U'''UJ''': 50-du en mars.

    cOlJlstellation vo,'alt-oD en effet mo.nter l'ho-avant le dtl

    (1) 1 Sens syo1boliqlleSur le plan ph]rsiq[ue.

  • l

    l(

    PARTIE LITTRAIRE

    A lm F.. du Oraoo-orient

    Le Gt-and tra'l'llil de. \Dtelli-ieuces et le but de -.. leu...dom. c:..t die devenir Dieu.

    EUPHAS L&vl.

    Frre, comme toi, j'aime et la Vrit SainteEt le DrQit de parler librement, sans billon,Ainsi que toi je hais l'homme dQ. goupillonQui veut emmurer l'me en sa mesquine enceinte.

    J'aime la Libert, radieux papillonQui va sans nul obstacle et sans nulle contrainteDe la cleste fleur au terrestre sillon, hais tout ce qui, pour l'esprit, est treinte.!

    Mais. mon rve est plus haut et plus beau que le tienConscient de mon but, je brise tout lienEn. de de. la \lie et par dell la tombe :

    Car je veux l'infini, l mme o tout succom.beA tes yeux, 0 mon frre, et je dresse en les lieuxO l'Hornme-Dieu. rignait l'autel des Hommes-mel1x 1

    COMBES Uo/4' D\ ". S.'.

    DiQitiZedbyGoogle

  • E.H."""""". 9, r. des Beaux-

    45.6. Mercredi.

    Arts. DACE.7, Jeudi. - Mdecine hel'ml:tiq,ue,8. Vendredi.9. Samedi. L.. Mart.. 13, rue

    PH,UII!;O.

    1. Vendredi.2. Samedi.3. Dimanche. - Le cours du DOCTEUR ROUZIII:R est sus-

    inmUlliill.sa raison d'tre. LeNos actions et leuret Providence.15. Vendredi.16. Samedi. - Cours TRDKR. La

    Suite de sonsommaire des travaux successifs des mE:meUirs au-

  • JANVIER OCCULTISTE

    12, rue

    rue S

    sur l'AI-

    E. H.

    Htlmairl, 0 l,midi.rue S.

    nos

    DOCTEURHaute

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    26. E. H. rite

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    Le PAUL VEUX.

    et les Te- 8 heures et

    NOTA. - Les Cours denues Martinistes ont lieudemie du soir.Pour tout concerne l'Ecole He'rmtiqu.e,les Con-

    et el Le Cicrone

  • 37,Occulte de Hans M. PaulParis.

    L'"lNITIATfCtl

    de ;,S'adrtB#i!rrae de

    Des cours d'un intrt tout et recom-mandons vivement nos lecteurs, vont C'","",,.;,. in

  • 271LA PRESSION DE LA LUMIRELa fin de l'article est surtout intressante

    car elle fait allusion aux moteurs fluide .... _ .. ,- Im7el1lt: par le comte de Trl:>melhl,

    qu,cstiion dans l'Initiation.",'",,,,,,,,11.. la science ou moins officielle peu

    d'entrer dan'S sentiers par les occultistes.

    intrin-laest

    S'ensuitm,canJqtle se

    laDansverrous,

    mtinire, soutient unelacluelfle fte serait autre chose

    vomie in ternltm travers "-,-_ .. -incandescents.

    On ne la voit plHi, cette matire radilmte traverser lescar d'une part, les astres la distillent l'tat obscur

    et et,: d'autre elle est extrmement :ral"enee,d'une finesse et d'une telles auxinstruments raffins. Mais .elle se au contact desobstacles. C'est son ,choc, par exc!1TII,le, contre les -p12lDtes

    rend celles-ci de la mmedes en nuages X''',..",_"

    dt:s rcifs sous-marins.pres,que insignifiant, le

    dgage, C()rrllspl:md auvitesse.

    ins,igrlinl!mte, si la masse -est fOI'I"I'lidalble presse du marteau-

    n"'i",,,,,,t,,, en revanche. que la massem't si laviteHe-est norme- comme danscas de radiante?La rounion de 18 Terre ,des autres l'le

  • molc'ulaiire, fouaillant per'pl,ueilleroerit lail. tourner sur soncomme le sabot quefouet.La Terre d'autres termes, non pas en

    vertu de la ressort mais sous la extrieure et du souffle matriel du

    de la mme que tournerait une turbine dontseraient par un courant d'air ou un...

    1

    (1

    Bartoli crut nl'>nv,I'lirrayonnantes

    et il. l'lectricit. Ce devait

    oi:! celui-ciLeoe

  • LA PRESSION DE LA LUMIRE

    l'action des rayons lumineux et en mesurant son

    difficults d'observations de ce genre sont infinieset 1'00 ne saurait les vaincre la condition mettreautant de Lebedew cepen-dant avoir russi franchir et les tourner avec assezde que les mesures obtenues, non seule-ment par mais par ceux ont ses recherchesen sous-uvre, centimesavec le calcul. ...Il est donc

    lumineuse esc:ol1i1plteC'est mme cette prE!ssiion

    l'orientation de la queue des cOlnltes,sur une loo2U1eur

    une din:ctic)D diam,tralerrlent opp.ose

    vide ayantd'un cornpllftLme:nt

    dirigellierlt sur elle un expl"irrlenltal:eurs constatrent que les

    semblaient souffls dehors commetivement, lumire les C'tait lout pecl d'une queue deFaut-il en cor.icltlre,

    la lumiren'ose

  • L'INITIATION

    pre!lsiollS ?

    Ire carr. '-'''l'I::.llI'''l.Ill,et l'on 1'I>'''M'oi.. la surface '''''l'P'''I::,boulettes jUJI:talJoses

    radiationseer, le cas eClleaUl,

    il se menait

    .... ..

    c Prenez un taill une feuille de par ou unecarte de visite. en forme d'auvent ou de V,de et librementnr creisez deux mains l'extrmit des

    de la main sans y toucher, paume de la de conque ainsi

    enfermez le en prenant soinait pas contact. le va se

    mettre ti,lurner ou moins sur IUI,-m.elTledans un seDS Si 'fOU:S la di!lpo.sitiol1des le mouvement s'arrte un instant, pourillico... la direction contraire, absolument comme

  • vole r

    LES CONriUNCES A NANCY

    de la peau un souffle assez fort pour exer-pn:ssilon sur Sil. surface.

    Impossible de songer un courant d'air: ilprcatltlo!DDU en il

    s'ouvre , pTl)ximit,pour

    donc une autretbrce nfest pas nond'une aHumette eniJanlmleaucun rsultat.

    AI()Utez, pour le que cette sin-d'attraction en non pas

    d'individu if individu, mais encore, chez leavec une foule de circonstances mal dd:r,..souvent, d'une main au

    tourne, suffit pour rMentir le ou, ce est

    .l la Socit.' d'Btndel '&J'8b1qDilll.

    ne l'est une assistance trs

    d'une: connue. On.....diteurs veaus de loiD_. COnt-

    L.e docteur communment sousla bref a donl' la So-cit le hall de la Bol.ulIeu commerce? sa li:Qlo1retlCe sur la et les scieJlt:uQCcuU.e&Ce

  • L'INITIATION

    mencer par les Annamites suivent si assidOen ce moment, le mouvement sciientifilq'llie et intel-nancien.

    Ils ont dft tre, du reste, aJl:lrable:mlmt car ende la et des a t amen tout

    naturellement des dont il a fait un

    .III

    connuecornpite en tait

    L'initiation, ledans la science anuque"IU'IU\dans en Elleles mais avec la rellgll::m,relilgieulx d'alors cOIlve:rge,a.ntReligj:on et science ne ; aussi ne PO'uvlliel:tt-elles entrer en lutte. Il est remarquer, en

    tOllioulfS les guerres religieuse:s.et furent de

    des initis des sanctuairesinitis de le secret mise

    mais, s'ils ne le rvlaientincidemment traces. retrouve

    celles-ci dans L'vocation dudevin Tirsias nous une vritable

    une aimable allocution de M. le docteur Haas, lecOlnfrerlciler entre dans son avec l'aisance

    dis:tin:gue, et en fleurit si \galmnlleru "on"",,,ent:enl:lu, nous nous bornerons esq[uis,ser les gra,nd,esde sa confrence.

    ....",Of.''" que la ?C'est l'tude de laforce magique.la force mll:giclue ? C'est un

    la force avec cette diffrenl:elieu mise en action le contact des choses mat-rielles, elle a pour les fluides queles tres vivants.La dont on a fait une slliper'stiitioln, est donc une

    sciences'estsous cetterserve aux

  • MOUVEMENT 277les magesslections

    oaires la cr

  • L'lllUTIATION

    .LaNoupelJeM. Vauchez, fait 1er un numro

    qu,otic:lielrl, wr GteIe

    consac.r aux

    le 6 dc:embre, audes phnonlln1es

    succs.ArsOJ]vsll acolDlllUIqlll . l'Ac.ad.mJe des Scence6

    une note duph'oto,grllphltes de 'Cesobrenues directement 'par Je com-

    sur son front, .sous enve-lmlpriln, apl)lqul$ sur le

    l'fl'yp:nottmle suivie

    811 la Viesous la direction de Donato. En ses

    il des tudes inditesFabius de ChampviUe,

    en sa

    I.e docteur MOIlItin a dODD ,dernirel:l'lal't au 'GrandOrient de Franoe une confrences -sur leI> .P.6nomnew :avec dmonstrations

    trs

    un 'Cenh'e d'EtlUhsla

    direction 'Car-

    D'hairm'l. en

    A 'Klo..ae-Jarlelf1o,

    sciences 4oso et Quadi'os.A San Paulo, la revue mensuelle 0 sous

  • )III

    SOCIT MAGNTIIQUIE DE FRANCE

    l'habile direction de

    HENRI DURVILLE fils.

    SOCJ:I:T2 DE FBAJlCEFonde le li oc/fibre 1887,

    rue Pari&-IV".

    DERNIERS TR&.n:ux DE LA rTl"".'I'. dans le ,but de vDI-

    a, en dehors"''''''lAV''''', Ofl'lGll1ire ,des les 1.... et

    hel1re:.,et demie du soir.exl,ra'l"OIlli des confrences ce que nous

    intresser nos lecteurs.

    'ElI:PfmfJI'rIINTATION llU.GNTIQUE

    DurviUe tudia

  • L'INITIATION

    constate lesEtat sOlnn;ambulliqtle

    crites par M. dans sa mSlgn.tiqu1e,en observons deux nouvelles. Nous trouvons dans1" ; :II" somnolence3 les yeux phllsedcollverte ftsente soit en endormant ou rveillant avant lalucidit sans le secours des yeux. le

    entend son mais ne peut lui il est mais moins quecdemment; SU lucidit sans le concoursconnue de tous; 6 au contact; distance 8" extase; g" contracture gnlralle.Au del la nous trouvons l'Elttrio:rislltiClQ

    du Fantme des Vi"ants, Puis quelques ma.gn1tis,eurs sesuccdrent sans obtenir de rsultatsJe revis il a trois mois enVlnl.ln. que

    son sommeil tait modifi. som-namb,uliqu,e, le un tat mal dfini dans

    pressentais l'tatun tat

    Nous avec Mme une sriede sances dans le de les diffrents tatsdcrits par le colonel de Rochas et Durville dans leursrerna:rqtlabiles travaux. J'obtins ainsi tous les tats classi-

    c8Jractrist'iq\;leS de chacun d'eux; leseSJ>r,Qm:es; non seulement nous

    clltaleptique, somnambuli-

  • SOCIT MA;(}Nrrl(2UE DE FRANCE

    de la Sensibilit telle est dcrite par le colonel der\o,cnas, ensuite le ddoublement tudi en ce moment parM. Durville.Avant de vous pr:sertter

    cela pour aux objjecl:iortsaucun ('as nous n'avons emlpll)y

    la mthode a t celle ens,eigne: la Polarit.

    Ensuite M. Girod a ses ont trsvivement intress

    PHOTOGRAPHIE DE LA PENSS

    Sion met une20U 3

    rel>ro,dulisC)Ds de cette confrence la con de la mthode.

    f1uidiqu.es. a dit le s'obtiennentdans le bain rvlateur. On peut

    de et de rvlateurs,-La

    lablement noir est mise sur leou la nuque, d'un ousur le cur ou une du Laainsi est une et mme en vaquant ses affaires. On peut aussi

    en tendant les vers la surface glatilnela chambre noire, La maintenue par

    peut tre 1 front pend:llnlminutes. L'obtention des photclRr:llpllies

    ' la

    A la sance du'3 dl:enlbre. M, le commandanta fait une confrence sur la de lade la du Sentiment et du vital des

    minraux devant un trs nom-

    >....

  • 282

    de main sur Ja gmaulll: pen,dallt 1:0 15 mil!1Ulles.,on QU moinsde forme et teintes.En des effluvesd'une des marbrures.Des sla gJatllle

    l1lII'a:l des

    avec un an:l'lat'Pll nhatfIU,"a-ph!otc'gnaplles brisent souvent

    a des taches; or, dansmll:rqliles ne sont que des effluves de

    AglulIBLllll, Pu.isslllnt mdium dedes il volont et cou\'ml1t

    comme voile le docteur A. pell'1dllDt que te tirais leur tous les dwJ:.

    Il a montr laont un tolrmemCllt S'Cllenlil.

    La Librairie du irnpc)!U.1I,te.et lamieux des Iihl,ail'iB spi:ritiraiiistC!lI, de pu-blier les ouvr.ages suivants:

    PAPUS. O8InfreDc8s .8!triqui81l. - .nain V'lllred..8cieDOlllI Geelllll"'l. - rN - 1in-8. trs limit. PriK:1O la Litlr/urie du -::l13, rue :::'alnt-Merrn.L'uvre d.u MaltreNous conseillons vivement .nos lecteurs de

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  • LIBRAIIUE DU llilAGNTISME 283Ces runies en un volume sous

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    " ..P. CAMILLE REVEL. - Le sa Loi et 8. CoJlll6.-qa'lI1!ll* dans les sciences et en philo:Sol>!li,e, suivi d'un

    sur la dela et du Nouvelledition et la Librai-rie du Paris.La prelmire

    matire el le sur laet du sur les tudesrl)OllSe aux enfin trois

    notules sur des articles au Hasard que Poin-de Montes.sus .et le DlJltee .ont fait en

    lI.vQl.1s.commen par IAne tude ph,ysiolclgi1lue dit l'auteur dll.l.1s sa et

    physiolc>gi:ste:s, .nous avons mis la thorie de l'hir/idil0ppo;SiUOIJ li tb.orie de la survivance de l'indivi-

    Nous avons montr chacune.de oeil deuxayant un nombre

    toute conclusion restait en suspeusavons ensuite considr le DlllgClti:SlIle

    dit et avons vu q.ue ce dOI:naJme,le lei deux adversaires ont

    lement .chac.u.n un .nombre leurEnfin .nous avons abord les hallu.cinaroil:es,et dans cer.tains faits d.e

    de caractre !I0US a de

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  • L'INITIATION

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