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revue initiation maconique
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, [1
Bevue pnllosoplllque des Hautes tudesPl'BLlE MENSUELLEMENT SOUS LA DIRECTION or
81 mo VOLUME. - 22 mB ANNEE
SOMMAIRE DU N 3 (Dcembre 1908)PARTIE PHILOSOPHIQUE
Les Couleuvres scientifiques (p. '93 'g8) .L'vangile et la Nie (p. '99 212) . . . . .L'Opothrapie ct la Medecine des signattll'es(p. 213 223) .
La Doctrine de saint Jean de la Croix (p. 224 235). . . . . . . . . . . . .
Au Progrs de l'humanit (p. 236 et 237) .Explicatioll fournil' (p. 23 et 23g) . .La Peinture spiritualiste (p. 240 :l.p). .De la Phase de transformation Ip 243 il 247)L'Esprit, seule ralit (p. 248 252). . .'
PARTIE INITIATIQUEOrphe et les Ol'phique (sl,ite) (p. 253 266).
PARTIE L1TIRAIREA Ull F.. du Grand-Orient (p. 26). . . . ,
Papus.G. Phaneg.
C. B.
Sdir.Isidoro Viliarino.Teder.Richard Burgstral.Jean Siprel.Spro.
Combes Lon.
Combes Lon.
Janvier occultiste. - La Pression de la lumire. - Les Confrences Nancv.- Mouvement psychique.- Socit magntique de France.-Librairie du 1agnusme. - Livres nouveaux. - 'crologie.
Tout ce qui concerne la Rdaction et leI changel doit tre adrelle5. rue de Savoie, Paris-VI". Tlphone - 8i609
Tout ce qui _concerne l'Administration:ABONNEMENTS, VENTE AU NUMRO. ANNONCES
doit tre adress la
LIBRAIRIE INITIATIQUEPARIS - 23, Rat Saint-Muri, _ rP
gllzedby
Lei Doctrines matrialistes ont vu.Elles ont voulu dtruire les ternels sont l'essence
Je la de la et de mais elles n'ontabouti vaines et striles n,galtions. Science exoerl-mentale a conduit les savants eux
Le mdium IIUler et Il. de Vesme
m'tais biencouler bellUc:ouiP t'I...n".....
dans le
nereste enlFantine, etfaits
C'est une excution enPour M. de Miller n'est pas du tout mdium
et c'est unJe encore l'0IJinjon
que des mdiums l'tat dese aller la mais dOlonlmt
des rels. Pour M. debien Tout est et si lesse laissent il n'en est pas de mme
ne le pas. Et il fournit trucsCette eXl=lliClltio,n est
tient aucun cOinpite13
L'INiTIATION
fiU-Ut:lii. Lade
un mdium et on nous aferait fortune dans lesa pu coter de
avons cru avoirun escamoteur
:>liIUIJ:il. Pour le cela peu l'rn011voirMais comme toutes les sont respe
LES COULEUVRES SCIENTIFIQUES 195repasse sans doute de mme au compre qui l'aidaitdans cette fameuse sance de contrle.Si ce fait s'est produit, cela indique une bien mau-
vaise surveillance de la part des contrleurs quiavaient pris soin de ne laisser personne approcher lemdium.C'est se demander si ce n'est pas M. de Vesme
lui-mme qui aurait t le compre" car, ma con-naissance, c'est le seul des quatre contrleurs dont jeme mfierais, tant il est connu que fa ngation desphnomnes les plus simples est la joie de M. deVesme. Mais un examen plus srieux de la questionva nous permettre de voir que M. de Vesme est inno-cent et que son objection est, du moins dans sa formeactuelle, aussi innocente que lui-mme.En effet, M. de Vesme a seulement nglig une
petite exprience pralable qui aurait frapp des cer-veaux d'hommes h.abitus aux expriences scienti-fiques.A un moment de sa sance, en effet, Miller fait
apparatre trois ou quatre personnages. Ils parlent ouils font semblant de parler et ils saluent alternative-ment et souvent simultanment l'assistance. A cemoment, les rideaux sont relevs.Chacun des personnages apparaissant est revtu de
tulle illusion. On. voit ces personnages en eptier etils en saluant.Tel est Je phnomne de l'apparition d'Effie Dine
et KaryWest, si je me souviens des noms.Je vais, pour un moment, me rallier la thse de
M. de Vesme et supposer que tout est truqu dans
DiQitiZedbyGoogle
au
boule
L'INITIATION
vais mme"""'lU"'. je vais me
mieux 1',s,I'urli.....de la science
Mainte:narlt, il enque le ......"triln..",,' see me.
faire les apilariticins que lemdium se tient leur extrme il un
de transmission de la du cabinet.centimtres.
Il faut aussi une autredroit sur la
20 centimtres de ha'uteur.
nous donne :centimtres OOUViant tl,escopler
20 centimtres.besoin et deuxIl faut "'",nt ,. encore qUlelques
qUlelques centimtres dephOlspt:lor:e, des de sOret pour
ilJulsion et une noireJo) que le va passr au
"'''''1-'''''', nous dit M. de Vesme. Millerle morceau de
et il sort en rentrant dans sa
hypolthse. Mais alors que cecommissaires le mdium?
bien que n'a pas puloiindlre ce morceau de tulle au des 5 mtres
a par l\ son comdes ses faits
LES COULEUVRES SCIENTIFIQUES 197M. de Vesme a-t-il eu de reconsti-
ce ? A-t-il euncessaires un si mes
essais sont mal conduits et s'il a trouv mieux?essaye un peu, et il verra
une accusation contre un hommeans et a t contrl aux
aussi mfiants queM. de peser toutestances d'un mme ps)rch,ique.Mais notreOn a
tours va se montre entreElle fait ses calembolLlrs et sesrentre dans le cabinet. Elleune quesalle.Rien
a
iJ1
etIl n'est pas srieux dire:
Mon inteHigellce ne mesont de la
d'ex-
L'INITIATION
la d'entre eux, mais je suis perslJladltous les assistants sont des
De le doute doit l'accus:.bealUC()UP pour des
encore ttrom[leri.e. Jllsoue,la on doit le dlFendre
l'accusent de res)roduireeXlpr'jm:enta!lement ses sances.
A un docteur de mes contre le....."'..... , a tenu le de de l'autrect du rideau la sortie
des ridjeaux.Moi-mme vu se
tion sans m'aitformer une autre contre moncentimtres et je sait pas de pOlJp:es.Il est que je suis un gros mais ma
nalive:t demande comme des faits et nondes
nouvel u .......... "'" ob]jecl:ioI1S deM.j'al:terlds mieux d'autres
PAPUS.
(i)
l'liU-quelque
LA MALADIE
Mon inl:entio,n n'est pas, dans cet essai sur .... "".,-et la de un travail
froidement et schelnelot,-i'''hul.. mentale. Coins.d:ral:tt
nosmatres que contient bien exactement lat1n,,..tr,inp du Rvlateur notre race. et que riend'essenti'el n'a pu y tre omis ou je rai yclairer leentoure de toutes vie sur la terre.delnalrlde:ra que tres danssible mot des lvres du Sauveurentr'ouvrent chacun la du dont ils ont
dans la mesure o il me sera po:ssiltlle(1) C'est dessein que j'omettrai de citer les chapitres et les
Tersets seront empruntes les citations quel'occasion faire dans le cours de ces essais.
200 L'INITIATION
supporter la connaissance. Il n'y a pas de vritqui ne puisse un moment tre rvle et le nombreen est assez grand pour que tous les travailleurs del'Idal, mme les plus petits, trouvent tre employs.C'est cette considration qui m'a pouss entre-
prendre ce travail. - Puisse-t-il ne rien contenir quine soit conforme la Vrit et la Volont du Ciel 1
S'il est une cnose qui attire notre attention lorsque,cessant de nous considrer comme seul tre impor-tant dans l'Univers, nous commenons sortir denotre tour d'ivqire et regarder autour de nous dansla vie, la souffrance dont nous voyons partoutles signes. Au dbut, la souffrance physique, lamaladie, nous sollicite surtout. Demandons-nousdonc ce qu'est la maladie? Il parait facile prioride rpondre cette question. En ralit, c'est beau-coup plus compliqu qu'on ne le croit gnralement.Au point de vue humain, la maladie est une ruptured'quilibre; au point de vue rel, vivant, c'est lepain de l'esprit que nous demandons chaque jour,c'est un bonheur rel, car c'est une dette paye, unlien de bris. Combien rares sont les tres quipeuvent voir, dans une souffrance physique, la rper-cussion d'un acte mauvais dont ils se sont renduscoupables un moment donn et reconnatre en leuresprit la grce que le ciel leur fait, lorsqu'il leur per-met de se librer ainsi, ds la vie terrestre 1Tel homme, vingt-cinq ans, a troubl et dtruit
tout le bonheur d'une famille, pour satisfaire ses
DiQitiZedbyGoogle
L'VANGILE ET LA VIE 201
ans,vieillit cirllquante
meurt en trois
consdenteet de nos diffrents organes sur-
pnmeire vue; si l'on a russi vivreun peu hors se de la nature, reconnatre la vie etla Vie consciente par-tout, lesdu celte ide devient vite farnilire, et 1'00 arrive
s'en sur soi-mme.de nos organes est
notre conscience a voulu unemau-
202 L'INITIATION
vaise et 2"organe. La ,.,' u .. naturellement notre
l'aura seradans l'Univers; une celluleosseuse, par a deux routes toutcomme notre aller dans la voiedroite et arriver tre un constituante denotre cur, constitue son ou ne pas travaIl-ler et rester infrieure. unea mrit se trouver dans notre main cettemain commet un voulu par notre c'est
n'a rien fait pour viter son sort; elle estdonc res:ponsllble, et si le ciel notre mainsoit brle et notre sa detteen et la la sienne; sonascension. maintenant le cielmain soit brise et te de notrecrime ne soit combien s'claire alors cette
: votre main droite est pour vous une occasion de et loin de vous,(oC car il vaut un vos mem-bres que si tait la(oC Ghenne. li)Une autre corlscluence de cetltelcli, de la reSIPOI1lsa-
organes, se trouve vr'i1:!ele suicide. (oC Il nous a t encoup d"infirmes sont des tres humainsaUI:reiois le crime de le corps eux parla nature une existence. Leur corps
EV'ANGll.E ET LA VIE
actuel est inc,omlplet ou
aeltOrltnle5 ou
dansavaient t
au moment sui-cide.Il y a ensuite une autre cause aux maladies
c'est notre propre - Nous avonspeu tudier le monde o noustions vivre; nous en connaissons ounous devrions en lois. parvoyance, ou nous nous expo-sons une ne crions pas l'iriju:stc:ene croyons pas avoir nous ne pa't'ollS
ce cas que notre notre inatten-ou notre Chacun de nos actes
apl;lelle une dans le mme il at fait. nous un verre d'eau froide
si nous nous tOt unrepas, si nous pensons tout en nousservant d'un couteau la conges-
ou la blessure en saufqUlelques ex(:eplons. d'autre cause que nous-mmes etnous ne dans ce cas, ne nous en
nous. Toutes les maladies auront une ori-an,aloigue, seront du reste en faciles
ranger encore les maladies dont lescauses sont l'hommeses ou de ses Nous y reconnais-sons la stricte de nos actes et il n'est pas
d'insister sur le fait des maladies de parsurvenant la suile de des
204 L'INITIATIONblessures dues un caractre des ac(:id,enltsgraves causs par la ou desmaladies d'estomac dont la cause est la gour-ma.nd.ise, etc. Il est vident que dans tous ces casrien ne notre ni la cause ni les
est ....pp... ,o nous pouvons
exemple de l'volution desse tue pour sauver lene que
se
ceux: unissentceIltnlle, la volont
pre:mi'ers, et trs lesrec:onnatri::mt aux maladies etd'al:cidlents, d'vnel'lilents o ce
nomment le hasard se reconnatLUll':ii4IJe les dernier's, C'esta-(l1re
sous la Protection
rsultats. Et nous "''''''".,'' .... " ...,.....ota servi commettre la fautele cas des maladies de
trouver au contraire uncellules par le sacrifice.reste du corps, etlorsql.lle le foie estEnfin les maladies de notre corps
vent soit la Pnwil:1erlce.sauver ou nous payer une soit
la nous atteint.vons que rarement avoir la certitlldeest Il est
L'VANGILE ET LA VIE
fraJ:lps accidcIltcllement, onalors d'une dette
d'une bndictionsembler adlnet:trcde nos per'ccJ:ltions.
205
vn'"nrll: main-p01LurioliS savoir des mSllaclies
II
nouslimites.
lui-mme
hYPCI'pl:l.ysiQlJle a une
L'INITIATION
(
sur unDelgraves
est ent:irement
mal,adie deet contre
rCTint1in:er, comme
phol:>ies. la dperdition
ph'Y'S'QUl!s dues notre
la ral:tion, pllisqlJe
Un exernple
li penl!antLes rpercussions,
autre sont aussil'existence
les pil:1nlies ph)'siqlaes.
la sens:ibiliitastraux et c'est aussi la facil i tmaladie pour dans son propre saitque, nous, maladie est un tre vivantsa vie dans le astral et voluant lui
comme tous lesIl ne sur le corps par contre-
coup. tandis actionne directement lieL'action de l'Astral la terre, n'est
aussi avoir beau.-d'illftuLen
..L'VANGILE ET LA VIE 207
se rendre1
r
sans cause et d'autrestrs tenaces contre lesquleU($ la n'a pasmoyer!!' rels.Ces donnes suffiront pour
cOlllpte de la
Il Ya aussi des
raisondans le
notredes maladiesnous dire que la
la cause remonte auelles dethf!Ur,giq[ue a pu en obtenir
nous ne que nous ne pouvonspellcevoir les causes. Une observation est faire ici. C'est que, par la mme des maladies
que nous pouvons sur notrenous voyons que la loi de la respolllSlltbilit
augmerltantav,ec le de conscie1nce,sances et de moyens
bout pullsqlle la sont certainement nous pouvons sup-
agiisslmt dans son propre doitterrible
208 L'INITIATION
IIIVoyons maintenant quelles sont les leons pro-
fondes contenues dans l'vangile au sujet des mala-dies, Rechercho(ls-y les lumires qui nous permet-tront de savoir la ligne de conduite adopter quandnous seronsmalades nous-mmes, ou que nous aurons tre employs pour soigner ceux qui souffrent.La premire grande loi qui nous frappe est celle
de l'identit de la faute et de la maladie. La maladieest si bien le rsultat de la faute que, ds le pardonaccord, les organes dsquilibrs redeviennent sains,parfois instantanment, parfois plus lentement. - Te voil guri 1dit Jsus au paralytique, ne pcheplus l'avenir, de peur qu'il ne t'arrive quelque chosede plus fcheux (Rcidive). :Lequel est plus ais dedire: Tes pchs te sont pardonns ou de dire: Lve-toi et marche? Et il en est toujours ainsi.Ceux qui ayant gard la parole ont reu le
pouvoir de faire sur terre ce que le Christ a fait,ceux-l peuvent pardonner et remettre les pchs etpartant gurir les maladies les plus terribles, mmeparfois l'pilepsie. C'est donc une gnrale, uneloi absolue; maladie gurie, cela signifie: faute par-donne et que le clich form par cette faute a tdtruit.Le deuxime enseignement retenir est la discr-
tion, dans tout ce qui concerne une gurison 1Dans beaucoup de passages, Jsus recommande aux
malades guris de ne pas le dire .
DiQitiZedbyGoogle
ta
L'VANGILE ET LA VIE
la rsurrection de la fille de Jaire il atenaltdire personne ce tait arriv . Au
il : d'en rien persOllneprsente en de ta
l'olfframdle que Moise a 'li> Au" ildit: Prenez que n'en sache rien .Il a c'est il est nces-saire pour certaines raisons que la le
bruit mais arriveNous ne devons donc le
avons t tmoin
n""I"' __ et le cas arrive encore assez La cause de ce nous dlappe.mais il que nous trouvions la recommandation
silence dans pour que nous fassionstous nos efforts dans ce Nous voyons ensuite si la n'est pas
lument pour que la gU1ri:SOfl,OU mmele de la fille
est ncessaire la duaccordl aux malades leurCh.lqlIe page, pour ainsi
nous trouvons la de cette assertion : fi: Il tesera donn ce que tu as cru, queje vous ? - A cause de votre peu
vous n'avez pu chasser ce - Mau
210
gulri:sofl ....'lIi,,....,," ainsi: si DOUS sommes mieux si nous avons de.mlallldE:S soigrterleIon:S-11101liS aux de
foi t'a l':u'erl'I:. -- Ne crains crois sellleme:nt! toutest pour celui croit. La ne consiste pas, comme on le assez
croire une affirmationqucelc()nqlue. EUe est la d'une per'CetltlolO
par que le cerveau. 00c'est du cur.
a t amen dans une de l'ulniverstelle vrit est aussi aussi certaine que
le brillant midi de tout son il "'lIT'\nt1.rfpavec lui LA CERTITUDE et notre cerveau e!>1
nous en mmeforce alors en nous
cette union intime de notre cur et de notre cerveau1La lumire a notreil nos organes
C()UtileS parnous a
Il qe la Nature par le man-teau lumineuxdont la fdi a recouvert notre humjilit1,ne demande alors Et voilJsus affirme: Tout est croit. Il
le dont il a peru la uninstrument dont le se servira pour aiderles Les
d'une
L'VANGILE ET LA VIE 211
ter: Il est
rions fait si nous avions eu lebonheur de le voir passerlentement sur les bords la mer de Tib-riade.Il esttoutet nous ne sommes mais il accordebelluc:oupa1ux Ipetits. Demandons donc aussi lonlgte:ml:JS
; souvent Il et le mal serade
'avleugle que Jsu..
212 L'INITIATION
gent au moins sous la table les miettes que les en-.fants laissent tomber. Jsus affirme que c'est cette parole, expression d'un
lan d'humilit vraie, qui obtient la gurison. Acause de cette parole, dit-il, va, le dmon est sorti deta fille! Un acte, un mot rellement humble, peu-vent donc donner des ailes la prire faite pour unmalade. N'oublions jamais cela.Tels sont les enseignements principaux qui ressor
tent des paroles mmes du Christ en ce qui concerneles maladies et les malades.Il n'y a qu' les suivre de son mieux. Celui qui
nous les a donns n'est pas mort, mais il est vivantet il sera toujours avec nous jusqu' la consommationdes sicles.
G. PHANEG.
DiQitiZedbyGoogle
autre-de ce traite-
et sa bizarrerielazzis nous avons t
La sciencement que par lament et
rires et les
cet auteur, l'urine aecn:len tait souverainecontre les morsures de les et les
surtout si on de nitre.L'urine taureau mle de la calmait les .
dOIJlelLlfS (.t'oreilles; l'urine de salllgl1er diisSCllvSlit
les de mcHaa-menls d'autres et iltait assez rare en nature, au moins l'intrieur. comme il y avait une mdica-tion des riches et une autre celui des pau-vres, il arrivait que, ces on sebe,aU(;OUlP l100iins et on conseillait tout sil10pllenlerlt
leur urine. Le remde ne coOtait rien et iltout le malade tant la fois le
teur et le consommateur. Dioscoride conseillait deboire leur urine tous ceux avaient t m()rdluspar une ou avaient un commencement
214 L'INITIATION
calculs de la vessie; celle de chvre gurissait l'hydro-pisie et Jes douleurs d'oreilles, la dose de deuxverres chaque jour; enfin l'urine d'ne le meil-leur spcifique contre les douleurs des reins. L'urinedu mari, bue par la femme en travail facilite l'accou-chement, comme J'exprience journalire en fait foi.Ettmuller dit qu'un goutteux s'est guri en donnan.t
manger un chien ou un cochon un morceau delard ou de chair de porc, qu'il avait fait bouillir danssa propre urine i d'autres y font cuire un uf au lieude chair, et le faisant lIIanger un
1L'OPOTHRAPIE 215
on urine dans uneAussidu
oblllge de
des ICU,UII::S dans l'urine d'un malade et si les ne se fanent pas, mais restent vertes, il n'estpas en mort; si au cOllltrair,e, les feuilles se
et deviennent la mort oula maladie trs grave.
on a des caIJchlerrla r:s,et on la
reste bOllch:e, la sorcirepourra pas et elle sera
venir de vous sa dllivl'ance. Il ne fauturiner sur un cimetire ou dans une vous gagne.
aussi nn'i,."5rfil,,,
pr
216 L'INITIATIONelle
mais.an,n....... l'extraor-
tissus
cette coutumebesluce)up de DOS
jUl:ltleDts et
sont pr:cs1m1ent
mange sonmle. serait pour
commela
une fenrlelleprclcr:e ensuite un
on empe':hel'ex:erc:ice de l'instinct de
les animaux dOlmcsticlue:s.pour les la aurait
une action favorable contre la strilit et les attiectiorlSl'eltlcphale; elle la dlivrance et
mme la terminaison de ral:couc.helnent.On en hausser
ques avant les travauxla reconstitution des olPothJrap1iqtleS, personne nedin:aire puissance quesucs certains organes.
les sucs placerltairesl : ils rellvent. avec une sif1lguliJre ae:tivit,
rtablissent la santtaux et prl)Ve)qlJerlt la mise en uvre lactation.Mme trs nous
dit avec une que l'on est peu hat,ittl trouverchez une : Rien n'estcontraire aux vues de la nature queirraisonne rencontrecampagnes. les
en de dvorer leur arrlerle-uux.contraire et savoir dcider
le d'un peu deaux femmes en COUCltle,
J
:&18 L'INITIATiONaua::
du-sera
!;
L'OPOTHRAPIE
lui enlever les rognons , et, faire avec cettedes chandelles les mmes pro-
La a servi aux usages les va-ris; aussi ne reculait-on devant rien pour s'en pro-curer. Le grave historien de Thou a cet
un fait frissonner: un la populal:c
en tureur et tous ces corps dans larserve des gras abandonna aux
les pour en avoir la gn:lllSS!I;;.
La scne se passe en 1 cadavres quel'on sont ceux des pf()te:stants victimesdu massacre de la Saint-BllrtlhlerrlYA o Balzac crivait les Mmoire$ dt
il tait en la familledu Ilau que lesgens du ve-naient sans cesse demander li. acheter de la de
ou de ce pour eux, tait toutcomme. aides du leur cons-ciendeusement du de la cha.r-cuterie voisilrle,dans desse retirait cm:hantAvec la
a rot1:i1po:s
crAne hurnailG, C:rivBLit
220 L'INITIATION
on calcil1le Mais ce magsltre
de vertu; onle crne d'un
n Il'11 ri" ttemieux d'em-
homme mort demort vio'leI1lte.Le crne humain
srie de reJ1nCles, tOlln bc!sl'eau d'hirondelle con,po.se,An,gleiterl"e etc.
d'uneoubli :
dr()gulstles allgllljs, surtout ceux deveiod,ient, outre le crne des criminels pel1ldus, de son pallllCIUle UllU1L.1,son et de tout ce
, des tts de mort surune mousse verdtre
prsltiquelrtt dans
phalrmaci
-..,
filton mal
et suivent le ; lui aussi estcouleurs du taureau rouge nous fe:IlVlelopp1onl.les et les nous di)Osl:msteint et dans les ton teintnous le .. Mais le charme est en mme
aIl4Jpalthiqu,e, en ce administre auo l'on a des
MJrthiqlJlenlel1lt, ce taureau est le
L'OPOTHRAPIE 221
de entrent en eux-mmes ditfrlen-cis en deux tendances.Allopillthie: le est la est
toulcher; la fracheur de la et et on lave le maJac:le
d'ablution retombe surpasse dans la
les traits ne s'en eXlpl11Cjulent
ya verse. le malade a la il est
c'est un teint n'est COliltraire,certains oiseaux sont
passer dans ces oiseaux la cotlletlrtrouvera son milieu y
restera, elle y - On demme que avoir attach sous le lit
la d'un
l
222 L'INITIATION
attelOdre, l o ils sont: il faut donc les craser eneffigie, et pour cela, manier un pilon, broyer desobjets qui les reprsentent ou les substances qu'ondonne ingrer au patient. On prend un tachet de noir ou une racine de karira (Capparisaphylla); on y entortille, de droite gauche, des poilsde la queue d'une vache, et on les crase avec unepierre; on en jette les morceaux au feu, et on fait res-pirer la fume. On broie du sable fin dans la maingauche, le regard tourn vers le sud, et on le rpa.ddoucement sur le malade. Si c'est un enfant, on leplace dans le giron de sa mre, et on lui touche troisfois le palais a vec le bout du pilon enduit de beurre,qu'on ramne d'arrire en avant. On traite de mmepar broyage vingt et une racines d'andropogon, etl'on en administre la poudre, qui peut-tre en effetest un vermifuge. On se garde enfin d'oublier la vertude l'eau mlange de sampata, et l'on asperge large-ment le sujet, pour finir. dans ces prati-ques, la prdominance de la gauche: c'est que lesvers sont des dmons, ainsi qu'on va le voir.Les bizarres attributs que le sorcier pote assigne
ces parasites incommodes, les sobriquets aux CQD-sonances peu sanscrites dont il les affuble, les fontconfiner de fort prs ces dmons autochtones etmonstrueux que nous avons dj rencontrs notre chemin. Au food, vers et dmons, pour lui,c'est tout un, et son hymne, comme sa mdication, atout l'air d'un exorcisme.Atharva-Vda - 1. J'invoque (?) le Ciel et la
Terre. J'invoque la desse Sarasvati, j'invoque Indora
U "11
,L'OPOTHRAPIE
C. B.
le ver. - 2. 0cet Tus sont
3.
et
rampe autource ver nous
brc)vons. - 4, Ui:Ul:ll:S. les deuxne le sont pas, les deux deux rouRes, le
brun et celui a les oreilles nrlln..,,_ et Je coucou (?),les voil tus. - 5.les noirs aux devant bblnc:he:s,
les vers de toutes IOrmes,- 6. Le se lve l'n,r,,,,,,tdes les et les iO'li,jsible!s.et tous les vers. -:- ... 9. Le ver trois trois je brise 11::>";VI.II;:'.je lui fends la tte. 6 vers jevous lapar la les vers.-1 1 est le roi des vers. et ; tuest le ver, tue sa tu son tue sa sur.
12. Tus sont ses commensaux, et tus ses voi; et mme les tout tous vers sont
- 13. Et tous vers et tous les vers fen1ellles,avec la je la avec le feu je leur
la f';UOCI.I.I'I:.
(i)
voici
collaborateur de sainte nous a unSVs:tllt1eS les de la vie
on y retrouve le trait toute morale: larenonciation. L'effet de cet acte, est
dans les uvres des carmesdchausss enautre mvsti(]ue aussi.Cet homme se meut dans l'Absolu; c'est pourses sont et que ses pensers attei-sans des aussi
ceux des anciens dechemins s'ouvrent devant nosest la montaJRne verdoJran'te
du Les deux autres, de directions mnent l'un la
biens de ce la cOIlql1lete
Biens lHonneursterrestres Libert tli3.....5
Savoir Consolations B'eJoies 1 nsSuret clestesGloire
(1) Doctrine identiliue l celle de Krishna.
LA DOCTlUNE DE SAINT JEAN DB LA CROIX 225
Considrez ces deux sries : l'arrire-pense deleur auteur a quelque chose d'eftrayant, tant elle estprofonde.Il est simple, en effet, de renoncer aux biens de la
terre, une vie paisible, honnte, civique, et lasomme de bonheurs tangibles qu'elle procure.Mais, j'en appelle ici ceux qui connaissent l'insup-
portable chaleur qu'allume dans leurs entrailles ledsir des choses du Ciel:La soif de connatre, de scruter les mystres de la
Nature et de l'Homme, de possder quelque puissancepour faire le bien;La douceur de se sentir guid par l'invisible, de
l'apercevoir dans le sommeil, de reconnatre sa maindans la trame de notre existence iLes joies des rencontres angliques, les batitudes
du cur, de l'intelligence et du goOt ;L'inbranlable confiance, la foi toute-puissante, la
saveur de l'ternit;Les magnificences intrieures des gloires paradi-
siaques:Devant toutes ces merveilles, pour la possession de
la moindre desquelles on donnerait dix fois sa vie,Jean de la Croix nous dit: Rien, rien, rien, rien etrien i renonce savoir quelque chose d'intellectuel; Renonce toute consolation; Renonce toute conversation i Renonce toute certitude; Renonce enfin l'espoir mme de la rcompense.c Tu seras d'autant plus que tu voudras tre
moins. 111
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226 L'INm&TJON lDCEMBRECes quelques paroles contiennent tout le travail ;
aussitt que ralises, le but est atteint, les routess'arrtent, le disciple est sur la montagne, il y aspireles sept dons de l'Esprit, il y expire les sept vertuscardinales et thologales; il est assis au banquet per-ptuel, dans le silence divin de la Sagesse. Depuisqu'il est tabli dans le Rien, rien ne lui manque;tout lui est donn sans qu'HIe cherche quand il nedsire pas par amour-propre. Il est juste, il n'y aplus de loi pour lui.La connaissa.nce rationnelle de Dieu s'appelle
mtaphysique, thodice ou thologie naturelle.La connaissance supra-rationnelle de Dieu s'ap-
pelle, en thorie, thologie spculative, qui inter-prte les donnes de la rvlation, et, en pratique,Thologie mystique, qui s'entralne vrifier par l'ex-prience les dogmes de la foi.Notre auteur ne s'occupe que de ces dits entratne-
ments, qu'il divise en trois degrs:Le purgatif, dcrit par la Monte du ;
. L'illuminatif, dcrit par la Nuit obscure.Et l'unitif, dcrit par le Cantique spirituel et la
Vivejlamme d'amour.
...LA MONTE DU CARMEL
LA NUIT OBSCURE DES SENS ET DI!: L'ENTENDEMENT
Dans le degr purgatif, l'exercice de la volont estde rigneur.
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LA DOCTRINE DE SAINT JEAN DE LA CROIX 227
ce-aux",,," ..11,, nous apIPOr1erlt d'aRlrable
sont des pour DOUSt puisqlle lie la Tout toute la
toute la sagesse, toute la PUilssslDc1e.. toute la des creatures
sont rien des Dieu. Desensoriels tourmentent,
obscurcissent et affaittUS5eIltminutes de nous convaincre'
ces
: en somme nese aucunacte dont l'excution semblerait devoirau moi.
nedplaisant, 1'8t-
COlmmlent vaillcre ses ?1" Aimer Jsus assez pour vouloir comme Il
l'aurait fait Lui-mme notre2" aucune des sens ne
tende Dieu ;3" le dUficile, l'ins'pidle,
tris:tant, le .........,rien vouloir.
bien:l\>
2" Parler son ds:a Y'llDtl!Ule3" Avoir
autres
LA DOCTRINE DE SAJNT JEAN DE LA CROa
.....LA IIIIn,NTfRnll CAiUlEL
DE LA FOI
rail;onneiloenits iI:ltel]lec1:uels, on dans
proliiuit dans la mmoire.CDlirne, le pr()dujt dans
cr:attlre. aucun sentiment aucuneint,elli,f{ible ne un
l'......" .... D1vs,tiqUe. car tout le relatif est infiniment
percep,tiollS ou, sont
soot une con-
L'INITIATION
sique qu'un objet invisible i mais, mme quand ellesforment la base voulue d'une mditation pieuse, eUesne procurent qu'une approche de l'union divine (1),bonne pour les seuls commenants, qu'un plaisir psy-chique dont il faut savoir se priver.Voici trois signes qui, s'observant la fois, indi-
.quent le moment de quitter la mditation discursive.1 L'impuissance d'imaginer, le dgoOt de cet uer-
-cice;2 La cessation du dsir de contempler des objets
ioternes ou externes;3 La joie intime de l'inaction psychique, avec Ja
sensation de la prsence divine, d'abord presqu'im-perceptible, mais s'affirmant peu peu avec accrois-,sement de quitude.Toutefois, il est avantageux de revenir de temps.
.autre la mditation, lorsque le besoin s'en fait sen-tir.Quant aux rvlations intrieures, dites symboli-
.ques, il y faut du discernement: toute forme est uneporte ouverte aux Tnbres; c'est une cole, une gym-nastique provisoire.Il faut suivre ce cours sans s'y attacher du fond du
.cur, sans les rechercher, sans les provoquer. La cir-
.conspection la plus prudente est de rgle, qu'il s'agissede perceptions corporelles, de perceptions imagina-tives, ou de connaissances de l'me (1).
(l) C'est-A-dire en langage moderne: phnomnes matriel.comme tlpathie, spiritisme, magntisme, magie; ou percep-tions psycbomtriques, symboliques, prescientes; ou percep-tions d'un plan paradisiaque dont les vibrations sont trop finespour notre systme nerveux conscient.
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1
LA DOCTRINE DE SAINT JEAN DE LA CROIX 231
Ces dernires se produisent en dehors de tout senset de toute facult mentale, dans un tat passif de lavolont. A ce moment, il est bon que le contempla-teur apprenne oublier, afin derester ouvert l'actionde la grce. Notre auteur les classe ainsi:1. Visions d'objets physiques de tout l'Univers;2. Visions d'esprits, d'anges, de l'essence divine;3. Intelligences abstraites des vrits divines, con-
cernant les cratures et le Crateur; ces derniressont indescriptibles. Exemple : le ravissement desaint Paul;4. Rvlations des secrets de toute nature, des arti-
des de foi;5. Raisonnements intrieurs;6. Paroles formelles. comme entendues d'un tiers:
les ordres de Dieu;7. Paroles substantielles, productrices de la chose
qu'elles noncent, comme celles de Jsus-Christ;8. Sentiments spirituels, soit touchant la volont,
soit suprieurs celle-ci; leur cause dterminanteest inconnaissable;
*LA MONTE DU CAIWEL,
LA NUIT OBSCURE DE LA M.MOIRE
ET DE LA VOLONT
Oublier les notions mnmoniques acquises par letmoignage des sens, sauf celles qui ont trait auxchoses divines: ainsi on diminue les raisonnementsimparfaits, les associations d'ides, les actes mlangs.,
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L'INlTaTION
le renouvellement des convoitises, les suggestions duMalin j on augmente la paix intrieure.Ne pas faire effort non plus pour retenir les percep-
tions et les notions reues par une voie surnaturelle,sans quoi on s:expose se tromper,' tre vaniteux, se faire tromper par Je dmon, diminuer I"esp-rance, et affaiblir notre ide de Dieu.Ds que la connaissance est reue, quelle qu'en
soit la nature etla source, l'homme spirituel doit s'le-ver par un lan d'amour au-dessus de ces images dansune abngation absolue.Quant la volont, quatre passions la lient d'ordi-
naire : la joie, l'esprance, la douleur et la crainte;ce sont les quatre animaux d'zchiel.Il y a six sources de joie :10 Les biens temporels qu'il ne faut accepter que
pour le service de Dieu;2 Les biens naturels, les qualits physiques et mo-
rales qu'il ne faut employer que pour le servicedeDieu;3 Les sensibles procurs par les perceptions,
en les leyant vers Dieu.40 Les vertus morales qu'il faut exercer en vue de
Dieu, dans l'humilit;5 Les biens surnaturels, miraculeux, thaumatur-
giques, qui n'ont pas d'importance relle pour celuiqui les reoit;6 Les biens spirituels, mystiques, subjectifs, dans
l'usage desquels il faut par-dessus tout viter la jouis-sance propre j Dieu n'est li aucune forme.La mme analyse peut se rpter facilement pour
les trois autres passions.
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LA DOCTRINE DE SAINT lEAN DE LA CROIX 233
LA NUIT OBSCUR
Les sept principales imperfections des commen-ants sont: le dsir d'tre les premiers parmi lesnovices, lacupidit des dons de Dieu, lasensualisationdes impressions de la grce, le dpit impatient, larecherche passionne des douceurs, la jalousie et latideur..La nuit des sens se manifeste par une insipidit
dans les cratures et les choses divines; - par unsouvenir anxieux de Dieu; - par la scheresse, l'im-puissance mditer.Il suffit ici de se teair tranquille et de prier sans
cesse, mme sans lan.Viennent ensuite les tentations de toute intensit
qui se prsentent l'imagination: luxure, blasphmes,scrupules, etc.La nuit de l'esprit commence alors. Aprs des
alternatives de scheresses nouvelles etd'clairs d'illu-mination, la lumire agit; l'me se croit rejete cause qu'elle se voit telle qu'elle est; elle dfailledans une agonie de dsagrgation, de dnudement,d'impuissance agir: elle descend toute vivante enenfer. Aucun livre, aucun homme, ne peut l'aider;le remords, l'impossibilit de prier, de penser, l'ac-cablent plusieurs reprises, spars par quelquesclaircies.De tout cela jaillit un amour vhment; l'entende-
ment s'illumine; la scurit intrieure s'tablit; la
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'234 L'INITIATIO'Nsagesse seCrte se communique au-dessus e(en dehorsdu mental; l'me s'lve par dix degrs: la langueurdfaillante, la recherche du Bien-Aim, l'nergie, lasouffrance constante et patiente, l'impatience dvo-rante de Dieu, la course vers Lui, la hardiesse, labatitude intermittente, l'ignition, et l'union pOlt-mortem.Dans toute cette ascension, les vertus thologales
revtent l'Ame comme de trois tuniques; le dmon nepeut plus l'approcher. Aucune crature ne la voit, ellen'en regarde aucune, elle ne regarde que Dieu.
..LE CANTIQUE SPIRITUEL
Selon les commentateurs, cette uvre expose lesdegrs de la vie unitive.C'est une tendance fcheuse, laquelle obit et l'enseignement oral de!! sminaireset l'enseignement crit des asctiques, que de vouloir,de propos dlibr, partager en tranches nettes lesphases de l'volution mystique.Il n'est pas vrai que l'homme puisse quitterd'abord
la vie active, puis ne plus vivre que dans la contem-plation ; personne ne peut vivre sans agir physique-ment.Il n'est pas vrai que, dans la vie contemplative, le
disciple se purifie fond d'abord, s'illumine ensuite-compltement, et s'unifie enfin. Ces trois modes de lagrce ne sont pas successifs mais simultans; l'Espritne suit pas ceque l'homme appelle un enchanementlogique. L'union peut se produire sans iIIumination r
DiQitiZedbyGoogle
LA DOCTRINE DE SAINT JEAN DE LA CROIX 235avant mme que le disciple soit pur; et ainsi desuite. L'expos de la thologie mystique ne doit trecon!iidr que comme un systme; qui ralise uneseule parole de l'vangile, du fond du cur, celui-lest uni.Ceci bien entendu, continuons d'exposer la doctrine
de Jean de la Croix.(A sui"re.)
DI II1i, 'd by 1ec
AU PROORS DE L'HUMANIT
Puissant grand matre, notre retour de l'excursion oblige que nous avons faite dans les rgions deValence, d'Andalousie et du Portugal, nous trouvonsl'avis que le 8 mai dernier votre suprme Conseilnous a fait parvenir,. en mme temps que le gramme du Congrs spiritualiste. J'aurais voulu pouvoir assister ce Congrs et lui offrir le concours desnombreuses bonnes volonts, des adeptes espagnolsmais, il suffit de fixer lesyeux, mme superficiellement,sur la situation de la malheureuse Espagne pour sefaire une ide de la terreur et de l'abaissement danslesquels vivent aujourd'hui les Libraux Espagnolsqui sont obligs d'employer toute leur nergie sedfendre contre les ennemis de la lumire et du grs. En Espagne, aujourd'hui, on doit s'occuper dedmolir au lieu d'difier. Le Snat vient de voter uneloi qui nous met politiquement plus bas que laRussie, la Turquie ou le Maroc. Pour une simplednonciation anonyme, disant qu' tel endroit setient une runion de personnes qui conspirent, c'estla prison sans JURement.Si la Chambre des dputs adopte cette loi, c'est
l'exil pour tous ceux qui pourront s'expatrier.
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AU DE
prOI)ages en nous sommes nous font nos ennemis.
votre uvrecur et
nos sincrle5
ISIDORO
A ne se sont vus;rel,aticms avec eux, on est
...La
EXPLICATION A FOURNIR
libre cIe croire pu un vll1icule entre eux.
savants en
trsil Ya un peuvrage leDieu a
ut ais de se COltJla:inl':re
aplpar'alt nos sens, com-int1elligerlce et une
prllllCllle men-
LA PEINTURE SPIRITtiALISTEl' ....lri ..h. vaui1queur de l'otljectivit
vatranSf>OSler le exactement
le monde ser:lsit>le.des formes vont
:'
;
;'J'."f
la
it desl/lll let 16
"242 L'INITIATION
possibilits objectives d'dification, variables selon letemprament de l'artiste.La technique est la plasticit infinie et l'artiste la
transforme sans cesse et la soumet aux exigences de-de son Idal. Il faut carter de la technique ainsi-envisage, le mtier, qui n'est qu'une trituration de la matire, et la formule de ralisa-tion qui n'est que la facult routinire d'assujettir unIdal a une habilet sensible dj prouve. L'Art spi-ritualiste dont je viens de dire les lmentsconstitutifs-est celui o l'intelligence est complice de l'Idal et ola matire est oblige de reprsenter l'Ide. Alorsl'uvre brise tout, mtier, formules, lois, portant'toujours plus loin les possibilits de sa plastique.(A suipre.)
. RICHARD BURGSTRAL.
(198.)
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,l'1i'olution, il n'en est pasmltrquant le de
inconsciente rvolutionn'en est pas
serlsitlles et aussil'1rldi'vid.u suivant la
derniers stades du
sa fin ; nlllmrnoins,priode, l'.ndilvidlu est unique:me:nt
dicte sesmSltrieUles;, la loi de la lutte pour laDans cette dont
nairement n'obtient comme rsulUltUlIII.nUI, au de vue son que le
L'INITIATION
de sa volont..
dula Providence
collle(:th'it cette direction vers le mieux
aucun sthnulan:t,lui une directionment de sa volont. Jsus : malhe:un:ux les ncessits de la vieobliB4mt une tension continuelle
au d'relclppement
que nous nommons Cepcmdant la vol(l,ot, aigulillOlme
dv'eloppepeu peu et l"ndvducul.minallt de son VCllut:ion nQ'ati"eser ensuite au pn:m.ier:+ 1.commence leNous ne voulons nu:Uelllelrlt
l'hlldi'lI'idu ne soit
li sur son a.vc:aUI,soit inductive
connaissance
DE LA PHASE DE TRANSFORMATION
commence la voie bienqUielq.ueloi:s, non les nous con-traint de contre nous-mmes et contre au
contre la sans cesse rabaisser son niveau l'iradividlution mais surtoutd'lI,m,'rtllme. d'indiffrencele la vie viennent de la dl:en'te de certains ressorts secretsnotre tre et que tous ceux traversentcetteA
ter le matriel
sitt.de est
viennent se briser tous les dsirs-spiirituel de ceux ne se rendent pas exactement
des dallge:rs
L'INITIATION
nous avons ditmante de la colllec:tiv't
Pro,videnc:e. il s'e,xplrirrler en deux mots:SOLITUDE ET PRIRE
Prllvi,derlce. il se relie avec le die forces le rconfortent et le sotUienOlent dans ses oreu"es.Par la et l'initi verra
rir le rameau vert et peu tira ses morales se il cOlillp,reIldi'aalors est tout, matiresoumise et ne sert le et VU1'iiillU,l.l'ii1lfluenl:e du sur le ses
autres surson ilet remerciera
DE LA PHASE DB TRANSFORMATION 247
DE L'ARTICLE OccuJr/isme el sDlrri,tis:me
Juin, IgoS, n' 9, p. uS.
de l'au-
a retourner leLe cep de devait
avoir sa grappe perldante vers le sol et les deux et les deux devaient tre en
les trouve dans du
A Mon.ieur Henri Membrede rAcadlmie de, ,cience,.
MONSIBtlR ET lLLUSTIil.B MAfiRE,
contradiction pour ceuxgc)logiq[ue nous montre que laentre deux ternits de mort,
la consciente n'aLa n'est
c'est cet clair
Voulez..vous permettre un tras humble penseur,ne reconnaft d'autre culte que celui de la de 'VOUIsoumettre rflexions lui ont t pula conclusion de votre livre la Valeur de la,ci,nce.c En reS'l1me, CSlltes-vo'us. la seule ralit ce
sont les rapports des d'ob rsulte l'harmonie uni-verselle;'nTout ce n'est pas est
nous ne pouvons penser que de lamots dont nous pour"Vent que des ; dire.fue la c'est donc une afJ'iNl1alionde,en,.c Et cependlant
croientauvie n'est courtet que, dans cetdur et ne dureraclair au milieu d'une
est tout. 1IlIl me tout que votre affirmation:
c Tout ce n'est pas est le pur nant est encontradiction avec cette autre affirmation nanriste : c La
n'estVoici pOIJrquoi
SEULE RALIT
clair au milieu d'une nuit
que chez l'im-est, de sa nature,
les circon-
vous avez crit: Tout ce n'est pas.est le pur nant , vous avez bidemment
en elle-mme sans vous de sala mon sens, est un
dont il convient de rechercher la cause. Pour que la pen-'se se il faut ncessairement un penseur,dans ne peut tre que Certains savantsmatrialistes n'ont vu dans les intellectuels
scrtion du cerveau , mais je ne vous fais pasde supposer que telle soit votre Vous
reconnattrez lieu de que est legltlf'ate:urde la et votre affirma-tion doit tre modifie comme il suit: Tout ce n'estpas est le pur nIant.Cette modification "'irnn.",,..
mense des hommes latrs selon lesstances, les et les humeurs et desubit l'influence de l'ambiance tandis questable dans son essence.
au lieu d'crire: c Dire y a autre chose quela c'est une affirmation Ile peut avoir de sens ,il faut rectifier ainsi : c Dire y a autre chose que
etc. . Cette dernire dclaration est l'heureux etlumineux d'une autre, trs que jetrouve dans votre livre la .Science et
et est par M. de laFacult des Sciences de dans son livre la
; c'est celle-ci: c que soientles notions nouvelles que les nous donnerontsur le nous sommes stirs d'avance y auraquelqlue chose demeurera constant et que nous pour-\
l;
250
celled'huideconstituerents stades de l'volution de l'tre.
s'il a autre chose que se substituant lla chose demeure constante, nous pouvons
avecvos propresarriver formuler cet en COD-cordance absolue avec les de la sagessesnuque: Tout en apparence, toul est 4!:lIIlriali.t; la matire n'est fue le repltement passager d'u_
llOlue et se manijes/.e.
n,tr.l1r'e. S'il chose que refI-la ds se
substituer et vous voil en concor-dance avec M. Sabatier comme il suit: oC Unmatrialiste aussi et sincre que mal medisait un d'un air oC Je suis matrialisteparce que la a se a se mais l'es-
a ne se voit ni a ne se touche,,. N'est-ce pas lecontraire faudrait dire ? S'il Y a choseDOUS fuit et nous c'est la matire; mesure quenous voulons la entre nos et il n'enreste rien de de nommable. Mais ce semllnifeste, ce constate, ce reste et ne passe pas, cedont l'existence est certaine et il c'est
car el sont une mime chose. ,.Comme vous le voyez, monsieur et illustre
tes tout fait d'accord avec M. vous dclarez a autre chose que l ".U"-JLglrlh"at,';ce de la
que non seulement la est, de sanature, variable et comme je l'ai mais
constitue ou caractrise laen vertu de la loi du pnJl{res,tandis que
SEULE 1:'(E;/l.L1:TE.
:::>onR'ez.;v, monsieur et illustre n'est peut-tre pas o la science cette sublime
que vous avez et presque formule envous-mme; ce de la mentalithumaine sera transforme. la vieillematrialistes et des D'aura ni deraison d'tre; le terrain d'entente entre les hommes seratrouv. disant: c Tout ce n'est pasest le pur nant :., vous avez la salva-trice; vous avez cru, - dans un moment de m-1&IlICUIlI:. - faire une dclaration nantiste i en vousavez la haute vrit tout endemeurant l'homme de science admirable que vous tes.Reste l'incidente de votre conclusion: c Et
contradiction pour ceux croient au temps-gl:>logiqlue nous montre que la vie n'est
entre deux ternits de mort, et que, dansla consciente n'a dur et ne
moment. :t Le temps n'existe que pour lesvous le savez et je suis assur
faisant abstraction des ter-la claire notion de L'tergl:>logiclue - et je serais
heureux d'avoirvotre sentiment ce elle montre simple:me:Dt l'In""nrl>.. la mort terrestre, les lments
le corps se dissocient etlaboratoire de la nature.
principede III \'II:"se:Ule vie csode :t de terrestre, a anim le corps. son rev-tement passager, son instrument de mlmifestatioll,l'esprilt.essence lment ,table de notre
son avec son corps facteurimpOl:tarn de son des lments dans la
n'a il. la des l
L'JNITIATlON
ments organiques pour remplir, dans une nouvelle vie, surun plan suprieur un r61e analogue 1 celui que son corpsmatriel a jou pendant son sjour sur la terre. Darwinn'a envisag que l'volution physique dans les diversrgnes de la nature; il s'est arrt au point le plus intres-sant, celui oil l'volution cesle d'Itre physique pour delle-nir psychique, c'est-l-dire au moment oil l'tre devientconscient, entre en possession de son libre-arbitre quilui-mme est progressif. - Il convient ici d'observer quel'hypothse catholique d'uDe existence terrestre unique estinconciliable avec la loi d'volution, et consacre une mons-trueuse iniquit: L'ingalitprofonde- physique, intellec-tuelle, morale et sociale - entre des tres qui auraient uneorigine identique. L'volution, qui implique des incarna-tions antrieures, successives, simples tapes dans la lIietotale', explique, seule, et justifie cette ingalit.Tel est l'enseignement de toutes les ftrandes doctrines
orientales et occidentales, de tous les grands initis, savantset philosophes spiritualistes, sous l'gide desquels jeplace mon infime personnalit. J'ai l'honneur de vous prier,monsieur et illustre maltre, de vouloir, bien lucider lespoints obscurs que je me suis permis de vous signaler, etdont l'importance ne vous chappera pas, pour l'dificationde la mentalit de notre poque, qui, au point de vue de lacroyance se dbat dans les tnbres entre deux dogmesgalement exclusifs, excessifs et intransigeants, le dogmeromain et le dogme nantiste.Veuillez, monsieur et illustre mattre, excuser mon
importunit, et agrer l'expression de mes sentiments lesplus respectueux.
SPERO,Rdacteur l'Initiation, la Revue du Spirituali,me Moderne, La Paix univerlJelle, ete.
DiQitiZedbyGoogle
ORJl'HE ET EUlllYDIlCE
D'EURYDICE
G()ruiau,es {Liv. IV,
en
livret notre a auteur italien mC:OnlI1U, .......;...ullSmoderne n'a encore remis ce sujet
son Arlgollatlltik: J'ai la route tclbre\lSeplltlr dans les
l::p1.IUi>'C:, et me CODlalnt
unsuivre la mthodeet
UM la ntre.
comment certains auteurs ceet la la des1cen'te
F'alco,nnet:1arls ses Petits Pomesprimit:its, cetInslpHle crivain de l't;mJ:lire
vers le commencement de sasa femme de la morsure
un secret tenait descelle-l:l tant morte de
palals-t
pu
sur nos
,JI'!:,,,,,,,,,.. et du
nous sommes l(J,igI1s assez COltlsidl,ablernelltde ce rcit dans notre traRcUe.Aglaorlice pour Fnr'vtii,rop Diluvant
de,renir de BakkosOrphson
ORPHE ET LES ORPHIQUES
mourut de la morsureUA)'lUL, travers le
son amour.,t;dOUlUd ::'CltlUI, dans ses r;,",t'lItuf.Ifnous donne une autre velrsilln.
certes, fort maisretrouver dans aucun des auteurs an,ciens,toutes nos recherches. M. E. .;;ll\.llU,umais ses crits d'aucune note indicatrice nette, nousn'avons pu l'authenticit son rcit. La
de la mort M. estnanmoins assez et c'est lui que nousdevons l'ide de la mort mise lascne dans notre ou le par laLumire Voici la M. Schur :
pri!:tresse de Bal"kos, tant devenue amoureusede la de lal'entraner au culteFascine par les
L'INITIATION
AglaOlni
ORPHE ET LES ORPHIQUES
des sens, la pas;sion cllar:nel'le
ORPHE AUX ENFERS
?
,oiseaux et d'un
2'58 L'INlTIATlON
Le mme Pa.lJ.Sanias dit: Lanie de
marais Acbrusien dont il estest u.ne rivire; on 'Y
est d'un
'BlieSlpra'tie a aussi ses mE:tvleiJJles.. , l"l.uun:::s00 voit le
tant ettrouve aussi dsagrable; il y a de visit tous ces lieux et que c'est cedonn l'ide d'en faire a fait lacription des o il a coullV noms de cesrivires.
et "S'tant ftatt le il vint il derrire il fut de ne pas la vOT etde il se tua lui-mme,
que la ? C':est une contre de
i,
allllierlt dooc tous
PllstarqlJe dans sa vie
ment 'l.njiJu..... ililClJll'lsolable dela mort de son voulut 'SQ'ft me.
;t,reuvait un un antre o l'onmorts. et,
d'autres auteurs
la fille (l'A.IOOnellls, sa femme le nom de
et sa fiUe celui de et avaitson chien Kerbl'e... ,.
com-ment invenll la lg;encle et PirithOOs
aUreDt chezlt comment se cr6i
ORPHE ET LES ORPHIQUES
les Thse (1), Piri-thos et furent tre descendus auxEnfers en se j'endant dans .cette contre de
SCllUr:, dams ses Grands ne taitpas descendfle mais daDs l'antre,de
sorte clbre situe .QOlIl:ioinde Lebade en Botie o se trouvait un dans
ceux dsiraient consulter l'oracle ou -vo-quer une morte Y WI)C1llaj't-on rellement les morts ou supposer, comme
avait l quel::1l1nl"l'1"hl"ri,1" et mercantilisme des ?.. Nous
notre il y avait dans ces aflirnrlatiorlSun peu de et d'erreur; la Salette etLourdes en sont, de nos des
dsirant n'allait pas besoin de se rendre dans
un sanctuaire vocatoire commun aux Sascience et en lui fournissait nom-bre moyens pour arriver ce but: con-l>1,;11:uL.c:,le sommeil ou sortie en corpsre,'oc.aticm pure et sur Je enfin suivant le rite
pure et que nous noussommes arrts dans notre mais en la ren-.dant vivante et au.concours de la surPh()jb;ls-A,pollon et mdiium
L'INITIATION
lasommeil hYlpn()-mldiaQ.imiqtleson de sane tarde pas la
dium ou mue un lme:ntl f;"".........mon tude la recherche de ce
MORT D'ORPHE
Les se .."r'nr... la mort d'()rrlh'f'nombreuses. Pausanias ch.
On dit que les de lui desle de ce que leurs
maris les suivre, La crainteretint ces durant s'tant elles s'enhardirent et excutrent leurmauvais dessein... Suivant une autre
fut tu d'un coup de et ce fut une pu-nition dieux parce des pro-fanes les mv'stresles secrets. Thraces disentque les ont leurs nids aux environs du
chantent avec de etautres. Mais les
du montleur pays
on trouve unemal'bre o les
ET LES ORPHIQUES
du pays assurent que a261
les cendres
ma.nul.crit, dclare nn'I[)rn,hl'!donne pour
assez
Ma.cdloirle prouveson : Icicras par la Les Musesl'erlse:lJel;ir et renfermrent sa
le monument ""'..11,,,,,de
Laerte etc, p. 2) niu'hurele mme avis: commune est que les Bac-chantes le dchirrent mais sonvoit Dion enparde Thracef1ri"re11t soin de
mort
les ens;eigoeIltlents il1liti2ltiques
de les mettre la veu-lent un peu tudier. genstaxaient et taxent encore ces irlOC)Va.tellrs.de des
renare: compte si la de
L'INITIATION
le bien Rn'",,, .... que l'on
rvle ainsi ne compense pas,l'accusation de
contre eux.Du reste VI:IPUt;c:; rvla
le sens que nous dOlnn()DS auiourd'll1uiIl les revtit d'une parure, d'un
pOlticlue encore que ne l'avait fait ledes ne pasdil10iler mais bien voiler de noU1l'tau : Re-pe/are.
notre ne mourut pas
l'opini()O la mort par 'les ne-
lui pas d'avoir arrach lenr culte de'tnbres et de mort la de la Thracel'a
ORPHE ET LES. ORPHIQUES 263DiU!):>, lesprtres:ses de
les premi:res compagnes du Bakkos thbainson eXJlditicm Indes o il tranaiLsasuite: pans, etc..Plus tard les femmes furent admises c!brer
de Bakkos d'eHes le. nom de Bac-
mots de ces pr:tresses.
ontdona
ou H\rad.es.etc., mais chacune de ces
tait une contre.Les Bacchantes \Da''''x,"'''J
tresses de lors de son toute femme se livrant aux la
ba.:ch:iqllles propres aux de ce dieu.PlLltal:que, dans sa vie {. 3, IWWI
aplpre:nd que l' On dit que toutes les femmes de. endroits et som tresaisies des Bacchan-tes aux que de l on les i.1PII./C111:::
Mimallones etchoses celle que f.ontniennes et Thraciennes autour du montHmos. Il semble mm.e que de: ce que font cesThraciennes on a tic le
pour dire: se livrer d;un.e manire etsUflen,titieu!,e au culte des dieux. Or (1.)
.chantes.Les auteurs grecs et
indiffremment le nom de Bal::ch.an:tes, MjltnaJllolles,
fi) Mere d'AiJexandre le gran,d.
L'INITIATION
disent
Macd,oil1le (
ORPHE ET LES ORPHIQUES
et s'tre
V"-'I1"", paya de sa vie lade ce culte nouveau,
Bacchantes et la
dans Antigcme
l1rltn:>dIJis:it dans sanous d'une avoir franchi
im;plant en Thrace eten le culte de passa Thbes o il fut trs mal accueilllipar le roi de cette vit dans ses ritesun lment de trouble et
uvuv"" sous mille noms... hros des au sein de Demeter 1 0 quenous ne pouvons donner ici. A Thbes les ferventesdu de Bakkos le nom de et de
.. Je runirai mes MallOlldes, marchant leur ttecomme un tait dire t:uripide sonsos ; et loin.
WI1:11
Jr
266
?
L'INITIATION
m:ythiqu1es de cemont Parnasse o tous les ans, suivant
bac:dlllDales. C'taie.tltl
1U'''UJ''': 50-du en mars.
cOlJlstellation vo,'alt-oD en effet mo.nter l'ho-avant le dtl
(1) 1 Sens syo1boliqlleSur le plan ph]rsiq[ue.
l
l(
PARTIE LITTRAIRE
A lm F.. du Oraoo-orient
Le Gt-and tra'l'llil de. \Dtelli-ieuces et le but de -.. leu...dom. c:..t die devenir Dieu.
EUPHAS L&vl.
Frre, comme toi, j'aime et la Vrit SainteEt le DrQit de parler librement, sans billon,Ainsi que toi je hais l'homme dQ. goupillonQui veut emmurer l'me en sa mesquine enceinte.
J'aime la Libert, radieux papillonQui va sans nul obstacle et sans nulle contrainteDe la cleste fleur au terrestre sillon, hais tout ce qui, pour l'esprit, est treinte.!
Mais. mon rve est plus haut et plus beau que le tienConscient de mon but, je brise tout lienEn. de de. la \lie et par dell la tombe :
Car je veux l'infini, l mme o tout succom.beA tes yeux, 0 mon frre, et je dresse en les lieuxO l'Hornme-Dieu. rignait l'autel des Hommes-mel1x 1
COMBES Uo/4' D\ ". S.'.
DiQitiZedbyGoogle
E.H."""""". 9, r. des Beaux-
45.6. Mercredi.
Arts. DACE.7, Jeudi. - Mdecine hel'ml:tiq,ue,8. Vendredi.9. Samedi. L.. Mart.. 13, rue
PH,UII!;O.
1. Vendredi.2. Samedi.3. Dimanche. - Le cours du DOCTEUR ROUZIII:R est sus-
inmUlliill.sa raison d'tre. LeNos actions et leuret Providence.15. Vendredi.16. Samedi. - Cours TRDKR. La
Suite de sonsommaire des travaux successifs des mE:meUirs au-
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NOTA. - Les Cours denues Martinistes ont lieudemie du soir.Pour tout concerne l'Ecole He'rmtiqu.e,les Con-
et el Le Cicrone
37,Occulte de Hans M. PaulParis.
L'"lNITIATfCtl
de ;,S'adrtB#i!rrae de
Des cours d'un intrt tout et recom-mandons vivement nos lecteurs, vont C'","",,.;,. in
271LA PRESSION DE LA LUMIRELa fin de l'article est surtout intressante
car elle fait allusion aux moteurs fluide .... _ .. ,- Im7el1lt: par le comte de Trl:>melhl,
qu,cstiion dans l'Initiation.",'",,,,,,,,11.. la science ou moins officielle peu
d'entrer dan'S sentiers par les occultistes.
intrin-laest
S'ensuitm,canJqtle se
laDansverrous,
mtinire, soutient unelacluelfle fte serait autre chose
vomie in ternltm travers "-,-_ .. -incandescents.
On ne la voit plHi, cette matire radilmte traverser lescar d'une part, les astres la distillent l'tat obscur
et et,: d'autre elle est extrmement :ral"enee,d'une finesse et d'une telles auxinstruments raffins. Mais .elle se au contact desobstacles. C'est son ,choc, par exc!1TII,le, contre les -p12lDtes
rend celles-ci de la mmedes en nuages X''',..",_"
dt:s rcifs sous-marins.pres,que insignifiant, le
dgage, C()rrllspl:md auvitesse.
ins,igrlinl!mte, si la masse -est fOI'I"I'lidalble presse du marteau-
n"'i",,,,,,t,,, en revanche. que la massem't si laviteHe-est norme- comme danscas de radiante?La rounion de 18 Terre ,des autres l'le
molc'ulaiire, fouaillant per'pl,ueilleroerit lail. tourner sur soncomme le sabot quefouet.La Terre d'autres termes, non pas en
vertu de la ressort mais sous la extrieure et du souffle matriel du
de la mme que tournerait une turbine dontseraient par un courant d'air ou un...
1
(1
Bartoli crut nl'>nv,I'lirrayonnantes
et il. l'lectricit. Ce devait
oi:! celui-ciLeoe
LA PRESSION DE LA LUMIRE
l'action des rayons lumineux et en mesurant son
difficults d'observations de ce genre sont infinieset 1'00 ne saurait les vaincre la condition mettreautant de Lebedew cepen-dant avoir russi franchir et les tourner avec assezde que les mesures obtenues, non seule-ment par mais par ceux ont ses recherchesen sous-uvre, centimesavec le calcul. ...Il est donc
lumineuse esc:ol1i1plteC'est mme cette prE!ssiion
l'orientation de la queue des cOlnltes,sur une loo2U1eur
une din:ctic)D diam,tralerrlent opp.ose
vide ayantd'un cornpllftLme:nt
dirigellierlt sur elle un expl"irrlenltal:eurs constatrent que les
semblaient souffls dehors commetivement, lumire les C'tait lout pecl d'une queue deFaut-il en cor.icltlre,
la lumiren'ose
L'INITIATION
pre!lsiollS ?
Ire carr. '-'''l'I::.llI'''l.Ill,et l'on 1'I>'''M'oi.. la surface '''''l'P'''I::,boulettes jUJI:talJoses
radiationseer, le cas eClleaUl,
il se menait
.... ..
c Prenez un taill une feuille de par ou unecarte de visite. en forme d'auvent ou de V,de et librementnr creisez deux mains l'extrmit des
de la main sans y toucher, paume de la de conque ainsi
enfermez le en prenant soinait pas contact. le va se
mettre ti,lurner ou moins sur IUI,-m.elTledans un seDS Si 'fOU:S la di!lpo.sitiol1des le mouvement s'arrte un instant, pourillico... la direction contraire, absolument comme
vole r
LES CONriUNCES A NANCY
de la peau un souffle assez fort pour exer-pn:ssilon sur Sil. surface.
Impossible de songer un courant d'air: ilprcatltlo!DDU en il
s'ouvre , pTl)ximit,pour
donc une autretbrce nfest pas nond'une aHumette eniJanlmleaucun rsultat.
AI()Utez, pour le que cette sin-d'attraction en non pas
d'individu if individu, mais encore, chez leavec une foule de circonstances mal dd:r,..souvent, d'une main au
tourne, suffit pour rMentir le ou, ce est
.l la Socit.' d'Btndel '&J'8b1qDilll.
ne l'est une assistance trs
d'une: connue. On.....diteurs veaus de loiD_. COnt-
L.e docteur communment sousla bref a donl' la So-cit le hall de la Bol.ulIeu commerce? sa li:Qlo1retlCe sur la et les scieJlt:uQCcuU.e&Ce
L'INITIATION
mencer par les Annamites suivent si assidOen ce moment, le mouvement sciientifilq'llie et intel-nancien.
Ils ont dft tre, du reste, aJl:lrable:mlmt car ende la et des a t amen tout
naturellement des dont il a fait un
.III
connuecornpite en tait
L'initiation, ledans la science anuque"IU'IU\dans en Elleles mais avec la rellgll::m,relilgieulx d'alors cOIlve:rge,a.ntReligj:on et science ne ; aussi ne PO'uvlliel:tt-elles entrer en lutte. Il est remarquer, en
tOllioulfS les guerres religieuse:s.et furent de
des initis des sanctuairesinitis de le secret mise
mais, s'ils ne le rvlaientincidemment traces. retrouve
celles-ci dans L'vocation dudevin Tirsias nous une vritable
une aimable allocution de M. le docteur Haas, lecOlnfrerlciler entre dans son avec l'aisance
dis:tin:gue, et en fleurit si \galmnlleru "on"",,,ent:enl:lu, nous nous bornerons esq[uis,ser les gra,nd,esde sa confrence.
....",Of.''" que la ?C'est l'tude de laforce magique.la force mll:giclue ? C'est un
la force avec cette diffrenl:elieu mise en action le contact des choses mat-rielles, elle a pour les fluides queles tres vivants.La dont on a fait une slliper'stiitioln, est donc une
sciences'estsous cetterserve aux
MOUVEMENT 277les magesslections
oaires la cr
L'lllUTIATION
.LaNoupelJeM. Vauchez, fait 1er un numro
qu,otic:lielrl, wr GteIe
consac.r aux
le 6 dc:embre, audes phnonlln1es
succs.ArsOJ]vsll acolDlllUIqlll . l'Ac.ad.mJe des Scence6
une note duph'oto,grllphltes de 'Cesobrenues directement 'par Je com-
sur son front, .sous enve-lmlpriln, apl)lqul$ sur le
l'fl'yp:nottmle suivie
811 la Viesous la direction de Donato. En ses
il des tudes inditesFabius de ChampviUe,
en sa
I.e docteur MOIlItin a dODD ,dernirel:l'lal't au 'GrandOrient de Franoe une confrences -sur leI> .P.6nomnew :avec dmonstrations
trs
un 'Cenh'e d'EtlUhsla
direction 'Car-
D'hairm'l. en
A 'Klo..ae-Jarlelf1o,
sciences 4oso et Quadi'os.A San Paulo, la revue mensuelle 0 sous
)III
SOCIT MAGNTIIQUIE DE FRANCE
l'habile direction de
HENRI DURVILLE fils.
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rue Pari&-IV".
DERNIERS TR&.n:ux DE LA rTl"".'I'. dans le ,but de vDI-
a, en dehors"''''''lAV''''', Ofl'lGll1ire ,des les 1.... et
hel1re:.,et demie du soir.exl,ra'l"OIlli des confrences ce que nous
intresser nos lecteurs.
'ElI:PfmfJI'rIINTATION llU.GNTIQUE
DurviUe tudia
L'INITIATION
constate lesEtat sOlnn;ambulliqtle
crites par M. dans sa mSlgn.tiqu1e,en observons deux nouvelles. Nous trouvons dans1" ; :II" somnolence3 les yeux phllsedcollverte ftsente soit en endormant ou rveillant avant lalucidit sans le secours des yeux. le
entend son mais ne peut lui il est mais moins quecdemment; SU lucidit sans le concoursconnue de tous; 6 au contact; distance 8" extase; g" contracture gnlralle.Au del la nous trouvons l'Elttrio:rislltiClQ
du Fantme des Vi"ants, Puis quelques ma.gn1tis,eurs sesuccdrent sans obtenir de rsultatsJe revis il a trois mois enVlnl.ln. que
son sommeil tait modifi. som-namb,uliqu,e, le un tat mal dfini dans
pressentais l'tatun tat
Nous avec Mme une sriede sances dans le de les diffrents tatsdcrits par le colonel de Rochas et Durville dans leursrerna:rqtlabiles travaux. J'obtins ainsi tous les tats classi-
c8Jractrist'iq\;leS de chacun d'eux; leseSJ>r,Qm:es; non seulement nous
clltaleptique, somnambuli-
SOCIT MA;(}Nrrl(2UE DE FRANCE
de la Sensibilit telle est dcrite par le colonel der\o,cnas, ensuite le ddoublement tudi en ce moment parM. Durville.Avant de vous pr:sertter
cela pour aux objjecl:iortsaucun ('as nous n'avons emlpll)y
la mthode a t celle ens,eigne: la Polarit.
Ensuite M. Girod a ses ont trsvivement intress
PHOTOGRAPHIE DE LA PENSS
Sion met une20U 3
rel>ro,dulisC)Ds de cette confrence la con de la mthode.
f1uidiqu.es. a dit le s'obtiennentdans le bain rvlateur. On peut
de et de rvlateurs,-La
lablement noir est mise sur leou la nuque, d'un ousur le cur ou une du Laainsi est une et mme en vaquant ses affaires. On peut aussi
en tendant les vers la surface glatilnela chambre noire, La maintenue par
peut tre 1 front pend:llnlminutes. L'obtention des photclRr:llpllies
' la
A la sance du'3 dl:enlbre. M, le commandanta fait une confrence sur la de lade la du Sentiment et du vital des
minraux devant un trs nom-
>....
282
de main sur Ja gmaulll: pen,dallt 1:0 15 mil!1Ulles.,on QU moinsde forme et teintes.En des effluvesd'une des marbrures.Des sla gJatllle
l1lII'a:l des
avec un an:l'lat'Pll nhatfIU,"a-ph!otc'gnaplles brisent souvent
a des taches; or, dansmll:rqliles ne sont que des effluves de
AglulIBLllll, Pu.isslllnt mdium dedes il volont et cou\'ml1t
comme voile le docteur A. pell'1dllDt que te tirais leur tous les dwJ:.
Il a montr laont un tolrmemCllt S'Cllenlil.
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sur la dela et du Nouvelledition et la Librai-rie du Paris.La prelmire
matire el le sur laet du sur les tudesrl)OllSe aux enfin trois
notules sur des articles au Hasard que Poin-de Montes.sus .et le DlJltee .ont fait en
lI.vQl.1s.commen par IAne tude ph,ysiolclgi1lue dit l'auteur dll.l.1s sa et
physiolc>gi:ste:s, .nous avons mis la thorie de l'hir/idil0ppo;SiUOIJ li tb.orie de la survivance de l'indivi-
Nous avons montr chacune.de oeil deuxayant un nombre
toute conclusion restait en suspeusavons ensuite considr le DlllgClti:SlIle
dit et avons vu q.ue ce dOI:naJme,le lei deux adversaires ont
lement .chac.u.n un .nombre leurEnfin .nous avons abord les hallu.cinaroil:es,et dans cer.tains faits d.e
de caractre !I0US a de
L'INITIATION
l'existence d'une ralit vivante appartenant l'Invisible.Du mme coup, est dans les dis,cussions,la conclusion se en faveur de survivance, Mais leslois de la doivent tre et lation s'est on devait entre les lois de la
et la thorie de la Survi'van,ce.cale ou seulement une d'OI)Pl)sillOltl.
la lettre du docteur
*..COMTE DE - Le Fluide humain. Lois et
La Science de mouJloir la mati!re sansmdium. Nombreux nouveaux permettant defaire tourner de et gros moteurs, au moyen dufluide humain et sans contact, moteurs mus avec lesfluides manant des mains et du en se mettant en
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Paris
et ydu maigntisnlCde nombreux
enfantine, tournent
la
Le Fuide humain existe-tiI ou bien tait-ceun des anciens et des affirmaientl'in,fluem:e de desLe comte de Tromelin
une solution dfinitive.s''chalppant des mains et
tous d'une sirnplicitd'une mllnire continue. Ontrs facilementune boited'autresmains to,lchent
LIBRAIRIE DU MAGNTISME 285d'actionner. La delicriiption de tous ces moteurs est trs doutent encore de
d'une force humain arri-veront se convaincre Ce travail cornpllte
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du docteur constitue la seuletude d'ensemble permet au d'tudier mthodi-quement l'action des radiations humaines.
c: A mon ces constituentselon les et les auteurs
les deneuriqll1e on ectE!mque. essentiellement PrllticlUe est surtout remar-
descrilpticmde treSa.... ...aThore et les moteurs tluidel'on peut construire avec
et peu sans Dur-
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Le Droit au bonheur, par Mme MAGDEL.lUNE avecune du docteur Librairiecher, rue de Paris... "
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au beau pays asiati,qu,e, et nous ne pensons mieuxque de le l'attention
de nos chers lecteurs.
1;
MmeGeorges H.internationale
ORDRE l'4ARTINISTE
femme du rvrend(Ci.ndnmlt), une clbrit
et les tudes
L'INITIATION
cette qui l:onltientminents dans contres.Mme Peeke tait aussi un des
la Rvlation des Bahi , reliigiclnderniers a fait deMme est ne le avril et a demeur ici
dant nombre d'annes. Elle laisse un le rvrE:nd H. et un Hewson L. avocat bienconnu et E.C. Burdich
o elle demeuraitbien inattendue. Leil sera incinrcredi pourCillcinnati.lement en Ant1riqtlefesseur d'occulte.
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mentllPIlLLIlTTJ!R. - L'Hypnotiseur PT.UIque.SAINT':YvI!8 O'ALVBlIDII.B. - sur la tradillon eaballsl1que,
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VAN OIlBIlMIUI. - Petit catchisme de Rforme alimentaire.au Congrs IlpiritualillU! de
A 80 oentimelllAL8ll:I1.T (d'Angers). - Le Magnllltisme curallf devant l'EgUlle.
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