48ème congrès de la Société

Française de Stomatologie

et Chirurgie Maxillo-Faciale

!INSTRUCTIONS POUR LA SOUMISSION D’UN ABSTRACT

Le 48ème congrès de la Société Française de Stomatologie et Chirurgie maxillo-Faciale aura lieu du jeudi 27 au samedi 29 septembre 2012 au Palais des Congrès à Versailles. Le thème du congrès choisi est la chirurgie pré-implantaire et l’implantologie. Vous pouvez communiquer sur ce thème mais également sur tous les thèmes des chapitres de la Société Française de Stomatologie et Chirurgie maxillo-Faciale dont la liste est accessible sur le site : http://www.sfscmf.fr. Attention, il est préférable de contacter le responsable du chapitre au préalable, certaines thématiques ne seront présentes que sous forme de posters. Vous pouvez adresser les résumés des présentations scientifiques que vous souhaitez faire à cette réunion, exclusivement par email à l’adresse suivante : lbenslama@noos.fr Nous vous recommandons de lire attentivement toutes les instructions ci-dessous avant de préparer votre résumé. Si vous rencontrez des problèmes lors de votre soumission ou si vous avez des questions, n’hésitez à contacter Maryse Curot, secrétaire de la société, 06 81 83 38 37 ou par email contact@sfscmf.fr CARACTERISTIQUES TECHNIQUES

- Votre texte doit être impérativement au format Word de Microsoft. - La police de caractères doit être Times ou Times New Roman. La taille (corps) doit être 12 pt.

Utilisez un alignement justifié, avec une marge de 3 cm à gauche et à droite. Les pages doivent être numérotées.

- Il est souhaitable que l’interlignage soit double. - Le titre de votre soumission doit être concis et informatif. - Indiquez le nom et l’initiale du ou des prénoms de chaque auteur (6 auteurs maximum), le nom et

l’adresse professionnelle complète de chaque auteur (service, hôpital, n° et rue, code postal et ville).

- Ni le titre, ni les auteurs ne doivent être rentrés en majuscules. - Indiquez par un astérisque (*) l’auteur correspondant. - Indiquez l’adresse email de l’auteur correspondant et son numéro de téléphone. - Votre résumé doit être structuré (voir plus loin). Il ne doit pas comporter plus de 250 mots (titre

et auteurs non inclus). Pour vérifier le nombre de mots de votre résumé, allez dans le menu Outils > Statistiques.

- Deux à quatre mots clés (keywords) au maximum (voir plus loin) doivent figurer à la suite du résumé.

A la suite de votre soumission, vous recevrez un email pour confirmer que votre abstract a été correctement soumis. Il comportera un numéro de soumission. L’auteur d’un abstract peut être sollicité par le Comité de Rédaction de la Revue de Stomatologie et Chirurgie Maxillo-Faciale pour la publication d’un article. Le Comité Scientifique se réserve le droit de refuser les résumés qui ne satisferaient pas aux critères de forme.

Etant données les contraintes horaires du 46ème congrès de la Société Française de Stomatologie et Chirurgie Maxillo-Faciale, un certain nombre de communications ne sera pas sélectionné mais pourra être retenu pour les autres réunions de la Société. MODE DE PRESENTATION - Vous devez choisir obligatoirement entre les 2 modes de présentation possibles : communication orale (7mn ou 10 mn) ou poster - Les résumés des travaux sélectionnés seront reproduits dans le CD-Rom du congrès et sur le site internet de la Société Française de Stomatologie et Chirurgie Maxillo-Faciale (http://www.sfscmf.fr). RESUME Les abstracts peuvent porter sur des travaux originaux, des mises au point et revues générales, des notes techniques, des cas cliniques originaux, des analyses et opinions personnelles. Le résumé des travaux originaux doit être structuré en introduction, matériel et méthode, résultats, discussion. Il n’y a pas de conclusion. Pour mémoire, un article original pose une question, décrit les moyens utilisés pour y répondre, donne les résultats et les discute. La discussion ne doit porter que sur la question posée. Le résumé des cas cliniques doit être structuré en introduction, observation, discussion. Il n’y a pas de conclusion. L’observation doit être rédigée au passé. Il ne s’agit pas de rapporter le énième cas d’une pathologie mais de ne rapporter que celles qui sont originales ou exceptionnelles. Un résumé non structuré de travaux originaux ou de cas cliniques originaux pourra entrainer un rejet de la soumission. Une mise au point diffère d’une revue générale qui est plus exhaustive, incluant les aspects historiques. Il ne s’agit pas non plus d’un texte didactique dont le but est d’enseigner les lecteurs. Il s’agit de faire le point sur un sujet limité à partir de publications des dernières années et de l’expérience personnelle des auteurs. La différence entre ces deux sources d’information doit apparaître clairement. Il s’agit de permettre aux lecteurs de clarifier leurs idées sur le sujet. Dès l’introduction, vous devez expliquer ce qui justifie cette mise au point. Une mise au point est un exercice de synthèse. Dans le corps du résumé comme dans votre propos, vous devez éviter la simple juxtaposition de résultats contradictoires : nous attendons une explication des contradictions, votre opinion personnelle et des suggestions pour résoudre les points controversés. MOTS CLES Les mots clés doivent figurer dans la liste officielle bilingue du MESH publiée par l’INSERM et accessible via internet : http://www. Inserm.fr/fr/outils_recherche/list/mesh/index.html. Les mots clés sont fournis en anglais et en français. ABREVIATION ET UNITES Les abréviations sont à éviter. Ne les utiliser que pour des mots cités au moins cinq fois dans le texte, pour les noms chimiques ou les associations thérapeutiques longues, pour les tests diagnostiques plus connus sous leur abréviation. Les unités sont à utiliser et à présenter selon les recommandations internationales. Le nom générique du médicament est utilisé en premier, suivi du nom commercial entre parenthèses, accompagné du symbole ®. IMAGES Vous avez la possibilité de joindre 1 ou 2 fichiers images à votre abstract de soumission. Les images serviront, si votre présentation est sélectionnée, à illustrer le CD-Rom et les résumés publiés sur le site internet de la Société Française de Stomatologie et Chirurgie Maxillo-Faciale Les images sont à joindre en fichier attaché, au format JPEG UNIQUEMENT. Vous ne devez pas les inclure dans le texte. Nous vous rappelons que si vous soumettez des photos, c elles-ci doivent être libres de droit. TABLEAUX

Il n’est pas possible d’intégrer des tableaux dans le corps (texte) des abstracts. Si des tableaux doivent être impérativement soumis, ils peuvent l’être sous forme d’images (voir rubrique précédente). REFERENCES 2 ou 3 références sont acceptées dans les abstracts. Elles font partie des 250 mots au maximum du résumé. Chaque référence est citée dans le texte par un numéro. Elles sont classées selon leur ordre d’apparition dans le texte. Chaque référence est rédigée conformément aux recommandations des revues scientifiques, comme elles apparaissent dans PubMed. La référence d’un article comporte le nom de chaque auteur suivi des initiales de son (ses) prénom(s) – au delà de six auteurs rajouter « et al. », le titre de l’article dans sa langue originale, le nom de la revue (abrégé selon l’index medicus), l’année de parution suivie du caractère « ; » -sans espace- le tome suivi du caractère « : » -sans espace-, la première et la dernière page séparées par le caractère «-». Exemple de référence correcte : Jeblaoui Y, Morand B, Brix M, Lebeau J, Bettega G. Complications de la distraction chez les patients porteurs de fentes labio-maxillopalatines. Rev Stomatol Chir Maxillofac. 2008;109:218-24, discussion 224-5. Ni le mois de parution, ni la tomaison ne doivent être présents. Pour un livre : auteur(s) (nom et initiale du prénom). Titre du livre, ville, le nom de l’éditeur, l’année de l’édition et le numéro de la page de début et de fin de la section traitant du sujet. Les références de thèses, de résumés de congrès ou de présentation orale sont interdites. Toutes références incorrectes ou qui ne seront pas aux normes demandées ou bien encore qui seront mal libellées ou encore incomplètes seront automatiquement supprimées sans être corrigées. VALIDITE Nous vous rappelons que l’auteur s’engage à ce que l’abstract, une fois accepté, soit présenté (que ce soit sous forme orale ou poster) et qu’il ne sera plus possible, une fois cet abstract accepté, de le retirer ou de demander sa suppression. CONFIDENTIALITÉ Le comité scientifique, le comité d'organisation, la société d'édition, ainsi que toute personne morale ou physique ayant accès aux abstracts soumis avant leur publication s’engagent à ne divulguer ou échanger aucune information contenue dans les résumés soumis avec un tiers avant la publication officielle des abstracts. DATE LIMITE Les résumés devront impérativement être soumis par voie électronique avant le SAMEDI 31 MARS 2012 à minuit. Attention, aucune soumission par courrier, fax ou e-mail ne sera acceptée. EXEMPLE D’ABSTRACT DE TRAVAUX ORIGINAUX (prix de la Rédaction de la Revue de Stomatologie et Chirurgie maxillo-Faciale de l’année 2009) B37 Complications de la distraction chez les patients porteurs de fentes labio-maxillopalatines Y. Jeblaoui*, B. Morand, M. Brix, J. Lebeau, G. Bettega Service de chirurgie maxillofaciale, hôpital A.-Michallon, BP 217, 38043 Grenoble cedex 09, France *Auteur correspondant : jeblaouiyassine@yahoo.fr 00 33 6 50 95 15 14

Introduction : Les patients porteurs de fente labio-maxillopalatine (FLMP) présentent souvent une classe III par hypoplasie maxillaire tridimensionnelle. Vingt-cinq à 60 % de ces patients nécessitent une avancée maxillaire. Deux solutions sont possibles : la chirurgie orthognatique et la distraction maxillaire. Le but de ce travail était d’évaluer les complications de la distraction maxillaire sur ce terrain. Matériels et méthodes : Nous avons revu le dossier des patients porteurs de FLMP opérés, entre 2000 et 2007, par distraction maxillaire. Parmi les huit patients (quatre garçons et quatre filles), cinq présentaient une FLMP bilatérale, deux une FLMP unilatérale et un une fente labiomaxillaire unilatérale associée à une division palatine. La moyenne d’âge lors de l’intervention était de 17 ans. Tous ont eu une ostéotomie de Le Fort I avec disjonction ptérygomaxillaire. Les deux premiers patients ont été équipés de distracteurs externes, les six suivants de distracteurs internes. Après une latence moyenne de sept jours, l’activation a été menée au rythme de 1mm par jour en deux fois. La période de consolidation a été de quatre mois en moyenne. L’avancée maxillaire moyenne a été de 12,6mm (de 7 à 19mm). Le suivi moyen a été de quatre ans avec des extrêmes de six mois à huit ans. Résultats : Sept patients ont présenté des complications. Il s’agissait d’une hémorragie peropératoire, de l’avulsion d’une 37 fixée à la ptérygoïde lors de l’ostéotomie, de trois blocages du distracteur, de deux cas de douleurs importantes lors de l’activation, d’une désolidarisation de l’arc de contention d’un système externe, de deux cas d’ulcérations labiales supérieures par les tiges du distracteur et d’un cas de sinusite maxillaire à répétition par migration de la 18.

Discussion : Les complications lors de la distraction maxillaire des séquelles de FLMP sont très fréquentes. La plupart sont liées au matériel et n’obèrent pas le résultat final. Mais cette fréquence doit être prise en compte dans l’indication et dans le choix du distracteur. Deux types de complications peuvent survenir lors d’une distraction : celles liées à l’ostéotomie et celles liées au matériel. Les complications liées à l’ostéotomie sont en rapport avec le terrain cicatriciel des FLMP. Elles ne sont pas vraiment spécifiques de la distraction. Nous avons surtout géré des complications liées au matériel. Le bénéfice social des distracteurs internes est indéniable, mais la conception de certains modèles doit être revue pour en améliorer la tolérance. Keywords : Cleft palate, Cleft lip, Osteogenesis distraction, Osteotomy Le Fort, Complications

Mots clés : Fente palatine, Fente labiale, Distraction osseuse, Ostéotomie de Le Fort, Complications