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In er-Média Le magasine qui répond à toutes vos questions vacances

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Le magasine qui répond à toutes vos questions vacances

Chaque année, 45% des familles vont en vacances dans des pays étrangers pour créer des mémoires, prendre des risques, etc... Notre magazine vous offre les réponses à vos questions voyage pour que vous puissiez apprécier vos vacances sans vous inquiéter. Le décalage horaire, la santé, les activités sans dangers et le mal de transport sont des problèmes auxquels vous aurez solutions. Nous offrons aussi quelques jeux et horoscope pour vous ou vos enfants lors du voyage aérien. Merci et bon voyage!

Éditoriale

INDEX

➔ Décalage horaire p.4

➔ Une santé compromise à l’étranger p.8

➔ Difficultés d’adaptation entre cultures p.12

➔ La formation d’un paradis sur terre p.16

➔ Le mal de transport expliqué p.20

➔ Sous l’eau sans bobos? p.24

➔ Les effets de l’espace sur le corps humain p.28

➔ Tout compris ou pas de compromis? p.32

➔ Neufs questions sur le virus Zika p.34

➔ Horoscope voyage p.38

➔ Jeux voyages p.39

Décalage horaire

Par: Arianna Durgerian

De millions de personne chaque année vont voyager autour du monde

soit pour les affaires ou pour des voyages personnels. Dans le cas où il y a un

décalage d’horaire, ceci peut avoir un impact sur la santé des personnes.

Mais pourquoi est-ce que le décalage d’horaire nous impacte si fortement?

Ce problème a une conséquence majeure sur votre rythme circadien et va

être plus significant lorsque nous voyageons vers l’est.

Premièrement, le rythme circadien affecte notre santé. Le rythme

circadien représente tout ce que notre corps a besoin pendant 24 heures. Ce

rythme va être grandement déranger si on ne fournit pas tous ces demande,

comme la nourriture trois fois par jour, et au moins 8 heures de sommeil

etc… «Le corps a un certain nombre de nécessiter.». Si notre corps ne reçoit

pas tout ce qu’il a besoin pour la base de sa survie, de nombreux types de

symptôme vont apparaître, par exemple, fatigue extrême, problèmes

intestinaux, perte d’appétit et problème de mémoire. Ce rythme va être

gravement chamboulé lorsque l’on parcourt de longues distances et quand il

y a un grand écart d’heures entre les fuseaux horaires.

Deuxièmement, voyager de l’ouest vers l’est est beaucoup plus difficile

pour notre corps que voyager de l’est vers l’ouest. Lorsqu’on voyage vers l’

ouest on recule nos horloges ce qui nous donne la chance de reprendre le

temps pour répondre à tous ce que notre corps a besoin. Cependant, lorsqu’on

voyage vers l’est, nous devons avancer nos horloges qui créent une instabilité

dans nos habitudes. Par exemple, notre corps ne va pas savoir si nous devons

maintenant manger ou dormir. «En moyenne, notre corps a besoin d’un jour

entier pour récupérer tous les fluides et nécessitées non rependu.»

Finalement, le décalage d’horaire affecte la majorité des gens qui

voyagent. Leurs rythmes circadiens vont être gravement dérangés qui peut s’

aggraver dépendamment d’où on voyage. Compte tenu de la situation, les

conséquences peuvent être surprenantes.

Mais est- ce que l’humain va pouvoir, avec

la technologie, trouver une solution pour

ce problème?

Les aventures de Viktor

Une santé compromise à l’étranger

Par: Maya Tabortowski

Plusieurs vont en voyage, ne s’inquiètent de rien et passent du bon temps,

mais d’autres y vont et tombent malades après quelques jours. Dans ces

moments, on se demande pourquoi notre santé est si fragile dans les pays

étrangers. La plupart du temps, il s’agit d’aliments et l’eau que l’on

consomme qui nous rendent malades.

Premièrement, les aliments dans les pays étrangers sont souvent très

différents à ceux qu’on a l’habitude de consommer, alors notre corps n’est

pas habitué à ce changement. De plus, les aliments peuvent être

contaminés dans les pays moins fortunés. En effet, notre santé semble être

beaucoup plus fragile dans un nouvel environnement où notre corps n'y est

pas adapté. Lorsque nous ne sommes pas bien protégés, nous pouvons

attraper diverses maladies comme, l’hépatite A et la fièvre typhoïde. «La

chaleur, les normes de culture des fruits et légumes, les conditions de

conservation et de transformation des aliments et la contamination après

la préparation, comme dans les buffets, ne sont que quelques-unes des

causes» explique le Dr Martin Brizard, omnipraticien et médecin de

famille, à Laval. Bref, il faut prendre des précautions comme se laver les

mains plus fréquemment, ne pas ingérer rien qui n’ait été bouilli, cuit ou

pelé et éviter les produits laitiers pour s’abstenir de payer cher pour voir

un médecin dans un pays étrangé à cause d’un mauvais choix alimentaire.

Deuxièmement, l’eau qui est crucial pour notre survie peut aussi

être contaminée. Regardons ce phénomène en détail : quand nous

consommons ou rentrons en contact avec une eau contaminée, cela peut

entraîner une décompensation de plusieurs problèmes de santé, par

exemple, la schistosomiase, la diarrhée et des infections transmissibles.

L’eau au Canada est très bien filtrée et bonne pour la santé comparé à

celle à l’étranger à laquelle nous ne sommes pas habitués. De plus, d’

après un journaliste d’Affaires étrangères, «D’autres infections peuvent

parfois être transmises dans les installations publiques de baignade, y

compris les parcs d’attractions nautiques.» Donc, même si l’eau est à l’

apparence propre , la meilleure façon de ne rien attraper n’est que d’

utiliser de l’eau pure ou embouteillée.

Cela dit, notre corps est beaucoup plus vulnérable dans des pays

étrangers, car certains pays n’ont pas les ressources pour rendre les

aliments et l’eau libres de bactéries. Alors dès que vous possédez l’

occasion, n’hésitez pas à bien

vous protéger, demandez

votre médecin pour des

vaccins efficaces contre ces

maladies.

Les aventures de Viktor

Difficultés d’adaptation entre cultures

Par : Italie Gagnon

Ici, au Canada, nous avons la chance d’être favorisés [IG1] par rapport à d’

autres pays du monde. Parfois, la rencontre entre ces deux réalités est dure.

Pourquoi certaines personnes ont-elles des difficultés d’adaptation lorsqu’elles

rencontrent une culture qui leur est étrangère? Il y a plusieurs réponses à cette

question, par contre, celles qui sont en lien avec les aspects sociaux et culturels

sont celles qu’aborde ce texte.

Premièrement, les personnes

qui ont des difficultés

d’adaptation lors d’une

rencontre avec une nouvelle

culture peuvent ne pas comprendre les différentes valeurs de celle-ci et cela

peut causer des problèmes d’intégration. Ces personnes vivent un choc des

civilisations. Un choc des civilisations

« n’est que la constatation de l’ignorance et des silences qui les séparent. ». Il y

a plusieurs exemples qui démontrent cette ignorance. Comme lorsque que

Wajdi Mouawad a immigré au Québec, et qu’à sa première journée d’école il s’

était fait insulté d’ « osti d’intellectuel français à lunettes », ces mêmes

personnes qui lui ont dit cela ont ajouté qu’ils allaient lui dévisser la tête et lui

«chier» dans le corps.

Wajdi dit ne pas avoir été surpris par l’incroyable insulte mais plutôt par la

manière dont il était perçu par ses nouveaux camarades. En somme, nous

pouvons dire que nous sommes victimes des difficultés d’adaptation lorsque

nous fermons les yeux sur les réalités d’ailleurs.

Deuxièmement, ce trouble du pays que certains vivent peut aussi avoir

rapport avec la difficulté à faire face à une culture étrangère de la notre. Par

exemple, depuis le début du terrorisme islamique, plusieurs pays craignent

les musulmans tel que l’affirme la revue «L’EXPRESS». Washington aurait

même lancé un message d’alerte concernant le terrorisme en Europe. Des

actes de la sorte engendrent des préjugés chez la population. On irait jusqu’à

parler d’«islamophobie». Donc, les préjugés sur les cultures différentes sont

très présents et mènent à de l’intolérance de la part de la population.

Pour conclure, un petit pourcentage de la population est déstabilisé par

un changement de culture. Cela est dû à la somme du silence et de l’

ignorance qui séparent les civilisations et des préjugés qui sont créés par des

facteurs qui varient. Mais pourquoi notre culture serait-elle meilleure qu’une

autre? Ne sommes-nous pas tous égaux? Nous devrions être plus ouverts aux

cultures étrangères de la nôtre,] car nous pourrions passer devant des

opportunités incroyables.

Les aventures de Viktor

La formation d’un paradis sur Terre

Par: Luke Genest

Vous êtes content de prendre quelque semaine de vacances aux îles

hawaïennes. Vous mettez votre serviette sur la plage et vous regardez l’océan,

vous vous demandez alors, pourquoi Hawaii est-elle un archipel? En fait, les

scientifiques disent que la formation du point chaud et de la formation des iles

hawaiiennes sont des très bonnes pistes.

Premièrement, pour comprendre la formation d’Hawaii, il faut clarifier

les causes de la formation du point chaud hawaïen. Par définition, un point

chaud est un endroit à la surface d'une planète qui a une activité volcanique

régulière, c’est-à-dire une zone dans le monde où les volcans sont encore en

éruption. Le Larousse explique qu’un point chaud est formé quand «des

matières venant du manteau, remontent en surface et percent la lithosphère»,

de plus le magma monte du manteau et pénètre la lithosphère pour se rendre

en-dessous des plaques tectoniques. Pour finir, un point chaud est une zone

où les volcans

sont encore en éruption

et elle est formée quand le

magma pénètre la

lithosphère.

Deuxièmement, chaque ile hawaienne est composée d’au moins un volcan

qui a été produit par le point chaud. « Les îles hawaïennes ont été formés par

un point chaud, celui de la plaque Pacifique. Alors que le point chaud est lui-

même fixé, la plaque est en mouvement. Donc, comme la plaque se déplace

au-dessus du point chaud, l’archipel hawaiien ont été formé», nous explique la

NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration). Le magma, qui sort

du volcan, formera, lentement, les iles en s’accumulant et en refroidissant. La

grande île d’Hawaii est encore en éruption, parce qu’elle juste au-dessus du

point chaud. D’ailleurs, il a plusieurs autres dans le monde qui ont été formés

de la même façon, comme les iles de Pâques ainsi que les îles Galápagos. Ces

trois atolls ont tous été formé par la présence d’un point chaud. Pour

terminer, ce paradis sur Terre a été fondé grâce au magma refroidit du point

chaud de plus que plusieurs autre iles ont été formé de la même façon.

En guise de conclusion, les îles hawaiiennes ont été formées parce que les

plaques tectoniques du Pacifique ont passé au-dessus du point chaud et le

magma refroidit s’accumule sur les côtés de l’ile pour l’agrandir. Cependant, si

ces iles sont trop loin du point chaud, vont-elles disparaitre?

Les aventures de Viktor

Le mal de transports

expliqué

Par: Yuteng Cui

Imaginez-vous en train de lire un livre dans une voiture qui roule à pleine

vitesse sur l’autoroute. Tout à coup, vous avez la tête qui tourne et vous avez

envie de vomir. C’est le mal de transport. Comment expliquons ce phénomène?

Nous allons répondre à cette question en parlant des aspects physiques et des

aspects psychologiques.

Pour commencer, les humains sont capables de se tenir debout en gardant

leur équilibre, principalement grâce au système vestibulaire de l’oreille et aux

yeux. Ceux-ci sont responsables d’informer le cerveau sur l’état d’équilibre du

corps , mais ils sont habitués de recevoir les mêmes informations en même

temps. Toutefois, après l’arrivée des nouveaux moyens de transport, cela n’est

parfois plus possible. Par exemple, lorsqu’on lit un livre dans une voiture, nos

oreilles ressentent les tremblements de l’automobile tandis que les yeux

perçoivent l’immobilité de la page du livre. En bref, nos oreilles perçoivent du

mouvement, mais nos yeux ne voient rien qui bouge. Nos sens ne sont pas

habitués de capter

ces types de donnés contradictoires.

Malgré cela, ils font ce qu’ils doivent

faire et ils envoient leurs perceptions

différentes au cerveau. Comment

pensez que le cerveau va recevoir cela?

Pour enchaîner, le cerveau, comme le système vestibulaire de l’oreille et

les yeux, n’est pas adapter à recevoir et analyser ces donnés anormales. Il ne

comprend pas ce qui arrive et n’a aucune idée comment interpréter cette

situation. Alors, il fait ce que l’évolution lui a appris de faire: il assume que le

corps a ingéré une neurotoxine et fait son possible pour s’en débarrasser. Dans

la plupart des cas de mal des transports, la façon la plus logique d’accomplir

cela, c’est de vomir. Notez bien que la sévérité des symptôme peut varier d’un

individu à un autre.

En conclusion, le mal de transport est causé par l’incohérence de l’

information envoyé par les sens qui est ensuite mal interprété par le cerveau

pour un ingestion accidentelle de neurotoxine. Par ailleurs, l’évolution de ce

réflexe devait être très utile avant l’arrivée des moyens de transports

modernes. Dommage que nos cerveaux ne sont pas au courants de nos

avancements technologiques.

Les aventures de Viktor

Sous l’eau sans bobos ?

Par: Yasmine Pérard Laporte

Depuis toujours, la curiosité de l’être humain nous a amené vers le ciel et

même au fin fond de l’océan. Notre curiosité nous permet de voir de

merveilleuses choses, même à 100 mètres sous l’eau. Toutefois, serait-il

possible qu’il y ait un danger à tout cela ? Pourquoi est-ce que la plongée peut

poser une certaine menace à l’être humain ? Deux phénomènes principaux se

démarquent des autres : le barotraumatisme otitique et les accidents de

décompression.

Pour commencer, le barotraumatisme otitique pose un danger car il peut

causer des problèmes de santé. Ce phénomène est une déformation du tympan

pendant la descente qui mène parfois jusqu’à la rupture du tissu intérieur de l’

oreille. Il peut aussi survenir en avion ou lors de tout changement d’altitude

rapide. Cet incident est causé par la pression à l’extérieur du tympan qui va le

pousser vers l’intérieur et ainsi compresser l’air à l’intérieur de l’oreille.

Cependant, plusieurs symptômes peuvent prévenir le plongeur du risque d’

accident. Il peut y avoir une basse audition, une douleur majeure dans l’oreille,

une sensation de froid ou de vertige ou même une crépitation. Le

barotraumatisme peut être très grave au point de causer une hémorragie. Il est

important de prendre des mesures de sécurité adéquates, c’est-à-dire,

descendre à une vitesse lente en respectant la méthode des paliers de

décompression.

Pour continuer, l’accident de décompression est aussi un accident causé par la

pression, mais contrairement au barotraumatisme, il est plutôt vu lors de la

remontée et les symptômes ce feront voir seulement qu’une fois la plongée

terminée. « Il se manifeste par un dégagement de gaz dans la cochlée ou le

vestibule de l’oreille, provoquant des bulles de gaz dans les espaces

périlymphatiques ou endolymphatiques et dans les vaisseaux de l’oreille

interne. » Il est très important que le plongeur soit transporté au centre

hospitalier le plus proche dès qu’il y a signe d’un accident de décompression

car si la blessure n’est pas soignée en recompressant l’oreille, elle peut s’avérer

très dangereuse. Pour cet accident, la même règle de sécurité s’applique :

respecter les paliers de décompression.

Pour conclure, l’univers de la plongée sous-marine est rempli de merveilles

que tout homme rêverait de voir, mais ce peut aussi être un monde dangereux

si le plongeur ne détient pas une bonne formation et n’agit pas avec prudence.

Si vous envisagez d’aller faire une petite baignade, assurez-vous d’être bien

préparé et de connaître votre « buddy de plongée » pour ne pas que le rêve

finisse en fiasco.

Les aventures de Viktor

Les effets de l’espace sur

le corps humain

Par : Robert Liu

Dennis Tito, un américain âgé de 75 ans et le premier touriste dans l’espace

Il aurait dû s'entraîner et mieux connaître les astuces pour rester en santé dans l’

espace. Il a été très étonné des maladies qui lui attendaient dans l’espace. [1]

Alors quels sont les effets du voyage spatial sur le corps humain? En fait,

plusieurs changements vont avoirs lieux principalement chez les os et les

muscles du corps humain.

Premièrement, dans l’espace il n’y a pas de gravité. Alors, vos jambes et vos

pieds, qui doivent toujours vous tenir debout, deviennent très détendu. En effet,

elles conduisent à la dégradation des os par la libération de calcium et laissant

les os très faible. Avec des os affaiblis, vous aurez le risque des os fracturés et de

la formation des pierres dans les reins. En plus de cela, la perte d’os va être très

difficile de réparer. Votre colonne vertébrale, qui est compressée sur la surface

de la Terre, n’est pas compressée dans l’espace alors vous serez un peu plus

grand que si vous étiez sur la surface de la Terre. En somme, il faut prendre

soins des os pour garder le corps en état santé.

Deuxièmement, dans l’espace, sans la nécessité du dos pour se tenir droit

et des jambes pour se déplacé, les muscles deviennent de plus en plus faible.

Effectivement, le corps est essentiellement toujours détendu ce qui va lier vers

l’affaiblissement des muscles, alors les astronautes doivent faire environ 2

heures d’exercice par jour. L’affaiblissement des muscles laisse le corps plus

vulnérable aux blessures et il sera moins efficace avec les tâches. Ensuite, en

revenant de l’espace, le corps va avoir du trouble à marcher, ou faire des

mouvements quotidiens. Donc, de l’exercice est nécessaire pour maintenir la

masse et pour éviter les risques de blessures.

Pour conclure, dans l’espace, le corps humain va avoir une diminution des

os et des muscles qui vont laisser le corps en risque des maladies et des

blessures. Même si l’espace a tout ses risques, ce sera une expérience de vie et

maintenant on est capable de la faire, comme Dennis Tito l’a fait avec de l’

argent.

Les aventures de Viktor

TOUT-COMPRIS OU PAS DE COMPROMIS?

Nous avons tous besoin de vacances régulièrement, mais vous ne savez pas où aller avec vos enfants pour que tous passent de belles vacances? Les types d’hôtel et leurs avantages influencent la plupart des destinations de voyage en famille.

Premièrement, les types d’hôtel offrent des services différents les un des autres ce qui rend le choix d’un hôtel plus facile pour une famille. Par exemple, un hôtel où l’on paye la chambre au soir est bien simple mais ne répondra pas aux besoins d’une famille. Tandis qu’un tout compris peut s’avérer bien utile. Au Club Med, il est possible pour tous les membres de la famille de prendre plaisir aux vacances. Tout est rapproché, et il y a des services offerts pour la garde d’enfants. Bref, les tout-compris sont un environnement favorable pour une famille avec enfants.

Deuxièmement, les tout compris ont pour avantage d’offrir plusieurs activités sans frais supplémentaire et qui sont disponibles sur un territoire commun à l’hôtel. Il est donc possible pour les parents d’inscrire leurs enfant à une garde. Par exemple, le club med offre le ‘’mini club’’ qui prend les enfants en charge une journée complète et leur font faire des activités. Pendant que l’enfant créé des soouvenirs les parents peuvent profiter des vacances. Tandis que les hotel ou l’on loue au soir n’offrent habituellement pas d’activités ou de services de garde. Bref, les tout-compris comporte plus d’avantages que les autres types d’hotel.

Finalement, en général, les tout-compris sont plus avantageux pour les famille qui cherche à apprécier le repos avec leurs enfants en plus de faire plusieurs activités en une journée. Si vous envisagez de partir en voyage, il vous serait préférable de reviser vos besoins et vos attentes avant de louer une chambre d’hotel..

Zika : neuf questions sur un virus qui inquièteLE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 02.02.2016 à 06h35 • Mis à jour le 03.02.2016 à 09h34 | Par Pascale Santi et Sandrine Cabut

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Le moustique Aedes aegypti, responsable de la transmission du virus Zika qui a déjà touché 1,5 million de

Brésiliens, en janvier 2016. FELIPE DANA/AP

L’inquiétude monte face au virus Zika. Se propageant de manière explosive, il est fortement soupçonné de causer des troubles neurologiques, le syndrome de Guillain-Barré, et des malformations congénitales, les microcéphalies. Lundi 1er février, à l’issue d’une réunion d’experts, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a décrété que l’épidémie constitue« une urgence de santé publique de portée mondiale ».Transmis par des moustiques, comme la dengue ou le chikungunya, ce virus a déjà touché 1,5 million de

personnes au Brésil, et 3 à 4 millions de cas sont attendus sur le continent américain en 2016. Des cas

importés ont été identifiés en Europe, dont cinq en France métropolitaine. Accusée d’avoir réagi trop faiblement

lors de l’épidémie d’Ebola, l’OMS a annoncé toute une série de recommandations pour mieuxlutter contre cette

nouvelle menace. L’une des priorités est d’accroître la surveillance des cas de syndromes de Guillain-Barré et

des microcéphalies dans les zones touchées par le virus Zika, afin dedéterminer si celui-ci est directement en

cause, ou s’il existe d’autres facteurs. L’OMS prône également une intensification des recherches pour mettre

au point des traitements, un vaccin et de nouveaux tests de diagnostic de cette infection. Aucune mesure de

restriction des voyages et des échanges commerciaux n’est en revanche envisagée.

En dix questions, tour d’horizon sur un virus émergent qui pose de nouveaux défis.

D’où vient Zika, et jusqu’où ira-t-il ?

Le Zika est un arbovirus transmis par la piqûre de moustiques du genre Aedes (aegypti ou albopictus). De la

famille des flavivirus, comme ceux de la dengue ou de la fièvre jaune, le Zika a été identifié pour la première

fois chez un singe macaque rhésus dans une forêt ougandaise en 1947. Il a ensuite été isolé chez l’homme en

1952, en Ouganda et en Tanzanie.

La première épidémie s’est déclarée dans les îles Yap (Micronésie) en 2007, où elle aurait touché les trois

quarts de la population. D’autres ont suivi, en Polynésie française d’octobre 2013 à avril 2014, et au Brésil,

depuis mai 2015. Les premiers cas brésiliens ont été décrits dans deux articles publiés en mai et juin 2015.

Depuis octobre 2015, le virus s’est propagé dans des pays d’Amérique centrale.

La Guyane et la Martinique sont à leur tour en phase épidémique. « C’est la troisième épidémie d’arbovirose

après la dengue et le chikungunya, et probablement pas la dernière. La diffusion du Zika a été extrêmement

rapide à l’échelle planétaire », souligne François Bourdillon, directeur général de l’Institut national de veille

sanitaire (InVS).

Le recueil de données se poursuit pour affiner les modèles destinés à décrire l’évolution de l’épidémie et

évaluer les moyens à mettre en œuvre pour la juguler et prendre en charge les malades. Mais, note Simon

Cauchemez, spécialiste de la modélisation à l’Institut Pasteur, il faudra encore « quelques semaines » pour

proposer des scénarios étayés.

Est-ce un virus mutant ?

C’est ce qui pourrait expliquer l’explosion récente des cas, selon des experts cités dans le New Scientist. L’

hypothèse semble cependant peu probable aux yeux d’autres spécialistes interrogés. L’analyse du génome

entier du virus Zika qui circule au Brésil montre une similitude « quasi complète » avec les souches à l’origine

de l’épidémie qui a sévi en 2013 et 2014 dans le Pacifique, selon une étude parue dansThe Lancet le 16

janvier, menée par les chercheurs de l’Institut Pasteur de Guyane.

Comment reconnaître la maladie ?

L’infection est asymptomatique dans les trois-quarts des cas. Les symptômes, quand ils existent, apparaissent

trois à douze jours après la piqûre, sous forme d’éruption cutanée avec ou sans fièvre. A cela peuvent s’ajouter

fatigue, maux de tête et courbatures, laissant penser à un syndrome grippal. Le virus peut aussi se manifester

par une conjonctivite, un œdème des mains ou des pieds. Ces symptômes disparaissent généralement en deux

à sept jours, précise l’OMS. A priori, l’infection est immunisante, ce qui signifie qu’on ne peut pas contracter

deux fois ce virus. Zika et ses conséquences chez l’homme restent toutefois mal connus, concèdent les

spécialistes.

Comment la détecter ?

Les gènes du virus peuvent être repérés par des analyses sanguines, d’urine ou de salive. Mais la fenêtre est

courte. « Le virus est présent dans le sang entre trois à cinq jours, dans les urines pendant environ dix jours,

dans la salive entre trois à cinq jours. Il n’y a pas de données sur le lait maternel », explique Isabelle Leparc-

Goffart, coordinatrice du Centre national des arbovirus (CNR-IRBA). Ces chiffres sont issus de données

publiées sur quelques cas. Le CNR devrait fournir prochainement des données plus précises.

En cas de résultat négatif malgré des symptômes évocateurs d’une infection à virus Zika, un diagnostic

sérologique (recherche d’anticorps) est effectué par les seuls CNR (1 en Guyane et 1 en France métropolitaine,

à Marseille, qui en a déjà réalisé plus de 1 000).

La circulation concomitante de la dengue et du chikungunya (proches du Zika) complique le diagnostic, tant

clinique que biologique. Du fait de réactions sérologiques croisées entre ces virus, les résultats peuvent être

faussement positifs.

Quels sont les risques pour une femme enceinte ?

C’est l’un des principaux sujets de préoccupation. Même si la preuve n’est pas encore formellement établie, il

est désormais hautement probable qu’une infection par le virus Zika pendant la grossesse peutentraîner de

graves anomalies du développement cérébral, comme les microcéphalies (trop petite taille du cerveau et du

périmètre crânien, souvent associée à des lésions cérébrales). Les atteintes les plus sévères peuvent conduire

à une mort in utero ou dans les premiers jours de vie.

Début 2016, parallèlement à la flambée épidémique du virus Zika, les autorités sanitaires locales du Brésil ont

recensé plus de 4 000 cas suspects de microcéphalie, soit une multiplication par 20 à 30 par rapport aux

années précédentes.

La microcéphalie est une malformation rare : aux Etats-Unis, 2 à 12 cas sont recensés pour 10 000 naissances

vivantes, indique le centre de contrôle des maladies (CDC). Elle peut entraîner un handicap très lourd, avec des

troubles psychomoteurs, moteurs, intellectuels, isolés ou associés.

« Les microcéphalies peuvent relever de plusieurs causes, notamment toxiques, génétiques ou infectieuses.

Mais au Brésil, la corrélation de l’excès de cas avec l’épidémie d’infection à Zika, dans le temps et dans l’

espace, est très suggestive d’un lien de cause à effet, souligne Jet de Valk,

responsable de l’unité zoonoses et maladies à transmission vectorielle à l’InVS. Dans plusieurs cas, du virus Zika

a été mis en évidence dans le liquide amniotique, ce qui est un argument supplémentaire. »

Des études sont en cours pour établir formellement le lien et répondre aux nombreuses questions en suspens. «

Pour d’autres virus, comme le cytomégalovirus, le placenta joue un rôle de barrière. Une infection de la femme

enceinte n’est donc pas toujours transmise à son fœtus. Il est établi que les atteintes pour l’enfant à naître

dépendent du moment où le virus atteint le fœtus, explique le professeur Yves Ville, chef de la maternité de l’

hôpital Necker (AP-HP), à Paris. Quand l’infection est précoce, au premier trimestre, c’est souvent la loi du tout

ou rien : soit aucune lésion, soit une atteinte majeure, qui aboutit souvent à une fausse couche. Un passage plus

tardif peut avoir des conséquences plus modestes (retard de croissance intra-utérin) et réversibles. Il en va sans

doute de même pour Zika. »

Que faire pendant la grossesse ?

Le message est clair : en France, la ministre de la santé Marisol Touraine déconseille aux femmes enceintes de

se rendre dans les zones touchées. Le Haut Conseil de santé publique (HCSP) a actualisé ses recommandations

sur ce virus le 22 janvier. Celles-ci comprennent l’organisation « d’une information, d’un suivi et d’une prise en

charge renforcés de toutes les femmes enceintes dans les zones d’épidémie du virus Zika, que ces femmes

soient ou non suspectes d’infection par le virus Zika ». Le HCSP préconise aussi la mise en place « d’un système

de surveillance et d’alerte spécifique à la détection d’anomalies congénitales neurologiques ou non ».

La microcéphalie peut être suspectée en échographie au deuxième trimestre de la grossesse, à partir de dix-huit

à vingt semaines. Il existe un test diagnostique de l’infection fœtale par l’isolement du virus Zika dans le liquide

amniotique après amniocentèse.

En Martinique, où les premiers cas autochtones de Zika ont été détectés en décembre 2015, six femmes

enceintes infectées par le virus ont déjà été repérées, qui vont bénéficier de ce suivi renforcé, précise Martine

Ledrans, responsable de la Cellule de l’InVS Antilles-Guyane.

Face aux nombreux appels de femmes enceintes revenant d’une zone épidémique, inquiètes pour leur futur

enfant, Yves Ville a ouvert une consultation spécialisée Zika à Necker, le 1er février.

Quelles sont les autres complications de l’infection à virus Zika ?

La survenue d’un syndrome de Guillain-Barré (SGB) est l’autre motif de préoccupation. Dû à une atteinte des

racines nerveuses, ce syndrome associe des douleurs – musculaires et sur des trajets de nerfs –, des troubles

sensitifs (picotements…) et surtout des paralysies d’intensité variable. Après une phase d’extension et de plateau,

qui peut durer plusieurs semaines, les signes disparaissent dans 80 % des cas. L’atteinte des muscles

respiratoires est la plus redoutée : elle conduit à une assistance respiratoire chez environ 20 % des malades.

Le SGB est rare, sa prévalence est de l’ordre de 1 à 2 cas pour 100 000 personnes en Europe. Il est précédé

dans plus de la moitié des cas par des symptômes infectieux, et de nombreux germes, bactéries ou virus, se

trouvent à son origine : grippe, cytomégalovirus… C’est aussi une complication de certaines vaccinations. Des

dizaines de cas de SGB possiblement liés à une infection par Zika sont en cours d’investigation.

« Aux Antilles, les Agences régionales de santé ont évalué les capacités des services de réanimation et les CHU

se préparent pour faire face. Par exemple, en Martinique, une soixantaine de cas de syndrome de Guillain-Barré

pourraient survenir, si l’on se fonde sur la fréquence des cas survenus en Polynésie », indique Jet de Valk.

Ces données, concernant 42 patients, ont été analysées par l’équipe du professeur Arnaud Fontanet (unité d’

épidémiologie des maladies émergentes, Institut Pasteur) pour mieux caractériser les SGB liés au virus Zika. Les

résultats devraient être publiés dans les prochaines semaines.

La transmission est-elle possible entre humains ?

La transmission est presque exclusivement vectorielle », note le rapport du HCSP. Mais les autorités sanitaires

texane ont rendu public un cas de transmission par voie sexuelle entre un voyageur ayant contracté Zika au

Vénézuela et son partenaire après son retour. Un cas cas similaire de transmission par voie sexuelle avait déjà

été rapporté dans la littérature. Six jours après son retour d’un voyage auSénégal en 2008 pour des travaux sur

le paludisme, le chercheur américain Brian Foy avait présenté des signes cliniques préoccupants. Quatre jours

plus tard, c’était au tour de son épouse, pourtant restée aux Etats-Unis. Tous deux sont infectés par le virus

Zika. Une autre étude, publiée en février 2015, mentionne la présence du virus dans le sperme d’un homme de

44 ans vivant à Tahiti (Polynésie française), quinze jours après le début des symptômes.

Des arguments jugés encore récemment insuffisants, selon les autorités, pour prouver une transmission par

contact sexuel. Le cas texan a cependant conduit les Centres de contrôle des maladies (CDC) américains à

recommander l’usage de préservatifs pour prévenir la diffusion du virus.

Des cas d’infection lors de l’accouchement ont été également rapportés, sans conséquences notables pour la

santé du nouveau-né. Quant à la transmission par transfusion sanguine, même si elle n’a jamais été mise en

évidence, le risque ne peut être écarté, note l’HCSP. « L’Agence nationale de sécurité du médicament (Ansm)

met en place des mesures qui prennent en compte ce risque », dit Jet de Valk. La Croix Rouge américaine

recommande aux personnes ayant visité des zones où sévit l’épidémie de s’abstenir de donner leur sang

pendant 28 jours après leur retour.

Des traitements ou vaccins sont-ils disponibles ?

Non. Dans une interview à l’agence Reuters, Gary Kobinger, un chercheur de l’université Laval (Québec) a

indiqué qu’un vaccin contre le virus Zika pourrait être testé chez l’homme à partir de septembre, et mis à

disposition avant la fin de l’année. Il s’agit d’un vaccin à ADN, issu d’une collaboration entre l’université de

Pennsylvanie, le groupe pharmaceutique Inovio et le groupe sud-coréen GeneOne Life Science.

« Il n’y aura probablement pas de vaccin sûr et efficace contre le virus Zika avant plusieurs années », a

toutefois déclaré Anthony Fauci, directeur de l’Institut américain des allergies et maladies infectieuses (Niaid).

Le Niaid explore plusieurs approches, l’une avec un vaccin à ADN, fondé sur son expérience d’un vaccin pour

le virus West Nile, une autre avec un virus atténué. Dans un article, publié le 13 janvier dans le New England

Journal of Medicine, Anthony Fauci souligne que la recherche d’un vaccin protégeant contre le Zika pourrait

bénéficier des technologies utilisées pour d’autres flavivirus. De tels vaccins risquent cependant d’être

confrontés aux mêmes écueils, poursuit le patron du Niaid. « Comme ces épidémies sont sporadiques et

imprévisibles, une vaccination élargie en prévention d’une flambée serait d’un coût prohibitif avec un rapport

coût/efficacité faible. Quant à l’option de constituer des stocks, elle ne pourrait probablement pas permettre de

répondre assez rapidement à une épidémie explosive. »

En l’absence de traitement, les recommandations sont d’éliminer les gîtes potentiels de moustiques (vider,

nettoyer ou couvrir tous les contenants susceptibles de retenir l’eau, comme les seaux, les pots de fleurs,

soucoupes ou pneus, afin d’éliminer les endroits où les moustiques peuvent se reproduire). Les habitants sont

invités à privilégier les vêtements longs, clairs de préférence, et à utiliser des répulsifs et des moustiquaires.

« Les Martiniquais, qui connaissent bien ces moustiques et ont vécu une épidémie de chikungunya en 2014,

savent ce qu’il faut faire pour empêcher leur prolifération. Mais il faut une prise de conscience des populations

de la nécessité impérieuse de lutter contre les Aedes », martèle Martine Ledrans. D’autant que ces moustiques

deviennent de plus en plus résistants aux insecticides.

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