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Interet de la teleradiologie pour les structures « client »

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Page 1: Interet de la teleradiologie pour les structures « client »

Technologie

ORGANISATION REGLEMENTAIREDE LA TELERADIOLOGIEN CrovettoMonaco - MonacoCorrespondance: nicolas,crovetto@iradiologie,com

Durée: 30 minutes

Durée: 30 minutes

09 h 30

09 h 00

Objectifs: Compréhension des solutions techniques validées avecexemples de situations réelle et mise en pratique en direct.Messages à retenir: Réalisation d'une démonstration en direct.Le rôle du médecin demandeur ou médecin de proximité à travers lafiche de suivi reste primordial.Le rôle du médecin distant ou téléradiologue commence à la lecturela fiche de suivi, et au contrôle de la qualité de l'examen, pour seterminer à l'impression du compte rendu, il peut être prolongé par lamise en relation avec le patient.La traçabilité des échanges et la sécurisation des données sont fonda­mentales.Résumé: Renseignement de la fiche de suivi par le médecindemandeur: L'ensemble des renseignements cliniques, y compris lesantécédents personnels et familiaux sera consigné dans la fiche numé­rique de suivi ouverte par l'exécutable CMTR. Aucune modificationde la fiche ne sera possible a postériori. Le médecin demandeur devracontacter le radiologue distant et compléter la fiche par l'intermé­diaire d'un commentaire via sont compte CMTR afin d'assurer la tra­çabilité de la modification. Renseignement de la fiche de suivi par leradiologue distant: Le compte-rendu est consigné dans l'encadrérésultat de la fiche de suivi. Le radiologue distant peut joindre undocument attaché à son compte-rendu, ainsi que des images signifi­catives. Après l'opération de validation le texte n'est plus modifiable.Le radiologue distant devra contacter le médecin demandeur et com­pléter la fiche par l'intermédiaire d'un commentaire via son compteCMTR afin d'assurer la traçabilité de la modification. Traçabilité deséchanges: l'ensemble des demandes, des comptes-rendus, des imagessignificatives, de chaque échange, pour chaque examen est consignésur le serveur CMTR, avec une sauvegarde journalière de l'ensembledes données pour la durée légale de stockage en vigueur. Les imagesassociées aux échanges sont stockées durant la période légale. Chaqueutilisateur se voit attribué un login et mot de passe unique lui permet­tant de s'authentifier sur la plateforme CMTR. Chaque utilisateurs'engage à ne jamais divulguer à une tierce personne ses propres iden­tifiants. En cas de perte ou de vol de ses identifiants chaque praticiens'engage à le notifier directement à l'administrateur de la plateformeCMTR pour les réinitialiser.

Mots clés: Téléradiologie, technologie

Objectifs: Situer la téléradiologie dans l'organisation du système desanté présent et à venir, dans les institutions publiques, mais aussiprivées. En comprendre les avantages, mais aussi les limites.Messages à retenir: La téléradiologie s'intègre dans les notions deterritoires de santé, rentre dans les recommandations des SROS et estune des composantes de l'e-santé.Son impact sur l'organisation interne des structures de soin est impor­tant et fait repenser la méthode de travail en s'appuyant sur les démar­ches qualité.Elle comporte de très nombreux avantages si on garde à l'esprit seslimites.

Pratique etc.). Signalement aux autorités de tutelle: description desdémarches recommandées vers: CNOM (notre spécificité), CDOM(contrats avec les structures privées et les téléradiologues), ARR (pourles structures publiques après accord de la CME).

Mots clés: Téléradiologie - Réglementation

INTERET DE LA TELERADIOLOGIE POUR LES STRUCTURES«CLIENT»FLe DuffNice - FronceCorrespondance: franck.leduff@iradiologie,com

ASPECT TECHNIQUES DE LA TELERADIOLOGIEo SisteronCognes Sur Mer - FronceCorrespondance: [email protected]

Durée: 30 minutes

Une expérience en téléradiologie

Modérateur: Régis Duvauferrier

08 h 30

Objectifs: Faire découvrir l'e-santé, la télémédecine, la téléradiolo­gie et ses composantes, la téléexpertise et le télédiagnostic.Puis aborder l'ensemble des points règlementaires entrant en jeuxdans les pratiques de télémédecine et plus particulièrement de téléra­diologie afin de dégager l'ensemble des données servant à établir descontrats valides.Messages à retenir: Règles éthiques: démographie médicale inho­mogène et en péril dans certaines régions.Règles déontologiques: 18 règles à strictement respecter.Charte pour préciser ces points et créer une homogénéîté des prati­ques.Les autorités à informer sont les CDOM et les ARRRésumé: Aspects déontologiques et éthiques: énoncé des 18 règlesdéontologiques spécifiques de la Téléradiologie, commentées, puisprésentation de l'aspect éthique, motivé par le maintien de la perma­nence des soins en zone exposée au problème de démographie médi­cale. Aspect juridique: description des éléments contractuelsfondamentaux, avec présentation des contrats de collaboration et descontrats clients validés par le CNOM en insistant sur la description dela chaîne de responsabilité, étape par étape. Charte de bonne pratique:présentation de la charte et de son rôle et explication des procéduresd'accréditation des téléexperts et des télédiagnosticiens. Nous présen­terons notre référentiel de bonne pratique construit autour la charte etenrichi des référentiels déjà validés (fiches CIRTACI, guides de bonne

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Le verre dépoli chronique exprime une pneumonie interstitielle chroni­que avec ou sans fibrose pulmonaire, un cancer bronchiolo-alvéolaire,une sarcoïdose.Résumé: Le verre dépoli défini par l'augmentation diffuse ou foca­lisée de la densité du parenchyme pulmonaire, sans effacement descontours vasculaires, traduit un remplissage partiel des lumièresalvéolaires et/ou un épaississement des cloisons alvéolaires. Le verredépoli doit être différencié d'une augmentation de la densité pulmo­naire observée chez les patients obèses, ou lors d'une acquisition eninspiration incomplète. Dans un contexte aigu, le verre dépoli estl'expression d'un œdème, d'une hémorragie pulmonaire, d'une pneu­monie d'hypersensibilité, d'une pneumonie interstitielle aiguë, oud'une infection opportuniste chez un immunodéprimé (pneumocystis,CMV, herpès). Dans un contexte chronique, le verre dépoli estl'expression d'une pneumonie interstitielle. La présence de bronchec­tasies et/ou bronchiolectasies par traction au sein du verre dépoli signela fibrose pulmonaire. Des réticulations intra-Iobulaires au sein d'unverre dépoli en mosaïque, sans atteinte du reste du parenchyme pul­monaire et sans dilatation des voies aériennes, signent l'aspect en« crazy-paving » qui traduit un remplissage chronique des lumièresalvéolaires et conduit à la réalisation d'un lavage bronchiolo-alvéo­laire pour identifier la cause. Des kystes pulmonaires au sein d'unverre dépoli suggèrent une pneumocystose, une pneumonie intersti­tielle lymphocytaire ou une pneumonie interstitielle desquamative.Des micronodules font suggérer sarcoïdose, pneumonie d'hypersen­sibilité ou bronchiolite respiratoire.

Mots clés: Poumons, maladie du parenchyme - Scanographie,maladie du parenchyme

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Page 2: Interet de la teleradiologie pour les structures « client »

Appareil génital féminin

RADIO-ANATOMIE IRM DU PELVIS FEMININ:UTILITE DANS LES CANCERS DE L'UTERUSSTaieb, N Rocourt, FNarducci, A Chevalier, ELeblancLille - FranceCorrespondance: [email protected]

Durée: 30 minutes

Durée: 30 minutes

09 h 00

COMMENT DIAGNOSTIQUER UNE MASSE PELVIENNECHEZ LA FEMME?C Balleyguier (1), N Perrot (2), EZareski (1), P Duvillard (1),P Marice (1)(1) Villejuif - France, (2) Paris - FranceCorrespondance: [email protected]

09 h 30

Objectifs: Connaître les 3 étapes clés diagnostiques devant la décou­verte d'une masse pelvienne chez la femme.Savoir reconnaître une image fonctionnelle de l'ovaire en échographie.Connaître la place de l'échographie, du scanner et de l'IRM devant unemasse annexielle.Connaître les caractéristiques en imagerie des principaux diagnosticsbénins et malins d'une masse ovarienne.Messages à retenir: L'échographie pelvienne avec doppler estl'examen de première intention devant la découverte d'une masseannexielle.L'IRM doit être réalisée en cas de masse annexielle douteuse ouambiguë en échographie.Le scanner est l'examen clé pour le bilan d'extension des cancers del'ovaire pour déterminer l' opérabilité.Signes de malignité d'une masse ovarienne en échographielIRM :paroi épaissie> 3 mm, cloisons, végétations pariétales, vascularisa­tion pariétale, contenu hétérogène).Résumé: L'imagerie est essentielle pour la caractérisation et le bilanpréopératoire des masses annexielles. Le rôle de l'imagerie est dedéterminer le point de départ de la lésion, de préciser son origine fonc­tionnelle, congénitale, hémorragique, inflammatoire ou tumorale etd'en faire le bilan d' opérabilité. Les trois étapes clés devant la décou­verte d'une masse pelvienne sont 1) déterminer si la masse est réelleou non, 2) si elle est réelle, est-elle annexielle? 3) si elle estannexielle, est-elle bénigne? Les lésions annexielles peuvent corres­pondre à des lésions ovariennes, tubaires, des ligaments larges ou dutissu conjonctif et nerveux adjacents. Il faut tenir compte de la patho­logie pelvienne non gynécologique, digestive ou urinaire. L'échogra­phie doppler est l'examen de première intention pour lacaractérisation des masses annexielles, et aide à obtenir des élémentsen faveur d'une origine fonctionnelle. L'IRM est plus performante encas de diagnostic ambigu en échographie. Le scanner multibarretteest essentiel pour le bilan d'extension des tumeurs malignes del'ovaire. Une fois que le diagnostic de masse annexielle est posé, ilfaut rechercher des éléments sémiologiques en faveur de la malignité.La présence d'une paroi épaisse, de cloisons et de végétations parié­tales plaide en faveur de la malignité.

Mots clés: Pelvis, tumeur

Au plan anatomique reconnaître parfaitement les limites du col, del'isthme et du corps utérin ne pose pas de problèmes particuliers. L'IRMpermettra également de préciser d'éventuelles variantes anatomiques:utérus bicorne, cloisonné, veine rénale gauche en position rétro aortique.Les limites anatomiques des paramètres (para-vagin et paracervix) indis­pensables à préciser pour déterminer les options thérapeutiques, sontvisualisées au mieux en incidence coronale vraie du pelvis.

Mots clés: IRM - Utérus - Cancer

IMAGERIE DES TUMEURS BORDERLINE DE L'OVAIREN Perrot (1), C Balleyguier (2), 1 Frey (1), STaieb (3)(1) Paris - France, (2) Villejuif - France, (3) Lille - FranceCorrespondance: vifenson@wanadoo,fr

Objectifs: Connaître la spécificité clinique et histologique destumeurs borderline de l'ovaire.Connaître la place respective de l'échographie et de l'IRM dans lebilan diagnostique d'une tumeur borderline de l'ovaire.Connaître les principales caractéristiques sémiologiques en échogra­phie et IRM des tumeurs borderline.Connaître la place de l'IRM dans le bilan pré-opératoire d'une tumeurborderline de l'ovaire.

Durée: 30 minutes

Tumeurs pelviennes gynécologiques

Modérateur: Sophie Taieb

OS h 30

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La prise en charge type d'un patient est une démarche précise etcontrôlée sur toute la procédure téléradiologique.Résumé: Présentation de l'ntégration de la téléradiologie dans lesterritoires de santé, dans la politique des SROS, dans la politique desanté nationale (e-santé). Nous présenterons des modalités organisa­tionnelles permettant une prise en charge de qualité à moindre coûtavec description par l'exemple de l'impact de la téléradiologie surl'organisation d'un service d'imagerie de CRG ou d'une clinique eninsistant sur le maintien de la permanence des soins dans un contextede démographie radiologique défavorable et inégal. Nous aborderonsles avantages de la téléradiologie, interprétations spécialisées et doncdiminution des durées d'hospitalisation, partage des connaissances eten particulier des résultats d'expertise, participation à des réseauxnationaux d'experts, stabilité dans le temps des solutions (pas derecherche d'intérimaires ou de remplaçants), économie financière etécologie avec entre autres la dématérialisation des supports. Nousaborderons les points plus sensibles comme la gestion des échogra­phies, l'injection de produits de contraste, l'impression de distensiondu lien patient-médecin. Nous prendrons pour finir un examen typeet nous analyserons toute la procédure de réalisation, de la prise derendez-vous, en passant par l'accord du patient, jusqu'à l'émission duCR et à la discussion du dossier par visioconférence.

Mots clés: Téléradiologie

Objectifs: Connaître les séquences IRM permettant une bonne pré­cision anatomique.Savoir reconnaître les limites anatomiques des différents espacessous-péritonéaux et péri-utérins déterminants.Connaître les éléments anatomiques qui influent directement sur lesoptions thérapeutiques dans les cancers de l'utérus (col & endomètre)lors du diagnostic et des récidives.Messages à retenir: Le traitement des cancers du col utérin dépendde: la taille tumorale, l'extension aux paramètres, à la vessie, auvagin et au rectum et l'existence d'une dissémination ganglionnairepelvienne ou extra-pelvienne.Pour les cancers de l'endomètre-le traitement dépend de: l'épaisseurde l'infiltration au myomètre, l'extension à la filière cervicale, la dis­sémination extra-utérine ganglionnaire, péritonéale ou ovarienne.Lors des récidives pelviennes, les options thérapeutiques dépendentdu traitement antérieur notament radiothérapie, de l'extension loco­régionale en IRM et générale en TEP.Résumé : Les séquences en pondération T2 sans saturation de graissesont les plus informatives pour le bilan loco-régional des cancers del'utérus. On réalisera au minimum 2 séquences perpendiculaires. Lesséquences dynamiques après injection augmentent la précision de l'IRMpour évaluer l'extension au myomètre dans les cancers de l'endomètreet visualiser une extension limitée aux musculeuses vésicale ou rectale.Une séquence EG3D, graisse saturée, réalisée 2nm30 après injectionpeut remplacer la séquence dynamique avec la même précision diagnos­tique mais en se privant de la résolution temporelle. Les séquences hauterésolution en pondération Tl sans saturation de graisse avant et aprèsinjection sont utiles dans le bilan morphologique préthérapeutique lorsdes récidives.

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