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Années 2010/2011

INTRODUCTION - conseil-des-sages.arles.frconseil-des-sages.arles.fr/pdf/livre_blanc_conseil_des_sages_2010... · manière des containers recueillant les piles et ampoules électriques

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Années 2010/2011

2

INTRODUCTION

Le Livre Blanc de la Ville d’Arles

Ce Livre Blanc est une réalisation du Conseil des Sages de la Ville d’Arles

.

Soucieux de l’attrait, du confort, de la mise en valeur du très riche patrimoine de leur

ville, du bien être de ses habitants, de son accueil et de l’image qu’elle offre aux nombreux

touristes qui viennent la visiter, ses Sages, au nombre de quarante-cinq, choisis par sa

municipalité, ont voulu mettre leur expérience, leur sagacité et leur clairvoyance, au service

de l’amélioration de ses conditions de vie et de sa promotion.

Évidemment, cela passe par une analyse critique de toutes les anomalies importantes

que présente la Cité dans son état actuel et auxquelles, selon eux, il pourrait être facilement

remédié.

Ce travail auquel ont participé la plupart de nos conseillers, chacun dans leur secteur

d’activité, avec beaucoup d’objectivité et sans aucun a priori, se veut une critique constructive

et non pas systématique, de tout ce qui ne va pas dans la Ville d’Arles.

Il s’est agi de dénoncer l’anomalie, de la démontrer, de la matérialiser par l’image,

enfin d’avancer un début de solution apte à aider à la résoudre.

De fait, nous avons recueilli non moins de 83 propositions accompagnées d’environ 250

photos. Ces dernières nous permettent de réaliser une belle illustration des anomalies

dénoncées

L’autre ambition d’une telle initiative est d’attirer l’attention de nos élus et surtout de

leurs services municipaux sur ce qu’il serait le plus urgent d’aménager à nos yeux, avec

relativement peu d’investissements, et de les aider à voir plus clair dans leur œuvre

d’amélioration de la vie et de l’accueil de notre Ville.

3

Table des matières.

1 Propreté de la ville Déchets de base Déchets ménagers Tags, papiers, plastiques, poubelles, p6

2 Propreté des sites en général

Nettoyage / netteté p13 Entretien végétal / désherbage p15

3 Maintenance des sites de vie

Environnement p29 Entretien des chaussées, trottoirs, escaliers p34 Pourtour des arbres p44 Promenades p47 Places p56

4 Immobilisme

Façades des maisons p58 Animation des rues p60 Ordre et discipline p62

5 Maintenance du Patrimoine

Monuments p68 Sites spécifiques p69 Abords p72

6 Commodités

Toilettes, lieux d’aisance p76

7 Accueil touristique Entrées de la ville p79 Stationnement p89 Circulation p93

4

8 Suggestions

Les chemins de Saint Jacques de Compostelle p 100 Ateliers des roues, passerelle SNCF, Quartier Mouleyres p 101 Rénovation complète des quais du Rhône p 102 Illumination de la ville p 103 Le pont Van-Gogh p 104 La tombe de Jeanne Calment p 107 Proposition globale p 108

Conclusion

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1

Propreté de la ville

Déchets de base

Déchets ménagers

Tags, papiers, plastiques

Poubelles

6

Ordures et Tags

Quai de la Roquette, au pied du pont de Trinquetaille par exemple, c’est le centre d’un dépôt d’ordures conséquent et présence d’armoires inesthétiques " taguées " en permanence

Solution :

Cet endroit étant un centre stratégique de dépôt d’ordures regroupées, portées là par les propriétaires de maisons situées dans les rues du quartier de la Roquette adjacentes au quai, il y aurait lieu d’envisager d’en prévoir l’enlèvement régulièrement tous les matins…ou soirs afin d’éviter l’empilement. Il en va de même pour tous les conteneurs situés le long du quai en face des rues perpendiculaires au quai, qui desservent le quartier .

7

Les Bacs à Ordures

ou " Poubelles "

C’est un des problèmes les plus cruciaux et des plus difficiles à résoudre dans la plupart des

villes pour les municipalités qui ont la charge de la propreté et de l’enlèvement des ordures ménagères, mais aussi le souci d’occulter le plus possible les conteneurs plastiques destinés à

cet effet et qui sont particulièrement inesthétiques

Que ce soit en centre ville, ou au flanc des monuments, au bord du Rhône, le problème est le même et cette proximité incontournable dénature beaucoup l’ambiance (photos ci dessus)

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Solution :

Trouver un moyen de camoufler ces bacs du mieux possible à la vue des passants, sans que cela empêche ni gêne le travail des éboueurs. Nous proposons (photos ci dessous) un moyen à la fois peu couteux, relativement esthétique et pratique ….mais il en existe d’autres. Celui-ci est utilisé à St Rémy qui se veut une ville propre et coquette, en plein centre, et ne nuit pas à l’harmonie de la cité

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Amélioration de la propreté

Ce n'est pas très original, mais l'amélioration de la propreté et l'entretien de l'existant devraient être plus présents dans notre ville. Nos remarques vont également dans ce sens. Première photo : La présence persistante de containers devant le Collège St Charles.

Ces containers se trouvent sur le trajet des touristes qui montent de la rue de la Calade, visitent le théâtre antique et vont ensuite vers les arènes. Les deux sites, nous dit-on, les plus visités à Arles!!!!!! A notre connaissance ces containers sont aussi utilisés par les restaurateurs et remplis à toute heure de la journée. Deuxième et troisième photos :

Toujours dans le quartier de l'hauture. Avant que nous arrivions au grand projet de mise en valeur de la porte d'Auguste, nous constatons quotidiennement que cet emplacement présente trois problèmes importants dont nous avons déjà débattu avec d'autres habitants du quartier.

1. Le simple entretien des balayeurs n'est pas fait régulièrement d'autant que très souvent des jeunes (ou d'autres) y stationnent et laissent des bouteilles, des papiers gras et des canettes vides qui y restent plusieurs jours.

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2. L'entretien de la végétation aux abords des remparts et de l'escalier n'est jamais fait 3. Les pierres et les marches de l'escalier sont en train de glisser sur le côté.

Cet escalier est emprunté, entre autre par les Arlésiens qui se rendent au marché, mais aussi par de nombreux touristes. Les marches en sont glissantes, les feuilles y sont rarement balayées.

Il serait bon de savoir quelle est la société chargée de l'entretien des végétaux ? A quel rythme ils nettoient ? Passer des consignes aux balayeurs laxistes..... De toute façon, ce problème est de notoriété publique. Alerter les services compétents sur l'état de délabrement de l'escalier (voir problème de sécurité).

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Recyclage, gestion des poubelles

Le Danemark recycle ses déchets a 80 %, l´hexagone a 63 % à peine et la zone PACA 30 %, la taxe sur les ordures ménagères ne cesse d´augmenter.

Questions au gestionnaire de la Ville d´Arles : Alors que nous savons que le plastique est indestructible, qu´il se retrouve au milieu de nos océans une pollution sans précédent en train de créer un sixième continent puisque la grande zone de détritus du Pacifique est estimée à la taille de l´État du Texas, voire de l´Europe centrale. Chaque objet se fractionne et forme des granulés microscopiques indestructibles qui provoquent des dégâts irréversibles. Nous produisons sur Terre 260 millions de tonnes de plastique par an, ce qui correspond à 30 kg par habitant d´une matière contenant dans sa composition des substances dangereuses et dénoncées dans de nombreuses études sanitaires. Par exemple le bisphénol A ou BPA interdit par le Canada en 2008 et par le Parlement français seulement le 23 Juin de cette année. Le verre étant la seule alternative au plastique pourquoi ne pas fa ire de la Ville d´Arles non seulement une " Ville fleurie ". Mais aussi une Ville Verte. D´autant plus que nos corbeilles en ville débordent sans cesse, que nos sacs jaunes se multiplient et que les responsables de ces montagnes de publicités et de bouteilles plastique ne semblent pas être inquiétés ? Quelques propositions : Les marchands ambulants de Pizzas ou autres aliments servis sur place seraient obligés d´avoir leurs propres poubelles afin que les consommateurs ne jettent pas par terre les emballages, bouteilles ou cannettes. Les grandes chaînes commerciales devraient être obligées, comme dans les pays nordiques et parfois dans le Nord de la France de vendre leurs boissons en bouteilles de verre et en caisses contre une consigne. Celles–ci seraient contraintes d´installer les machines nécessaires à cette reprise. De même devraient-elles installer à l entrée de leurs magasins des containers à papiers où les clients pourraient se débarrasser de tous ces emballages inutiles et coûteux pour la Ville, à la manière des containers recueillant les piles et ampoules électriques. Des boîtes à ordures "vertes " pour papiers et plastiques pourraient être distribuées et éviteraient ainsi ces sacs jaunes volant partout obligeant la permanence d´un système de distribution.

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2

Propreté des sites en général

Nettoyage, Netteté Entretien végétal

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Nettoyage, Netteté

Conteneur à verre Louis Vissac

Cet emplacement ne permet à aucun véhicule de stationner pour décharger ses verres à moins de gêner la circulation

Des débris partout sur le trottoir. Emplacement possible sur un terre plein au bout de l'allée Crin Blanc, facilement accessible à pied comme en voiture, pas très loin de l'avenue.

Emplacement possible sur un terre plein, à proximité de l'école Louis Aragon, accessible et visible de l'avenue

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Pollution Visuelle

Ne serait- il pas possible d'imposer aux distributeurs de publicités, sous peine de sanction, de ne pas distribuer de prospectus quand il est impossible de les glisser entièrement dans les boites aux lettres ?

Il y en a tous les jours ! Incivisme ou mistral, ces publications se retrouvent dans la rue et contribuent à la mauvaise idée que tout un chacun véhicule "La ville d'Arles n'est pas propre" Les distributeurs sont connus et il ne doit pas être compliqué de leur faire comprendre que l'intérêt de la collectivité est l'affaire de chacun.

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Désherbage, Entretien végétal

Acacia de l'avenue Victor Hugo

Une branche de l'acacia risque de blesser un passant par sa chute car, morte, elle peut tomber n’importe quand par jour de mistral. Visuellement ce n'est pas très esthétique non plus.

La solution est de la couper.

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Les Barbus de la ville.

Nos platanes, et ils sont nombreux, ont besoin d'une coupe de cheveux. Car cela donne une impression de ville non soignée.

Il y a également les murs des remparts qui eux aussi ont une parure d'herbes folles, des tags immondes souillent le mur situé au bord du Rhône sur le passage des touristes fluviaux, mauvaise impression aussi.

Solution :

Coupe de cheveux pour nos platanes (dans toute la ville et même au stade de Pont de Crau) Produits désherbants en début de saison, c'est-à-dire avant qu’elles prolifèrent, pour les plantes colonisatrices sur nos murs (hors d'âge). Cela peut être fait par des entreprises de réinsertion.

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Les Remparts

Que ce soit le long du Bd Émile Combes (face au cimetière) ou sur la portion Rue Jules Ferry, de part et d’autre de la Porte de la Cavalerie, les Remparts de la Ville, signes et témoins de

son ancienneté, ne sont pas très bien entretenus. Autant, le long des escaliers qui montent vers la place de la Redoute, des arbustes entretenus agrémentent le site, autant en d’autres endroits, des arbres sauvages, des touffes ou massifs de mauvaises herbes poussant de façon désordonnée et en pleine anarchie étouffent la perspective et cachent l’harmonie d’un site aussi grandiose et prestigieux, donnant une

impression de complet manque d’entretien aux yeux des passants arlésiens ou étrangers. C’est aussi le cas de tours ou de sites majestueux et remarquables, disséminés dans la ville, qui sont envahis de mauvaises herbes ou d’arbrisseaux sauvages. En particulier en fin de printemps et tout l’été, au moment où la ville est la plus visitée, donnant une impression de

manque d’entretien et de laisser aller : Tour de l’Écorchoir, Façade Constantin (bretelle de la voie rapide à gauche), Tour des Mourgues, Porte d’Auguste, Ancienne église St Blaise, St Honorat (Alyscamps) ….et souvent le Pont Van Gogh.

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Solution :

Il suffirait que les services d’entretien des monuments de la ville, ou du végétal, passent plus souvent, surtout en fin de printemps/début d’été pour couper cette végétation intempestive, et

veiller à ce qu’elle ne prolifère pas, puis ensuite pour tenir propre. Des applications de désherbants en début de saison peuvent aussi être envisagées, sur les endroits où on sait que cette végétation se développe traditionnellement

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Musée Réattu

Environnement

La partie arrière du Musée Réattu a été aménagée et décorée d’arbustes et de gravier,

appropriée, à l’occasion de l’exposition Christian Lacroix.

Nous recommandons de veiller à continuer d’apporter un soin tout particulier à l’entretien de cet espace, car il est en quelque sorte la vitrine du musée sur le fleuve.

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Canal de Craponne

Alors que Le Canal de Craponne qui traverse Arles de bout en bout, d’Est en Ouest, a été dénoncé sans consultation par trois de nos conseillers, l’un pour sa partie "amont" (Pont de Crau – Alyscamps), les autres pour sa partie " aval " ( La Croisière – Le Rhône), il est évident que ce canal qui a au moins le mérite d’exister, est mal entretenu et largement utilisé en dessous de ce qu’il mériterait et de ce qu’il représente : un beau poumon pour notre ville. Vu l’état dans lequel il est maintenu, on en est pratiquement à vouloir le " buser " pour le faire complètement disparaître de la vue des riverains. Or, si l’on voulait s’en donner un peu la peine, on pourrait en tirer un magnifique parti. En rêvant un peu, le Canal de Craponne est un cordon ombilica l pour Arles :

- D’abord il longe la route de Pont de Crau sur un aqueduc ancien, de belle facture, qu’il suffirait de mettre un peu en valeur, comme cela a été fait avec succès sur le carrefour de Pont de Crau.

- Ensuite, il longe les Alyscamps et la Grande Halle des Ateliers, au milieu d’une rangée de magnifiques platanes qui trouvent naturellement leur humidité en poussant sur ses rives, et cela jusqu’à la Croisière….et là, il suffirait de le tenir propre et d’en aménager un peu les rives pour permettre aux promeneurs de le longer agréablement, sous de la belle ombre, accompagnés par la fraicheur de ses eaux ;

- Cette promenade pourrait être prolongée jusqu’à la Poste, et elle est d’ailleurs utilisée par des passants, mais dans des conditions difficiles et dangereuses car non aménagées. Le fait de l’entretenir donnerait plus d’ampleur à la rue Émile Fassin qu’elle longe en surplomb et qui s’en trouverait plus aérée ;

- Enfin, entre la Place Charles de Gaulle et le Rhône, le long de Clémenceau, un entretien régulier et une meilleure mise en valeur de ses margelles serait une nouvelle belle promenade et un beau lieu de flânerie et de rencontres pour les arlésiens et leurs visiteurs. Les habitants des rues de la Roquette pourraient y venir prendre le frais les soirs d’été.

Plus généralement,

Outre la richesse de son patrimoine, Arles a la chance d’être parcourue, aérée et rafraîchie par

un réseau aquatique très important, entrecroisé et bien réparti, dont on pourrait tirer la quintessence si l’on s’en donnait un peu la peine : Le Rhône, évidemment, de son côté, dont une partie des berges a été refaite avec succès, Le Canal de Craponne qui la traverse par le Centre, où pratiquement tout reste à faire, Le Canal d’Arles à Bouc qui mériterait lui aussi d’être mieux utilisé et mis en valeur sur ses berges, n’oublions pas qu’il dessert le Pont Van Gogh Le Vigueirat enfin qui peut servir de belle promenade, de parcours de course, de piste de vélo, et qui lui aussi mériterait un bien meilleur traitement. Autrement dit, nous détenons un grand potentiel naturel, il serait trop dommage de ne pas l’exploiter au maximum. Le tourisme vient naturellement chez nous, sans que nous soyons obligés d’aller le chercher….faisons au moins l’effort de bien l’accueillir !! Et pour les arlésiens, celui d’agrémenter leur vie !

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Canal de Craponne

Amont

Lorsqu’on arrive de la Léproserie, qu’on passe sous le petit pont du chemin de fer ( après

avoir failli se faire écraser 3 fois par les voitures qui vous frôlent et en être sorti sourd après avoir pris une peur bleue à cause d’un train qui vous est passé à 2ms de la tête pendant que

vous étiez dessous et qui vous a surpris ), et qu’on veut faire un brin de promenade le long de la berge du canal à l’ombre des platanes, longeant les ateliers, pour finir à l’entrée des Alyscamps, ….voila ce que vous rencontrez, si vous avez trouvé le moyen de vous frayer un

chemin :

Quel dommage qu’un si joli endroit, si proche du cimetière des Alyscamps dont on po urrait apercevoir les tombes d’où se dégage encore autant de nostalgie, soit abimé et pollué par

autant de végétation sauvage et désordonnée qui vous détériore littéralement tout le site. Combien d’arlésiens qui y viennent promener leur chien, combien de joggers qui viennent y courir tranquilles, combien de visiteurs extérieurs qui après avoir visité les Alyscamps longent le canal pour se rendre sur le site des ateliers, ne serait-ce que pour prendre un peu de fraicheur en plein été, combien d’amoureux enfin qui loin des regards curieux, viennent chercher un peu d’intimité,…..voient leur promenade et leur plaisir gâchés à cause d’un tel manque d’entretien !

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Solution :

Simple ! Assurer l’entretien constant de ce site, car il fait partie, e t bientôt encore plus, du patrimoine environnemental de notre ville.

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Canal de Craponne

Centre ville

Tout au long de son parcours à travers la ville, et proche de son embouchure au Rhône, qui correspond à l’entrée d’Arles par la voie rapide (nouveau pont), par où passent ou garent de nombreux touristes, les berges sont particulièrement sales, infestées de mauvaises herbes, et donnent l’effet d’un mauvais entretien sinon de complet abandon

Solution :

Veiller ou donner des instructions au service chargé de ce canal, ville ou association, de le tenir propre au moins 2 fois par an lorsque le canal est vidé . Vote d’un arrêté municipal à l’encontre de l’Association chargée de l’entretien ?.

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Entretien des plates bandes

Autres remarques sur la beauté de cette ville. Arles contrairement à ce qui nous est avancé, n'est pas uniquement une ville "minérale". Et lorsqu'elle crée des plates-bandes pourquoi les laisser à l'abandon ensuite ? Cette photo a été prise devant le bâtiment des Finances Publiques. Où il y a une plate-bande en friche. Ou on l'entretient, ou on la supprime !

Question :

Qu'est-ce qui détermine le fait que ces massifs soient entretenus jusque devant la police et la gendarmerie et pas devant les Finances Publiques et la Sécurité Sociale ? Là encore, sur le trajet emprunté par les touristes et les Arlésiens qui se rendent aux Alyscamps, il serait bien d’avoir des parties fleuries bien entretenues. Si cet endroit est propriété de l'état, il faut essayer de négocier l'entretien avec le responsable du site.

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Les abords du parking P2

Av. Sixte Quenin

Les abords de l’avenue Sixte QUENIN, en face du parking nouvellement aménagé, n’ont pas eu droit au même traitement que le parking lui-même. Il aurait fallu les traiter pendant les travaux, pour boucher les trous et supprimer les mauvaises herbes afin d’avoir un quartier homogène au niveau propreté.

Installer un parking à grand frais d’un coté et autoriser le parking sauvage sur une jungle en face, c’est dommage !!!

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L’ancienne ligne de PSL

Voici sur quoi " tombent " les nombreux promeneurs qui viennent du Pont Van Gogh, à pied ou en bicyclette, par l’ancienne ligne de Port St Louis, actuellement transformée en piste cyclable entre le Pont qui enjambe le canal et la voie rapide jusqu’au passage à niveau du Bd Émile Zola, ….. S’ils veulent prolonger leur chemin jusqu’aux Alyscamps en empruntant la voie, c'est-à-dire un passage quasiment impraticable !

Le passage à niveau et ses abords, face de l’entrée/sortie du site des Alyscamps, c'est-à-dire par là où passe la plus grande partie des touristes qui visitent notre ville, ne sont pas mieux tenus, laissant une impression de mauvais entretien et de laisser aller du plus mauvais effet. Le grillage qui délimite la propriété Réseau de France est en mauvais état et un piéton risque de se blesser contre. De plus les trottoirs sont envahis par la végétation des riverains.

Solution :

Toujours la même : Assurer un meilleur entretien plus constant, plus régulier. Utiliser dès le début de saison du désherbant pour empêcher la jeune végétation de se développer, et tenir le site propre. Demander aux riverains de couper leurs arbustes.

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Le canal du Vigueirat La digue du Vigueirat, qui part de la route de Fontvieille à Pont de Crau est très mal entretenue . Il est à constater que cette digue, qui permet aux promeneurs, joggers et autres vététistes de circuler tranquillement sur plusieurs kilomètres, était, au départ, d’une largeur suffisante et revêtue de gravier, style tapissette. Elle est recouverte, maintenant presque entièrement, d’herbe, même si un fauchage est réalisé de temps en temps.

Solution :

Un désherbage régulier, et surtout en début de saison, serait plus approprié pour la garder en bon état.

28

3

Maintenance des sites de vie

Environnement.

Entretien des chaussées, trottoirs, escaliers

Pourtour des arbres

Promenades

Places

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Environnement.

Poteaux électriques

et lignes sur potelets en ville

Problème : Angle Bd Georges Bizet / Rue Alphonse Daudet, et le long du trottoir Bd Bizet opposé au Collège. Deux hauts poteaux électriques en fer rouillé sont plantés aux angles des trottoirs empêchant tout passage de piétons qui sont obligés de descendre sur la chaussée pour les contourner au risque de se faire bousculer par une voiture ou une moto juste à l’endroit où les élèves du collège Ampère passent dans la rue comme des fous en sortant de leurs cours …pour épater les copains et les filles en particulier.

C’est le même risque que doivent prendre les mamans avec les poussettes de leurs bébés et les personnes âgées, ce qui est plus grave….sans parler des personnes à mobilité réduite. Même problème tout au long du même trottoir en raison de l’implantation de poteaux ciment au milieu du trottoir qui déjà est étroit. Solution :

Trouver un accord avec ERDF, qui est certainement propriétaire de ces supports des années 30, pour remplacer les fils aériens par des câbles sur façades ou alors par un moyen plus moderne pour une ville du Patrimoine Mondial de l’Humanité :

L’enfouissement.

30

Transformateur électrique où autre ?

Il existe, Bd Georges Clémenceau, entrée de la ville côté Rhône, un bâtiment de l’ERDF le

long du canal de Craponne, véritable furoncle, tagué et toujours garni de vieilles affiches qui ne sont jamais décollées . Ce bâtiment est d’une saleté qui provoque le dégout (odeurs pestilentielles car l’endroit sert d’urinoir). Tout ceci est d’un effet déplorable……

Même la piste cyclable a un aspect bizarre !!!!

Solution :

Étudier avec les services concernés comment le remplacer par une installation neuve et certainement plus moderne et….. le supprimer

31

Bornes d’incendie

Problème : En de nombreux endroits de la ville les bornes d’incendie, placées sur les trottoirs, restent

ouvertes, gênent le passage des piétons et risquent de provoquer des accidents sur les personnes âgées ou à mobilité réduite.

Solution :

Demander aux services concernés de veiller à ce que les bornes soient refermées après usage et de vérifier périodiquement leur bon état de fermeture.

32

Pollution Visuelle

Le centre ville ne mérite-t- il pas d'une meilleure attention de la part de l'équipe chargée de la propreté ?

La solution ne serait-elle pas de demander aux afficheurs, aux producteurs des affiches ou aux entreprises qui les diffusent n'importe où, un peu plus de respect sous peine de sanctions ? Ne serait- il pas possible de responsabiliser les propriétaires de locaux vacants en leur suggérant d'indiquer clairement sur leur devanture "Interdiction d'afficher" ? Facturer le nettoyage aux sociétés qui pratiquent l’affichage sauvage ?

Une réactivité plus grande pour le nettoyage des tags serait souhaitable afin que le centre ville soit plus accueillant visuellement. Élimination dans les 24h. Réserver des murs d’expression ? En communiquant aux propriétaires les tarifs spéciaux qui existent pour nettoyer les tags, ils pourraient être incités à une meilleure coopération avec la municipalité pour que leur façade reste propre. Tous ces tagueurs sont connus. Il faut les poursuivre au pénal pour leur enlever l’envie de polluer la ville avec leurs graffitis débiles

33

Les Tags

Nombreux sont les murs de notre Ville, du Centre en particulier, publics ou privés, murs d’enceintes, de monuments ou de garages ou de maisons, qui sont régulièrement tagués.

Toutes les couleurs s’y retrouvent ainsi que dessins, signes cabalistiques, la plupart du

temps incompréhensibles pour les non initiés…et peut-être pour leurs auteurs aussi. Il s’agit qu’une façade soit repeinte, un site rénové, une porte de garage changée pour que

quelques jours plus tard ils soient souillés par des tags. Un peu décourageant pour ceux qui ont fait l’effort de rénover,…ainsi que les frais.

On ne sait si le Tag est un nouvel art comme cela a été dit ces dernières années par un Ministre de la Culture, mais ce que l'on sait, c’est qu’appliqué sur nos monuments, ou à côté de vieilles

pierres, sur les murs de notre centre ville : c’est minable, c’est sale et ça fait pas soigné …effet déplorable aux yeux de nos visiteurs. Ville négligée à l’entretien défaillant ! Solution : D’abord les interdire. Ensuite punir les tagueurs pris en flagrant délit. Les condamner à payer les dégâts, ou bien les obliger à nettoyer leurs tags et à remettre les lieux en état, quitte à leur fournir les produits détergents. Demander aux services municipaux de nettoyer plus souvent les ouvrages publics en réagissant dans les 24 heures comme à Genève et encourager (en les aidant ?, en mettant les produits à leur disposition ?) les propriétaires privés du Centre Ville à nettoyer rapidement leurs façades. Prévoir des murs d’expression pour essayer de canaliser ce nouveau mode d’expression et ces nouvelles " formes d’art ". Quitte à les nettoyer de temps en temps pour permettre les renouvellements de réalisations.

34

Entretien des chaussées, trottoirs, escaliers, pourtour des arbres, promenades, places

Bornes anti stationnement

Square au pied de la tour de l’Écorchoir, au bout du Bd Georges Clémenceau, une borne a été renversée depuis longtemps et non remise sur pied : effet de négligence et de manque de maintien en bon ordre des ouvrages sur la voie publique

Plus généralement, dans toute la ville, de nombreux potelets en fonte ou de barrières disposés pour empêcher le stationnement sont arrachés, ou tordus.

Certes les services municipaux passent de temps en temps pour réparer mais avec un ordre de mission ne concernant en général qu’une borne alors qu’il y en a 2 ou 3 (état de fait constaté auprès des employés municipaux). Il n’y a pas assez de réactivité de la part de l’encadrement qui aurait des difficultés à se faire

entendre ? Tout cela contribue à installer une impression de laisser aller, chez les riverains, qui est préjudiciable à la réputation des employés municipaux et de la ville

35

Homogénéité de la nature des revêtements

des sols, des trottoirs et des chaussées.

En général, dans notre ville, on peut dire "de partout", tous les revêtements de sols sont différents les uns des autres, de textures différentes, de couleurs différentes, souvent mal joints, de toutes formes et de tous matériaux (photos 1,2).

1 2 Dans une ville qui a été particulièrement soignée au cours des siècles, riche, constamment embellie par les soins des souverains qui s’y sont succédés, au patrimoine harmonieux, beau

et grandiose - qu’on vient visiter de loin, Cette anomalie est particulièrement choquante, surtout quand on visite la ville pour la première fois et qu’on la voit donc avec des yeux neufs Solution :

Sélectionner un revêtement une fois pour toutes à utiliser dans tous les travaux effectués dans la ville, en particulier sur les trottoirs et les chaussées. Un matériau approprié à l’harmonie des monuments et des bâtiments anciens …de telle sorte que les visiteurs perçoivent une intention de recherche et de soin particulier

apporté à l’embellissement de notre ville (Ex photo 3)

3

36

Il en va de même pour les chaussées ou terre-pleins goudronnés à l’époque, souvent au

4 5

détriment des galets de Crau et dont le goudron a sauté (photos 4,5) ….pourquoi ne pas réhabiliter le galet, matériau du pays et du plus bel effet ? (Ex photo 6) évidemment pas de partout, mais en des endroits particulièrement choisis et stratégiques pour l’intérêt et la curiosité des touristes.

6

37

Remarques d’ordre général

Des dalles sont descellées autour de la fontaine place de la République

Rond point de Fourchon

A la vue de l'entretien des ronds points aux entrées de la ville, notamment ceux de Fourchon, on peut se demander si, parmi le personnel de la commune, il y aurait un maçon capable de restaurer l'alignement des pavés qui faisaient l'originalité de l'aménagement.

Il y a un problème d'aménagement des entrées de la ville d’Arles, qui seraient

selon les dires ...les plus "moches" du département...

38

Réaménagement

Lieu : pont SNCF boulevard Victor Hugo. Le trottoir est dangereusement rétréci présentant une difficulté d’utilisation et un risque de

chute surtout pour les utilisateurs de fauteuils roulants ou pour les poussettes (hauteur de chute 40 à 50 cm) Problème pouvant être résolu par mise en place d’une grille triangulaire au niveau du trottoir

39

Revêtements Trottoirs

Avenue des Alyscamps coté Maison de Retraite et Montée Vauban coté Jardin d’Été, le revêtement des trottoirs est très abimé, souvent soulevé aux pieds des arbres, partout fissuré et complètement disjoint la plupart du temps. Cela est dangereux pour les personnes âgées et interdit pratiquement le roulage normal des poussettes d’enfants.

Comme ailleurs, il est, en effet, regrettable de laisser aller et de ne pas entretenir au fur et à mesure des dégradations. Cela fait des années que ça dure.

40

Solution :

Il suffirait simplement d’un passage une fois pour toutes des services d’entretien des rues de

la ville pour réparer et refaire le nivellement des trottoirs en bouchant les fissures, pour repartir franc pour plusieurs années. La ville de La Grande Motte a résolu le problème en faisant des trottoirs et des encadrements, autour des arbres, en béton….Tout simplement et si l’on veut, on peut le teinter. Réparation à minima par le personnel municipal.

41

Avenue Victor HUGO

Nous dénonçons, ici, l’état épouvantable du trottoir, qui sert aussi de parking en toute confusion, dans tous les sens, en désordre et sans contrôle. Les nombreux visiteurs des établissements riverains ont les pires difficultés a se frayer un chemin tant les embuches sont nombreuses entre les voitures garées anarchiquement et le mauvais état du trottoir. Le piéton est sacrifié pour le tout " bagnole ".

42

Solution : Terminer le travail, commencé il y a quelque temps, sur la partie du boulevard en face, afin que ce quartier ressemble à un ensemble cohérent. Compte tenu de la rapidité de mise en valeur du site des ateliers, la mise en chantier, rapide de l'aménagement du secteur, serait la bienvenue.

43

Marches d’escaliers disjointes

Présence d’un plot ciment

Angle quai de la Roquette / pont de Trinquetaille en bas : les marches de l’escalier entre la rue et la promenade du quai sont disjointes mettant en difficulté les personnes voulant monter par là. Et plus généralement, la même anomalie se reproduit le long des quais Marx Dormoy et rue Marius Jouveau Sur le même site, un plot en ciment, au pied de l’arbre, empiétant sur la chaussée et la place

de stationnement à coté

Solution :

Reprendre et jointer les marches partout où il en est besoin le long des quais Casser et enlever ce plot de ciment

44

Les Pieds des Platanes et leurs Ouvrages d’Entretien

En plein centre ville, sur le Bd des Lices (photos1.2.3.4.5),

1 2

3 4

5

que ce soit devant les cafés, Wauxhall (photos 6.7.8)

6 7

45

8

Bourse (photos 9.10),

9 10

Malarte (photos 11.12.13)

11 12

13

et en particulier angle Lices / Rue Jean Jaurès devant la te rrasse du Bar du Marché (photo 14),

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14

c'est-à-dire à l’endroit où par jour il passe le plus de monde, au dessus du Jardin d’Eté aussi (photo 15).

15

Les arbres en poussant, épaississant et se renforçant, ont provoqué des soulèvements de macadam, des déformations des ouvrages de pourtour. Au cours des décennies, ces revêtements ont fait l’objet de rapiéçages, avec des revêtements de matériaux de textures et de couleurs différents …du plus mauvais effet Outre le fait que ces dénivellements sont très dangereux pour les piétons, entre autres les personnes âgées ou les mamans avec poussettes, ils sont d’un très mauvais effet pou la tenue de notre ville.

De même, les ouvrages construits autour de la plupart des arbres sont différents les uns des autres, en fonction des époques où ils ont été réalisés : des carrés, des ronds, ou pas d’ouvrages du tout, protégés par des fers ronds ou des pavés de pierres Solutions :

Vérifier tous les pieds des arbres du centre ville et des principales artères les plus fréquentées, Niveler les sols alentour et réparer avec un seul et même matériau esthétique Uniformiser les ouvrages autour des arbres pour la forme, le coup d’œil, les couleurs,

raccorder le macadam des trottoirs et l’homogénéiser pour rendre l’ensemble agréable et cohérent.

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Promenades

Les grilles du stade

Bon d'accord l'ACA est en seconde division, et nous n'avons pas de stade pour jouer à ce niveau de compétition Mais on se pose la question de savoir si l'aspect rouillé des grilles de ceinture de l'ancien stade qui est du plus mauvais effet, ne pourrait pas être réaménagé ? Peut être s'agit il d'un effet de résistance des métaux, n'y a t- il pas de budget peinture?

Solution :

Ne pourrait-on pas, par le biais des associations telles que Regard, Coup de Pouce ou par les services municipaux, traiter et repeindre ces grilles en une belle couche de blanc ? D'autant que ces voies sont très utilisées non seulement par les arlésiens mais par beaucoup de monde. Alors un stade de 33 000 places non ! Mais des grilles propres au moins !.

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Montcaldette Nous nous trouvons chemin de la Montcaldette ou nous pourrons apercevoir en passant un panneau annonçant un carrefour qui git depuis longtemps parmi les plantes.

De nos fossés, également toujours dans ce quartier, nous constatons un dépôt de ruines sauvages et également les besoins de faire passer l'épareuse.

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Solutions proposées : Redresser le panneau. Débarrasser le dépôt sauvage Quant au fossé, l'épareuse s'impose de temps en temps .

Ps : le panneau a été redressé mais il reste le dépôt de ruines, et l'épareuse à faire passer régulièrement.

Piste cyclable avenue BACHAGA BOUALAM

Piste cyclable du Pont Réginel

Chercher l'erreur

Une végétation un peu trop généreuse et voila notre bande verte fortement réduite !

Une nouvelle bande et le tour est joué non ? Tout en préservant le passage des piétons

La solution s’impose d’elle-même !!! Que dire de cette sortie de piste cyclable !!

IL faut vraiment être téméraire pour " oser " l’emprunter dans cette partie ! C'est casse cou même pour un cycliste confirmé !Une équipe de conseillers est allée l'essayer pour la tester.... Seule une moitié est revenue indemne 50

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Suggestion :

Supprimer une bonne partie de la bordure, dans sa partie supérieure, afin de retrouver une largeur correcte pour aborder la "montée" jusqu'au stop

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Lotissements

Il ne manque que les miradors

Les permis de construire sont délivrés pour bâtir des maisons d'habitation. Nous pouvons supposer que le dit permis concerne, aussi, les clôtures des propriétés qu'elles sont sensées délimiter. Est- il possible que les différents propriétaires soient autorisés à bâtir ce genre de clôtures où se sont- ils dédouanés de l'autorisation et ont-ils fait n'importe quoi ?

Solution :

Faire en sorte que ces lotissements soient un peu plus accueillants en interdisant ce genre de construction et en développant une surveillance plus importante. Obliger les bénéficiaires de permis de construire à crépir leurs murs de clôture.

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Promenades

Promenade le long du Rhône

Quai de la Roquette, coté fleuve, la promenade étant le lieu de prédilection de nombreux promeneurs de chiens de la Ville d’Arles, malgré les efforts louables déployés par les services municipaux pour tenir propre, les crottes s’accumulent à longueur de journées, dénaturant gravement l’aspect d’une berge qui, à la suite des travaux récents de rénovation effectués, est devenue splendide.

Outre les déjections canines, la dernière photo montre clairement des crottes d’une origine différente, car il est difficile de concevoir que des chiens, aussi évolués soient- ils, aient le réflexe de s’essuyer eux-mêmes le derrière avec du papier !

Cet état de faits est fort regrettable et dénature injustement, non seulement l’harmonie d’un lieu

mythique pour notre ville, mais encore la réputation de son service de nettoiement car sur une rénovation claire, nette et propre, l’anomalie se remarque et choque encore plus.

Solution :

Installation de boites distributrices de sacs plastiques permettant aux propriétaires de chiens de ra masser les crottes de leurs " progénitures " Obligation par décret municipal de le faire. Distribution d’amendes ou de procès, par les gardiens municipaux, aux contrevenants …..Au moins au

début, jusqu’à ce que les bonnes habitudes de respect de l’environnement soient prises. Cela se fait couramment dans nombreuses copropriétés et d’autres municipalités …..Et ça fonctionne.

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Promenade des berges du Rhône Quai de la Roquette, coté rue, vers le milieu de la longueur : sur 100 ms environ il n’y a pas de revêtement, la terre battue est sale, pleine d’herbe, de gravier, toute dénivelée, hormis la saleté

difficilement nettoyable étant donné le manque de terrassement.

Solution :

Elle s’impose d’elle même par le revêtement en dur de cette partie, comme c’est le cas des autres tronçons de part et d’autre le long du même quai (photo ci-dessous).

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Bizarre !!!

Mauvais positionnements

Photo 1 Photo 2

Le passage des piétons ou des personnes à mobilité réduite est bien compromis. Il serait utile pour la photo 1 de déplacer le container et pour la photo 2 de revoir l'emplacement du passage piéton qui se trouve quai de la Roquette, à la descente du quai du Rhône, sur un axe de grande circulation, et qui aboutit sur……des containers à verre. En règle générale, une grande partie des passages protégés est à revoir et à repeindre. Pour la photo 3, l'arrivée de nouveaux panneaux dans la commune fait sourire les visiteurs qui cataloguent les Arlésiens de "fantaisistes"……

Photo 3

Les panneaux sont bleus ….. ???

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Places

Square de la Tour de l’Écorchoir

Rien à dire sur ce sujet sauf que cet espace accueillant est un lieu de repos, de jeux et mê me de pique-nique pour de nombreux habitants et touristes en quête d’un peu d’ombre et de tranquillité, en été spécialement. ………Et qu’on aimerait bien en voir fleurir plus souvent, à condition qu’ils soient régulièrement entretenus

et nettoyés.

Il serait bien venu d’appliquer les mêmes règles dans les autres squares de la ville : Bancs, fleurs etc.….

En règle générale, les places ou squares de la ville devraient être équipés de bancs et peut-être de tables pour faciliter les pique-niques.

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4

Immobilisme

Façades des maisons

Animation des rues

Ordre et discipline

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Façades des maisons

Mauvais entretien

d’immeubles en Centre ville

En de nombreux endroits au Centre Ville, de vieux immeubles souvent inoccupés sont laissés à l’abandon, sans entretien depuis longtemps, soit fermés, soit ouverts aux 4 vents, fenêtres sans carreaux, façades crevacées, sans crépis, toitures avec tuiles manquantes et chevrons écroulés, moisis par la pluie. C’est le cas, entre autres, angle rue Jouvène, Place Antonelle,

Rue Frédéric Mistral,

Rue du Cloitre, etc

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Hormis le piteux aspect que ces maisons donnent de notre ville, elles présentent un réel danger pour la population, surtout par grand vent, en raison de la chute de morceaux de toiture ou autres briques, cheminées ou pièces de façades. Cet état de fait dû exclusivement à l’incurie de leurs propriétaires. Solution :

Pourquoi, après avis à leurs propriétaires, la municipalité ne prendrait-elle pas à leur encontre un arrêté pour les contraindre à effectuer au moins un minimum d’entretien pour remettre ces immeubles en état

…d’autant plus que les réfections et ravalements de façades sont subventionnés et ne présentent pas des frais très importants. Par contre, citons en exemple les efforts de cette brave dame en train de repeindre sa porte et sa façade au n° 1 de la Place Henri de Barnier/ Rond Point des Arènes, c'est-à-dire au passage le plus fréquenté par les visiteurs entre Arènes et Théâtre Antique.

Elle a certainement compris que sa Ville a tout à gagner à présenter des façades propres et soignées, et elle a à cœur de participer à son expansion. Des primes ou cadeaux pourraient être distribués à ces propriétaires soigneux pour les encourager…et stimuler les autres à faire pareil, pourquoi pas ??

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Animation des rues

Les Rues Maudites

Plusieurs rues de notre Centre Ville sont de plus en plus désertées par les commerçants qui, ne faisant plus leurs affaires, ferment leur boutique et vont s’installer ailleurs ou ne plus s’installer du tout. Le magasin reste vacant un moment avec l’affiche « Fond à remettre », « bail à céder » ou « à louer », puis au bout d’un certain temps, ne trouvant pas de repreneur, se dégrade faute d’entretien. Les vitrines sont en proie à l’affichage sauvage et présentent un aspect désolant de mauvais entretien, de

saleté, mais plus grave, donnent à la rue entière un aspect d’abandon, de délaissement, de perte d’activité,

….. Une impression de faillite !!! Or, la faillite en terme de commerce, c’est plus repoussant qu’accueillant. Il est évident que plusieurs magasins fermés à la suite les uns des autres dans une même rue, c’est malheureusement le cas dans plusieurs rues d’Arles,

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induisent les repreneurs éventuels à se méfier car à leurs yeux, si les précédents commerçants ont dû fermer faute d’activité, il y a peu de raisons pour que les clients viennent chez eux, à moins d’un miracle. C’est le cas en particulier, de la rue du 4 Septembre, rue Jouvene, rue de la Liberté, rue Gambetta, rue de la Roquette entre autres. Solution :

Il n’existe pas de solution miracle à nos yeux, sinon une stratégie de longue haleine, qui passe par la piétonisation totale de ces rues étroites, les rendre plus accueillantes aux yeux des arlésiens ou clients des environs, et surtout des touristes, tous aussi las des grandes surfaces et des zones commerciales de périphérie.

Modifier les destinations des commerces, les orienter vers des activités ou des produits qu’on ne trouve pas d’habitude dans les grandes zones commerciales. Plus de souvenirs particuliers, d’artisanat, de vieux bouquins, d’antiquités, de produits de luxe.

Mais cela passe aussi par la nécessité d’aménager des parkings pour que les visiteurs puissent parquer

pour venir au Centre. Rendre les rues accueillantes, fleurs, musique, propreté, petites terrasses, sourire et gentillesse etc. …

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Ordre et discipline

La Mendicité

Arles est devenue une Ville où la mendicité n’a jamais été combattue avec grande fermeté. Certains " grands mendiants ", souvent d’origine étrangère, ont établi pendant longtemps leur fond de commerce en Centre Ville, avec chiens, exposition de casquettes, papiers gras et canettes de bière, investissant la plupart du temps les façades et les accès des monuments les plus fréquentés. C’est ainsi qu’ils ont réussi à figurer sur la plupart des photographies prises par les touristes du monde

entier et font ainsi passer Arles pour une Ville particulièrement " accueillante ", … mais aussi dans un état de paupérisation particulièrement avancé. C’est le cas Place de la République, devant le portail de St Trophime, la façade de la Mairie, ou bien le long des rues du Centre (Jean Jaurès, République, etc...)

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Tout récemment, une recrudescence de mendicité est à noter en Centre ville avec l’arrivée de Roms qui, eux, mettent en pratique une organisation corporative remarquablement structurée avec femmes, enfants, personnes âgées et si possible infirmes, déployés dans toute la ville, évidemment aux points les plus stratégiques.

Solution :

Il ne s’agit pas de les expulser de la Ville, mais simplement de les éloigner de ces centres névralgiques en leur imposant de déplacer leur " fond de commerce " en d’autres endroits de la ville, moins exposés et moins voyants. Évidemment, leur " chiffre d’affaires " risque de s’en ressentir, mais c’est la rançon de l’aléa de l’emplacement, comme l’ont subi à leur dépend les commerçants d’Arles qui n’ont pas eu la chance

d’exercer dans le triangle d’or.

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L’attrait subjuguant du Parvis de la Mairie

et de la Place de la République

pour les jeunes

Il est très curieux de constater le nombre de jeunes, essentiellement des quartiers, qui ont élu comme terrains de jeux, pour y faire du "skate board" ou du vélo de figuration, le parvis de la Mairie ou l’espace de la Place de la République.

Il est vrai que ces deux sites présentent pour eux un véritable intérêt pour l’exercice de leur entrainement aux figures et acrobaties que permet la pratique de ces deux disciplines :

- d’une part le revêtement parfaitement plane et lisse en marbre du parvis, - et la fréquentation importante de la Place par les touristes et les arlésiens,

leur procurent un champ exceptionnel d’expression et d’exhibition leur permettant de se livrer à leurs exercices favoris et de " briller " devant un public naturel.

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Ces occupation / appropriation des lieux ne seraient pas trop graves si elles ne provoquaient pas des nuisances importantes:

1. En matière de bruit : La Place, pas très grande, est entourée de monuments qui favorisent une résonnance sonore et une gêne très importante, pour les gens qui travaillent dans les bureaux alentour, pour les guides de groupes de visiteurs. Ils ne peuvent plus donner leurs explications, les visiteurs ne peuvent plus les entendre. Tout cela à cause des planches à roulettes.

2. En matière de risques d’accident : C’est le cas pour les skates mais aussi pour les vélos. Tentés par l’émulation qui se crée entre eux et par

l’exagération que leur communique l’envie de démontrer leur habileté au regard des passants ; les

jeunes...et parfois moins jeunes, jouent à celui qui virevoltera le plus vite, sautera le plus haut, fera les figures les plus périlleuses au détriment de la sécurité des passants et des touristes qui les ont souvent " sur les pieds " Nombreux sont ceux qui appréhendent de traverser la Place ou le parvis (personnes âgées, mamans avec poussettes, personnes handicapées, ou simples japonais pour lesquels autant d’indiscipline ne fait pas

partie de leur culture). Certains employés de mairie se sont déjà plaints et ont signé une pétition, de même que les accompagnateurs de groupes, sans compter avec tous les passants qui n’ont pas la possibilité de s’exprimer, mais qui n’en pensent pas moins.

Solution :

Il n’y en a qu’une. Organiser les choses de telle sorte que ces nuisances disparaissent de ce site et ne se renouvellent plus. Une piste de skate a déjà été attribuée aux jeunes, prés du Parking central en bordure de Lices, mais peu fréquentée et d’autres skateurs se retrouvent encore sur le parvis de la Mairie. Il faudrait faire de même pour les voltigeurs en vélo et les tolérer si on ne peut faire mieux, Esplanade Charles de Gaulle par exemple

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La Sécurité

La présence de policiers Municipaux.

1. Août 2009 et Juillet 2010 des touristes américains se sont fait voler leur carte de crédit sur la

place de la République. 2. Un dimanche après midi, lors de la fête des associations, à 17h30, deux jeunes se font attaquer

par un groupe d'adolescents, de Barriol, qui volent le vélo de l'un d'eux. Au commissariat, deux employés leur demandent de revenir le lendemain pour enregistrer le vol du vélo d'une valeur de quelques centaines d'€uros. Les parents partent à la recherche du voleur, ils sont menacés par d'autres jeunes du quartier. Un "caïd" du coin les aide à retrouver le dit vélo en pièces détachées…. Solution: Création d'un service de police municipale qui pourrait être beaucoup plus présente aux endroits stratégiques les plus fréquentés de notre ville

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Maintenance du patrimoine

Monuments

Sites spécifiques

Abords

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Monuments

Affichage d’information historique

Quai Marx Dormois, niveau place Nina Berberova, le panneau d’information sur l’origine du pan de rempart sur lequel il est posé est en bois peint, très abimé, inscription effacée, quasiment illisible.

Solution : Le remplacer par une plaque en marbre, gravée de noir, comme cela existe plus loin, en amont, prés du musée Réattu, ayant la même vocation.

Il faudrait d’ailleurs veiller à ce que toutes les plaques apposées en ville pour la même destination, soient

identiques pour respecter une unité qui serait caractéristique de notre Cité Si une version anglaise pouvait être ajoutée à la version française, ce serait encore mieux pour la compréhension des étrangers et pour démontrer aux visiteurs de notre ville que nous avons le souci de leur confort au travers de l’accueil que nous leur réservons

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Sites spécifiques

Nécropole des Alyscamps

La visite du site des Alyscamps est l’une des visites les plus difficiles du patrimoine arlésien D’abord il faut bien choisir sa saison : tout change selon qu’on veut venir de Mai à Sept, d’Octobre à Avril et enfin de Novembre à Février. Difficile pour un étranger qui a fait des milliers de kms pour venir jusque chez nous – bloqué devant les grilles fermées- de comprendre que s’il était venu 6 mois plus tôt, il aurait été plus chanceux.

L’explication du site déjà complexe, est uniquement en français, donc parfaitement incompréhensible pour les étrangers ne pratiquant pas notre langue. Solution :

Aménager les heures d’ouverture. Pourquoi ne pas ouvrir entre 12h et 14h en hiver, soit au meilleur du jour, et peut être fermer plus tôt le soir ?? Doubler les panneaux d’explication au moins d’une traduction en anglais, c’est valable pour tous les

monuments arlésiens.

Les Alyscamps

Que voyons-nous actuellement, une voie Aurélia qui donne toute sa qualité d'Histoire puisque elle nous rattache à Rome. Nous voyons le long parcours des sculptures qui bordent cette voie Romaine et Arlésienne, une chapelle Saint Honorat (départ de Saint Jacques de Compostelle) avec un parterre de tombeaux pour ce rapprocher de Saint Genest. Quelle belle chapelle en rénovation(Bravo) et un local d'accueil digne enfin de ces lieux (Re bravo)

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Que faire pour embellir ce site ? Proposition :

Mettre du gazon autour de St Honorat et des tombeaux. Mise en valeur sans dégradation des “cailloux ” de la voie centrale, et quelques beaux parterres de corbeilles de fleurs, sur ce parcours replanter quelques essences d'arbres à choisir avec l'ensemble. Tout cela aurait de l'allure Voir aqueduc de Craponne, rond point de Pont de Crau.

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La Fontaine et les Escaliers du Jardins d’Été

Cette Fontaine, très fraîche, très verte, émettant une jolie musique d’eau en été, est malheureusement souvent sale, surtout après les périodes de grand vent : Papiers gras, sacs plastiques, bouts de journaux, feuilles mortes….etc. Du plus mauvais effet aux yeux de tous ceux qui y passent à ces périodes là.

De même, les escaliers qui l’entourent en couronne et qui forment un ensemble élégant et très harmonieux quand on y regarde de loin en montant, venant des Lices, sont en réalité très abimés quand on s’en approche et en particulier lorsqu’on les utilise.

Laissant une impression de négligence, mauvais entretien, et de laisser-aller. Solution :

Elle s’impose évidemment d’elle-même. :

- Augmentation de la fréquence d’entretien de la Fontaine, et en particulier aussitôt après le passage de conditions climatiques défavorables,

- Réfection des escaliers pour en restaurer l’esthétique ainsi que la sécurité.

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Abords des monuments

L’Amphithéâtre Romain

"Les Arènes"

C’est certainement le monument ancien le plus important que nous ayons dans notre patrimoine, le plus grand, le plus prestigieux, le mieux conservé, le plus chargé d’histoire….. Mais aussi le plus visité. C’est aussi le plus utilisé encore aujourd’hui pour la production de grands spectacles taurins ou artistiques, folkloriques ou de rétrospective du passé. C’est pourquoi il mérite qu’on lui porte une attention et un soin tout particuliers. Or, à côté des pôles d’intérêt qu’il présente déjà et qui sont couramment exploités, il présente e ncore des aspects plus cachés, très curieux, intéressants, qui restent encore inexploités, dont on pourrait tirer un parti touristique certain. Il s’agit de ces "alcôves", de ces excavations, de ces niches qui bordent de part et d’autres les " crotons " intérieurs, passages voutés obligés pour accéder aux tribunes intérieures de l’amphi.

Pour le moment ces espaces sont vides, sales, mal entretenus, servent souvent d’urinoir pour le public non soigneux, sombres et pour certains …inquiétants.

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L’état actuel de ces endroits, au nombre d’une vingtaine environ, tout autour du monument, lui donnent un aspect d’incurie et de malpropreté qui ne fait pas honneur ni se trouve en harmonie avec la noblesse du monument dans lequel ils se trouvent Solution :

Exploitation de ces espaces et mise en valeur d’une façon ou d’une autre, en essayant de les rendre attractifs pour les visiteurs et dans tous les cas plus intéressants et plus propres au coup d’œil, tout en essayant de les rendre utiles à quelque chose. L’harmonie de l’amphithéâtre dans son ensemble y gagnera, la sécurité aussi, ainsi que son pôle

d’attraction. Un projet, très structurant a été déposé, qui permettrait de rentabiliser ces endroits .Il serait bon de l'approfondir.

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La plupart des Monuments d’Arles

fréquentés par le public

Les escaliers existant dans tous ces monuments sont en général d’époque et souvent très usés par les passages des utilisateurs au cours….des siècles. C’est le cas aux Arènes, au Théâtre Antique en particulier.

De nombreux visiteurs chutent ou se tordent les chevilles, surtout les personnes âgées, car ces escaliers, malgré toute l’attention qu’on peut y apporter, présentent un danger certain, surtout les jours de grands mouvements de foule (spectacles, corridas... etc.) Solution :

Il n’y en a guère, car à moderniser et refaire ces escaliers, parfois millénaires, c’est l’authenticité du monument tout entier qui en souffrira D’autre part, il est difficilement concevable, eu égard aux normes de sécurité en vigueur aujourd’hui, d’envisager de laisser les choses en l’état Le problème reste posé. Peut-être serait- il bien de soumettre le problème aux services des monuments historiques ?

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Commodités

Toilettes, lieux d’aisance

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Toilettes

Les vespasiennes

En arrivant de la gare SNCF, gare routière ou quai d'honneur des bateaux de tourisme fluvial, nous voyons une cabine d'aisance relativement à proximité, quoiqu'à mon avis pas assez grande et pas du tout luxueuse. Partant de là il faut sprinter ou se retenir, si l'on peut, pour atteindre les toilettes de la place de la mairie, cela relève du parcours du combattant. Et si on réussit à " tenir " jusque là, il faut espérer qu’on y sera

seul, car on n’y va pas à 2 de front, à moins de s’uriner dans les chaussures, ou sur le pantalon de son voisin. Et pour les dames, même combat, des files d’attente se forment parfois de 10 personnes, obligeant les guides à expliquer les fresques du portail St Trophime ou l’historique de la façade de l’Hôtel de ville à des gens « congestionnés » d’envies non assouvies, qui gardent un œil sur le monument en question et

l’autre sur la porte d’où viendra la délivrance. Quant aux toilettes du jardin d’été, et celles de la montée Vauban,servants aux cars de tourismes,

cela fait peu vu l'importance du passage de personnes pour une ville classée au "Patrimoine Mondial de l'Humanité", qui de plus est visitée par des millions de touristes,

Solution : En construire beaucoup plus, spacieuses, modernes et propres. Cela contribuerait à rendre la ville plus accueillante

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Vespasiennes " Privat "

En certains endroits de la ville, pas assez nombreux d’ailleurs, comme au début de la Montée Vauban, existent encore quelques vespasiennes datant de l’époque d’une municipalité très ancienne d’après guerre, qui ont, certes, le mérite d’exister et de rendre encore service à de nombreux " utilisateurs ". Mais leur esthétique et leur fonctionnement datent passablement et mériteraient d’être relookés et

actualisés.

De même, sur ce sujet, il est à regretter vivement que l’espace d’aisance mis récemment en service sur la place de la République, devant, en bout de parvis de l'Hôtel de Ville, soit aussi exigu et peu pratique, ne permettant même pas d’aller à deux dans l’urinoir. La place de la République est visitée en permanence par de nombreux groupes de touristes qui de partout dans le monde profitent des lieux visités pour effectuer en nombre une " pose technique " et mériteraient donc que soit construit et aménagé un espace " toilettes publiques " digne de ce nom. Solution :

Remplacer et moderniser les vespasiennes anciennes. Essayer d’en implanter davantage. En particulier dans des endroits stratégiques de la ville, les plus fréquentés, les pôles d’intérêt de la cité s’étant déplacés depuis le temps. Aménager un espace d’aisance public important en centre ville, peut être derrière l’Hôtel de Ville,

accessible aisément en traversant le hall, apte à accueillir en nombre, hommes et femmes.

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Accueil touristique

Entrées de la ville

Stationnement Circulation

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Entrées de la ville

Principales constatations

Plusieurs conseillers ont remarqué, au retour de leurs vacances et par comparaison avec d'autres, que la ville, dans son ensemble, a besoin d'un entretien particulier pour ses entrées. Avenue de Stalingrad: Entre les 2 ponts l'endroit est sinistre, sale, avec une végétation débordante. La voie ferrée de Lunel n'a certainement plus d'avenir et nous ne voyons pas pourquoi cette verrue, qu'est le pont, continue d'exister. Cet emplacement pourrait bénéficier d'une décoration, peintures où photos, accueillant les visiteurs en leur montrant les beaux monuments de la cité millénaire. Tout le long de cette belle avenue nous devrions avoir, des trottoirs praticables, sans voitures garées anarchiquement, un éclairage rénové et des oriflammes qui nous invitent à nous arrêter dans cette magnifique cité qui ne demande qu'à se donner entièrement à cette nouvelle économie : Le Tourisme

Culturel.

Victor Hugo, Route de Marseille:

Fleurir, mettre des oriflammes depuis le rond point de Pont de Crau jusqu'à l'avenue Victor Hugo. Avenue de Camargue, route des Saintes Maries de la Mer:

Il n'y a pas de trottoirs, difficulté pour les nombreux piétons. Ici aussi aménager, éclairage, fleurs, oriflammes, pour égayer cette entrée qui est assez "sombre".

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Le panneau

Nous sommes au rond point de Pont de Crau, je suis un touriste de passage, j'ai peut être visité la ville et en sortant on me dit par un panneau " Merci de votre visite " .OK c'est bien. Mais je prends le rond point direction de la voie rapide, pressé de sortir du rond point ou les usagers de la route pensent se trouver sur le circuit Paul Ricard, je loupe le panneau indicateur qui indique Salon, Nîmes,...etc. Panneau d'une extrême discrétion. Alors j'arrive à la bifurcation, et là ! Comme je l'ai constaté je panique où se trouve ma route ?

Solution :

Mettre un panneau, fait par nos services avec qualité évidemment, sur lequel se trouve mentionné Italie, Espagne. Cela aurait le double avantage, d'abord d'éviter des accidents par le ralentissement dû au doute et pour l'imaginaire du touriste que Arles se trouve au carrefour de ces deux nations de notre Europe. Cela peut toujours rendre service. Il se peut que ce soient les services départementaux des routes qui s’en occupent. Il faut donc leur demander si un panneau peut être mis en place.

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Accueil de la ville pour ses visiteurs

Durant l´été, en pleine saison touristique, alors que les températures montent facilement a 40 °, je me suis aperçue que la ville n´offrait aucune place fraîche a ses visiteurs pour une pose, lire le plan, lire le guide touristique, manger un sandwich. Sur la place de l hôtel de Ville, où les touristes sont très nombreux, il n'y a que quatre bancs au milieu d´un désert de goudron.

Une place grise, écrasée par la chaleur, plongée dans une torpeur sans charme, une fontaine où des papiers, des bouteilles plastiques, des chiens nagent, des bancs de pierre en plein soleil devenant des grills à fesses. Que reste-t-il aux touristes ? Se masser sur les marches ombragées de Saint Trophime , s´asseoir sur le rebord des vitrines des magasins à l ombre de la rue du 4 Septembre ( pas de banc sur la place voltaire) . L´argument des clochards ne peut être retenu, car maintes so lutions existent en alternative aux bancs traditionnels, par exemple autour des arbres de la place Voltaire et autres places ombragée des cercles servant de sièges, accompagnés de corbeilles. Quant aux touristes qui arrivent par le Rhône il ne leur reste que le petit muret longeant le terrain de boules face au Rhône pour admirer à l ombre notre ville et manger un sandwich ou, pour les plus jeunes, s´asseoir sur les pelouses de la place. Les touristes étrangers ne sachant pas, pour la plupart, qu´il est possible de prendre une boisson à la terrasse d´un café en prenant son propre sandwich, s´installent là où ils trouvent de l´ombre !!!! L´entrée par l'avenue de Stalingrad, entrée très fréquentée par nos visiteurs, est dépourvue de tout signe de bienvenue et définitivement laissée à l abandon, des bâtiments en ruine, des trottoirs informes, une avenue sans aucun charme, deux tunnels sombres jusqu´au rond-point. Pour les touristes arrivant par la SNCF ou par Bateau, un office de tourisme à l opposé de la ville, un point d´accostage sans végétation ni panneau touristique, aucune explication sur l´endroit où se trouvait la maison louée par Van Gogh, le panneau représentant un des ses tableaux ne suffit pas, difficile de situere l'emplacement ou était sa demeure. Sur les Places ou le long des Bds. de ceinture, aucun renseignement concernant la grande ou la petite histoire, Ex. du Vaux Hall qui fut en 1769 club de jeu, club mondain avec bals, concerts, repas mondains, aucun renseignement sur les anciens remparts, sur la Porte d´Auguste, sur la place de l´Hôtel de Ville, aucun renseignement sur les façades sud et nord, sur les traces laissées par la révolution, dans le Hall aucun renseignement sur ces voûtes extraordinaires et sur leur architecte, idem pour la place de la Major où l´histoire de l ´Hauture pourrait être évoquée ainsi que celle de la plaine entourant Arles ( table d´orientation) et où un panneau attirerait l attention sur les vestiges de l´occupation des Arènes…….

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3.- Des poubelles déposées en plein jour, des corbeilles trop petites, toujours débordantes,des affiches collées sur les vitrines et les panneaux de circulation, devant Monoprix des containers toujours débordants ou lesRoms viennent se servir pour ensuite tout laisser sur les trottoirs,des pizzerias ambulantes qui n'ont pasl´obligationd´attacher à leurs voitures des poubelles pour les consommateurs sur place

Quelques propositions : Des pots géants plantés d´arbres : oliviers, micocouliers et autres arbres communs qui ne font pas l´objet de convoitise qui seraient combinés avec bancs et corbeilles á papier, disséminés sur les places ou les trottoirs. Sur les quais du Rhône des blocs de pierre ou béton servant de sièges, des blocs servant de corbeilles à ordures ou des sacs plastiques seraient déposés et ramassés régulièrement et surtout des distributeurs de sac a déjection pour chiens aux entrées des quais avec menace d´amende en cas d'infraction. Réaménagement du chemin de halage jusqu´au musée bleu avec Arbres et bancs.

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Place Lamartine

Véritable casse tête chinois et problème rédhibitoire à tous égards, depuis que la municipalité s’est

laissée allée à la construction sur le site du nouveau collège Frédéric Mistral, cédant par là aux pressions du Conseil Général, qui ne vit pas chez nous et qui n’a rien à faire des nuisances qu’une telle

implantation peut apporter à la ville. Ne parlons que de la grande place que cette unité occupe paralysant totalement un site qui, jouxtant le Centre Ancien, aurait pu être consacré à l’aménagement de parkings pour autos et cars, accueil de

touristes arrivant par la gare, bateaux (débarcadère à coté), ou en voiture (route du Nord). Ne parlons pas du trafic de véhicules que ce collège va provoquer sur la place avec augmentation de l’insécurité qui s’en suit, obstruction de perspective et étouffement de l’espace pourtant unique qui était relié au fleuve et donnait à notre ville, quand on sortait du Centre Ancien, une impression de " ballon d’oxygène " grandiose et du meilleur effet. Ne parlons pas non plus de l’aspect de cette nouvelle construction qui est de nature à enlaidir le paysage purement et simplement……c’est relativement rare de la part de bâtiments modernes plutôt aériens ajourés, élancés et beaux, alors que ceux là sont aux antipodes de cette catégorie. Nous dénonçons ici particulièrement l’espace maintenant réservé aux foires de Printemps et d’Automne

qui sont reléguées à la portion congrue.

Solution :

Il n’y en a plus, sauf à déplacer le lieu d’implantation traditionnel de la foire sur un autre espace….. Alors qu’il aurait été plus facile, logique et rationnel de ne pas construire ce collège à cet endroit et d’exploiter à fond les ressources naturelles de l’espace existant.

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L’entrée d’Arles par la route du Nord

La route du Nord, dite aussi " route de Tarascon " ou " d’Avignon ", est pour notre ville son accès le plus important pour les gens qui viennent de l’extérieur, nord de la France, nord du " Pays d’Arles ", ou qui s’y rendent en voiture. Or, comme pour les nombreux endroits qui jalonnent notre recueil, non seulement l’entretien des abords

laisse à désirer avec prolifération des mauvaises herbes, mais encore et surtout, certains sites qui bordent la route sont du plus mauvais effet, polluant l’accueil d’entrée, et mériteraient d’être soit détruits, soit

cachés par des palissades décoratives.

Solution :

Comme d’habitude, entretien régulier et constant avec désherbant en début de saison et disparition de

ces sites miséreux, indésirables et minables. D’ailleurs souvent squattés.

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L’entrée d’Arles par la route dite " des Ségonnaux "

Ce " chemin" appelé au début à ne desservir que la rive gauche du Rhône, quelques cabanons et à faire la jonction avec l’ancienne petite route de Tarascon, est devenue une " route " à part entière à partir du moment où le port d’Arles s’est développé ainsi que la zone industrielle nord à laquelle elle est aussi reliée. C’est dire si sa fréquentation en a été considérablement augmentée, aussi bien en importance de trafic qu’en gabarit, dûe au nombre de poids lourds à vide ou en pleine charge. N'étant pas conçue pour ce trafic, elle se trouve dans un état lamentable. Il faudrait repenser la circulation et l'aménagement de cette voie de circulation qui a été complètement délaissée. Actuellement, depuis la construction et la mise en service du nouveau collège que ce chemin des Ségonnaux longe et dessert aussi, il est encore plus trafiqué, ainsi que par le parking réservé aux cars de touristes qui viennent visiter Arles. Il est aussi emprunté par les cars, obligés d'entrer en ville par là pour ne pas encombrer le trafic de la Place Lamartine, qui viennent d’Avignon pour faire visiter notre région aux passagers des bateaux de

croisières fluviales qui font escales au port de passagers d’Arles, Cela peut se chiffrer par plusieurs milliers de personnes par saison. Suit un aperçu des premières impressions que nos braves touristes ressentent en entrant dans notre ville (propos recueillis de la bouche même d’un chauffeur de cars chargé régulièrement de ce trafic et qui reçoit les confidences de ses clients du nord, allemands, belges ou suisses).

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Solution :

Quelle solution suggérer pour résoudre ce problème ? Peu d’issue, à part refaire la route, l’élargir, et la rendre complètement adaptée à la grande circulation, ce qui permettrait de doubler l’entrée nord et drainer une partie du trafic le long des berges qui, mieux entretenues et soignées, deviendraient l’accès le plus typique et le plus agréable de la ville. Il suffirait de prolonger le court tronçon (50 ms environ) qui vient d’être arrangé, qui dessert le parking des cars le long du quai de débarquement, ainsi que la sortie de la gare et de son parking, jusqu’à

l’embranchement avec l’entrée du Port d’Arles. (2 kms environ).

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L’Entrée d’Arles

par

la Rocade de la Voie Rapide vers le Centre Ville

le Rond Point dit " des Pompiers "

Ce Rond Point est constitué par l’arrivée de la Rocade de la N113 dans la rue Lucien Guintoli, face à la

rue du Docteur Antoine Talon, puis Place Franklin Roosevelt, angle rue Victor Basch, Avenue du Maréchal Leclerc, Chemin de Bigot.

Les voitures qui viennent de Marseille, Salon, Saint Martin de Crau, Fos s/ mer, ou bien de plus loin Aix, Nice ou d’Italie, entrent toutes en Ville par là…. Ça fait du monde ! Et 60% au moins veulent aller en Centre Ville. Or, si au débouché de cette rocade, on est reçu par un panneau " TOUTES DIRECTIONS " angle rue Talon. Les véhicules qui suivent jusqu’au feu rouge, angle rue Victor Basch ( 30 ms plus loin env. ) n’ont plus aucun panneau leur indiquant " Centre Ville " comme cela existe en général à l’entrée de toutes les villes françaises ….et étrangères….. Par contre, s’ils veulent aller au " Théâtre d’Arles ", c’est indiqué deux fois …..Mais, ils ne sont pas très

nombreux et ce n'est pas tout le temps….

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C’est ainsi que l’on a rencontré une famille italienne, il y a peu, qui tournait en plein centre Barriol croyant se trouver en Centre Ville, et plus tard deux Belges et quatre Hollandais essayant d’entrer en voiture dans les Alyscamps et trouvant que la Ville était un peu morte, du moins pas très animée, et de plus….que ça manquait d’hôtel !! Solution :

Elle s’impose d’elle-même : Garnir toutes les Entrées d’Arles de panneaux indiquant la direction du " CENTRE VILLE ", et l’on pourra ainsi éviter finalement à nombre de nos visiteurs, les désagréments qu’ont subi nos précédents

amis.

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Stationnement.

Ce qui ne va pas

Parking des Lices

Depuis plus d’un an l’ascenseur est en panne. Pour les personnes, âgées( ou pas!) lorsqu’il faut monter au 4ème les jours de marché ou lorsqu’on est chargé c’est assez difficile. Outre les arlésiens, les touristes sont souvent mécontents. Les jardinières de fleurs sont dans un état déplorable, les herbes sèches sont du plus mauvais effet à tous les étages pour une ville qui aurait obtenu 2 fleurs pour les villes fleuries. Il manque également une pancarte indiquant la hauteur de l’entrée. À plusieurs reprises, des touristes engagés se sont vus contraints de reculer, leur véhicule étant trop haut pour entrer.

Camping Cars

Ces véhicules qui fleurissent dans toute la ville et qui restent souvent à l’année, plusieurs exemples en particulier à Trinquetaille. Actuellement deux de ces véhicules sont stationnés devant le cimetière depuis plus d’un mois, un immatriculé en Angleterre, de couleur vert foncé et un immatriculé 13. La concierge a même dit que pendant la féria, il y avait des dizaines de camping cars italiens et autres et que les propriétaires sont venus s’approvisionner en eau au c imetière et faire leur toilette. Il y en a également Place du 10 Mai qui restent toute l’année. Dans toute la ville on peut voir ces véhicules stationnés. Ne pourrait-on pas obliger leurs propriétaires à payer une taxe puisque ces personnes utilisent l’eau et déversent leur WC gratuitement. Le monnayeur installé place Lamartine aurait été cassé. Propositions pour recevoir les campings cars Installer à l’entrée de la ville des panneaux indiquant stationnement interdit aux véhicules habitables. Et créer une aire de stationnement avec distributeur d’eau potable et vidoir pour les eaux usées et autres, avec monnayeur dans un endroit très accessible le long du canal (par exemple en zone commerciale de Fourchon ou il y a un service de bus très réguliers en direction de la ville (Ex. Mr le Maire des Stes Maries de la Mer a instauré un système d’emplacement payant parce que les Saintois ne voulaient plus payer l’eau utilisée par ces gens qui viennent gratuitement).

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Le stationnement illicite et dangereux de véhicules automobiles.

Souvent les véhicules automobiles sont stationnés sur le trottoir, à la hauteur de la propriété située au n°154 de l'avenue Stalingrad

.

Ces véhicules empêchent totalement la visibilité, sur cette avenue, des conducteurs arrivant par la rue Prosper Mérimée, de sorte qu'il leur est impossible de sortir sur l'avenue Stalingrad, à gauche comme à droite, sans prendre d'énormes risques d'accident car il leur est également impossible de faire demi tour. La mairie refuse d'implanter sur ce bout de trottoir des potelets (deux suffiraient) pour empêcher matériellement le stationnement, pourtant illicite et dangereux. Le commissariat de police semble s'en désintéresser ainsi que la gendarmerie. Leurs Véhicules et leurs motards qui circulent sur l'avenue régulièrement ne s'arrêtent jamais pour faire cesser ces infractions. Solution:

Mettre des potelets sur le trottoir pour empêcher le stationnement de véhicules automobiles.

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Le Parking Sauvage

autour des Arènes et proche des autres monuments.

Nos monuments présentent un état de conservation, un dépouillement, une grandeur, qui leur confèrent une solennité, une noblesse mises en valeur entre autre par leur implantation assez éloignée de tous abords immédiats, au milieu d’espaces dégagés, ce qui leur donne plus de relief, plus de perspective, permettant d’en apprécier le détail architectural et de mieux en appréhender la perspective et la majesté. Mais un tel positionnement ne mérite pas d’être pollué par des parkings sauvages, comme c’est le cas à l’heure actuelle, qui ont été tolérés…ou volontairement implantés sur ces pourtours qui ne devraient être réservés qu’à la mise en valeur de ces joyaux qu’ils protègent. Il s’agit en particulier du pourtour des arènes et du Théâtre antique, mais aussi de quelques autres

endroits.

Solution :

Interdiction de stationner sur ces zones en les protégeant par des plots, bornes ou barrières en fonte comme on en voit tant dans nos rues Aménagement de parkings périphériques et transport des visiteurs par navettes, petits trains gratuits, etc...

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Le Parking Lamartine,

Le quai des croisières sur le Rhône

Lorsque la construction du nouveau collège Frédéric Mistral a été décidée à son emplacement actuel, notre Conseil est intervenu pour faire valoir auprès de Mr le Maire et de ses Services municipaux, qu’à

notre avis cet emplacement n’était pas le bon, qu’il était préférable de conserver ce périmètre à usage de parking pour le stationnement des cars et des voitures de tourisme des visiteurs qui viennent parcourir notre ville, ainsi que pour les services annexes à cet afflux de touristes. Cette précaution aurait été définitivement justifiée le jour où, c’est quasi inéluctable, le Centre Ville sera

réputé piétonnier et où il faudra bien parquer les véhicules quelque part et aménager un transport vers le centre, soit par navettes, soit par petit train, etc. Cet emplacement aurait évité toute cette nouvelle organisation grâce à la proximité des principaux centres d’intérêt vers lesquels les visiteurs auraient pu se rendre à pied. Dans ce cas, il était aisé de, soit rénover l’ancien collège (il en était question), soit de le construire à la périphérie. Ce fut un magnifique " poumon " pour notre ville qui a été complètement gâché. Il a été répondu à nos arguments que d’abord le projet avait été monté comme cela (il y a au moins 15 ans), mais depuis les choses avaient changé et il n’en a pas été tenu compte, et que de toutes façons, on

s’arrangerait pour mettre les voitures ailleurs, (où ? on n’en sait rien), mais que pour les cars, c’était prévu, il resterait suffisamment de places le long du quai pour les " loger " Alors, aujourd’hui, que le collège est construit, que les emplacements ont été dessinés pour parquer les cars, nous vous laissons juger de la situation qui en est résultée à la vue des deux p hotos ci-dessous, prises le 10 Juillet 2011 :

Solution :

Aucune, à notre avis ! Et c’est bien là que la " critique positive " que nous avons voulu être la règle d’or de notre fascicule, est bien mise à mal, malgré notre meilleure volonté. Par contre, et dans le cas où il sera trouvé une solution par les responsables municipaux, ce que nous souhaitons vivement, nous nous porterons volontaires pour l’étudier, participer à son élaboration …et même la supporter.

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Circulation.

Pistes cyclables boulevard des Lices

et…ailleurs

Exemple de pistes cyclables dont la matérialisation est complètement détériorée.

La peinture, verte au départ, est entièrement effacée et nous ne savons plus si ces pistes sont toujours réservées pour les cyclistes ou pour du multimodal car il est fréquent d'y rencontrer des véhicules motorisés et même des ……voitures garées. Solution :

Repenser l'emplacement de ces pistes sur le bord du boulevard et faire garer les voitures au parking central. Tout le monde serait gagnant…..

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Rue St Pierre de Mouleyres, Bd Victor HUGO

Nous sommes à l'intersection de la rue St Pierre de Mouleyres, le bd Victor Hugo et le parking situé devant le CIC, cela pose problème. Lesquels ? Nous allons les énumérer et donner modestement notre avis sur les choses à faire, mais avant d'énumérer voyons les inconvénients.

1. La rue St Pierre des Mouleyres reçoit le flux venant de la rue Férigoule (raccourci pour éviter les feux de la Croisière), elle reçoit également le flux de la rue donnant derrière le cimetière et les gens qui vont et viennent de la mosquée, le flux montant et descendant de la rue Mansart et le flux contraire, Victor Hugo, Combes, etc...

2. Nous avons donc au carrefour situé à l'intersection citée plus haut un engorgement quasi permanent.

3. Ceux qui venant du Bd Victor Hugo voulant éviter les feux de la Croisière, plus ceux qui veulent aller à la mosquée et rue Mansart, plus ceux qui veulent rentrer sur le parking contre allée Victor Hugo et CIC, cela crée un embouteillage monstre, d'autant plus que le coté droit St Pierre les Mouleyres sert de parking, que les places de parking devant le CIC

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en plus sont dans le sens longitudinal et au bout en partie zébré pour sortir ce qui n'est jamais respecté. Cela fait que ceux qui veulent sortir, plus ceux qui veulent rentrer sont pris dans la nasse.

Solution à proposer :

Rendre la rue Férigoule en sens interdit depuis Émile Combes vers Victor Hugo. Rendre en sens interdit la rue derrière le cimetière et la rue Mansard dans le sens obligatoire, ensuite tracer des places de parking en épis, car les véhicules pourront dégager directement et en plus on ferait plus de places.

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Le Coin d’Allien…

ou le grand enchevêtrement.

Il nous est apparu impossible de terminer un tel recueil rempli d’énumérations, de réflexions sur tout ce

qui ne va pas dans notre ville, de suggestions et de propositions de solutions aussi, sans attirer l’attention de nos concitoyens, de ses élus et de leurs services municipaux, sur un dernier problème, peut être le plus crucial : le croisement routier du " Coin d’Allien ".

Pour ceux, les rares, qui ne sauraient pas situer cet " Allien ", c’est ainsi qu’il était baptisé il y a plus d’un siècle , il s’agit du fameux croisement, pratiquement le plus trafiqué d’Arles, angle de la Croisière (Avenue des Alyscamps), Bd des Lices, Montée Vauban, Bd Emile Combes, Avenue Victor Hugo….devant le Commissariat de Police. Nous ne savons pas s’il est le plus dangereux car régulé par 5 feux rouges, les véhicules qui le traversent y arrivent tous au ralenti ou en plein démarrage. Mais c’est certainement le plus compliqué, le plus brouillon, le plus " emberlificoté " de la ville. Aux heures de pointe, on y trouve des véhicules dans tous les sens, les conducteurs ne sachant pas par où passer selon où ils veulent aller et il n’est pas rare d’en voir face à face, pare-choc contre pare-choc, obligés de faire des choix, pour se dégager, qui ne sont pas toujours les bons.

Les véhicules venant des Lices, sur la file de gauche, qui veulent tourner à gauche pour prendre le Bd Emile Combes sont obligés de couper la route au trafic qui vient d’en face Avenue Victor Hugo, et donc attendre que la file d’en face soit passée pour pouvoir effectuer la manœuvre. Mais lorsque le trafic est intense et que le temps d’écoulement de cette file est plus long que la durée des feux, la file venant des Lices reste bloquée au milieu du carrefour. Évidemment, c’est alors que les feux des axes perpendiculaires passent au " vert ", lâchant sur le carrefour les dizaines de véhicules venant des autres axes qui attendaient pour le traverser, ainsi que ceux qui le coupent en diagonale venant de ou allant vers la montée Vauban. C’est alors que cette problématique est encore plus compliquée, par quelques dizaines de véhicules qui, eux, viennent de l’Avenue Victor Hugo, file de gauche, et ont en tête de tourner à gauc he pour " enfiler "

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la Croisière,…. et se retrouvent face aux premiers, à contre courant des seconds, …et bloqués par les troisièmes ( les obliques Vauban ) Se pose évidemment le même problème pour les véhicules qui montent l’Avenue des Alyscamps et "se ruent " littéralement, dés que le feu passe au vert , soit à gauche pour s’engager sur les Lices, soit en

oblique pour aller aux arènes par la montée Vauban, soit tout droit pour prendre Émile Combes, soit à droite vers Victor Hugo…..mais quand le croisement est déjà occupé par tous les autres, on peut aisément se représenter l’ampleur du désastre…. De là à penser que certains automobilistes se sont retrouvés sans le vouloir dans certaines directions qu’ils ne voulaient pas prendre, il n’y a qu’un pas ! Et ce pas a été franchi, car on a vu parfois quelques Belges, ou autres Hollandais qui voulaient faire le tour du croisement en bout de Lices pour retourner sur leurs pas vers le centre et qui n’y ont jamais réussi et se sont retrouvés à la gare ou aux Alyscamps….quand ce ne fut pas à Pont de Crau, après avoir

fait 3 fois le tour de la place sans pouvoir en sortir ! Il faut bien dire que cela est regrettable, surtout pour les Belges ou les Hollandais ! Evidemment, plus sérieusement, un tel enchevêtrement de voitures plus les fourgons, crée des situations pas tristes du tout avec beaucoup d’énervement, d ' " engueulades ", force coups de klaxons, de manœuvres désordonnées, avant/arrière, pour en sortir au plus vite, ce qui n’est pas pour arranger les choses.

Il ne fait pas de doute que ce croisement dans son état actuel est un point noir de la circulation dans notre ville et qu’avec le nombre des véhicules qui ne fait qu’augmenter d’année en année, il serait urgent de

l’aménager différemment. Solution :

Il est difficile de résoudre un tel problème, car des générations de spécialistes sous les différentes municipalités qui se sont succédées, ont dû déjà " plancher " sur la question qui, jusqu’à ce jour n’a pas encore trouvé de solution radicale. A notre niveau, nous ne voyons qu’une possibilité et encore sans garantie de réussite à cent pour cent : - un grand carrefour européen, large, style celui de Pont de Crau, permettant de joindre les voies routières entre la voie rapide Marseille/Nîmes, la vo ie de contournement d’Arles, la route de Pont de Crau/Centre et le Centre Commercial, ou bien celui de la place Lamartine, recevant tout le trafic du Nord d’Arles, alimentant le Centre, la Gare et connectant le bout d’Emile Combes, autant de carrefours où la circulation est pourtant très intense, mais qui ne présentent pas autant de difficultés que notre " Coin d’Allien " et où le flux reste toujours fluide avec des temps d’attente pour les traverser relativement modérés. En fait, ce qui est agréable dans ces carrefours, c’est que les véhicules qui attendent sur les voies d’accès

pour les passer, ne sont jamais vraiment à l’arrêt, mais avancent constamment gagnant mètres par mètres, ce qui élimine l’impatience, l’énervement et en définitive l’agressivité. De même, le fait de s’attendre à devoir se montrer performant quand il faut se " projeter " dans le trafic tournant autour du carrefour, évacue la notion d’agressivité en la remplaçant par celle de stress. C’est certes purement psychologique, mais très important dans ce style de situation.

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Tout cela pour dire qu’il faudra bien trouver une solution, c’est urgent, et il faudrait s’y prendre maintenant parce que lorsqu’on connaît le temps qu’occupe la prise de décision, l’enquête de faisabilité,

son accréditation aux normes, la réunion des fonds de financement ….et la réalisation des travaux, nous pouvons craindre que bien peu de nos conseillers d’aujourd’hui en verront la réalisation. Mais entre temps le trafic aura pratiquement doublé et la situation sera devenue inextricable……à moins que le contournement autoroutier d’Arles qui a tant de mal à se mettre en place ne soit venu entre

temps apporter une solution " miracle " au problème.

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Suggestions

Les chemins de Saint Jacques de Compostelle

Ateliers des roues, passerelle SNCF,

Quartier Mouleyres

Rénovation complète des quais du Rhône

Illumination de la ville

Le pont Van-Gogh

La tombe de Jeanne Calment

Proposition globale

Suggestions concernant des aménagements possibles qui agrémenteraient notre ville, ajouteraient à sa commodité et à son attrait. Suggestions effectuées à partir d'un sentiment de manque et basées sur ce qui n'existe pas encore.

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Les chemins de Saint Jacques

Notre ville, en plus de ses trésors nombreux, est le point de départ, connu dans le monde chrétien, pour les chemins de ST Jacques de Compostelle. Hors, point de repaire dans la traversée de notre cité, si ce n'est que quelques traits rouge et blanc très effacés pour ne pas dire invisibles. Beaucoup de gens prennent le départ de leur aventure depuis la chapelle St Honorat ( Alysca mps ) tout au long de l'année et nous leur devons un confort visuel, d'où l'idée de mettre des panneaux judicieusement placés pour indiquer la route à suivre. Ci-joint une photo de composition en exemple de ce que nous pourrions faire.

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Atelier des roues, Passerelle SNCF, Quartier Mouleyrès

L’Atelier des roues, en face du projet LUMA, de l’autre côté des voies, est devenu un centre de bureaux, cabinets médicaux, bref, entreprises du secteur tertiaire, très réussi comme implantation et structure et qui est animé par de nombreux employés qui y travaillent quotidiennement, plus du public, clients de ces entreprises et des cabinets médicaux. L’inconvénient est que ce site est enclavé en contrebas de la route de La Genouillade/Pont de Crau, et qu’on ne peut même pas en sortir directement en voiture devant Supinfocom, sinon

en contournant l’IUT et passer par la Léproserie pour retrouver la route.

Fort heureusement une initiative récente a permis de rouvrir en partie la passerelle SNCF, ce qui permet au moins aux piétons venant de ou se rendant en ville de couper par là et de sortir à l’angle du pont des Flâneurs sur la seconde partie des Lices.. Par contre, on ne peut pas accéder directement du même Atelier des Roues au quartier Mouleyrès qui est pourtant en face, à 40 ms à vol d’oiseau et où sont situés plusieurs commerces de proximité qui seraient aussitôt fréquentés par les acteurs de ce nouveau pôle d’activité qui manquent cruellement de journaux, PMU, pain ou sandwiches, pharmacie, eau minérale, à moins de se " taper " 1km à pied ou plus pour accéder à la première boutique. Alors que celles-ci sont à quelques pas.

Solution :. Créer une ouverture avec escalier en début de passerelle SNCF, permettant d’accéder

directement à la route en surplomb, avec passage réservé piétons pour traverser, et descendre au Mouleyrès.

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Rénovation des Quais du Rhône

La plus grande partie des quais du Rhône a été rénovée, aussi bien coté rive gauche que Trinquetaille, au grand profit de la ville qui y a beaucoup gagné du point de vue netteté, esthétique, aspect général… C’est une excellente chose ! Seule la partie des quais sur la rive gauche, entre la place Constantin (grosso modo), le long de la rue Marius Jouveau, jusqu’au débarcadère des bateaux à passagers, n’a pas été touchée. Or c’est l’endroit où se situe le Musée Réattu, l’arrivée des bateaux de croisières, où passent

de nombreux visiteurs arrivant de la gare... etc.

C’est la partie du quai la plus trafiquée. Solution : Elle se devine aisément : obtenir des Services qui ont effectué les rénovations des quais de terminer les travaux le plus rapidement possible. D’autant plus que cette portion est la plus concernée en période de crues du fleuve, puisqu’elle se situe dans la partie concave du coude

qu’effectue le fleuve quand il arrive en Arles et là où il est le plus étroit ; donc dans la partie la plus sensible et la plus exposée aux turbulences du fleuve.

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Éclairage de la ville

Toute ville touristique digne de ce nom qui a la volonté de développer son tourisme doit faire l'effort de se doter d'illuminations, le soir, destinées à la mettre en valeur, et en particulier lorsqu'elle est dotée de monuments dignes d'être présentés de jour comme de nuit, et traversée par un fleuve tel que le Rhône dans lequel de nuit, le reflet illuminant de son patrimoine serait du plus bel effet. Or la ville d´Arles n´a pas fait de " Master Plan " en ce qui concerne les différents éclairages à prévoir au cours des années futures. Les décisions sont prises au coup par coup. Ex : un éclairage ultra moderne Place Voltaire, nullement en harmonie avec celui de la ville. Où ces lampadaires vont- ils être installés dans le reste de la ville ? Existe-t- il une expertise concernant l´état des lieux :

A : Eclairage quotidien :- consommation – respect des niveaux de sécurité pour passages cloutés, zones dangereuses, quartiers chauds. B : Eclairage des monuments, des ponts et du Rhône en période de fêtes, période touristique et période normale.

Un plan lumière pour une ville comme la notre est absolument indispensable et l'urgence s'en fait d'ailleurs ressentir au travers des propos tenus par les touristes qui visitent notre ville, couramment habitués qu'ils sont maintenant à ce qu'ils connaissent des autres cités souvent bien plus modestes que la notre. Si nous voulons développer notre attrait touristique, quasiment la seule industrie qu'il nous reste, il est indispensable d'envisager un plan lumière.

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Le Pont Van Gogh

Le Pont Van Gogh, situé sur le canal qui va du Rhône à Port St Louis, environ à 4 Kms du centre ville, est un des lieux qui attire le plus la curiosité des touristes et des plus visités. Or, c’est aussi le lieu le plus défavorisé de nos pôles d’attraction à plusieurs titres. - D’abord il n’est desservi par aucun moyen de transport, il est mal indiqué, et excentré par

rapport aux principaux axes routiers. Nombreux sont les étrangers (japonais en particulier, ou autres …), qui sont obligés de demander leur chemin, situent mal le Pont sur leurs cartes, et en désespoir de cause, renoncent à s’y rendre. -Ensuite il est mal entretenu, la mauvaise herbe pousse partout, un figuier a trouvé refuge sur

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la porte de l’écluse (photo 1), Les terres pleins qui l’entourent sont défoncés (photo 2).

- Les bâtiments qui l’entourent sont dans un état lamentable : un abri de pompe ou bâtiment utilitaire en ciment brut/toit de tôle du plus mauvais effet, situé en plein dans la perspective des photos. Une maison d’écluse délabrée en semi-ruine, envahie par les mauvaises herbes ou buissons sauvages. (Photos 3, 4, 5, 6)

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- Les visiteurs suffisamment courageux qui à pieds, en pleine chaleur l’été, sont finalement arrivés jusque- là, n’ont rien pour s’asseoir ni pour boire, encore moins pour se restaurer. Il ne leur reste plus qu’à revenir sur leurs pas, déçus et restant sur leur faim. -Le site, annoncé par une simple dalle dressée en oblique, à part la rep roduction du tableau de Van Gogh, ne donne aucune explication détaillée en dehors de 4 lignes sommaires et non en langue étrangère (Photo 7)

7 Solutions : - Desserte : Soit par un petit train partant du Musée Bleu, ou des Alyscamps, ludique et aéré, utilisant les rails de l’ancienne ligne de Port St Louis, soit sur pneus du style de celui effectuant le tour de ville. Soit en bateau de promenade, depuis le Musée Bleu, sur le canal A/R, toutes les heures par ex. Soit en bus navette du Centre Ville A/R …..ou les 3 à la fois. L’entretien : Il suffirait d’en assurer la propreté en début de saison, à partir de Pâques, pour

les arbustes et le figuier et ensuite de couper l’herbe. Le terre plein autour du Pont mériterait d’être soigné, homogénéisé, …et pourquoi pas remis en état tel qu’il devait l’être à l’origine en cailloux jaunes de la Crau assemblés en parvis (faire sauter le ciment) Implantation de bancs ainsi que d’arbustes, permettant de s’asseoir à l’ombre pour se reposer, se recueillir, penser au grand maître qui a immortalisé ce lieu.

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Enfin, les bâtiments : Faire démolir et supprimer ce vieil abri en ciment gris qui à lui seul dépare ce haut lieu Restaurer et embellir la maison de l’écluse, en faire une buvette et une boutique de vente de cartes postales, de souvenirs, de livres sur l’œuvre du maître, entouré d’un abord accueillant, ombragé avec tables et fauteuils pour consommer en toute tranquillité Cette concession pourrait être donnée en gérance avec un bail allant dans le sens ci-dessus Un plan de présentation et d’explication plus détaillé et traduit au moins en anglais, comme celui qu’on trouve à St Rémy par exemple, au centre de la ville qui est pourtant moins concernée que nous par Van Gogh (photo 8)

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Jeanne Calment La doyenne de l'humanité, Arlésienne, dont le record de longévité est toujours là, et pour longtemps. Elle a donné à notre ville une nouvelle fenêtre sur le monde à travers les nombreux reportages.Qu'en reste t- il ? " Rien " Tombe jamais fleurie si ce n'est qu'un chrysanthème et un cyclamen pour la Toussaint, posé là par le centre hospitalier pour le chrysanthème et un hommage inconnu pour le cyclamen.

A envisager : 1/ Un panneau de direction pour les visites. 2/ Un fleurissement permanent par nos services horticoles (très bon par ailleurs). Cela serait un juste retour à notre doyenne.

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Proposition globale résultant de ce qui précède

L’inventaire de toutes ces anomalies qui, somme toute, à bien y réfléchir, sont facilement

remédiables, nous amène à une réflexion globale qui pourrait être une solution à l’ensemble du problème. La présente énumération a pour origine une démarche entreprise par l’ensemble de nos conseillers, en l’espace d’un an d’observations, de photographies et de perspicacité. Néanmoins, au cours de l’élaboration de ces enquêtes, nous avons eu le sentiment de

l’absence dans nôtre ville, d’une unité de centralisation récapitulant l’ensemble des anomalies existantes, au fur et à mesure qu’elles se présentent, les classant par ordre chronologique de constatation, ou par ordre de priorité, ainsi que d’un manque de décisions rapides pour

apporter des solutions. C’est pourquoi, pour essayer d’améliorer cette situation, nous proposons la création d’un simple poste de contrôleur/coordinateur qui aurait pour mission de " tourner " dans toute la ville en permanence, parlerait avec les habitants, les associations de quartiers, interrogerait les visiteurs, recueillerait les réflexions et suggestions, relèverait toutes les anomalies qu’il constaterait par lui-même, en dresserait la liste et consignerait le tout sur un état rédigé à cet effet. Bien entendu, il serait chargé d’en référer aux responsables municipaux et d’en suivre la résolution. D’autre part, il y a lieu de préciser que certaines malfaçons dénoncées dans le présent ouvrage, ne dépendent pas directement de nos services municipaux. Plusieurs sont imputables aux services soit l’ERDF, des Ponts et Chaussées, de la Cie du

Rhône ou bien des Associations concernées. Mais, pour nous, ce sont celles qui se voient, qui gênent la population locale ou le séjour des touristes dans notre ville. C’est pourquoi nous considérons qu’il appartient à notre municipalité de faire pression sur l’organisme concerné pour exiger la réparation ou faire corriger le défaut.

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CONCLUSION

Marseille 2013 – Voilà l’objectif que nous nous sommes fixés ! On connait l’implication de notre équipe municipale conduite de façon magistrale par notre Maire, dans ce grand projet, au moment de son édification et des grandes décisions qui ont précédé son adoption définitive. Notre but est de donner à Arles, capitale française de la romanité, inscrite au Patrimoine Mondial de l’Humanité, située aux portes de la Camargue, au point d’équilibre des routes

entre l’Italie et l’Espagne, carrefour mondial des rencontres photos, un éclat tout particulier auquel elle doit légitimement prétendre et accéder à l’occasion de cette échéance. Certes, " Marseille 2013 " restera la dénomination officielle du projet, mais il faut qu’à l’échéance de la manifestation, Arles soit prête à recevoir son nouveau titre d’ "Arles 2013 ". Depuis quelques années, les statistiques de fréquentation produites par l’Office du

Tourisme le prouvent, notre ville est l’objet d’une augmentation régulière de visiteurs de l’ordre de 10 à 20% par an. Et l’on peut logiquement prévoir que cette tendance va se maintenir pour les deux ans qui viennent, pour atteindre un sommet à l’échéance 2013. Arles a une grande chance que n’ont pas la plupart des autres villes françaises : elle est riche d’un patrimoine naturel qui fait qu’elle n’est pratiquement pas obligée d’aller chercher

ses visiteurs, mais qu’ils viennent d’eux-mêmes la visiter et y séjourner, en faisant de ce fait un carrefour incontournable de l’économie touristique française. Voila pourquoi elle se doit

au moins de les accueillir convenablement. D’autre part, la conjoncture économique a été telle ces dernières années, que le tourisme est devenu pour Arles sa principale industrie. Or une telle industrie, source de revenus incontestables, mérite qu’on s’en occupe et qu’on y investisse. C’est dans ce contexte que notre Conseil a voulu placer l’étude qui précède, son " Livre Blanc ", pour dénoncer ce qui à nos yeux, tire encore notre ville vers le bas, freine son développement et l’empêche encore de prétendre se placer au niveau d’attrait, d’accueil, de confort et d’organisation que ses visiteurs sont en droit d’attendre d’elle. Nous avons voulu aider nos élus responsables et leurs Services Techniques dans leur grande œuvre entreprise pour améliorer d’abord la vie quotidienne de la population locale,

mais aussi et surtout l’accueil et le séjour des touristes nationaux et étrangers, tous groupes et individuels confondus. Il va falloir réagir fortement et rapidement, non seulement pour mettre notre ville au niveau de meilleures conditions de réception, en corrigeant, à notre avis en priorité, la plupart des anomalies dénoncées dans ce recueil, et en organisant l’existant dans la prévision d’un

afflux touristique, à l’échéance 2013, que nous n’avons jamais connu dans le passé. Nous avons deux ans pour nous y préparer et nous mettre à niveau, la sagesse veut que nous nous mettions au travail sans attendre. Ne doutant pas de la réactivité de nos Services municipaux et surtout de leur bonne volonté, nous nous réservons de suivre ce chantier jusqu’à son épilogue pour enfin être les premiers à en constater la réalisation et l’apprécier à sa juste valeur.