Israël Actualités n°203

GRATUIT - Numéro 203 - Edition du Mercredi 7 Mars 2012 Journal Israélien en langue française

71% des américains soutiennent Israël, 19% préfèrent l’OLP !

3L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 7 Mars 2012

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Rédacteur en chefEliahou Ben YéouchouaIsraël Actualités est une marque déposée en France

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Suite à mon édito de la semaine dernière sur le système Mergui, je suis très étonné du retour qu’à sus-cité mon approche et mes questions sur ce qui est la véritable personna-lité qui régit le consistoire de Paris. De surcroit, à ce jour, nous n’avons toujours pas reçu de réponse. Je laisse à chacun de faire sa propre opinion sur la façon dont le prési-dent du Consistoire prend en consi-dération la communauté juive de Paris et de France en ne répondant pas à nos questions, questions légi-times de surcroit.

La semaine dernière, une erreur s’est glissée lorsque nous avons repris un article de Jean-Marcel Nataf, vice-président de la commission adminis-trative de la synagogue de Neuilly-sur seine ( Ancelle). Une phrase que Mr Nataf n’a jamais écrit s’est retrouvé à notre insu dans l’article (repris sur un site communautaire). Cette phrase est la suivante : « Dans le Langage talmudique on appelle cela « Nogua Badavar»... la Magouille et je présent toute mes excuse à mr Nataf. Nous faison donc notre Mea Culpa quant à cette erreur.

Aujourd’hui, nous savons que cette élection est tronquée car ce qui se passe dans les coulisses est très étrange. Comme par hasard, cer-tains candidats que j’avais nommé la semaine dernière se sont retiré suite à des pressions venu de je ne sais où. Bien évidement, ces candi-dats se retranchent sur des excuses tonitruantes, mais ils doivent avoir leur raison, ne les blâmons pas... En effet, le Rabbin Haim Korsia, le Rab-

bin Mickael Journo et le rabbin Krief se sont retirés de cette élection. Par contre, que dire de la calomnie qui touche ceux qui ont eu le courage de tenir bon face au président Joël Mer-gui et de son poulain...

Je remercie tous ceux qui par cen-taines m’ont témoigné leur soutien de dénoncer la façon dont se déroule cette élection et le copinage que cer-tains peuvent s’octroyer aux vues de leur position. Je remercie aussi ceux qui ont eu le courage de m’envoyer des documents sur la façon dont est géré le consistoire de Paris.... et peuvent continuer en m’envoyant des témoignages et des documents sur mon mail: [email protected].

Encore une fois , en ce qui me concerne , je pense que nous devons faire blov pour déjouer les plans de Joël Mergui afin qu’il ne puisse avoir toutes les cartes entre les mains. Nous devons avoir un moyen de contrer son coté mégalo et de dénon-cer de surcroit sa façon de régenter le consistoire en faisant barrage à son champion et en soutenant les autres rabbins qui ont eu le courage de s’op-poser d’une certaine façon à ce dik-tat. Alors Bravo au Rabbin Raphael Banon (Rosny sous Bois), rabbin Seneor (Créteil) ainsi qu’au Rabbin Lellouche (Levallois).

Je suis aussi satisfait que d’autres Média commencent à s’intéresser à cette étrange élection.

Alain Sayada

Diktat


Près de 64% pour Vladimir Pou-tine, oui mais quels 64% ! Le Ca-roussel En Russie, si vous souhaitez voter dans un autre bureau de vote que le votre, vous devez vous rendre à votre bureau de vote habituel et remplir un bulletin de changement de lieu de vote. Ensuite, le jour du vote, vous vous rendez au bureau que vous avez choisi, et vous votez.

Vendredi dernier, on ne trouvait plus aucun bulletin pour changer de bu-reau de vote. Pourquoi ? Parce que les organisateurs de la campagne de Putin ont mis en place ce qu’on appelle en Russie « le Caroussel » : des dizaines de milliers de personnes, payées 500 roubles ont été prises en charge dans des bus, et, munis de dizaines de bulletins de changement de bureau de vote, ont été transportés de bureau en bureau, pour placer de multiples votes pour Putin.

Les photos de bulletin de vote Dans toutes les usines et compagnies russes appartenant à l’Etat, les sala-

riés se sont vus offrir le marché sui-vant : prenez une photo avec votre téléphone du bulletin de vote où vous avez coché le nom Putin. Et contre la photo du bulletin, nous vous donnons un jour de congé payé. La terreur Dans de très nombreuses entreprises d’Etat, les directeurs ont utilisé les vieux ressort du régime communiste.

Ils ont donné l’ordre aux travailleurs de voter pour Putin, en leur faisant comprendre qu’ils avaient le pouvoir de vérifier ce qu’ils voteraient. 70 ans de dictature laisse des traces, et de nombreux Russes ont préféré obéir, ne voulant pas prendre de risques.

Pour surveiller les élections, les op-posants à Putin ont mis en place un Call center pour permettre aux élec-teurs de rapporter toute anomalie dont ils seraient témoins. Hier, le Call center a reçu plus de 5000 plaintes dans les premières heures, dont 2000 vont déboucher sur des procédures.

© Jean-Patrick Grumberg

Comment les élections Russes ont été truquées

Le premier ministre Benyamin Ne-tanyahou s’est adressé mardi à la conférence de l’AIPAC à Washing-ton après une réunion avec le pré-sident américain Barack Obama. «Jérusalem est la capitale unifiée et éternelle d’Israël,» a-t-il dit au dé-but de son discours sous les applau-dissements des 14 000 personnes présentent dans la salle. «Israël doit toujours se réserver le droit de se défendre par lui-même.»

«Je veux demander aux partisans d’Is-raël présents ici de se lever et d’ap-plaudir le Congrès pour son soutien à Israël. Démocrates et républicains, je salue votre engagement envers l’état d’Israël,» a-t-il dit. Netanyahou s’est rapidement concentré sur la menace nucléaire posée par l’Iran. «Chaque jour j’ouvre un journal et je lis sur les dates limites, sur les lignes rouges,

sur ce qu’Israël peut faire et fera, mais je ne vais pas parler de cela et je n’en parlerai jamais. En tant que pre-mier ministre d’Israël, je ne jouerai pas avec sa sécurité.»

«Je veux donner des explications sur les dangers de l’Iran, et pourquoi l’Iran ne devrait jamais être autorisé à développer des armes nucléaires,» a poursuivi Netanyahou. «Le prési-dent Obama a clairement indiqué que les Etats-Unis vont empêcher l’Iran d’obtenir des armes nucléaires et que toutes les options sont sur la table, Israël à la même politique.

Nous sommes déterminés à empêcher l’Iran d’avoir des armes nucléaires et nous laissons toutes les options sur la table.» «L’Iran affirme que son pro-gramme nucléaire est à des fins paci-fiques, mais je dis que si il ressemble

à un canard, marche comme un ca-nard et fait le bruit d’un canard, c’est un canard. Mais c’est un canard nu-cléaire, et c’est impossible de croire que le régime le plus dangereux du monde n’utilisera pas l’arme la plus dangereuse du monde.»

«Un Iran doté de l’arme nucléaire,» a-t-il averti, «va enhardir ses man-dataires, comme le Hezbollah, pour attaquer Israël et des cibles améri-caines. Et ils le feront. Ils le feront soutenus pour un régime nucléaire. Un Iran nucléaire pourrait étouffer l’approvisionnement du monde en pétrole.

Il pourra faire chanter le monde sur le pétrole.» Un Iran nucléaire est sus-ceptible de déclencher une course aux armements au Proche Orient, a-t-il poursuivi. «Et le pire cauchemar, un Iran doté d’armes nucléaires, pourrait tous nous menacer avec le terrorisme nucléaire.»

«L’état juif ne permettra pas que ceux qui cherchent notre anéantissement développent de telles armes. Un Iran nucléaire doit être arrêté,» a déclaré Netanyahou. «Quand il s’agit de la survie d’Israël, nous devons toujours rester maîtres de notre destin.» Lors de sa rencontre avec le président américain plus tôt lundi, Netanyahou a toutefois souligné qu’Israël n’a pas encore pris de décision concernant un possible raid sur les installations nucléaires iraniennes.

Netanyahou à l’AIPAC :« Il faut stopper un Iran nucléaire »

Suite chaque échec judiciaire, Charles Enderlin explique sur son blog que les tribunaux n’en ont pas moins jugé les propos tenus par Philippe Karsenty et le Dr Yehuda David comme « diffamatoires » et que seule « l’exception de bonne foi » justifie leurs relaxes. C’est son joker ! Cependant, tout quidam, un tant soi peu éclairé, s’interrogera quant à la qualification « diffama-toire » reconnue par les tribunaux alors que les deux ont été totale-ment disculpés !?

Comment, en effet, expliquer cet ar-bitrage sans, auparavant, apercevoir les magistrats examiner de très prés le fond de l’Affaire A-Dura ?

Par le seul fait que ceux-ci ont tranché non pas face à une véracité démontrée et prouvée du reportage de France 2 (nulle part, en effet, n’a été confirmé, dans les deux jugements, une quel-conque authenticité du meurtre du fils ou des blessures du père), mais par l’insuffisance de preuves amenées par les ‘’prévenus’’ permettant d’éta-blir de manière parfaite et complète la supercherie énoncée.

D’où le trait ‘’diffamatoire’’ des pro-pos tenus ! Et cette carence perdurera tant que le fond de l’Affaire ne sera pas abordé en examinant les rushes, les cicatrices, mais aussi toutes les enquêtes réalisées à ce jour autour de la « fusillade de Netzarim » !

En revanche, ce qui a été attesté et confirmé par les tribunaux sans contestation possible, aux dires mêmes de l’envoyé permanent à Jéru-

salem repris sur son propre blog, est la « bonne foi » des deux poursuivis.

Ainsi, « La Cour d’appel (…) a esti-mé que Mr. Karsenty était en droit de critiquer virulemment ce reportage, le sujet ayant créé une émotion particu-lière et, reconnu qu’il avait procédé à une enquête qui permettait à la Cour d’appel de lui reconnaître le bénéfice de la bonne foi ».

Une enquête que la Cour n’a nulle-ment remise en cause et qui autorise donc, ici, la levée de sérieux doute quant à ce fameux reportage ! Pour ce qui concerne le Dr Yehuda David, la Cour a considéré, toujours selon le blog d’Enderlin, que n’étant pas jour-naliste, celui-ci « disposait d’une base factuelle suffisante compte tenu de l’intervention chirurgicale pratiquée par lui en 1994 sur la main droite et la jambe gauche de Jamal Al Dura ».

Seule, selon cette même Cour, l’im-putation « au moins par insinuation, à la partie civile, de s’être prêtée à une mise en scène en présentant comme consécutives à une fusillade (…) des blessures à la main droite et à la jambe gauche qui existaient déjà en 1992 pour la main et 1994 pour la jambe » ont permis la qualification de ‘’diffamation’’ à l’égard des propos tenus.

Une « diffamation » qui perdurera tant que Jamal A-Dura esquivera tout examen médical, seul à même de trancher clairement quant à l’accusa-tion de « mise en scène » émise par le Dr David.

Là encore, la « bonne foi » reconnue de l’un et le refus de tout examen médical de ses cicatrices de l’autre renforce très fortement la présomp-tion de mensonges dispensés par ce reportage. Résumons !

Charles Enderlin et France 2 ont été traités de « menteurs » en l’an 2000. Au vu de « l’enquête » minutieuse ef-fectuée par Philippe Karsenty et de la « base factuelle » du Dr David, deux Cours d’Appel distinctes ont reconnu leurs « bonne foi » et les ont innocen-té tout en maintenant que leurs pro-pos étaient « diffamatoires » car étant dans l’impossibilité de démontrer et de prouver, de manière parfaite, leur accusation commune de « mise en scène ».

Rien de plus ! Le joker de Charles Enderlin confirmant à qui veut, par sa lecture personnelle des jugements, la ‘’véracité’’ de son reportage s’avère donc être un leurre mais également une preuve de son manque total de ‘’bonne foi’’ quant à sa volonté de permettre tout examen impartial du fond de l’Affaire A-Dura ! Toutes choses qui resteront, il faut le croire, comme une tache sur la déontologie qu’il est sensé respecter et protéger !

Publié par Victor PEREZ

Le joker de Charles Enderlin

Si vous pensez que les sanctions économiques contre l’Iran auront un effet quelconque, et bien vous vous trompez ! En effet l’Alle-magne verse la somme coquète de 4 milliards € annuelle pour l’Iran. C’est une université technique alle-mande qui parraine un programme qui commercialise des matériaux de construction vers l’Iran. Et le gouvernement allemand paie pour cela .

A l’occasion d’un événement ira-nienne, l’Université Technique de Berlin (TU) a envoyé un courriel mardi dernier intitulé « Société du Congrès » aux étudiants et aux autres parties potentielles. Yousef Chappi, le chef du département économique de l’Iran à l’ambassade, a écrit que le but de l’événement est «de renfor-cer les entreprises allemandes dans le secteur de la construction consciente du potentiel présent avec la nouvelle technologie et la base pour une coo-pération et la signature de contrats communs. » L’événement sur invita-tion seulement, qui a eu lieu mercredi dernier, a été gardé en secret et il ya eu un pré-enregistrement.

Dr Wahied Wahdat-Hagh, un des principaux experts sur les relations entre l’allemagne et l’Iran a traduit un rapport en langue persane à l’Agence République islamique , et a cité un commentaire après l’événement de l’Iran l’ambassadeur Ali Reza Attar Cheikh, sur la conférence portant sur le commerce de la construction dans

la ville de Berlin.

L’Allemagne est le plus important partenaire commercial européen pour l’Iran , avec un commerce bilaté-ral qui oscille autour de 4 milliards d’euros par an. Mais il ya un hic, car certaines questions au sujet des vio-lations de l’UE et des sanctions de l’ONU, car cette

marchandise pourrait éventuellement être utilisée pour développer les ins-tallations nucléaires souterrains et hors sol. Le gouvernement iranien utilise fréquemment le »double usage », la technologie à des fins militaires et civiles.

L’Allemagne verse la somme de 4 milliards € annuelle pour l’Iran, le saviez vous ?


Le président américain Barack Obama a dit à la conférence de l’AIPAC que les Etats-Unis et Is-raël «partagent des intérêts, mais nous partageons aussi des valeurs humaines dont le président Shimon Pères a parlé. Un engagement à la dignité humaine. Une croyance que la liberté est un droit qui est donné à tous les enfants de D.ieu.»

Oui, nous sommes liés à Israël en rai-son des intérêts que nous partageons, la sécurité pour nos communautés, la prospérité pour nos peuples, et des nouvelles frontières scientifiques qui peuvent éclairer le monde, mais ce sont nos idéaux communs qui consti-tuent le vrai fondement de notre rela-tion,» a déclaré le président améri-cain.

«C’est pourquoi l’engagement de l’Amérique pour Israël existe autant sous les président démocrates que républicains, et dans toutes les par-ties du Congrès. Aux Etats-Unis, notre soutien à Israël est bipartite, et c’est ainsi qu’il doit rester.» «Il y a quatre ans, je me tenais devant vous en disant que la sécurité d’Israël est sacro-sainte. Elle est non négociable.

Cette croyance a guidé mes actions en tant que président. Le fait est que l’engagement de mon adminis-tration à la sécurité d’Israël est sans précédent. Notre coopération mili-taire et dans les renseignements n’a jamais été aussi proche. Nos exer-cices conjoints d’entraînement n’ont jamais été aussi importants.»

«Malgré un contexte budgétaire dif-ficile, notre assistance à la sécurité d’Israël a augmenté chaque année, nous investissions dans de nouvelles capacités, nous mettons à la dispo-

sition d’Israël des technologies plus avancées, le type de produits et de systèmes qui ne sont destinés qu’à nos plus proches alliés et amis

. Et ne vous méprenez pas : nous ferons ce qu’ils faut pour préserver l’avantage militaire qualitatif, parce qu’Israël doit toujours avoir la capa-cité de se défendre par lui-même, contre toute menace,» a déclaré le dirigeant américain.

Face à la menace iranienne, a dit Obama, «commençons par une vérité fondamentale que vous comprenez tous : aucune gouvernement israélien ne peut tolérer une arme nucléaire dans les mains d’un régime qui nie l’Holocauste, qui menace de rayer Is-raël de la carte et parraine les groupes terroristes engagés à la destruction d’Israël.

Et je comprends donc l’obligation historique profonde qui pèse sur les épaules de Bibi Netanyahou, Ehoud Barak et tous les dirigeants d’Israël.» «Un Iran nucléaire est totalement contraire aux intérêts sécuritaires d’Israël. Mais il l’est également à l’encontre intérêts de la sécurité na-tionale des Etats-Unis.

En effet, le monde entier a intérêt à empêcher l’Iran d’acquérir l’arme nucléaire. Une arme nucléaire ira-nienne pourrait saper le régime de non-prolifération que nous avons mis tant d’énergie à construire. Il y a des risques que l’arme nucléaire ira-nienne puisse tomber entre les mains d’organisations terroristes,» a-t-il ajouté.

«Il est presque certain que d’autres dans la région se sentiront obligés d’obtenir leur propre arme nucléaire,

ce qui déclencherait une course aux armements dans une des régions les plus instables du monde.

Cela encouragerait un régime qui a brutalisé son propre peuple, et enhar-dirait les alliés de l’Iran, qui ont mené des attaques terroristes du Levant au sud-ouest asiatique.» Le président a poursuivi en disant que «nous préfé-rons résoudre ce problème diploma-tiquement.

Cela dit, les dirigeants iraniens ne devraient avoir aucun doute sur la volonté des Etats-Unis, tout comme ils ne doivent pas douter du droit sou-verains d’Israël à prendre ses propres décisions sur ce qui est nécessaire pour répondre à ses besoins sécu-ritaires. J’ai dit que lorsqu’il s’agit d’empêcher l’Iran d’obtenir l’arme nucléaire, je n’enlève aucune option de la table, et je pense ce que je dis.

Cela inclut tous les éléments de la puissance américaine. Un effort politique pour isoler l’Iran, un effort diplomatique pour soutenir notre coalition et faire en sorte que le pro-gramme iranien soit surveillé, un effort économique pour imposer des sanctions paralysantes, et, oui, un effort militaire pour être prêt à toute éventualité.»

«Les dirigeants iraniens doivent savoir que je n’ai pas une politique d’endiguement, j’ai une politique visant à empêcher l’Iran d’obtenir l’arme nucléaire. Et comme je l’ai dit clairement durant ma présidence, je n’hésiterai pas a recourir à la force lorsque cela sera nécessaire pour défendre les Etats-Unis et leurs inté-rêts,» a déclaré Obama.

« Les Etats-Unis n’hésiteront pas à employer la force contre l’Iran »

Un rapport publié récemment montre que, contrairement à ce que prétend Jean Glavany et le Hamas, Israël remplit parfaitement ses obligations conformément aux ac-cords sur l’eau, signés en 1995. Par contre, les palestiniens violent ces accords de manière permanente.

L’Accord intérimaire israélo-pales-tinien du 28 Septembre 1995, signé à Washington (annexe 3, appendice 1, article 40), stipule clairement la manière dont les parties doivent agir dans le domaine de l’eau dans les ter-ritoires disputés de Judée-Samarie.Il s’agit là d’un accord international qui a été non seulement signé par Israël et les Palestiniens, mais également par les Etats-Unis, la Russie, l’Union Européenne, la Norvège, la Jordanie et l’Egypte.

Reconnu par la communauté interna-tional, il force les deux parties à un partenariat actif, dont les principaux points sont - Le droit des palestiniens à l’eau en Judée-Samarie est reconnu et sera renégocié lors d’un accord de paix permanent.- Les deux parties reconnaissent la nécessité de développer des sources d’eau supplémentaires pour divers usages.- Le maintien des quantités existantes d’utilisation de l’eau, tout en tenant compte des quantités d’eau supplé-mentaires pour les Palestiniens de l’aquifère -

Les besoins futurs supplémentaires des Palestiniens en Judée-Samarie sont estimés à entre 70-80 millions de m3 / an. Dans ce cadre, les deux parties reconnaissent la nécessité de mettre à disposition de l’Autorité pa-lestinienne, au cours de la période in-térimaire, une quantité totale de 23,6 millions de m3/an (dont 5 millions de m3 pour la bande de Gaza).- Chaque partie prendra toutes les mesures né-cessaires afin de prévenir tout dom-mage, pollution ou détérioration de la qualité de l’eau.

- Les deux parties mettent en place une surveillance conjointe et des équipes d’application qui fonctionne-ra sur tout le territoire pour surveiller, superviser et faire appliquer la mise en œuvre de l’article 40.- Afin de mettre en œuvre leurs enga-gements, les deux parties vont établir un Comité permanent de l’eau (JWC).

Il est aujourd’hui fait avéré, tant du côté israélien que des ONG et même du gouvernement palestinien (rap-ports officiels mais discrets) qu’Is-raël respecte toutes ses obligations légales. D’ailleurs, Israël a mis à dis-position des palestiniens non pas 23.6 mais près de 70 millions de m3 d’eau par an, en moyenne depuis 1995, pour les palestiniens de Judée-Samarie.

Par contre, les palestiniens violent ces accords, de manière quasi-quo-tidienne, et de plusieurs façons dif-férentes :- Ils creusent des puits non-autorisés en Judée-Samarie, en contradiction totale avec les accords internationaux. Actuellement, plus de 300 puits illégaux souillent le sol de la région, polluent l’acquière et vident les nappes phréatiques d’une quantité d’eau nécessaire aux sols.

- Malgré les dizaines de millions reçus par les palestiniens pour mettre en place des usines de traitement des eaux depuis 15 ans, les eaux sales palestiniennes sont constam-ment reversés dans les cours d’eau qui affluent vers Israël, contaminant tous les bassins environnants.- Les Palestiniens n’ont développé aucune nouvelle source d’eau, soit par le traitement des eaux usées, soit par le dessalement.Au final, il est vivement recommandé à Jean Glavany de lire le document suivant… Et à visiter la région avant d’écrire des énormités comme celles que l’on retrouve dans son « rapport » sur l’eau.

Benjamin Amsellem – JSSNews

Si Israël respecte les accords sur l’eau, les palestiniens les violent

Alors que le Premier ministre Neta-nyahou se trouve à Washington, les Etats-Unis renforcent leur dispo-sitif face à la Syrie et à l’Iran. Le destroyer USS Sullivans équipé du système de missiles anti missiles ba-listiques AEGIS est arrivé vendredi 2 mars dans le port de Bodrum sur la côte turque. Cinquante militaires américains ont été postés en renfort à la station de radar ultrasophisti-qué de type AN/TPY-2 sur la base

aérienne de Kurecik au Sud-Est de la Turquie.Réassurant le soutien de son pays à Israël en matière de sécurité, le pré-sident américain Barack Obama a déclaré dans le discours qu’il a pro-noncé à l’Aipac, que les Etats-Unis veilleront « à conserver la supériorité militaire d’Israël ». Il s’est engagé par ailleurs à décerner au président Shi-mon Pérès la prestigieuse « médaille de la liberté »

Les Etats-Unis renforcent leur dispositif en Turquie


Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a dit hier rece-voir des «informations macabres» selon lesquelles les forces syriennes procéderaient à des détentions et des exécutions arbitraires dans le quartier de Bab Amro à Homs.

«Le gouvernement syrien n’a pas assumé sa responsabilité de protéger son peuple», a-t-il déclaré à la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies. «Les populations civiles su-bissent une offensive militaire dans plusieurs villes.»

Syrie: le «massacre aveugle» de Homs raconté par les journalistes évacués

L’ONU s’efforce toujours d’orga-niser «dès que possible» une visite en Syrie de sa responsable des opé-rations humanitaires, Valérie Amos, selon M. Ban. Cette visite a été refu-sée cette semaine par Damas, qui a

ensuite assuré que ce n’était qu’une question de date.

Sur le plan politique, M. Ban affir-mé que la mission de Kofi Annan, nouvel émissaire de l’ONU et de la Ligue arabe en Syrie, serait «d’obte-nir un cessez-le-feu, de mettre fin à

la violence et d’aider à une solution politique» par le biais d’un «dialogue politique». Dans l’immédiat, les vio-lences ne connaissaient pas de répit.

«Un terroriste a fait exploser une voi-ture qu’il conduisait dans la ville de Deraa, provoquant la mort de deux civils» et faisant 20 blessés, civils et agents de sécurité, a annoncé l’agence officielle Sana. L’Observatoire syrien des droits de l’Homme a évoqué deux morts dans une explosion à Deraa, sans en préciser l’origine.

Toujours dans le sud, des déserteurs ont lancé une attaque à Hrak contre des véhicules militaires qui avaient pris d’assaut la localité. Au moins six soldats ont été tués et neuf autres blessés dans les combats, en marge desquels un civil est mort, selon l’OSDH.

Syrie : Ban Ki-moon dit recevoir des «informations macabres» 3 questions à Guy Scialom, fonda-

teur de Dessine moi mon Répit.

Dessine moi mon Répit est une nou-velle venue dans les voyages com-munautaires. Cette année vous pro-posez un séjour de Pessah. Pouvez vous nous en dire plus ?

Dessine moi mon Répit (DMMR) n’est pas si nouveau que cela dans les voyages communautaires. Nous sommes présents dans le tourisme communautaire depuis 1999. Ceci dit, j’ai lancé il y’a 27 ans cette initia-tive avec la communauté de Fontenay Sous Bois. L’idée était de partager ensemble, en famille, la fête de Pes-sah, symbole de diversité et de liber-té. Puis le concept s’est développé et aujourd’hui de nombreux séjours s’organisent aux quatre coins du monde. Dessine moi mon Répit vous accueille cette année en Espagne sur la Costa Brava en bord de mer.

En quoi votre offre se démarque t-elle des autres ?

Tout d’abord le prix. DMMR propose le prix le moins cher sur le marché (690 Euros sur une base de 2 adultes trois enfants) pour une prestation de grande qualité. L’hôtel est un quatre étoiles luxe avec piscines et SPA qui organise Pessah depuis 13 ans, au bord de la mer. Toutes les infrastruc-tures sont adaptées pour que vous passiez un Pessah dans les meilleures conditions. La restauration est pré-vue sous forme de buffets et servie à table les jours de fête, mettant à

l’honneur les spécialités culinaires chères à notre tradition. Au niveau de la casherout, notre séjour est placé sous la stricte surveillance du Beth Din de Paris. Les offices, sedarim et cours seront assurés par notre équipe de hazanim et notre rabbin.

Et pour ce qui est de l’animation ?

Notre équipe est adaptée aux petits comme aux grands. De nombreuses animations sont proposées dans la journée mais aussi en soirée. Anima-tion musicale avec Paul Uzan, pré-sence exceptionnelle du pianiste vir-tuose Gérard Gahnassia et d’autres surprises.

Un mini club et club ado sera animé par les animateurs des EEIF. Sans parler des soirées spéciales orientale, israélienne et flamenco. Ainsi qu’une mimouna traditionnelle.

Tout est fait pour que vous passiez, en famille, un Pessah de qualité pour cé-lébrer notre libération d’Egypte. J’en profite d’ores et déjà pour souhaiter à vos lecteurs un Pessah Kasher vé Sameah. Et je leur propose une réduc-tion de 100 Euros par chambre pour toute réservation.

Interview Guy Scialom, Dessine moi mon Répit


Régulièrement, les familles plon-gées dans la douleur suite au décès d’un proche sont confrontées à des sollicitations qui frisent souvent l’indécence.

Pour pallier à cette légitime préoc-cupation, un membre de la commu-nauté M Max CHEMLA Sarcellois connu, issu d’une famille respectable et appréciée, assure depuis de nom-breuses années la veillée de nos chers

disparus en toute discrétion.A ces yeux, il est inconcevable de pri-ver un défunt de lecture de téhilims , et il s’y attelle des nuits entières, aussi bien dans une HLM de la Courneuve que dans un hôtel particulier du 16è arrondissement de Paris.

Qu’il connaisse ou pas le défunt, son action ne se limite pas à Sarcelles et ses environs, il lui arrive de se dépla-cer en province pour des personnes

qui décèdent sans famille.

Les maisons de retraites et les hopi-taux ou séjournent des israélites conservent précieusement son numé-ro et n’hésitent pas à le solliciter de jour comme de nuit.

On trouve dans la thora la source de cette Mitzva à laquelle il est tant atta-ché :

« Notre patriarche Yaacov Avinou, sentant sa fin prochaine, fit promettre à Yossef de s’occuper de son enterre-ment. Yossef s’acquitta de son devoir avec zèle.

Lors de la sortie d’Egypte, alors que les bné Israël s’occupaient égoïste-ment de leurs besognes matérielles, Moshé Rabbenou prit sur lui la Mitzva de rapatrier les ossements de Yossef.

Quand Moshé a rendu son dernier souffle, H.achem lui-même s’occupa de sa sépulture ».

Un véritable enseignement est à tirer de cette leçon de Hessed.

A la tète de son association HANE-CHAMA, Max Chemla assisté de deux bénévoles, a depuis le début établi les règles : Ne jamais asso-cier cette Mitzva à de l’argent. On

entend souvent répéter cette phrase : Quel être humain est assez riche pour rémunérer le salaire d’une Mitzva ? Nous refusons systématiquement tout don des familles endeuillées quel que soit leur statut social. Pourquoi ? Tout simplement pour permettre aux familles démunies de téléphoner sans crainte et demander un lecteur sans se sentir rabaissées financièrement.

La mission de l’association HANE-CHAMA ne se limite pas à la lecture de Téhilims, nous voulons rétablir cette notion de fraternité et de sou-tien aux familles, les consoler avec des paroles qui viennent du cœur et non de la bouche. Nous impliquer, les conseiller et leur expliquer avec dou-ceur et dignité les règles du deuil.

Cette Mitzva fondamentale du der-nier devoir peut être réalisée de cette manière que lorsque l’on n’attend rien en retour, lorsqu’on l’a réalise « LECHEM CHAMAIM ».

Bien que nos institutions apportent des solutions, la proximité de cette action exceptionnelle, permet une efficacité bien plus grande.Ce bénévolat apporte un réconfort sans se soucier de l’aspect matériel ( financier ) qui suscite souvent un rejet des endeuillés, et qui accentue leur douleur de façon inopportune.Pour ces raisons, l’association HA-

NECHAMA remplit une Mitzva d’une grande importance communau-taire et sera toujours à vos cotés dans ces moments si douloureux.

Après avoir participé à une confé-rence sur le sujet au mois de janvier dernier, Max Chemla a pu mesurer l’implication de M. Le Grand Rab-bin de France Gilles Bernheim et de M. Claude Mamane responsable de la Hevra Kadisha Nationale, pour le travail qu’ils accomplissent au quoti-dien.

Mon souhait dit-il est de susciter des vocations et de voir l’association se développer à toutes les communautés du pays afin que chaque défunt, quel que soit son secteur géographique ait à sa disposition une équipe prête à l’accompagner.

Un jour, la mort sera bannie du monde et l’éternel essuiera les larmes de tous les visages.

Tous les matins durant sa Téfilah, il demande à H.achem de le mettre au chômage de cette Mitzva et de lui accorder des nuits pleines d’un som-meil réparateur grâce à la venue de Machiah Tsidkenou .

AMEN.

Un exemple à suivre

Quelque 48 millions d’électeurs sont appelés aux urnes pour choi-sir les 290 députés d’un Majlis qui devrait être comme les précédents dominé par les conservateurs au pouvoir. Quelque 3400 candidats sont en lice pour ce scrutin, boy-cotté par les principaux mouve-ments de l’opposition réformatrice en protestation contre la répres-sion sévère dont ils ont été victimes depuis la réélection contestée du président Mahmoud Ahmadinejad en 2009.

Dans ce contexte, et alors que l’Iran est soumis à une pression internatio-nale croissante pour son programme nucléaire controversé, le principal enjeu de ces élections sera pour le régime de pouvoir afficher une parti-cipation électorale élevée.

Les principaux dirigeants et les mé-dias officiels ont multiplié les appels à une participation massive, présen-tée comme une réponse aux menaces militaires israéliennes et aux efforts des Occidentaux pour étouffer l’Iran depuis deux ans par des sanctions économiques et financières sévères.

En allant voter, la population «don-nera une gifle aux puissances hégé-

moniques» et «montrera sa déter-mination à résister à l’ennemi», a affirmé le guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei. Le président Ahmadi-nejad a lui appelé à la mobilisation pour «donner un parlement fort et populaire» au pays. La participation aux législatives oscille traditionnelle-ment entre 50% et 70%, et avait été de 55,4% lors des dernières élections en 2008, selon les chiffres officiels.

En l’absence de sondages fiables, plusieurs responsables ont pronos-tiqué une participation supérieure à 60%. Le chef de la police, le général Esmaïl Moghaddam, a par ailleurs as-suré que la sécurité était parfaitement assurée, et que le scrutin pourrait se dérouler de façon «saine et enthou-siaste» à l’abri de tout incident ou manifestation d’opposition.¨

Les opérations de vote doivent durer toute la journée, à travers quelque 47’000 urnes installées dans tout le pays. Le scrutin est un scrutin de liste dans les grandes villes et uninominal dans les petites circonscriptions. Les résultats devraient être connus sous deux ou trois jours, a indiqué le mi-nistère de l’Intérieur.

Source : 20minutes.ch

48 millions d’Iraniens aux urnes


Trente-trois personnes sont mortes dans les tornades qui ont balayé les Etats-Unis du Midwest au Sud-Est vendredi, selon un nouveau bilan fourni samedi par les autorités. Seize décès ont été enregistrés dans le Kentucky, quatorze dans l’India-na voisin, deux dans l’Ohio, et un dans l’Alabama.

Plus de 80 tornades ont dévasté le centre des Etats-Unis, quelques jours après une précédente vague d’intem-péries qui avait fait 13 morts dans le pays. Le Service national de météo-rologie a indiqué avoir reçu 83 alertes à la tornade pour la seule journée de vendredi, portant le nombre total à 133 depuis le début de la semaine.

Un phénomène extrême Des camions ont été emportés comme des fétus de paille dans des lacs, des maisons ont été rasées et des bâtiments détruits par les tornades qui ont frappé huit Etats du centre des Etats-Unis. Nous ne sommes pas surpris par la colère de la Nature, ici dans l’Indiana», a observé le gouverneur de l’Indiana,

Mitch Daniels, sur les ondes de CNN. Mais je n’avais jamais vu quelque chose d’aussi grave depuis que j’oc-cupe mes fonctions», a-t-il ajouté. Les images de télévisions montrent des maisons éventrées, des véhicules projetés contre des bâtiments, des hangars aux toits arrachés, ou un bus scolaire écrasé contre un mur. Les récits des survivants témoignent de la violence du phénomène.

A Chelsea, dans le sud de l’Indiana, un garçonnet de quatre ans a été arra-ché des bras de sa mère par le vent alors que tous deux étaient réfugiés dans une cave. Les corps de l’enfant et de ses deux arrière-grands-parents, qui se trouvaient à l’étage supérieur, ont été retrouvés dans un champ à proximité.

Plus de 57 000 foyers du nord de l’Alabama, de l’ouest du Kentucky et du sud-est du Tennessee ont été privés d’électricité, rapporte la Ten-nessee Valley Authority, qui exploite la centrale nucléaire de Sequoyah.

Tornades meurtrières aux Etats-Unis

Une connexion surprenante a été faite cette semaine entre un élé-ment de l’opposition syrienne et le porte-parole de Tsahal, le briga-dier général Yoav Mordéchai sur sa page Facebook, a rapporté ven-dredi le Yedioth Ahronoth.

Un citoyen syrien nommé Abdoul Kader a écrit ce qui suit sur le mur Facebook : «nous voulons nous dé-barrasser d’Assad et de son régime et moderniser la Syrie par la promotion de la liberté de religion et la liberté de

pensée, nous ne voulons pas la guerre avec vous et ne sommes définitive-ment pas intéressés par la plateau du Golan.» Parlant arabe, Mordéchai a répondu : «je vous remercie pour vos mots.

Nous souhaitons tous la paix dans notre région et la réalisation de nos espoirs de sécurité, de paix et de coexistence.» Kader a plus tard ré-pondu : «Assad a un intérêt à main-tenir la peur de l’opposition en Israël. Mais nous voulons vraiment la paix.»

Message de paix en provenance de Syrie


Le contexte de L’histoire de Pou-rim nous est relaté dans les Livres de Daniel et d’Ezra. Ce fut au 5é et 6é siècle avant notre aire, à l’époque ou le Peuple d’Israël était déjà exilé en Babylonie. Ce même empire était tombé aux mains des ancêtres perces d’Amadineja! Et s’étendait de l’inde jusqu’en Ethio-pie.. A l’époque de ce premier exil, Le roi Cyrus avait donné la permis-sion aux juifs de retourner en Erets Israël pour reconstruire le Temple. Une partie seulement du peuple s’y était rendue et commencèrent à le reconstruire dans des conditions difficiles.

Mais sous le règne de Hachvéroch-Assuérus, ont accusèrent comme d’habitude les juifs de vouloir se ré-volter contre la Perse! Le roi cru à ces accusations et fini par interrompre la reconstruction de Jérusalem. La Gue-mara raconte que bien plus tard les travaux reprirent au temps de Darius-Dar yabéch dont on dit qu’il était le fils d’Esther!.

Mais revenons à Suze Chouchane qui était la résidence de Hachvéroch, mais également la ville de Perse où l’on compter la plus grande concen-tration de juifs. C’est justement là où le récit de Pourim va se dérouler !. A la 3éme année de son règne, Assuérus donne un immense festin durant 180 jours et il invite naturellement tous les notables des 127 provinces de son royaume. A la fin de ces festivités, il invite pendant une semaine, tous les habitants parmi lesquels les «feujs» de la ville de Suze à un nouveau fes-tin..Cachère Badats !.

Le dernier jour raconte la Guemara, le roi ordonne à son épouse, la Reine Vachti, de paraître «en petit tenu» de-vant tous ses convives pour exhiber sa beauté…Vachti se refuse et la Gue-mara précise qu’un malah-un ange lui avait même placé une queue d’âne pour l’enlaidir!. Alors le roi Hachvé-roch consulte ses conseillés parmi lesquels, un certain Memoukhan qui n’es autre qu’Amane…(un ancien palefrenier, monté de grade..) qui lui conseille de répudier la reine Vachti ! Il l’écoute et la fait exécuter sur le champ…

Le Roi Assuérus cherche alors une nouvelle Reine et le fait savoir dans tout son royaume à grand renfort de publicité..! Plusieurs belles jeunes filles se pressent au Palais, parmi les-quelles Esther-Hadassa-qu’on appel aussi Chochana, qui est une orphe-line, et qui est la nièce de Mardo-chée le descendant de Benyamin qui

est le second fils de Rahel imménou ! (dont il a hérité de la grande Tsi-niout-la pudeur). C’est elle Esther qui va plaire au Roi qui la prendra pour épouse, mais elle continuera à garder contact avec son oncle Mardo-chée duquel elle écoutera les conseils. On dit aussi que Mardochée était son époux. Durant cette période, Amane – imahchémo zekro fut élevé au rand de 1er ministre, et le Talmud raconte qu’il connaissait l’histoire du peuple juif, il connaissait notamment l’épi-sode mentionné dans la Thora, de la vente de Yossef par ses frères!» C’est pourquoi il dit dans la Meguila : «Yéch Aam méfouzar» il y a un peuple éparpillé-divisé ! Dit Amane, en parlant des juifs! C’est la raison pour laquelle il propose de les acheté à Hachvéroch!. Il veut pouvoir en dis-poser pour mieux les détruire en une seule fois !! «béyom éhad». HM bien évidemment connaissait le plan « machiavélique» d’Amane, c’est pour cela qu’il a précédé dans le désert, en ordonnant à Moise ses Sicles –Maha-sit Achékel à ceux d’Amane, car il est de coutume, dés le 1er Adar de chaque année de déclarer à tous les juifs, la collecte des sicles d’argent et ce depuis Moise. C’est cette col-lecte que Moché va réunir et qui va permettre à tous les juifs de participer chaque année aux offrandes collec-tives du temple.

Hélas depuis des générations nous sommes orphelins du Beth Amikdach et cet argent est généralement dis-tribué aux pauvres!. En offrant cet argent au Roi, et en renonçant à cette immense somme, Amane comptait arriver à ses fins. Il fallait que du côté des juifs, s’oppose à Amane, la même énergie tenace. C’est en quelque sorte la réponse d’HM à Amane «Imah-chémo». Le Mahatsit à Chekel–le demi sicle que chacun des membres du peuple juif verse chaque année, démontre qu’il est bien vivant et qu’il est prêt à faire des sacrifices pour son idéal!.

Tout le récit de la Méguila d’Esther décrit des situations ou des événe-ments invraisemblables! Les acteurs ressemblent à des «marionnettes» tirés par des ficelles…Comment se fait-il, par exemple que c’est Esther qui est choisie pour succéder à la Reine Vachti? Quel hasard à fait que Mordékhai découvre un com-plot contre le Roi Hachvéroch? Pour quelle raison n’a-t’il pas voulu se prosterner devant Amane? Pourquoi Esther décrète un jeûne de trois jours en même temps quelle prépare un festin en l’honneur de Hachvéroch et d’Amane? Et enfin encore, Pourquoi

le Roi, inquiet ne parvient pas à trou-ver le sommeil cette même nuit? Et comme par hasard… le Livre du Roi est ouvert exactement à la page où est consigné le bienfait de Mardochée le juif, qui a dénoncé un complot contre le Roi…

Le Rav Emanuel Chouchena zal di-sait : «Le début du film est plus ou moins connu, c’est plutôt la fin qui nous échappe et nous intrigue.. mais baroukh HM elle est toujours en fa-veur du Am Israël ! ».

Il suffit parfois d’un rapide coup d’œil sur quelques faits historiques mon-diaux pour nous inciter à comprendre la manière avec laquelle D-ieu inter-vient …Rome et les conséquences de ses conquêtes en Europe occiden-tale…Les Européens à leur tour avec les retombées de leurs conquêtes en Amérique, en Afrique et en Asie.La Russie laquelle en acceptant sur son sol les pogroms contre les juifs, sti-mulerait elle-même, les premières Alyot qui jetteraient les bases de ce qui serait plus tard l’Etat d’Israël? Ou encore les conséquences du 11 sep-tembre..Très souvent, l’homme joue un rôle malgré lui dans une histoire qui semble avoir partiellement un cours déterminé…

Pourim ce mot veut dire : le Sort ! Lorsque nous observons l’actualité autour de nous, et les conséquences sur la vie de chacun, comme par exemple la crise dans le Monde, en Europe et en France en particulier, mais également en Erets Israël, sans compter les révoltes arabes, on ne peut évidemment pas s’empêcher de penser à la bombe que prépare le fou antisémite iranien! Alors posons-nous la question! Quel sort attend le Peuple d’Israël?.D-ieu merci nous avons la Thora pour répondre!. Nos Sages nous disent : Nous voyons dans le sepher Bérichit, les hartou-mim Misraim, ces Magiciens de l’Egypte…dirent à Pharaon à l’issue des plaies : « itzba éloim i » C’est le doigt d’HM! et ce sont là que des mécréants! Pourtant ils reconnaissent la force du Tout Puissant dans la ca-tastrophe que subi l’Egypte…

Pausons-nous alors la question! Si ces idolâtres, voient l’intervention divine dans les événements qu’ils subissent…Kalva homer! A plus forte raison nous mêmes.«maaminim bné méaminim» nous qui sommes croyants et confiant!. Il est intéressant de voir, que dans toute la Meguila le nom de D-ieu ne parait pas et que d’ailleurs aucune phrase ne parle clai-rement d’un acte religieux!.

Les Sages disent dans la Guemara Houline 139b que l’histoire d’Esther a été présagée dans un pasouk de la Torah qui dit la chose suivante : «Véa-nokhi hastére Astir Panaii» Après la faute des enfants d’Israel,HM dit, je cacherais ma face…en l’auccurence, il viendra un temps où je ne me manifesterais plus de manière osten-tatoire comme au temps de l’Egypte ancienne!. Le miracle de la Méguila, n’est pas manifeste nous l’avons bien compris, tous les événements qui se succèdent peuvent être expliqués de manière pour le moins naturelle. D-ieu que son Nom soit sanctifié est dans les coulisses de l’histoire…à l’image de ces metteurs en scènes,

mais HM ne s’impose pas! Ainsi est sa force. L’homme reste libre d’attri-buer les faits au Créateur ou au ha-sard!.

C’est tout cela Pourim !. Nos rab-bin disaient : «il y a deux mitzvot qui nous incitent et nous invite à la Emouna Bachêm…à la Foi en le Tout Puissant ce sont les fêtes de Soukot et de Pourim! Tout d’abord Soukot, parce que HM nous ordonne de vivre durant 7jours sous la Souka pour oublier le confort de nos maisons, cette fête durant laquelle chacun de nous à le devoir de se réfugier sous « les ailes de la providence divine», comme nos ancêtres dans le désert… Et enfin la mitzva de Pourim, par laquelle nous reconnaissons la provi-dence d’HM qui intervient dans nos vies collectives ou individuelle, et ce de manière tout à fait voilé.

Notre maître Rabbi Fraji Uzan zat-sal disait : «De pourim, il faudrait en parler toute l’année!! Parce que nous nous rendons pas compte des inter-ventions de la providence divine au quotidien!». Il avait cette réflexion concernant Israël parmi les nations : «Si ce n’était pas par sa volonté nous n’aurions pu survivre en exil» là encore, il faisait clairement allusion à la Providence divine!. Cette période de Hestér Panim, de la dissimulation de la providence divine peut paraître comme un recul par rapport aux temps des miracles du Tanakh-de la Bible.Nous savons qu’à part celui de Hanouca, il n’y eut plus aucune mani-festation publique de miracle. «Hester Panim» c’est se cacher à l’image des poissons sous l’eau et ce n’est pas par hasard…si le signe zodiacal de ce mois de Adar et justement le Poisson! Et on comprend mieux pourquoi, cer-tains aiment plus encore cette fête de Pourim!. Pourim est la dernière fête de l’année du calendrier juif qui com-mence en Nissan et il est une sorte de synthèse de toutes les fêtes qui l’ont précédée, comme le montrent les lettres du mot «Pourim» qui sont les initiales de : Pessah, Vésoucot, Roch-Achana, Yom Kipour,et Matane Tho-ra (Pé,Vav,Réch,Yod,Mêm) Pourim!. Le Zohar Hadach affirme que «Kip-pour» est «Ké-pourim» comme Pou-rim, qui est donc encore plus élevé, puisqu’il sert de point de comparai-son !.Le nom de Pourim vient du mot «Pour» tirage au sort, qui rappelle que Amane a tiré au sort le mois où devait être exécuté son décret d’ex-termination du peuple juif. Sans trop rentrer dans les guematriot, la valeur numérique pleine du mot «Pour» est égale à (Pè yod =90, vav alef vav=13, rech yod chin= 510. Total de ces trois lettres pleines : 613 ! Grâce à l’accep-tation renouvelée avec amour des 613 commandements de la Thora par le Peuple juifs, il y eu un retournement de situation du « Pour » (613) et les juifs furent sauvés et Amane pendu avec tous ses fils!.

A partir de l’époque d’Esther, les valeurs de la Torah entrèrent dans la mentalité de notre peuple. D’ail-leurs Mardochée faisait partie des Anché Knéset Aghédola-les hommes de la Grande Assemblée, qui avait pour mission de propager la Torah orale !. L’histoire nous enseigne, que c’est la Torah oral qui va maintenir la ferveur religieuse à travers toutes les générations. Lorsque on étudie

les lois de Pourim à travers la Mas-sekhét Meguila du Talmud on com-prend mieux pourquoi ce document, qui est la Méguila d’Esther détient le statut d’écrit et donc d’un document qu’il faut transmettre oralement!. Par conséquent nous pouvons com-prendre, pourquoi la Meguilla est écrite dans un style plutôt «laïque» car ce langage été plus approprié pour l’époque. Mais il nous appar-tient également de rechercher les pro-fondeurs spirituelles dans ces textes!. Cette Méguilla d’Esther est le seul parmi tous les écrits qui servira de référence l’éatid labo-dans le Futur. Il est recommandé de s’enivrer dit la Guémara «Aad chélo Yéda» jusqu’à ne pas pouvoir distingué entre « Baroukh Mordekhai et Arour Amane !» Béni soit Mordekhai …et Maudit soit Amane !

On raconte d’ailleurs un récit assez extraordinaire dans la masékhét Méguila à la page zaine amoud bêt, à propos d’un Michté entre Rava et Rabi Zéra…ils se mirent à boire jusqu’à plus soif…à un moment don-né, Rava se leva et tua le «pauvre» Rabi Zéra! Chahita rabi Zéra…Il faut savoir que tous les noms des khakha-mim qui sont mentionnés dans tous le Shas- du Talmud ont des pouvoirs de «Téhiyat Amétim» de ressusciter les morts.. Et donc Rava grâce à ce pouvoir, va en quelque sorte ressusci-ter Rabi Zéra…après leur saoulerie ! L’année suivante Rava a demandé à son ami Rabi Zéra de venir une fois encore partager sa séoudat! Alors Rabi Zéra lui répondra: «Tu pense qu’à toutes heures un miracle peut se réaliser?» et donc par prudence cha-cun est resté chez soi cette année là.. Ils avaient juste échangé leur repas dit le texte. (Rachi explique que cette «mort» en réalité n’était autre qu’une sorte de honte que Rava avait fait subir à Rabi Zera).

Je terminerais par une citation de mon Maître zal à propos des «Mi-chloah Manot»: «Ce n’est pas tout de préparer de bons gâteaux au miel et de les offrir à son ami avec un large sourire…«El Faida T’hot Chouia Assel fi kalbêk!» c’était une manière de dire, qu’il fallait aussi s’évertuer à adoucir son cœur pour aimer son prochain!. Ce n’est pas par hasard que nous avons lu il a quelques se-maines la Paracha Térouma, où HM nous demande en effet «Véasouli Mikdach.. véchakhanti bétokham ». Le Mikdach…en question, c’est aussi le Peuple d’Israël! C’est son lieu de résidence, Lorsqu’il applique la Tho-ra et les Mitzvot il devient Kadoch et il s’élève, alors dit HM «Véchakhanti bétokham» je viendrais résider dans leur cœur! De quelle façon nous disent les Sages? Ils répondent : « en chassant tout simplement la «Gaâva» l’orgueil qui nous guette, et contre lequel nous devons guerroyer avant la fête de Pessa’h. Ainsi nous lais-serons la place au miel qui est repré-senté par la Thora comme dit le Roi David :«Oumtokim Midvach». Alors toutes les craintes que nous pouvons avoir de nos ennemis, HM s’en char-gera comme il est dit : «HM ilahém lakhém véatém altéarichoune» c’est la grande leçon de la fête Pourim !.

HAG SAMEA’H

Yvan Lellouche

Pourim : Le miracle permanent !


C’est le grand quotidien arabe As-harq Al-Awsat qui a publié le pre-mier l’information aujourd’hui. Selon les journalistes de ce jour-nal, des sources turques sources auraient révélé à la presse que les radars d’Ankara ont observés des drones survolant l’espace aérien de la Syrie.

Les sources disent que ces drones sont utilisés pour espionner les révo-

lutionnaires syriens et les attaquer. Les sources soulignent que ces drones sont israéliens.

S’il est impossible de vérifier ce que les turcs affirment, cela ne peut que nous amener à nous poser quelques questions : - Est-ce qu’Israël es-pionne, à son compte ou pour le compte de l’occident, la révolution syrienne ?

- Est-ce qu’Israël espionne, pour le compte du régime syrien et pour contrer l’offensive des islamistes, les révolutionnaires pour mieux les frapper ? - Ou bien, et c’est selon la Turquie l’option la plus probable : est-ce que la Russie, grand ama-teur de drones israéliens, en a ven-du quelques uns aux syriens ? Si la première option est peu probable, le seconde l’est tout autant dans la me-sure ou Israël ne collabore pas avec la Syrie.

De plus, le ministre israélien des af-faires étrangères, Avigdor Liebeman a lui-même, il y a 48 heures, proposé d’offrir une aide médicale aux blessés syriens.

De facto, la proposition russe devient la plus probable… Et elle entraîne d’autres soucis pour l’Etat Juif. Outre le fait que ses armes et outils de surveillances se retrouvent dans les mains de nations ennemies, ce qui va à l’encontre de ses accords militaires avec la Russie, cela induit forcément que des experts et officiers russes soient derrière les commandes des drones.

Yonatan Aboulkeir

La Russie a t-elle vendue des drones israéliens à Bachar el-Assad ?

Le quotidien allemand Die Welt a rapporté dimanche que l’Iran aurait fait au moins un essai nu-cléaire en Corée du Nord en 2010. Le rapport du journal est basé sur «des sources au sein des agences de renseignement occidentales,» et dit que le test réfute donc les évalua-tions des services de renseignement américains qui suggèrent qu’il n’y a pas de «preuves tangibles» que l’Iran construit des armes nu-cléaires.

L’agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a récemment dé-claré que les négociations avec l’Iran sur son programme nucléaire ont échouées. La déclaration fait suite à la décision de l’Iran d’empêcher les inspecteurs de l’AIEA de visiter ce qu’on croit être les principaux sites militaires de la dictature islamique. L’Iran affirme avec véhémence que son programme nucléaire est destiné

à des fins civiles et exclusivement pacifiques.

Le Die Welt note que les preuves des essais nucléaires de 2010 en Corée du Nord ont été publiées début février dans le magazine Nature. Selon le rapport, le physicien nucléaire sué-dois Lars-Erik de Geer a analysé les données «montrant la présence de radio-isotopes qui trahissent l’explo-sion d’une bombe a uranium.»

«Suite à une année de travail, de Geer a conclu que la Corée du Nord a effectué deux petits essais nucléaires en avril et mai 2010, qui ont impli-qué des explosions de l’ordre de 50 à 200 tonnes d’équivalent de TNT.» «Les types et les ratios d’isotopes détectés… suggèrent que la Corée du Nord a testé des matériaux et des techniques destinés à stimuler le rendement de ses armes,» déclaré le rapport.

L’Iran aurait fait un essai nucléaire en Corée du Nord

Les Brigades du martyr Al-Aqsa, l’aile militaire du Fatah, dirigé par Mahmoud Abbas, a été préten-dument démantelé il y a plusieurs années. Mais ils ont encore une page Web. C’est ainsi que l’on peut remarquer que cette organisation terroriste revendique le lancement d’une roquette tirée sur des habita-tions civiles israéliennes, la semaine dernière.

Louange à Dieu, nos combattants ont bombardé Sderot avec un mis-

sile Noaa 103, le jeudi, 23/02/2012 à 19h08 précisément, en blessant une personne. Les attaques répétées de la machine à tuer sioniste et de ses char-latans descendants des singes et des porcs sur notre peuple et la Mosquée Al Aqsa et sont des sacrilèges. Notre ennemi ne comprend pas les leçons de l’histoire, à propos de la volonté et de la liberté et de l’indépendance.

Nous ne seront jamais vaincus et nous n’allons pas nous mettre à ge-noux… Nous avons, aux Brigades

des Martyrs d’Al Aqsa, la conviction absolue que la liberté ne viendra pas sans la lutte armée. L’identité pales-tinienne est allumée pour éclairer le ciel de l’univers, notre liberté vien-dra du canon d’un fusil. Al-Aqsa – Palestine Voilà un communiqué dans la droite ligne du Fatah des années 1960, lorsqu’il mettait à feu et à sang la planète. Qui ose encore parler d’un Président palestinien modéré ?

Antoine Chatrier

Le Fatah de Mahmoud Abbas revendique un tir de roquette sur Israël


C’est au Nord d’Israël, non loin d’Elyakim, que nous avons rencon-tré le Lieutenant Tiran Alili, vice-commandant du programme de formation intensive au « combat de guérilla » mis au point par le centre tactique de Tsahal. Une formation entièrement dédiée au combat contre le Hezbollah, renforcé au Sud-Liban, et destinée aux meil-leurs officiers des unités d’élites combattantes.

Ils sont là, et nous regardent peut-être en ce moment. Avant 2006, nous aurions vu des voitures marquées du drapeau jaune du Hezbollah. L’orga-nisation opérait ouvertement au Sud Liban. Mais les apparences sont trompeuses. Elle n’a pas disparu, bien au contraire, l’organisation s’est réarmée, et dispose d’infrastructures modernes.

Le Hezbollah a simplement appris à se cacher parmi les civils, ” nous décla-rait un officier militaire à la frontière libanaise il y a quelques semaines. Le Hezbollah est loin d’avoir disparu au Sud-Liban, bien au contraire.

Malgré la présence de la FINUL, il y assoit son pouvoir sur une population civile prise en tenaille. Dans cette zone, estimait à la conférence d’Herz-liya le général Benny Ganz, Chef d’Etat-major de Tsahal, une maison civile sur dix sert de cache d’arme au Hezbollah.Une formation adaptée aux leçons ti-rées de la Deuxième Guerre du Liban

La Deuxième Guerre du Liban a éclaté à l’été 2006 et opposé les ter-roristes du Hezbollah à Tsahal, alors qu’Israël se bat pour faire cesser les nombreux tirs de roquettes Katioucha tirées par le Hezbollah sur les villes du nord d’Israël. Un million de civils sont pris sous le feu de l’organisation terroriste. L’activité économique en Israël est paralysée, les citoyens priés de ne pas sortir d’abris anti-aériens.

Les entraînement ont lieu dans un environnement densément boisé, semblable au paysage du Sud-Li-ban.Il s’agit également pour Tsahal d’affecter en profondeur l’organisa-tion terroriste, qui opère du territoire libanais.

Et puis, surtout, l’objectif est de libé-rer deux soldats israéliens kidnappés par des hommes du Hezbollah le 12 juillet au matin. Cette attaque meur-trière dans laquelle ont péri leurs coéquipiers, a été mené au delà de la ligne Bleue, en plein territoire israé-lien.

Ce but ne sera atteint qu’en 2008, longtemps après la fin du conflit de l’été 2006 : les corps d’Eldad Regev et Udi Goldwasser ont été remis à Israël contre plusieurs centaines de terroristes.Six ans plus tard, le Hez-bollah s’est largement réarmé au Sud-Liban et ce malgré l’interdiction formelle contenue dans la résolution 1701 adoptée par le Conseil de Sécu-rité de l’ONU à la fin de la guerre.

Cette résolution prévoit la libération des soldats kidnappés ainsi que le désarmement du Hezbollah. Deux objectifs illusoires, face à une orga-nisation terroriste dont le but avoué est de tuer le plus de Juifs possible et d’éradiquer Israël.

“Certains villages libanais, comme Al Khiam, sont devenues de véri-tables bases militaires. Le type de construction même a changé. Au lieu de villages d’habitations sans plan réel, on y voit clairement une organi-sation des constructions.” nous affir-mait d’ailleurs ce même officier lors d’un briefing à la frontière libanaise ce mois-ci.

Identifier les failles

L’intensité des combats de la Deu-xième Guerre du Liban a révélé à Tsahal le niveau de préparation et

d’entraînement du Hezbollah. Les terroristes ont implanté leurs infras-tructures en plein cœur des zones ur-baines et règnent en maîtres sur toute la région du sud-Liban.

Parmi les difficultés que présente de région, on retrouve la difficulté de parvenir à repérer l’ennemi caché parmi les civils et dans des zones boisées, à maîtriser parfaitement la géographie de la zone, et l’impératif d’épargner les civils impliqués mal-gré eux par les terroristes dans les combats.

Intensifier les entraînements

Depuis, Tsahal a concentré ses efforts pour venir à bout des failles obser-véesDepuis la fin de la seconde Guerre du Liban, les entraînements axés sur le combat en zone urbaine et forestière ont pris une importance considérable dans la Région Nord du pays, et dans

toute l’armée plus généralement.“

Ce cursus dure deux ans, et seuls les meilleurs officiers des unités d’élite combattantes peuvent y participer “, explique Tiran.Prêts à faire face à toute éventualité« Le Moyen-Orient est une poudrière. Depuis 2006, nous avons appris à nous défendre et nous nous sommes perfectionnés dans les techniques de combat en zone densé-ment boisée » nous explique le Lieu-tenant Alili.

«Si nous sommes amenés à faire face à l’ennemi de nouveau dans une zone de combat pareille, nous saurons rem-plir notre mission.

Nous sommes prêts. »Hormis la for-mation au combat contre les terro-ristes implantés au Sud-Liban, les of-ficiers ont également droit à des cours d’histoire sur Israël et son armée, et peuvent choisir d’étudier différentes matières à un niveau universitaire.

Deux ans plus tard, diplômés et for-més, ils retournent dans leurs unités d’origine, et reçoivent le comman-dement d’une compagnie.«Si nous sommes amenés à faire face à l’en-nemi de nouveau dans une zone de combat pareille, nous saurons remplir notre mission. Nous sommes prêts. »

Avec les forces spéciales qui combattront demain le Hezbollah


La Confédération des Juifs de France et Amis d’Israël est profon-dément choquée par la déclaration “stupéfiante“ de monsieur Fran-çois Fillon ce matin sur Europe1. En effet, interrogé par Jean-Pierre Elkabach sur les récentes déclara-tions de Claude Guéant et de Nico-las Sarkozy sur l’abattage rituel, monsieur François Fillon a estimé «d’un point de vue personnel» que «les religions devraient réfléchir aux traditions ancestrales qu’elles appliquent.

Selon le premier ministre, «l’abattage halal et casher» sont «des traditions datées qui ne correspondent plus à grand chose aujourd’hui», les condi-tions hygiéniques et sanitaires ayant grandement évolué. Les autorités re-ligieuses du pays «pourraient y réflé-

chir», ajoute-t-il. Or, nous insistons suffisamment sur la loi de 1905 pour dire qu’un Premier ministre, quand il s’exprime publiquement, même à titre personnel, n’a pas à s’immiscer dans des traditions religieuses.

En conséquence, les déclarations de monsieur Fillon, même à titre person-nel, engagent le Premier Ministre!. Il y a dans ces déclarations quelque chose de désagréable, d’outrageant, et de contraire à notre tradition répu-blicaine. La Confédération des Juifs de France et Amis d’Israël condamne de la manière la plus ferme ces pro-pos qui blessent inutilement les com-munautés juives et musulmanes de notre pays.

Richard C. ABITBOL Président

Monsieur Fillon, respectez la loi de 1905!

Le nouveau club de la communauté a bien trouvé son slogan:«Fêtes vous plaisir»

Fabien directeur de l’agence JAD VOYAGES et LAURENT FOLIE’S animateur des plus belles soirées de notre communauté s’associent pour créer ensemble le nouveau club « med « cacher en conciliant le pro-fessionnalisme d’un organisateur de voyage et le savoir faire d’un chef de village.

Leurs mots d’ordre : Bien être ,bonne humeur,et Kiff!!!

Leur premier séjour se déroulera a Marrakech a l’hôtel Albatros Garden du 6 au 15 avril a l’occasion des va-cances de Pessah.

Soucieux du détail, les organisateurs vous proposent un séjour d’excep-tion, avec un traiteur strictement ca-cher de qualité en formule all inclu-sive ,une ambiance juive ,et surtout une atmosphère de fêtes .

Quant a l’animation ,qui manque sou-vent dans différents séjours , elle sera prise en charge par de vrais profes-

sionnels .

Dès le matin , l’équipe de Laurent Folie’s proposera de nombreuses activités :- aérobic ,stretching ,aquagym, cour de danse , jeux apéro,jeux piscine,tournois sports ...,- et pour vous relaxer et vous dé-tendre un superbe Spa sera a disposi-tion dans l’hôtel ,- et pour le soir,de nombreux spec-tacles seront prévus au programme avec de belles soirées a thèmes et de vrais décors réalisés par YOSSI et ses 1001 Folies .- Sans oublier la somptueuse mi-mouna avec MICHEL ALON et son orchestre .- Comme la réussite d ‘un club passe avant tout par le bien être de nos en-fants, JAD CLUB a mis en place une vraie structure mini et kid’s club.- Il ne vous reste plus qu’une seule chose à faire vous inscrire au 01 40 03 07 08

ET QUE LA FETE COM-MENCE!....

Laurent Folies

Jad Club : L’alliance des vacances et de la fête !

Le cinéma « juif » est à la fête. « La vérité, si je mens » ne nous démen-tira pas. Tout le monde en parle, tout le monde y va, tout le monde en rit. « On est les meilleurs » « Le business, c’est notre domaine » « On est des malins, les goyim se font toujours tourner en bourrique ! »

Des millions de spectateurs s’ap-prêtent à découvrir un juif d’un genre nouveau : « m’as-tu vu », vulgaire, menteur, magouilleur, débauché et pour couronner l’édifice, ou plutôt la ruine de l’édifice, malgré tout un brin sensible à la misère du genre humain, de ses coreligionnaires ; il lui arrivera même de se montrer respectueux vis-à-vis des rabbins. A sa manière bien sûr, le temps de s’acheter un semblant de respectabilité…

En d’autres temps, cette parodie de « judaïsme », ce bruyant spectacle tout entier dédié à la vulgarité la plus odieuse, aurait soulevé un vague ric-tus de dégoût. Aujourd’hui, il ne fait pas qu’indigner ; il inquiète !

Ce qui est montré du peuple juif, dans ce film, est étranger au peuple juif. Un peuple qui porte la parole divine depuis plus de 3300 ans, qui a donné au monde une Loi universelle, dont la majorité des civilisations s’est inspi-rée pour bâtir des lois, des constitu-tions et des codes civils qui protègent la propriété, les droits de la personne et la paix sociale, n’a rien à faire avec les personnages ridicules mis en scène dans ce film.

Quel est le lien entre les prophètes d’Israël qui ont légué la Torah à l’hu-manité, les Sages d’Israël de toutes les générations dont nous sommes tous les élèves, religieux, traditiona-listes, ou même non-pratiquants,

ET cette caricature de « juif » voleur menteur, menteur, effronté, supers-titieux, débauché, qui ne fait que la joie des antisémites et des ignorants ? Nous sommes un peuple courageux, endurant, fidèle au message divin délivré au mont Sinaï.

Les survivants des différents géno-cides, de l’assimilation, nos grands-parents qui se sont battus contre vents et marées pour nous imprégner de conscience juive, de spiritualité juive,

de fierté juive, méritent bien mieux que « La vérité, si je mens », parce que leur devise, qui est celle du juif éternel, du juif branché sur l’Eternel, et qui doit donc être la nôtre, est la suivante :

Ecoute Israël, l’Eternel est nôtre D., L’Eternel est Un !

Des milliers de nos ancêtres sont morts sur le bûcher pour ne pas abdi-quer notre foi. Allons-nous les dés-honorer en brûlant notre âme, notre identité et notre image aux yeux des nations pour accepter de passer pour ce que nous ne sommes pas, et pour ce que nous détestons le plus : le men-songe et la débauche !!! Plus encore, on reste en effet bouche bée devant l’inconscience de celles et ceux qui se joignent à cette horreur.

Prendrait-on les non-juifs pour des imbéciles ? Croient-on que les auto-rités françaises, et notamment les tri-bunaux, les administrations fiscales et les allocations familiales vont garder le silence face à cette manifestation de cynisme ? Doit-on rappeler que la première édition de cette série a été le prélude à une vague d’inquisition fiscale, de persécutions judiciaires contre les institutions juives et les sociétés dirigées par des juifs ?

Que pense-t-on de ce film ?

Qu’il rehaussera l’image des juifs, plus que ternie par la « alyah » des truands et des voleurs en tout genre, par les assassinats routiers des petits voyous franco-telaviviens, par la dé-bauche des uns et les détournements de fonds des autres ?! Il est temps de montrer notre dégoût et notre condamnation.

Afin de montrer les véritables enjeux de cette situation, nous conseillons à celles et ceux qui s’associeront à cette « avant première » de relire les com-mentaires de Rachi (le plus important commentateur de la Torah) sur le cha-pitre 25 du livre de Devarim, versets 13 à 16 et 17 à 19. Rachi s’interroge sur les raisons pour laquelle la Torah a accolé les textes interdisant la pos-session de poids et mesures truqués à l’ordre de se souvenir de ce que nous a fait Amalek lors de la sortie d’Egypte.

Quel est lien entre l’attaque de ce peuple qui incarne l’ennemi éter-nel du peuple juif (jusqu’aux nazis, jusqu’à l’iranien qui menace de nous anéantir avec sa bombe atomique) et l’interdit de magouiller, de tri-cher et de mentir dans l’exercice du commerce ? Réponse de rachi, et de tous les autres commentateurs : Si tu penses qu’il n’y a pas de « Caméra » qui visionne ce que tu fais quand les autres ont le dos tourné, « la Caméra » t’enverra un peuple qui pense aussi « qu’il n’y a pas de Caméra ».

Si tu penses que tu peux défier ton D., et en l’occurrence en public, avec effronterie et cynisme, Lui aussi te rappellera à l’ordre en envoyant tes pires ennemis s’en prendre à tes femmes et à tes enfants. Pourquoi est-on menacés d’extermination lorsque l’on érige le vol, le mensonge et le cynisme en art de vivre ?

Parce que la transgression de cet in-terdit provoque la fin de toute forme de loyauté ; on ne peut plus faire confiance à qui que ce soit, la vie sociale devient impossible, l’échange économique, qui est une des condi-tions de l’enrichissement devient impraticable.

Pourquoi D. devrait-il laisser vivre un monde fait pour les hommes, et devenu impossible à vivre pour les hommes ! Si vous n’avez pas pitié de vous-même, souvenez-vous de cela : les attentats, l’antisémitisme meur-trier sont actionnés par notre incon-duite dans les domaines de l’argent. Les voleurs, les escrocs, les menteurs et les magouilleurs en tout genre ont du sang juif sur les mains ! Ils figurent sur la liste des responsables de nombreux malheurs qui ont frappé notre peuple.

Le hilloul Hachem (profanation du Nom divin) provoqué par ce film est insupportable ; il est donc clair que toute personne qui ira voir ce film se rend complice. Honte à celles et ceux d’entre nous qui pensent que le peuple juif peut être représenté par de tels spécimens ! Désolidarisez-vous ! Indignez-vous !

auteur inconnu

La communauté juive est en fête…Les antisémites aussi


Le gazoduc égyptien approvision-nant Israël et la Jordanie à partir d’El Arish (nord-Sinaï) a une nou-velle fois été saboté ce soir, selon des témoins oculaires qui ont constaté des explosions sur le site.

L’attaque a eu lieu contre une station de pompage L’agence égyptienne, citant des témoins, confirme égale-ment que des inconnus armés circu-lant à bord d’un véhicule sans imma-triculation ont ouvert le feu contre la station, provoquant une explosion. Il s’agit de la huitième attaque menée depuis février dernier contre ce gazo-duc, dont les livraisons à Israël et la Jordanie ont à plusieurs reprises dû être suspendues en raison des dégâts. Plusieurs tentatives d’attentats ont également été déjouées.

Sinaï : nouveau sabotage du gazoduc égyptien approvisionnant Israël

Ahmad Tibi, l’un des alliés des ter-roristes palestiniens à la Knesset s’en sort une nouvelle fois sans trop de mal. La Commission parlemen-taire de l’Ethique l’a sanctionné « d’un blâme aggravé », pour avoir tenu des propos en faveur des « shahids » (martyrs) lors d’un ras-semblement à Ramallah, mesure symbolique qui n’aura pas de suite pénale ni politique. La Commission faisait suite à une plainte déposée par le Forum Juridique en faveur d’Erets Israël.

Comme il est de tradition en Islam, après le scandale de son discours de soutien au terrorisme, le député arabe avait tenté avec son agressivité habi-

tuelle de faire un lamentable exercice de sémantique pour expliquer « que ses détracteurs n’avaient rien com-pris, et qu’il ne parlait pas des ter-roristes mais de ceux qui sont morts dans la lutte de libération du peuple palestinien »!

Tout comme ceux qui expliquent sans rire que le « Jihad » que les terroristes projettent de propager dans le monde libre « n’est que la lutte du musulman contre son mauvais penchant »…

La mauvaise foi de Tibi est d’autant plus patente qu’il a prononcé son dis-cours lors de « la Journée du Martyr » à Ramallah, qui commémore tous les « valeureux » terroristes qui ont semé

la mort en Israël. Rien que la présence du député israélien en ces lieux aurait mérité qu’il soit exclu de la Knesset et jugé pour haute-trahison.

La Commission d’Ethique ne l’a cependant pas suivi et l’a sanctionné, même si ce blâme sera absolument sans conséquences pour lui. Les membres de cette commission ont souligné « que les propos d’Ahmad Tibi avaient été compris par l’im-mense majorité des Israéliens comme une adhésion au terrorisme et comme un hommage rendu aux terroristes ».

« Même si la démocratie israélienne accepte que s’expriment des propos durs et extrêmes », poursuit la Com-mission, « il y a une différence entre des déclarations politiques et des termes employés qui entrent dans le cadre d’une incitation à la haine et à la violence ».

Et elle conclut: « Même si Ahmad Tibi a tenté ensuite de mettre en évi-dence les différents sens du terme qu’il a employé, la Commission n’a aucun doute que son discours consti-tue une grave atteinte portée à l’hon-neur de la Knesset ainsi qu’à la popu-lation du pays ».

par Shraga Blum

Ahmad Tibi sanctionné mais sans suite

IsraelValley vous propose de par-ticiper à un concours de nouvelles baptisé “A bord d’El Al”. Le but de ce concours sera de rédiger un texte court relatant une belle hisoire ou une belle expérience vécue à bord d’El Al.

IsraelValley publiera régulièrement les meilleurs créations dans une rubrique spéciale “A bord d’El Al”. El Al récompensera les 5 gagnants et s’engage à offrir à tous les parti-cipants du concours, une inscription gratuite au Club Fidélité El Al Glo-baly d’une valeur de 25$ (hors opéra-tion spéciale).

Témoignage « A bord d’El Al »“La scène que je vais vous décrire se passe dans un avion de El Al flambant neuf. Un avion de taille XXL. Petit miracle. Pour la première fois depuis bien longtemps j’ai été surclassé en business class… sans vraiment le demander. Je suis semi-allongé dans mon fauteuil automatique dont je n’ai jamais vraiment compris comment m’en servir. Je survole la presse inter-nationale.

Avec plus de 25 vols France-Israël par an, il m’est devenu imposible d’être un voyageur anonyme. J’ai donc décidé de sourire automatique-ment à mes voisins. Très rarement je m’engage dans une conversation sérieuse … et même légère.

Mais ce jour là je le sens bien : tout est différent. Nous avons décollé de-puis quelques minutes à destination de Paris et il me semble que quelque chose se passe, de nombreux agents de sécurité israéliens sont dans l’avi-on.

Je dois me rendre à l’évidence. Une personnalité de premier plan est présente parmi nous. Mon voisin de gauche (très grand avec des jambes de basketteur) est particulièrement nerveux. Il a un besoin de commu-niquer. Sur ses genoux, des feuillets blancs avec des textes raturés. De temps à autre il se lève et va rencon-trer une personne qui se trouve à la première rangée.

Très vite je reconnais, un membre du gouvernement. Soudain tout s’illu-mine dans mon esprit : la personne à ma gauche prépare le discours qui aura lieu ce soir au Gala de la Chambre de Commerce France-Israël devant plus de 450 personnes.

J’engage donc la conversation avec le rédacteur du discours. Celui-ci me demande de manière très directe (style israélien inimitable!) et sans fard : comment faire un bon discours en France ?

Ma réponse est aussi très directe.

Les règles sont les suivantes. Le discours doit démarrer en français avec quelques mots compliqués mais prononçés avec aisance (cette per-sonnalité a été en poste à Paris pen-dant un certain temps et comprend le français). Dans le discours il faut citer un auteur français populaire et prononcer quelques phrases qui font rêver. Et terminer son discours avec le sourire en affirmant “j’aime la France…”.

C’est ainsi que le soir même que le discours a démarré comme prévu. Elle cite Saint Exupéry et le Petit Prince. Elle parle de manière amusée d’une coopération franco-israélienne en démarrant chaque phrase par : “Dessine moi…”. Son discours se termine par une déclaration d’amour. Les Français sont conquis.

Le son du Petit Prince a charmé en-core une fois. C’est dans un avion EL AL qu’il est né».

Modalités du concoursDans le cadre de son partenariat avec IsraelValley, El Al s’engage à offrir à tous les participants du concours, une inscription gratuite au Club Fidélité El Al Globaly d’une valeur de 25$ (hors opération spéciale)

Ce programme Fidélité spécifique en-gage l’action et le soutien à Israël d’El Al. Grâce à ce programme, EL AL donnera l’équivalent de 5% de tous les points acquis par ces membres à des organisations qui contribuent à renforcer les liens avec Israël dont les objectifs sont les suivants:1. Faire connaitre Israël aux jeunes de la Diaspora qui n’y sont jamais allés (Taglit)2. Permettre aux soldats isolés de Tsahal de visiter leurs familles à l’étranger3. Aider les enfants malades à réaliser leurs rêves.

Les lauréats du concours de nouvelles seront déterminés en fonction d’une note attribuée par un comité de lec-ture constitué de 10 personnes.Chaque membre de ce comité attri-buera une note aux nouvelles lues, et les 5 nouvelles dont les moyennes des notes seront les meilleures se verront décerner un prix.

La nouvelle doit être rédigé au format word. Pas de contrainte spécifique quant à la police utilisée. Une seule participation par personne est admise. Ne peuvent participer au concours les personnes faisant partie du comité de lecture.

La nouvelle doit être envoyée à l’adresse suivante : [email protected] date de clôture du concours est fixée 30 juin 2012.

Lancement du concours «A bord d’El Al»

La télévision palestinienne est une source de haine anti-israélienne. Alors quand l’armée israélienne est contrainte d’attaquer deux chaines de télévision de Judée-Samarie, tout le monde accuse l’Etat Juif de vouloir faire taire les palestiniens. En réalité, ces chaines, qui émettent à seulement quelques kilomètres de l’aéroport israélien Ben Gourion, sont illégales et dangereuses pour le trafic aérien international.

Dans un raid armée à l’aube du mer-credi 29 février 2012, les soldats israéliens et les représentants du ministère des communications ont confisqués les émetteurs de la chaîne al-Watan et de la station « éducative palestinienne ». Ces deux mêmes sta-tions ont été perquisitionnés en 2002 pour la même raison. Était-ce simple-ment parce qu’elles n’ont pas appris

leurs leçons de la première incursion ?

Ou mettent-elles véritablement en danger les vols à l’arrivée et au dé-part de l’aéroport Ben Gourion? Pour le dirigeant palestinien Mahmoud Abbas, ce raid est une « agression fla-grante à la liberté d’expression et aux médias. » Pour le Premier ministre palestinien Salam Fayyad, qui préfère ignorer les raisons de l’assaut, c’est « un acte de piraterie. »

Pourtant, c’est bien le gouvernement palestinien qui a signé un accord avec Israël concernant ces télévisions. L’article 36 de l’accord intérimaire stipule que : « Les deux parties s’abs-tiennent de toute action qui interfère avec la communication et les sys-tèmes de radiodiffusion et les infras-tructures de l’autre côté.

Plus précisément, la partie palesti-nienne doit s’assurer que seules les fréquences et les canaux spécifiés … doivent être utilisés et qu’ils ne doivent pas perturber ou interférer avec l’activité de communication israélienne, et Israël doit s’assurer qu’il n’y aura pas de perturbation ou d’ingérence sur des fréquences pales-tiniennes. » D’ailleurs, tant Al-Watan et que « Jérusalem Educational TV » ne sont pas autorisé, par les israéliens comme par les palestiniens, à utiliser les fréquences qu’elles occupent. La presse internationale, elle, ne s’est pas posée de question parlant sim-plement d’un « raid armée sur des télévisions palestiniennes. » Rajou-ter la raison aurait peut-être été plus honnête.

Jeremyah Albert – JSSNews

Raid israélien sur des télévisions palestinienne : pourquoi ?


L’Iran obtiendra des armes nu-cléaires si le président américain Barack Obama est réélu pour un second mandant, a déclaré di-manche à l’AFP le candidat répu-blicain Mitt Romney. «C’est assez simple à mon avis. Si Barack Oba-ma est réélu, l’Iran aura l’arme nucléaire et le monde changera si c’est le cas,» a déclaré Romney lors d’une étape à Snellville.

Ses commentaires viennent quelques heures après qu’Obama a abordé le sujet à la conférence de l’AIPAC, où il a souligné qu’il était opposé à un confinement sur l’Iran, et qu’il pour-rait utiliser la force militaire si néces-saire pour l’empêcher de se doter de

l’arme nucléaire, tout en disant qu’il était encore temps pour laisser tra-vailler la diplomatie.

La veille d’accueillir le premier mi-nistre Benyamin Netanyahou dans le Bureau Ovale, Obama a abordé un grand nombre de points sur l’Iran inquiétants Israël. Mais son discours à l’AIPAC a également souligné les différences de perspectives du pays, y compris son engagement à la diplo-matie et ses mises en garde contre les voix appelant à des menaces de guerre.

Obama a également défendu son bi-lan envers Israël, et cherché à écarter les attaques républicaines pendant la

campagne présidentielle. Les trois principaux candidats à l’investiture républicaine s’adresseront à la confé-rence annuelle de l’AIPAC mardi, qui est le plus grand rassemblement pro-israélien américain.

En référence au discours du prési-dent américain, l’AFP a cité Rom-ney disant à quelques 2000 partisans qu’Obama a échoué à communiquer que les options militaires sont sur la table. Le candidat à la présidence aurait également affirmé que, si il devient président, il «aura ces options militaires… prendra des sanctions paralysantes et les mettra en place.»

« L’Iran aura l’arme nucléaire si Obama est réélu »

Barack Obama a mis en garde vendredi Israël contre toute action qui permettrait à l’Iran de se pré-senter en «victime», mais n’a exclu «aucun moyen» contre les ambi-tions nucléaires de Téhéran, trois jours avant de recevoir le Premier ministre Benyamin Netanyahou.

. Israël souffle le chaud et le froid depuis des mois sur une intervention militaire unilatérale pour enrayer le programme nucléaire de la république islamique avant qu’il ne débouche sur une bombe atomique, vue comme une menace à son existence.

Au moment où l’Iran ne bénéficie pas de beaucoup de sympathie, et où son seul allié (la Syrie, ndlr) est en pleine ébullition, voulons-nous une diversion qui permettrait à l’Iran de se présenter en victime?», a demandé le président des Etats-Unis dans un entretien au magazine The Atlantic.

«Quand nous disons que nous n’ex-cluons aucun moyen (pour empêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire, ndlr), nous le pensons vraiment», a insisté M. Obama, citant entre autres «un versant militaire».

«Je pense que le gouvernement israé-lien reconnaît qu’en tant que prési-dent des Etats-Unis, je ne bluffe pas. Pour mener une politique efficace, je ne clame pas sur tous les toits quelles sont nos intentions exactes» vis-à-vis de l’Iran, a affirmé M. Obama.

Son gouvernement défend jusqu’ici une stratégie de sanctions et d’isole-ment pour faire renoncer Téhéran à son programme controversé, et tente de dissuader Israël de lancer une of-fensive.

M. Netanyahu, en visite au Canada avant de se rendre aux Etats-Unis, a quant à lui insisté vendredi sur la nécessité de «préserver la liberté d’Israël» de répondre aux menaces de l’Iran. «Tout pays exigerait la même chose», a-t-il ajouté, semblant poser les termes du débat avec M. Obama.

«L’Iran continue à avancer rapide-ment et avec arrogance dans son

programme nucléaire, en méprisant totalement les décisions de la com-munauté internationale», avait pré-venu cette semaine le dirigeant israé-lien.

M. Obama a pris acte de cette inquié-tude. «Je pense que le Premier mi-nistre a la profonde responsabilité de protéger les Israéliens dans un envi-ronnement hostile, et je suis certain qu’il prend en compte l’histoire de l’Holocauste, de l’antisémitisme et des violences contre les juifs depuis plus d’un millénaire quand il réflé-chit à ces questions», a-t-il dit dans l’entretien publié vendredi.

«Il est important de reconnaître, tou-tefois, que le Premier ministre est aussi le dirigeant d’un Etat moderne, qui sait quels sont les coûts de toute action militaire, et d’après nos consul-tations avec le gouvernement israé-lien, je pense qu’il prend ces coûts, et les conséquences possibles, très au sérieux», a-t-il ajouté. Evoquant ses relations avec Benjamin Netanyahu, souvent dépeintes comme tendues, Barack Obama les a décrites comme «très franches, très directes et très honnêtes».

La gestion du dossier nucléaire ira-nien, déjà périlleuse pour M. Oba-ma, est compliquée encore par le fait qu’il est candidat à sa réélection en novembre. Mercredi, la Maison Blanche avait déjà souligné que toute action contre l’Iran créerait «davan-tage d’instabilité» au Moyen-Orient et mentionné la sécurité des Améri-cains en Afghanistan et en Irak, deux pays limitrophes de l’Iran.

Dans le même temps, lors d’une réunion pour lever des fonds pour sa campagne tenue jeudi soir à New York, M. Obama a qualifié de «sacro-saint» le soutien des Etats-Unis à Israël et évoqué la nécessité d’aider ce pays à maintenir sa «supériorité militaire» dans la région. Le président doit s’exprimer dimanche à Washing-ton devant le principal lobby pro-Israël aux Etats-Unis, l’Aipac, face auquel M. Netanyahu est attendu le lendemain.

Face à Israël, Obama veut éviter que l’Iran puisse se présenter en « victime »

Le candidat de l’UMP Nicolas Sarkozy a de nouveau infléchi sa position sur la question de l’abat-tage rituel, mardi 6 mars, lors de l’émission Des paroles et des actes sur France 2. Alors qu’il s’était fermement prononcé samedi à Bordeaux pour un étiquetage de la viande afin que chacun sache s’il mange ou non de la viande abat-tue selon le rite juif ou musulman, il préconise désormais un «étique-tage sur la base du volontariat».

D’emblée présenté comme l’outsider de la présidentielle par David Puja-das, Nicolas Sarkozy a dû se battre mardi soir, dans la position du chal-lenger, pour convaincre, réagir et re-monter le courant. «Les Français sont

libres», a-t-il rappelé, en soulignant, comme il le fait souvent, qu’ils dé-testent qu’on leur annonce à l’avance l’issue de l’élection.

Il a rappelé, outre Édouard Balla-dur, «le pauvre M. Jospin», qui était annoncé facile vainqueur de Jacques Chirac en 2002. Puis Nicolas Sarkozy a été mis à la question sur ses fautes de style depuis 2007. Visiblement sous tension sur ces sujets à la fron-tière de sa vie privée Le chef de l’État s’est beaucoup expliqué sur son style dans cette émission qui veut mettre l’accent sur la personnalité des candi-dats. Il a aussi fait plusieurs annonces

Il s’est prononcé pour un parrainage citoyen des candidats à l’Élysée.

Par ailleurs, il a suggéré de limiter l’attrait des prestations sociales pour les étrangers. Mais pour faire bonne mesure, il a aussi promis «un impôt minimum sur les entreprises du CAC 40» qui souvent ne le payent pas en France. Nicolas Sarkozy a aussi annoncé qu’il se rendrait à Berlin le lendemain de son élection, et qu’il irait très vite au Proche-Orient, pour lancer une initiative en faveur de la paix israélo-palestinienne.

«Le métier, la fonction si particulière de président de la République impose à ses proches une ascèse, des souf-frances plus grandes qu’à soi-même», a-t-il confié, en expliquant qu’il n’avait pas choisi de se représenter «comme un lapin Duracell»

L’opération vérité de Sarkozy

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Israël Actualités n°203