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GRATUIT - Numéro 230 - Edition du Mercredi 31 Octobre 2012 Journal Israélien en langue française Une main de fer dans un gant de velour Yitzhak Rabin zal (1922 - 1995) Samedi 4 Novembre 1995, une chape de plomb nous tombait sur la tête !

Israël Actualités n°230

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Toute l'Information en Provenance d'Israël

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GRATUIT - Numéro 230 - Edition du Mercredi 31 Octobre 2012 Journal Israélien en langue française

Une main de fer dans un gant de velourYitzhak Rabin zal (1922 - 1995)

Samedi 4 Novembre 1995, une chape de plomb nous tombait sur la tête !

3L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 31 Octobre 2012

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Il y a 17 ans, le premier ministre Israël Yitzhak Rabin était assas-siné à Tel Aviv de 2 balles dans le dos par un extrémiste au moment de rentrer dans sa voiture. Yitzhak Rabin a été assassiné car il voulait qu’enfin la paix puisse régner une bonne fois pour toutes en Israël, et cela depuis 1948. Il voulait sai-sir cette chance que les enfants d’Israël puissent grandir avec leurs voisins en toute quiétude. Bien évidement, nous pouvons être en désaccord avec lui. En ce qui me concerne, j’étais contre mais l’une des forces du peuple juif est de dis-cuter, déchanger et de donner des arguments : le pourquoi de notre opposition a telle ou telle proposi-tion ...

C’est pour cela qu’Israël est une démocratie. La discussion a toujours existé. Yitzhak Rabin était de la race des pionniers, il s’engagea au Pal-mach dès son plus jeune âge en 1941. Il a été de toutes les guerres jusqu’à la Guerre des Six Jours où il fut l’un des premiers soldats de Tsahal à rentrer dans Jérusalem. Il finit sa carrière au grade de Général, il entreprit ensuite une carrière politique au cours de laquelle il rejoint le parti travailliste pour devenir en 1974, le 5ème Pre-mier Ministre de l’état d’Israël.

Durant son mandat, il participa au sauvetage des otages du détourne-ment du vol d’Air France sur En-tebbe en 1977 ... Il est réélu premier ministre en 1992. Lors de son deu-xième mandat, Yitzhak Rabin prend une autre dimension en signant les accords d’Oslo, ce qui va le conduire directement sous les balles de son assassin, hostile à ces accords avec l’autorité Palestinienne de l’époque, dont son Président n’était autre que Yasser Arafat, auteur de centaines de victimes israéliennes et juives dans le monde entier. Mais avait-il d’autres choix que d’essayer de signer la paix ? Ne dit-on pas que pour signer la paix, le chemin incontournable est de la signer avec ses ennemis ? Il a eu le courage que d’autres, en d’autres temps, n’ont pas eu.

Aujourd’hui, l’histoire retiendra que

sa mort a servi à quelque chose. Une chose est sure, c’est qu’en ce jour du samedi 4 novembre 1995, le peuple juif a perdu une figure, un emblème. Mais il faut surtout ne pas se trom-per sur l’image que donnait Yitzhak Rabin à ses ennemis car, sous son air de chef de famille, se cachait « Une main de fer dan un gant de velours». Il avait ses traits de caractère qui façonnent les Grands Hommes dans les moments difficiles et ainsi cette faculté à prendre des décisions qui changeront le cours de l’histoire. Seul un grand chef de gouvernement pouvait prendre de telles décisions pour l’avenir de son peuple. Yitzhak Rabin avait cette capacité gérer les situations d’urgences ... Yitzhak Ra-bin a été complètement investit dans la construction d’Israël depuis son plus jeune âge en ayant été jusqu’au grade de Général dans sa carrière militaire et en ayant ensuite participé à plusieurs gouvernements à diffé-rents postes jusqu’à être élu deux fois comme Premier Ministre.

Voila qui était Yizthak Rabin ! Il vou-lait la paix ... et vous, Ygal Amir, ce que vous avez voulu, c’était d’attiser entre nous la haine et la guerre, mais vous avez perdu ! On se souviendra de vous comme d’un assassin, d’un traitre à la cause juive car, encore une fois, on peut ne pas être d’accord mais tuer l’un de nos frères qui a combattu pour que le peuple juif puisse vivre sur sa terre Israël ... où vous, Ygal Amir, vous êtes né.

Souvenons-nous de ce samedi 4 no-vembre 1995 comme une date où le peuple juif, depuis la création d’Is-raël, a connu son paroxysme en atti-sant la haine entre nous. De gauche ou de droite, pour que cela ne se reproduise plus, soyons unis même dans la division.

Qu’Yitzhak Rabin ne soit pas mort en vain !

Alain Sayada06 68 17 25 55

Samedi 4 Novembre 1995, une chape de plomb nous tombait sur la tête !

4L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 31 Octobre 2012

Le rôle historique de «Nation of Islam»[NOI](Nation de l’islam) comme pont entre les Noirs amé-ricains et l’islam a pris fin en 1975 lorsque W. Deen Mohammed a suc-cédé à son père, Elijah Muhammad en tant que leader de la Nation et a immédiatement désavoué la reli-gion populaire de son père, ce qui amené ses disciples à un islam nor-matif, l’islam du Moyen-Orient.

par Daniel Pipes

Dès lors, malgré la théâtralité de Louis Farrakhan, la Nation de l’Islam a été un long parcours vers le bas. On en a maintenant la preuve, grâce à Eliza Gray qui a écrit à propos de «Thetans and Bowties» dans The New Republic, sur le stupéfiant vi-rage effectué par Farrakhan, 79 ans , vers la scientologie, comme son sous-titre le dit, «les deux sectes les plus bizarres unissent leurs forces.»

La connexion date de sept ans: L’his-toire de comment Farrakhan est venu à embrasser cette secte est liée à un ministre du culte de Nation de l’Is-lam à Los Angeles, du nom de Tony Muhammad. En 2005, Muhammad a été battu par la police de Los Angeles lors d’une veillée de prière qu’il avait aidé à organiser pour un jeune homme tué dans une tentative d’assassinat par coups de feu tirés d’une voiture. L’incident l’avait plongé dans un état d’agitation, un état dépressif. Un ami que cela inquiétait l’a alors présenté à la Scientologie, à qui il attribue le mérite de lui avoir sauvé la vie.

Lorsque Farrakhan avait ensuite ren-contré Muhammad, il avait été sur-pris par la transformation et, comme Muhammad le dit dans un clip audio diffusé sur YouTube, il s’était excla-mé: «peu importe ce que c’est, mais j’en veux un peu» Cinq ans plus tard, les choses sont passées à la vitesse supérieure:

La première présentation à grande échelle de la Scientologie aux membres de la Nation de l’Islam a eu lieu en août 2010, lorsque des cen-taines de croyants de partout dans le pays se sont rendus à Rosemont, dans l’Illinois, à proximité du siège de la Nation de l’Islam , pour un sémi-naire de Dianétique, un système de croyance fondatrice de la Scientolo-gie.

Là, ils ont été guidés à travers des séances d’audit- une sorte d’hybride entre l’hypnose et la confession- dans laquelle un scientologue libère des expériences douloureuses de son subconscient, en présence d’un «auditeur». A la fin du séminaire, Farrakhan a dit au groupe qu’il vou-

lait que chaque personne présente devienne un auditeur certifié.

L. Ron Hubbard, [Lafayette Ronald Hubbard , gourou de la sciento-logie, mort en 1986 à l’âge de 75 ans(NDLT),] aux environs de 1939: un nouveau prophète de la Nation de l’Islam? «J’ai trouvé quelque chose dans l’enseignement de la Diané-tique, de M. L. Ron Hubbard, qui, je pense, pourrait faire monter de la profondeur de notre subconscient des affaires que nous préférerions laisser en sommeil», a annoncé Farrakhan le 1er juillet 2012 .

Comment pourrais-je voir quelque chose de précieux , connaissant la douleur et la faiblesse de mon peuple et ne pas le lui offrir». Farrakhan en-visage de construire un centre de for-mation de Scientologie à Chicago et a même déclaré que «Personne ne peut être leader dans notre Nation jusqu’à ce que et à moins qu’il ne devienne clair», une référence à la scientologie et à l’état le plus clair.

Il a également exprimé l’espoir que les deux organisations entretiennent une «relation longue et belle.» À son tour, le chef de la scientologie, David Miscavige, trouve qu’appor-ter des Noirs dans son organisation est super cool, louant «une culture plus influente .... Je parle de ceux qui vraiment établissent les tendances culturelles, et par tous les moyens: la mode, la musique , tout ce que l’on peut trouver.

Donc parler d’une culture omnipré-sente, c’est parler d’une culture qui imprègne et s’infiltre partout, ou pour le dire autrement: la plupart des Blancs n’auraient aucune idée de ce que signifie «être cool» si ce n’était pas lié à l’Amérique noire» [Depuis les années 90, il faut être «cool», branché. Or la cool attitude qui oc-cupe l’esprit des marques s’inspire de la mode des quartiers pauvres Afro-Américains (NDLT)].

Pour faciliter les choses aux membres de Nation of Islam pour gravir les échelons de la Scientologie notoi-rement coûteux, Miscavige leur a même accordé des répits financiers. Commentaire: Cette fascination pour la Dianétique [technique de développement personnel et d’éveil spirituel(NDLT)]marque probable-ment le point final pour Nation of Islam. L’Islam normatif règne en maître en Amérique.

Version originale anglaise: The Na-tion of Islam Discovers ScientologyAdaptation française: Anne-Marie Delcambre de Champvert

L’organisation «Nation de l’Islam» découvre la Scientologie

La maison de Braunau-sur-Inn où le Führer a vécu ses trois premières années, à partir de 1889, doit être transformée en locatif. Si tout se passe comme prévu, la maison na-tale de l’homme responsable de la mort de 70 millions de personnes pendant la IIe Guerre Mondiale sera transformée prochainement en immeuble locatif.

Ainsi en a décidé Johannes Waidba-cher, le maire de Braunau-sur-Inn, une bourgade autrichienne proche de la frontière allemande. «Hitler a tout au plus rempli ici ses couches », a lancé Johannes Waidbacher, ferme-ment opposé, selon Der Standard, à un autre projet : faire de l’édifice où le Führer vécut ses trois premières années un mémorial de la IIe Guerre mondiale.

Toujours selon Der Standard, le maire s’est fait récemment un allié de taille en la personne de Georg Wojak, le responsable administratif du district de Braunau : « Il y a déjà suffisam-ment de villes perpétuant le souvenir de l’Holocauste dans les environs», a déclaré le responsable rendant ainsi l’option du maire réalisable.

Un ancien foyer pour handicapés Après la guerre et jusqu’en 2011, la maison jaune, classée monument historique, avait été utilisée comme foyer pour handicapés. Mais la pro-priétaire avait refusé de financer des transformations urgentes et le foyer a été obligé de déménager dans une autre partie de la ville.

Quant à Adolf Hitler, il n’a été dé-chu qu’en 2011 de sa distinction de «citoyen d’honneur » de Braunau. La cité est régulièrement visitée par des nostalgiques du Reich millénaire. D’où la crainte de nombreux habi-tants : que des néonazis s’installent dans la maison natale de leur idole.

Source : LeMatin.ch

A louer: la maison natale d’Hitler

Les Etats-Unis auraient pré-posi-tionné au moins soixante-dix ogives nucléaires B-61 dans la base mili-taire d’Incirlik, dans la province d’Adana, dans le sud de la Turquie. C’est du moins ce qu’avance une agence de presse irakienne, relayée par des médias italiens.

Selon la même source, « Washington se réserve le droit d’utiliser son arme nucléaire si nécessaire si ses intérêts dans la région étaient menacés ». Tip A Friend Envoyer par email | impres-sion Imprimer cet article L’informa-tion diffusée ces derniers jours par une source irakienne, puis relayée par le site italien « Atlasweb », n’est pas une première. Déjà, à la veille de l’invasion américaine de l’Irak, en 2003, des médias koweïtiens avaient affirmé que l’armée américaine avait acheminé des bombes nucléaires mi-niaturisées vers ses bases en Turquie.

La même source irakienne croit savoir que « l’armée de l’air turque disposerait de bombes nucléaires qui équipent ses chasseurs F-16 ». Mieux encore, la source irakienne ajoute que « jusqu’en 1995, entre dix et vingt bombes ont été déployées dans deux autres bases aériennes turques (...) ont ensuite été transférées à la base aérienne d’Incirlik ».

Il s’agirait de bombes de type B-61 thermonucléaire, de 3,53 mètres de long et de 320 kilogrammes, clas-sées parmi les armes les plus straté-giques des Etats-Unis. Mais jusqu’à la preuve du contraire, cette informa-tion semble relever davantage de la guerre psychologique et médiatique. Il est également légitime de s’inter-roger sur la fiabilité de la source et de l’information. Car, les médias ira-kiens sont aujourd’hui au service de l’Iran et de la Syrie.

En s’étalant sur la présence de bombes nucléaires en Turquie, la source ira-kienne pouvait ainsi avoir mené une opération préventive. D’autant plus qu’elle a rappelé avec insistance que « la Syrie a exprimé son inquiétude à propos de la présence de bombes nucléaires américaines en Turquie voisine ».

Selon la même source, « l’ambas-sadeur de Syrie à l’ONU, Bachar Jaafari, a accusé Ankara de détenir des armes nucléaires et de violer la convention de non-prolifération nu-cléaire (TNP) ». Or, cette accusation syrienne viserait, sans l’ombre d’un doute, à faire diversion et à mener une attaque verbale préventive desti-née à occulter l’utilisation par le ré-gime syrien d’armes bactériologiques à faible dose.

L’usage d’armes prohibées, docu-menté et filmé par les opposants, a fait suite aux tests effectués en août par l’armée syrienne sur des armes chimiques, à Khanasir (à l’est d’Alep) avec la contribution d’experts ira-niens et nord-coréens, comme l’avait révélé l’hebdomadaire allemand « Der Spiegel » en septembre. Après ce qui précède, il est plausible que les régimes syrien et iranien aient demandé aux médias irakiens alliés de lancer cette opération médiatique préventive.

Il s’agit d’une part de faire diversion, et d’autre part, de préparer les esprits à l’usage d’armes de destruction massive en Syrie contre les rebelles et la population, notamment après l’effondrement de la trêve de ces der-niers jours. Depuis samedi dernier, le régime a largement utilisé l’aviation pour pilonner des positions adverses, y compris dans la périphérie immé-diate de Damas.

Aujourd’hui, plusieurs opposants sy-riens, comme Bassam Jaara et Wahid Sakr, accusent la communauté inter-nationale de complicité avec le dic-tateur Bachar Al-Assad. Selon eux, « l’Occident fait semblant de croire qu’Assad lutte contre le terrorisme et l’intégrisme, et le laisse éradiquer le peuple syrien.

Mais les Syriens ne se laisseraient pas faire ». D’autres sources syriennes re-doutent également un « accord présu-mé » entre l’Occident et la Russie, se-lon lequel « les premiers tolèreraient Assad et ses crimes, et en contrepar-tie, les Russes ne s’opposeraient pas à une opération militaire contre Al-Qaï-da au Maghreb Islamique (AQMI) au Mali et dans le Sahel ».

Dario S.Mediarabe.info - Rome

Les USA ont-ils positionné des bombes nucléaires en Turquie ?

Un titre tapageur et alarmiste? Non, une triste réalité. Préparons les ingrédients : multiculturalisme, insécurité, chômage, précarité, intégrisme religieux… GO ! Une fois n’est pas coutume : je vais commencer mon article par les pa-roles d’un grand philosophe grec, Aristote, que la GAUCHE n’a pas encore, jusqu’à la parution de cet article, accusé de fascisme…

L’absence de communauté natio-nale est facteur de guerre civile, tant que les citoyens ne partagent pas les mêmes valeurs de civilisation. Une cité (une société) ne se forme pas à partir de gens pris au hasard, et elle a besoin de temps pour se coaguler.

C’est pourquoi, parmi ceux qui ont accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux, et pour les intégrer à la cité, la plupart ont connu des guerres civiles. Par exemple, les tyrans de Syracuse, en ayant naturalisé les immigrés, ont dû subir des révoltes. Citoyens et étrangers en sont venus à se combattre. » Aristote, Politique, Livre V. Partageons-nous les mêmes valeurs de civilisation ?

D’un côté l’humanisme de l’autre, le déisme… D’un côté la loi démocra-tique, de l’autre la loi religieuse (la charia)… « …pas les mêmes valeurs de civilisation… » ?… C’est un eu-phémisme… Il serait plus juste de dire «valeurs complètement opposées »… Petit à petit, tous les ingrédients nécessaires à une guerre civile se sont réunis…

Ils ont commencé à enfler… Exac-tement comme les ingrédients pour cuisiner un gâteau : on réunit tout les ingrédients, on incorpore de la levure, on place le tout dans un moule puis, dernière étape avant la cuisson, on laisse reposer la pâte et on attend qu’elle lève avant de la mettre au four…

En Belgique, nous sommes arrivés à cette dernière étape… la pâte a com-mencé à lever, surveillée par l’auto-rité complice du Mal qui se répand… Une autorité représentée pas la GAUCHE et ceux qui participent au pouvoir avec elle, CDH, ECOLO…

Cette GAUCHE « proche » du PEUPLE… Quel peuple? Le peuple de travailleurs belges réduit au chô-mage ? Le peuple des travailleurs belges qui craignent pour leur emploi ? Le peuple des Belges réduits à la

mendicité ? Le peuple des Belges qui paient des allocations familiales pour des enfants qui sont élevés à l’étran-ger, afin qu’ils puissent jouir d’une bonne éducation coranique ?

Ce peuple qu’on a désarmé… lorsque la ministre de GAUCHE Laurette Onkelinx décida, sous prétexte d’un double meurtre à Anvers, de confis-quer toutes les armes détenues par les Belges… « Lorsqu’un pouvoir envisage la possibilité d’une guerre civile, il commence par désarmer sa population »…

Et pendant ce temps là, au nom du « multiculturalisme», du « vivre ensemble », la GAUCHE met au pouvoir des gens dont le but est de répandre la CHARIA, de nous sou-mettre à l’islam… Bourgmestres mu-sulmans… Conseillers musulmans… Le voile a fait son apparition dans les assemblées démocratiques…

On focalise notre attention sur Bart de Wever et pendant ce temps-là… Emir Kir, candidat turc musulman sur la liste PS, grand négationniste du génocide arménien, admirateur du premier ministre islamiste turc1 Erdogan, devient bourgmestre d’une commune bruxelloise.

Mais que fera cette GAUCHE quand ses membres musulmans déserteront ses listes électorales afin d’en créer d’autres ouvertement plus « halal » tel le le parti « Islam » qui a eu deux élus à Bruxelles ? (voir mon article à ce sujet) La GAUCHE et ses complices précipitent notre pays à sa perte…

Et vous, peuple lâche et écervelé, vous votez pour eux ?… Vous prépa-rez l’avenir de vos enfants en votant pour la GAUCHE ?… Cette même GAUCHE qui tout en combattant le nazisme soutenait cet autre fascisme qui fit encore plus de victimes que le régime hitlérien: le socialisme-com-munisme de Staline !?…

J’exagère ? N’ayant pas de nazisme à combattre, la GAUCHE stigma-tise quelques jeunes sur le toit d’une mosquée ou les membres d’asso-ciations humanistes et citoyennes comme Nonali ou l’ICLA… Intolé-rants !… Racistes !… Fascistes !… nous crient-ils… MENTEURS !… TRAITRES… COLLABOS !… leur répondons-nous… A Poitiers en 732, vous vous seriez bien évidemment opposés à Charles Martel !…

Regardez la façon dont la GAUCHE est ses media asservis ont traité les évènements récents de Poitiers … Il s’agissait là de quelques dizaines de jeunes voulant exprimer leurs craintes devant la pénétration de la charia en France dans une ville hautement sym-bolique : Poitiers… Symbolique car ce fut là Poitiers, que Charles Mar-tel, roi de France, stoppa l’invasion de hardes de pillards musulmans, de fous de Dieu qui au nom de leur religion, l’islam, continuait le jihad en envahissant la France, après avoir conquis l’Espagne , toute l’Afrique du Nord, après avoir soumis à la charia, les peuples de Syrie, d’Iran, du Liban, de Palestine, de Jordanie, tuant, torturant, violant et soumettant les survivants à l’esclavage, tout cela 100 ans jour pour jour après la mort de Mahomet, en 632.…

…lorsque ces jeunes ont voulu attirer l’attention sur le problème de l’ins-tauration de la charia, caractérisée entre autre par l’apparition grandis-sante de mosquées, en occupant pai-siblement le chantier d’une mosquée en construction, la GAUCHE a monté l’évènement en épingle, a sorti ses griffes et a montré les dents, vomis-sant des adjectifs comme fascistes, extrémistes de droite, racistes…

Au secours la Peste Brune revient !… La Peste, oui… mais la Peste Verte… Les images tournées à Poi-tiers nous montrent des musulmans larmoyants… On veut nous empêcher de prier… Menteurs !… La mosquée est encore en construction… Regar-dez ce qu’on nous fait !… pleurent-ils… Regardez ce qu’on leur fait… entonne la GAUCHE, en choeur… Et nous leur répondons : regardez l’église qu’on saccage en Belgique !… L’église qu’on brûle en Turquie !… Les chrétiens qu’on assassine au Pakistan, au Soudan, en Egypte, en Syrie !…

Regardez ces femmes qu’on lapide en Arabie, au Yemen, au Soudan !… Vous êtes devenus muets ?… Silence radio… La GAUCHE a fait entrer le loup dans la bergerie et l’aide à se reproduire… le nourrissant avec des moutons dont elle aura préalablement tondu et vendu la laine afin de se rem-plir les poches… et gare au mouton fasciste qui a le malheur de s’opposer en bêlant…

Sale mouton fasciste que tu es !… Mais le masque de ces traîtres va tomber… Nous, les RESISTANTS, tirons dessus à deux mains… et nous ne le lâcherons pas…

VENEZ DONC TIRER CE MASQUE AVEC NOUS…

De tous les peuples de la gaule… Montrez-leur…. Soyez ces nouveaux gaulois de « Astérix et la Charia »… Si nous continuons dans cette voie, la guerre civile est inévitable… Les Eglises se fanent… Les Mosquées fleurissent… Le Printemps est ar-rivé… La Paix… et la Force soient avec vous…

© David ErzetL’article original a été publié sur http://www.nonali.be/

Elections en Belgique : chronique d’une guerre civile annoncée

5L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 31 Octobre 2012

Le Canada a demandé au rap-porteur de l’ONU sur les droits de l’Homme en Palestine Richard Falk de se rétracter ou de démis-sionner, après son appel à boycot-ter les entreprises actives dans les «colonies» israéliennes en Cisjor-danie en raison du caractère illégal de celles-ci.

Les prises de position de M. Falk, contenues dans un rapport à l’Assem-blée générale de l’ONU, sont à la fois offensantes et inutiles, a réagi jeudi le ministre canadien des Affaires étrangères John Baird. Le rappor-teur cause du tort non seulement aux Nations unies mais aussi au peuple palestinien. Le Canada appelle M. Falk à retirer son rapport tendancieux et honteux, ou de démissionner de ses fonctions aux Nations unies, a ajouté M. Baird. Israël et les Etats-Unis ont eux aussi vivement réagi à ce rap-port, jugeant qu’il empoisonnerait les conditions pour la paix.

Dans ce document, Richard Falk, un Américain ancien professeur de droit international, préconise de boycotter les entreprises dont les activités sont liées aux «colonies» de peuplement israéliennes en Cisjordanie en raison du caractère illégal de ces implan-tations. Par la voix de Rick Roth, le porte-parole de M. Baird, le Canada, dont le gouvernement conservateur compte parmi les plus fidèles alliés d’Israël, a dénoncé jeudi un rapport tendancieux et honteux.

Richard Falk est coutumier de décla-rations fracassantes et il ne fait que ternir la réputation et l’intégrité des Nations unies, a-t-il ajouté.

La communauté internationale consi-dère les implantations de peuplement comme illégales, et les Palestiniens voient en elles la plus grande menace pour le processus de paix. Dans son rapport, M. Falk, rapporteur spécial sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occu-pés, considère que toutes les entre-prises qui opèrent dans les implanta-tions de peuplement israéliennes ou traitent avec elle (..) devraient être boycottées jusqu’à ce que leurs acti-vités soient pleinement conformes aux normes et pratiques du droit in-ternational humanitaire.

Au cours d’une conférence de presse, il a justifié cet appel inhabituel par le fait que l’Etat hébreu continue de défier les décisions de l’ONU qui dé-noncent sa politique de colonisation.

Des responsables américains et israé-liens ont immédiatement critiqué l’appel au boycott, qualifié d’irres-ponsable et inacceptable par l’ambas-sadrice américaine à l’ONU Susan Rice. Pour Mme Rice, le rapporteur s’est toujours montré très partial et la poursuite de son mandat nuit à la crédibilité de l’ONU. Richard Falk a une nouvelle fois produit un rapport grossièrement partisan (et) totale-ment coupé de la réalité, a affirmé la porte-parole de la mission israélienne Karean Peretz. Tout en consacrant des pages et des pages à critiquer Israël, M. Falk passe totalement sous silence les violations terribles des droits de l’homme et les attaques ter-roristes commises par le Hamas, a-t-elle réagi.

Source : Romandie.com

Implantations le Canada s’en prend au rapporteur de l’ONU

Israël a-t-il tenté de saboter un effort conjoint entre l’Iran et le Soudan pour fabriquer des drones militaires ? La mystérieuse explo-sion de l’usine d’armes de Khar-toum continue de soulever des points d’interrogation. Une source diplomatique a déclaré à l’AFP que l’usine était impliquée dans la pro-duction de drones.

Par ailleurs, des sources de rensei-gnement étrangers ont dit qu’Israël avait effectué un raid à l’aide d’un drone contre un convoi au sud de Khartoum le mois dernier, un raid qui a détruit 200 tonnes de munitions, y compris des roquettes, destinées à la bande de Gaza. «Il devait y avoir un accord entre le Soudan et l’Iran pour produire des armes non convention-nelles,» a déclaré une source diplo-matique jeudi à l’AFP. La source, demandant à ne pas être identifiée, a également dit que l’usine de Yarmouk était impliquée dans la production de drone.

Mais Jonah Leff, de Small Arms Sur-vey, un projet de recherche suisse indépendant, a dit douter que des tels équipements soient fabriqués locale-ment. Le projet de Leff a documenté

la présence d’un drone, de mines ter-restres et d’autres armes iraniennes au Soudan, mais il pense qu’elles ont été directement acquises auprès de l’Iran.

«Il y a beaucoup de spéculations que l’Iran a fourni une assistance tech-nique aux soudanais pour la fabrica-tion d’armes, mais je n’ai pas été en mesure de confirmer qu’ils produisent des armes iraniennes,» a-t-il dit.

Lors d’une visite à Téhéran en août dernier, Bashir a décrit la relation entre le Soudan et l’Iran comme «pro-fondément enracinée». Leff a identi-fié Yarmouk comme faisant partie de la Corporation Militaire Industrielle du Soudan, qui prétend produire une variété d’armes, du pistolet au char de combat.

«Ils sont très secret… Il est diffi-cile de savoir exactement ce qu’ils produisent et ce qui est de la propa-gande,» a déclaré Leff. Mercredi, un ministre soudanais a déclaré qu’une usine de Khartoum où il y a eu des explosions et un gigantesque incendie a été attaquée par quatre avions mili-taires israéliens.

6L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 31 Octobre 2012

Boeing a testé avec succès une nou-velle arme, un missile qui ne trans-porte pas une ogive bourrée d’ex-plosifs mais plutôt un appareil à rayonnement magnétique qui grille tous les systèmes électroniques uti-lisés par l’ennemi.

Le missile, nommé CHAMP, a été lancé avec une trajectoire prédétermi-

née, et a perturbé les systèmes élec-troniques stationnés sur une plage dans l’état de l’Utah (Etats-Unis). Sept cibles ont pu être perturbés dans le cadre de l’essai qui a duré une heure et a vu le lancement de plu-sieurs missiles de ce type. Un effort est en cours aux États-Unis, ainsi que dans de nombreux autres pays, afin de développer un système d’arme qui

va paralyser les systèmes technolo-giques des forces ennemies, l’empê-chant de fonctionner.

Il semble que le développement de Boeing soit réalisé à la demande du Département américain de la Défense, dans un vaste plan secret – ou au moins discret. Une impulsion électromagnétique, qui entraîne la perturbation des systèmes sur une zone étendue considérable, serait une arme d’importance capitale dans une guerre menée par l’Occident contre les centrales nucléaires iraniennes par exemple.

Le développement des missiles de Boeing, qui se fait très certainement en partenariat avec Israël, pourrait permettre à ces deux pays de neutrali-ser complètement l’Iran avant même que les Ayatollahs ne commencent à vouloir organiser une vengeance…Maayan Smadja

Test réussi pour les missiles électromagnétiques américains… Les liens entre l’Iran et le Soudan sous la loupe après l’explosion

Le drapeau d’Israël a été brulé en face de la synagogue de Budapest. L’incident s’est déroulé mardi en plein centre de la ville de Buda-pest, devant l’entrée de la syna-

gogue dans la rue Dohany. Le dra-peau d’Israël a été détruit par des membres de Jobbik, le parti d’ex-trême-droite.

Les membres de Jobbik ont pris part aux événements de la journée com-mémorative de la révolution anti-communiste de 1956. La rébellion de 1956 a été commémorée mardi en Hongrie, y compris par le dirigeant du parti Jobbik. Gabor Vona a criti-qué la collaboration entre la Hongrie et Israël.

Il a dit: «l’accord entre la Hongrie et Israël doit être annulé». L’ambas-sadeur d’Israël en Hongrie, Ilan Mor, est apparue mardi dans un pro-gramme de la télévision hongroise de l’opposition ATV-Channel, et a réa-git aux critiques anti-israéliennes du parti de droite antisémite, en exigeant que «les forces démocratiques hon-groises doivent condamner cet acte et cette critique anti-israéliens qui sont inacceptables».

Le drapeau d’Israël a été brulé devant la synagogue de Budapest

8L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 31 Octobre 2012

Cette paracha est celle de la révé-lation. En effet Abraham vient de «s’appliquer» à lui-même la circon-cision aidé en cela par HM comme le raconte un midrach. L’épreuve était risquée c’est la raison pour laquelle il prit conseil chez Mamré un des notables de la région qui fut le seul à lui conseiller d’obéir au commandement divin de la cir-concision. Au bout du troisième jour c’est-à-dire le 12 Tichri selon le Meaz Loez, Abraham qui a 99 ans, souffre terriblement de cette «amputation», mais il ne manque-rait pour rien au monde l’occasion de faire la mitzva d’inviter des per-sonnes à se restaurer sous sa tente. Le Talmud raconte que ce jour là D-ieu fit en sorte que le soleil soit si puissant pour épargner au patriarche de sortir de sa tente…Pourtant rien ne le dissuada d’aller à la rencontre des gens de passage. Si D-ieu se révéla à lui, ce fut pour lui rendre visite. Du reste c’est de ce passage que nous tirons le pré-cepte du Bikour Holim –visite aux malades, puisque D-ieu lui-même nous en donne l’exemple. En hé-breu, un homme riche est appelé Achir mais également Guerir. Ce mot est formé par les lettres Gui-mel, Beth, Yod et Réch . Guimel est l’acronyme du Gomel Hassadim prodigue en bonnes actions) Beth (Baïchan-humble) Yod (Yachar-intègre) et Réch (Ra’haman-Misé-ricordieux). Pour être un authen-tique «Guerir» riche on doit réunir ces qualités premières.

Le texte de la paracha nous raconte que trois anges d’apparence hu-maine (Raphaël Mickaël et Gabriel) passent par là et donnent l’occasion au patriarche d’accomplir la mitsva «d’Akhnassat orhim » qui lui tiens tant à cœur. La mitsva de l’hospita-lité est considérée comme une des plus importantes des nombreuses Mitsvot de la Torah qui font injonc-tion à l’homme «d’adopter les voies de l’Eternel». Ainsi, cette paracha décrit-elle avec minutie et force de détails, la manière dont Abraham recevait ses invités, l’importance de cette mitsva et la grande récom-pense qu’elle entraine. En effet, pour chacune des attitudes d’Abraham à l’égard de ses invités, D-ieu en fit de même avec ses descendants. Nous sommes, nous même, invités en permanence par l’Eternel dans Son Monde et il s’inquiète quotidienne-ment de nos «énormes» besoins…S’il cessait d’agir ainsi, le monde serait voué à une fin inévitable ! Le Hafetz Haïm résume en un mot le comman-dement de l’hospitalité : L’amour du prochain. La thora nous recommande : «Tu aimeras le prochain comme toi-même!» et Rabbi Akiva précise que ce commandement englobe toute la Thora. Facile à dire mais difficile à mettre en œuvre…La question qui

peut paraitre gênante mais qu’il faut se poser de nos jours, pourquoi autant de sollicitude pour les morts (hillou-lot, vente de charité et autres) alors qu’il y a tant de détresses parmi les vi-vants dans notre communauté? Certes chaque année s’ouvre à cette période la campagne nationale pour la Tseda-ka..Il faudrait également réfléchir à la façon d’apporter une aide substan-tiel à ces familles qui croulent sous les charges et qui peinent à marier leurs enfants par manque de moyens. C’est une noble cause qui pourrait sans doute nous mobiliser pour que chaque jeune ai la possibilité de se marier. La Mitsva d’Hakhassat Kalla (mariage d’une jeune fille) consiste à allouer à un père de famille qui serait en difficulté, une somme qui resterait à définir et qui lui permettrait ainsi de marier dignement son enfant. Le texte nous raconte qu’après leur avoir offert l’hospitalité et de fins mets en cette soirée de « Pessah» précise le Talmud, des plats préparés par Sarah à base de matsot et de langue de veau à la moutarde ... Ces trois voyageurs vont annoncé que Sarah enfantera un fils qu’il nommera Isaac, et que l’ange Gabriel avait pour mission de détruire Sodome...

Le Zohar Akadoch nous révèle que grâce à la Brith milla, toutes les portes de la connaissance et de la sagesse furent ouvertes à Abraham. Par ce simple changement opéré dans sa chair, son corps et son esprit sont désormais prêt à véhiculer la sainteté grâce à laquelle il pourra atteindre les secrets divins. Mais Abraham va être mis une fois encore à l’épreuve. D-ieu lui ordonna de sacrifier son fils bien aimé Itsaac. Il est écrit dans un verset : «Abraham prit le bois du sacrifice, le chargea sur Isaac son fils, il prit en main le feu et le couteau, et ils allèrent tous les deux ensemble…Rachi dit là-bas qu’Abraham savait pertinemment qu’il allait immo-ler son fils, mais il marchait avec la même volonté que son fils Itsaac qui lui ne se doutait de rien!. Pourtant nous fait remarquer le Kéli Yakar dans un verset suivant il est écrit : «Abraham dit : D-ieu choisira Lui-même l’agneau de l’holocauste, mon fils…» et ils allèrent tous les deux ensemble..Cette expression, et ils al-lèrent tous les deux ensemble revient à deux reprises, aux versets 6 et 8, En outre, la phrase elle-même : «Et ils allèrent tous les deux ensemble, comporte une redondance superflue : si on nous dit qu’Abraham et Itsaac allèrent, c’est forcément qu’ils étaient ensemble… L’opinion de nos sages dans la Guemara est divergente sur la question de savoir si Itsaac savait en quittant la maison ce matin là, qu’il allait être immolé par son père Abra-ham. Selon l’une ou l’autre de ces opinions, la notion de Tsadik-le juste parfait, qui s’en dégage, aura à coup sûr un impact sur notre conduite et

nous orientera dans la recherche de la perfection humaine. Rachi lui comme nous l’avons dit plus haut, pense que seul Abraham était au courant de leur mission. C’est là le sens de la répétition des mots : «Et ils allèrent tous deux ensemble, Ensemble, d’un même cœur: D’une part Abraham, qui marchait d’un pas léger et de l’autre son fils Isaac, qui lui ne savait rien!. La perspective du sacrifice du fils bien-aimé «êt Binekha yéhidékha achér aâvta», ne réduisait en rien la ferveur intérieure du Patriarche dans l’accomplissement de cet ordre d’HM!

Rien ne peut ébranler la détermina-tion de notre patriarche, parce qu’il veut accomplir la mission que lui ordonne D-ieu!. Le verset poursuit et nous apprend qu’au troisième jour de route vers le «Mont Moriah», Itsaac ne voyant pas l’agneau destiné au sacrifice, interroge alors son père : «Mon père voici le feu et le bois, mais où est donc l’agneau de l’holocauste? Abraham lui répondit : «HM choi-sira Lui-même l’agneau de l’holo-causte, mon fils!» la réponse est allusive…mais lourde de sens ; ces derniers mots l’holocauste, mon fils ! Sont terribles… Abraham fait com-prendre à Itsaac qu’en réalité il n’y à pas d’agneau et que l’holocauste c’est bien lui!. L’émotion est à son comble, mais Itsaac réagit de manière exceptionnelle, qui est exprimée par la répétition de la phrase : «Et ils allèrent tous les deux ensemble» Du même cœur léger. Qui comme Isaac est capable de cette force d’âme, d’un tel dépassement de soit de tout sen-timent personnel? Nul autre que lui!. Rachi met en lumière le caractère essentiel de l’épreuve d’Isaac : sa ve-nue «Miraculeuse» en ce monde n’a d’autre but que l’accomplissement de la volonté divine.Ceci explique que le sacrifice d’Isaac soit resté le symbole de l’attachement éternel d’Akadoch Baroukhou aux descendants d’Isaac et d’Abraham.!. Aussi est-ce la raison pour laquelle à Roch Hachana nous sonnons le Choffar pour demander à HM de ce souvenir de celui qui fut notre patriarche d’Isaac, et de l’indé-fectible amour qu’il avait pour le créateur.

Itsaac se révèle comme un Tsadik-un juste véritable, «Ola témima»- une offrande pure- le Tsadik selon Ram-bam se définit comme celui qui a le sentiment constant d’être venu au monde simplement pour accomplir la volonté et le service d’HM! Son exis-tence dans ce monde n’a elle-même aucune signification, aucune portée, c’est l’humilité à l’état pur. Itsaac n’est nullement ému d’entendre que sa fin est proche, il reste serein et indifférent aux changements matériel de l’existence, entre la vie et à la mort. Mais Itsaac ne se révolte pas, son seul but est la volonté divine : c’est là le

comportement du Tsadik. C’est à ce degré d’Emouna, ce degré suprême d’élévation spirituelle vers lequel l’homme doit aspirer. La Guemara évoque deux raisons pour lesquelles Itsaac devait être sacrifié. La 1er on dit que le Satan à fait remarqué à HM qu’Abraham avait célébré une fête pour la naissance de son fils, sans pour autant manifester au créateur la moindre reconnaissance et qu’il fal-lait le mettre à l’épreuve. La Seconde raison était le défi lancé par Itsaac à Ichmaël. En effet au cours d’une discussion entre gamins, Ichmaël et Isaac se mirent à débattre à propos de la Brith Milla. Ichmaël affirmait qu’il était plus méritant qu’Itsaac d’avoir fait la Milla à 13 ans. Mais dans une sorte de surenchère Isaac lui répondit qu’il était prêt lui a faire don de sa vie à D-ieu… Or le Satan qui était à l’af-fut a immédiatement proposé à HM de mettre à l’épreuve Itsaac!. C’est pourquoi le pasouk nous dit : «Aharé adévarim aélé» après ces faits là! Et le Midrach nous apprend que le Satan va tout faire pour détourner le père et le fils de leur mission…

Le Satan va tenter d’ébranler la foi d’Abraham et de le dissuader d’ac-complir «le sacrifice barbare» sur son fils! Mais Sans succès. Il tente alors d’affaiblir la motivation d’Itsaac raconte la Guemara Sanhédrin. C’est ainsi qui lui dit : «fils d’une mère malheureuse sais tu que ton père ce fou va te sacrifier? Oui! répond Isaac et j’y vais quand même… Alors le Sa-tan insiste…: «Ces jolies choses que la mère Sarah a confectionnées pour toi, vont être héritées par Ichmaël-ce-lui qui te raille! Isaac fait une petite pause, car l’idée qu’ichmaël tire pro-fit de la situation lui est insuppor-table! C’est alors qu’il implore une dernière fois son père, tentant d’éveil-ler sa Rahmanout-sa pitié, comme le dit David Amélekh Alav achalom : «Ki rahém av albanim rahém HM al ériav» la rahmanoute-la pitié d’un père pour son enfant ne ressemble à aucune autre! Alors Isaac dit : «Mon père, voici le feu et le bois, mais où est donc l’agneau?» il semble lui dire dans un dernier sursaut : «Aie pitié de moi, trouve un agneau à ma place!» Abraham comprend alors qu’une lutte intérieur puissante bouleverse son fils, il vient à son secours : «Cou-rage, mon fils, ne te laisse pas entrai-ner à des mauvaises pensées : «Vayo-mére Abraham Elokim Yir’eé » D-ieu choisira l’holocauste, mon fils ! Isaac reprend alors des forces! Et c’est là où le texte dit : « Et ils allèrent tous les deux ensembles…Véyélékhou Yahdav!. Le Rav Haim Yossef Sitruk chlita, explique que Le Tsadik n’est ni un ange, ni un être parfait, mais un homme perpétuellement confronté à des épreuves tout au long de sa vie, il est soumis à des luttes constantes, nées des doutes, des questions, et de toutes les pensées que lui souffle le

Yétser Ara-le mauvais penchant…car il en est également doté!. Le Tsadik n’est pas celui qui n’a pas affaire avec le Yétser Ara, bien au contraire nous dit le Talmud il est celui qui se me-sure constamment à lui, on dit même que le Yétser ara du Tsadik est plus virulent encore que chez le commun des mortels ! Mais à la différence des l’autres, le Tsadik finit toujours par triompher…L’homme ne doit pas se décourager dans sa lutte contre le Yétser Ara. Il atteindra forcément l’élévation spirituelle grâce à des ef-forts soutenus et répétés, ainsi il sor-tira grandi de l’épreuve!. Rachi pense qu’Itsaac ne tiens pas compte du Yét-ser ara, il le considère comme nul, par contre le Midrach Tanhouma décrit Isaac comme un être qui ressent l’op-position violente du Yetser ara, il le combat et finit par le maîtriser. C’est pourquoi il est dit dans Michlé de Chlomo Amélekh : «Car le juste – le tsadik- tombe sept fois et se relève!». La particularité du Tsadik c’est qu’il se relève et se ressaisit pour affron-ter à nouveau les épreuves, jusqu’au succès final!. Concluons sur une note d’espoir qui viens mettre en lumière l’élévation spirituelle d’Abraham et d’Isaac au terme de l’épreuve qu’ils viennent de vivre.Le verset youd têt-19, nous apprend : « Vayachov Abra-ham él néarav vayékoumou véyé-lékhou yahdav el bêer chava…

Abraham revint vers les jeunes (Is-maël et Eliezer) et ils se remirent en route ensemble pour Beer Cheva…là encore nous retrouvons le mot en-semble. Cela signifie dit le Kéli Yakar qu’Abraham et Itsaac, sortis victo-rieux des épreuves en montrant leur attachement inconditionnel à D-ieu, marchent ensemble, aux côtés des serviteurs, avec le même cœur que les serviteurs qui eux ne se doutent de rien, et qui ne soupçonnent même pas l’expérience spirituelle excep-tionnelle que leurs maîtres viennent de vivre…Abraham, Itsaac et les ser-viteurs cheminent ensemble comme lorsqu’ils quittèrent à l’aube la mai-son trois jours auparavant… Notre Maître Rabi Fraji Uzan zatsal faisait remarquer que le couteau destiné au sacrifice est appelé dans le texte d’un terme très particulier, que l’on ne retrouve nulle par ailleurs, «Mâakhé-létt» formé de la racine Akhal,- qui signifie manger (la viande) et qui fait allusion aux sacrifices que mangerons plus tard les Cohanim au Temple de Jérusalem. Rachi explique que ce couteau est appelé «Mâakhélétt» parce qu’Israël tout entier «mangera» en quelque sorte le fruit de cette of-frande dont les retombées sont consi-dérables sur l’ensemble du peuple juif.

Yvan Lellouche

Parachat Véyéra : L’Abnégation de nos patriarches

Bernard était une «néchama» c’est à dire une âme d’une grande sensibi-lité et d’une gentillesse innée. Dans sa boutique, la boucherie «Chez Charly» près de la place Voltaire, il aimait accueillir avec un large sourire ses clients et ses amis. Nous avions partagé des souvenirs d’enfance heu-reuse en Tunisie. Ceux qui l’on connu ont été marqué par sa personnalité et sa discrétion exemplaire. Bernard nous laissera le souvenir d’un ami,

d’un frère, d’un fils idéal que tout le monde aurait souhaité avoir. Que son souvenir soit une bénédiction et que l’Eternel lui réserve la place qu’il mérite au Gan Eden aux cotés des Tsadikim. La Hazkara du mois aura lieu dimanche 4 novembre à 17h à la synagogue de la Roquette dans le XIé.

Yvan L.

Hommage à Bernard Meïr Lellouche zal

9L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 31 Octobre 2012

10L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 31 Octobre 2012

Les réactions s’enchainent depuis l’annonce d’unification des listes Likoud et Israël Beitenou. Le ministre Michael Eitan a déclaré que cette union pourrait mener à la liquidation de Likoud. L’ancien ministre travailliste Itshak Herzog a également commenté cette an-nonce, en affirmant qu’il s’agissait d’un signe de panique de la part du Premier ministre.

Le ministre de l’éducation Guidon Saar a de son coté félicité l’initia-tive. Enfin selon un proche du camp Likoud, Netanyahou craignait un rap-prochement entre Lieberman et les anciens meneurs de Kadima Olmert et Livni. Selon la deuxième chaîne, la liste conjointe sera appelée «Le Likoud Beitenou». Netanyahou est

attendu de tenir la première place sur la liste, tandis que Lieberman devrait obtenir la deuxième place.

Les troisième et quatrième places se-ront données des membres du Likoud, tandis que la cinquième sera attribuée à un membre d’Israël Beitenou. La deuxième chaîne a signalé que cette union est conçue pour permettre au Likoud et à Israël Beitenou de créer un grand bloc de droite qui pourrait s’assurer une victoire aux élections. Le ministre Likoud Gilad Erdan n’a ni confirmé ni nié que la fusion avait été convenue, mais il a dit à la deu-xième chaîne que celle-ci avait été discutée dans le passé. Décidément, d’un point de vue politique, Israël ne s’ennuie jamais !

A Caluire, mercredi 24 octobre, les professeurs du lycée professionnel André-Cuzin ont exercé leur droit de retrait après qu’un élève est arrivé au lycée armé d’un pistolet. L’élève a heureusement été neutra-lisé, mais le président du syndicat Unsa éducation se demande « quel est le but d’avoir une arme dans un établissement ? On comprend l’in-quiétude de nos collègues ».

Dans l’Yonne, à Sens, deux bus ont été caillassés par des palestiniens dans le quartier des Champs-Plai-sants, en l’espace de deux jours. Une vitre latérale a été brisée sans faire de blessés. « Selon des témoins, les auteurs seraient mineurs. Par consé-quent, nous demandons aux parents de surveiller leurs enfants. » a déclaré Thierru Pollivert, le commandant de police. Les parents vont sans doute

répondre : « ziva tu me traites sale céfran ? »

A Colmar, 8 poubelles ont été incen-diées au centre ville. Les pompiers ont dû étreindre huit bennes en feu, en plein centre ville, dans la nuit de vendredi à samedi dernier, en l’espace d’une heure et demie. A Brunstatt, près de Mulhouse, un jeune en scoo-ter, voyant des policiers, a foncé sur un agent, qui a réussi à l’éviter.

Déséquilibré, il tombe, tente de s’en-fuir, mais il est rattrapé. Il a été dé-féré au parquet, et il ne s’appelle pas Vladimir. A Kingersheim, un policier avait été agressé par trois musulmans dans la nuit du 15 au 16 septembre dernier. Une enquête discrète avait été lancée. Un mois plus tard, le 16 octobre, deux premières racailles sont interpelées à Valence, et l’une des

deux est mise en examen pour ten-tative d’assassinat. Il y a deux jours, un mineur du nom de Pas-Kevin est interpelé, mis en examen et écroué.

Enfin, ce matin jeudi, trois autres chances pour la France ont été arrê-tés. Au tribunal de Montbéliard, Ilias Fettouh, seulement 20 ans, n’était pas présent pour répondre de l’incendie d’un commissariat, de menaces de mort avec arme, et pour avoir blessé d’un coup de fusil tiré dans le dos d’une guichetière de banque, et si le ministère public rappelle que le jeune d’origine algérienne est en passe d’être renvoyé devant une cour d’as-sises pour des faits criminels, le tribu-nal n’a pas jugé utile de décerner un mandat d’arrêt. Policiers et pompiers sont caillassés et insultés quotidien-nement, à Clermont-Ferrand.

« On est à Kaboul ? À Beyrouth ? Non quand même pas !Nous sommes dans notre beau pays de France. Et les policiers, comme les pompiers doivent pouvoir tra-vailler partout » lâche le procureur de la République, René Pagis, lors d’une audience de petites racailles où des secours ont été caillassés. Non ce n’est pas Beyrouth, c’est plutôt Gaza : jeudi 18 octobre, au milieu de l’après-midi, deux fortes détonations se font entendre dans le lycée Gaston Bachelard de Bar-sur-Aube, suite à une attaque à la bombe, composée d’une bouteille remplie d’acide et d’aluminium. un élève du lycée Gas-ton Bachelard de Bar-sur-Aube a été interpellé vendredi 19 octobre à son domicile. Il a reconnu être à l’origine de l’explosion. Il a été placé en garde à vue.© Jean-Patrick Grumberg

Alors qu’en Israël, l’armée a neutralisé les arabes, en France, l’intifada continue

Élections: Réactions à l’annonce du tandem Netanyahou/Lieberman

12L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 31 Octobre 2012

L’artillerie israélienne serait entrée en action, ce soir, contre un com-mando terroriste dans le secteur de Khan Younès, au sud de la bande de Gaza, qui s’apprêtait à tirer des roquettes sur le sud d’Israël, selon des sources palestiniennes qui pré-cisent qu’il n’y aurait pas de vic-times.

Dans le passé, les incursions ter-

restres israéliennes dans la bande de Gaza ont été précédées par de lourds tirs de l’artillerie. Et les commenta-teurs israéliens spéculaient ces der-niers jours sur l’éventualité d’une opération terrestre contre la bande de Gaza. Des chars ont également été vus se déplaçant en direction de la frontière entre la bande de Gaza et Israël, tandis que des avions survo-laient le secteur.

Bande de Gaza : tirs de l’artillerie israélienne contre des terroristes lanceurs de roquettes

Moins de 24 heures après que le pré-sident soudanais, Omar el-Bashir, a promis «des mesures décisives contre les intérêts israéliens, qui sont désormais une cible légitime,» pour la destruction de l’usine de missiles iraniens de Khartoum, les terroristes arabes de Gaza ont tiré des roquettes Grad ciblant le réac-teur nucléaire israélien de Dimona.

Cette information est rapportée par le site Debka. Elles ont explosé dans le sud-ouest de Ramat Néguev, un quartier au sud de la ville de Dimona. La centrale nucléaire est a seulement 42,5 kilomètres de la bande de Gaza à vol d’oiseau. Samedi soir, l’armée de l’air israélienne a attaqué une équipe de lanceurs de roquettes dans le sud de la bande de Gaza, tuant un

membre du Hamas et en blessant un autre grièvement.

Le groupe terroriste Hamas a lancé une nouvelle politique de cibles suite à deux événements graves et importants : ses dirigeants ont donné la bande de Gaza a Téhéran en tant que bras opérationnel au sud d’Israël, complétant le rôle central du Hezbol-lah au nord d’Israël, et secundo, ayant acquis des missiles améliorés, le Ha-mas a décidé de cibler les endroits les plus sensibles d’Israël à sa portée : le réacteur nucléaire de Dimona ainsi que les bases aériennes et la station radar américaine X-Band situé dans le Néguev. Les dirigeants islamistes de Gaza continuent d’essayer de per-fectionner leur but.Le ministère israélien de la défense

et le haut commandement de Tsahal ont sonné l’alarme dimanche sur ce dangereux nouveau départ. Le porte-parole de Tsahal a commencé par révéler qu’une roquette Grad était destinée à la ville de Beer Sheva, annonçant plus tard que ce sont en fait deux roquettes, qui ont toutes deux explosé à l’extérieur de la ville. Mais la roquette tirée à 07h44 contre le réacteur de Dimona a été suivie par des heures de silence officiel.

Le porte-parole a ensuite rapporté le tir d’une roquette contre Ramat Haneguev en termes généraux, sans mentionner l’emplacement du réac-teur dans le district, à son point le plus au nord. C’était la seconde fois en trois semaines que Téhéran est vu se concentrant sur la centrale nucléaire d’Israël, rapportent des sources de Debka.

Le 6 octobre, un drone furtif iranien a réussi à survoler Israël et a photogra-phier le bâtiment du réacteur et son système radar de défense anti-aérien. Les données recueillies ont été don-nées au Hamas pour aider à guider ses roquettes contre Dimona. Debka a rapporté plus tôt que quatre, et non deux roquettes Grad avaient été tirées dimanche matin contre Beer Sheva. Elles ont toutes explosées en dehors de la ville et n’ont causé aucun dom-mage. Le maire a décidé de fermer les écoles pour la journée car aucune n’est fortifiée contre des attaques à la roquette.

Les roquettes du Hamas visent le réacteur nucléaire de Dimona

Selon le Sunday Times britan-nique, Israël a bien orchestré le bombardement de l’usine d’armes de Khartoum mercredi dernier, et il ne s’agissait que ‘’d’une répéti-tion en vue d’une attaque contre les sites nucléaires iraniens’’.

Citant des sources sécuritaires occi-dentales et israéliennes ayant tenu à garder l’anonymat, le journal affirme que la force israélienne était compo-sée de 8 chasseurs-bombardiers, 2 hélicoptères et d’un avion de ravitail-lement. Elle a survolé la mer Rouge, évitant la DCA égyptienne, et a uti-

lisé des contre-mesures électroniques pour brouiller les systèmes de détec-tion radar soudanais.

Quatre chasseurs ont réalisé la frappe, les 4 autres étant présents pour assurer une couverture aérienne. Les hélicop-tères transportaient chacun des forces de commandos prêtes à intervenir au cas où l’opération tournait mal et où un pilote était abattu. ‘’C’était une démonstration de force, mais seule-ment une fraction de nos capacités et de ce à quoi les Iraniens peuvent s’attendre’’, a indiqué une source sé-curitaire israélienne au journal.

Le raid au Soudan, un «entraînement» pour Israël en vue d’une attaque en Iran

14L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 31 Octobre 2012

«Ceux qui ont écrasé Lee Zeitouni seront envoyé en prison», a déclaré l’ambassadeur français en Israël Christophe Bigot jeudi soir. Alors que Bigot parlait de son rôle d’am-bassadeur en Israël et partagé ses expériences en tant que diplomate, il a également mentionné sa visite à la famille de Lee Zeitouni, qui a été tué dans un accident en 2011 par deux citoyens français – Claude Isaac Khayat et Eric Robic.

« C’est une véritable tragédie. Mais malheureusement, selon la loi fran-çaise, nous ne pouvons pas extrader les citoyens français. Nous avons, cependant, ont un système juridique par lequel nous pouvons les juger et les envoyer en prison » a expliqué l’ambassadeur devant ses hôtes. !

Selon l’ambassadeur français, la France a contacté la famille Zeitouni et l’Etat d’Israël, leur demandant de déposer une plainte auprès du gouver-

nement français contre les assassins qui ont prit la fuite vers la France le jour de l’accident. «Pour d’évidentes raisons émotionnelles, une plainte a été déposée seulement neuf mois après l’accident. Cela a été fait une fois que la famille s’est rendu compte que les hommes ne pouvaient pas être extradé vers Israël », a ajouté Chris-tophe Bigot selon le Yediot Ahronot.

« Dès qu’une plainte a été reçue, les juges ont été nommés et la police française a demandé à la police israé-lienne les détails de l’enquête afin que les coupables soient punis. Le proces-sus est toujours en cours et bientôt un procès aura lieu et les criminels en prison. » Bigot a également adressé un message aux citoyens français qui enfreignent la loi, les assurant que le gouvernement ne leur permettra pas de rester impunis.

Elinor Cohen-Aouat

Christophe Bigot: « les assassins de Lee Zeitouni seront envoyé en prison ! »

Spectacle de guerre civile, hier ma-tin, aux Fontaines à Tours : treize véhicules et un local à poubelles ont été réduits en cendres. Les habi-tants se sont réveillés, hier matin, au son des sirènes de pompiers. Des incendies volontaires ont détruit dix véhicules, endommagé qua-torze autres et un local à poubelles.

Place Ingres, hier matin, au beau milieu du quartier des Fontaines, les habitants contemplaient, incrédules, le spectacle des voitures calcinées. Quelques heures plus tôt, la plupart des riverains avaient été réveillés par les sirènes des pompiers. Parfois aussi par le bruit fait par les vitres des véhicules en train d’exploser. « Je

croyais que c’étaient des pétards ou même des coups de feu », explique une voisine.

«Je suis descendue et j’ai vu plein de gens qui regardaient. D’habitude, je gare ma voiture ici… » « On a le droit à ce genre de choses une fois par an », commente un retraité qui habite le quartier. «Cela fait peur. Et comment vont faire tous ces gens pour aller tra-vailler demain matin ? » « C’est un véhicule qu’on a depuis cinq mois, indique un jeune coupe. La police nous a réveillé ce matin pour nous dire que notre voiture avait été en-dommagée. Nous avons appelé notre assureur mais il faudra le recontacter demain.

Nous travaillons tous les deux et nous avons besoin d’une voiture pour aller au travail. » Choqués par l’événe-ment – ils envisagent « de chercher un autre logement », sans savoir que c’est ainsi que les musulmans chassent les peuples de leurs terres, en semant la peur, la violence, la mort. Place Charles-Garnier, le spec-tacle n’était pas très différent.

Une femme, mère de quatre enfants en bas âge, se lamentait devant son véhicule réduit en cendres. Total, dix voitures brûlées, quatorze endomma-gées, deux ont les vitres brisées. La directrice départementale de la sécu-rité publique, le commissaire Brigitte Pommereau, promettait dès hier « de mettre tous les moyens en œuvre pour identifier les auteurs ».

Identifier ? Pourquoi faire ?

Ils ressortent du poste après quelques heures, libres. Hier, vers 19 h, l’inti-fada avait repris, les pompiers sont intervenus pour éteindre un nouveau feu de voitures. C’est ainsi chaque année, c’est ainsi qu’ils fêtent l’aïd.

© Jean-Patrick Grumberg

Nuit d’intifada à Tours

La liberté d’expression est un droit fondamental, qui fait partie de nos libertés publiques.Depuis la révo-lution française la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 aout 1789 affirme solennel-lement que NUL NE DOIT ÊTRE INQUIÉTÉ POUR SES OPI-NIONS MÊME RELIGIEUSES POURVU QUE LEUR MANIFES-TATION NE TROUBLE PAS L ORDRE PUBLIC.

ART 10/ET LA LIBRE COMMU-NICATION DES PENSEES ET SES OPINIONS EST UN DES DROITS LES PLUS PRECIEUX DE L HOMME TOUT CITOYEN PEUT PARLER ECRIRE IMPRIMER LI-BREMENT SAUF A REPONDRE DE L»ABUS DE CETTE LIBERTE DANS LES CAS PREVUS PAR LA LOI/ ART 11/ En d’autres termes on peut sanctionner une publication . .C’est ainsi que des films de violence ou de sexe voire des scènes ,comme des revues pornographiques ont été censurés, voire interdits.

Il en fut ainsi de chansons considé-rées comme amorales comme celles de George Brassens, Serge Gains-bourg. Pierre Perret ont subi cette mesure, interdits de plateaux de télévision,leurs chansons interdites de diffusions sur les antennes radios.De même le Film de Belmondo inter-dit en 1965 pour anarchisme (Pierrot le Fou).

Actuellement la censure préven-tive s’exerce notamment dans deux

domaines :le Cinéma et les publica-tions pour la jeunesse . Il arrive que souvent,les appels à censure offrent une véritable publicité éveillent la curiosité,et provoquent l’effet inverse à celui recherché. C’est ce qui s’est produit au sujet des films AMEN, la DERNIERE TENTATION DU CHRIST OU le roman LES VER-SETS SATANIQUES De même l’affaire des caricatures de Mahomet, publiées par le journal danois, JYL-LAND POSTEN provoquant des ma-nifestations hostiles, violentes d’un côté et des manifestations de soutien à la liberté d’expression de l’autre.

En 2000 LE groupe de rock le groupe MATMATAH est condamné,pour pro-vocation à l’usage de stupéfiants»,»à cause de sa chanson L APOLOGIE En 2005 le député U M P,Grosdidier a porté plainte contre divers groupes de rap français, pour «incitation à la haine et au racisme» Certaines chansons appelaient à attaquer les policiers,R, SMALA, Lunatic dis-sous depuis, 113, Ministère,AMER, et les chanteurs FABE et SALIF.LA RUMEUR Mais que se passe t’il aujourd’hui maintenant que les juifs sont les cibles privilégiées.

Nous sommes en droit de nous in-terroger sur les causes essentielles de cet antisémitisme qui tue nos enfants,attaque nos rabbins,brûle nos écoles et nos synagogues,qui trouve sa source dans une libération de la parole, ni censurée ni réprimée.

Elle contrevient pourtant à nos lois.Certes nous sommes en démocratie,mais peut-on tout dire ou tout laisser dire en démocratie,surtout quand on en connaît les consé-quences dramatiques ? Twitter qui refuse de modérer les messages antijuifs,propalestiniens donc anti israelines le groupe de chanson tou-lousain Zebda qui chante pour Gaza , Plantu qui caricature un fait margi-nal de la société religieuse israelienne

pour en faire un fait politique propa-lestinien.

Les journaux télévisés qui annoncent que l’auteur du film anti islam qui dé-chaine les foules musulmanes tant en Europe que dans les pays arabes,n’est autre qu’un juif israélien Quand bien même ils se sont rétractés,le mal était fait, et plusieurs jours après,Patrick Le Hyaric député européen,directeur du quotidien communiste,prononçant son discours de clôture à la Fête de l’Humanité, accuse publiquement « un extrémiste israélien » d’être l’au-teur de ce brulot.Des manifestants qui scandent des appels au meurtre de juifs dans les rue de notre capitale.

Le BNVCA utilisant tous les moyens que lui offre la loi,a poursuivi en justice et souvent avec succès,un grand nombre de délinquants dont Dieudonné,Achamlane (Forsane Alizza) Hessel,etc, Le Mal est pro-fond. Mettant en pratique la maxime selon laquelle « La religion est l’opium du peuple » ;’islam radical,le salafisme,ont intoxiqué les musul-mans.Le Président de la République, le Ministre de l’Intérieur l’admettent : le danger vient aussi de l’intérieur.

Lors de la réunion à l’Elysée à la-quelle je participais,j’ai pu appré-cier leur prise de conscience, leur détermination à lutter contre l’isla-mo-terrorisme antijuif,alimenté par la propagande antiisraelienne selon laquelle « les juifs tuent les enfants palestiniens » La liberté,la sécurité,la dignité,la vie des citoyens juifs fran-çais seront assurés lorsque ceux qui abusent de la liberté d’expression seront réprimés, et leurs réseaux éra-diqués, par tous les moyens que la Constitution met à la disposition de la démocratie,y compris en décrétant si nécessaire,pour un durée déterminée l’Etat d’Urgence qui donne aux auto-rités des pouvoirs exceptionnels.Par Sammy Ghozlan

Liberté d expression et sécurité des juifs

« Antisémitisme : le retour des vieux démons ? était le sujet de l’émission Ça vous regarde, diffu-sée sur La Chaîne Parlementaire (LCP), laquelle recevait, entre autres invités, l’ancienne porte-pa-role des Indigènes de la République Houria Bouteldja.par:Victor Perez

Si la forme pouvait faire illusion quant à sa participation à ce combat, le fond n’a pu tromper ceux qui connaissent les maniements de langage de tels individus. Un verbe qui n’a comme objectif que celui d’amener le télés-pectateur à accuser le Juif, toujours le Juif, rien que le Juif. Sa première intervention fut pour dénoncer les « tensions, hostilités et les haines inter-communautaires » dues, entre autres, à « la création de l’état d’Israël ».

Chacun, évidemment, se questionne-ra quant à la part de responsabilité de la communauté juive française dans la croissance de l’antagonisme « in-tercommunautaire ». Si des femmes, hommes et enfants juifs, sans parler de leurs lieux de cultes et/ou com-merciaux sont de plus en plus pris à partie par des musulmans au nom de leur sympathie pour l’Etat d’Israël, le contraire n’a jamais encore été démontré.

Ce qui ne gène guère ‘’l’indigène’’ Bouteldja pour le certifier. L’alléga-tion suivante fut de soutenir que pour lutter contre l’antisémitisme, « il faut lutter contre le Sionisme, cette idéo-logie qui lie le sort de tous les juifs à Israël qui est un pays colonial, raciste et qui commet des crimes de guerre ».

Ainsi sont innocentés d’avance tous ceux qui s’en prennent aux Sionistes, vrais ou supposés, et qui permettront, ‘’au nom des droits de l’homme’’,

la chute de ce pays ‘’maléfique’’. Un pays où la Cour de Justice punit toutes formes de racisme, qui a été innocenté de l’accusation de crimes de guerre par Richard Goldstone lui-même et qui gère un territoire disputé et non occupé selon le rapport d’un ancien juge de la Haute Cour de Jus-tice.Des charges sans fondement mais qui permettent d’accuser ceux qui sou-tiennent de près ou de loin le pays qui serait leur seul refuge dans le cas, de plus en plus vraisemblable, d’une multiplication d’indigènes antisé-mites à l’image d’Houria Bouteldja. Son troisième point fut son refus que l’on désigne les quartiers populaires comme le « terreau de l’antisémitisme », malgré les rapports de police et de justice assurant, tous, le contraire.

Des quartiers qui sont, selon son avis, « les premières victimes du racisme en France », qui « subissent un ra-cisme structurel » mais dans lesquels, cependant, nul n’est assassiné ni agressé corporellement comme l’est actuellement la communauté juive française.

Sa dernière intervention fut de condamner la France pour soin aide à la création de l’Etat d’Israël : « C’est dommage que la France ait participé à la création de l’Etat d’Israël et de les faire partir (les Juifs) en Israël » Toute à sa damnation perpétuelle de l’Etat juif, elle ne s’est guère rendue compte avoir reconnu, par ces mots, que le peuple juif n’a pas les mêmes droits que tous les autres peuples de la planète.A savoir, celui de s’autodéterminer librement sur sa terre ancestrale. Si l’émission Ça vous regarde avait voulu exposer à ses téléspectateurs ce qu’est le démon de l’antisémitisme, avoir invité Houria Bouteldja fut un coup de maître. Le hic, est que cette chaîne télévisuelle commune à l’As-semblée nationale et au Sénat n’est guère au faîte de ce combat. Donner la parole à une personne se revendi-quant d’emblée antisioniste c’est faire le jeu de ce courant nauséeux systé-matiquement hostile au peuple juif, seul objet de leur ligne de mire.

Publié par Victor PEREZ

Le démon antisémite Houria Bouteldja

15L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 31 Octobre 2012

Voici quelques semaines, une chaîne de télévision française offrait aux téléspectateurs un re-portage sur le Qatar. On en tirait aisément l’impression que c’était un merveilleux pays, ouvert et dy-namique, où, grâce à l’argent des matières premières énergétiques, un monarque éclairé procurait bonheur et prospérité à ses sujets : chaque qatari bénéficiait, était-il dit, de revenus élevés, d’une éduca-tion de haute qualité, de ce qu’il y avait de meilleur sur terre.

Le pays prospérait, anticipait, consti-tuait un exemple pour tout le monde arabe. Aucune pauvreté ne semblait marquer les rues. Aucun problème de liberté de parole ne semblait exister.

La chaîne Al Djazira, propriété de la famille régnante était décrite comme « l’équivalent musulman de CNN ». Le Qatar, était-il ajouté, investissait désormais dans le sport et voulait le plus grand bien à la France. Il était propriétaire d’équipes de football et d’une nouvelle chaîne sportive.

Pas un mot n’était dit sur ces habitants du Qatar n’ayant pas la nationalité qatari qui se livrent à toutes les basses tâches de production, d’échange et de services, et qui vivent avec un salaire misérable : ces gens représentent les trois quarts de la population. Pas un mot ne décrivait le Qatar comme ce qu’il est : une société de caste où les citoyens à part entière forment une caste supérieure, et où des non

citoyens forment une vaste couche inférieure placée dans une position de servitude , corvéable à merci.

Pas un mot ne décrivait non plus le fait que le Qatar est une monarchie absolue ou le système de kafala, qui implique que tout travailleur subal-terne au Qatar doit avoir un « sponsor » qui garde son passeport et qui, de-puis là, a tout pouvoir de décision sur les activités de la personne concernée dans le pays, y compris sa possibi-lité ou non de traverser les frontières. Pas un mot ne décrivait l’activité réelle d’al Djazira, qui n’est pas une chaîne d’information à proprement parler, mais une chaîne destinée à transmettre une « vision islamique du monde » à ses spectateurs.

Le rôle dans la chaîne, de Youssef Al Qaradawi, principal prêcheur des Frères musulmans, n’était pas évo-qué, ou très vite, en une phrase, alors que les émissions de ce personnage sont regardées par des millions de Musulmans dans le monde arabe, en Asie, mais aussi en Europe, et dis-tillent un esprit de djihad et de haine antisémite.

Ce reportage avait des allures de pro-pagande, et l’explication résidait sans aucun doute dans les liens de plus en plus étroits noués par la France avec le Qatar. Ces liens, on le sait, ne se limitent pas à l’achat par le Qatar de l’équipe de football Paris Saint Ger-main ou à l’acquisition d’immeubles, d’hôtels, de palaces et d’entreprises.

Ils ont des dimensions militaires : l’intervention de l’armée française dans la guerre contre le régime Kad-hafi en Libye a été très largement financée par le Qatar. Ils peuvent avoir une dimension « sociale » : par le biais des investissements effectués dans de multiples banlieues dites « sensibles » qui sont aussi, le plus sou-vent, des banlieues musulmanes.

Un groupe d’amitié France-Qatar a vu le jour à l’Assemblée nationale : il compte quarante neuf membres à ce jour et a des allures de lobby. Ces liens ne poseraient pas de problème en soi si le Qatar n’était pas un pays musulman autocratique assurant la promotion d’un islam radical. Mais le Qatar est précisément cela : un pays musulman autocratique qui promeut l’islam radical.

C’est même, si l’on regarde la logique d’ensemble de l’action du Qatar, au delà de la Libye, dans toute l’Afrique du Nord et dans tout le Proche-Orient, un pays qui œuvre pour reconstituer l’unité du monde sunnite et pour que cette unité retrouvée aux allures de califat soit dominée par le groupe dont Youssef al Qaradawi est le prin-cipal prêcheur.

Un califat dominé par les Frères musulmans signifierait un califat islamiste, imprégné non seulement d’une lecture radicale de l’islam, mais d’éléments totalitaires venus directement du nazisme et du fas-cisme, doctrines dont le fondateur de la confrérie Hassan Al Banna s’est

très explicitement inspiré. La France entretient des liaisons très douteuses.

On ne peut prétendre lutter contre l’islam radical et contre l’antisémi-tisme et faire en parallèle comme si ces liaisons n’existaient pas ou n’avaient pas d’importance. Après avoir subventionné Mohamed Morsi et la transformation de l’Egypte en un régime aux allures totalitaires, l’émir du Qatar vient de se rendre à Gaza où il a été accueilli par les dirigeants du Hamas.

Le Qatar va financer des installations diverses à Gaza, et ce financement était l’objet officiel de la visite, mais celle-ci avait aussi une dimension politique : le Qatar soutient une orga-nisation djihadiste anti-israélienne aux intentions explicitement génoci-daires. A peine l’émir avait-il quitté Gaza que le Hamas montrait qu’il avait reçu le message en faisant tirer une pluie de roquettes sur le Sud d’Is-raël. Oui, vraiment, la France entre-tient des liaisons très douteuses.

On ne peut prétendre lutter contre l’islam radical et contre l’antisémi-tisme et on ne peut se prétendre l’ami d’Israël, et faire comme si des liaisons avec un ami d’une organisation telle que le Hamas n’avaient pas de consé-quences et pas de signification.

© Guy Millière

Les liaisons douteuses de la France avec le Qatar, ami des Frères musulmans et du Hamas

16L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 31 Octobre 2012

Les autorités égyptiennes ont confisqué près de 1,7 million de documents prouvant la propriété juive de différentes terres et biens au Caire, dans ce que le quotidien égyptien Al-Ahram appelle « le cas le plus dangereux de violation de la sécurité dans l’histoire de l’Egypte. » En d’autres termes : les biens des Juifs viennent une fois de plus d’être spoliés, comme en Europe lors de la Shoah !

Les documents ont été trouvés dans 13 grandes caisses, prêtes à être expé-diées vers Israël avec une escale en Jordanie, ont rapporté dimanche les médias égyptiens. Elaph, un site de nouvelles saoudiens, a indiqué que la police égyptienne a été avisée que les paquets étaient gardés par une société privée du Caire. En arrivant sur les lieux, la police a trouvé plus de 1,7

million de documents datant du 19e siècle, traitant de la propriété des actifs juifs au Caire. Les documents, selon la source sécuritaire, pèsent plus de deux tonnes.

Des enquêtes préliminaires ont révélé que les documents devaient être uti-lisées dans un procès portant sur des biens juifs perdus ou volés en Egypte depuis la révolution de 1952. Selon Elaph, le président égyptien Moham-med Morsi suit personnellement l’affaire. Les documents auraient été volés le 16 décembre 2011, auprès d’une institution de recherche du Caire, l’Institut d’Égypte, lors des émeutes qui ont éclaté suite du ren-versement de Moubarak. Selon Al-Ahram, un membre anonyme du Parti de Moubarak a été impliqué dans la contrebande des documents hors du pays, au service d’une femme juive

française.

Un autre homme impliqué par Al-Ahram est un homme d’affaires juif libanais du nom de Robert Khalil Sarsaq. La source d’Elaph a affirmé que les deux sont soupçonnés d’avoir des liens avec le Mossad. La source a noté que certains des documents, des titres de propriété juifs dans les banques, les entreprises et l’immo-bilier, remontent à 1863. Les docu-ments sont actuellement détenus par le procureur général d’Egypte.

Danny Ayalon, vice-ministre des Affaires étrangères israélien, a ré-cemment lancé une campagne encou-rageant les réfugiés juifs des pays arabes à se manifester et à témoigner des circonstances qui les ont conduits à fuir leur pays d’origine. La commu-nauté juive égyptienne comptait près de 75 000 personnes à la création d’Israël en 1948.

En 1957, seulement quelques milliers de Juifs vivaient encore dans le pays, la plupart fuyant sous la pression arabe, selon les témoignages contem-porains. En 2009, le gouvernement de Benjamin Netanyahu a créé un conseil consultatif national pour examiner les revendications juives de biens perdus dans les pays arabes, mais le conseil a été déplacé du ministère de la Justice au ministère des Affaires des retraites et rien n’a été fait depuis.

Niso Amzar

Des millions d’actes de propriété de Juifs ayant fui l’Egypte volés par le gouvernement du Caire

L’armée israélienne a largué plu-sieurs tonnes de tracts sur Gaza, avertissant les civils de ce territoire qu’ils n’ont à rien à faire dans une certaine zone et que s’ils y allaient quand même, ils pourraient être visés par l’armée israélienne. En l’occurrence, Israël prévient Gaza que se rendre à côté de la frontière avec Israël (dans un périmètre de 300 mètres), là ou sont lancé les ro-quettes sur les villes du ud d’Israël,

se fera aux risques et périls de celui qui enfreindra ce conseil.

Les prospectus, répartis de Rafah et Deir al Balah, invite également les civils à rester loin des lance-ro-quettes et des terroristes. Les tracts expliquent que les groupes comme le Hamas et le Jihad Islamique consti-tuent des menaces pour la vie des gens, de leurs familles, leurs enfants et leur biens. Malgré la demande du Hamas de ne pas publier ce tract « pour ne pas faire le jeu des sionistes », les médias arabes le font sans ver-gogne depuis ce matin. De la même manière, le Hamas a tenté de récu-pérer un maximum de tracts pour les brûler avant qu’ils n’arrivent dans les mains des civils.

Charles Rubin

Israël largue des tonnes de… prospectus sécuritaires sur Gaza !

Après l’annonce fait par la compa-gnie « Strauss » d’augmenter les prix de ses produits laitiers, c’est la coopérative « Tenouva » qui a annoncé en faire de même avec une hausse moyenne de 3,5% dès le mois de novembre, à l’exception toutefois du fameux « Cottage ». Par ailleurs, les prix des produits des filiales de « Tenouva » subiront des hausses moyennes de 4,6%.Explication des fabricants : la hausse du prix des matières premières et des coûts de fabrication. Les associations de consommateurs ont fait part de leur indignation face « à cette nou-velle marque de mépris envers les consommateurs ».

Produits laitiers : la hausse des prix se poursuit (Israël Hayom)

Le gouvernement a approuvé ce di-manche le plan de fortification des collectivités du sud malgré le fait que le budget 2013 doit encore être approuvé. Le vote a été unanime. Le plan, promu le premier ministre Benyamin Netanyahou, veillera à la protection de 1700 foyers et ins-titutions situés de 4 à 7 kilomètres de la bande de Gaza. Il est estimé à 270 millions de shekels (environ 54 millions d’euros).

Les communautés du sud ont subi des lourds tirs de roquettes la semaine dernière, plus de 75 projectiles ont été tirés sur la zone pour la seule jour-née de mercredi. Cependant, sans un budget, l’approbation du gouverne-ment est seulement de principe.

Le financement du plan de fortifica-tion est destiné à être fourni par les ministères de la défense, des finances et du logement, ainsi que par l’agence juive. Environ 77 millions de she-kels (environ 15 millions d’euros) ne viendront pas du ministère de la

défense, et seront affecté sur une période de trois ans. Le ministère de la défense a déclaré que le projet de plan a été présenté jeudi et que «au cours des prochains jours les discus-sions auront lieu quant à ses possibi-lités de financement.» «Le ministère de la défense soutient le plan et faisait partie de sa formulation. Nous allons continuer à promouvoir sa mise en œuvre rapide.»

Des sources de la défense ont ajouté que le vote de dimanche a pour but de faire pression pour la mise en œuvre du plan le plus vite possible. Le plan a été présenté au gouvernement il y a 18 mois, avec des recommanda-tions du ministère de la défense pour quelles collectivités ont besoin d’être fortifiées contre les tirs de roquettes des terroristes arabes de Gaza. Beau-coup d’habitants de la région ont critiqué la décision de Netanyahou de pousser le plan de fortification à ce moment, trois mois avant les élec-tions, le qualifiant de «stratagème de campagne».

Le cabinet approuve un plan de fortification du sud d’Israël

18L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 31 Octobre 2012

L’annonce spectaculaire de l’union entre le Likoud et Israël Beitenou était en discussion depuis un an, a déclaré vendredi le ministre des affaires étrangères Avigdor Lie-berman. «Les discussion au sujet d’une union ont commencé il y a un an,» a-t-il dit lors d’une conférence de presse vendredi après-midi. «Une décision finale a été prise il y a près de deux mois.»

«L’union crée une nouvelle réalité,» a-t-il ajouté. «Nous avons travaillé coude à coude pendant quatre ans, ces deux partis ont été le refuge d’un lea-dership stable ces dernières années. Il y a une dynamique naturelle,» a-t-il

ajouté. «Nous devons nous éloigner de la réalité de nombreux partis,» a déclaré Lieberman. «

Apparemment, nous ne parviendrons jamais à deux partis, comme aux Etats-Unis, mais nous devons garan-tir la stabilité et la capacité de gou-verner. Notre course ensemble crée indéniablement une nouvelle réalité et j’espère qu’il est clair pour tout le monde qu’il n’y a pas d’autre alterna-tive.» «Tout le monde comprend qu’il est beaucoup plus facile, et mieux, de gérer le pays avec des grands partis et non des fragments de paris ayant une durée de vie d’un seul terme et aucune idéologie,» a-t-il poursuivi.

La gauche politique a critiqué la fu-sion entre les deux partis. Le député Meretz (extrême gauche) Zahava Galon est même allé jusqu’à dire que cela renforcerait le «fascisme». Le premier sondage réalisé après la fu-sion surprise a constaté que le chan-gement n’a pas renforcé la droite de manière significative.

Le mélange Likoud – Israël Beite-nou obtiendrait 33 sièges, plus que le Likoud devait précédemment obte-nir, mais moins que les deux partis auraient obtenu si ils s’étaient pré-senté séparément. L’équilibre entre la droite et la gauche n’a donc pas été modifié, restant à peu près le même.

Lieberman : «les pourparlers pour l’union ont commencé il y a un an»

Les candidats républicains et dé-mocrates à la présidentielle amé-ricaine déclarent en permanence qu’en tant que plus important allié des Etats-Unis au Proche Orient, ils ont à cœur les meilleurs intérêts pour Israël.

Et alors que la population juive amé-ricaine et les groupes pro-israéliens comme l’AIPAC semblent penser que Barack Hussein Obama est mieux équipé pour gérer la situation au Proche Orient, il semble que les israé-liens pensent que contraire. Un récent sondage réalisé par l’Institut d’Israël sur la Démocratie révèle que la majo-rité des israéliens, considérant ce qui est mieux pour Israël et ses intérêts, aimerait voir Mitt Romney devenir le prochain président des Etats-Unis

. 57% des personnes interrogées ont déclaré qu’ils pensent que le candidat républicain serait le meilleur leader pour s’occuper des affaires étran-gères au Proche Orient et soutenir les intérêts d’Israël, alors que seulement 22% pensent qu’encore quatre années de l’administration Obama serait bé-néfique.

Ces résultats reflètent la sensibilité politique actuelle de la population israélienne, qui se définit comme 55,5% à droite, 31% au centre et 17% à gauche. Par ailleurs, dans la communauté arabe israélienne, les résultats du sondage sont presque exactement à l’opposé, 45% pensant qu’Obama est meilleur pour les inté-rêts d’Israël tandis que 17% pensent que l’administration Romney serait meilleure pour Israël.

57% des israéliens espèrent Romney à la Maison Blanche