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i o nn é e p o u r l a d a n s e

ven. 10 oct. 19h 30

odile azagury« les princesses »

déplacement

theatre et auditorium de poitiers

dim. 19 oct. 15h 00

c.c.n. de nantes

claude brumachon« texane »

déplacement

pole culturel de la megisserie - saint junien

mar. 9 dec. 20h 30

mer. 10 dec. 20h 30

compagnie accrorap

kader attou« petites histoires.com »

centre culturel jean moulin

lun. 12 jan. 20h 30

compagnie farid’o

farid ounchiouene« saleté »

centre culturel jean moulin

ven. 30 jan. 20h 30

c.c.n-ballet de lorraine

paulo ribeiro« white feeling »paul-andré fortier

« spirale »centre culturel jean moulin

mer. 4 fév. 20h 30

jeu. 5 fév. 18h 30

ven. 6 fév. 20h 30

compagnie ariadone

carlotta ikeda« uchuu-cabaret »

theatre de l’union

mar. 17 fév. 20h 30

compagnie 3.14

valeria apicella« adage démesuré »

centre culturel jean gagnant

jeu. 19 mars 20h 30

nacera belaza« le cri »

centre culturel jean gagnant

ven. 27 mars sam. 28 mars dim. 29 mars

multi Fa7

festival hip-hopérationnel

centre culturel jean moulin

mar. 7 avr. 20h 30

mer. 8 avr. 20h 30

caterina sagna « basso ostinato »centre culturel jean gagnant

mar. 14 avr. 20 h 30

c.c.n. de montpellier

languedoc-roussillon

mathilde monnier« tempo 76»

opera theatre

mar. 12 mai 9h 45 * et 14h 30 *

mer. 13 mai 15h 00

jeu. 14 mai 9h 45 * et 14h 30 *

compagnie T.P.O.

francesco gandi / davide venturini« jardin peint »

centre culturel jean gagnant

* séances scolaires

itinéraires chorégraphiquesest le trait d’union naturelentre deux biennales danse émoi.

itinéraires chorégraphiques 2008/20099e édition,c’est un fil d’Ariane qui nous conduit au cœur de la danse contemporaine, une danse d’auteur, riche de créativité, d’inventivité, de croisement et de rencontre avec les autres arts : musique, théâtre ou vidéo.

kader attou, farid ounchiouene, paulo ribeiro, paul-andré fortier, carlotta ikeda, valeria apicella, nacera belaza, caterina sagna, mathilde monnier, et francesco gandi / davide venturinisont invités cette saison.

Certains chorégraphes sont présents pour la première fois à Limoges, pour d’autres se prolongent notre fidélité et notre accompagnement artistique.

ahmed khemis et mickaël le meront été les hôtes des 25es Francophonies en Limousin et nous avons participé à leur venue à Limoges.

En octobre, deux déplacements ont conduit le public à poitiers et saint junien pour

odile azagury / les princesses et claude brumachon / texane

En mars, nous apportons notre soutien au

festival hip-hopérationnel

Des stages, ateliers, rencontres, projections-cinéma complètent ce programme.

Un abonnement à tarif préférentiel pour 5, 6, 7 ou 8 spectacles vous est proposé.

Renseignements et locationCentre Culturel Jean Gagnant tél. 05 55 45 94 00

c al e n

d r i e r

farid ounchiouenecompagnie far id ’o

c e n t r e c u l t u r e l j e a n m o u l i n

lundi 12 janvier 20 h 30 n

saleté

Texte dérangeant de Robert Schneider, Saleté, raconte l’histoire de Sad, jeune irakien immigré

en Allemagne et vendeur de roses.

Farid’o l’interprète librement, confiant à quatre exceptionnels danseurs de hip-hop l’incarnation du

personnage. Le récit de cette âme solitaire en ville inconnue gonfle alors sous le souffle de la danse

- fusion étonnante entre hip hop et acrobatie circassienne et - d’une diction proche du slam.

Tour de parole et tour de danse, l’échange entre les danseurs fait rebondir magnifiquement le texte qui trace frontière entre tolérance et compréhension.Ainsi les corps puissants des danseurs disent cette crainte de l’immigré, mêlée d’accusation, de « respirer un air trop rare. »

La voix a du corps, le corps a de la voix, le texte danse, agite, rompt, hache et scande l’air.

• d’après Robert Schneider• chorégraphie et mise en scène Farid Ounchiouene• interprétation et danse Farid Ounchiouene, Ludovic Tronché,

Jérémy Orville, Alexandre Blondel• musique originale et régie son Romuald Houziaux (Omur.H)• lumière François Cordonnier

Durée 1 h

En limousin : 13 janvier - théâtre des sept collines, tulle, tél. 05 55 26 99 10 14 janvier - centre culturel j.p. fabrègue, st-yrieix-la-perche, tél. 05 55 08 88 7815 janvier - la mégisserie, st-junien, tél. 05 55 02 87 98

kader attoucompagnie accrorap

c e n t r e c u l t u r e l j e a n m o u l i n

mardi 9 décembre 20 h 30 n

mercredi 10 décembre 20 h 30 n

Une fable hip hop légère et poétique.

Dans Petites histoires.com, composé de saynètes et de petites pièces plus

abstraites, Kader Attou raconte des histoires puisées dans les souvenirs

de ses danseurs et dans ceux de sa propre enfance : des souvenirs qui font la part belle au rêve, à l’émotion et à la poésie.

Le spectacle est léger comme la danse de la plume qui l’introduit… Ici, tout est

doux et tendre. Les personnages semblent comme délestés du côté de Charlie

Chaplin et de Folon. La dérision est dans l’air avec une petite pointe de nostalgie,

des airs d’accordéon qui font valser les frontières et la danse, libre, légère,

humaine et universelle.

petites histoires.com ­­• chorégraphie Kader Attou­­• interprètes Hichem Serir Abdallah, Thö Anothai,

Pierre Bolo, Brahim Bouchelaghem, Kader Attou­­• scénographie Guillaume de Baudreuil­­• création lumière Frabrice Crouzet­­• costumes Nadia Genez­­• collaboration théâtrale Mohamed Guellati

Durée 1 h 15

En limousin : 25 novembre - théâtre des sept collines, tulle, tél. 05 55 26 99 10 26 novembre - centre culturel j.p. fabrègue,

st-yrieix-la-perche, tél. 05 55 08 88 7828 et 29 novembre - la mégisserie, st-junien, tél. 05 55 02 87 98

Présenté par les Centres Culturels.Coproduction Culture Commune - Scène Nationale du Bassin Minier du Pas-de-Calais ; M.A.C. de Sallaumines ; La Maison Folie de Wazemmes (Lille) ; L’Escapade (Hénin Beaumont) ; Initiatives d’Artistes en Danse Urbaine (Fondation de France - Parc de La Villette - Fonds Social Européen)En savoir plus www.farido.net

Photo andrasfenris.com

Photo Yves Petit

Présenté par les Centres Culturels.Production Compagnie Accrorap, Théâtre de Suresnes Jean Vilar, Espace Planoise - Scène Nationale de Besançon, La Coursive - Scène Nationale de la Rochelle, CNDC d’Angers, Centre Chorégraphique National de Franche-Comté à Belfort, CNCDC de Châteauvallon. En savoir plus www.accrorap.com

carlotta ikedacompagnie ar iadone

centre chorégraphique nat ional - ba l let de lorra ine

uchuu-cabaret

• chorégraphie Carlotta Ikeda• interprètes Carlotta Ikeda, Mathilde Lapostolle,

Olia Lydaki, Emanuela Nelli, Valérie Pujol, Anna Ventura, Mélissa Von Vépy

• musique Kamal Hamadache, Alain Mahé• création lumière Florent Blanchon• costumes Régine Maruejouls• sculptures / costumes Jean-François Buisson• masque Joseph Lapostolle• régie générale Laurent Rieuf

Durée 1 h 30

t h é â t r e d e l ’ u n i o n

mercredi 4 février 20 h 30 n

jeudi 5 février 18 h 30 n

vendredi 6 février 20 h 30 n

Présenté par le Théâtre de l’Union et les Centres Culturels, avec le soutien de l’Office Artistique de la Région Aquitaine.Coproducteurs Hivernales d’Avignon / CDC Provence Alpes Côte d’Azur, le Cuvier / CDC d’Aquitaine, Oara / Office Artistique de la Région Aquitaine, CCN / Ballet Biarritz / Accueil studio 2008, IDDAC / Institut Départemental de Développement Artistique et Culturel, Conseil Général des Landes, Compagnie AriadoneEn savoir plus www.ariadone.fr

« Qu’il peut être drôle, le butô !

Enfin, dans Uchuu-cabaret, nous sommes peut-être plus proches d’une revue surréaliste

aux couleurs pastel. Seule Japonaise sur le plateau, Carlotta Ikeda ouvre le bal, drapée d’or et jouant

avec une boule. Nous voilà d’emblée dans un univers de conte de fées, sans lieu ni époque.

Moins symbolistes que la chorégraphe, les six danseuses qui l’accompagnent sont

les interprètes idéales d’un univers dadaïste, débridé et fantaisiste. Non, ce cabaret ne nous éloigne

pas du butô. Il l’ouvre sur ses origines qui incluent l’expressionnisme, l’ouverture politique

et les cabarets érotiques…

…. Dadaïstes à souhait, les quinze tableaux époustouflants sont un hommage à l’imagination.

Thomas Hahn - danser

Photo Lot

Présenté par les Centres Culturels.En savoir plus www.ballet-de-lorraine.com

c e n t r e c u l t u r e l j e a n m o u l i n

vendredi 30 janvier 20 h 30 n

Photo DR

paulo ribeiropaul-andré fortier

En s’appuyant sur un groupe de danseurs de très haut niveau, Didier Deschamps à la tête du CCN –

Ballet de Lorraine depuis 2000, a mis en place un projet original qui s’attache au répertoire.

Il invite les plus grands chorégraphes de notre époque à créer des pièces pour cette troupe,

dont la réputation a largement dépassé les limites de l’hexagone.

Pour sa deuxième venue à Limoges, le Ballet de Lorraine propose un programme exceptionnel

composé de 2 pièces signées du Portugais, Paul Ribeiro et du Québécois, Paul-André Fortier.

White Feeling. « Plaisir et douleur de la chair, élévation et humour, ironie et banalité, les 11 danseurs hommes de cette pièce

du grand chorégraphe portugais, Paulo Ribeiro, font corps avec la musique

des 4 accordéons du Danças Ocultas. »

Spirale, dernière création pour 12 danseurs de Paul-André Fortier, figure incontournable

de la danse au Québec depuis 20 ans, trouve sa source dans le couple urbain, le couple branché

sur la pulsation sourde et effrénée des villes. Sur une musique originale, jouée en direct,

de et par Bruno Billaudeau, cette pièce va explorer les côtés sombres et lumineux

de la vie à deux dans la trépidation urbaine.

white feeling pièce pour 11 danseurs

• chorégraphie Paulo Ribeiro• assistant Carlos Desousa• musique originale Danças Ocultas• interprétation et composition Artur Fernandes,

Filipe Ricardo, Filipe Cal, Francisco Silva• ingénieur du son Nuno Meira

spirale création 2008 pièce pour 11 danseurs

• chorégraphie Paul-André Fortier• création musicale et interprétation

Bruno Billaudeau• avec la participation de Philippe Humbert• installation sonore et scénographique

Bruno Billaudeau et Paul-André Fortier• lumières John Munro

Durée 2 h avec entracte

En limousin : 28 janvier - théâtre jean lurçat, aubusson, tél. 05 55 83 09 09

c e n t r e c u l t u r e l j e a n g a g n a n t

jeudi 19 mars 20 h 30 n

Présenté par les Centres Culturels.Coproduction Rencontres Chorégraphiques Internationales de la Seine-Saint-Denis, Le Forum – scène conventionnée de Blanc-Mesnil, Centre de Développement Chorégraphique/ Biennale nationale de danse du Val-de-Marne (dans le cadre de l’accueil studio), Centre Chorégraphique National de Caen-Basse Normandie (dans le cadre de l’accueil studio) – Ministère de la Culture et de la Communication, Centre Chorégraphique National de Créteil – Val-de-Marne.En savoir plus www.cie-nacerabelaza.com

le cri

• chorégraphie Nacera Belaza• interprètes Dalila Belaza, Nacera Belaza• voix Larbi Bestam• lumière Eric Soyer• régie lumière Christophe Renaud• conception vidéo et bande son Nacera Belaza• images Corinne Darde• montage son Nicolas Perrin

Durée 1 h

« Le duo proposé par Nacera Belaza (France-Algérie) est d’une beauté brutale… Le Cri nous rappelle

des pièces définitives et sans concession qui ont marqué l’histoire de la danse contemporaine, comme celle à bout de souffle d’Anne Teresa de Keersmaeker,

Fase (1982). Etrange cri que celui qui surgit de deux sœurs réunies sur la scène (Nacera et Dalila).

Dans un costume qui évoque précisément les prisons de femmes, elles ne bougent pas d’un poil.

Ancrées au sol, sans déplacement dans l’espace, elles n’en dansent pas moins. Buste et bras se libèrent. « Le cri, dit Nacera Belaza, c’est lorsque l’ancrage

en cède pas. » Et rien ne risque de céder dans cette pièce impressionnante d’honnêteté,

d’acharnement, de pur plaisir…… Nacera Belaza tranche dans l’espace. Le geste, la parole sont incisifs. Deux corps distincts pour

un même trajet, ou peut-être l’inverse, deux trajets différents pour des corps indistincts. Puissant. »

Marie-Christine Vernay - Libération

Le Cri vient de se voir décerner le « prix de la révélation chorégraphique de l’année 2008 »

par le Syndicat Professionnel de la Critique.

Photo Laurent Philippe

nacera belaza

Présenté par les Centres Culturels.Production Maison de la Culture de Bourges / Scène Nationale et Compagnie 3.14Coproduction Théâtre du Château / EuAvec le soutien de la Drac Ile-de-France, de la compagnie Paco Decina, du Centre Chorégraphique National – Ballet Biarritz / Thierry Malandain, du Théâtre de la Cité Internationale et des studios Micadanses.Remerciements au Théâtre le Colombier / BagnoletSpectacle produit avec le soutien de la région Centre

c e n t r e c u l t u r e l j e a n g a g n a n t

mardi 17 février 20 h 30 n

Qui a vu danser Valeria Apicella, tout comme Noriko Matsuyama,

chez Paco Decina – Indigo – ne peuvent les avoir oubliées. Valeria fait partie

de ces danseurs qui se sont suffisamment investis dans le processus de création

pour avoir l’envie et la capacité de creuser leur propre sillon.

Totalement végétale, tant par son décor que par la gestuelle, Adage démesuré

est un élan d’une douceur et d’une intensité très mesurées.

Dans leurs robes tubulaires, les deux danseuses installent un mouvement lent,

contrôlé, presque apaisant. Déployant leurs corps, jaugeant en silence le parcours

d’une jambe ou d’un bras savamment placés, elles jouent de leur féminité, de leur sensualité, de leur gémellité

parfois. Mais ce miroir féminin se heurte à la présence masculine incarnée ici par

Serge Ricci. Même si le contact est doux, son rôle interroge ici le propos de la pièce,

quitte même à le déranger…

Photo Sylvain Duffard

adage démesuré • conception Valeria Apicella• assistant Cyril Béghin• chorégraphie, danse, voix Valeria Apicella,

Noriko Matsuyama, Serge Ricci• création musicale Olivier Demeaux• ondes Martenot Julie Pierrejean• textes Alexandre Costanzo• création lumière Laurent Schneegans• accessoires et costumes Elsa Pavanel et Séverine Thiébault• recherches David Lemoine et Alexandre Costanzo

Durée 1 h

En limousin : 19 février - théâtre des sept collines, tulle, tél. 05 55 26 99 10

compagnie 3 . 14

valeria apicella

caterina sagna

c e n t r e c u l t u r e l j e a n g a g n a n t

mardi 7 avril 20 h 30 n

mercredi 8 avril 20 h 30 n

« Deux hommes à table entament un dialogue qui pourrait être sourd : Basso Ostinato (Basse contrainte en français) va donc jouer sur cette corde-là, une note de tête reprise puis déformée jusqu’à l’absurde. Un troisième danseur vient troubler le fragile équilibre, il chute, perd appui. Et recommence. On connaissait le goût des mots chez Caterina Sagna, - souvenez-vous de « Sorelline » et « Relation Publique » -, on découvre ici son autre penchant pour la construction des situations, un climat dramatique qui devient un savant travail sur les corps.

Basso Ostinato ne cherche pas à plaire - il prend même à froid ! – avec son déluge d’actions manquées, sa grossièreté offerte ou ses paroles comme crachées en scène. Mais il y a une telle intelligence sous-jacente que ce drame, aussi noir que les liquides que l’on verse en cours de spectacle, fascine par sa singularité. Le trio réuni – Alessandro Bernardeschi, Antonio Montanile et Mauro Paccagnella, simplement exceptionnels – habite ces rôles avec une vraie jouissance. La vision de leur passe d’armes, gestes fusionnels sur les musiques de Marais ou Boccherini, vous poursuit bien après leur salut. »Philippe Noiselle - Danser

basso ostinato­­• mise en scène et chorégraphie Caterina Sagna­­• interprètes Alessandro Bernardeschi,

Antonio Montanile, Mauro Paccagnella­­• dramaturgie Roberto Fratini Serafide­­• lumière Philippe Gladieux­­• conseil musical Luca Berni­­• musiques M. Marais, L. Boccherini, S. Landi­­• régie plateau Franck Condat

Durée 65 mn

Photo Caroline Ablain

Présenté par les Centres Culturels et le Théâtre de l’Union.Production : Association Next / Compagnie Caterina SagnaCoproduction : Théâtre de la Bastille (Paris) et le Théâtre de l’Agora – Scène Nationale d’Evry et de l’Essonne dans le cadre des résidences de création soutenues par la Région Ile-de-France ; Théâtre National de Bretagne (Rennes) – Centre Européen de Production Théâtrale et Chorégraphique ; Pôle Sud (Strasbourg) – Scène Conventionnée DanseEn savoir plus www.caterinasagna.org

o p é r a - t h é â t r e

mardi 14 avril 20 h 30 n

Présenté par l’Opéra-Théâtre et les Centres Culturels.Production Festival Montpellier Danse 07, Théâtre de la Ville - Paris, Festival d’Automne - Paris, Culturgest - Lisbonne, Seirischer Herbst - Graz, La Halle aux Grains - Scène Nationale de Blois, Centre Chorégraphique National de Montpellier Languedoc-RoussillonEn savoir plus www.mathildemonnier.com

tempo 76• un spectacle de Mathilde Monnier• interprètes Yoann Demichelis,

Herman Diephuis, Julien Gallée-Ferré, Jung-ae Kim, Natacha Kouznetsova, Maud Le Pladec, I-Fang Lin, Arend Pinoy, Rachid Sayet

• scénographie Annie Tolleter• musique György Ligeti• réalisation sonore Olivier Renouf• lumière Eric Wurtz• costumes Dominique Fabrègue assistée

par Laurence Alquier• conseil Artistique Herman Diephuis• écriture de la partition Enora Rivière

Durée 1 h

Avec Tempo 76, nouvelle pièce fantaisiste et enjouée, créée au Festival Montpellier Danse 2007,

Mathilde Monnier se lance un défi en s’attaquant au sujet très sérieux de l’unisson, pour explorer cette

forme chorégraphique qui fascine et dérange…Sur une belle pelouse qui recouvre le plateau et qui sent bon l’herbe, ce sont neuf danseurs

et danseuses qui évoluent pour dessiner des lignes et des trajectoires vivantes, des placements

et des déplacements dans un espace commun et pour donner à voir un ballet bien réglé, allant

du geste minimal aux danses chorales, où chacun exécute les mêmes pas au même moment…

… Mais le propos de Mathilde Monnier est d’emmener le spectateur ailleurs,

avec beaucoup de fantaisie et de finesse.Alors, subrepticement, tout se met à dérailler un peu,

pour que la danse puisse respirer entre les figures du singulier et du collectif. Car c’est bien sur un

mode critique et jubilatoire, comme l’indique aussi le choix de la musique du compositeur György Ligeti,

que Mathilde Monnier réinterprète l’unisson. Tempo 76, une pièce séduit et impressionne

par sa rigueur et son impertinence joyeuse.Isabelle Danto - Le Figaro

Photo Marc Coudrais

mathilde monniercentre chorégraphique nat ional de montpel l ier

languedoc-rousi l lon

Présenté par les Centres Culturels.Coproduction Metastassio Stabile per la Toscana, Compagnie TPO, Lyric Hammersmith / LondonEn savoir plus www.tpo.it

c e n t r e c u l t u r e l j e a n g a g n a n t

mercredi 13 mai 15 h 00 n

Les couleurs du paysage kurde et les harmonies géométriques du jardin oriental se mêlent

et se répondent dans le jardin imaginé par le peintre Rebwar Saeed.

Dans cet espace projeté, deux danseuses créent des chorégraphies à l’intérieur

des différents paysages.Au cours de ce voyage, le public est invité

à participer et à vivre sur un mode léger et instantané une expérience fondée

sur un rapport tactile avec les images et les sons.

Le tapis de danse devient magique, les couleurs enivrantes ….

De quoi en rester… bouche bée !

le jardin peint• mise en scène Francesco Gandi, Davide Venturini• chorégraphie et danse Carolina Serenella Amoretti

et Stefania Rossetti• images Rebwar Seed• projet graphique et concept Elsa Mersi• musiques, sound design Spartaco Cortesi• projet ccc system Martin Von Gunten• consoles multimedia Saulo d’Isita, Andreas Fröba,

Rossano Monti• costumes Loretta Mugnai • collaboration aux textes Stefania Zampiga

A partir de 4 ansDurée 50 mnséances scolaires du mardi 12 mai au jeudi 14 mai

francesco gandidavide venturini

teatro d i p iazza o d ’occasione

Photo DR

En mars 2008, les Centres Cul ture ls de la V i l le de L imoges - scène convent ionnée pour la danse - apportent leur sout ien au 1 er fest iva l de danse hip-hop mise en p lace par l ’assoc iat ion mult i fa7 .

festival hip-hopérationnelDe la danse au graff en passant par le mix et le rap, toutes les formes d’expression artistique qui composent la culture hip-hop seront présentes. Toutefois, la danse sera à l’honneur durant ces trois jours.

vendredi 27 mars à 20 h 30Trois chorégraphies au programme cette soirée danse dont « Moon dogs » par la compagnie Hervé Koubi et «Clepsydre » par le collectif 6ème Sens.

samedi 28 mars après-midiBattle (break, pop, lock…) avec une scène pro Crews de renommée internationale et une scène amateur (battle, shows).

samedi 28 mars toute la journéeConcours de graff.

dimanche 29 marsStages de danse, graff, mix, rap, animés par les artistes présents sur le festival.

L’association Multi Fa 7 souhaite accentuer au travers de ce festival les valeurs de la culture hip-hop telles que la fraternité, le partage, la solidarité.

Le programme complet du festival paraîtra en janvier 2009.

Présenté par l’association Multi Fa 7 avec le soutien des Centres Culturels .

L’association Multi Fa 7 reçoit le soutien de la Direction de la Jeunesse et des Sports, de la Ville de Limoges (Centres Culturels), du Conseil Général de la Creuse et du Conseil Régional du Limousin.

vendredi 27, samedi 28 et dimanche 29 marscentre culturel jean moulin

1e r f

e s

t i va l d e d a n s e

h i p h o p

v i

d é o d a n s eEn relat ion avec i t inéraires chorégraphiques 2008/2009, la B ib l iothèque Francophone Mult imédia de L imoges propose la découverte par l ’ image de nombreuses p ièces chorégraphiques et chorégraphes .

n Auditorium du Pôle Art (1er étage)

b comme béjart réal isat ion de Marcel Schüpbach Le réalisateur suit Maurice Béjart dans le labyrinthe de la créationd’un nouveau spectacle, un ballet nommé « Lumière ».

samedi 3 janvier / 15 h 00

eldorado / sonntags abschied / angelin preljocaj réal isat ion O l iv ier AssayasUne chorégraphie d’Angelin Preljocaj d’après une pièce de Karlheinz Stockhausen,costume et scénographie Nicole Tran Ba Vang, transposée en images par Olivier Assayas.

mercredi 4 février / 15 h 00

la danse d’abou lagraa réal isat ion de Luc Rio lonPortrait et extraits des ballets d’Abou Lagraa qui mélange danse contemporaine et hip-hop, Orient et Occident.

mercredi 4 mars / 15 h 00

mathilde monnier / portrait réal isat ion de Jean-Michel P louchardPortrait de Mathilde Monnier et de son travail de chorégraphe : au sein de ses projets artistiques et politiques, ses ateliers destinés aux personnes autistes et ses échanges avec l’Afrique.

et la rencontre mathilde monnier réal isat ion de Seydou Boro et Issa TraoréEn 1993, Mathilde Monnier a créé « Pour Antigone » à Brest avec entre autres, des danseurs traditionnels burkinabés. Six ans après, elle revient au Burkina présenter le spectacle pour la première fois et organise un stage.

mercredi 1er avril / 15 h 00

la danse, l’art de la rencontre / dominique hervieu et josé montalvo réal isat ion Dominique HervieuAvec ce film, Dominique Hervieu se mue en passeuse ludique pour nous guider d’un monde à l’autre : le Mali, le Cambodge, la Tunisie, où chorégraphes et danseurs sont sollicités pour créer un duodans un lieu emblématique de leur ville. En nous montrant ces artistes au cœur du processus d’invention, le film interroge la place et la nécessité de la danse dans chacune de ces sociétés.

samedi 2 mai / 15 h 00

dancer’s studio / 4 portraits réal isat ion de Pascal V i l laSidi Larbi Cherkaoui, Rachid Ouramdane, Emio Greco, Shiro Daïmon, 4 chorégraphes contemporains qui partagent avec nous leur passion pour la danse et nous entraînent à la découverte de leur univers.

mercredi 3 juin / 15 h 00

entrée librebibliothèque francophone multimédia

2 5e s f r

a n c o p h o n i e se n

l i mo u s i n

dép l

a ce m

e n t à p o i t i e r s

e t

à s a i n t - j u n i e n

À l ’occasion du 25 e Fest iva l des Francophonies en L imousin , les Centres Cul ture ls de la V i l le de L imoges – scène convent ionnée pour la danse ont apporté leur sout ien et ont part ic ipé à la venue de deux compagnies de danse

ahmed khemisvoyage des poussièresUn solo construit sur un mouvement de balancier entre l’élan, la course déployée vers l’ailleurs et un réflex vers soi.

mickaël le merin vivoSix danseurs, six boîtes, des jeux de lumière. In Vivo, de la compagnie de danse hip-hop : S’poart raconte dans une atmosphère urbaine, électrique et organique l’histoire du groupe, ses doutes, des questionnements, ses recherches.

mercredi 24 septembre / 20 h 30jeudi 25 septembre / 18 h 30centre culturel jean moulin

En octobre 2008, deux déplacements de spectateurs au départ de L imoges ont été organisés pour des spectac les de danse à Poi t iers et à Sa int- Junien .

odile azagury / les princesses« Imaginons un conte de fée !! Puis de vingt princesses, des chorégraphes et des interprètes parmi ceux qui ont marqué la danse contemporaine en France depuis les années 80 – de Carolyn Carlson à Odile Duboc en passant par Dominique Boivin, Jean Gaudin, Nathalie Pernette ou Karine Saporta et Héla Fattoumi etc..., réunis à Poitiers pour un événement artistique unique sous la baguette de la fée, Odile Azagury.

vendredi 10 octobre / 19 h 30théâtre et auditorium de Poitiers

claude brumachon / texaneTexane fait partie des pièces majeures signées Claude Brumachon. Créée en 1988, elle reste au répertoire de la compagnie avec toujours la même force et le même impact sur le public. « Une pièce pour 6 danseurs où l’histoire est suggérée plus que racontée, où la narrativité du geste prend le pas sur la narration anecdotique.

dimanche 19 octobre / 15 hpôle culturel de la mégisserie / saint-junien

r ep è

r e s

Kader Attou,est né dans la banlieue de Lyon de parents immigrés

d’Algérie. Après un parcours scolaire chaotique, il

s’intéresse à l’art du cirque… et très vite prend goût à

l’univers du spectacle.

La danse de Kader tire son originalité et sa

nouveauté de la quête d’identité qui l’anime, une quête

née de tous les déchirements, de tous les chocs, de toutes

les contradictions qui la dynamisent et qu’elle exprime :

l’assimilation et l’exclusion, le savant et le populaire, la

modernité et la tradition, l’Europe et l’Afrique, l’Orient

et l’Occident, la spontanéité et la rigueur… Il fait partie

de ceux qui donnent à la danse contemporaine un autre

vocabulaire, un sens nouveau, une fonction nouvelle.

Il a aujourd’hui plus de 10 spectacles à son actif.

Raconter des histoires, provoquer des rencontres, faire

naître des émotions. Sa danse est généreuse, cherchant

à briser les barrières, à traverser les frontières. Une

danse qui refuse l’étiquette « banlieue » et revendique

le dialogue entre les danses hip hop et les autres formes

de danse.

Après Douar accueilli à Limoges en 2006, Kader

Attou revient avec Petites Histoires.com, une pièce

primée cet été au festival Mimos de Périgueux.

Kader Attou vient d’être nommé à la direction du

Centre Chorégraphique National de la Rochelle. Une très

juste reconnaissance de son talent.

Farid Ounchiouene,découvert en 1994 lors d’une audition à l’initiative

de l’état et de la Région Nord-Pas-de-Calais, remarqué

aux rencontres de danses urbaines au Parc de la

Villette en 1996, il se présente comme un artiste aux

multiples facettes. Etabli dans le Nord, il travaille aux côtés

d’autres chorégraphes hip-hop dont Farid Berki. Désireux de

développer son potentiel, il suit des stages de danse contact,

de mise en scène avec Antonio Vigano, de danse théâtre

avec Julie Stanzak, ainsi que de théâtre avec Pippo Delbono.

Sa rencontre avec Guy Alloucherie sera déterminante dans

son désir de travailler le texte, les mots, la manière pour en

faire corps à danser.

Il crée la Compagnie Farid’o en 2002, basée à Lille.

La volonté de décloisonner les arts et de rassembler

demeure le moteur créatif de Farid Ouchiouene.

Après Syntracks, La nuit avant les Forêts et Etre dans la rue, Saleté est sa quatrième création, elle fait vivre

les mots de Robert Schneider par un maillage magnifique

entre la danse hip-hop et le théâtre.

Paulo Ribeiro,est né à Lisbonne et c’est en France et en Belgique

qui travaille comme danseur avant d’être reconnu comme

chorégraphe. Au Portugal en 1988, il collabore avec la Lisbon

Dance Company et le Ballet Gulbenkian.

Sa carrière de chorégraphe se développe sur le plan

international à partir de 1991 avec des créations pour des

compagnies renommées.

Il fonde la compagnie Paulo Ribeiro en 1995 et développe

plus efficacement sa propre gestuelle. Paulo Ribeiro est

directeur artistique du prestigieux Ballet Gulbenkian de

Lisbonne.

s ta g

e s d e d a n s e

Pour tout renseignement complémentaire : Centre Culturel Jean Gagnant – tél. 05 55 45 94 00

À l’occasion de l’accueil de certains spectacles, des stages de danse à l’attention des pratiquants amateurs sont proposés les week-ends.1 stage est déjà prévu:

Ludovic Tronchésam. 10 et dim. 11 jan.

Centre Culturel Jean Moulin

c ol l é

g ie n

e t l y c é e n à l a d a n s e2 spectacles pour 9 euros3 spectacles pour 13,50 euros4 spectacles pour 18 euros

Vous êtes collégien(ne) ou lycéen(ne) d’un établissement scolaire du limousin,

découvrez la danse !

Pour seulement 9, 13,50 ou 18 euros, vous choisissez 2, 3 ou 4 spectacles parmi les 12 représentations proposées cette saisonpar les Centres Culturels de la Ville de Limoges dans les itinéraires chorégraphiques.Cette opération « collégien et lycéen à la danse » est mise en place par les Centres Culturels Municipaux de Limoges – scène conventionnée pour la danse – en partenariat avec le Rectorat MAEC.

Inscriptions / renseignements : 05 55 45 94 00 / centre culturel jean gagnant / limoges

dép l

a c

e me n t d e s p u b l i c s

A l’initiative des structures culturelles et associations de la région,et dans le cadre des actions de la scène conventionnée pour la danse, des déplacements gratuits en car vous sont proposéspour certains spectacles.

Au départ de Tulle, Brive et Saint Junien, pour « Tempo 76 / Mathilde Monnier ».

Au départ de Brive pour « White Feeling » et « Spiral » / Ballet de Lorraine.

Renseignements et inscriptions auprès des structures culturelles des villes de départ Tulle - Théâtre Les Sept Collines 05 55 26 99 10 Brive - Association « NDS » 05 55 87 08 38 Saint-Junien - La Mégisserie 05 55 02 87 98

Paul-André Fortier,découvre la danse en 1973 alors qu’il est professeur de

littérature et de théâtre.

Décidant de s’y consacrer entièrement, il devient alors

interprète du Groupe Nouvelle Aire d’où est issue toute une

génération de chorégraphes québécois tels que Ginette Laurin,

Edouard Lock, Daniel Léveillé…

Derrière la porte un mur créé en 1978, marque les

débuts d’une carrière de chorégraphe prolifique et intense.

Progressivement, les œuvres de Paul-André Fortier glissent

« du narratif à l’abstrait » laissant « le champ libre à la multiplicité

des interprétations, au jeu libre des sensations des spectateurs ».

Dans les années 2000, Paul-André Fortier intègre la vidéo et la

musique électronique aux performances dansées.

Ses pièces sont diffusées sur les scènes internationales

et les collaborations avec différents créateurs musiciens se

multiplient.

Paul-André Fortier est à présent chorégraphe en résidence

à la Cinquième Salle de la Place des Arts de Montréal.

Carlotta Ikeda,japonaise implantée avec sa compagnie en France,

débute son parcours à Tokyo.

En 1974, elle crée Ariadone, une compagnie

exclusivement féminine. Rencontrant Kô Murobushi, son

travail est dorénavant inspiré par le butô, danse de révolte

inventée au Japon au lendemain d’Hiroshima. Il faudra

attendre 1978 pour que la danseuse Ikeda se produise en

Europe. Dernier Eden, créé à Paris surprend le monde de

la danse : Carlotta Ikeda renouvelle l’art du butô. 1980

est marquée par la création de Zarathoustra, signé avec

Murobushi. Les tournées se multiplient. Lotus Cabaret, Hime, Blackgreywhite sont créés en France. En 1990, elle

présente un duo avec Hervé Diasnas, Une journée blanche,

et retrouve en 1993 Ko Murobushi avec Ai amour. En 1996

Carlotta Ikeda crée un solo : Waiting, une pièce au-delà

du butô, sa danse d’origine et poursuit cette recherche

avec Haru no Saiten : Un sacre du Printemps. Suivront,

Tampopo, et la re-création de Zarathoustra. Autant de

pièces présentées à Limoges. La fidélité artistique se poursuit

avec l’accueil de sa dernière création : Uchuu-Cabaret.

Valéria Apicella,est née à Naples. De formation classique et

contemporaine, elle développe son rapport au corps et

à la danse par une longue et riche expérience au sein

de la compagnie Paco Dècina – où elle rencontre Noriko

Matsuyama -, et par la collaboration avec de nombreux

artistes questionnant le corps et l’image, comme le

graphiste Michal Batory ou le vidéaste Laurent Goldring.

En parallèle à la collaboration avec Paco Dècina, elle

fonde avec Cyril Béghin sa propre compagnie 3.14, et

crée successivement une installation-performance pour

le TNB, Tiede, et un premier solo, L’Assise, en 2005.

En 2006-2007, simultanément à la création de Adage démésuré, elle reprend le rôle principal de Dido and Aenea pour la compagnie Sasha Waltz and Guests.

Nacera Belaza,est chorégraphe et danseuse. Après des études

de lettres, elle décide de se consacrer à la danse et

crée sa compagnie en 1987.

A ce jour, onze créations sont à son actif

dont Chacun sa chimère (1992), Périr pour de bon (1995)… Le Feu (2001), Paris Alger (2003), Le pur hasard (2005)… et Le Cri (2008), pièce qui vient de se

voir décerné le Prix de la révélation chorégraphique

de l’année 2008 » par le Syndicat Professionnel de la

Critique Théâtre Musique et Danse.

Nacera Belaza travaille également pour le

théâtre comme assistante à la mise en scène et

chorégraphe, ainsi que pour le cinéma. Présente

dans de nombreux worshops et Festival en France,

Egypte, Palestine, Hollande, Tunisie, Algérie… etc,

elle enseigne également régulièrement en France et

à l’étranger.

Caterina Sagna,Italienne, Vénitienne, après avoir étudié la danse,

le théâtre, la musique, le mime, travaille notamment

pendant sept ans comme interprète chez Carolyn

Carlson. Elle fonde en 87 en France la compagnie Nadir.

Après plusieurs créations en France et en Belgique, elle

revient vers la fin des années 90 s’installer à Venise.

Les créations de Caterina Sagna s’inspirent souvent des

impressions laissées par des œuvres littéraires : Kafka,

Lenz, Genet, Cocteau, Christa Wolf…, ou Louisa May

Alcott comme pour « Sorelline » accueilli à Limoges en

2002. Suivront « Relation Publique » et « Heil Tanz » où

elle affirme une danse/théâtre singulière qui marie avec

malice auto-dérision, humour et gravité.

En juin 2002, Caterina Sagna a reçu le prix SACEM

« Nouveau talent chorégraphique ».

En 2005, elle décide d’installer sa compagnie

à Rennes et crée la pièce « Basso Ostinato », une

œuvre largement diffusée et acclamée sur les scènes

européennes.

Mathilde Monnier,issue de l’émergence de la danse contemporaine

française des années 80, d’abord proche de François Verret

et de Jean-François Duroure ; Mathilde Monnier reçoit le

prix du Ministère de la Culture au concours de Bagnolet

en 1986. En 1994, elle est nommée à la direction du Centre

Chorégraphique National de Montpellier Languedoc-

Roussillon et crée Nuit en 1995. Suivront L’atelier en pièce (1996) qui confronte le spectateur à un espace

clinique, puis Arrêtez, arrêtons, arrête (1997) sur un texte

de Christine Angot. En 2000, Mathilde Monnier reforme

en profondeur le fonctionnement du C.C.N. en l’ouvrant

à de nombreux artistes extérieurs et en y donnant une

logique artistiquement impliquée à la formation de

jeunes danseurs.

Les créations se succèdent tant pour sa compagnie

que pour les danseurs du Ballet Royal de Suède ou

du Lyon Opéra Ballet. Notons Signé signés (2001),

Déroutes (2002), Publiques (2004), Frères et Sœurs (2005) ou Vallée 2008 avec le chanteur Katerine.

Mathilde Monnier occupe une place de référence dans

le paysage chorégraphique et sa démarche en constant

renouvellement, déjoue les attentes, et explore une danse

qui est expérience avant toute chose.

Davide Venturini et Franceso Gandi,ont posé les bases de la compagnie T.P.O. en Toscane,

pays de lumière et de nature dans les années 80.

Depuis ses débuts, le TPO s’est caractérisé comme

compagnie de théâtre visuel. Dès ses premières années

d’activité, il met en scène des spectacles originaux destinés

aux enfants et conçus comme des tableaux en mouvement

animés par de petites machines, des objets artistiques et

des jeux de lumière. Par la suite, le groupe a continué à

porter son attention vers les arts figuratifs en réalisant

des spectacles qui peuvent être définis comme des œuvres

théâtrales et d’art contemporain destinées au jeune public.

Actuellement, Davide Venturini et Francesco Gandi mènent

une recherche sur le recours au graphisme numérique en

enrichissant le théâtre d’auteur avec d’autres langages,

entre autres la danse et l’art vidéo.

itinéraires chorégraphiques 2008/2009

Une manifestation produite par la Ville de Limoges (Centres Culturels Municipaux – scène conventionnée pour la danse)

en coproduction, coréalisation ou avec l’aide de :

Agence Technique et Culturelle Régionale du Limousin

Bibliothèque Francophone Multimédia de Limoges

Centre Dramatique National du Limousin – Théâtre de l’Union

Conseil Général de la Haute-Vienne

Conseil Régional du Limousin

Direction Régionale des Affaires Culturelles / Ministère de la Culture et de la Communication

Opéra Théâtre de Limoges

Office Artistique de la Région Aquitaine

Office National de Diffusion Artistique

et avec le soutien des médias

France 3 Limousin-Poitou-Charentes

France Bleu Limousin

Le Populaire du Centre

L’Echo du Centre

Renseignements

Centre Culturel Municipal

7, avenue jean gagnant

87000 limoges

tél. 05 55 45 94 00 – fax 05 55 45 94 14

La scène conventionnée pour la danse reçoit le soutien :

du Ministère de la Culture et de la Communication – DRAC du Limousin,

du Conseil Régional du Limousin et du Conseil Général de la Haute-Vienne

conception graphique – mise en forme : iti communication, limoges

Impression et façonnage : GDS

dépôt légal : 4e trimestre 2008