J' suis toujours là - alpacnantes.ovh

Les nouvelles de Saint-Jo

Saint-Joseph-de-Porterie :naissance d'une paroisse,

Dimanche à la ferme, Chorégraphie contemporaine, Atelier éveil musical, Atelier d'écriture, Atelier théâtre,

Ecole de sport, Gymnastique, Pas athlétique, Marathon de Nantes,

Des annonces attendues ... Vite ça presse.

A M I C A L E L A Ï Q U E P O R T E R I E A R T S E T C U L T U R E - A L P A C - A M I C A L E L A Ï Q U E P O R T E R I E A T H L É T I C C L U BM a i s o n d e s A s s o c i a t i o n s - 47 8 r o u t e d e S a i n t - J o s e p h - 4 4 3 0 0 N a n t e s - T é l . 0 2 4 0 2 5 2 1 3 [email protected] 1 www.alpacnantes.net

J' suis toujours là !À ma naissance, en novembre 1988, mon premier nom a été Liaison-Presse-Laïque, avec déjà un autre petit nom : Louis Pergaud Linot. Mais, au cours de

mon adolescence, tous mes amis ont pris l'habitude de m'appeler « P'tit Journal deSaint-Jo. » L'un de mes illustres parents, Jean Jahan, devenu une figureincontournable de Saint-Jo, me prédisait un avenir comme « un trait d'union entreles membres des différentes sections d'activités de l'Amicale, mais aussi porteurd'informations auprès des habitants du quartier ».

Plus de trente ans après, devenu adulte, j'espère que je ne l'ai pas déçu ! C'estdonc la 92ème fois que je m'exprime dans le quartier, sobrement, évitant des habitstrop clinquants (mes parents m'ont appris à ne pas gaspiller l'argent) mais toujoursattentif à toutes les initiatives de l'association grâce à laquelle j'ai vu le jour. J'enprofite toujours pour vous informer sur les nouvelles du quartier, en donnant parfoismon avis quand certaines m'interpellent.

Et je ne résiste pas à vous livrer régulièrement quelques repères historiques denotre quartier, persuadé que pour préparer l'avenir, il vaut mieux bien connaître sonpassé. Vous pouvez d'ailleurs très aisément retrouver toutes mes publications,puisqu'elles sont archivées consciencieusement sur le site Internetwww.alpacnantes.net.

Eh oui, depuis tout ce temps, je me suis fait des collègues ayant la même envie devous informer. Eux, ils ont bénéficié des nouvelles technologies ! Je viens de vousparler du site, il y a aussi l'ALPAC-INFOS, envoyant tous les mois aux adhérents, parcourriel, les nouvelles de l'association, avec la gentillesse de m'y laisser une petiteplace dès je suis prêt. Et puis, en permanence, il y a la page FACEBOOK ALPAC quine demande qu'à se faire des amis. Vous pouvez en faire partie tout simplement enlui cliquant dessus.

Mais tout çà n'empêche pas que nous devrions nous rencontrer plus souvent pour« discuter le coup » de vive voix. Mes oreilles indiscrètes ont appris que des Rendez-Vous réguliers, autour d'un café (par exemple) vont être organisés la saisonprochaine. À coup sûr, j'y serais, ravi de vous voir, avec mes bons caractères.

Le Petit Journal de Saint-Jo 2 N°92 - juin 2019

FESTIVE DU CULTUREL, DE 13 H 30 À 22 HSALLE NANTES-ERDRE

FORUM DES ASSOCIATIONSDE 8 H 30 À 12 HCOMPLEXE JEAN-JAHAN, SALLE 1ROUTE DE SAINT-JOSEPH

BELOTE À 20 HMAISON DE QUARTIER

LOTO À 12 HSALLE BONNAIRE AUX MARSAUDERIES

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE L'ALPACÀ 20 H 30, MAISON DE QUARTIER

BELOTE À 20 HMAISON DE QUARTIER

CORRIDA DE LA BEAUJOIRESITE DU STADE DE A BEAUJOIRE

Le 29 mars, l’église Saint-Georgesdes Batignolles était comble, unefois de plus, pour la cérémonied’adieu à Maurice Philippe,décédé à 99 ans. Fabienne etMaurice Philippe faisaient partiede ces personnes qui comptent,dans un quartier. Ils avaient habitéune maison en bois de la citéHalvêque avant de s’installer chezeux au 65 de l’avenue de la Gare-de-Saint-Joseph. Maurice avait étéune des grandes figuressyndicalistes de l’usine desBatignolles. Après la guerre 39-45,la CFTC est devenue la CFDT ; onpeut imaginer que bien desdiscussions se sont passées chezeux : un de leurs grands amis étaitGilbert Declercq, lui aussi ancienBatignollais, un des principauxmaîtres d’œuvre de cetteévolution. Militants chrétiens,Fabienne et Maurice avaient tenuà ce que leurs enfants soientéduqués avec tous les autres àl’école publique des Batignolles.

Quelques anniversaires en « 9 » :En 1959, le 21 décembre, le pèrede la chanteuse Barbara décède àl’hôpital de Nantes ; c’est l’originede la chanson « Il pleut surNantes » . En 1969, le pont deBellevue est en construction ; le31 mars, s’ouvre le MIN sur l’île deNantes ; en avril, Barbara donneun récital à l’Apollo ; en mai, leservice d’eau arrive enfin à laBoisbonnière ; à la rentrée, lesécoliers n’auront plus classe lesamedi après-midi. En 1979,s’ouvrent l’École Vétérinaire,l’École publique « Beaujoire 1 » ;Gâchet n’envoie plus ses eauxusées dans l’Erdre, le secteur aenfin un réseau d’égouts.

Tout près de Saint-Jo, auxRenaudières en Carquefou (site dela Fleuriaie), le Musée de l’Erdre

fête ses 10 ans, un beau petitmusée qui raconte l’histoire denotre rivière. Lorsque Le PetitJournal paraîtra, on pourra encorevoir pendant quelques joursl’exposition « Dans le secret desroselières ». Elle sera suivie dejuillet à octobre par « IncroyablesVoyageurs, l’aventure au fil del’eau », exposition conçue par laMaison du Lac de Grand-Lieu. Nuitde la chauve-souris en août,Journées du Patrimoine enseptembre, conférence sur lesoiseaux migrateurs et « Ciné-concert – Escale à Chant-sur-Erdre », avec l’associationDastum44 en octobre. Le muséeest ouvert jusqu’au 31 octobre, dumercredi au dimanche après-midipendant les vacances scolaires,les mercredis, samedis etdimanches après-midi horsvacances. L’entrée est gratuite. Lemusée peut accueillir lesscolaires.

Le 9 février 1934, rapporte lequotidien Le Populaire, CharlesNeveu, au nom du Groupement deDéfense Laïque de Saint-Joseph-de-Porterie, ancêtre de l’ALPAC,écrit au maire : « C’est avec unestupéfaction profonde que nousapprenons ce matin la remise desfêtes du carnaval au dimanche 18février. » Le Groupement avaitprévu sa propre fête ce jour-là, lesprogrammes étaient imprimés, lasalle Piou retenue, l’orchestreaussi. Charles Neveu demandeune subvention pour compenser laperte. La fête a tout de même lieuet, nous dit le journaliste, c’est le5ème anniversaire duGroupement. Notre AmicaleLaïque aurait donc 90 ans,puisqu’elle aurait été créée fin1928, début 1929, et déclarée àla préfecture quelques annéesplus tard.


Une éolienne à Gâchet : Polytech,une des grandes écoles du site de laChantrerie, avait besoin de refaire satoiture. Elle en profite pour installersur la nouvelle couverture 1 250 m2

de panneaux photovoltaïques,fabriqués à Carquefou. L’éolienne(diamètre : 16 m, sur un mât de24 m) et les panneaux fourniront20 % de la consommation annuelled’électricité de l’école. L’ensemblefait partie du projet « MINERVE »,porté par l’AFUL, une association quiregroupe une quinzained’établissements de la Chantrerie, àlaquelle on doit déjà la chaufferie aubois du site. Le projet MINERVEconsiste à produire du gaz naturel desynthèse à partir d’électricitérenouvelable. L’éolienne est lapremière, de cette dimension,installée sur le territoire de Nantes-Métropole.

Franchir l’Erdre, à pied ou à vélo :« Vous habitez et travaillez de chaquecôté de l’Erdre ? Prenez le bateau,c’est pratique et c’est magique ! »

En 2017, nous avons été quelques-uns à expérimenter la navette quiavait circulé entre les pontons de laGrimaudière et de Gâchet.Cette année, on remet ça, du 3 au 30juin. La navette fonctionnera du lundiau vendredi de 7 h 30 à 9 h et de 16 h15 à 18 h 45, toutes les 15 mn, et ledimanche après-midi toutes les 30mn, sans réservation, avec uneparticipation financière libre.Le projet est porté par un ensembled’associations, d’entreprises et decollectivités publiques (l’AFUL-Chantrerie, des entreprises de La

Chapelle, Erdre pour tous, la FAE,Nantes-Métropole, les villes deCarquefou et de La Chapelle, Vivre àGâchet…)

Un étrange portique, près de laboulangerie du bourg : il s’agit d’unnichoir à hirondelles, qui vient d’êtreinstallé très rapidement, juste avantl’arrivée des oiseaux. La demande enavait été faite il y a deux ans, dans lecadre du « Bureau des Projets », parl’association SOS-Hirondelles, car denombreux nids allaient disparaître dufait de la démolition de l’école privée,place du Marché. Les hirondellesapprécieront-elles ? Espérons-le. Unbénévole de l’association passe detemps en temps ; pour les attirer surle site, il est muni d’un appareil quireproduit leur chant. Et si vousconnaissez vous-mêmes deshirondelles sans logis qui ne saventoù passer la belle saison chez nous,merci de leur donner l’adresse !

Les Portériens ont maintenant à leurdisposition un cabinet dekinésiologie. La kinésiologie est« une pratique utilisant le corps et lemouvement pour dénouer desblocages physiques, émotionnels,psychologiques ou énergétiques »,explique Anaïs Baixes, lakinésiologue. Elle s’est installée 19rue de la Planche-au-Gué, dans lequartier ouest du nouveau Saint-Jo.

Pour prendre rendez-vous : tél 07 6616 01 09 ou [email protected]

Un élément du patrimoine de Saint-Jovient de disparaître : la « Maison dessœurs », place Dollier-de-Casson.

Elle avait dû être construite vers1850, pour accueillir l’école privéedes filles. Plus tard, on y avait ajouté,le long de « la Rabine » (la rue duBèle) un bâtiment pour cette école.

Ça va mieux en le disant :Stationnement sauvage.

Le cœur de Saint-Jo se transforme,habitations, restauration, nouvelleécole, complexe de santé, etc. Leslieux de stationnement sont parfoissaturés aux heures d’affluence.Place Jean-Marie Potiron, unemplacement provisoire « Personnesà mobilité réduite » a été mis enplace par la ville de Nantes il y a peude temps.Ce dernier est régulièrement occupépar des véhicules non porteurs decarte leur permettant lestationnement sur cet endroit.Pire : le panneau est régulièrementdéplacé, voire retourné, rendantl’accès au cabinet infirmier et kinétrès compliqué pour les personnesen situation de handicap.Très prochainement, cette placedeviendra définitive avec un panneaufixe et un marquage au sol. Celasuffira-t-il pour faire respecterl’utilisation de ce lieu de parking etpermettre un accès paisible auxcommodités de ce secteur ?Vivre ensemble, c’est aussi respecterles différences, les particularités, etles besoins de tous.

Louis Le Bail

La navett Gâchet - La Chapelle en 2018

La maison des soeurs en 2018

Une habitante du quartier


Jusqu’en 1845, Saint-Joseph n’existepas ; c’est Porterie, ou Portricq, selonles années et les rédacteurs d’actes,un quartier excentré de la communede Nantes. Des domaines quiappartiennent à la bourgeoisienantaise, quelques châteaux utiliséscomme maisons de campagne, avecleurs grandes métairies, leurs petitesborderies, leurs masures louées àdes ouvriers agricoles. Notre Gâchet,nommé alors « l’Étang-Hervé », est lesecteur le plus éloigné de la ville. Ony va par un mauvais chemin, lechemin de la Chantrerie, quideviendra au 20ème siècle la route deGâchet. Pour les besoins de la viecourante, les habitants de l’Étang-Hervé se déplacent plutôt àCarquefou, bien plus proche. Pour lesbaptêmes, les mariages, lessépultures, on doit aller à Saint-Donatien, dont fait partie le secteur.

À partir de la Révolution, pour lesactes de l’état-civil (naissances,mariages, décès), on doitobligatoirement s’adresser à lamairie de Nantes ; c’est encore unpeu plus loin. De nos jours, lesenfants naissent à la maternité, quise charge des déclarations. En 1808,

la mairie de Nantes a rappelé la loi :« Les déclarations de naissanceseront faites dans les trois jours del’accouchement, à l’officier de l’état-civil du lieu. L’enfant lui seraprésenté. […] Les témoins […] nepourront être que du sexe masculin,âgés de vingt-un an au moins… ». Cen’est que vers 1870 qu’on jugera« que, pendant les premiers jours quisuivent la naissance, il peut êtredangereux d’exposer les enfants àl’impression de l’air extérieur.L’inobservation de cette règled’hygiène serait même, dansl’opinion de beaucoup de médecins,une des causes de la mortalité quifrappe les nouveau-né. » Si le bébéne peut être présenté sans danger àla mairie, ce sera au maire (à sonreprésentant) de se déplacer. Del’Étang-Hervé à la mairie de Nantes,c’est une expédition de 10kilomètres, à vol d’oiseau, largementplus par les chemins cahoteux del’époque.

Le 16 décembre 1844, les notablesdu quartier signent une pétition. Lessoussignés ont l’honneur d’exposerque « cette partie de la paroisse deSaint-Donatien se trouve le plus

souvent privée de tout secoursreligieux. Que les habitants nepeuvent qu’avec beaucoup de peineet de perte de temps envoyer leursenfants aux catéchismes de laParoisse, les présenter en naissantau baptême, faire bénir leur union etconduire leurs morts au cimetière ;qu’à leurs derniers moments, ils nepeuvent souvent recevoir à temps lesconsolations de la Religion… » Ilsdemandent que Porterie devienneune paroisse. Ils sont vite entendus.Le 12 novembre 1845, uneordonnance royale créée deuxnouvelles paroisses nantaises :Sainte Anne de l’Hermitage et SaintJoseph de Porterie.

Les soussignés constituentl’ensemble des notables de Porterieet de ses environs : François-MarinLelasseur, de Porterie ; A. Dufort et J.de Chappotin, du Fort ; Raoul deSaint-Pern, de Cheviré et de laPerverie ; Louis Lévesque, de laChantrerie ; Fr. Ducoudray–Bourgault,du Launay… Les autres habitants duquartier, qui sont pour la plupartillettrés à cette époque, ont donnéleur nom.

L'idée a bien germée...

L'association Le Fort de St-Jo animedepuis quelques mois les ateliersplantations avec les habitants etbénévoles du quartier, sur le terrainen face du n°16, rue du fort (44300NANTES).

Rappelez-vous, ce collectif avaitproposé et reçu l'assentiment desvotes lors de l'initiative de la ville deNantes « 15 lieux à réinventer » ...

Le 22 juin aura lieu l'inauguration

officielle en présence des élus 11 h.Suivi d'un repas partagé pour leprintemps des voisins. Chacunamène son pique-nique pour unmoment de partage et de détente.

Activité surprise sur place !

A noter que ce lieur est doté terrainde pétanque, le terrain est ouvert etlibre d'accès à tous.

Le potager va bientôt s'équiper d'uncomposteur "place de village" etd'une jardinière PMR.

L'association est ouverte aux futursbénévoles qui souhaitent la rejoindre.Le facebook Association Le Fort deSt-Jo et le mail : stjo.lefort@gmail


L’assiduité des paroissiens a-t-elletiédi ? Craint-on la contagion desidées révolutionnaires qui ne sontpas mortes ? L’affaire va êtrerondement menée. Dès février 1845,le conseil municipal de Nantes émetun avis favorable, avec toutefoisquelque réticence. La commissionqui a étudié la demande estsoucieuse des deniers publics : « Lademande actuelle a soulevé uneconsciencieuse opposition dans lesein de notre commission », écrit-elledans son rapport. « Cette oppositions’est particulièrement fondée sur ceque la multiplication de cesdemandes et la facilité avec laquelleon y a fait droit jusqu’à ces moments,peut devenir dans un temps reculéun sujet de charges très pesantespour la Commune de Nantes ;puisqu’indépendamment de larémunération obligée des vicaires,quand les paroisses s’en font besoin,le cachet destructeur du temps vientfaire des frais d’entretien desmonuments un sujet de dépensesassez considérables. »

Le maire, Ferdinand Fabre, souligneque les fondations de paroisses « tropfréquemment dans ces dernierstemps, ont eu plutôt pour mobiles les

spéculations de l’intérêt privé que lesbesoins religieux des populations. »Avis autorisé, semble-t-il. Il ne semblepas qu’on puisse accuser FerdinandFabre de partialité ; négociantnantais, il fut maire de Nantes de1832 à 1848, puis de 1852 à 1866.D’origine protestante, il jouissait,chez les notables, de l’estimegénérale : « M. Ferdinand Fabre,protestant… homme excellent…[dévoué] pour les intérêts de laReligion et du Clergé. Il ne luimanque que d’être catholique »,disait le vicaire général à l’évêque deNantes en 1848.

La création de la paroisse allait,évidemment, apporter une sérieuseplus-value aux terrains despétitionnaires ! Saint-Donatien,paroisse dont dépendait le quartier,devait compter, en 1844, 5 000habitants. La nouvelle paroisse allaitlui enlever 960 hectares et 843âmes. 843 personnes qui, loin de cesspéculations foncières, manifestèrent,on l’imagine, leur satisfactionlorsqu’elles prirent connaissance del’ordonnance royale du 12 novembre1845.

Pour construire l’église et lepresbytère, François-Marin Lelasseurfait don d’une parcelle dépendant desa métairie de Malitourne, à l’anglede l’avenue qui joint Porterie à laroute de Carquefou (la Rabine,aujourd’hui rue du Bèle) et du « baschemin de Carquefou » (notre routede Saint-Joseph). La métairie deMalitourne, on en voit encore lesvestiges, juste après le lotissementdit « Les Pépinières », entre le bourget les gymnases. Le 19ème siècle est

le temps du Concordat, cet accordentre le pape et Napoléon qui a régiles rapports entre la France et l’Églisede 1813 à 1905. Le Concordat veutque la nouvelle église soit donnée àla commune, qui l’entretiendra. Laville de Nantes doit-elle accepter cedon ? On enquête… Le commissairede police est rassurant : « MonsieurLelasseur est très riche, et ladonation faite par lui est peu dechose, d’autant plus qu’il doit retirerun avantage de la position de cetteéglise au centre de ses propriétés. »Le 30 septembre 1846, à 10 heuresdu matin, l’évêque Jean-François deHercé bénissait solennellementl’église, puis la première messe étaitcélébrée par le jésuite FrançoisLelasseur, fils du donateur.

Le cimetière suivait, puis lepresbytère, la « maison des sœurs »(qui vient d’être démolie).

Un petit bourg allait naître, dont ilnous reste les maisons devenues lecafé, la pharmacie, le tabac-presse.Désormais, on ne dit plus Porterie,mais Saint-Joseph-de-Porterie.

La Rabine (rue du Bêle), au début du20ème siècle

Louis Le BailL'église qui a donné son nom au quartier,

photographiée avant 1930Le bourg, début du 20ème siècle

" La maison des soeurs "


La Fête d’ouverture de la fermed’éveil a eu lieu le dimanche 5 mai.Organisée par le SEVE de la Ville deNantes, elle a connu un beau succès.Plusieurs milliers de personnes,venues en famille, ont apprécié lesanimations et ateliers thématiquesautour des animaux et des plantes,du potager et des abeilles. Pendantce temps-là, les calèchespromenaient paisiblement lesnombreux visiteurs dans le parc bienréveillé en ce début de printemps.Installé dans la grange, un spectacle« Lombric fourchu casse la graine » arégalé les enfants et leurs parents,tandis que dans la journée, la fanfareBig Joanna très en forme a donné le

tempo dans la cour de ferme.

L'ALPAC était bien présente avec sesanimations lectures, sa chorale etson bar-petite restauration niché le

long du corps de ferme, au côté de"Fraid' le glacier."Une journée assurément plaisante

pour tous les participants. À ne pasmanquer l'année prochaine !

Notez-le, vous pourrez toujours visiterla Ferme de la Chantrerie, avec sesanimations, tous les dimanches, du 5mai au 23 juin, et du 1er septembreau 20 octobre.

" BRAVO à la classe chorégraphiquecontemporaine de la section DanseModerne Jazz de l'ALPAC pour saperformance ! "

Les danseuses, accompagnées parPeggy Filloux leur professeure, ont

participé aux rencontreschorégraphiques départementales àOrvault en mars dernier, enprésentant la chorégraphie qu'ellesont imaginée " Après moi lesmouches ! ". Elles ont étésélectionnées pour les régionalesavec une mention spéciale du jurypour l'originalité ! Le comité régionala été séduit et a choisi la photo deleur ballet pour l'affiche Lesrencontres chorégraphiques des Paysde la Loire qui ont eu lieu les 4 et 5mai en Vendée.

Cela leur a porté chance puisquequ'elles ont réussi à accéder auniveau national, avec une mention dujury, pour leur interprétation etl'univers singulier de leurchorégraphie contemporaine !

Félicitations à Claire, Clémence,Louann, Maeva, Marion, Ninon,Solène et Titiane !

Prochaine étapes pour nos jeunesdanseuses, seules sélectionnées enLoire-Atlantique : les rencontresnationales à Montluçon du 4 au 7juillet !

Bonne chance.

Lénaïk Démogue

Michel Gautier


Atelier d’écriture Plum’ALPAC, animépar Ghislaine Miller-Jones.Exercices autobiographiques.

Je me souviens…Je me souviens de ces vacances enSavoie, au bord du lac Léman.Chaque jour nous chaussions nosgodillots de marche pour randonnerjusqu’à un lac, différent chaque fois.Nous partions au petit matin quandle jour se levait à peine. Une brumelégère voletait au-dessus des eaux dulac encore sombre. Le voile du ciel

s’égayait de blanc et de rose, sedéchirant ici et là de bribes bleutées.Le silence était parfait, seulementtroublé de quelques cris d’oiseaux denuit se nichant pour le jour. Nousmarchions allègrement sur deschemins de cailloux bordés defougères où perlait la rosée.Tout à coup, nous percevions legazouillis d’un petit torrent dont l’eaupure et glaciale cascadaitjoyeusement de la montagne. Ici et lànous glanions quelques fraises desbois à la saveur douce et acidulée.

Quand le soleil montait vers le zénith,nos chaussures commençaient àpeser de plus en plus lourd. Nouschoisissions alors un coin demousse, un rocher ou encore untronc d’arbre couché pour la petitepause fruits secs et gorgées d’eaufraîche.Quand nous parvenions enfin au lac,nous connaissions alors le bonheurabsolu du spectacle de paysagessans limites dans l’air vibrant del’été.

Emeline anime 2 groupes d’enfantsâgés de 3 ans ½ pour le plus jeune à8 ans pour le plus « grand ». L’un desgroupes compte 12 enfants, l’autrefluctue entre 4 et 7 enfants.

Qu’est-ce que l’éveil musical ? Peux-tu nous dire comment se dérouleune séance, ses objectifs ?

Selon l’animateur, on peut trouverdes approches différentes. Pour mapart, je leur apprends les bases : ilsapprennent la gamme et le fait queles notes peuvent être déplacées,mélangées pour créer de la musique.J’utilise aussi l’expression corporelle,nécessaire pour intégrer le rythme,mais attention, ce n’est pas de ladanse ! C’est par exemple sous formed’une ronde, le déplacement étant

rythmé par la musique.Les enfants découvrent les 3 typesd’instruments : à vent (trompette,flûte, basson, clarinette, cor, hautboisetc.), à cordes (piano, guitare, violonetc.), à percussion (tambour, grossecaisse, xylophone etc.). Ilsapprennent par la répétitiond’exercices, par exemple à chaquefois je leur demande de me citer desinstruments de chaque type.Pour la partie plus technique, nousabordons un peu le solfège, noire,blanche, croche, mais pas demanière approfondie.J’organise des jeux : par exemple leschaises musicales, mais cela peutêtre compliqué avec les plus jeunesou avec des enfants qui présententdes problèmes de comportement.

Outre l’éveil à la musique, qu’est-ceque cette activité peut leur apportersur le plan personnel ?

Certains enfants timidess’épanouissent, d’autres qui n’osentpas au début aller vers l’instrumentprennent confiance en eux. Il y aaussi une dimension collective, dansles jeux il faut se respecter. Parexemple le jeu de « la statue » : c’estun travail sur l’écoute, ils doiventmarcher en rythme sur une musiquepuis s’arrêter quand la musique est

suspendue. Je leur pose alors desquestions sur cette musique : est-ceune musique gaie, triste,mélancolique, reposante (envie dedormir) etc. ? Il y a aussil’apprentissage de vocabulaire :crescendo, allegro… Ils doiventégalement me dire quels instrumentsils ont reconnu.Quelle est l’ambiance dans legroupe d’enfants ?La plupart des enfants viennent avecplaisir et suivent bien lesapprentissages. Par contre je doismalheureusement dire que dans legroupe de 12 enfants c’est difficileavec 2 ou 3 enfants qui sont agités etn’écoutent aucune consigne.Il faudrait que tous les parentscomprennent qu’il s’agit d’uneactivité d’apprentissage et non unlieu de jeux. Ainsi, la petite phrase «amuse-toi bien ! » avant de laisserson enfant me semble symbolique dela compréhension que certains ontde l’activité…

Je travaille avec La Compagnie desArts, nous mettons en place lapédagogie Freinet pourl’apprentissage de la musique. Celas’adresse à des enfants motivés parl’activité.

Ghislaine Miler-Jones


Medhi est comédien, il jouera cet été« Le crime de l’Orient-Express » àBelle-Île. Son rôle ? Hercule Poirot !Il est mis à disposition de L'ALPAC par

la compagnie Spoutnik.

Medhi, à qui s’adressent ces ateliers ?J’anime quatre ateliers à l’ALPACpour la troisième année : Les adultes : c’est important depréciser que ce n’est pas un cerclefermé, on ne fonctionne pas commeune troupe, il y a beaucoup dedébutants. Il n’est pas nécessaired’avoir un niveau ou desconnaissances. Actuellement, lamoyenne d’âge est de 30 ans. Des enfants de 7 à 10 ans Des enfants et ado de 10 à 13 ans Des ados de 13 ans à 16 ans

Comment se déroule une séance ?En général on commence par des

exercices de groupe sous forme dejeux. Par exemple ils doivent gérerdes sons très puissants, trouverl’énergie dans ces sons et desgestes, un peu comme une séanced’improvisation. Chacun à leur tour,ils se lancent le son, le geste commeun passage de relais, l’autre le reçoitet l’envoie à son tour. On peutcomparer cela à un jeu d’UNOphysique et gestuel.Parfois je leur propose des exercicesplus techniques sur la voix, sapuissance. Avec les plus jeunes, j’aimoins de temps, la séance ne durequ’une heure ; alors de septembre àjanvier, ce sont parfois des jeux surdes bouts de texte. Ensuite, dèsjanvier, on se concentre sur la pièce

Nantes, c’est la ville de tous lespossibles ! On peut suivre le droitchemin, ou faire un pas de côté !Rien n’est ancré, on peut touttenter… On peut même, à l’occasion,tomber sur un poussin endormi enplein milieu d’un jardin, insensible aubruit ambiant ou aux rires desenfants lui préparant un mauvaistour. On peut également embarquersur une des nombreuses pénichesaccostées le long de l’Erdre pour yfaire une mini-croisière.

On pourrait s’amarrer le long de l’îlede Versailles également, pour y faireune pause bucolique en traversant leJardin Japonais… Ou encore passerpar le Tunnel Saint Félix pourdécouvrir l’autre rive, son hammam,son hangar, son dragon cracheur defeu, son écluse et ses promessesd’évasion le long de la Loireenchantée ! Pourtant dure réalité quecette grue qui rappelle le passéouvrier de sa ville et les bateaux quise lançaient, éperdus, sur la Loire,

traçant leur route vers l’océan, tel cemarin intrépide qu’était Tabarly, dontle pont porte si bien le nom.C’est une invitation au voyage…Saurez-vous l’accepter ?

Cette invitation au voyage, jel’accepte ! Je pars loin, à ladécouverte d’autres chemins… pourrevenir dans cette ville de tous lespossibles. Tel est mon destin ?

Il est 5 heures, Nantes se réveille,Nantes se réveilleLe MIN bat déjà son pleinEt Talensac attend le grainLe quai d’la Fosse n’a plus ses damesLes fêtards ont le vague à l’âme

Il est 5 heures, Nantes se réveille,Nantes se réveilleLes p’tits bouts d’chou comptent lesmoutonsLes boîtes de nuit leurs bénéfices

Les éboueurs partent en missionLes truands craignent la police

Il est 5 heures, Nantes se réveille,Nantes se réveille,La lune va faire ses valisesLe garde-chasse met des balisesLes amants regagnent leur foyerLe rossignol s’met à chanter

Il est 5 heures, Nantes se réveille,Nantes se réveille,Les SDF font les poubellesSon amoureux la trouve belleLes plus chanceux partent envacancesEt les plus vieux finissent en transe

Il est 5 heures, Nantes se réveille,Il est 5 heures, je n’ai pas sommeil.

Texte collectif adultes

Texte écrit à 7 mains. Textes tournants où chacun doit inclure sa photo de Nantes en continuant l'histoire.

Texte d'une participante à l’atelier d’écriture adultes


Soixante enfants de la section « Écoledu Sport » de l’ALPAC ont participé àla 29ème Rencontre des Écoles duSport organisée par l’UFOLEP* 44,qui s’est déroulée le 9 mars dernierau Stadium Pierre Quinon.Le programme de cet après-midi aréuni 450 enfants venant de tout ledépartement, autour des ateliersgymniques, athlétiques, d’opposition,de manipulation, dans une ambiance

festive et chaleureuse.Encadrés par des animateurs sportifs

et des parents bénévoles,les enfants ont évolué,avec entrain et dans labonne humeur, sur cesdifférents ateliers sportifset ludiques.Merci à tous les parentsde l'ALPAC qui ont

accompagné cette belle dynamiqueet ainsi contribué au succès de cetterencontre.

Katia Briand, pour la section Éveil –École du Sport-Multisport

*(Union française des œuvres laïquesd'éducation physique)

présentée à la Festiv. Pour eux, laplus grande difficulté, c’est laconcentration. Ils peuvent apprendreun texte par cœur, là n’est pas lesouci, mais c’est la gestion du texteavec les gestes qui est compliquée.Qu’est-ce que le théâtre apporte surle plan individuel ?Pour moi, c’est d’abord decomprendre le collectif ! Au théâtre,c’est la valeur essentielle. Il nousapprend à ne pas être nombriliste.

C’est aussi une école de la discipline.Le théâtre est une épreuve, il nousapprend à connaître nos limites.C’est une expérience émotionnelle,ce qu’on appelle « le feu de la scène» ; il faut réussir à y aller, on a peur, ilfaut oser, c’est comme une brûlure !Il apporte la confiance en soi. Toutcela, ce sont les qualités de l’individuappréciées dans la vie.

Quelle est l’ambiance dans les

groupes d’enfants et ados ?J’ai vraiment de la chance, ils sontadorables, aucun problème dediscipline. Chez les ados, il y abeaucoup d’anciens, ils seconnaissent et sont à l’aise. Parcontre on manque de garçons !Chaque année, certains partent, parcontre d’autres « décollent » et sontaccrochés à l’activité…

L'activité gymnastique d'entretien(adulte) vous propose 22 cours parsemaine, d'une durée d'une heure,matin ou soir.Ces cours sont dispensés par desprofesseurs diplômés et salariés. Ilsse pratiquent au Gymnase JeanJAHAN ou au Gymnase JeanVINCENT.Lors des numéros précédents duPetit journal, vous avez pu découvrirl'activité proposée par Hélène etYann, deux des trois animateurs. Le

prochain numéro sera consacré àIsabelle.Gymnastique tonique, gymnastique

douce, stretching postural ou Pilates,les cours sont mixtes et se passentdans une très bonne ambiance etsont propices à la rencontre,l'échange, le partage.Cours en musique avec du matérielvarié. Il est possible de faire un essai.Renseignements et inscriptions auFORUM le samedi 7 septembre.Selon les places disponibles aprèsles réinscriptions.

Contact:[email protected]

Peggy Petit

Michèle Josse

Le Stadium Pierre Quinon


Soixante enfants de la section « Écoledu Sport » de l’ALPAC ont participé àla 29ème Rencontre des Écoles duSport organisée par l’UFOLEP* 44,qui s’est déroulée le 9 mars dernierau Stadium Pierre Quinon.Le programme de cet après-midi aréuni 450 enfants venant de tout ledépartement, autour des ateliersgymniques, athlétiques, d’opposition,de manipulation, dans une ambiance

festive et chaleureuse.Encadrés par des animateurs sportifs

et des parents bénévoles,les enfants ont évolué,avec entrain et dans labonne humeur, sur cesdifférents ateliers sportifset ludiques.Merci à tous les parentsde l'ALPAC qui ont

accompagné cette belle dynamiqueet ainsi contribué au succès de cetterencontre.

Katia Briand, pour la section Éveil –École du Sport-Multisport

*(Union française des œuvres laïquesd'éducation physique)

présentée à la Festiv. Pour eux, laplus grande difficulté, c’est laconcentration. Ils peuvent apprendreun texte par cœur, là n’est pas lesouci, mais c’est la gestion du texteavec les gestes qui est compliquée.Qu’est-ce que le théâtre apporte surle plan individuel ?Pour moi, c’est d’abord decomprendre le collectif ! Au théâtre,c’est la valeur essentielle. Il nousapprend à ne pas être nombriliste.

C’est aussi une école de la discipline.Le théâtre est une épreuve, il nousapprend à connaître nos limites.C’est une expérience émotionnelle,ce qu’on appelle « le feu de la scène» ; il faut réussir à y aller, on a peur, ilfaut oser, c’est comme une brûlure !Il apporte la confiance en soi. Toutcela, ce sont les qualités de l’individuappréciées dans la vie.

Quelle est l’ambiance dans les

groupes d’enfants et ados ?J’ai vraiment de la chance, ils sontadorables, aucun problème dediscipline. Chez les ados, il y abeaucoup d’anciens, ils seconnaissent et sont à l’aise. Parcontre on manque de garçons !Chaque année, certains partent, parcontre d’autres « décollent » et sontaccrochés à l’activité…

L'activité gymnastique d'entretien(adulte) vous propose 22 cours parsemaine, d'une durée d'une heure,matin ou soir.Ces cours sont dispensés par desprofesseurs diplômés et salariés. Ilsse pratiquent au Gymnase JeanJAHAN ou au Gymnase JeanVINCENT.Lors des numéros précédents duPetit journal, vous avez pu découvrirl'activité proposée par Hélène etYann, deux des trois animateurs. Le

prochain numéro sera consacré àIsabelle.Gymnastique tonique, gymnastique

douce, stretching postural ou Pilates,les cours sont mixtes et se passentdans une très bonne ambiance etsont propices à la rencontre,l'échange, le partage.Cours en musique avec du matérielvarié. Il est possible de faire un essai.Renseignements et inscriptions auFORUM le samedi 7 septembre.Selon les places disponibles aprèsles réinscriptions.

Contact:[email protected]

Peggy Petit

Michèle Josse

Le Stadium Pierre Quinon


En effet, cette matinée du dimanche28 avril a été Royale ; finies,l’ambiance bucolique du Jardin desPlantes, et la redoutable côte de larue des Chalâtres ; cette année, nousavons droit à la splendide placeRoyale pour organiser lesravitaillements du 6ème et du 20ème

kilomètre du Marathon de Nantes,ainsi que l’épongeage du 32ème

kilomètre.

Dimanche matin, dès 7 h, lespremiers bénévoles étaient présentspour disposer les tables et lanourriture. À 8 h, les 26 bénévoles del’ALPAC et les 2 bénévoles des« Bouchons d’Amour » étaient à piedd’œuvre place Royale pour organiserle poste de ravitaillement.

C’est vêtu d’un coupe-vent rouge quetout ce petit monde s’est rapidement

mis en action dans un ballet bienrôdé, avec des bénévoles désormaisaguerris et enthousiastes.

Alors que les signalétiques semettent en place, que les oranges sefont découper, que les bananes sefont éplucher, les premiers gobeletsd’eau et de glucose sontméthodiquement positionnés enquinconce sur les tables. Il fautstopper momentanément pour

laisser passer les 5 000 coureurs dusemi-marathon, suivis déjà despremiers coureurs du marathon quipassent sous les applaudissementsdes nombreux spectateurs.

Un grand coup de chapeau auxathlètes (Pierre, Patrick, Alexandra,Sophie, Gilles) qui ont défendu lescouleurs de l’ALPAC sur ce marathon,sans oublier également les athlètessur le semi-marathon.

Un grand merci aux 23 bénévoles,aux 3 signaleurs de l’ALPAC ainsiqu’aux 2 bénévoles des « Bouchonsd’Amour » pour leur investissement,leur disponibilité et leur gentillesse.

Le Marathon a été remporté chez leshommes par Gédamu Mele en 2 h24’ 05’’ et chez les femmes parMurkomen en 2 h 37’ 50’’.

Vendredi 25 avril, l’ALPAC a permisaux enfants des trois écolespubliques du quartier de participer,comme chaque année, aux cinqateliers d’épreuves d’athlétisme surle site de la Beaujoire.

Au cours de cette matinée, chaqueélève essaye de se surpasser pourlancer loin le vortex, sauter loin,courir vite en franchissant les haies(parfois hautes pour des petitesjambes), courir le plus loin possibleen 6 secondes, et cette année bienviser avec sa balle lestée pouratteindre le cerceau cible.

C’est avec un certain enthousiasmeque chacun est ensuite reparti dansson école avec sa collation(madeleine et chocolat) offerte parl’Amicale.

Les fidèles bénévoles se sont investischaleureusement sur les différentspostes ; un grand merci à eux tous,car sans leur aide active, cetévénement ne pourrait pas avoir lieu.

Christine Renimel

Philippe Renimel


Depuis maintenant deuxans, nous ne cessonsd'alerter la ville de Nantessur la nécessité de penser

concrètement à des équipementsnécessaires à la pratique amateur dedisciplines telles que le théâtre, lamusique, la photographie et toutesactivités culturelles.

De même, nous avons formulé lanécessité d'agrandir et d'adapterrapidement l'espace de notrebibliothèque-ludothèque associative« 1001 pages ». Ce lieu est devenuun pôle de rencontresintergénérationnelles au cœur deSaint-Jo. Fort de son succès il estdevenu trop exigu.

Nous avons annoncé notre volontéd'étendre notre activité badmintonvers les enfants et les jeunes. Mais,pour cela, il faut aussi accéder à denouveaux créneaux dans deséquipements sportifs adaptés.

Enfin, la demande pour nos activitésEveil et école de sport est très forte.Là encore la municipalité nousannonce la saturation deséquipements sportifs du secteur.

Bien sûr, nous avons eu desrencontres, des échanges avec lesélus et chargés de quartier. Nousavons été écoutés, certes avecbienveillance, jusqu'à partager lemême diagnostic de déficit de locauxadaptés, mais, pour l'instant, nousattendons des réponses concrètesd'équipements de proximité surSaint-Joseph.

Pendant ce temps-là, les immeublesenvahissent le secteur, sans quenous puissions espérer le moindreespace collectif. Notre crainte est devoir encore des bas d'immeublesrester inoccupés pendant des moisou des années. Un comble, carcertains de ces espaces auraient pu

être dédiés à des espaces collectifs.

Chaque association du secteurprépare en ce moment sa prochainerentrée, recensant ses besoins etpeaufinant ses offres d'activités.

Encore une fois, pour accueillircomme il se doit tous les nouveauxhabitants du quartier, il nous estimpératif de connaître dans le détailles perspectives d'infrastructuresnécessaires au développementculturel et sportif sur notre quartierencore dynamique !

L'ALPAC, forte de ses 1 500adhérents accueillis du mieux qu'ellele peut par ses bénévoles, demandeavec détermination les annonces dela municipalité nantaise, sur sa visionconcrète dans ces domaines.

Depuis le départ de Gérard Lossel -grand merci à lui pour tous ses écrits -Ouest-France n'a plus decorrespondant local sur le secteurSaint-Joseph/Beaujoire.

Nous nous faisons le relai de cegrand quotidien pour passer cetteannonce.Peut-être êtes-vous intéressé, ouconnaissez-vous quelqu'un qui leserait, pour postuler à cette mission ?

Voici quelques indications émanantd'un collègue correspondant sur unautre secteur :Cette activité est une activité nonrémunérée, mais nous sommes

"défrayés" si l'article que nousproposons est publié. Cette activitén'exige pas une mobilisation à tempscomplet.C'est le correspondant lui-même quiorganise son planning et ses rendez-vous. Le journal n'exige pas uneproduction minimale. C'est, en fait,l'actualité qui commande.

Le profil recherché est simple. Il fautune aptitude rédactionnelle ; êtreimplanté sur son quartier est un plus,mais pas indispensable, pour autant.Il faut s'intéresser à la vie du quartier(social, associatif). Il faut " aimer lesgens, et les contacts avec ces gens. »

Ensuite, les propositions de sujetsviennent rapidement, lorsque lapersonne commence à être connue.Les premiers relais à contacter sontles Mairies annexes, les Maisons dequartier, etc.

Autre chose : il faut aussi disposerd'un ordinateur et, bien sûr d'unappareil photo (quel que soit lemodèle).

Alors si vous êtes intéressés,contactez l'ALPAC, qui vous mettra enrelation avec ce correspondant etOuest-France.

Michel Gautier

A M I C A L E L A Ï Q U E P O R T E R I E A R T S E T C U L T U R E - A L P A C - A M I C A L E L A Ï Q U E P O R T E R I E A T H L É T I C C L U BM a i s o n d e s A s s o c i a t i o n s - 47 8 r o u t e d e S a i n t - J o s e p h - 4 4 3 0 0 N a n t e s - T é l . 0 2 4 0 2 5 2 1 3 [email protected] 12 www.alpacnantes.net

Michel GautierC. Blanquet -- B. Courcelle - JP. Hamon - D. Héroult - L. Le Bail - G. Le Du.

Atelier d'écriture, Athlétisme, Danse moderne, École de sport, Gymnastique,Musique, Théâtre.

2 À la bibliothèque 1001 pages de l'ALPAC

(Maison des Associations de Saint-Jo) Chez nos boulangers Sur le présentoir de la Mairie annexe du Ranzay Au Marché U de La BeaujoireEn attendant, retrouvez le Petit Journal et les activités surhttp://alpacnantes.net

envoyez-les bien avant, si possible. Merci.Contactez les responsables de vos activités à l'ALPAC ouécrivez à la rédaction : [email protected] [email protected]

Dès 8 h 30, les responsables et les personnes chargées d'animer ou d'encadrer les activités seront présentspour vous informer et recueillir vos inscriptions

Les activités culturellesAnglais ; Arts plastiques ; Atelier d'écriture ; Bibliothèque ; Chorale ; Couture ; Danse moderne ; Danses

bretonnes ; Dynamômes ; Informatique ; Lire et faire lire ; Ludolire ; Musique ; Photo ; Sophrologie ; Théâtre ;Vidéo ; Yoga.

Les activités sportivesAthlétisme ; Badminton ; Cyclotourisme ; Ecole de sport ; Gymnastique ; Marche nordique ; Pétanque.

Les animationsBibliothèque 1001 pages ; Festive (fête du culturel) ; Fête du jeu ; Expositions photos ; Corrida de la Beaujoire ;

Lotos ; Belotes ; Rencontres sportives ; Pas athlétique ; "Le Petit Journal de Saint-Jo".

Informations : Dès maintenant auprès des responsables d'activité ou au 02 40 25 21 38 Fin juillet sur le site alpacnantes.net ou al-nanteserdre.org Fin août avec le livret distribué dans les boites aux lettres et disponible à la bibliothèque 1001 pages. Début septembre : au forum le samedi 7 (gymnase 1 complexe Jean-Jahan, ou lors des permanences à lamaison de quartier (entrée rue Louis pergaud) du lundi 9 au 13 de 17 h à 19 h et le samedi 14 de 9 h à 12 h.

Documents

J' suis toujours là - alpacnantes.ovh