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1 J’AI RÉUSSI AU BOUT DE 2 ANS À VOIR MA FEMME JOUIR AVEC UN AUTRE HOMME J’ai longtemps rêvé de voir ma femme jouir avec un autre en ma présence. J’ai évoqué ce fantasme avec Afifa, ma femme (42 ans, 1.68m, 85 C) mais elle n’était absolument pas réceptive. Très pudique et réservée, elle n’imaginait pas une seconde assouvir ce fantasme. Peu sûre d’elle, malgré des seins magnifiques qu’elle savait faire de l’effet, j’ai dû l’amener progressivement à prendre conscience que son corps pouvait émouvoir et troubler les hommes. Sur la plage, elle n’acceptait que les seins nus, et encore, pour se promener elle remettait son soutien-gorge. Un jour, je l’ai emmené sur une plage naturiste. Surprise, elle n’a pas refusé mais a gardé son string. Au bout d’un moment, je lui ai fait remarquer que tout le monde était nu et qu’elle se faisait remarquer avec son string. Elle m’a répondu : « c’est mon affaire ! » Je suis allé me baigner et au retour, elle n’avait plus de string, avait même les cuisses un peu écartées et faisait semblant de dormir. Elle s’est retournée et m’a dit : « tu es content ? » Je l’ai prise dans mes bras et ai caressé ses seins. Je bandais de la voir ainsi offerte au regard des hommes qui passaient. J’avais proposé à Afifa d’aller dans un club échangiste, mais là aussi le refus était catégorique : « je ne veux pas me faire baiser par n’importe qui. » Je lui ai expliqué qu’elle n’était pas obligée de baiser, ni même de faire quoique ce soit. « Au pire, tu risques de te faire mettre la main aux fesses et te faire un peu caresser les seins, c’est tout. » Pour me faire plaisir, le jour de mon anniversaire, elle accepta en me précisant bien que c’était pour voir, mais qu’elle ne ferait rien. Le samedi soir suivant, nous allons au 2+2. Elle n’est pas très à l’aise, mais je ne la quitte pas d’une semelle. Nous montons à l’étage et découvrons des couples qui se caressent, d’autres qui font l’amour avec des mains baladeuses sur les couples d’à côté, d’autres qui se sucent... Afifa regarde un peu effarée. Moi je bande. Je l’emmène dans un coin obscur et commence à la caresser. Elle se laisse faire. Je déboutonne sa veste et fais jaillir ses seins par-dessus son balconnet de soie. Je suce ses seins tout en remontant sa jupe pour accéder à son sexe. Son boxer de soie, très échancré ne cache pas grand-chose. Un homme, la cinquantaine, s’assied à côté d’elle et sans rien demander met la main entre ses cuisses. Aussitôt elle le repousse. C’est fini, elle se fige et je ne peux rien attendre de plus. L’homme s’écarte sans un mot. S’il avait commencé par caresser sa nuque puis doucement descendu sur ses seins, elle se serait peut-être laissée faire ? Mais là, prendre son sexe brutalement c’était à coup sûr l’échec! Il ne se passera rien de la soirée, sauf moi qui, les mains baladeuses ai caressé de jolis seins et quelques chattes « au passage ». Ne voulant pas rester sur un échec, je l’ai convaincue de retourner dans ce club, maintenant qu’elle avait franchi le premier pas. C’est un peu plus décontractée que nous franchissons de nouveau la porte du 2+2. Cette fois-ci elle est plus sereine. Nous flânons un bon moment d’un lit à l’autre. Au milieu de ces corps en émoi, elle me laisse enlever sa culotte pour mieux la caresser. Sa chatte est humide ; elle mouille. J’écarte son chemisier et dégrafe son soutien-gorge. Je la fais se pencher au-dessus d’un lit. Ses seins ballottent au- dessus de la tête d’un homme qui se fait sucer. Je remonte sa jupe, baisse mon pantalon et là, je la baise debout, par derrière. Elle gémit et je décharge rapidement. C’est la première fois que nous faisions l’amour en public.

J’ai Réussi au Bout de 2 Ans à Voir ma Femme Jouir avec un Autre Homme

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Un mari réussit enfin à pervertir sa fidèle épouse à coucher avec d'autres hommes que lui.

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J’AI RÉUSSI AU BOUT DE 2 ANS À VOIR MA FEMME JOUIR AVEC UN AUTRE HOMME J’ai longtemps rêvé de voir ma femme jouir avec un autre en ma présence. J’ai évoqué ce

fantasme avec Afifa, ma femme (42 ans, 1.68m, 85 C) mais elle n’était absolument pas réceptive. Très pudique et réservée, elle n’imaginait pas une seconde assouvir ce fantasme.

Peu sûre d’elle, malgré des seins magnifiques qu’elle savait faire de l’effet, j’ai dû l’amener progressivement à prendre conscience que son corps pouvait émouvoir et troubler les hommes.

Sur la plage, elle n’acceptait que les seins nus, et encore, pour se promener elle remettait son soutien-gorge. Un jour, je l’ai emmené sur une plage naturiste. Surprise, elle n’a pas refusé mais a gardé son string. Au bout d’un moment, je lui ai fait remarquer que tout le monde était nu et qu’elle se faisait remarquer avec son string. Elle m’a répondu : « c’est mon affaire ! » Je suis allé me baigner et au retour, elle n’avait plus de string, avait même les cuisses un peu écartées et faisait semblant de dormir.

Elle s’est retournée et m’a dit : « tu es content ? » Je l’ai prise dans mes bras et ai caressé ses seins. Je bandais de la voir ainsi offerte au regard des hommes qui passaient.

J’avais proposé à Afifa d’aller dans un club échangiste, mais là aussi le refus était

catégorique : « je ne veux pas me faire baiser par n’importe qui. » Je lui ai expliqué qu’elle n’était pas obligée de baiser, ni même de faire quoique ce soit. « Au pire, tu risques de te faire mettre la main aux fesses et te faire un peu caresser les seins, c’est tout. » Pour me faire plaisir, le jour de mon anniversaire, elle accepta en me précisant bien que c’était pour voir, mais qu’elle ne ferait rien.

Le samedi soir suivant, nous allons au 2+2. Elle n’est pas très à l’aise, mais je ne la quitte pas d’une semelle. Nous montons à l’étage et découvrons des couples qui se caressent, d’autres qui font l’amour avec des mains baladeuses sur les couples d’à côté, d’autres qui se sucent... Afifa regarde un peu effarée. Moi je bande. Je l’emmène dans un coin obscur et commence à la caresser. Elle se laisse faire. Je déboutonne sa veste et fais jaillir ses seins par-dessus son balconnet de soie. Je suce ses seins tout en remontant sa jupe pour accéder à son sexe. Son boxer de soie, très échancré ne cache pas grand-chose.

Un homme, la cinquantaine, s’assied à côté d’elle et sans rien demander met la main entre ses cuisses. Aussitôt elle le repousse. C’est fini, elle se fige et je ne peux rien attendre de plus. L’homme s’écarte sans un mot. S’il avait commencé par caresser sa nuque puis doucement descendu sur ses seins, elle se serait peut-être laissée faire ? Mais là, prendre son sexe brutalement c’était à coup sûr l’échec! Il ne se passera rien de la soirée, sauf moi qui, les mains baladeuses ai caressé de jolis seins et quelques chattes « au passage ».

Ne voulant pas rester sur un échec, je l’ai convaincue de retourner dans ce club,

maintenant qu’elle avait franchi le premier pas. C’est un peu plus décontractée que nous franchissons de nouveau la porte du 2+2. Cette fois-ci elle est plus sereine. Nous flânons un bon moment d’un lit à l’autre. Au milieu de ces corps en émoi, elle me laisse enlever sa culotte pour mieux la caresser. Sa chatte est humide ; elle mouille. J’écarte son chemisier et dégrafe son soutien-gorge. Je la fais se pencher au-dessus d’un lit. Ses seins ballottent au-dessus de la tête d’un homme qui se fait sucer. Je remonte sa jupe, baisse mon pantalon et là, je la baise debout, par derrière. Elle gémit et je décharge rapidement. C’est la première fois que nous faisions l’amour en public.

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Après cette expérience somme toute assez concluante car, dans le feu de l’action elle

avait accepté de se laisser prendre discrètement, mais en public, il restait bien du chemin pour l’offrir à un autre homme.

Nous avons fréquenté les plages et coins naturistes où elle se mettait nue sans problème pour bronzer sur sa serviette mais avait du mal à se promener en tenue d’Ève. Un jour, en Guadeloupe nous étions nus à l’extrémité d’une plage déserte. Elle somnolait étendue au soleil. Je caressais ses seins et doucement, ma main est descendue entre ses cuisses qu’elle a entrouvertes pour que je lui donne du plaisir. J’ai commencé à jouer avec sa petite touffe et ai introduit un doigt. Elle gémissait. C’est alors que je me suis aperçu qu’un noir s’était assis sur un rocher tout près, juste en face de nous et se masturbait. Pour lui montrer que je n’étais pas hostile à ce qu’il matte ma femme, j’ai continué mes caresses, mais j’ai rapidement réalisé qu’Afifa risquait d’ouvrir les yeux et ne me pardonnerait pas de l’avoir ainsi exhibée. Je lui ai dit à l’oreille « ne bouge pas, un noir se masturbe en nous regardant. » Immédiatement elle s’est retournée et a mis sa serviette sur elle pour se dissimuler. Voyant que le spectacle était terminé, le noir est parti dans le petit bois derrière la plage.

Au bout d’un moment j’ai dit à ma femme : « il est parti, tu peux te retourner. » Elle continua sa séance de bronzage. Prise d’une envie, elle alla dans le petit bois. Je ne

sais pas pourquoi, mais j’étais persuadé que le noir attendait dans le bois pour voir s’il pouvait encore profiter du spectacle. Je bandais à l’idée que peut-être il se rinçait l’œil sur la chatte de ma femme qui, nue, les cuisses écartées se soulageait. À son retour, je l’ai de nouveau caressée et, couchée sur le côté, je l’ai baisée sur le sable. Peu après, le noir est sorti du bois et en partant a levé le pouce comme pour dire ; « c’était super ». Ma femme s’est demandée s’il l’avait vue ! Bien évidemment !

Une autre fois, à Marseille, nous nous promenions dans le quartier du Panier. Il faisait

très chaud. Afifa s’est plainte de la chaleur qui collait ses vêtements. Je lui ai alors proposé de retirer son soutien-gorge qui la serrait.

« On va voir mes seins, ce chemisier est transparent. » « Mais non, on ne voit presque rien au travers. » « Tu crois ? » « Mais oui, enlève-le ! » C’est ainsi que tout l’après-midi elle a déambulé dans les petites rues de Marseille en

offrant, sans vraiment le savoir, ses seins aux passants car à contre-jour, on voyait ses seins comme si elle était topless. Elle a quand même remarqué le manège de certains hommes qui sont repassés plusieurs fois face à nous.

Le mois suivant, aux Canaries, nous avons fréquenté régulièrement une petite plage

naturiste très isolée. Il fallait marcher au moins 20 minutes sur un petit chemin pour l’atteindre. Après un après-midi sur cette plage où nous nous caressions de temps à autre, comme beaucoup de couples d’ailleurs, nous avons pris le chemin du retour. « Fais-moi plaisir, reste avec ton chemisier ouvert pour rentrer. » Elle s’exécute. Son chemisier vole au vent et dévoile ses seins qui pointent. Un homme arrive face à nous. Elle resserre son chemisier.

« Non, tu dois rester les seins offerts ! » « C’est instinctif, quand je vois quelqu’un je les cache. » « Viens. »

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Je noue les pans de son chemisier dans le dos. « Comme ça tu ne pourras plus agir instinctivement ! »

Serrée par ce chemisier maintenu dans le dos, elle doit se tenir bien droite, ce qui met ses seins en valeur. Un couple arrive, nous le voyons à une vingtaine de mètres. Afifa est coincée, elle ne peut fuir, elle doit s’exhiber. Elle prend une allure faussement naturelle. L’homme fixe ses seins et lance : « Joli ! » Sa femme curieusement semble apprécier, elle aussi. Puis 2 jeunes et bientôt un autre couple plus âgé... Ainsi elle a offert ses seins à une bonne dizaine de randonneurs, tous surpris mais très contents et j’ai eu du plaisir à imaginer qu’ils se sont masturbés le soir venu en pensant aux jolis seins d’une randonneuse croisée par hasard.

Nous sommes retournés une troisième fois en club échangiste, mais cette fois-ci dans un

autre club. Elle ne s’est pas trop fait prier pour venir. Arrivés sur place, nous descendons l’escalier et nous retrouvons face au bar. Nous allons

nous asseoir sur une banquette juste à côté. Afifa porte une petite robe de soie grise et blanche, à fines bretelles, sans soutien-gorge. Rapidement je remonte sa robe et passe mes doigts dans son string.

« Tu veux que je l’enlève, » propose-t-elle? « Oui, ça sera plus pratique! » Et sans faire attention aux couples qui étaient là ; elle enlève son string et me le donne.

Je le mets dans ma poche et l’embrasse. Quelle évolution ! Nous faisons un tour général. Il y a une pièce réservée aux fumeurs avec des banquettes,

mais ne rentrons pas. Plus loin des alcôves à 2 ou 4 places, ouvertes où des couples font l’amour. Au fond d’un couloir une série de matelas cote à cote déjà bien occupés et une petite pièce ou les couples, serrés l’un contre l’autre dansent en se caressant. Nous dansons. Je lève sa robe et dévoile ses fesses que je caresse en dansant. Je sens plusieurs mains sur ses fesses et entre ses cuisses.

« On me patouille ! » me dit-elle à l’oreille « Non, on caresse ton petit cul ! » C’est le couple d’à côté qui a entrepris ce jeu. J’en profite pour caresser à mon tour les

fesses et le sexe de la femme, ma fois très belle. Ce couple devenant très entreprenant, Afifa m’entraine dans un autre coin de la salle.

Dommage ! Ce jeu à 4 et 6 mains me plaisait... Nous allons boire un verre. Je propose à Afifa de retourner danser. « Non, va y tout seul,

je reste là. » Je me promène de salle en salle. Une femme est allongée sur une petite banquette. Un

homme est entrain de lui faire l’amour. Je caresse doucement un de ses seins. Elle semble apprécier. Je pelote maintenant ses seins à pleine mains. De temps en temps, ma main descend jusqu’à son sexe. Je sens la queue de son mari qui va et vient entre mes doigts. Je prends beaucoup de plaisir à ce jeu, mais ne m’éternise pas.

Je rejoins Afifa. Je l’entraine dans une alcôve. Elle s’allonge. Je descends le haut de sa robe pour dévoiler ses seins et remonte le bas pour exhiber sa chatte. Sa robe n’est plus qu’une ceinture autour de la taille. Elle est nue, seins dressés, cuisses entrouvertes, lascive. Je joue avec sa touffe bien taillée en triangle. Je caresse ses seins, introduis 2 doigts dans son sexe qui vont et viennent. Des couples passent, jettent un œil, hésitent, continuent leur chemin. Un couple s’arrête. Il nous regarde. Afifa yeux mi-clos ne semble pas les voir. Elle est tout à son plaisir. L’homme caresse sa femme, ouvre son chemisier. Il passe la main sous sa jupe. La femme ouvre le pantalon de son mari, sort sa queue et le masturbe. Ces caresses

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mutuelles, sans échange durent assez longtemps. Je retire mon pantalon, lève les jambes d’Afifa, très haut et introduis mon sexe en elle. Elle ne peut retenir un petit cri. Elle jouit. Le couple se masturbe en nous regardant faire l’amour. Je leur fais un petit signe pour qu’ils viennent participer. J’aurais aimé que l’homme caresse les seins d’Afifa pendant que je la baisais, comme je venais de le faire avec l’autre couple, mais la femme retient son mari. J’éjacule avec un plaisir infini. Je me retire et m’allonge à côté d’elle, toujours offerte. Un filet de sperme coule le long de sa cuisse. Je l’essuie avec un Kleenex. Deux autres couples que je n’avais pas vus, dans mon dos, nous ont regardés faire l’amour. Une des femmes a les seins nus. Des seins magnifiques qui pointent de désir. Afifa réalise qu’elle s’est donnée en spectacle. Je la couvre de baisers pour lui montrer le plaisir qu’elle m’avait donné à s’offrir ainsi et lui fais remarquer qu’elle a donné aussi du plaisir à 3 autres couples. Ils ont joui de nous voir jour, On progresse ! Je l’aime.

Un jour, je lui faisais l’amour en la caressant avec une huile parfumée. Tout son corps

répondait à mes caresses. Je lui ai dit : « Je n’ai pas assez de mains pour te caresser partout à la fois. Tu n’aimerais pas avoir 4

mains sur toi pour te faire caresser ? » « Si, ça doit être bon ! » « Et 2 queues pour te faire jouir ? » « Pourquoi pas ? » Je n’en revenais pas ; du fantasme rejeté, on passait au possible... Je vais devoir jouer finement pour ne pas rompre ce fil ténu qui pourrait conduire à mes

fins. Enfin ! « Avec qui aimerais tu faire cette expérience? » « Tu sais bien que je ne veux pas m’offrir à n’importe qui. Laisse tomber. » « Tu veux faire ça avec des amis ? » « Surement pas ! » « Alors avec un inconnu ? » « Pas question, il faudrait une occasion et que le hasard fasse bien les choses. » « On pourrait passer une annonce sur Internet. » « On va tomber sur des malades et des pervers. » « On peut toujours essayer. » « Fais ce que tu veux, mais moi je ne m’en occupe pas ! » Je fini de lui faire l’amour, mais ma tête est déjà ailleurs. Le lendemain, je rédige un projet d’annonce : « Couple la quarantaine cherche pour première expérience triolisme, homme 30/40, doux,

caressant et très attentionné. Monsieur partant pour cette aventure, madame très réservée appréhende un peu. »

Suivent les mensurations et la description d’Afifa : brune, cheveux courts, très jolis seins 85C et la mention : « rapports protégés de rigueur ».

Je soumets ce texte à Afifa. « Tu ne perds pas de temps, si ça t’amuse! » « On peut toujours tenter, on ne risque rien. Laissons venir les réponses. » « Tu ne devrais pas mettre “rapports protégés”. D’abord ça va de soi et en plus ils vont

imaginer qu’ils me baisent déjà. Tout doux, ce n’est pas fait, on va voir. » « Alors, je l’envoie. »

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« Vas-y, puisque tu y tiens. » Un clic et c’est parti.... On ne tarde pas à avoir des réponses. Je l’attends, le soir, pour découvrir ce qu’on nous

propose. Effectivement, une foule de messages, souvent grossiers ou vulgaires, avec des photos de

mecs à poils, des gros plans sur des queues en érection... Quelques messages plus softs et, parmi toute cette débauche de mâles en rut, une photo retient l’attention d’Afifa.

« Regarde celui-là. » On voit 2 mains ouvertes sur un drap blanc avec ce message « Ces mains sauront

t’apprivoiser et te donner du plaisir. Sauras-tu t’abandonner et accepter mes douces caresses ? »

« Lui au moins est original. » « On lui répond ? » « Si tu veux. J’aimerais savoir à quoi il ressemble. » Je réponds : « Ton message a retenu notre attention. Pourrais-tu envoyer une photo de

ton visage et te décrire un peu ? » Moins d’une heure après, on avait la réponse : « Marc, 38 ans, divorcé, brun, 1.78m, 73kg.

Je suis très prévenant et aimerais être celui qui fait découvrir en douceur le triolisme à madame. »

« Sur la photo, il paraît pas mal. » « Alors qu’est-ce qu’on fait ? » « C’est à toi de voir. » « Tu serais d’accord pour cette essai ? » « Depuis le temps que tu en rêves on peut toujours le rencontrer. » « OK, je lui propose un RDV dans un café près de chez lui. On discute avec lui et après, on

décide. » « Comment tu fais, si on y va on est presque obligé de donner suite... » « Non. Je te propose de voter à la fin de notre rencontre. Par discrétion on aura chacun

un papier OUI et un papier NON. S’il y a 3 oui, on y va. S’il y a 1 seul non, sans chercher à savoir qui a voté NON on abandonne. Comme ça, jusqu’au dernier moment on peut tout stopper. »

« Pourquoi pas ? » « Alors je lui répond qu’on est OK pour un rendez-vous vers 16h samedi et lui explique le

coup des petits papiers de vote ? » « OK, si au dernier moment je ne veux pas, je te préviens je ne prends aucun engagement,

c’est juste pour voir... » « D’accord, je lui explique et insiste sur le fait que notre démarche peut s’interrompre

sans qu’il se vexe pour autant. » « Allez, vas-y. » J’embrasse Afifa et envoie le message. Je n’en reviens pas, elle a franchi le premier pas. Marc devait attendre la réponse car rapidement on reçoit ce message : « OK pour samedi, au Café près de chez moi (avec l’adresse) à 16h. Je serai en terrasse.

Prenez un journal, genre “Paris Match” pour que je vous reconnaisse. J’ai bien compris que

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votre décision sera prise à la fin de cette rencontre. En espérant avoir le plaisir de poursuivre au-delà de ce rendez-vous. »

Nous répondons : « À samedi. J’aurai Paris-Match dans la main. » Nous sommes jeudi. Il faut attendre 2 jours. Je suis aussi impatient qu’inquiet de la

réaction d’Afifa. Pendant ces 2 jours, je la cajole. Je ne pense qu’à ça, et sans doute elle aussi, mais nous

n’en parlons pas, ou si peu. Je décide avec elle de la tenue qu’elle mettra. Pour l’occasion, je suis passé acheter un

mini-string ficelle en soie blanche avec un petit triangle de strass dans le dos pour relier la ficelle de la taille à celle qui passe entre les fesses. Le samedi matin, je la sens inquiète. Je lui propose de m’occuper de ta petite touffe pour bien la tailler et redéfinir les contours au rasoir. Elle s’allonge sur une serviette et écarte les cuisses. J’ai l’impression de la préparer pour un sacrifice. Habituellement ce genre de séance se termine par une pénétration, mais aujourd’hui elle est tendue et je veux garder toutes mes forces pour cet après-midi.

On déjeune succinctement et sans beaucoup parler. À 15h30 on prend le métro. Dans le métro, je suis assis en face d’elle. Avec son petit tailleur noir (petite jupe droite,

veste très échancrée fermée par 2 boutons), elle a un petit côté BCBG malgré son soutien-gorge balconnet qui fait pigeonner ses seins. Heureusement, ses cheveux courts, un jonc d’argent autour du coup, ses chaussures à talons hauts avec 2 brides cerclant sa cheville et un maquillage discret la rendent plus coquine... Elle est belle ! C’est ma femme et je vais l’offrir à un homme... ou lui offrir un homme ? Là est la question. Si elle accepte, le fera-t-elle par amour pour me faire plaisir, ou par plaisir parce qu’elle en a envie ? Les 2 j’espère.

Nous arrivons dans le quartier pile à 16h. Nous décidons de le faire un peu attendre et essayons de le repérer du trottoir d’en face. C’est le printemps et le temps est superbe.

« Je pense que c’est lui à la dernière table en terrasse. » Nous faisons le tour du pâté de maison et, tenant Afifa par la taille et Paris-Match dans

l’autre main, nous traversons face au café. C’est bien lui, il se lève à notre approche pour nous saluer : « Bonjour » dit-il en nous

serrant la main. Afifa est intimidée mais pas déçue. C’est un bel homme aux yeux marrons, avenant et souriant.

Nous commandons un café et parlons de choses sans importance et le questionnons un peu.

Il est divorcé depuis 2 ans et a une petite fille de 4 ans qu’il voit tous les 15 jours. Il habite un 2 pièces à 5 minutes. Il travaille dans une boîte d’informatique. Afifa écoute, ne dit rien. Je règle les consommations et interviens : « comme je te l’ai annoncé, j’ai promis à Afifa qu’elle n’était en rien engagée et qu’on voterait pour valider l’accord de chacun. »

« Oui, oui, c’est d’accord. » Je donne discrètement à chacun 2 petits papiers : 1 oui et 1 non. Je ne me fais aucune illusion sur le vote de Marc qui la dévore des yeux et semble

subjugué par son décolleté. Quant à moi, j’en rêve depuis si longtemps que je n’attends que ça. Reste Afifa ! Franchira-t-elle le pas ou abandonnera-t-elle au dernier moment.

Je récupère les 3 petits papiers pliés : OUI, OUI... et OUI ! Je pose la main sur les genoux d’Afifa et l’embrasse tendrement. Elle me répond par un

sourire qui en dit long : « Tu as gagné. » (Elle m’avouera par la suite que depuis le temps que

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j’en rêvais, elle n’avait pas osé refuser, et que si elle devait « passer à la casserole » autant que ce soit avec lui qui est plutôt beau gosse et a l’air sympa.)

« Alors on te suit. » On se lève. Afifa marche entre Marc et moi. Je la tiens toujours par la taille et de temps

en temps caresse ses fesses. Marc marche assez vite et Afifa ne peut pas faire de grandes enjambées avec sa jupe. Il ralentit avec un petit sourire.

On pénètre dans son immeuble et prenons l’ascenseur. Nous montons au 3ème étage. Marc ouvre sa porte. Nous rentrons dans son séjour

baigné de lumière. Il nous fait asseoir sur un canapé face à la fenêtre et va dans la cuisine chercher du champagne.

Il nous sert et s’assied face à nous sur un pouf. « À nous ! » dit-il en trinquant. Tout en buvant, nous parlons de son appartement, son quartier... Moi je passe un bras

autour du coup d’Afifa et l’air de rien passe la main sous sa veste et lui caresse un sein. Afifa fait comme si de rien n’était. Marc ne perd rien de vue. Je pose mon verre et détache le premier bouton de sa veste. Je fais glisser la bretelle de son soutien-gorge et fais jaillir son sein par-dessus le balconnet. Son regard semble me reprocher : « Tu exagères ». Je pelote ouvertement ce sein qui ne tarde pas à pointer. Nous vidons nos verres. Marc écarquille les yeux.

Je pose les mains sur les genoux de ma femme et, après avoir relevé un peu sa jupe, j’écarte ses genoux. Immédiatement elle les resserre. Je lui glisse à l’oreille « Cool, laisse toi aller, écarte les jambes. » Sans un mot elle ouvre doucement, lentement, imperceptiblement ses cuisses jusqu’à ce que sa jupe limite l’entrebâillement. Pour se donner une contenance, Marc nous serre un second verre et se rassied sur son pouf. Comme nous sommes face au soleil, je sais qu’il voit tout sous sa jupe : son abricot gonflé, fendu par la ficelle du string que je lui ai offert la veille, sa touffe dont les poils doivent briller au soleil, ses cuisses. Nous restons ainsi à siroter notre 2ème verre.

Je fais signe à Marc de nous rejoindre sur le canapé. Il caresse la nuque d’Afifa et ne tarde pas à caresser son sein en embrassant son épaule

nue. Je détache le dernier bouton de sa veste et nous prenons chacun un sein. Afifa se laisse faire, les yeux mi-clos.

Le sexe de Marc fait gonfler son pantalon. Le mien n’est pas plus sage! Je passe la main sous la jupe d’Afifa et passe un doigt sur sa fente. Elle mouille ! C’est gagné. À partir de ce moment, je sais qu’elle prendra du plaisir dans ces ébats.

Je pose la main d’Afifa sur le sexe de Marc. Elle le caresse tout en en dessinant les contours. Marc détache sa ceinture et déboutonne son jean. Afifa hasarde une main dans son pantalon. Il n’a pas de slip! Elle sort un sexe dressé, trapu, épais, pas très long, mais avec un gland très prononcé. Je n’ai jamais vu un gland aussi gros. On dirait un champignon. Afifa me regarde, surprise. Mon sexe, plus long, est lisse et j’imagine déjà l’effet que fera ce gland quand il se fraiera un chemin entre les cuisses de ma femme. Afifa le tient dans sa main quelques instants, le masturbe 2 ou 3 fois et le laisse.

Marc nous propose de passer dans la chambre. C’est une pièce aux lumières tamisées par un voilage. Un grand lit trône au milieu de la

pièce. Il est recouvert d’un drap blanc. Il y a un gros oreiller. À côté, sur une petite table : des préservatifs, une bouteille d’eau et une boîte de Kleenex.

Afifa est debout près du lit, veste grande ouverte.

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Je me place derrière elle et fais glisser sa veste qui tombe par terre. Je descends la fermeture éclair de sa jupe qui tombe à son tour. Elle apparaît les seins pigeonnants, avec son string qui donne plus à voir qu’il ne cache, avec son petit triangle de strass. Marc ne perd pas une bouchée de cet effeuillage. Je pousse les vêtements d’Afifa du pied et invite Marc à continuer de la déshabiller. Il prend ma place. Il dégrafe son soutien-gorge, fait glisser les bretelles. Il tombe sur le sol. Prenant appui sur les hanches de ma femme, il s’accroupit en descendant lentement son string tout en caressant ses fesses. Afifa dégage du pied ce mini-triangle de soie.

Elle est là, seins dressés, superbes, touffe bien taillée en triangle, comme une flèche indiquant « C’est là que je t’attends », perchée sur ses talons. Elle est nue, plus que nue : OFFERTE.

Elle s’allonge sur le lit, une main sous la tête pour voir Marc qui se déshabille (il bande très fort) et l’autre sur son sexe comme pour dissimuler encore un instant ce qu’elle s’apprête à lui offrir!

Marc est nu. Il bande. C’est un beau mec... avec cette queue bizarre plantée entre les

cuisses. Il se met au pied du lit. Moi, sur le côté, je tiens la main d’Afifa. Doucement, mais fermement, il écarte les jambes d’Afifa et très excité, enfouit sa tête

entre ses cuisses. Il la lèche, donne des coups de langue appuyés qui fouillent sa chatte. Il la maintient par les cuisses pour mieux l’écarteler. Elle gémit sous ses coups de langues. Elle adore se faire lécher. C’est une bonne mise en bouche, si l’on peut dire. Il tente d’introduire sa langue entre ses lèvres. De son nez, il excite son clitoris. Elle adore. Elle me serre très fort la main et se pince les lèvres pour ne pas crier. Je lui dis ; « lâche-toi, crie si tu veux. » Il joue avec sa toison et introduit un doigt dans son sexe. Elle pousse un petit cri de plaisir. Puis un deuxième doigt et titille son clitoris avec le pouce. « Ha, c’est bon, continue, j’aime ça, vas-y, vas-y... » et elle lui tient la tête pour qu’il se fasse encore plus pressant.

Je lâche la main d’Afifa car elle n’a plus besoin d’être rassurée. Il est temps que je

participe activement à ces ébats. Je me déshabille en un clin d’œil. Je bande moi aussi très fort. Afifa s’accroche au drap et les yeux mi-clos se laisse aller à son plaisir. Elle halète au rythme du va et vient des doigts de Marc dans sa chatte. Je caresse ses seins, ses cuisses, ses épaules. Elle attrape ma queue et la caresse et la masturbe doucement. Elle a 4 mains et 2 queues à son service et qui ne demandent qu’à lui donner du plaisir. Elle semble bien décidée à en profiter.

Discrètement, Marc attrape un préservatif qu’il enfile. Je profite que la place soit libre pour caresser la chatte d’Afifa qui est trempée. Il s’agenouille sur le lit, entre ses cuisses. Il lève haut ses jambes et passe son gland de haut en bas et de bas en haut sur les lèvres chaudes d’Afifa. Il pousse sur son sexe et son gland disparaît. Afifa pousse un cri. Il se retire et rapproche ses genoux des fesses d’Afifa pour mieux la pénétrer. Il pousse à nouveau sa queue dans la fente d’Afifa. Je suis prêt à exploser. C’est le moment que j’attends depuis si longtemps.

« Va-y, baise-la, baise-la ! » Le sexe de Marc s’enfonce doucement. Afifa crie. Elle ne peut se retenir : « Ah oui, ah oui... » Il la possède, il la pénètre jusqu’à la garde. Leurs poils se mêlent. Afifa inconsciemment

me masturbe. Je n’en peux plus, j’éjacule dans une poignée de Kleenex. Elle continue de

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gémir. Marc augmente le rythme de ses va et vient. À chaque mouvement, ses couilles frappent la chatte d’Afifa dans un bruit sourd et humide.

« Vas-y, vas-y..... baise-moi, baise-moi, baise-moi !!!!! Ha, c’est bon... c’est bon ! » Elle est complètement désinhibée. Elle est aux anges. Elle jouit comme jamais je ne l’ai

vue jouir. Elle crie comme jamais je ne l’ai entendue crier. Je suis heureux, je l’aime. Plus Marc accélère, plus elle crie. Elle prend ma main et me regarde : « Chéri, y m’défonce et j’aime ça !!! Tu veux bien ? » « Jouis, j’aime te voir jouir ! » Il lâche les jambes d’Afifa et se penche sur elle pour caresser ses seins. Ses seins fermes,

tendus, pointent. Il les mordille, les suce, les pelote à pleines mains. Il en prend possession avec toute sa vigueur. Planté en elle il continue ses va et vient jusqu’à la garde. Moi, un peu fatigué, je m’assois sur le bord du lit et embrasse Afifa. Marc se crispe, il tient Afifa par la taille et s’immobilise. Il éjacule ! Afifa s’en rend compte et le serre contre elle, caresse ses fesses et trésaille sous un dernier coup de boutoir. Il l’a totalement possédée. Marc s’écrase sur elle et la couvre de tout son corps. Il reste en elle un moment puis se tourne sur le côté pour enlever et nouer discrètement son préservatif.

Afifa est sur le dos, seins et chatte offerts. Marc s’allonge à côté d’elle, passe une jambe par-dessus ses cuisses comme s’il voulait la maintenir prisonnière. Il prend son sein et embrasse ses épaules. Sa queue ramollie repose sur la cuisse de ma femme. Afifa continue de caresser ses fesses rondes et musclées et joue avec ses couilles par derrière. Marc, las, se laisse faire et semble somnoler.

Je les regarde tels 2 amants épuisés par leurs galipettes. Au bout d’un moment, Marc se lève pour boire un peu d’eau. Il en offre à Afifa. Je demande à Afifa de se mettre à 4 pattes sur le lit. Je détache ses chaussures. Elle met

l’oreiller sous son ventre et appuyée sur les avant-bras, tend sa croupe. Je me place derrière elle et d’un geste lent mais sûr je la prends en levrette. C’est sa position préférée pour faire l’amour. De nouveau, elle gémit. Mon bas-ventre rencontre son cul à chaque fois que ma queue butte en elle.

Marc posté en tête du lit nous regarde. Il a repris de la vigueur. Sa queue raidie est face au visage d’Afifa. Son sexe est rasé, il n’a gardé qu’une touffe sur le pubis. Manifestement, il aimerait se faire sucer. Afifa se retourne vers moi. Je lui fais un petit signe entendu « tu peux le sucer ». En effet, lorsque nous parlions candaulisme elle m’avait demandé :

« Mais tu ne serais pas jaloux de me voire faire l’amour avec un autre ? » « Non, je crois vraiment que ça me ferait jouir! Ce que je n’aimerais pas, je crois, c’est de

te voir sucer un autre homme ! » Afifa ouvre la bouche et Marc engouffre sa queue dans la bouche de ma femme. C’est la

première fois qu’elle à 2 queues en elle : la mienne dans sa chatte, celle de Marc dans la bouche.

Malgré les secousses engendrées par mes coups de boutoir, Afifa ne lâche pas la queue de Marc. Elle doit sentir son odeur de mâle en rut et j’imagine ses joues déformées par le gland de Marc. Il maintient sa tête et enfonce profondément son membre. À 2 reprises Afifa a des haut-le-cœur.

Je tiens Afifa par les seins. Bien qu’ils soient fermes, ils ballottent et suivent le mouvement.

J’éjacule brusquement en 3 jets puissants.

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Afifa s’étale sur le lit, à plat ventre, les fesses relevées par l’oreiller qui est sous son ventre.

Marc vient lui caresser les fesses et passe ses doigts sur sa fente humide. Un peu de sperme coule entre ses cuisses et vient tacher le drap. Marc bande toujours.

Je laisse la place à Marc qui demande à ma femme de le chevaucher. Il se couche sur le

dos, sexe dressé vers le plafond. Il attrape un préservatif et se couvre de latex. Elle, debout sur le lit, met un pied de chaque côté, face à lui et descend doucement. Elle prend la queue de Marc et s’empale littéralement dessus. Au passage du gland elle ne peut retenir son plaisir : « ah oui, ah oui ».

Elle ferme les yeux et continue de s’enfoncer le sexe de Marc. Elle l’engloutit complétement. Elle est assise sur son pubis. Leurs poils se mêlent. Marc la soutient par les seins. Cette fois, elle ne se fait pas prendre, c’est elle qui prend possession du sexe de Marc, à son rythme, Ce n’est plus le sexe de Marc qui s’immisce en elle, c’est elle qui s’enfonce sur le sexe de Marc. Doucement elle monte et descend en gémissant :

« Ha c’est bon, c’est bon... Je te sens bien, j’aime ça, fais-moi jouir. » Marc accompagne ses mouvements avec son bassin. Sa queue comble son vagin elle la

sent remplir son sexe. Il maintient la pression, la tire un peu en avant pour pouvoir à son tour jouer avec sa queue et aller et venir entre ses cuisses. Il ne se lasse pas de ses seins, qu’il caresse, embrasse, suce, pelote vivement, rapproche, soulève, titille, pince, il en est fou. Ma femme a toujours fait beaucoup d’effet avec ses seins. Ils sont si beaux : bien pommés, fermes, hauts portés avec des aréoles bien dessinées, des pointes sensibles qui « transpercent » ses chemisiers... Depuis l’âge de 20 ans elle a ces seins et les entretient car ils sont toujours aussi magnifiques à 42 ans. Elle s’est déjà fait complimenter dans l’ascenseur par un collègue : « on a déjà dû vous dire que vous aviez de beaux seins. » Elle a rougi et est sorti de l’ascenseur. Sans parler des regards insistants sur ses décolletés et des mains furtives et baladeuses dans les clubs. J’en suis fou, moi aussi, moi surtout !

Afifa se redresse, se cabre en arrière et dresse son buste pour mettre ses seins en valeur. Elle accélère ses montés/descentes sur la queue de Marc qui ne tarde pas à la maintenir empalée sur lui et à éjaculer. C’est la 3ème fois qu’Afifa se fait baiser cet après-midi. Elle s’allonge sur lui un moment puis lève une cuisse et se dégage du membre de Marc qui fléchit. Moi, je les ai regardés se donner du plaisir et j’en ai pris tout autant.

Marc reste allongé, Afifa s’allonge à côté. Ils sont là, côte à côte, sages... malgré parfois quelques caresses d’Afifa sur le sexe de Marc et de Marc sur les seins et l’entrecuisse d’Afifa. Moi, je suis debout et de temps en temps caresse Afifa qui me regarde tendrement et semble me dire « Je suis bien, j’espère que toi aussi tu prends ton pied. »

Marc, remis de tant d’efforts demande à Afifa si elle veut prendre une douche. Elle acquiesce. Il l’entraine dans la salle de bains. Ils sont seuls tous les deux, nus, moi je reste là à me reposer et les savoir seuls m’excite un peu... de plus en plus. Que font-ils ? .... Je décide de les laisser au moins un quart d’heure et irai les retrouver ensuite. Je m’allonge et je crois, m’assoupis un peu malgré les idées qui passent dans ma tête !

N’y tenant plus, je me dirige vers la salle de bains, pousse la porte. Ils sont debout dans la

douche (une grande douche à l’italienne), Marc est dans le dos d’Afifa qui le tient par les fesses. Collée à lui j’ai l’impression qu’il est en train de la sodomiser ... ce qui m’étonne car à chaque fois que je l’ai sodomisée, la pénétration état douloureuse et je ne vois pas comment il aurait pu introduire sa grosse queue surmonté d’un gland très prononcé dans

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son petit trou si fragile. En m’approchant, ils se séparent et je constate qu’il écrasait tout simplement sa queue dans le dos d’Afifa en la serrant contre lui pour mieux prendre ses seins et son entrecuisse. Ils sont pleins de mousse. Je les rejoins et ouvre le mitigeur. Je me savonne à mon tour. Nous jouons à 6 mains. Marc et moi caressons Afifa, ses épaules, ses anches, ses cuisses, ses fesses, sa chatte, sa touffe, et bien entendu ses seins...

Afifa joue avec nos sexes, nos bourses, nos fesses.... Nos mains se croisent, se bousculent et je ne sais par quel hasard, je me retrouve avec la queue de Marc dans la main. Loin de se dégager, Marc prend mon sexe à son tour et imperceptiblement commence à me masturber. C’est la première fois que je tiens un sexe d’homme en érection dans ma main et qu’un homme prend mon sexe durci... Ça me fait tout drôle, mais à mon tour, je branle Marc. Ma femme surprise nous fait face, elle nous regarde éberluée et assiste à ce curieux spectacle : son amant branle son mari pendant que son mari masturbe son amant ! Elle joue avec nos couilles qu’elle soulève et soupèse, nos fesses qu’elle fait mine de griffer.

Marc décharge le premier sur le pubis d’Afifa. Je continue de me masturber seul et demande à Afifa de se mettre à genoux. J’éjacule sur ses seins. Nos mains étalent ce sperme, moi sur ses seins, lui sur son sexe. Afifa est collante de sperme et nous la lavons de bon cœur. Elle se laisse faire et nous embrasse tour à tour.

Je sors le premier de la douche et prends une serviette sur le tabouret. Je rejoins la chambre pour me rhabiller. Je commence par mettre dans ma poche le string et le soutien-gorge d’Afifa et remets boxer, jean et chemisette.

Afifa arrive à son tour. Elle cherche ses sous-vêtements. « Ne cherches pas, tu rentres nue sous ton tailleur. » « Tu exagères! Mais je m’en fou, je suis prête à tout. » Elle remet sa jupe, attache les brides de ses chaussures. J’adore la voir ainsi, buste nu,

seins provocants. Elle se met rarement dans cette tenue à l’appartement de peur d’être vue par les voisins d’en face. Quand Marc nous rejoint, elle enfile sa veste et la boutonne. Il remet chemise et pantalon. Il nous propose de boire un verre. Je regarde l’heure, il est presque 19h. Je le remercie.

Il nous raccompagne dans le séjour. Il prend Afifa dans ses bras, lui fait un tendre baiser sur le front et ne peut se retenir de passer la main sous sa veste pour palper une dernière fois son sein. « Tu as des seins sublimes, reviens quand tu veux ! » Je le remercie de sa délicatesse et de sa douceur qui ont mis Afifa en confiance. Il appelle l’ascenseur. Un dernier sourire. La porte de l’ascenseur se referme. Je prends Afifa dans mes bras et l’embrasse fougueusement sur la bouche, sans dire un mot. Le miroir nous renvoie une image de couple lumineux, mais fatigué aux yeux cernés... non sans raison.

Nous marchons lentement jusqu’au métro. Nous nous asseyons dans le fond. 2 hommes

sont assis face à nous. Dans l’oreille, je demande à Afifa d’écarter les cuisses. Je sais qu’ils ne verront rien, mais l’idée de savoir sa chatte nue entre ses cuisses écartées, face à ces inconnus, m’excite. Elle fait ce que je lui ai demandé. Il ne se passe rien, sauf cet homme debout qui ne quitte pas son décolleté des yeux.

Le compartiment se vide. Nous descendrons à l’avant-dernière station. L’homme est toujours là, debout, alors qu’il y a plein de places assises. Les passagers restants sont dans notre dos. À l’arrivée à notre station, dès que la rame ralentit, je détache la veste d’Afifa et l’ouvre pour exhiber ses seins. Elle n’a pas le temps de réagir, l’homme en prend plein les yeux. La rame s’arrête. Afifa à juste le temps de resserrer sa veste qu’elle maintient avec son sac collé sur le ventre et descend.

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« Tu es fou! » Elle s’assied sur le banc et attend le départ du métro pour reboutonner sa veste. Nous

sortons du métro et rentons à la maison. Là je la jette sur le lit, remonte sa jupe, ouvre sa veste et je la pénètre sans retenue. Épuisé, je m’assoupis planté en elle, sans éjaculer.

Vers 21h, nous dinons et allons nous coucher. Nous parlons peu de cet après-midi, mais

nos regards complices en disent long. Nous nous endormons rapidement dans les bras l’un de l’autre. Au réveil je caresse Afifa et lui demande : « Qu’est-ce que vous avez fait quand vous étiez

tous les 2 dans la salle de bains ? » « Tu veux vraiment savoir ? » « Oui, tu sais, tu peux tout faire, mais il faut me le faire partager ! » « Et bien on s’est savonnés, l’un, l’autre, partout et puis il m’a fait mettre les mains sur le

mur, croupe tendue en arrière. Il a écarté mes fesses et, à genoux, a léché mon petit trou. Sa langue tournait et insistait pour rentrer. Je me sentais un peu honteuse de cette situation, offrir ainsi mon cul... Puis il s’est relevé et a posé son gland sur mon petit trou et s’est mis à pousser! »

« Non, pas ça, ça me fait mal et de toutes manières tu n’as pas de préservatif ! » « Je vais en chercher un ! » « Non, n’insiste pas, je n’aime pas ça ou du moins, j’ai trop mal quand on m’encule. » « Alors, juste un doigt. » « Un doigt, si tu veux. » Toujours appuyée au mur, il salive sur ma rosette et enfonce son doigt. Il me le met

profond et de l’autre main enfonce 2 ou 3 doigts dans mon sexe. Par des mouvements montants et descendants, il me fait comme un massage intérieur. C’est une sensation bizarre qui me fais jouir et m’entendant gémir il accélère. J’aime ça.

Il se retire et me dit : « À ton tour. » « Quoi ? » « Met ton doigt dans mon cul. » « Non, j’ose pas. » « Vas-y, j’aime ça! » Je me mets à genoux face à lui. Il écarte les jambes. Je passe le bras sous son sexe. Il

écarte ses fesses et dirige ma main. Je sens son trou se dilater sous la pression de mon doigt ; ça y est, je le sodomise à ma façon. Il se tord pour mieux me sentir. J’ai sa queue qui ballotte face à mon visage. Je la prends en pleine bouche et le suce. J’ai le nez dans les poils de son pubis. Il maintient ma tête pour mieux enfoncer sa queue dans ma bouche. J’ai peur qu’il éjacule et me dégage. En douceur, je retire mon doigt et nous retournons nous laver. Il se met derrière moi et me cajole. Très serrés l’un contre l’autre, nous ne faisons plus qu’un. C’est à ce moment que tu es venu nous retrouver. Tu vois, je t’ai tout dit, en détail...

La suite, vous la connaissez. Mon rêve s’est accompli au-delà de mes espérances. J’ai beaucoup joui et Afifa aussi, ce

qui n’était pas gagné ! Elle s’est offerte par amour et en retour elle s’est payée un homme et a joui comme jamais je ne l’aurais imaginé.

Entre la première plage naturiste et cet après-midi mémorable, presque 2 années se sont écoulées.

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Si j’ai un conseil à donner aux candaulistes, c’est d’être TRÈS patient, de ne rien brusquer, d’aller pas à pas et de tout faire en confiance, par amour.

Si vous saviez comme je l’aime ! FIN