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BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01
GEOBASE
RESULTATS DU GROUPE DE TRAVAIL GEOBASE
SGN/BSS, SGN/DOC, SGN/GEO, SGN/GPH
et DSGT/DI
présentés par J.P. LEPRETRE
82 SGN 168 BSS
B.R.G.M
2 9. MAR. 1982jbibl;othëqù"p
Département banque des données du sous-sol
B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01
Mars 1982
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01
GEOBASE
RESULTATS DU GROUPE DE TRAVAIL GEOBASE
SGN/BSS, SGN/DOC, SGN/GEO, SGN/GPH
et DSGT/DI
présentés par J.P. LEPRETRE
82 SGN 168 BSS
B.R.G.M
2 9. MAR. 1982jbibl;othëqù"p
Département banque des données du sous-sol
B.P. 6009 - 45060 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63.80.01
Mars 1982
TITRES ET AUTEURS
Chapitres Pages
1 3 - Caractéristiques des principaux fichiers disponiblesau B.R.G.n.
J.P. LEPRETRE et S.PREVOSTEAU
9 2 1 18 ~ Comportement des utilisateurs et souhaits formulés pourla carte géologique.
J.C.DUMORT, n.J.LIENHARDT. R.MEDIONI.
2.2 27 - Comportement des utilisateurs pour la Banque des donnéeset base bibliographique.
E.FRAGDNARD, J. FLORIN. Mme nENCHI. D.ROUSSELOT, S.PREVOSTEAUet J.GRAVENSTEIJN.
3 34 " Caractéristiques que devraient comporter le fichier "GEOTESSE".J.DESOIGNIES, J P. LEPRETRE. Y. PETIT, S.PREVOSTEAU, D.ROUSSELOT.
4 44- Caractéristiques des principaux fichiers concernant les
sciences de la Terre hors B.R.G.M. [France et Europe],
J P. LEPRETRE
55 - Le procédé à cartographie assistée par ordinateur GIP1MAP etautres outils graphiques.
T.T, CAO, J.DESDIGNIES, M, J. LIENHARDT. R.MEDIDNI
54 - Saisie. stocKage, traitement et restitution des données graphiques,
2 P.JOUHAUD
TITRES ET AUTEURS
Chapitres Pages
1 3 - Caractéristiques des principaux fichiers disponiblesau B.R.G.n.
J.P. LEPRETRE et S.PREVOSTEAU
9 2 1 18 ~ Comportement des utilisateurs et souhaits formulés pourla carte géologique.
J.C.DUMORT, n.J.LIENHARDT. R.MEDIONI.
2.2 27 - Comportement des utilisateurs pour la Banque des donnéeset base bibliographique.
E.FRAGDNARD, J. FLORIN. Mme nENCHI. D.ROUSSELOT, S.PREVOSTEAUet J.GRAVENSTEIJN.
3 34 " Caractéristiques que devraient comporter le fichier "GEOTESSE".J.DESOIGNIES, J P. LEPRETRE. Y. PETIT, S.PREVOSTEAU, D.ROUSSELOT.
4 44- Caractéristiques des principaux fichiers concernant les
sciences de la Terre hors B.R.G.M. [France et Europe],
J P. LEPRETRE
55 - Le procédé à cartographie assistée par ordinateur GIP1MAP etautres outils graphiques.
T.T, CAO, J.DESDIGNIES, M, J. LIENHARDT. R.MEDIDNI
54 - Saisie. stocKage, traitement et restitution des données graphiques,
2 P.JOUHAUD
RESUME
Dans ce rapport sont présentés, sous forme de chapitres spécifiques , lesrésultats des réflexions et études du "groupe de travail Géobase" mis enplace en novembre 1981.
Le sujet étant, d'une part d'étudier les caractéristiques des sources dedonnées disponibles au B.R.G.M. et à l'extérieur [France et Europe] ainsi quede leurs modes d'accès, et d'autre part d'étudier les besoins des utilisateurs.
Ces études nous amènent à proposer deux produits de conception très différen¬tes tant au point de vue service rendu que travail à réaliser.
Le premier produit réalisable à court terme (sept. 1982] "GEOTESSE" est unsystème de renseignements, sur les sciences de la Terre, qui permettra àl'utilisateur de connaître quelles sont les sources de données qui existentet comment il faut y accéder.
Le deuxième produit réalisable à long terme (5 à 10 ans] nommé "GEOBASE"permettra à l'utilisateur via un système unique d'obtenir n'importe quel typede données, quels que soient leurs types, et leur localisation [ordinateur].Cette deuxième étape dont la définition va nécessiter encore de nombreuxtravaux du groupe, inclue des moyens de stockage de l'information graphiqueet textuelle et des moyens de gestion informatiques encore très peu utilisésde nos jours.
RESUME
Dans ce rapport sont présentés, sous forme de chapitres spécifiques , lesrésultats des réflexions et études du "groupe de travail Géobase" mis enplace en novembre 1981.
Le sujet étant, d'une part d'étudier les caractéristiques des sources dedonnées disponibles au B.R.G.M. et à l'extérieur [France et Europe] ainsi quede leurs modes d'accès, et d'autre part d'étudier les besoins des utilisateurs.
Ces études nous amènent à proposer deux produits de conception très différen¬tes tant au point de vue service rendu que travail à réaliser.
Le premier produit réalisable à court terme (sept. 1982] "GEOTESSE" est unsystème de renseignements, sur les sciences de la Terre, qui permettra àl'utilisateur de connaître quelles sont les sources de données qui existentet comment il faut y accéder.
Le deuxième produit réalisable à long terme (5 à 10 ans] nommé "GEOBASE"permettra à l'utilisateur via un système unique d'obtenir n'importe quel typede données, quels que soient leurs types, et leur localisation [ordinateur].Cette deuxième étape dont la définition va nécessiter encore de nombreuxtravaux du groupe, inclue des moyens de stockage de l'information graphiqueet textuelle et des moyens de gestion informatiques encore très peu utilisésde nos jours.
- 2 -
INTRODUCTION
Les systèmes automatisés d'information peuvent être
définis de façon générale comme des ensembles d'informations
accessibles par des moyens informatiques à des utilisateurs
extérieurs. Ils satisfont une demande de renseignements soit
en indiquant où la réponse peut être trouvée, soit en fournis¬
sant directement la réponse elle-même. Le premier service
serait rendu par le fichier "Hôtesse" ou "Géotesse", le deuxième
service serait rendu par le système "Géobase" .
- 2 -
INTRODUCTION
Les systèmes automatisés d'information peuvent être
définis de façon générale comme des ensembles d'informations
accessibles par des moyens informatiques à des utilisateurs
extérieurs. Ils satisfont une demande de renseignements soit
en indiquant où la réponse peut être trouvée, soit en fournis¬
sant directement la réponse elle-même. Le premier service
serait rendu par le fichier "Hôtesse" ou "Géotesse", le deuxième
service serait rendu par le système "Géobase" .
CHAPITRE 1
CARACTERISTIQUES DES PRINCIPAUX FICHIERS DISPONIbLES AU BRGM
ET DES DOCUMENTS SYNTHETIQUES
par
J P. LEPRETRE et S.PREVOSTEAU
- 1 texte
- Les plus importants ensembles (en nombre d'items) de donnéesinformatisées ou informati sables disponibles au B.R.fi.M.(2 tableaux)
- Liste des fichiers disponibles au B.R.G.M.
- 1 exemple de fiche descriptive d'un fichier- inventaire desfichiers et de leur mode d'accès pour GEOBASE.-
CHAPITRE 1
CARACTERISTIQUES DES PRINCIPAUX FICHIERS DISPONIbLES AU BRGM
ET DES DOCUMENTS SYNTHETIQUES
par
J P. LEPRETRE et S.PREVOSTEAU
- 1 texte
- Les plus importants ensembles (en nombre d'items) de donnéesinformatisées ou informati sables disponibles au B.R.fi.M.(2 tableaux)
- Liste des fichiers disponibles au B.R.G.M.
- 1 exemple de fiche descriptive d'un fichier- inventaire desfichiers et de leur mode d'accès pour GEOBASE.-
CARACTERISTIQUES DES PRINCIPAUX FICHIERS DISPONIBLES AU BRGM
ET DES DOCUMENTS SYNTHETIQUES - CONDITIONS D'ACCES -
par J.P. LEPRETRE et S.PREVOSTEAU
1. - la liste des fichiers et des documents synthétiques
Nous avons repris ici simplement les fichiers dont l'importance est baséesur le nombre d'entités disponibles et le potentiel d'utilisateurs.Cette liste a pu être dressée en partie grâce à l'inventaire des fichiersdu BRGM, réalisée en 1979.
Les fichiers ont été classés selon deux listes :
La première concerne des fichiers structurés dont la gestion est soitinformatique soit manuelle mais dont l'informatisation est possible sansgrands bouleversements ;
la deuxième concerne des "fichiers" ou plus exactement des "associationsde données spécifiques" ou"documents synthétiques" constituées de publi¬cations [brochures, livres] ; l'absence de système d'indexation ne permetpas de passer rapidement à un mode de gestion informatisé.
2. - les conditions d'accès
On notera que les conditions d'interrogation sont parfois des facteurslimitatifs d'utilisation.
Les bases de données bibliographiques stockent et gèrent des donnéestextuelles [références bibliographiques, résumés], elles sont généralementfacilement interrogeables et aisément accessibles. Ceci résulte d'une partde la simplicité des données à saisir, de leur stockage et de leur interro¬gation basée essentiellement sur la recherche de mots clé contenus dans unnombre de "champs" [ex: auteurs, publications, résumés*..] peu élevé.
Les banques de données factuelles stockent et gèrent à la folsdes données numériques et textuelles. Les processus d'interrogation sonten général plus complexes, ceci résulte souvent d'une part de la complexitédes relations entre les données elles-mêmes d'un même point d'observation,et d'autre part de la nécessité de bien connaître le contenu de la banque.
./..
CARACTERISTIQUES DES PRINCIPAUX FICHIERS DISPONIBLES AU BRGM
ET DES DOCUMENTS SYNTHETIQUES - CONDITIONS D'ACCES -
par J.P. LEPRETRE et S.PREVOSTEAU
1. - la liste des fichiers et des documents synthétiques
Nous avons repris ici simplement les fichiers dont l'importance est baséesur le nombre d'entités disponibles et le potentiel d'utilisateurs.Cette liste a pu être dressée en partie grâce à l'inventaire des fichiersdu BRGM, réalisée en 1979.
Les fichiers ont été classés selon deux listes :
La première concerne des fichiers structurés dont la gestion est soitinformatique soit manuelle mais dont l'informatisation est possible sansgrands bouleversements ;
la deuxième concerne des "fichiers" ou plus exactement des "associationsde données spécifiques" ou"documents synthétiques" constituées de publi¬cations [brochures, livres] ; l'absence de système d'indexation ne permetpas de passer rapidement à un mode de gestion informatisé.
2. - les conditions d'accès
On notera que les conditions d'interrogation sont parfois des facteurslimitatifs d'utilisation.
Les bases de données bibliographiques stockent et gèrent des donnéestextuelles [références bibliographiques, résumés], elles sont généralementfacilement interrogeables et aisément accessibles. Ceci résulte d'une partde la simplicité des données à saisir, de leur stockage et de leur interro¬gation basée essentiellement sur la recherche de mots clé contenus dans unnombre de "champs" [ex: auteurs, publications, résumés*..] peu élevé.
Les banques de données factuelles stockent et gèrent à la folsdes données numériques et textuelles. Les processus d'interrogation sonten général plus complexes, ceci résulte souvent d'une part de la complexitédes relations entre les données elles-mêmes d'un même point d'observation,et d'autre part de la nécessité de bien connaître le contenu de la banque.
./..
Au B.R.G.n. nous disposons d'une base de données bibliographiquesdont l'accès est décentralisé au maximum grâce à une accessibilitépar le réseau de télécommunications TRANSPAC. De même dans le domainedes données factuelles la banque des données du sous-sol est acces¬sible par ce même réseau, et pour faciliter l'interrogation, des procé¬dures assistées ont été mises en place en utilisant les techniques dumode conversationnel.
Ces nouvelles possibilités permettent à l'utilisateur non initié deposer une question simple. Pour les questions complexes l'utilisateurpourra toujours laisser un message, la requête sera alors prise encompte par un spécialiste géologue qui posera la question au système.
Les autres banques de données sont actuellement accessibles au traversde leur gestionnaire, et les possibilités d'interrogation sont limitéesà des applications techniques spécifiques. Il faut remarquer que ceciest souvent la destinée de banques de données factuelles brutes nonélaborées qui s'adressent aux techniciens.
La démocratisation de l'utilisation des données factuellespeut se développer à l'aide de deux facteurs :
- faciliter l'accès aux banques factuelles par une assistanceinformatique automatique pour l'interrogation ,
- mettre en place des données interprétées dont l'acquisitionse fait surtout à l'occasion de synthèses qui elles-mêmes résultentde la bonne connaissance de données brutes. Ces données interprétéessont en général des documents graphiques dont les nouveaux modes destockage [disques optiques ou numériques] peuvent offrir des possibi¬lités de restitution mixtes : textes, données chiffrées, graphiques.
Conclusion
Nous disposons au BRGN de cinq banques de données importantescontenant :
des données d'observations factuelles brutes non élaborées
- Banque du sous-sol
- Géochimie
- Selsmicité
- Gravimétrie
des références bibliographiques
- Base bibliographique
Ces cinq banques de données ont chacune leur système de gestion dont :
- deux permettent des sélections d'informations très poussées
La banque du sous-sol et la banque géochlmlque, système GEISHA,
. La base bibliographique , système GEODE.
./.
Au B.R.G.n. nous disposons d'une base de données bibliographiquesdont l'accès est décentralisé au maximum grâce à une accessibilitépar le réseau de télécommunications TRANSPAC. De même dans le domainedes données factuelles la banque des données du sous-sol est acces¬sible par ce même réseau, et pour faciliter l'interrogation, des procé¬dures assistées ont été mises en place en utilisant les techniques dumode conversationnel.
Ces nouvelles possibilités permettent à l'utilisateur non initié deposer une question simple. Pour les questions complexes l'utilisateurpourra toujours laisser un message, la requête sera alors prise encompte par un spécialiste géologue qui posera la question au système.
Les autres banques de données sont actuellement accessibles au traversde leur gestionnaire, et les possibilités d'interrogation sont limitéesà des applications techniques spécifiques. Il faut remarquer que ceciest souvent la destinée de banques de données factuelles brutes nonélaborées qui s'adressent aux techniciens.
La démocratisation de l'utilisation des données factuellespeut se développer à l'aide de deux facteurs :
- faciliter l'accès aux banques factuelles par une assistanceinformatique automatique pour l'interrogation ,
- mettre en place des données interprétées dont l'acquisitionse fait surtout à l'occasion de synthèses qui elles-mêmes résultentde la bonne connaissance de données brutes. Ces données interprétéessont en général des documents graphiques dont les nouveaux modes destockage [disques optiques ou numériques] peuvent offrir des possibi¬lités de restitution mixtes : textes, données chiffrées, graphiques.
Conclusion
Nous disposons au BRGN de cinq banques de données importantescontenant :
des données d'observations factuelles brutes non élaborées
- Banque du sous-sol
- Géochimie
- Selsmicité
- Gravimétrie
des références bibliographiques
- Base bibliographique
Ces cinq banques de données ont chacune leur système de gestion dont :
- deux permettent des sélections d'informations très poussées
La banque du sous-sol et la banque géochlmlque, système GEISHA,
. La base bibliographique , système GEODE.
./.
- les deux autres permettent des sélections standard adaptéesà des besoins finalisés
. La banque des données sismiques
. La banque des données gravimétriques.
Il faut ajouter à ces cinq banques, la banque des données sur l'eau,banque contenant des données élaborées qui est actuellement en coursde constitution. C'est une banque de données cartographiques géréepar un logiciel de gestion cartographique GIMMAP (cf rapport n°5]
Les systènfes qui gèrent ces banques de données sont Indépendants lesuns des autres et leur utilisation pour interroger ces banques requiertune certaine expérience.De plus même si les personnes connaissent l'existence de ces banques,peu connaissent exactement les types de données qui y sont engrangéeset a fortiori les possibilités offertes.
Ces deux observations sont souvent la cause de la sous-utilisationdes banques, 11 convient donc de développer nos produits dans les deuxsens suivants :
1] - faire connaître ce qui est mémorisé ; ce travail peut être réalisépar un fichier "hôtesse" qui renseignerait les personnes et pourraitrépondre à des requêtes simples.
2] - Etablir des liens de relations entre les banques afin que l'utili¬sateur puisse par des procédés interactifs simples interroger cesbanques en y accédant par un seul moyen qui serait le système "hôtesse"très amélioré. A ce noyau pilotant l'interrogation, on pourrait ensuiteajouter d'autres banques de données soit factuelles, soit cartographiques,Ainsi on pourrait par exemple combiner les restitutions graphiques,contours de zones Isoanomales, isohypses... avec les implantations desforages et leur description.
- Remarques sur les données du sous-sol
Tous les dossiers concernant les observations récoltées légalement autltire du Code minier sont archivés dans les S. G.R. géog'ráphiquementcompétents .. Leur classement par numéro de feuille à 50 OOOe
permet également une consultation manuelle. De plus_,pour préserver cestock, un microfilmage de l'ensemble de ces documents, est en courset se terminera fin 1983. L'ensemble de ces microfiches est par ailleursconsultable au SCCM à Paris et au département BSS à Orléans. Il devra l'êtreégalement en province.
- les deux autres permettent des sélections standard adaptéesà des besoins finalisés
. La banque des données sismiques
. La banque des données gravimétriques.
Il faut ajouter à ces cinq banques, la banque des données sur l'eau,banque contenant des données élaborées qui est actuellement en coursde constitution. C'est une banque de données cartographiques géréepar un logiciel de gestion cartographique GIMMAP (cf rapport n°5]
Les systènfes qui gèrent ces banques de données sont Indépendants lesuns des autres et leur utilisation pour interroger ces banques requiertune certaine expérience.De plus même si les personnes connaissent l'existence de ces banques,peu connaissent exactement les types de données qui y sont engrangéeset a fortiori les possibilités offertes.
Ces deux observations sont souvent la cause de la sous-utilisationdes banques, 11 convient donc de développer nos produits dans les deuxsens suivants :
1] - faire connaître ce qui est mémorisé ; ce travail peut être réalisépar un fichier "hôtesse" qui renseignerait les personnes et pourraitrépondre à des requêtes simples.
2] - Etablir des liens de relations entre les banques afin que l'utili¬sateur puisse par des procédés interactifs simples interroger cesbanques en y accédant par un seul moyen qui serait le système "hôtesse"très amélioré. A ce noyau pilotant l'interrogation, on pourrait ensuiteajouter d'autres banques de données soit factuelles, soit cartographiques,Ainsi on pourrait par exemple combiner les restitutions graphiques,contours de zones Isoanomales, isohypses... avec les implantations desforages et leur description.
- Remarques sur les données du sous-sol
Tous les dossiers concernant les observations récoltées légalement autltire du Code minier sont archivés dans les S. G.R. géog'ráphiquementcompétents .. Leur classement par numéro de feuille à 50 OOOe
permet également une consultation manuelle. De plus_,pour préserver cestock, un microfilmage de l'ensemble de ces documents, est en courset se terminera fin 1983. L'ensemble de ces microfiches est par ailleursconsultable au SCCM à Paris et au département BSS à Orléans. Il devra l'êtreégalement en province.
nom des fichiers
Géographie
Cartes IGN
Communes françaises
Géologie-terrestre
Banque du sous-sol
[carte géologique, gltologie, carrière.géotechnique, piézométrie, chimiedes eaux]
Mémeau-gestlon de l'eauGéologie sous-marine
données de géologie sous-marine
photothèque
Gêoph-ysique
gravimétrie [monde]
gravimétrie France
France
rapports géophysiques
Gitologie - géochimie
géochimie [métropole etGuyanne]
géochimie hors métropole
Lithothèque
Minêralurgie[broyage hydrominéralurgle phosphates]
Risques naturels
séismes étrangersséismes françaisnivellements
Bibliographie
bibliographie Francerapport du BRGM
bibliographie monde
nombre d'entitésou référence
120G
37755
1200G0
25000
2000
1000000
300000
200000
5800
140000
110000
17000
5000
*
140000BOOOO
10000
8000014000
400000
mode de g
informatique
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
estlon
manuelle
-
'
X
X
X
Informatisationpossible
oui
1
1 localisation
(département
J
.
X
X
oui par vlsuall- xsation graphique
X
/
X
X
X
commune
X
X
X
X
coordonnées
X
X
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~ X
X
X
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autres
réglons
régions
nom des fichiers
Géographie
Cartes IGN
Communes françaises
Géologie-terrestre
Banque du sous-sol
[carte géologique, gltologie, carrière.géotechnique, piézométrie, chimiedes eaux]
Mémeau-gestlon de l'eauGéologie sous-marine
données de géologie sous-marine
photothèque
Gêoph-ysique
gravimétrie [monde]
gravimétrie France
France
rapports géophysiques
Gitologie - géochimie
géochimie [métropole etGuyanne]
géochimie hors métropole
Lithothèque
Minêralurgie[broyage hydrominéralurgle phosphates]
Risques naturels
séismes étrangersséismes françaisnivellements
Bibliographie
bibliographie Francerapport du BRGM
bibliographie monde
nombre d'entitésou référence
120G
37755
1200G0
25000
2000
1000000
300000
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5800
140000
110000
17000
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140000BOOOO
10000
8000014000
400000
mode de g
informatique
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Informatisationpossible
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1 localisation
(département
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oui par vlsuall- xsation graphique
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régions
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nom des fichiers
Géographie
Cartes IGN
Convnunes françaises
Gêo logie- terrea treBanque du sous-sol
(carte géologique, gltologie, carrière,géotechnique, piézométrie, chimiedes eaux)
Mémeau-gestion de l'eauGéologie sous-marine
données de géologie sous-marine
photothèque
Géophysique
gravimétrie Cmonda)
gravimétrie Francs
France
rapports géophysiques
Gitologie - géochimie
géochlmie (métropole etGuyenne)
géochlmie hors métropole
tithothèq-ue
Minêralurgie(broyage hydrominéralurgle phosphates)
Risques naturels
séismes étrangersséismes françaisnivellements
Bibliographiebibliographie Francerapport du BRGM
bibliographie monde
nombre d'entitésou référence
1200
37755
120000
25000
2000
1000000
300000
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140000
110000
17000
5000
1400006000010000
6000014000
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mode de gestion
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X
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nom des fichiers
Géographie
Cartes IGN
Convnunes françaises
Gêo logie- terrea treBanque du sous-sol
(carte géologique, gltologie, carrière,géotechnique, piézométrie, chimiedes eaux)
Mémeau-gestion de l'eauGéologie sous-marine
données de géologie sous-marine
photothèque
Géophysique
gravimétrie Cmonda)
gravimétrie Francs
France
rapports géophysiques
Gitologie - géochimie
géochlmie (métropole etGuyenne)
géochlmie hors métropole
tithothèq-ue
Minêralurgie(broyage hydrominéralurgle phosphates)
Risques naturels
séismes étrangersséismes françaisnivellements
Bibliographiebibliographie Francerapport du BRGM
bibliographie monde
nombre d'entitésou référence
1200
37755
120000
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2000
1000000
300000
200000
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1400006000010000
6000014000
400000
mode de gestion
informatique
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XXXX XXXmanuelle
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X
informatisationpossible
oui
localisation
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\1
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oui par vlsuall- xsation graphique
;
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X
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NOM DE L'ENSEMBLE DES DONNEES
description des figures sédimentaires
pétrographie sédimentaire
structure diagénétiques
ammonites du Lias
fo rami ni f ères
ostra codes
FORME DU SUPPORT
, fiches;pnotos de terrain à
l'échelle de l'affleurement
, fiches .'description de ladiagnose
. fiches
. fiches descriptives desamonites -photos et référencesbibliographiques80 volumes
30 volumes
RESPONSABLE
SGN/GEO
SGN/GEO ,
SGN/GEO (LENINDRE)
SGN/GEO (LEFAVR.'\IS)
SGN/GEO
SGN/GEO
3»CD
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NOM DE L'ENSEMBLE DES DONNEES
description des figures sédimentaires
pétrographie sédimentaire
structure diagénétiques
ammonites du Lias
fo rami ni f ères
ostra codes
FORME DU SUPPORT
, fiches;pnotos de terrain à
l'échelle de l'affleurement
, fiches .'description de ladiagnose
. fiches
. fiches descriptives desamonites -photos et référencesbibliographiques80 volumes
30 volumes
RESPONSABLE
SGN/GEO
SGN/GEO ,
SGN/GEO (LENINDRE)
SGN/GEO (LEFAVR.'\IS)
SGN/GEO
SGN/GEO
3»CD
LISTE DES FICHIERS DISPONIBLES AU BRGMLISTE DES FICHIERS DISPONIBLES AU BRGM
BIBLIOTHEQUE-BIBLIOGRAPHIE
10
Bibliographie de la France [GEODE] SGN/DOCBibliographie générale [GEODE] SGN/DOCBibliothèque du SGR/AUV SGR/AUVBibliothèque du SGN/HYD-GEG SGN/HYOBibliothèque du SGR/IDF SGR/IDFBibliothèque du SGR/MPY SGR/MPYBibliothèque du SGR/RHA SGR/RHABibliographies-rapports du BRGM [BIBRAP] SGN/DOCBibliographies-laborisation traitement des minéraux
[CEDOn] SGN/DOCDestinataires des publications du BRGM [ECHEDDN-EDG] SGN/DOCFiches SIG [blblio Se. de la terre' antérieurs à 1968] SGN/DOCGestion abonnements périodiques SGN/DOCGestion des périodiques [KARDEX] SGN/DOCSociété par pays (Informations techniques et adminis¬
tratives par sociétés-GERMINAL] SGN/MAR'CIRANO' fichiers des rapports, notes, thèses et
ouvrages du SGR/AQI SGR/ACJIFiches rapport-: hydrogéologues agréés SGN/DOCFiches PROPO-flches programmes SGN SGN/DOC
EAU-PI ÉZOMÉTRIE
Analyses d'eau du VarChimie des eaux du haut et bas-RhinChimie des eaux des SGR HNO, IDF, LOR
Eaux souterraines [article 40]Evaluation des ressources hydrauliques par communesdu SGR/PICHydrologie-pluviométrie en AlsaceHydrogrammes du 11 fleuves CorsesJaugeages de la FranceJaugeages de la MeuseLimnigraphes du SGR/RHAOuvrages d'eau en Bretagne [données administratives]Ouvrages d'eau en Bretagne [données techniques]Piézométrie du bas et haut-RhinPiézométrie de la France des SGR [NPC, PIC, HNO, BNO,CHA, LOR, IDF, CEN, PAC, LRQ]Piézométrie du métro de MarseillePiézométrie du département de la MeusePiézométrie du SGR/LORPluviométrie en France et en CorseQualité des eaux souterraines dans le département dela MeuseQualité des eaux distribuées dans le départementMeurthe-et-MoselleRessources en eau de la France [MEMEAU]Salure des cours d'eau en AlsaceSources minérales [1000 sources]
SGR/PACSGR/ALSSGN/BSSSGN/BSS
SGR/PICSGR/ALSSGR/PACSGN/HYDSGR/LOR et SGN/BSSSGR/RHASGR/BPL et SGN/BSSSGR/BPL et SGN/BSSSGR/ALS
SGN/BSSSGR/PACSGR/LOR et SGN/BSSSGR/LOR et SGN/BSSSGN/HYD
SGR/LOR et SGN/BSS
SGR/LOR et SGN/BSSSGN/HYD et SGN/DÜCSGR/ALSSGN/BSS
* en création
BIBLIOTHEQUE-BIBLIOGRAPHIE
10
Bibliographie de la France [GEODE] SGN/DOCBibliographie générale [GEODE] SGN/DOCBibliothèque du SGR/AUV SGR/AUVBibliothèque du SGN/HYD-GEG SGN/HYOBibliothèque du SGR/IDF SGR/IDFBibliothèque du SGR/MPY SGR/MPYBibliothèque du SGR/RHA SGR/RHABibliographies-rapports du BRGM [BIBRAP] SGN/DOCBibliographies-laborisation traitement des minéraux
[CEDOn] SGN/DOCDestinataires des publications du BRGM [ECHEDDN-EDG] SGN/DOCFiches SIG [blblio Se. de la terre' antérieurs à 1968] SGN/DOCGestion abonnements périodiques SGN/DOCGestion des périodiques [KARDEX] SGN/DOCSociété par pays (Informations techniques et adminis¬
tratives par sociétés-GERMINAL] SGN/MAR'CIRANO' fichiers des rapports, notes, thèses et
ouvrages du SGR/AQI SGR/ACJIFiches rapport-: hydrogéologues agréés SGN/DOCFiches PROPO-flches programmes SGN SGN/DOC
EAU-PI ÉZOMÉTRIE
Analyses d'eau du VarChimie des eaux du haut et bas-RhinChimie des eaux des SGR HNO, IDF, LOR
Eaux souterraines [article 40]Evaluation des ressources hydrauliques par communesdu SGR/PICHydrologie-pluviométrie en AlsaceHydrogrammes du 11 fleuves CorsesJaugeages de la FranceJaugeages de la MeuseLimnigraphes du SGR/RHAOuvrages d'eau en Bretagne [données administratives]Ouvrages d'eau en Bretagne [données techniques]Piézométrie du bas et haut-RhinPiézométrie de la France des SGR [NPC, PIC, HNO, BNO,CHA, LOR, IDF, CEN, PAC, LRQ]Piézométrie du métro de MarseillePiézométrie du département de la MeusePiézométrie du SGR/LORPluviométrie en France et en CorseQualité des eaux souterraines dans le département dela MeuseQualité des eaux distribuées dans le départementMeurthe-et-MoselleRessources en eau de la France [MEMEAU]Salure des cours d'eau en AlsaceSources minérales [1000 sources]
SGR/PACSGR/ALSSGN/BSSSGN/BSS
SGR/PICSGR/ALSSGR/PACSGN/HYDSGR/LOR et SGN/BSSSGR/RHASGR/BPL et SGN/BSSSGR/BPL et SGN/BSSSGR/ALS
SGN/BSSSGR/PACSGR/LOR et SGN/BSSSGR/LOR et SGN/BSSSGN/HYD
SGR/LOR et SGN/BSS
SGR/LOR et SGN/BSSSGN/HYD et SGN/DÜCSGR/ALSSGN/BSS
* en création
GÉOGRAPHIE (FRANCE ET ETRANGER)
11
Cartes IGN (coordonnéesCode international des PaysCode des communes françaisesCode des villages du Niger
SGN/BSSSGN/BSSSGN/BSSSGN/BSS
GÉOLOGIE
Banque générale concernant le sous-sol françaisCaractéristiques techniques des sondages profondsFigures sédimentairesForages et sondages de la région DunKerquoiseForages artésiens inventoriés dans les départementsdu Nord et du Pas-de-CalaisForages destinés à l'alimentation en eau potable duNord et du Pas-de-CalaisChimie des eaux du Nord et du Pas-de-CalaisGuyane [analyse technique de rapports]
1545 fiches strati géographiqueMicrofiches des dossiers "code Minier" (de la France]Ouvrages du SGR/RHAPaléozoîque inférieur à Dinantien [stratigraphie,géologie régionale]Paris intra muros [tous les ouvrages]Pétrographie sédimentairePresages forages autorisés département de la GirondeRépertoire des dossiers BSS du RhôneSondages Basse Vallée de la LoireSondages de la Communauté urbaine de LilleSondages du Port autonome de BordeauxSondages du SGR Aquitaine fichier technico administra¬tifSondages pétroliers du Bassin parisienStructures diagénétiques
SGN/BSSSGN/GTHSGN/GEOSGR/NPC
SGR/NPA
SGR/NPASGR/NPA
SGN/BSSSGN/BSS et SCCM [Paris]SGR/RHA
SGN/GEOSGN/BSSSGN/GEOSGR/AQISGR/RHASGR/PALSGR/NPA et SGN/BSSSGR/AOI et SGN/BSSSGR/AQI et SGN/BSS
SGN/BSSSGN/GEO
GÉOLOGIE SOUS-MARINE
Données de géologie marine [prélèvements, analyses] SGN/MARLithothèque des échantillons marins SGN/MARPhotothèque des photographies sous-marines SGN/MARRessources minérales sous-marines ' SGN/MAR
GÉOPHYSIQUE
Gravimétrie : stations de référence IGSN71 SGN/BSSGravimétrie : stations marines [le monde entier] SGN/BSSGravimétrie : stations terrestres [le monde entier] SGN/BSSCampagnes géophysiques (toute la France] SGN/BSS
GÉOGRAPHIE (FRANCE ET ETRANGER)
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Cartes IGN (coordonnéesCode international des PaysCode des communes françaisesCode des villages du Niger
SGN/BSSSGN/BSSSGN/BSSSGN/BSS
GÉOLOGIE
Banque générale concernant le sous-sol françaisCaractéristiques techniques des sondages profondsFigures sédimentairesForages et sondages de la région DunKerquoiseForages artésiens inventoriés dans les départementsdu Nord et du Pas-de-CalaisForages destinés à l'alimentation en eau potable duNord et du Pas-de-CalaisChimie des eaux du Nord et du Pas-de-CalaisGuyane [analyse technique de rapports]
1545 fiches strati géographiqueMicrofiches des dossiers "code Minier" (de la France]Ouvrages du SGR/RHAPaléozoîque inférieur à Dinantien [stratigraphie,géologie régionale]Paris intra muros [tous les ouvrages]Pétrographie sédimentairePresages forages autorisés département de la GirondeRépertoire des dossiers BSS du RhôneSondages Basse Vallée de la LoireSondages de la Communauté urbaine de LilleSondages du Port autonome de BordeauxSondages du SGR Aquitaine fichier technico administra¬tifSondages pétroliers du Bassin parisienStructures diagénétiques
SGN/BSSSGN/GTHSGN/GEOSGR/NPC
SGR/NPA
SGR/NPASGR/NPA
SGN/BSSSGN/BSS et SCCM [Paris]SGR/RHA
SGN/GEOSGN/BSSSGN/GEOSGR/AQISGR/RHASGR/PALSGR/NPA et SGN/BSSSGR/AOI et SGN/BSSSGR/AQI et SGN/BSS
SGN/BSSSGN/GEO
GÉOLOGIE SOUS-MARINE
Données de géologie marine [prélèvements, analyses] SGN/MARLithothèque des échantillons marins SGN/MARPhotothèque des photographies sous-marines SGN/MARRessources minérales sous-marines ' SGN/MAR
GÉOPHYSIQUE
Gravimétrie : stations de référence IGSN71 SGN/BSSGravimétrie : stations marines [le monde entier] SGN/BSSGravimétrie : stations terrestres [le monde entier] SGN/BSSCampagnes géophysiques (toute la France] SGN/BSS
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GITOLOGIE GÉXHIMIE
Economie minière (traitement des gîtes minéraux]Géochlmie [métropole et Guyane]Géochlmie (hors métropole et Guyane]Gîtes minéraux [métropole]Inventaire exhaustif des gites minéraux de métropole
SGN/GMXSGN/GMXDPAI/DI et SGN/GMXSGN/GMXSGN/BSS
MINÊRALURGIE
Broyage [étude sur le broyage]HydrominéralurglePhosphates
SGN/MINSGN/MINSGN/MIN
PALÉONTOLOGIE
Ammonites du lias [description, ref blblio]Foraminifères [systématique paléontologique]Conodontes et diatomées [lacustres]Ostracodes (systématique paléontologique]Palynologie (bibliographie]Palynologie [morphologie]Palynologie (lames minces]Palynologie de la tourbe
SGN/GEOSGN/GEOSGN/GEOSGN/GEOSGN/GEOSGN/GEOSGN/GEOSGN/GEO
PÉTROGRAPHIE - LITHOTHÈQUE
Collection des échantillons de référence [lithothèquecentrale - 17.000] SGN/BSSLithothèque du SGR/MPY SGR/MPYLithothèque du SGR/RHA SGR/RHAPétrographie sédimentaire -lames minces - SGN/GEO
RISQUES NATURELS
Mouvements de terrainNivellementsSéismes étrangersSéismes français
SGR/GEDSGN/GEGSGN/GEGSGN/GEG
SUBSTANCES UTILES - MATÉRIAUX
Carrières de Bretagne et Pays de la LoireCarrières du SIM de ToulouseCarrières et substances utiles du SGR/PICMatériaux de la moyenne Durance et du Comtat VenaissinMatériaux de carrières références des rapports BRGM
SGR/BPL et SGN/BSSSGR/MPYSGR/PICSGR/PACSGR/MTX
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GITOLOGIE GÉXHIMIE
Economie minière (traitement des gîtes minéraux]Géochlmie [métropole et Guyane]Géochlmie (hors métropole et Guyane]Gîtes minéraux [métropole]Inventaire exhaustif des gites minéraux de métropole
SGN/GMXSGN/GMXDPAI/DI et SGN/GMXSGN/GMXSGN/BSS
MINÊRALURGIE
Broyage [étude sur le broyage]HydrominéralurglePhosphates
SGN/MINSGN/MINSGN/MIN
PALÉONTOLOGIE
Ammonites du lias [description, ref blblio]Foraminifères [systématique paléontologique]Conodontes et diatomées [lacustres]Ostracodes (systématique paléontologique]Palynologie (bibliographie]Palynologie [morphologie]Palynologie (lames minces]Palynologie de la tourbe
SGN/GEOSGN/GEOSGN/GEOSGN/GEOSGN/GEOSGN/GEOSGN/GEOSGN/GEO
PÉTROGRAPHIE - LITHOTHÈQUE
Collection des échantillons de référence [lithothèquecentrale - 17.000] SGN/BSSLithothèque du SGR/MPY SGR/MPYLithothèque du SGR/RHA SGR/RHAPétrographie sédimentaire -lames minces - SGN/GEO
RISQUES NATURELS
Mouvements de terrainNivellementsSéismes étrangersSéismes français
SGR/GEDSGN/GEGSGN/GEGSGN/GEG
SUBSTANCES UTILES - MATÉRIAUX
Carrières de Bretagne et Pays de la LoireCarrières du SIM de ToulouseCarrières et substances utiles du SGR/PICMatériaux de la moyenne Durance et du Comtat VenaissinMatériaux de carrières références des rapports BRGM
SGR/BPL et SGN/BSSSGR/MPYSGR/PICSGR/PACSGR/MTX
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INVENTAIRE DES FICHIERS ET DE LEUR MODE D'ACCES POUR GEOBASE
NOM DU FICHIER :
Définition du fichier
DESCRIPTION DU FICHIER
* Thème(s) : (exemple : hydrogéologie, géophysique ....)
* Sous-thème (s) : (exemple : piézométrie, gravimétrie ....)
OUI.
oui
oui
oui
non
non
non
non
* Types des données saisies :
- numériques brutes
- numériques élaborées
- factuelles
- bibliographiques
* "Forme" des données saisies :
. - ponctuelles (exemple : sondage)
- linéaires (exemple : profil géophysique)
- régionales
* Couverture géographique (par rapport au territoire national) :
OUI
oui
oui
non
non
non
- générale et complète oui
- générale, mais incomplète oui(certaines régions restentmal couvertes)
- partielle oui
non
non
non
- pourcentage approximatif du territoire national couvertexhaustivement :
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INVENTAIRE DES FICHIERS ET DE LEUR MODE D'ACCES POUR GEOBASE
NOM DU FICHIER :
Définition du fichier
DESCRIPTION DU FICHIER
* Thème(s) : (exemple : hydrogéologie, géophysique ....)
* Sous-thème (s) : (exemple : piézométrie, gravimétrie ....)
OUI.
oui
oui
oui
non
non
non
non
* Types des données saisies :
- numériques brutes
- numériques élaborées
- factuelles
- bibliographiques
* "Forme" des données saisies :
. - ponctuelles (exemple : sondage)
- linéaires (exemple : profil géophysique)
- régionales
* Couverture géographique (par rapport au territoire national) :
OUI
oui
oui
non
non
non
- générale et complète oui
- générale, mais incomplète oui(certaines régions restentmal couvertes)
- partielle oui
non
non
non
- pourcentage approximatif du territoire national couvertexhaustivement :
* Volume des informations :
14
- taille mémoire :
- nombre d'enregistrements (ouvrages, mesures ponctuelles,références ....):
* Etat de l'information qui reste à saisir :
- elle existe
- elle est déjà centralisée au BRGM
- elle est normalisée (prête à la saisie)
- pourcentage approximatif de ce qui resteà saisir par rapport à ce qui a été déjàentré :
* Analyse des données factuelles ou bibliographiques :
- il existe des lexiques oui non
si oui, dans quel domaine (strati, pétro ....) ?
oui
oui
oui
non
non
non
- quel type de localisation géographique est utilisé(commune, département, coordonnées, coupure ....) ?
* Mises à jour :
- régulières oui
si oui, quelle fréquence ?
non
INTERROGATION DU FICHIER - CRITERE DE .SELECTION
* Sur quelle (s) rubrique (s) ou zone (s) de l'enregistrementpeut porter l'interrogation ?
* Quels sont les opérateurs logiques ou opérations arithmétiquessimples utilisés ? .a
* Volume des informations :
14
- taille mémoire :
- nombre d'enregistrements (ouvrages, mesures ponctuelles,références ....):
* Etat de l'information qui reste à saisir :
- elle existe
- elle est déjà centralisée au BRGM
- elle est normalisée (prête à la saisie)
- pourcentage approximatif de ce qui resteà saisir par rapport à ce qui a été déjàentré :
* Analyse des données factuelles ou bibliographiques :
- il existe des lexiques oui non
si oui, dans quel domaine (strati, pétro ....) ?
oui
oui
oui
non
non
non
- quel type de localisation géographique est utilisé(commune, département, coordonnées, coupure ....) ?
* Mises à jour :
- régulières oui
si oui, quelle fréquence ?
non
INTERROGATION DU FICHIER - CRITERE DE .SELECTION
* Sur quelle (s) rubrique (s) ou zone (s) de l'enregistrementpeut porter l'interrogation ?
* Quels sont les opérateurs logiques ou opérations arithmétiquessimples utilisés ? .a
15
* Existe-t-il déjà des possibilités de traitement mathématiqueélaboré des données à l'interrogation ?
* Quel est le temps moyen nécessaire à la formation d'unutilisateur à l'interrogation ?
* Présentation (s) possible(s) des résultats (listes, graphiques,tableaux, cartes ....) :
* Types des données à la sortie (brutes, élaborées, bibliographiques)
UTILISATION -. ACCES DU FICHIER
Qui est autorisé à utiliser le fichier ?
* Qui est réellement utilisateur ?
* A qui pourrait-il servir si il était plus accessible
* Y-a-t-il des fichiers semblables en France ?
Si oui,: o dans quel (s) organisme (s) ?
OUI non
o peut-on y accéder facilement et par quel moyen
o y-a-t-il coopération ? oui non
si non, est-elle envisageable ?
1
o serait-il facile de récupérer les informations dece (s) fichier (s) extérieur (s) ? oui non
15
* Existe-t-il déjà des possibilités de traitement mathématiqueélaboré des données à l'interrogation ?
* Quel est le temps moyen nécessaire à la formation d'unutilisateur à l'interrogation ?
* Présentation (s) possible(s) des résultats (listes, graphiques,tableaux, cartes ....) :
* Types des données à la sortie (brutes, élaborées, bibliographiques)
UTILISATION -. ACCES DU FICHIER
Qui est autorisé à utiliser le fichier ?
* Qui est réellement utilisateur ?
* A qui pourrait-il servir si il était plus accessible
* Y-a-t-il des fichiers semblables en France ?
Si oui,: o dans quel (s) organisme (s) ?
OUI non
o peut-on y accéder facilement et par quel moyen
o y-a-t-il coopération ? oui non
si non, est-elle envisageable ?
1
o serait-il facile de récupérer les informations dece (s) fichier (s) extérieur (s) ? oui non
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* Y-a-t-il des données confidentielles dans le fichier ? oui non
* y-a-t-il possibilité d'accès aux documents originaux ? oui
si oui, comment l'accès est-il organisé ?
non
Pouvzz-vouÁ jotndAz un zxemplz dz boKdeAeaudz ¿aùitz Kzmpli.
16
* Y-a-t-il des données confidentielles dans le fichier ? oui non
* y-a-t-il possibilité d'accès aux documents originaux ? oui
si oui, comment l'accès est-il organisé ?
non
Pouvzz-vouÁ jotndAz un zxemplz dz boKdeAeaudz ¿aùitz Kzmpli.
CHAPITRE 2
COMPORTEMENT DES UTILISATEURS ET SOUHAITS FORMULES
avec
2.1 - Pour la carte géologique
ZA¿ - Banque de données et base bibliogra¬phique
CHAPITRE 2
COMPORTEMENT DES UTILISATEURS ET SOUHAITS FORMULES
avec
2.1 - Pour la carte géologique
ZA¿ - Banque de données et base bibliogra¬phique
18
CHAPITRE 2.1
COMPORTEMENT DES UTILISATEURS ET SOUHAITS FORMULES
pour la carte géologique
par J.C.DUMORT
M.J.LIENMRDT
R. MEDIONI
(f note sur les utilisateurs de cartes
géologiques et données concernant lacarte géologique)
18
CHAPITRE 2.1
COMPORTEMENT DES UTILISATEURS ET SOUHAITS FORMULES
pour la carte géologique
par J.C.DUMORT
M.J.LIENMRDT
R. MEDIONI
(f note sur les utilisateurs de cartes
géologiques et données concernant lacarte géologique)
19
.La carte géologique et ses utilisateursPerspectives pour le fichier "hôtesse" de Géobase ^^
QaeZ z&t Iz pàjo{,tt dzA uttJLLiatzu/u actueXUdz la coAtz gtologtquz ?
La diffusion des cartes géologiques est assurée à 80 % par les librairieset à 20 % seulement directement par le Département Edition-Ventes. En l'absenced'une enquête plus exhaustive touchant la clientèle des libraires, les donnéesdisponibles ne rendent compte que très partiellement du profil des utilisateursdes cartes géologiques.
On peut cependant ainsi arriver à une certaine classification des utili¬sateurs actuels de cartes géologiques :
- les grosses sociétés (pétroles, mines, travaux publics) et bureauxd'études : ce sont des clients importants qui souvent achètent systé¬matiquement toutes les nouvelles cartes parues. Ils constituent éga¬lement l'essentiel des acheteurs de documents provisoires ;
- les universités et les laboratoires du CNRS : la carte géologiqueest utilisée : '
- pour l'Enseignement : dans ce cas, les achats concernent!. certaines cartes sélectionnées en fonction .de leur intérêt pédagogique,
et acquises en plusieurs exemplaires;
- pour la Recherche : les laboratoires sont amenés à acquérir,de façon plus ou moins exhaustive, la couverture d'une région naturelleou de l'ensemble de la France. Pour toute cette catégorie d'utilisateurs,les restrictions budgétaires de ces dernières années ont considérable¬ment limité la" progression des achats de cartes ;
- les administrations ou autres organismes publics (DDE, DDA, DDASS,Sociétés d'HLM, ONF) auxquels il faut ajouter des bureaux d'étudesrégionaux. Cette catégorie utilise essentiellement la carte géologiquepour les travaux d'équipement et d'aménagement. Les commandes sontpériodiques, et limitées aux régions concernées par l'activité desorganismes :
- les praticiens privés : leurs besoins sont évidemment trèsponctuels [sauf exception] et leurs achats llmités_^. Ce sont les exploi¬tants de carrières, les architectes, les experts près les tribunaux,
- l'enseignement secondaire : suivant les cas, la carte géologiquesert de support à des travaux académiques figurant dans Íes manuels oualors, est le point de départ de travaux- pratiques concernant la_ géolo¬gie régionale ; ce dernier aspect peut se traduire par des achats im¬portants ;
- les simples particuliers : cette catégorie d'utilisateurs estnumériquement très importante mais ses contours sont difficiles à cerner:
(1) rvit".»; nrjtR vient ein cump himiirit de celle iJlffur.éHi le 10.1?.1Tfll sous1 ' itit.i tijlé " Not>3 sur ItiT uti li sjteijrs ¡ip. nurtns ¿,énlnf_i ]<.'=, ".
19
.La carte géologique et ses utilisateursPerspectives pour le fichier "hôtesse" de Géobase ^^
QaeZ z&t Iz pàjo{,tt dzA uttJLLiatzu/u actueXUdz la coAtz gtologtquz ?
La diffusion des cartes géologiques est assurée à 80 % par les librairieset à 20 % seulement directement par le Département Edition-Ventes. En l'absenced'une enquête plus exhaustive touchant la clientèle des libraires, les donnéesdisponibles ne rendent compte que très partiellement du profil des utilisateursdes cartes géologiques.
On peut cependant ainsi arriver à une certaine classification des utili¬sateurs actuels de cartes géologiques :
- les grosses sociétés (pétroles, mines, travaux publics) et bureauxd'études : ce sont des clients importants qui souvent achètent systé¬matiquement toutes les nouvelles cartes parues. Ils constituent éga¬lement l'essentiel des acheteurs de documents provisoires ;
- les universités et les laboratoires du CNRS : la carte géologiqueest utilisée : '
- pour l'Enseignement : dans ce cas, les achats concernent!. certaines cartes sélectionnées en fonction .de leur intérêt pédagogique,
et acquises en plusieurs exemplaires;
- pour la Recherche : les laboratoires sont amenés à acquérir,de façon plus ou moins exhaustive, la couverture d'une région naturelleou de l'ensemble de la France. Pour toute cette catégorie d'utilisateurs,les restrictions budgétaires de ces dernières années ont considérable¬ment limité la" progression des achats de cartes ;
- les administrations ou autres organismes publics (DDE, DDA, DDASS,Sociétés d'HLM, ONF) auxquels il faut ajouter des bureaux d'étudesrégionaux. Cette catégorie utilise essentiellement la carte géologiquepour les travaux d'équipement et d'aménagement. Les commandes sontpériodiques, et limitées aux régions concernées par l'activité desorganismes :
- les praticiens privés : leurs besoins sont évidemment trèsponctuels [sauf exception] et leurs achats llmités_^. Ce sont les exploi¬tants de carrières, les architectes, les experts près les tribunaux,
- l'enseignement secondaire : suivant les cas, la carte géologiquesert de support à des travaux académiques figurant dans Íes manuels oualors, est le point de départ de travaux- pratiques concernant la_ géolo¬gie régionale ; ce dernier aspect peut se traduire par des achats im¬portants ;
- les simples particuliers : cette catégorie d'utilisateurs estnumériquement très importante mais ses contours sont difficiles à cerner:
(1) rvit".»; nrjtR vient ein cump himiirit de celle iJlffur.éHi le 10.1?.1Tfll sous1 ' itit.i tijlé " Not>3 sur ItiT uti li sjteijrs ¡ip. nurtns ¿,énlnf_i ]<.'=, ".
SOMM A. 1965
Zur Géologie der westlichen Quattervals-Gruppe imschweizerischen National-park ( Graubünden ),
Ergebn. wiss. Unters. schweiz. NaHonalpark, t. 10,n° 52, 167 p., 22 fig., 10 pi., 2dp|.h.t. (+)
A-3 B-302 C-56 D-20 F-2112 1-113 S2-110B-3053 C-61 D-511 1-1154 SZ-631
C-621 D-7 1-116 SZ-6431-235
Dôpaîtement d'information du B.R.G.M. + . 5, a, 590
SOMM A. 1965
Zur Géologie der westlichen Quattervals-Gruppe imschweizerischen National-park ( Graubünden ),
Ergebn. wiss. Unters. schweiz. NaHonalpark, t. 10,n° 52, 167 p., 22 fig., 10 pi., 2dp|.h.t. (+)
A-3 B-302 C-56 D-20 F-2112 1-113 S2-110B-3053 C-61 D-511 1-1154 SZ-631
C-621 D-7 1-116 SZ-6431-235
Dôpaîtement d'information du B.R.G.M. + . 5, a, 590
20
on y retrouve le collectionneur, le touriste " amoureux de-la nature "ou même le professionnel pour qui -la carte géologique peut être Indirrectement considérée comme un élément d 'information.' Cette clientèlepeut parfois être responsable du chiffre élevé des ventes de certainescartes : son existence et surtout son développement sont un élémentessentiel de la promotion de la géologie dans le grand public.
Cormznt pzut 4>z ÁaÁAz l'acaè.i> à la aattz gzologtquz dam Iz zaxJAz du {^Izkie/i." kdtz6¿z " dz GzobaÁZ 1 I
A moyen terme on peut envisager de répondre aux deux questions élémen¬taires suivantes :
- existe-t-il une carte géologique, publiée ou inédite', couvrant leterritoire d'une commune ou de toute autre entité administrative età quelle échelle ? '
- dans quelles conditions d'accès ?
La réponse à" la première question implique la création et l'intégrationau pilote d'un fichier index assurant la liaison. entre les différents découpagescartographiques [1/50 000, 1/60 000 et 1/250 000] et les découpages administratifsles plus usités [région, département, canton, commune]. En tant, qu 'objet documen¬taire, la carte géologique est de toutes façons, prise en compte dans le fichierGEODE.
La réponse à la deuxième question suppose. une connexion entre le fichier"hôtesse" -et un système -de vis.ualisatlon des documents cartographiques.
Dans- l'état actuel de la technologie, le mode de visualisation le pluscommode à mettre en oeuvre semble être le vidéodisque : on peut y réaliser, sansgrandes difficultés, le transfert de l'ensemble des couvertures publiées de cartesgéologiques de la France, ainsi que les minutes complètes ou partielles de cartesinédites. Il reste à étudier la commande à distance de l'unité vidéodisque et ladiffusion de son contenu. chez l'utilisateur [réseau Transpac, ou autres].
L'avantage pour certains utilisateurs est évident : d'une part cela leurévitera d'avoir à acquérir une grande quantité de cartes dont ils ne sont pas sûrsd'avoir toujours l'utilisation, et de plus, 11 leur sera ainsi possible de passeren revue rapidement un ensemble de cartes [pour sélectionner des sites ou bien,par exemple, pour suivre l'évolution, dans l'espace, d'une formation géologiquedonnée] .
Cependant, pour avoir une certaine efficacité cette méthode suppose unréseau de distribution de l'information très ramifié, ce qui ne sera pas acquisà court ou moyen terme. De plus, si les utilisateurs institutionnels peuvent ytrouver leur compte, cette technique ne sea pas d'un grand secours pour les besoinsde l'Enseignement [surtout secondaire] ou des simples particuliers qui représententnéanmoins une grosse partie de la clientèle actuelle.
On peut également craindre qu'une telle diffusion de la carte géologiqueait un effet très négatif sur les ventes et, à terme, condamne certaines éditions;les très nombreux utilisateurs non abonnés à un réseau de télématique seraientainsi pénalisés, ce qui irait évidemment à l'encontre d'une politique de promotionde la' géologie.
20
on y retrouve le collectionneur, le touriste " amoureux de-la nature "ou même le professionnel pour qui -la carte géologique peut être Indirrectement considérée comme un élément d 'information.' Cette clientèlepeut parfois être responsable du chiffre élevé des ventes de certainescartes : son existence et surtout son développement sont un élémentessentiel de la promotion de la géologie dans le grand public.
Cormznt pzut 4>z ÁaÁAz l'acaè.i> à la aattz gzologtquz dam Iz zaxJAz du {^Izkie/i." kdtz6¿z " dz GzobaÁZ 1 I
A moyen terme on peut envisager de répondre aux deux questions élémen¬taires suivantes :
- existe-t-il une carte géologique, publiée ou inédite', couvrant leterritoire d'une commune ou de toute autre entité administrative età quelle échelle ? '
- dans quelles conditions d'accès ?
La réponse à" la première question implique la création et l'intégrationau pilote d'un fichier index assurant la liaison. entre les différents découpagescartographiques [1/50 000, 1/60 000 et 1/250 000] et les découpages administratifsles plus usités [région, département, canton, commune]. En tant, qu 'objet documen¬taire, la carte géologique est de toutes façons, prise en compte dans le fichierGEODE.
La réponse à la deuxième question suppose. une connexion entre le fichier"hôtesse" -et un système -de vis.ualisatlon des documents cartographiques.
Dans- l'état actuel de la technologie, le mode de visualisation le pluscommode à mettre en oeuvre semble être le vidéodisque : on peut y réaliser, sansgrandes difficultés, le transfert de l'ensemble des couvertures publiées de cartesgéologiques de la France, ainsi que les minutes complètes ou partielles de cartesinédites. Il reste à étudier la commande à distance de l'unité vidéodisque et ladiffusion de son contenu. chez l'utilisateur [réseau Transpac, ou autres].
L'avantage pour certains utilisateurs est évident : d'une part cela leurévitera d'avoir à acquérir une grande quantité de cartes dont ils ne sont pas sûrsd'avoir toujours l'utilisation, et de plus, 11 leur sera ainsi possible de passeren revue rapidement un ensemble de cartes [pour sélectionner des sites ou bien,par exemple, pour suivre l'évolution, dans l'espace, d'une formation géologiquedonnée] .
Cependant, pour avoir une certaine efficacité cette méthode suppose unréseau de distribution de l'information très ramifié, ce qui ne sera pas acquisà court ou moyen terme. De plus, si les utilisateurs institutionnels peuvent ytrouver leur compte, cette technique ne sea pas d'un grand secours pour les besoinsde l'Enseignement [surtout secondaire] ou des simples particuliers qui représententnéanmoins une grosse partie de la clientèle actuelle.
On peut également craindre qu'une telle diffusion de la carte géologiqueait un effet très négatif sur les ventes et, à terme, condamne certaines éditions;les très nombreux utilisateurs non abonnés à un réseau de télématique seraientainsi pénalisés, ce qui irait évidemment à l'encontre d'une politique de promotionde la' géologie.
21
Par contre l'emploi du vidéodisque nous paraît tout à fait adéquat, dèsà présent, pour la diffusion de documents inédits - maquettes de cartes en coursd'édition [diffusés actuellement' sous forme de documents provisoires] - maiségalement de toute minute partielle de carte .géologique, dans la mesure où elle 'présente une extension et une qualité suffisantes. Ceci, évidemment, suppose lacréation d'un fond d'archives inédites à récupérer dans l'ensemble de la communautégéologique. '
La. visualisation des cartes géologiqu'es publiées ou' inédites peut égale¬ment' s'envisager dans le cadre du chapitre GIMMAP [voir rajDport n° 5], dans lamesure où la saisie des données sera suffisamment automatisée pour être .appliquéerapidement à un grand nombre.de documents. La visualisation et la transmission desimages sera plus coûteuse qu'avec le vidéodisque, mais en contrepartie, l'utilisa--teur pourra directement bénéficier des possibilités d'exploitation offertes parle système GIMMAP.
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Par contre l'emploi du vidéodisque nous paraît tout à fait adéquat, dèsà présent, pour la diffusion de documents inédits - maquettes de cartes en coursd'édition [diffusés actuellement' sous forme de documents provisoires] - maiségalement de toute minute partielle de carte .géologique, dans la mesure où elle 'présente une extension et une qualité suffisantes. Ceci, évidemment, suppose lacréation d'un fond d'archives inédites à récupérer dans l'ensemble de la communautégéologique. '
La. visualisation des cartes géologiqu'es publiées ou' inédites peut égale¬ment' s'envisager dans le cadre du chapitre GIMMAP [voir rajDport n° 5], dans lamesure où la saisie des données sera suffisamment automatisée pour être .appliquéerapidement à un grand nombre.de documents. La visualisation et la transmission desimages sera plus coûteuse qu'avec le vidéodisque, mais en contrepartie, l'utilisa--teur pourra directement bénéficier des possibilités d'exploitation offertes parle système GIMMAP.
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NOTE SUR LES UTILISATEURS DE CARTES GÉOLOGÍQUES
par R.MEDIONI
Les données 'concernant les utilisateurs de cartes géologiques et leurcomportement éventuel vis-à-vis de ces documents sont difficiles à appréhenderet à quantifier.
Nous disposons actuellement de quatre sources principales de rensei¬gnements : ,
- l'enquête réalisée auprès des acheteurs de cartes géologiques de1971 à 1973 ; . . . .
- l'enquête réalisée en 1980-1981 par le groupe de travail "Carto¬graphie thématique" constitué auprès du Comité central des travaux géographiques ;
- les chiffres annuels de vente de cartes géologiques enregistrés parle Département Editions-Ventes ;
- la correspondance échangée entre les utilisateurs de cartey et - leSecrétariat de la Carte géologique. . - ' ' .
1 - Enquête 1971-1973
Elle a été réalisée au moyen d'un questionnaire relativement exhaustifremis à l'époque, à chaque acheteur de cartes géologiques. Sur 20 000 questionnairesdiffusés, seulement 436 ont été récupérés et dépouillés (soit un peu plus de 2 %].
On peut donc tout au plus considérer qu'il s'agit plutôt d'un sondagede portée limitée que d'une enquête- véritablement représentative.
Cette enquête [qui concernait aussi- bien le 50 -OOOe -que le -80 OOOe,avait montré-que la majorité des réponses exploitables [417], soit près de 45 %,
provenaient d'amateurs [essentiellement collectionneurs ou " amoureux de lanature "] qui utilisaient donc la carte géologique comme instrument de loisirsou de culture. Venaient ensuite les praticiens de l'aménagement avec 18 h desréponses, les enseignants avec également 18 % et les professionnels des Sciencesde la Terre avec 19 %.
2 - Enquête du Comité central des travaux géographiques
Cette enquête concernait à la fols les producteurs et les utilisateursde cartes thématiques : elle n'a pas touché les particuliers, mais un très largeéventail d'administrations, de services publics, centraux ou départementaux,d'universités et de laboratoires du CNRS, aussi bien en Métropole que dans lesDOM-TOn.
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NOTE SUR LES UTILISATEURS DE CARTES GÉOLOGÍQUES
par R.MEDIONI
Les données 'concernant les utilisateurs de cartes géologiques et leurcomportement éventuel vis-à-vis de ces documents sont difficiles à appréhenderet à quantifier.
Nous disposons actuellement de quatre sources principales de rensei¬gnements : ,
- l'enquête réalisée auprès des acheteurs de cartes géologiques de1971 à 1973 ; . . . .
- l'enquête réalisée en 1980-1981 par le groupe de travail "Carto¬graphie thématique" constitué auprès du Comité central des travaux géographiques ;
- les chiffres annuels de vente de cartes géologiques enregistrés parle Département Editions-Ventes ;
- la correspondance échangée entre les utilisateurs de cartey et - leSecrétariat de la Carte géologique. . - ' ' .
1 - Enquête 1971-1973
Elle a été réalisée au moyen d'un questionnaire relativement exhaustifremis à l'époque, à chaque acheteur de cartes géologiques. Sur 20 000 questionnairesdiffusés, seulement 436 ont été récupérés et dépouillés (soit un peu plus de 2 %].
On peut donc tout au plus considérer qu'il s'agit plutôt d'un sondagede portée limitée que d'une enquête- véritablement représentative.
Cette enquête [qui concernait aussi- bien le 50 -OOOe -que le -80 OOOe,avait montré-que la majorité des réponses exploitables [417], soit près de 45 %,
provenaient d'amateurs [essentiellement collectionneurs ou " amoureux de lanature "] qui utilisaient donc la carte géologique comme instrument de loisirsou de culture. Venaient ensuite les praticiens de l'aménagement avec 18 h desréponses, les enseignants avec également 18 % et les professionnels des Sciencesde la Terre avec 19 %.
2 - Enquête du Comité central des travaux géographiques
Cette enquête concernait à la fols les producteurs et les utilisateursde cartes thématiques : elle n'a pas touché les particuliers, mais un très largeéventail d'administrations, de services publics, centraux ou départementaux,d'universités et de laboratoires du CNRS, aussi bien en Métropole que dans lesDOM-TOn.
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460 questionnaires ont été ainsi- diffusés en 1930 et 125 réponsesont été reçues (soit 27 %]. De cette enquête [dont les résultats définitifs etl'analyse vont être diffusés prochainement],- il ressort que la carte géologiquearrive en tête des cartes thématiques utilisées, dans 60 % des réponses. Il f.3utsignaler également que plusieurs organismes demandent que soit accélérée la cou¬verture géologique de la France à 1/50 000.
3 - Evolution des ventes de cartes géologiques
En ce qui concerne la carte à 1/50 OOO, on assiste entre. 1970 et 1977,à une forte augmentation dû nombre d'exemplaires de cartes vendues, qui doublepratiquement en 7 ans [de 17 000 à plus de 34 000]. Depuis 1977, ce chiffre s'eststabilisé autour de 34 000.' Cette évolution peut s! expliquer, jusqu'en 1977, parl'effort entrépris dans la promotion de la carte géologique, le développement d'unréseau de commercialisation, et également, par l'augmentation de l'a surface duterritoire national couverte par la carte géologique à 1/50 000. La stagnationobservée depuis 1977 pourrait être le résultat d'une certaine' saturation du marché,et également des conséquences de la crise économique qui s'est traduite, entreautres, par des restrictions budgétaires imposées à certains gros acheteurs, comme
-les Universités.
Depuis 1976, le Service géologique national "diffuse sous forme dedocuments provisoires une bonne partie des cartes levées et en cours d'édition(diapositives 24 x 35 de la minute documents annexes]. Le prix élevé (330' F en,1981] de ces documents et leur utilisation pas toujours très facile en ontjusqu'à présent limité les ventes (30 à' 40 par an] pratiquement aux Sociétésminières ou aux bureaux d'étude. L'arrivée sur le marché de procédés photogra¬phiques permettant une reproduction en couleurs et à l'échelle, donc p.Lus.. faci¬lement utilisable, . pourrait- auginenter l'audience de ces documents provisoires.
4 - Correspondance avec les utilisateurs de cartes géologiques
Le Secrétariat de la Carte géologique reçoit de temps à autre deslettres émanant d'utilisateurs très variés de cartes géologiques. Parmi les pré¬occupations de ces correspondants, il faut relever :
- des demandes d'explications concernant la géologie, les modes de'reJDrésentatiori dès "terrains ou" dés " erreurs "ou anomalies (mauvais raccord decartes adjacentes, par exemple],
- des demandes de consultation ou d'acquisition des documents détaillésayant servi à l'élaboration de la carte,
- des questions sur l'état d'avancement de la couverture cartographiquedans une région donnée.
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460 questionnaires ont été ainsi- diffusés en 1930 et 125 réponsesont été reçues (soit 27 %]. De cette enquête [dont les résultats définitifs etl'analyse vont être diffusés prochainement],- il ressort que la carte géologiquearrive en tête des cartes thématiques utilisées, dans 60 % des réponses. Il f.3utsignaler également que plusieurs organismes demandent que soit accélérée la cou¬verture géologique de la France à 1/50 000.
3 - Evolution des ventes de cartes géologiques
En ce qui concerne la carte à 1/50 OOO, on assiste entre. 1970 et 1977,à une forte augmentation dû nombre d'exemplaires de cartes vendues, qui doublepratiquement en 7 ans [de 17 000 à plus de 34 000]. Depuis 1977, ce chiffre s'eststabilisé autour de 34 000.' Cette évolution peut s! expliquer, jusqu'en 1977, parl'effort entrépris dans la promotion de la carte géologique, le développement d'unréseau de commercialisation, et également, par l'augmentation de l'a surface duterritoire national couverte par la carte géologique à 1/50 000. La stagnationobservée depuis 1977 pourrait être le résultat d'une certaine' saturation du marché,et également des conséquences de la crise économique qui s'est traduite, entreautres, par des restrictions budgétaires imposées à certains gros acheteurs, comme
-les Universités.
Depuis 1976, le Service géologique national "diffuse sous forme dedocuments provisoires une bonne partie des cartes levées et en cours d'édition(diapositives 24 x 35 de la minute documents annexes]. Le prix élevé (330' F en,1981] de ces documents et leur utilisation pas toujours très facile en ontjusqu'à présent limité les ventes (30 à' 40 par an] pratiquement aux Sociétésminières ou aux bureaux d'étude. L'arrivée sur le marché de procédés photogra¬phiques permettant une reproduction en couleurs et à l'échelle, donc p.Lus.. faci¬lement utilisable, . pourrait- auginenter l'audience de ces documents provisoires.
4 - Correspondance avec les utilisateurs de cartes géologiques
Le Secrétariat de la Carte géologique reçoit de temps à autre deslettres émanant d'utilisateurs très variés de cartes géologiques. Parmi les pré¬occupations de ces correspondants, il faut relever :
- des demandes d'explications concernant la géologie, les modes de'reJDrésentatiori dès "terrains ou" dés " erreurs "ou anomalies (mauvais raccord decartes adjacentes, par exemple],
- des demandes de consultation ou d'acquisition des documents détaillésayant servi à l'élaboration de la carte,
- des questions sur l'état d'avancement de la couverture cartographiquedans une région donnée.
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DONNEES CONCERNANT LA CARTE GEOLOGIQUE
par
n.J.LIENHARDT, R.HEDIONI et T.T. CAO
La prise en compte de la carte peut- intervenir soit .simplementen tant qu'objets documentaires, traités comme une information bibliographique,soit en tant que base élémentaire de données graphiques et géologiques, permet¬tant, après traitement, de fournir, à la demande des documents élaborés etinterprétés.
1 - La carte géologique en tant qu'objets documentai res
La saisie des données peut se faire à l'aide de mots-clés utilisantle lexique BSS, complété ; les informations son't saisies par coupure à 1/50 000avec le -canevas suivant : .
carte.- régions naturelles et/ou domaines structuraux. interceptés "par la
- étendue de l'échelle stratigraphique représentée,,
-pétrographie, métamorphisme,
- tectonique,
- informations spécifiques à chaque carte [isobathes, schéma -structu¬ral, cartouche hydrogéologique, gîtes minéraux, substances utiles, etc...].
Ces données peuvent, sous cette forme, être intégrées à un fichierbibliographique et leur restitution se fait aljors soit sous:. forme de- listings pourl'ensemble de la carte (1), soit sous forme regroupée (par exemple, ensemble descartes couvrant une unité géographique ou structurale donnée) .
Pour faciliter le travail, l'analyse bibliographique de la carte géolo¬gique et de sa notice devra être faite systématiquement pour toutes les nouvellescartes éditées J Pour les cartes déjà publiées (plus de' 500, soit la moitié dela couverture), ce travail est à réaliser, de préférence dans les SGR.
Une amélioration sensible pourrait être le report sur vidéodisque del'image de la carte géologique et de ses annexes : on obtiendrait ainsi une carto-thèque très commodément accessitple aux abonnés d'un réseau télématique (télétel,par exemple] . .
(1) pour une maille plus réduite ("commune par exemple], l'information restituée.concernera forcément l'ensemble de la carte).
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DONNEES CONCERNANT LA CARTE GEOLOGIQUE
par
n.J.LIENHARDT, R.HEDIONI et T.T. CAO
La prise en compte de la carte peut- intervenir soit .simplementen tant qu'objets documentaires, traités comme une information bibliographique,soit en tant que base élémentaire de données graphiques et géologiques, permet¬tant, après traitement, de fournir, à la demande des documents élaborés etinterprétés.
1 - La carte géologique en tant qu'objets documentai res
La saisie des données peut se faire à l'aide de mots-clés utilisantle lexique BSS, complété ; les informations son't saisies par coupure à 1/50 000avec le -canevas suivant : .
carte.- régions naturelles et/ou domaines structuraux. interceptés "par la
- étendue de l'échelle stratigraphique représentée,,
-pétrographie, métamorphisme,
- tectonique,
- informations spécifiques à chaque carte [isobathes, schéma -structu¬ral, cartouche hydrogéologique, gîtes minéraux, substances utiles, etc...].
Ces données peuvent, sous cette forme, être intégrées à un fichierbibliographique et leur restitution se fait aljors soit sous:. forme de- listings pourl'ensemble de la carte (1), soit sous forme regroupée (par exemple, ensemble descartes couvrant une unité géographique ou structurale donnée) .
Pour faciliter le travail, l'analyse bibliographique de la carte géolo¬gique et de sa notice devra être faite systématiquement pour toutes les nouvellescartes éditées J Pour les cartes déjà publiées (plus de' 500, soit la moitié dela couverture), ce travail est à réaliser, de préférence dans les SGR.
Une amélioration sensible pourrait être le report sur vidéodisque del'image de la carte géologique et de ses annexes : on obtiendrait ainsi une carto-thèque très commodément accessitple aux abonnés d'un réseau télématique (télétel,par exemple] . .
(1) pour une maille plus réduite ("commune par exemple], l'information restituée.concernera forcément l'ensemble de la carte).
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2 - La carte géologique en tant que base élémentaire de données graphiques etgéologiques'
Il est proposé de constituer, à partir de la numSAt&atton dz6 contouude la carte géologique, un fichier de données graphiques exploitables dans lecadre du système GIMMAP. Dans ce cas, le codage des données enregistrées doit êtrecomplété avec des indications appropriées aux applications de la géologie(lithologie, caractéristiques géotechniques ou autres).
Les sorties peuvent être celles déjà possibles avec GIMMAP : restitutiontotale ou partielle (fenêtres, zooming] de la carte (fig.l), restitution sélectivesur. des critères stratigraphiques, lithologiques ou géotechniques, ces diversesopérations intervenant en mode. conversationnel. L'interconnexion entre le fichiergraphique et une base de. données ponctuelles (sondages par exemple) doit permettredes sorties plus élaborées, telles que restitution d'un profil avec position deslimites géologiques, et des coupes de sondage (flg.2). Ce type d'opération appli¬cable à l'étude d'implantation d'ouvrage linéaire (tracés routiers, ferroviaires,gazoducs, etc..) serait, dans un premier temps, réalisé en temps différé, maisil n'est pas exclu de l'obtenir., un jour en conversationnel.
L'accès au fichier graphique géré- par GIMMAP pourrait également êtreenvisagé à. partir de l'unité vidéodisque.
L'application du système GIMMAP, et de ses programmes dérivés, systéma¬tiquement à l' ensemble de irá 'couverture géologique existante, ou à venir, se heurteactuellement à l'obstacle .technologique de la numérisation manuelle, dont le coûtet les délais sont incompatibles avpc la portée envisagée pour GEOBASE.îl appdfiaZt donc uAgent quz ¿otznt pouuutvteÁ zt mznë.z& à tzfmz, leA fizchzJichej»tnt^zpfuAzi, poun. pa^ízn. du modz " Aa&tzA ", utt^Li&é pan. leA appan.zWLaQeÁ dznumêAl&atton automattqaz poA balayagz (icanneA) , au modz " vz(itonÁ.eZ ", compatiblz
-ui/'ec la logtqaz du ¿yotànz GIAIMAP.
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2 - La carte géologique en tant que base élémentaire de données graphiques etgéologiques'
Il est proposé de constituer, à partir de la numSAt&atton dz6 contouude la carte géologique, un fichier de données graphiques exploitables dans lecadre du système GIMMAP. Dans ce cas, le codage des données enregistrées doit êtrecomplété avec des indications appropriées aux applications de la géologie(lithologie, caractéristiques géotechniques ou autres).
Les sorties peuvent être celles déjà possibles avec GIMMAP : restitutiontotale ou partielle (fenêtres, zooming] de la carte (fig.l), restitution sélectivesur. des critères stratigraphiques, lithologiques ou géotechniques, ces diversesopérations intervenant en mode. conversationnel. L'interconnexion entre le fichiergraphique et une base de. données ponctuelles (sondages par exemple) doit permettredes sorties plus élaborées, telles que restitution d'un profil avec position deslimites géologiques, et des coupes de sondage (flg.2). Ce type d'opération appli¬cable à l'étude d'implantation d'ouvrage linéaire (tracés routiers, ferroviaires,gazoducs, etc..) serait, dans un premier temps, réalisé en temps différé, maisil n'est pas exclu de l'obtenir., un jour en conversationnel.
L'accès au fichier graphique géré- par GIMMAP pourrait également êtreenvisagé à. partir de l'unité vidéodisque.
L'application du système GIMMAP, et de ses programmes dérivés, systéma¬tiquement à l' ensemble de irá 'couverture géologique existante, ou à venir, se heurteactuellement à l'obstacle .technologique de la numérisation manuelle, dont le coûtet les délais sont incompatibles avpc la portée envisagée pour GEOBASE.îl appdfiaZt donc uAgent quz ¿otznt pouuutvteÁ zt mznë.z& à tzfmz, leA fizchzJichej»tnt^zpfuAzi, poun. pa^ízn. du modz " Aa&tzA ", utt^Li&é pan. leA appan.zWLaQeÁ dznumêAl&atton automattqaz poA balayagz (icanneA) , au modz " vz(itonÁ.eZ ", compatiblz
-ui/'ec la logtqaz du ¿yotànz GIAIMAP.
26
Fig._ 1 -..Visualisation-d.-une -portion de-carte.^ failles et sondages. Tracé du. p.rofil
géologique avec contours ,demandé (ABCDE) . ._
-f^-r-"'^ Cl c-i-B- fv -4.. il^. A -^.-Jk,^liL^:^-Zhs^^J^
X -^ \^-^
^ -e^-^^H-:X
\^ -
x-\-^
JX^^^ \-.^._^,
^i.
-^v
'* '^
-Fig. 2 - Restitution du- profil "ABCDE "avec~ia~posrtion~de"S"limi'teë~gêologiquës; '' de la-f^ille-et les-coupes-de-sondages (4e-tracé-des--limi-tes -«l-l-és-mêmes _.. des formations :^éolDgiques_es£-assuré^._inanuelleinent,par_lî-interrogateur.),
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Fig._ 1 -..Visualisation-d.-une -portion de-carte.^ failles et sondages. Tracé du. p.rofil
géologique avec contours ,demandé (ABCDE) . ._
-f^-r-"'^ Cl c-i-B- fv -4.. il^. A -^.-Jk,^liL^:^-Zhs^^J^
X -^ \^-^
^ -e^-^^H-:X
\^ -
x-\-^
JX^^^ \-.^._^,
^i.
-^v
'* '^
-Fig. 2 - Restitution du- profil "ABCDE "avec~ia~posrtion~de"S"limi'teë~gêologiquës; '' de la-f^ille-et les-coupes-de-sondages (4e-tracé-des--limi-tes -«l-l-és-mêmes _.. des formations :^éolDgiques_es£-assuré^._inanuelleinent,par_lî-interrogateur.),
27
CHAPITRE 2.2
COMPORTEMENT DES UTILISATEURS ET SOUHAITS FORMULES
Banque de données(l) et base bibliographique(2)
(1) par E.FRAGONARD
J. FLORIN
Mme F.MENCHI
D.ROUSSELOT
(2) par S.PREVOSTEAU
J. GRAVENSTEIJN
27
CHAPITRE 2.2
COMPORTEMENT DES UTILISATEURS ET SOUHAITS FORMULES
Banque de données(l) et base bibliographique(2)
(1) par E.FRAGONARD
J. FLORIN
Mme F.MENCHI
D.ROUSSELOT
(2) par S.PREVOSTEAU
J. GRAVENSTEIJN
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1 - COMPORTEMENT DES UTILISATEURS DES BANQUES DES DONNEES DUSOUS^SOL *
1.1 - Le consultant ; qui est-il ?
- la population des consultants est trës diversifiée, et il seraitfaux de penser que seuls quelques initiés s'intéressent aux données des Sciences dela Terrei
- On note ensuite que le consultant diffère peu d'une région àl'autre.
- On peut classer cette population en grandes catégories et donnerun ordre de grandeur de sa répartition en 1981
CATEGORIES .Z DE CONSULTATIONS
la) particuliers, associations, syndics/!/ Ib) commerçants, industriels, agriculteurs ' 3/10
le) cabinets d'assurances...
2a) bureaux d'études/TJ 2b) cabinets d'architectes- . 3/10 '
2c) ingénieurs conseils, géologues indépendants...
3a) universitaires, chercheurs/3/ 3b) enseignants 1/10
3c) étudiants ...
4a) sondeurs/k/ 4b) entreprises travaux publics 1/10
4c) pétroliers . . . -
5a) administrationsjTJ 5b) collectivités locales 1/10
5c) établissements publics..,
/67 Divers 1/10
Si l'on s'intéresse aux tendances de ces cinq dernières années onretiendra que :
a) le nombre total des consultations est en- augmentation assez nettedepuis deux ans. '
- b) Ceux sont les catégories /T7 particuliers. .. , et /^ bureaux d'étudesqui ont le plus progresses alorfi que la catégorie "/37 universitaires... se main¬tenait et quelles catégoriefi /V sondeurs... et '/5/ administrations régressaient.On tentera plus loin d'analyser ces tendances.
^ A partir d'enquêtes effectuées dans les régions Nord-Pas-de-Calais, Aquitaine,RhSne-Alpes et Parisienne.
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1 - COMPORTEMENT DES UTILISATEURS DES BANQUES DES DONNEES DUSOUS^SOL *
1.1 - Le consultant ; qui est-il ?
- la population des consultants est trës diversifiée, et il seraitfaux de penser que seuls quelques initiés s'intéressent aux données des Sciences dela Terrei
- On note ensuite que le consultant diffère peu d'une région àl'autre.
- On peut classer cette population en grandes catégories et donnerun ordre de grandeur de sa répartition en 1981
CATEGORIES .Z DE CONSULTATIONS
la) particuliers, associations, syndics/!/ Ib) commerçants, industriels, agriculteurs ' 3/10
le) cabinets d'assurances...
2a) bureaux d'études/TJ 2b) cabinets d'architectes- . 3/10 '
2c) ingénieurs conseils, géologues indépendants...
3a) universitaires, chercheurs/3/ 3b) enseignants 1/10
3c) étudiants ...
4a) sondeurs/k/ 4b) entreprises travaux publics 1/10
4c) pétroliers . . . -
5a) administrationsjTJ 5b) collectivités locales 1/10
5c) établissements publics..,
/67 Divers 1/10
Si l'on s'intéresse aux tendances de ces cinq dernières années onretiendra que :
a) le nombre total des consultations est en- augmentation assez nettedepuis deux ans. '
- b) Ceux sont les catégories /T7 particuliers. .. , et /^ bureaux d'étudesqui ont le plus progresses alorfi que la catégorie "/37 universitaires... se main¬tenait et quelles catégoriefi /V sondeurs... et '/5/ administrations régressaient.On tentera plus loin d'analyser ces tendances.
^ A partir d'enquêtes effectuées dans les régions Nord-Pas-de-Calais, Aquitaine,RhSne-Alpes et Parisienne.
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c) En ^x-'emiëre approche on peut estimer que l'on a par an une consultationpour 5000 ha. Mais ce chiffre n'a guère de signification, dans la mesure ou le nom¬bre d'habitants concernés par une consultation est très variable (particuliers, oucollectivités locales par exemple) .A noter une consultation de plus en plus fréquented'associations, de syndics, de groupement d'industriels, de SAFERS,
d) La consultation par téléphone est fréquente , el 1 e pose des problèmesde disponibilité' -pour une réponse immédiate.
1.2 ^ T;à consultation j^dans quel but ?
Il est rare que le consultant tienne â garder secretes les raisonsde sa consultation» aussi est-il possible de dégager des tendances.
Les objectifs du consultant .sont très variés. Le consultant peutvouloir satisfaire sa curiosité de connaitre le sous-sol de sa commune ou bienrecueillir des données dans le cadre de la construction d'une centrale nucléaire.
- Les principaux buts de sa consultation sont :
- LA CONSTRUCTION - L'AMENAGEMENT- L'ALIMENTATION EN EAU- LA PROTECTION CONTRE L'EAU- L'APPROVISIONNEMENT EN SUBSTANCES UTILES- L'APPROVISIONNEMENT EN MATIERES PREMIERES- L'APPROVISIONNEMENT EN ENERGIE- LA PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT
Mais on note aussi, la minéralogie, la spéléologie,., la répar¬tition des consultations est variable selon les régions.
A noter que le pourcentage des consultations ayant pour objectifl'alimentation en eau (eau potable, industrielle, irrigation) ou la protection contrel'eau (inondations sous-sol) est voisin de 50 Z.
- Le pourcentage des consultations concernant l'exploitation de lanappe pour pompe â chaleur qui était quasi négligeable il y a cinq ans atteint sensi¬blement 25 Z en 1981 et il y a tout lieu de penser que ce chiffre va croitre.
1 .3 - Le_çonsultant_£_gue_çherche_t^il ? -
Les types de données que le consultant recherche dépend davantagede la catégorie dans laquelle il se range que de l'objectif de sa consultation.
Il n'est guère réaliste de vouloir tirer des règles générales,mais l'on peut tenter de donner des tendances.
- les consultants de la catégorie ' /TT, généralement pas spécialisterecherchent des données d'orientation sur une zone limitée â la propriété, à l'usineou au sinistre. « Présence ou absence d'eau, forte ou faible productivité de la nappprofondeur et amplitude des fluctuations de la nappe,' Bol dur, sol mou ». Ilsdemandent généralement une assistance. Ils sont intéressés par les documents carto¬graphiques thématiques' siiiç)les se rapportant â leur région. Posent très souvent desquestions relatives à la législation et la réglementation en matière d'occupation dusol et d'exploitation du sous-sol. Souhaitent souvent obtenir des renseignementstechniques et des listes d'entreprises- (sondeurs, chauffagistes ...).
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c) En ^x-'emiëre approche on peut estimer que l'on a par an une consultationpour 5000 ha. Mais ce chiffre n'a guère de signification, dans la mesure ou le nom¬bre d'habitants concernés par une consultation est très variable (particuliers, oucollectivités locales par exemple) .A noter une consultation de plus en plus fréquented'associations, de syndics, de groupement d'industriels, de SAFERS,
d) La consultation par téléphone est fréquente , el 1 e pose des problèmesde disponibilité' -pour une réponse immédiate.
1.2 ^ T;à consultation j^dans quel but ?
Il est rare que le consultant tienne â garder secretes les raisonsde sa consultation» aussi est-il possible de dégager des tendances.
Les objectifs du consultant .sont très variés. Le consultant peutvouloir satisfaire sa curiosité de connaitre le sous-sol de sa commune ou bienrecueillir des données dans le cadre de la construction d'une centrale nucléaire.
- Les principaux buts de sa consultation sont :
- LA CONSTRUCTION - L'AMENAGEMENT- L'ALIMENTATION EN EAU- LA PROTECTION CONTRE L'EAU- L'APPROVISIONNEMENT EN SUBSTANCES UTILES- L'APPROVISIONNEMENT EN MATIERES PREMIERES- L'APPROVISIONNEMENT EN ENERGIE- LA PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT
Mais on note aussi, la minéralogie, la spéléologie,., la répar¬tition des consultations est variable selon les régions.
A noter que le pourcentage des consultations ayant pour objectifl'alimentation en eau (eau potable, industrielle, irrigation) ou la protection contrel'eau (inondations sous-sol) est voisin de 50 Z.
- Le pourcentage des consultations concernant l'exploitation de lanappe pour pompe â chaleur qui était quasi négligeable il y a cinq ans atteint sensi¬blement 25 Z en 1981 et il y a tout lieu de penser que ce chiffre va croitre.
1 .3 - Le_çonsultant_£_gue_çherche_t^il ? -
Les types de données que le consultant recherche dépend davantagede la catégorie dans laquelle il se range que de l'objectif de sa consultation.
Il n'est guère réaliste de vouloir tirer des règles générales,mais l'on peut tenter de donner des tendances.
- les consultants de la catégorie ' /TT, généralement pas spécialisterecherchent des données d'orientation sur une zone limitée â la propriété, à l'usineou au sinistre. « Présence ou absence d'eau, forte ou faible productivité de la nappprofondeur et amplitude des fluctuations de la nappe,' Bol dur, sol mou ». Ilsdemandent généralement une assistance. Ils sont intéressés par les documents carto¬graphiques thématiques' siiiç)les se rapportant â leur région. Posent très souvent desquestions relatives à la législation et la réglementation en matière d'occupation dusol et d'exploitation du sous-sol. Souhaitent souvent obtenir des renseignementstechniques et des listes d'entreprises- (sondeurs, chauffagistes ...).
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' ' - Les consultants de la catégorie /TJ ont généralement de bonnesnotions géologiques et vont le plus souvent demander â examiner les dossiers ins¬truits au titre du code minier et la carte géologique, afin de préparer desprograimnes de reconnaissance et d'études. S'intéressent aux documents synthétiques*N'ont généralement pas le temps de se livrer à un examen bibliographique.
- Les consultants de la catégorie /TJ spécialistes des Sciencesde la Terre, vont rechercher soit des données régionales, soit des donnéesnationales, soit des données mondiales - ponctuelles et bibliographiques. Ilsrecherchent de préférence les données brutes, les minutes. Les étudiants peuventvouloir aussi être guidés sur des ouvrages fondamentaux.
- Les consultants de la catégorie /^'recherchent des donnéesgénéralement ponctuelles, profondes, précises et fiables souvent récentes. Il sontintéressés par les rapports de sondages, les campagnes géophysiques. A noter quela consultation des entreprises peut porter gur des renseignements concernant lesous-sol étranger (cartes, livres, rapports etc...).
- Les cnnsultants de la catégorie /57 recherchent le plus souventdes données finalisées (piézométrie, chimie, température, épaisseurs rejnblàis,carrières, etc.). A noter que certains d'entre eux fournissent au B.R.G.M. leurdonnées spécialisées pour être sur de les retrouver (l'indexaee et l'archi-vageadoptés par le B.R.G.M. étant jugés très satisfaisants),
1.4- Le_consultant_: trouve_t-il_ce_2u¿il_cherche ?
La consultation s'avère le plus souvent fructueuse, mais l'onnote aussi quelques faiblesses, qui se traduisent par des souhaits reportés desconsultants, parmi ceux-ci et par catégorie : '
Catégorie JTJ : particulier etc ...
- Une meilleure information sur la législation et la réglementation sur l'occupationet l'exploitation du sous-sol (exemple pompe à chaleur eau/eau, assainissementindividuel. . .) .
- Une meilleure information sur les techniques d'exploration et d'exploitation dusous-sol.
(ceci étant cette catégorie de consultants trouve généralement desdonnées et une assistance suffisante pour orienter ses choix).
Catégorie ' /TJ : bureaux d'études etc ...
r Une meilleure couverture de l'information ponctuelle.
- Le reproche le plus fréquent est l'absence manifeste en banquede certains ouvrages récents (qui n'ont pas été portés à la connaissance du B.R.G.M.ou qui n'ont pas été encore instruits).
(Ceci étant, c'est dans cette catégorie que l'on trouve lesconsultants les plus assidus).
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' ' - Les consultants de la catégorie /TJ ont généralement de bonnesnotions géologiques et vont le plus souvent demander â examiner les dossiers ins¬truits au titre du code minier et la carte géologique, afin de préparer desprograimnes de reconnaissance et d'études. S'intéressent aux documents synthétiques*N'ont généralement pas le temps de se livrer à un examen bibliographique.
- Les consultants de la catégorie /TJ spécialistes des Sciencesde la Terre, vont rechercher soit des données régionales, soit des donnéesnationales, soit des données mondiales - ponctuelles et bibliographiques. Ilsrecherchent de préférence les données brutes, les minutes. Les étudiants peuventvouloir aussi être guidés sur des ouvrages fondamentaux.
- Les consultants de la catégorie /^'recherchent des donnéesgénéralement ponctuelles, profondes, précises et fiables souvent récentes. Il sontintéressés par les rapports de sondages, les campagnes géophysiques. A noter quela consultation des entreprises peut porter gur des renseignements concernant lesous-sol étranger (cartes, livres, rapports etc...).
- Les cnnsultants de la catégorie /57 recherchent le plus souventdes données finalisées (piézométrie, chimie, température, épaisseurs rejnblàis,carrières, etc.). A noter que certains d'entre eux fournissent au B.R.G.M. leurdonnées spécialisées pour être sur de les retrouver (l'indexaee et l'archi-vageadoptés par le B.R.G.M. étant jugés très satisfaisants),
1.4- Le_consultant_: trouve_t-il_ce_2u¿il_cherche ?
La consultation s'avère le plus souvent fructueuse, mais l'onnote aussi quelques faiblesses, qui se traduisent par des souhaits reportés desconsultants, parmi ceux-ci et par catégorie : '
Catégorie JTJ : particulier etc ...
- Une meilleure information sur la législation et la réglementation sur l'occupationet l'exploitation du sous-sol (exemple pompe à chaleur eau/eau, assainissementindividuel. . .) .
- Une meilleure information sur les techniques d'exploration et d'exploitation dusous-sol.
(ceci étant cette catégorie de consultants trouve généralement desdonnées et une assistance suffisante pour orienter ses choix).
Catégorie ' /TJ : bureaux d'études etc ...
r Une meilleure couverture de l'information ponctuelle.
- Le reproche le plus fréquent est l'absence manifeste en banquede certains ouvrages récents (qui n'ont pas été portés à la connaissance du B.R.G.M.ou qui n'ont pas été encore instruits).
(Ceci étant, c'est dans cette catégorie que l'on trouve lesconsultants les plus assidus).
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. ': ', '
Catégorie JTJ : universitaires etc..
- Un accès plus aisé aux recherches bibliographiques.
- Un accès aux documents inédits.
(La relative difficulté d'accès aux publications peut expliquer enpartie la stagnation de la consultation de cette catégorie).
Catégorie JTJ : sondeurs etc..
- Des données sur ouvrages profonds plus élaborées, établies par des spécialistes.
- Un accès plus aisé aux données des campagnes géophysiques.
(La desaffection constatée de cette catégorie de consultants peuttrouver partiellement son origine dans une certaine inéquation entre la demande etl'offre) . .
Catégorie JTJ : administrations etc. . .
- une meilleure exploitation et présentation des données. ^
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. ': ', '
Catégorie JTJ : universitaires etc..
- Un accès plus aisé aux recherches bibliographiques.
- Un accès aux documents inédits.
(La relative difficulté d'accès aux publications peut expliquer enpartie la stagnation de la consultation de cette catégorie).
Catégorie JTJ : sondeurs etc..
- Des données sur ouvrages profonds plus élaborées, établies par des spécialistes.
- Un accès plus aisé aux données des campagnes géophysiques.
(La desaffection constatée de cette catégorie de consultants peuttrouver partiellement son origine dans une certaine inéquation entre la demande etl'offre) . .
Catégorie JTJ : administrations etc. . .
- une meilleure exploitation et présentation des données. ^
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COMPORTEMENT DES UTILISATEURS DE LA BASE BIBLIOGRAPHIQUE
2.1 .- NOMBRE DE RECHERCHES EFFECTUEES SUR LA BASE DE DONNEES "GEODE"
Nous ne donnerons ici que Les chif-fres concernant Les recherches rétrospectives,c'est-à-dire Les recherches bibLiographiques d'antériorité, ponctueLLes, sur unsujet donné et non Les abonnements à des pro'fiLs documentaires permanents.
2.1.1.- Recherches rétrospectives "en différé" sur L'ordinateur du BRGKi
- Le nombre moyen de recherches par an est de 420 depuis trois ans, ce quireprésente environ 120 000 réf érences imprimées par an.
- 70 % de ces recherches sont réaLisées pour Les besoins des agents du BRGM.
2.1.2'- Recherches rétrospectives "en conversationneL" sur Les serveurs de TéLé-systèmes et de L'ESA
a) TéLésystèmes - QuesteL
Le nombre d'heures d'interrogation de La base GEODE est de 100 h pour1981, ce qui représente environ 200 recherches.
- 20 % de ces recherches sont réaLisées pour Le BRGM.
b) ESA - 1RS
Le nombre de recherches est ici difficiLe à évaLuer, car La base GEODE
n'est pas indi viduaLisée et fait partie intégrante de La base pLuridisci-pLinaire du CNRS, PASCAL, dont eLLe représente Les sections "Sciences deLa Terre".
L'évaLuation approximative ne peut se faire qu'en fonction du nombred'heures d'interrogation de PASCAL : on peut estimer. à environ 150. heuresL'interrogation des sciences de La Terre en 1981, soit environ 300 recher¬ches, toutes pour des utiLisateurs extérieurs au BRGM.
En concLusion, Le nombre de recherches effectuées sur La base de données GEODE
peut être estimé à environ 920 par an.
2.2- . QUI SONT LES UTILISATEURS DE LA BASE DE DONNEES "GEODE"
Les agents du BRGM représentent 25 '/. des utiLisateurs.
Les UtiLisateurs hors BRGM se répartissent de La façon suivante :
Sociétés privées (industries extractives, bureaux d'études) 51 %
Enseignement - Recherche 21 7.
Organismes d'Etat (ministères, agences de bassin, etc) 14,5 %
Divers (parti cuLiers, coL Lectivités, commerçants) 13,5 %
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COMPORTEMENT DES UTILISATEURS DE LA BASE BIBLIOGRAPHIQUE
2.1 .- NOMBRE DE RECHERCHES EFFECTUEES SUR LA BASE DE DONNEES "GEODE"
Nous ne donnerons ici que Les chif-fres concernant Les recherches rétrospectives,c'est-à-dire Les recherches bibLiographiques d'antériorité, ponctueLLes, sur unsujet donné et non Les abonnements à des pro'fiLs documentaires permanents.
2.1.1.- Recherches rétrospectives "en différé" sur L'ordinateur du BRGKi
- Le nombre moyen de recherches par an est de 420 depuis trois ans, ce quireprésente environ 120 000 réf érences imprimées par an.
- 70 % de ces recherches sont réaLisées pour Les besoins des agents du BRGM.
2.1.2'- Recherches rétrospectives "en conversationneL" sur Les serveurs de TéLé-systèmes et de L'ESA
a) TéLésystèmes - QuesteL
Le nombre d'heures d'interrogation de La base GEODE est de 100 h pour1981, ce qui représente environ 200 recherches.
- 20 % de ces recherches sont réaLisées pour Le BRGM.
b) ESA - 1RS
Le nombre de recherches est ici difficiLe à évaLuer, car La base GEODE
n'est pas indi viduaLisée et fait partie intégrante de La base pLuridisci-pLinaire du CNRS, PASCAL, dont eLLe représente Les sections "Sciences deLa Terre".
L'évaLuation approximative ne peut se faire qu'en fonction du nombred'heures d'interrogation de PASCAL : on peut estimer. à environ 150. heuresL'interrogation des sciences de La Terre en 1981, soit environ 300 recher¬ches, toutes pour des utiLisateurs extérieurs au BRGM.
En concLusion, Le nombre de recherches effectuées sur La base de données GEODE
peut être estimé à environ 920 par an.
2.2- . QUI SONT LES UTILISATEURS DE LA BASE DE DONNEES "GEODE"
Les agents du BRGM représentent 25 '/. des utiLisateurs.
Les UtiLisateurs hors BRGM se répartissent de La façon suivante :
Sociétés privées (industries extractives, bureaux d'études) 51 %
Enseignement - Recherche 21 7.
Organismes d'Etat (ministères, agences de bassin, etc) 14,5 %
Divers (parti cuLiers, coL Lectivités, commerçants) 13,5 %
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2.3 SUR QUELS- DOMAINES PORTENT LES RECHERCHES ?
* La répartition par domeine est La suivante :
GîtoLogie - Economie minière 36 %
(substances métaLLiques, non-métaL Liques)
GéoLogie régionaLe 22 %
(stratigraphie, tectonique)
Pétrographie - SédimentoLogie - Géochimie 23 %
GéoLogie de L'ingénieur - HydrogéoLogie 11 %
Autres domaines 8 %
* IL faut aussi noter que 54 /Í des recherches portent sur une région déter-, minée et que 50 % des recherches portent sur une substance.
2.4 -. QUELS SONT LES REPROCHES LES PLUS FREQUENTS FORMULES PAR L'UTILISATEUR ?
- Parfois trop de références, sans critère de vaLeur du document.
- Coût de La recherche trop important Lorsque La demande est "GueLques réfé¬rences d'ouvrages généraux ou synthétiques sur teL sujet"
- Pas de possibiLité de séLectionner Les articLes de vuLgari sation pour Lesamateurs par exempLe.
- Présentation des références parfois rébarbative pour Le non-initié(présence d'abréviation ou de'code).
- La présence de résumé n'est pas assez fréquente.
- La référence d'un document n'étant pas Le document Lui-même, iL faut doncse procurer Le document, et Là La situation peut se compLiquer, surtouten province
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2.3 SUR QUELS- DOMAINES PORTENT LES RECHERCHES ?
* La répartition par domeine est La suivante :
GîtoLogie - Economie minière 36 %
(substances métaLLiques, non-métaL Liques)
GéoLogie régionaLe 22 %
(stratigraphie, tectonique)
Pétrographie - SédimentoLogie - Géochimie 23 %
GéoLogie de L'ingénieur - HydrogéoLogie 11 %
Autres domaines 8 %
* IL faut aussi noter que 54 /Í des recherches portent sur une région déter-, minée et que 50 % des recherches portent sur une substance.
2.4 -. QUELS SONT LES REPROCHES LES PLUS FREQUENTS FORMULES PAR L'UTILISATEUR ?
- Parfois trop de références, sans critère de vaLeur du document.
- Coût de La recherche trop important Lorsque La demande est "GueLques réfé¬rences d'ouvrages généraux ou synthétiques sur teL sujet"
- Pas de possibiLité de séLectionner Les articLes de vuLgari sation pour Lesamateurs par exempLe.
- Présentation des références parfois rébarbative pour Le non-initié(présence d'abréviation ou de'code).
- La présence de résumé n'est pas assez fréquente.
- La référence d'un document n'étant pas Le document Lui-même, iL faut doncse procurer Le document, et Là La situation peut se compLiquer, surtouten province
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CHAPITRE 3
CARACTERISTIQUES QUE DEVRAIT COMPORTER LE SYSTEME GEOTESSE
par S.PREVOSTEAU
J. DESOIGNIES
J F. LEPRETRE
Y. PETIT
D, ROUSSELOT
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CHAPITRE 3
CARACTERISTIQUES QUE DEVRAIT COMPORTER LE SYSTEME GEOTESSE
par S.PREVOSTEAU
J. DESOIGNIES
J F. LEPRETRE
Y. PETIT
D, ROUSSELOT
35
GEOTESSE comporte deux parties :
- un guide national disponible sur tous les sites,
- des guides régionaux disponibles sur quelques sites,
- un fichier visiteurs.
Le logiciel nommé "GEOTESSE" permet soit de faire appel au guide national,soit à quelques guides régionaux.
Le guide national et les guides régionaux auront la même structure,seules les données différeront.
Le guide national sera géré par une structure centrale [Orléans) tandis que lesdéveloppements des guides régionaux seront entièrement assurés par les S. G.R.
Le logiciel "GEOTESSE" sera réalisé en collaboration, par un informaticien dudépartement informatique Orléanais et un ingénieur géologue régional, sous laresponsabilité du département BSS. L'élaboration de ce logiciel sera menéeconjointement sur le matériel IBM/370 158 et sur le matériel micro ordinateurexistant.
En ce qui .concerne la saisie des données, elle sera à la charge de responsablesnommés, l' engrangement final étant conduit par les départements BSS et DOC pourla bibliographie.
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GEOTESSE comporte deux parties :
- un guide national disponible sur tous les sites,
- des guides régionaux disponibles sur quelques sites,
- un fichier visiteurs.
Le logiciel nommé "GEOTESSE" permet soit de faire appel au guide national,soit à quelques guides régionaux.
Le guide national et les guides régionaux auront la même structure,seules les données différeront.
Le guide national sera géré par une structure centrale [Orléans) tandis que lesdéveloppements des guides régionaux seront entièrement assurés par les S. G.R.
Le logiciel "GEOTESSE" sera réalisé en collaboration, par un informaticien dudépartement informatique Orléanais et un ingénieur géologue régional, sous laresponsabilité du département BSS. L'élaboration de ce logiciel sera menéeconjointement sur le matériel IBM/370 158 et sur le matériel micro ordinateurexistant.
En ce qui .concerne la saisie des données, elle sera à la charge de responsablesnommés, l' engrangement final étant conduit par les départements BSS et DOC pourla bibliographie.
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I - GUIDE NATIONAL GÉRÉ PAR "GEOTESSE"
Ce guide sera interrogeable à partir d'un terminal [soit écran,soit imprimante).Ce guide sera accessible à partir de tous les sites d'interrogation, .il n'a paspour prétention de fournir les données mais seulement les renseignementspermettant d'orienter vers les systèmes existants [informatisés ou non).
Ce guide comprendra deux grandes parties :
A IzA tn{,onmatlon6 genznatZA
tí IzÁ tn{,onmatLoyu, poan l'accíó aux donniez dzi, Scu.enaeó dela tzfiAZ
Bl - guÀAz d'accès aux ba¿z& dz donn&zi, [itchtzfii, d' Intéxit gznéAol]
tí2 - guldz dz KZckeAchz gzogfuaphtqiiz et/ou thzmatiquz
1 - A Iz^ tnlofmatLonis gzntfuiZzà
Leur accessibilité est faite grâce à un "menu". Parmi les possibilités onretiendra la liste non limitative suivante :
1 - Qu'est-ce que GEOTESSE ?
2 - Rôle au B.R.G.M.
3 - Législation
3.1 - Code minier général Articles 231, 132, 1333.2 - Loi sur l'eau Art. 403.3 - Stockage des déchets3.4 - Carrières3.5 - Nuisance et environnement, etc ...
4 - Adresses des services géologiques régionaux et départementsdécentralisés[personnes responsables, téléphone, telex, moyens d'interrogation etc.
5 - Adresses des grands- organismes de recherche
6 - Sociétés savantes
7 - Ministères ... ('touchant aux Sciences de la terre]
8 - Organismes de documentation français
9 - Organismes de documentation étrangers
10 - Chambres s-yndicales natio-nales
y.
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I - GUIDE NATIONAL GÉRÉ PAR "GEOTESSE"
Ce guide sera interrogeable à partir d'un terminal [soit écran,soit imprimante).Ce guide sera accessible à partir de tous les sites d'interrogation, .il n'a paspour prétention de fournir les données mais seulement les renseignementspermettant d'orienter vers les systèmes existants [informatisés ou non).
Ce guide comprendra deux grandes parties :
A IzA tn{,onmatlon6 genznatZA
tí IzÁ tn{,onmatLoyu, poan l'accíó aux donniez dzi, Scu.enaeó dela tzfiAZ
Bl - guÀAz d'accès aux ba¿z& dz donn&zi, [itchtzfii, d' Intéxit gznéAol]
tí2 - guldz dz KZckeAchz gzogfuaphtqiiz et/ou thzmatiquz
1 - A Iz^ tnlofmatLonis gzntfuiZzà
Leur accessibilité est faite grâce à un "menu". Parmi les possibilités onretiendra la liste non limitative suivante :
1 - Qu'est-ce que GEOTESSE ?
2 - Rôle au B.R.G.M.
3 - Législation
3.1 - Code minier général Articles 231, 132, 1333.2 - Loi sur l'eau Art. 403.3 - Stockage des déchets3.4 - Carrières3.5 - Nuisance et environnement, etc ...
4 - Adresses des services géologiques régionaux et départementsdécentralisés[personnes responsables, téléphone, telex, moyens d'interrogation etc.
5 - Adresses des grands- organismes de recherche
6 - Sociétés savantes
7 - Ministères ... ('touchant aux Sciences de la terre]
8 - Organismes de documentation français
9 - Organismes de documentation étrangers
10 - Chambres s-yndicales natio-nales
y.
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1 - B Izi, ¿n^oKmatLoni, pouA. l' acezó aux donnzz dz6 Sctzncz6 dz Za tznAz zn Emanez
^ ~ liste et mode d'accès' aux bases et banques de données (d' intérêt général)
2 - guide de recherche géographique et/ou thématique
Pour que cette interrogation soit aisée, sera affichée à l'écranla liste des entrées géographiques et thématiques possibles.
A chaque couple (zone géographique, thème) on obtiendra :
- la liste des fichiers accessibles depuis le site informatiquerégional. Les renseignements sur chaque fichier pourraient être les suivants :
. couverture [géographique, thématique)
. type de données [ponctuelles, brutes, élaborées,bibliographiques. . . )
. les conditions d'accès [tout public, utilisation privilégiée,coût, délais. . . )
. modalités d'accès [conversationnel, batch, directe ou avecintermédiaire. . . ) .
- la liste des organismes possédant des fichiers répondant à laquestion, mais non accessibles depuis le site régional en précisant l'adresse,n° tel, responsable,
- la liste des organismes ou services pouvant soit posséder desdonnées de cette nature, soit apporter une réponse au problème posé.
îK On limitera les renseignements à 22 lignes de 78 caractères
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1 - B Izi, ¿n^oKmatLoni, pouA. l' acezó aux donnzz dz6 Sctzncz6 dz Za tznAz zn Emanez
^ ~ liste et mode d'accès' aux bases et banques de données (d' intérêt général)
2 - guide de recherche géographique et/ou thématique
Pour que cette interrogation soit aisée, sera affichée à l'écranla liste des entrées géographiques et thématiques possibles.
A chaque couple (zone géographique, thème) on obtiendra :
- la liste des fichiers accessibles depuis le site informatiquerégional. Les renseignements sur chaque fichier pourraient être les suivants :
. couverture [géographique, thématique)
. type de données [ponctuelles, brutes, élaborées,bibliographiques. . . )
. les conditions d'accès [tout public, utilisation privilégiée,coût, délais. . . )
. modalités d'accès [conversationnel, batch, directe ou avecintermédiaire. . . ) .
- la liste des organismes possédant des fichiers répondant à laquestion, mais non accessibles depuis le site régional en précisant l'adresse,n° tel, responsable,
- la liste des organismes ou services pouvant soit posséder desdonnées de cette nature, soit apporter une réponse au problème posé.
îK On limitera les renseignements à 22 lignes de 78 caractères
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II - GUIDE RÉGIONAL GÉRÉ PAR "GEOTESSE"
2 - A ¿n{^ûnMitlon& gznzAxiízó Azgtonalzó ^
a) informations générales sur la région
Le contenu des informations générales sur la région n'est pasprécisément établi, il est prévu par ailleurs d'être évolutif, mais ondevrait pouvoir y trouver :
- la liste des adresses utiles régionales :
ex. associations des géologues régionauxliste des librairies spécialisées dans les Sciences de laTerre, les chambres syndicales régionales de sondeurs, dechauffagistes, etc.
- la liste des cartes thématiques à petite échelle - carte géolo¬gique, hydrogéologique, de vulnérabilité, magnétique, mâtallogénique, gravimé¬trique, pédologique, géotechnique etc.
- la liste des ouvrages ou rapports faisant autorité sur la région.
b) informations générales sur le département
Là encore on devrait pouvoir obtenir à ce niveau une liste d'adresses,de cartes au 1/50 000, ouvrages etc.. sa structure ne diffère pas de la précédente.
c) informations générales sur les communes (à titre expérimental)
En 1961, la consultation par les particuliers ou personnes non initiéesaux Sciences de la Terre a atteint environ 50%. Ces personnes s'intéressentspécialement à leur propriété, à leur commune. Il apparaît utile de réaliserpour chaque commune un petit résumé, fournissant un aperçu géologique et hydro-géologique. Ce résumé serait complété par les n° des coupures (I.G.N., cartegéologique, carte hydrogéologique, carte aptitude à la pompe à chaleur, carteZERMOS, des références de rapports fournissant des données synthétiques sur cettezone d'intérêt, etc.)
2 - B gutdz pouÂ. l'accii aux donnzzà dzà ¿,ctzncz¿, dz la TeJUiz dz la Azgton,
La structure de ce guide est tout à fait comparable à celle décriteau 5 B.2, page 2 , notamment l'entrée est géographique et/ou thématique.
On trouvera en plus
- la liste des fichiers de données finalisées, man'Uelles ou informatiséesaccessibles au service régional ou depuis le site informatique régional, avecles caractéristiques de ce fichier et ses conditions d'accès.
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II - GUIDE RÉGIONAL GÉRÉ PAR "GEOTESSE"
2 - A ¿n{^ûnMitlon& gznzAxiízó Azgtonalzó ^
a) informations générales sur la région
Le contenu des informations générales sur la région n'est pasprécisément établi, il est prévu par ailleurs d'être évolutif, mais ondevrait pouvoir y trouver :
- la liste des adresses utiles régionales :
ex. associations des géologues régionauxliste des librairies spécialisées dans les Sciences de laTerre, les chambres syndicales régionales de sondeurs, dechauffagistes, etc.
- la liste des cartes thématiques à petite échelle - carte géolo¬gique, hydrogéologique, de vulnérabilité, magnétique, mâtallogénique, gravimé¬trique, pédologique, géotechnique etc.
- la liste des ouvrages ou rapports faisant autorité sur la région.
b) informations générales sur le département
Là encore on devrait pouvoir obtenir à ce niveau une liste d'adresses,de cartes au 1/50 000, ouvrages etc.. sa structure ne diffère pas de la précédente.
c) informations générales sur les communes (à titre expérimental)
En 1961, la consultation par les particuliers ou personnes non initiéesaux Sciences de la Terre a atteint environ 50%. Ces personnes s'intéressentspécialement à leur propriété, à leur commune. Il apparaît utile de réaliserpour chaque commune un petit résumé, fournissant un aperçu géologique et hydro-géologique. Ce résumé serait complété par les n° des coupures (I.G.N., cartegéologique, carte hydrogéologique, carte aptitude à la pompe à chaleur, carteZERMOS, des références de rapports fournissant des données synthétiques sur cettezone d'intérêt, etc.)
2 - B gutdz pouÂ. l'accii aux donnzzà dzà ¿,ctzncz¿, dz la TeJUiz dz la Azgton,
La structure de ce guide est tout à fait comparable à celle décriteau 5 B.2, page 2 , notamment l'entrée est géographique et/ou thématique.
On trouvera en plus
- la liste des fichiers de données finalisées, man'Uelles ou informatiséesaccessibles au service régional ou depuis le site informatique régional, avecles caractéristiques de ce fichier et ses conditions d'accès.
39
2 - C gaaiz poun. Iz thxictemznt dzi, donnzzà (¡tnaLUzzÂ
Pour chaque fichier de données finalisées il est proposé un certainnombre de traitements numériques ou graphiques par ex. :
- traitements statistiques
- diagrammes
- courbes isovaleurs
- hist'óriques
- implantation géographique sélective etc..
avec les conditions à remplir pour obtenir ces traitements, levée de confi¬dentialité, bon de commande ...
X
X X
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2 - C gaaiz poun. Iz thxictemznt dzi, donnzzà (¡tnaLUzzÂ
Pour chaque fichier de données finalisées il est proposé un certainnombre de traitements numériques ou graphiques par ex. :
- traitements statistiques
- diagrammes
- courbes isovaleurs
- hist'óriques
- implantation géographique sélective etc..
avec les conditions à remplir pour obtenir ces traitements, levée de confi¬dentialité, bon de commande ...
X
X X
40
III - LE FICHIER VISITEURS GÉRÉ PAR "GEOTESSE"
Par ailleurs, afin de s'adapter aux évolutions de la demande,le système GEOTESSE permettra la gestion d'un fichier visiteurs dont lesprincipales caractéristiques seront :
- le carnet visiteurs serait remplacé par une interrogation àl'écran, permettant d'avoir des statistiques par_catégorie de_consultants
Catégories_: la] particuliers, associations, syndics1b] commerçants, industriels, agriculteurs1c] cabinets d'assurances...
2a] bureaux d'études2b] cabinets d'architectes2c] ingénieurs conseils, géologues indépendants...
3a] universitaires, chercheurs3b] enseignants3c] étudiants. . .
4a] sondeurs4b] entreprises travaux publics4c] pétroliers . . .
5a] administrations5b] collectivités locales5c] établissements publics ...
B ] Divers
par_finalité de la consultation
construction - aménagement - alimentation en eau - protection contre l'eau -approvisionnement en substances utiles - approvisionnement en matières premièresapprovisionnement en énergie - protection de l'environnement, etc ...
hors France - France - autres régions - régions [voire départements], afind'offrir un service plus adapté.
X-
X X
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III - LE FICHIER VISITEURS GÉRÉ PAR "GEOTESSE"
Par ailleurs, afin de s'adapter aux évolutions de la demande,le système GEOTESSE permettra la gestion d'un fichier visiteurs dont lesprincipales caractéristiques seront :
- le carnet visiteurs serait remplacé par une interrogation àl'écran, permettant d'avoir des statistiques par_catégorie de_consultants
Catégories_: la] particuliers, associations, syndics1b] commerçants, industriels, agriculteurs1c] cabinets d'assurances...
2a] bureaux d'études2b] cabinets d'architectes2c] ingénieurs conseils, géologues indépendants...
3a] universitaires, chercheurs3b] enseignants3c] étudiants. . .
4a] sondeurs4b] entreprises travaux publics4c] pétroliers . . .
5a] administrations5b] collectivités locales5c] établissements publics ...
B ] Divers
par_finalité de la consultation
construction - aménagement - alimentation en eau - protection contre l'eau -approvisionnement en substances utiles - approvisionnement en matières premièresapprovisionnement en énergie - protection de l'environnement, etc ...
hors France - France - autres régions - régions [voire départements], afind'offrir un service plus adapté.
X-
X X
41
Calendrier des réalisations
Il conviendra lors de la réunion du lundi 1er mars 1982, dedésigner un responsable pour chacun des points.
Nous commencerons l'instruction du fichier signalétique dès lemois de mars [en liaison avec les responsables nommés]
La programmation du logiciel débutant effectivement début avril sera opéra¬tionnelle courant mai.
GEOTESSE national devra fonctionner dès juin 1962
)na1 ide naticCI
onal lide régiÜ3
logiciel
informations générales
informations sur l'accèsaux données des services
^ de la terre
informations généralessur la région
informations générales surle département
informations générales surles communes
devra être réalisé en
Juin 1982
Juin 198'¿
Juin 1982
septembre 1982
septembre 1982
à titre expérimental
41
Calendrier des réalisations
Il conviendra lors de la réunion du lundi 1er mars 1982, dedésigner un responsable pour chacun des points.
Nous commencerons l'instruction du fichier signalétique dès lemois de mars [en liaison avec les responsables nommés]
La programmation du logiciel débutant effectivement début avril sera opéra¬tionnelle courant mai.
GEOTESSE national devra fonctionner dès juin 1962
)na1 ide naticCI
onal lide régiÜ3
logiciel
informations générales
informations sur l'accèsaux données des services
^ de la terre
informations généralessur la région
informations générales surle département
informations générales surles communes
devra être réalisé en
Juin 1982
Juin 198'¿
Juin 1982
septembre 1982
septembre 1982
à titre expérimental
42
EXEMPLE DE RENSEIGNEMENTS QUE DONNERAIT "GEOTESSE" CONCERNANT UNE
BANQUE DE DONNEES
- LA BANQUE DES DONNEES DU SOUS-SOL -
«»« BANQUE DES DONNEES DU SOUS-SOL *»*
CONTIENT 3OO0O0 POINTS D'OBSERVATION SUR LE SOUS SOL (FORAGES, SONDAGES,PUITS, CARRIERES, EXCAVATIONS, AFFLEUREMENTS, ETC.) AU 30 SEPT 1981?LES INFORMATIONS CORRESPONDANTES SONT REGROUPEES DANS DES DOSSIERSNORMALISES.
CES DOSSIERS SONT CONSULTABLES DANS CHACUN DES SERVICES GEOLOGIQUESREGIONAUX ET A PARIS, SIEGE DU B.R.G.M., 191 RUE DE VAUGIRARD.
L'UTILISATION DES MICROFICHES SE GENERALISE POUR LA CONSULTATION.
125000 DOSSIERS SONT INFORMATISES.
« POSSIBILITE D'OBTENIR DES RENSEIGNEMENTS D'ORDRE OUANTITATIF SUR LAREPARTITION DES DOSSIERS PAR FEUILLE A 1/50000.MISE EN OEUVRE DU PROGRAMME BSSFE
DEPUIS CE TERMINAL IL EST POSSIBLE D'INTERROGER L'ENSEMBLE DE LA BANQUEINFORMATISEE DU B.R.G.M. , POUR FORMULER LES INTERROGATIONS ILVOUS SERA DEMANDE DE PRECISER LA LOCALISATION? PREPARER PAR CONSEQUENTCEUX DES ELEMENTS SUIVANTS CORRESPONDANT AUX CRITERES GEOGRAPHIQUES QUEVOUS AUREZ CHOISIS i
- NUMERO (S) DE DEPARTEMENT,- NUMERO(S) BRGM DE FEUILLE A 1/50O00, HUITIEME(S>,- NUMERO(S> DE COMMUNE,- COORDONNEES LAMBERT DES SOMMETS D'UN POLYGONE DELIMITANT UNE
AIRE DE RECHERCHE.
» FAIRE ETABLIR LE MESSAGE, PROGRAMME GEIOBI
PLUSIEURS THEMES DE RECHERCHE VOUS SERONT PROPOSES :DOCUMENTATION GENERALE, HYDROGEOLOGIE, COUPES GEOLOGIQUES, GITESMINERAUX, MATERIAUX, GEOTECHN I QUE .
» VOUS DISPOSEREZ ENSUITE DE 3 POSSIBILITES SELON L'IMPORTANCE DE LAREPONSE ATTENDUE:
- EXECUTION ET RECEPTION IMMEDIATES PAR «GEISHA- EXECUTION ET RECEPTION EN LEGER DIFFERE PAR GEISGO- EXECUTION EN DIFFERE ET UNIQUEMENT EDITION DES RESULTATS
SUR L' IMPRIMANTE DU SITE CENTRAL PAR GE1SG017
CONSULTATION DES DOCUMENTS ORIGINAUX DANS CHAQUE S. G.R. TOUS LES MATINS,ASSISTANCE TECHNIQUE CHAQUE MERCREDI MATIN.A PARIS, CONSULTATION ET ASSISTANCE TECHNIQUE DU LUNDI AU VENDREDI.
TERMINAUX RELIES A LA BANQUE DU B.R.G.M.: PARIS, LYON, LILLE, BORDEAUX,ET TOULOUSE.
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EXEMPLE DE RENSEIGNEMENTS QUE DONNERAIT "GEOTESSE" CONCERNANT UNE
BANQUE DE DONNEES
- LA BANQUE DES DONNEES DU SOUS-SOL -
«»« BANQUE DES DONNEES DU SOUS-SOL *»*
CONTIENT 3OO0O0 POINTS D'OBSERVATION SUR LE SOUS SOL (FORAGES, SONDAGES,PUITS, CARRIERES, EXCAVATIONS, AFFLEUREMENTS, ETC.) AU 30 SEPT 1981?LES INFORMATIONS CORRESPONDANTES SONT REGROUPEES DANS DES DOSSIERSNORMALISES.
CES DOSSIERS SONT CONSULTABLES DANS CHACUN DES SERVICES GEOLOGIQUESREGIONAUX ET A PARIS, SIEGE DU B.R.G.M., 191 RUE DE VAUGIRARD.
L'UTILISATION DES MICROFICHES SE GENERALISE POUR LA CONSULTATION.
125000 DOSSIERS SONT INFORMATISES.
« POSSIBILITE D'OBTENIR DES RENSEIGNEMENTS D'ORDRE OUANTITATIF SUR LAREPARTITION DES DOSSIERS PAR FEUILLE A 1/50000.MISE EN OEUVRE DU PROGRAMME BSSFE
DEPUIS CE TERMINAL IL EST POSSIBLE D'INTERROGER L'ENSEMBLE DE LA BANQUEINFORMATISEE DU B.R.G.M. , POUR FORMULER LES INTERROGATIONS ILVOUS SERA DEMANDE DE PRECISER LA LOCALISATION? PREPARER PAR CONSEQUENTCEUX DES ELEMENTS SUIVANTS CORRESPONDANT AUX CRITERES GEOGRAPHIQUES QUEVOUS AUREZ CHOISIS i
- NUMERO (S) DE DEPARTEMENT,- NUMERO(S) BRGM DE FEUILLE A 1/50O00, HUITIEME(S>,- NUMERO(S> DE COMMUNE,- COORDONNEES LAMBERT DES SOMMETS D'UN POLYGONE DELIMITANT UNE
AIRE DE RECHERCHE.
» FAIRE ETABLIR LE MESSAGE, PROGRAMME GEIOBI
PLUSIEURS THEMES DE RECHERCHE VOUS SERONT PROPOSES :DOCUMENTATION GENERALE, HYDROGEOLOGIE, COUPES GEOLOGIQUES, GITESMINERAUX, MATERIAUX, GEOTECHN I QUE .
» VOUS DISPOSEREZ ENSUITE DE 3 POSSIBILITES SELON L'IMPORTANCE DE LAREPONSE ATTENDUE:
- EXECUTION ET RECEPTION IMMEDIATES PAR «GEISHA- EXECUTION ET RECEPTION EN LEGER DIFFERE PAR GEISGO- EXECUTION EN DIFFERE ET UNIQUEMENT EDITION DES RESULTATS
SUR L' IMPRIMANTE DU SITE CENTRAL PAR GE1SG017
CONSULTATION DES DOCUMENTS ORIGINAUX DANS CHAQUE S. G.R. TOUS LES MATINS,ASSISTANCE TECHNIQUE CHAQUE MERCREDI MATIN.A PARIS, CONSULTATION ET ASSISTANCE TECHNIQUE DU LUNDI AU VENDREDI.
TERMINAUX RELIES A LA BANQUE DU B.R.G.M.: PARIS, LYON, LILLE, BORDEAUX,ET TOULOUSE.
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EXEMPLE DE RENSEIGNEMENTS QUE DONNERAIT "GEOTESSE CONCERNANT
"LA LITHOTHEQUE CENTRALE A ORLEANS"
««* LITHOTHEQUE CENTRALE DU B.R.G.M. A ORLEANS »**
COLLECTION D'ECHANTILLONS MONDIAUX DE REFERENCE17000 PIECES AU 31/12/81
COLLECTION DESTINEE A LA CONSULTATION AVEC POSSIBILITE, DANS CERTAINSCAS ET SOUS CERTAINES CONDITIONS, D'EFFECTUER DES PRELEVEMENTS.
CONSULTATION TOUS LES JOURS AU DEPARTEMENT BANQUE DES DONNEESDU SOUS-SOL , AU B.R.G.M. A ORLEANS .TELEPHONER AU DEPARTEMENT POUR S'ASSURER DE LA PRESENCE DANS LACOLLECTION DES ECHANTILLONS RECHERCHES.
LES REFERENCES DE LA COLLECTION FONT L'OBJET D'UN FICHIER INFORMATIQUEQUI EST EDITE PERIODIQUEMENT - MIS A JOUR - SELON LES CRITERES DECLASSEMENT SUIVANTS:
- GEOGRAPHIQUE ( PAR PAYS ET/OU PAR REGIONS NATURELLES ),- THEMATIQUE ( GEOLOGIE GENERALE, GITOLOGIE, MINERALOGIE ),- PAR MINERAUX,- PAR SUBSTANCES ( CHIMIE DU MINERAI ),- PAR LITHOLOGIE,- PAR STRATIGRAPHIE.
LA CONSULTATION DE CES LISTES A POUR BUT D'IDENTIFIER LES ECHANTILLONSRECHERCHES, LES NUMEROS DE RANGEMENT AINSI OBTENUS PERMETTENT ALORS DELOCALISER RAPIDEMENT CES ECHANTILLONS DANS LA LITHOTHEQUE ET DE LESPRESENTER A L'UTILISATEUR.
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EXEMPLE DE RENSEIGNEMENTS QUE DONNERAIT "GEOTESSE CONCERNANT
"LA LITHOTHEQUE CENTRALE A ORLEANS"
««* LITHOTHEQUE CENTRALE DU B.R.G.M. A ORLEANS »**
COLLECTION D'ECHANTILLONS MONDIAUX DE REFERENCE17000 PIECES AU 31/12/81
COLLECTION DESTINEE A LA CONSULTATION AVEC POSSIBILITE, DANS CERTAINSCAS ET SOUS CERTAINES CONDITIONS, D'EFFECTUER DES PRELEVEMENTS.
CONSULTATION TOUS LES JOURS AU DEPARTEMENT BANQUE DES DONNEESDU SOUS-SOL , AU B.R.G.M. A ORLEANS .TELEPHONER AU DEPARTEMENT POUR S'ASSURER DE LA PRESENCE DANS LACOLLECTION DES ECHANTILLONS RECHERCHES.
LES REFERENCES DE LA COLLECTION FONT L'OBJET D'UN FICHIER INFORMATIQUEQUI EST EDITE PERIODIQUEMENT - MIS A JOUR - SELON LES CRITERES DECLASSEMENT SUIVANTS:
- GEOGRAPHIQUE ( PAR PAYS ET/OU PAR REGIONS NATURELLES ),- THEMATIQUE ( GEOLOGIE GENERALE, GITOLOGIE, MINERALOGIE ),- PAR MINERAUX,- PAR SUBSTANCES ( CHIMIE DU MINERAI ),- PAR LITHOLOGIE,- PAR STRATIGRAPHIE.
LA CONSULTATION DE CES LISTES A POUR BUT D'IDENTIFIER LES ECHANTILLONSRECHERCHES, LES NUMEROS DE RANGEMENT AINSI OBTENUS PERMETTENT ALORS DELOCALISER RAPIDEMENT CES ECHANTILLONS DANS LA LITHOTHEQUE ET DE LESPRESENTER A L'UTILISATEUR.
44
CHAPITRE 4
CARACTERISTIQUES DES PRINCIPAUX FICHIERS
CONCERNANT LES SCIENCES DE LA TERRE HORS BRGM
(Europe, Canada, France)
par J.P. LEPRETRE
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CHAPITRE 4
CARACTERISTIQUES DES PRINCIPAUX FICHIERS
CONCERNANT LES SCIENCES DE LA TERRE HORS BRGM
(Europe, Canada, France)
par J.P. LEPRETRE
45
A - En EUROPE
I
Parmi les différents pays européens ainsi qu'au Canada, il existe unequantité de fichiers mis en place à l'occasion de projets et dont l'uti¬lisation est finalisée. Hormis les bases de données bibliographiques dontil est aisé de juger de leur qualité puisqu'elles sont placées sur desserveurs et accessibles grâce aux réseaux de transmission, il est bienplus difficile de connaître l'importance des banques de données surtoutdu point de vue de leurs possibilités d'interrogations.
Il semble toutefois qu'il n'y ait qu'en France où l'on mémorise l'ensembledes données du territoire selon un même procédé ce qui, il faut le dire,a l'avantage d'offrir des possibilités de corrélations et d'interrogationsuniformes.
Le tableau n°1 fourni en annexe donne un aspect des banques de donnéesdisponibles dans les pays européens. Cet inventaire a été réalisé en 1960à la suite de travaux menés par le groupe de travail international "Wes¬tern European Geological Survey" [WEGS] .
A partir de travaux menés par W.W. HUTCHINSON "Chairman" de COGEODATA,on peut faire les remarques suivantes :
Allemagne
Il existe un système appelé DASP qui est la combinaison d'un système degestion de données géologiques DASH et du système Américain [USGS] degestion de données graphiques GRASP.
Le système informatique permet de stocker les informations géologiquestelles que stratigraphie, lithologie, genèse, tectonique, éléments struc¬turaux, paléontologie, échantillons... L'utilisation d'une formulationlibre et d'un codage alphanumérique est nécessaire pour aider le géologuedans sa tâche de collecte et de mise en forme des données. Les sortiesgraphiques sont nombreuses (cartes de points, limite de lithofaciès, profilsgéologiques..} cf. exemples 1 et 2 ci-après page
- Angleterre
Il existe un système modulaire écrit en langage FORTRAN nommé GEXEC.Ce système composé permet de nombreuses sorties cartographiques (cf. exemple
ci-après page ] .
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A - En EUROPE
I
Parmi les différents pays européens ainsi qu'au Canada, il existe unequantité de fichiers mis en place à l'occasion de projets et dont l'uti¬lisation est finalisée. Hormis les bases de données bibliographiques dontil est aisé de juger de leur qualité puisqu'elles sont placées sur desserveurs et accessibles grâce aux réseaux de transmission, il est bienplus difficile de connaître l'importance des banques de données surtoutdu point de vue de leurs possibilités d'interrogations.
Il semble toutefois qu'il n'y ait qu'en France où l'on mémorise l'ensembledes données du territoire selon un même procédé ce qui, il faut le dire,a l'avantage d'offrir des possibilités de corrélations et d'interrogationsuniformes.
Le tableau n°1 fourni en annexe donne un aspect des banques de donnéesdisponibles dans les pays européens. Cet inventaire a été réalisé en 1960à la suite de travaux menés par le groupe de travail international "Wes¬tern European Geological Survey" [WEGS] .
A partir de travaux menés par W.W. HUTCHINSON "Chairman" de COGEODATA,on peut faire les remarques suivantes :
Allemagne
Il existe un système appelé DASP qui est la combinaison d'un système degestion de données géologiques DASH et du système Américain [USGS] degestion de données graphiques GRASP.
Le système informatique permet de stocker les informations géologiquestelles que stratigraphie, lithologie, genèse, tectonique, éléments struc¬turaux, paléontologie, échantillons... L'utilisation d'une formulationlibre et d'un codage alphanumérique est nécessaire pour aider le géologuedans sa tâche de collecte et de mise en forme des données. Les sortiesgraphiques sont nombreuses (cartes de points, limite de lithofaciès, profilsgéologiques..} cf. exemples 1 et 2 ci-après page
- Angleterre
Il existe un système modulaire écrit en langage FORTRAN nommé GEXEC.Ce système composé permet de nombreuses sorties cartographiques (cf. exemple
ci-après page ] .
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Il existe également un système bibliographique "GEOARCHIVE" couvrant tousles aspects fondamentaux et appliqués des sciences de la Terre, ainsi340 000 références bibliographiques sont disponibles.
Danemark
Le système nommé "SYSTEM" est spécifique pour les données du Précambrien.C'est un système interactif utilisant un matériel teKtronix.
Les données saisies sont codées et les raisons invoquées sont :
- plus grande rapidité d'écriture donc de remplissage desbordereaux,
- nombre d'erreurs moins grand ,
- les codes utilisés sont souvent les mêmes pour une mission.
Finlande
Système de saisie par bordereaux mis en place en 1966 avec codificationde données. La codification pose parfois des problèmes aux géologues pourtraduire ses observations.
Suède
Ce pays dispose d'un système nommé GEOMAP mis en place en 1969-1970. Lesdonnées d'observation sont reportées sur des bordereaux sous forme de codes.Les sorties informatiques sont standardisées et on peut faire exécuter dessorties graphiques.
Canada
De nombreuses banques, ou plus exactement fichiers, existent [cf tableau n°2]chacune gère des données spécifiques relatives à des secteurs géographiquesdéterminés. Il ne semble pas exister de banque générale pour l'ensemble duCanada.
REMARQUES GENERALES
Les problèmes qui se posent partout sont liés à l'accroissement des volumeset aux demandes de décentralisation. Néanmoins l'auteur du rapport WEGS
constate que la décentralisation est souevnt réalisée en bloc : équipementen ordinateurs, décentralisation des données, des programmes [cependant dansbien des cas les programmes étant spécifiques des besoins de ces créateurs,il y a toujours réécriture par le nouvel acquéreur], mise en place de personnel,
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Il existe également un système bibliographique "GEOARCHIVE" couvrant tousles aspects fondamentaux et appliqués des sciences de la Terre, ainsi340 000 références bibliographiques sont disponibles.
Danemark
Le système nommé "SYSTEM" est spécifique pour les données du Précambrien.C'est un système interactif utilisant un matériel teKtronix.
Les données saisies sont codées et les raisons invoquées sont :
- plus grande rapidité d'écriture donc de remplissage desbordereaux,
- nombre d'erreurs moins grand ,
- les codes utilisés sont souvent les mêmes pour une mission.
Finlande
Système de saisie par bordereaux mis en place en 1966 avec codificationde données. La codification pose parfois des problèmes aux géologues pourtraduire ses observations.
Suède
Ce pays dispose d'un système nommé GEOMAP mis en place en 1969-1970. Lesdonnées d'observation sont reportées sur des bordereaux sous forme de codes.Les sorties informatiques sont standardisées et on peut faire exécuter dessorties graphiques.
Canada
De nombreuses banques, ou plus exactement fichiers, existent [cf tableau n°2]chacune gère des données spécifiques relatives à des secteurs géographiquesdéterminés. Il ne semble pas exister de banque générale pour l'ensemble duCanada.
REMARQUES GENERALES
Les problèmes qui se posent partout sont liés à l'accroissement des volumeset aux demandes de décentralisation. Néanmoins l'auteur du rapport WEGS
constate que la décentralisation est souevnt réalisée en bloc : équipementen ordinateurs, décentralisation des données, des programmes [cependant dansbien des cas les programmes étant spécifiques des besoins de ces créateurs,il y a toujours réécriture par le nouvel acquéreur], mise en place de personnel,
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Donc, la décentralisation dans ces conditions coûte cher d'autant qu'enroutine elle demande un personnel "informatique" non utilisé à temps plein.
La décentralisation proposée ainsi devient inutile si on dispose de lignestéléphoniques spécialisées, mais il faut que ces lignes soient d'une partfiables ce qui est maintenant le cas, et d'autre part permettent des liai¬sons rapides spécialement pour le graphisme.
B - En FRANCE
Ecole Nationale Supérieure des Mines de Paris (ENSMP)
L'ENSMP a développé un système de gestion de base de données nommé "SIGMI".Ce système a été élaboré dans le cadre d'un programme de recherche visantà améliorer le traitement de données géologiques à l'aide d'ordinateur. Lesrègles qui ont fondé la réalisation de ce système sont surtout dans l'espritles mêmes que celles que nous avons suivi au B.R.G.M.
Ce système est utilisé pour des applications minières finalisées.
Centre de recherches pétrographiques et gêochimiques de Nancy (CRPG)
Désireux de faciliter la communication des données géochimiques, le CRPG
de Nancy a conçu un "système descripteur" des échantillons géochimiques. Cesystème est largement utilisé et opérationnel.
Ponts et Chaussées
Cet organisme a développé un système de gestion de données du sous-sol[données essentiellement géotechnique] , appelé "FIDJI". Une applicationde ce système a été faite sur la ville de Rouen.
Direction des Hydrocarbures
Cette direction possède un fichier informatisé des forages pétroliers concernantl'ensemble de la France. Les données mémorisées pour chaque forage sont lesrenseignements principaux : date, numéro de permis, société opératrice, coor¬données, profondeur finale, horizon géologique atteint, numéro d'dhyca ...Tous les forages pétroliers exécutés depuis 1950 sont ainsi répertoriés soitplus de 2500 forages. Ces données sont publiques.
47
Donc, la décentralisation dans ces conditions coûte cher d'autant qu'enroutine elle demande un personnel "informatique" non utilisé à temps plein.
La décentralisation proposée ainsi devient inutile si on dispose de lignestéléphoniques spécialisées, mais il faut que ces lignes soient d'une partfiables ce qui est maintenant le cas, et d'autre part permettent des liai¬sons rapides spécialement pour le graphisme.
B - En FRANCE
Ecole Nationale Supérieure des Mines de Paris (ENSMP)
L'ENSMP a développé un système de gestion de base de données nommé "SIGMI".Ce système a été élaboré dans le cadre d'un programme de recherche visantà améliorer le traitement de données géologiques à l'aide d'ordinateur. Lesrègles qui ont fondé la réalisation de ce système sont surtout dans l'espritles mêmes que celles que nous avons suivi au B.R.G.M.
Ce système est utilisé pour des applications minières finalisées.
Centre de recherches pétrographiques et gêochimiques de Nancy (CRPG)
Désireux de faciliter la communication des données géochimiques, le CRPG
de Nancy a conçu un "système descripteur" des échantillons géochimiques. Cesystème est largement utilisé et opérationnel.
Ponts et Chaussées
Cet organisme a développé un système de gestion de données du sous-sol[données essentiellement géotechnique] , appelé "FIDJI". Une applicationde ce système a été faite sur la ville de Rouen.
Direction des Hydrocarbures
Cette direction possède un fichier informatisé des forages pétroliers concernantl'ensemble de la France. Les données mémorisées pour chaque forage sont lesrenseignements principaux : date, numéro de permis, société opératrice, coor¬données, profondeur finale, horizon géologique atteint, numéro d'dhyca ...Tous les forages pétroliers exécutés depuis 1950 sont ainsi répertoriés soitplus de 2500 forages. Ces données sont publiques.
48
Centre d'Etude du Bâtiment et des Travaux Publics
Possède un fichier de données concernant le bâtiment'; en général (législation,matériaux, prix] et sur certains secteurs des sciences de la Terre avec desdonnées sur les matériaux de carrière ainsi que le matériel, crépine, tubage,.
En conclusion, on peut retenir les options suivantes :
- la saisie des données en langage codé si elle est plus rapide est troprestrictive et la solution du langage clair liée aux possibilités nouvellesde traitement de textes semble actuellement la plus adaptée aux besoins ;
- la gestion de ces données doit être telle quelle ne soit pas liée à lapolitique du moment. La conditions de réussite d'un service géologiquenational en ce qui concerne la mémorisation des données factuelles relativesau sous-sol est subordonnée au choix du modèle "Banque de données" et nonfichier thématique dont l'existence est souvent éphémère.
Actuellement la France est la seule à avoir pris ces options, il convientdonc de préserver et d'améliorer cet outil en le faisant connaître et enpermettant à tous, .quelque soit sa position géographique d'y avoir accèsdirectement .et immédiatement. Ce -rôle pourra être tenu par les moyens infor¬matiques définis par le groupe de travail "GEOBASE".
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Centre d'Etude du Bâtiment et des Travaux Publics
Possède un fichier de données concernant le bâtiment'; en général (législation,matériaux, prix] et sur certains secteurs des sciences de la Terre avec desdonnées sur les matériaux de carrière ainsi que le matériel, crépine, tubage,.
En conclusion, on peut retenir les options suivantes :
- la saisie des données en langage codé si elle est plus rapide est troprestrictive et la solution du langage clair liée aux possibilités nouvellesde traitement de textes semble actuellement la plus adaptée aux besoins ;
- la gestion de ces données doit être telle quelle ne soit pas liée à lapolitique du moment. La conditions de réussite d'un service géologiquenational en ce qui concerne la mémorisation des données factuelles relativesau sous-sol est subordonnée au choix du modèle "Banque de données" et nonfichier thématique dont l'existence est souvent éphémère.
Actuellement la France est la seule à avoir pris ces options, il convientdonc de préserver et d'améliorer cet outil en le faisant connaître et enpermettant à tous, .quelque soit sa position géographique d'y avoir accèsdirectement .et immédiatement. Ce -rôle pourra être tenu par les moyens infor¬matiques définis par le groupe de travail "GEOBASE".
49
BIBLIOGRAPHIE
[1] Computer-based systems for geological field data"Geological Survey of Canada" 100 pages - 1975
[2] Computer use in prospects of the geological survey of Canada"Geological Survey of Canada" - 106 pasges - 1974
[3] Scientific data processing in Western European SurveysReport of an inventory in 1960 - Meeting of Western EuropeanGeological Surveys (WEGS] - 20 pages - 1980
Le Tableau n°1 est extrait de la publication [3]
Le tableau n°2 est extrait de la publication [1]
Bases et Banques de données accessibles en conversationnel en FranceAss. Nationale de la Recherche Technique [2 volumes].
Directory of on line databases. Vol. 3, n°1 - 186 p. - 1981.
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BIBLIOGRAPHIE
[1] Computer-based systems for geological field data"Geological Survey of Canada" 100 pages - 1975
[2] Computer use in prospects of the geological survey of Canada"Geological Survey of Canada" - 106 pasges - 1974
[3] Scientific data processing in Western European SurveysReport of an inventory in 1960 - Meeting of Western EuropeanGeological Surveys (WEGS] - 20 pages - 1980
Le Tableau n°1 est extrait de la publication [3]
Le tableau n°2 est extrait de la publication [1]
Bases et Banques de données accessibles en conversationnel en FranceAss. Nationale de la Recherche Technique [2 volumes].
Directory of on line databases. Vol. 3, n°1 - 186 p. - 1981.
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TIEFE STRATIGR. PETROGRAPHIE GENESE FARBE ZUSATZZEICHEN PROBENNAHHE
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Exenigle_n°3 - Sortie du système GEXEX
Grande-Bretagne
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Table 2. Characteristics of Cana(jian field-data systems.
Organization City Respondents System Theme Purpose Physical Support
(geological Survey ofCanada
Quebec Dept. of Nat¬ural Resources
New Brunswick Dept. ofNatural Resources
Manitoba Dept. MinesRes. & EnvironmentalManagement - (oologyDivision
Vancouver,BritishColumbia
QuSbec,Quebec
J. A. RoddickW.U. Hutchison
K.N.H. SharmaA.F. LaurlnH.R. Wynne-Edwards
Sussex, A. A. RuitenbergNew Brunswick
Winnipeg,Manitoba
W.D. HcRltchieI. HaughJ.S. Roper
Coast Mountain project, fielddata on an Igneous-metamorphlccomplex
Computerized geological mappingin the Granville Province, Québec
Caledonia mountain/Bathurst;field data Igneous and metamorphiccomplexes
Project Pioneer, Burntwood ProjectSouthern Indian Lake field dataon Precambrlan metamorphiccomplexes
carto/petrog
carto/struct
carto/structpetrology
struct/cartopetrologygeochem.
ProductionData analysisArchival
Data analysisProductionArchival
ArchivalData analysisProduction
Data analysisData rectificationArchival
Université de Montréal Montréal,Québec
P.P. DavidJ. Lebuis
LEDA field data from Quaternarydeposits In Gaspé Peninsula
carto/sedlm. Data analysisProductionArchival
Mobil Oil Canada, Ltd.
Research Council ofAlberta - Geology
Calgary,Alberta
Edmonton,Alberta
D.A. Clark Correlation of sedimentary borehole data in defining targethorizons
J.W. Kramers Correlation of borehole andselected outcrop data forenvironmental study
borehole/oil
borehole/outcropcorrelation
ProductionData analysisArchival
ProductionArchival
Rio Tinto CanadianExploration Ltd.
B.P. Minerals Ltd.B.P. Oil
Canada (?eosys terns Ltd.
Ontario Division ofMines
Vancouver ,BritishColumbia
Montréal,Québec
Langley ,BritishColumbia
Toronto,Ontario
R.V. LongeR. WillieR. Hewton
D.M. Taylor
P.M. BlanchetC.I. Godwin
N. Trowell
Field observation data
Field and analytical data
Exploration and developmentdata; mineral deposits
Field observation data
mln. res./carto
mln. expl.geochron.
mln. expl.
struct/cartopetrography
Data analysisArchival
Archival
Data analysis
ProductionArchival
UNIVAC 1108 andIBM 360/68 underM.T.S.
IBM 360/50UNIVAC
IBM 360/50
IBM 370/155370/135
operating on OS
one of flux
IBM 360/502250 Graphics718 Flatbed
IBM 360/67under M.T.S.Calcomp drumplotter
UNIVAC 1108ASR 33 terminal
IBM 7
UNIVAC 1106
Ln
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Table 2. Characteristics of Cana(jian field-data systems.
Organization City Respondents System Theme Purpose Physical Support
(geological Survey ofCanada
Quebec Dept. of Nat¬ural Resources
New Brunswick Dept. ofNatural Resources
Manitoba Dept. MinesRes. & EnvironmentalManagement - (oologyDivision
Vancouver,BritishColumbia
QuSbec,Quebec
J. A. RoddickW.U. Hutchison
K.N.H. SharmaA.F. LaurlnH.R. Wynne-Edwards
Sussex, A. A. RuitenbergNew Brunswick
Winnipeg,Manitoba
W.D. HcRltchieI. HaughJ.S. Roper
Coast Mountain project, fielddata on an Igneous-metamorphlccomplex
Computerized geological mappingin the Granville Province, Québec
Caledonia mountain/Bathurst;field data Igneous and metamorphiccomplexes
Project Pioneer, Burntwood ProjectSouthern Indian Lake field dataon Precambrlan metamorphiccomplexes
carto/petrog
carto/struct
carto/structpetrology
struct/cartopetrologygeochem.
ProductionData analysisArchival
Data analysisProductionArchival
ArchivalData analysisProduction
Data analysisData rectificationArchival
Université de Montréal Montréal,Québec
P.P. DavidJ. Lebuis
LEDA field data from Quaternarydeposits In Gaspé Peninsula
carto/sedlm. Data analysisProductionArchival
Mobil Oil Canada, Ltd.
Research Council ofAlberta - Geology
Calgary,Alberta
Edmonton,Alberta
D.A. Clark Correlation of sedimentary borehole data in defining targethorizons
J.W. Kramers Correlation of borehole andselected outcrop data forenvironmental study
borehole/oil
borehole/outcropcorrelation
ProductionData analysisArchival
ProductionArchival
Rio Tinto CanadianExploration Ltd.
B.P. Minerals Ltd.B.P. Oil
Canada (?eosys terns Ltd.
Ontario Division ofMines
Vancouver ,BritishColumbia
Montréal,Québec
Langley ,BritishColumbia
Toronto,Ontario
R.V. LongeR. WillieR. Hewton
D.M. Taylor
P.M. BlanchetC.I. Godwin
N. Trowell
Field observation data
Field and analytical data
Exploration and developmentdata; mineral deposits
Field observation data
mln. res./carto
mln. expl.geochron.
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ProductionArchival
UNIVAC 1108 andIBM 360/68 underM.T.S.
IBM 360/50UNIVAC
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IBM 370/155370/135
operating on OS
one of flux
IBM 360/502250 Graphics718 Flatbed
IBM 360/67under M.T.S.Calcomp drumplotter
UNIVAC 1108ASR 33 terminal
IBM 7
UNIVAC 1106
Ln
55
CHAPITRE 5
MEMORISATION ET EXPLOITATION DES DONNEES GRAPHIQUES
Système GIMMAP
par T.T. CAO
J. DESOIGNIES
M.J.LIENHARDT
R. MEDIONI
55
CHAPITRE 5
MEMORISATION ET EXPLOITATION DES DONNEES GRAPHIQUES
Système GIMMAP
par T.T. CAO
J. DESOIGNIES
M.J.LIENHARDT
R. MEDIONI
56
MEMORISATION ET EXPLOITATION DES DONNEES GRAPHIQUES'
SYSTEME GIMMAP
Rapporteurs : T.T. Cao, J. Desoignies, M.J. Lienhardt, R. Médioni.
1 - INTRODUCTION- :-RAPP£L- DES PRINCIPES
1.1. Types d'informations de GEOBASE'
GEOBASE manipulera deux types d'informations :
" - informations -graphiques : cartes, plans, minutes d'auteurs, etc. ;'
- informations non graphiques :
. valeurs numériques et/ou alphanumériques concernant les
sondages, les données géophysiques et géochimiques, la géologie,
l' hydrogéologie, etc.,
. informations bibliographiques [thèses, rapports, publications
diverses, etc. ) .
1.2. Types de services demandés
II. y a lieu de distinguer deux types de services demandés par les
utilisateurs' : .
- consultation : extraction sélective ou non d'informations sur .une
.région géographique donnée, et/ou suivant un bu plusieurs thèmesdonnés j . ' .
- traitement : élaboration de nouvelles informations à partir de
celles sélectionnées précédemment.
56
MEMORISATION ET EXPLOITATION DES DONNEES GRAPHIQUES'
SYSTEME GIMMAP
Rapporteurs : T.T. Cao, J. Desoignies, M.J. Lienhardt, R. Médioni.
1 - INTRODUCTION- :-RAPP£L- DES PRINCIPES
1.1. Types d'informations de GEOBASE'
GEOBASE manipulera deux types d'informations :
" - informations -graphiques : cartes, plans, minutes d'auteurs, etc. ;'
- informations non graphiques :
. valeurs numériques et/ou alphanumériques concernant les
sondages, les données géophysiques et géochimiques, la géologie,
l' hydrogéologie, etc.,
. informations bibliographiques [thèses, rapports, publications
diverses, etc. ) .
1.2. Types de services demandés
II. y a lieu de distinguer deux types de services demandés par les
utilisateurs' : .
- consultation : extraction sélective ou non d'informations sur .une
.région géographique donnée, et/ou suivant un bu plusieurs thèmesdonnés j . ' .
- traitement : élaboration de nouvelles informations à partir de
celles sélectionnées précédemment.
57
Le présent rapport essaie de définir comment le systùme GIMMAP
peut s'intégrer dans le projet final de GEOBASE ; il donne un aperçu sur les
données à saisir, le moyen de saisie et de stocKage, en vue d'une exploitation
efficace et souple des informations graphiques.
OUTILS DE SAISIE " GI.MMAP "
2.1. Qu'est-ce que GIMMAP ?
GIMMAP est un système informatique destiné à constituer, à partir
de cartes ou de documents graphiques quelconques, un ensemble de fichiers appelé
Boóe. dz donnzzi coAtognapklquzi en vue d'applications diverses.
GIMMAP peut numériser tout document sur papier ou film stable :
minute ;d' auteur, 'carte géologique, parte de pédologie, courbes et graphiques
quelconques,'..;
- Les données saisies peuvent être ponctuelles (points de mesures,
pcsitions de sondages, de carrières, de localités...), linéaires Ccours d'eau,-
réseaux routier et ferroviaire, lignes de transport d'énergie, pipe-lines ...)
ou zdnales (végétation, formations géologiques, zones d'agglomérations...].
- La saisie de ces données ne nécessite qu'une préparation réduite du
document original (pas de codage, ni d'annotations). La saisie utilise un digi-
talisateur et un clavier alphanumérique. Les lignes sont " numérisées " en"
suivant le dessin de la courbe " point par point " ou " en continu " afin.de
rentrer les coordonnées des points séparément ou de façon continue.
- Les données alphanumériques qui accompagnent les trois premières
familles de données, ci-dessus nommées, sont entrées à la fin du traitement.
- Les données saisies (points, lignes, zones] sont structurées en
fichiers appropriés (fichiers graphiques sur disque magnétique).
57
Le présent rapport essaie de définir comment le systùme GIMMAP
peut s'intégrer dans le projet final de GEOBASE ; il donne un aperçu sur les
données à saisir, le moyen de saisie et de stocKage, en vue d'une exploitation
efficace et souple des informations graphiques.
OUTILS DE SAISIE " GI.MMAP "
2.1. Qu'est-ce que GIMMAP ?
GIMMAP est un système informatique destiné à constituer, à partir
de cartes ou de documents graphiques quelconques, un ensemble de fichiers appelé
Boóe. dz donnzzi coAtognapklquzi en vue d'applications diverses.
GIMMAP peut numériser tout document sur papier ou film stable :
minute ;d' auteur, 'carte géologique, parte de pédologie, courbes et graphiques
quelconques,'..;
- Les données saisies peuvent être ponctuelles (points de mesures,
pcsitions de sondages, de carrières, de localités...), linéaires Ccours d'eau,-
réseaux routier et ferroviaire, lignes de transport d'énergie, pipe-lines ...)
ou zdnales (végétation, formations géologiques, zones d'agglomérations...].
- La saisie de ces données ne nécessite qu'une préparation réduite du
document original (pas de codage, ni d'annotations). La saisie utilise un digi-
talisateur et un clavier alphanumérique. Les lignes sont " numérisées " en"
suivant le dessin de la courbe " point par point " ou " en continu " afin.de
rentrer les coordonnées des points séparément ou de façon continue.
- Les données alphanumériques qui accompagnent les trois premières
familles de données, ci-dessus nommées, sont entrées à la fin du traitement.
- Les données saisies (points, lignes, zones] sont structurées en
fichiers appropriés (fichiers graphiques sur disque magnétique).
58
2.2. Que peut-on faire avec GIMMAP ?
L'ensemble des fichiers GIMMAP est structuré de telle sorte que
l'utilisateur puisse extraire sélectivement et facilement les informations
qu'il désire, et ceci indépendamment des applications qu'il veut réaliser.
GIMMAP offre la possibilité d'effectuer les opérations suivantes :
- construction, maintenance, manipulation de fichiers structurés en
vue de créer une base de données cartographiques ;
- visualisation, addition, suppression, modification, en mode dialogué,
de données, graphiques ou. non .;
- changement d'échelle, assemblage, découpage de cartes ;
- gravure et découpage des peelings pour typons d'impression offset
de cartes en couleur (pour mémoire )
3 - UTILISATION DU SYSTEME GIM.MAP DANS LE CADRE DE GEOBASE
3.1. Saisie et fichiers de données graphiques
L'outil GIMMAP perme't la saisie et la structuration de données gra¬
phiques ; la liste qui suit (liste non exhaustive) donne les principaux thèmes
intéressant GEOBASE. ...
3.1.1.- Données ponctuelles : carrières, mines, puits, gîtes minéraux,grottes, sondages... ; une partie de ces données sont, déjà mémorisées par
ailleurs dans la banque des données du sous-sol ; d'autres- n'existent que sur
les cartes . '
58
2.2. Que peut-on faire avec GIMMAP ?
L'ensemble des fichiers GIMMAP est structuré de telle sorte que
l'utilisateur puisse extraire sélectivement et facilement les informations
qu'il désire, et ceci indépendamment des applications qu'il veut réaliser.
GIMMAP offre la possibilité d'effectuer les opérations suivantes :
- construction, maintenance, manipulation de fichiers structurés en
vue de créer une base de données cartographiques ;
- visualisation, addition, suppression, modification, en mode dialogué,
de données, graphiques ou. non .;
- changement d'échelle, assemblage, découpage de cartes ;
- gravure et découpage des peelings pour typons d'impression offset
de cartes en couleur (pour mémoire )
3 - UTILISATION DU SYSTEME GIM.MAP DANS LE CADRE DE GEOBASE
3.1. Saisie et fichiers de données graphiques
L'outil GIMMAP perme't la saisie et la structuration de données gra¬
phiques ; la liste qui suit (liste non exhaustive) donne les principaux thèmes
intéressant GEOBASE. ...
3.1.1.- Données ponctuelles : carrières, mines, puits, gîtes minéraux,grottes, sondages... ; une partie de ces données sont, déjà mémorisées par
ailleurs dans la banque des données du sous-sol ; d'autres- n'existent que sur
les cartes . '
59
3.1.2.- Données linéaires ouvertes : 11 peut s'agir soit de profils
géologiques, géophysiques, tracé de travaux souterrains, données plani-
métriques et hydrographiques.
3.1.3.- Données linéaires fermées ou zonales :
- courbes hypso-et bathymétriques (mise en mémoire prévue par
IGN) ;
- courbes isovaleurs (géophysique, hydrogéùlogie, géochimie,
- contours (simplifiés) délimitant des zones de cartes théma¬
tiques : géologiques, hydrogéologiques, tectoniques,... ;
chaque zone peut être accompagnée de données alphanumériques
la caractérisant (critères stratigraphiques, lithologiques,
géotechniques...) ; la saisie de ces données suppose une
simplification ou une codification des légendes et des notices;
. . par contre chaque zone est repérée par un indice qui permet
de se reporter à la notice publiée .;
t- limites d'.études diverses, de thèses, de mémoires,
(il n'existe'pas encore de'donnëes graphiques synthétiquesà ces sujets), contours de prospections (gravimétriques,...)
. de. permis de recherches . et/ou d'exploitation (les cartes qui
existent actuellement sur ces sujets' sont à des échelles
très variées) .
3.2. Consultation et restitution
3.2.1.- La visualisation joue ici deux rôles principaux :
. permettre l'accès à une région ou à un thème par désignation
sur l'écran du point ou de la région désirés ;
_ . permettre la localisation, sur une portion de carte, des
données triées (voir 3i,2.3'.6 et 3.2.2.7).
- 3.2.2.- Suivant l'objectif de la consultation, GIMMAP, par les diffé¬
rents-logiciels disponibles dès aujourd'hui, permet, en mode interactif, de':
59
3.1.2.- Données linéaires ouvertes : 11 peut s'agir soit de profils
géologiques, géophysiques, tracé de travaux souterrains, données plani-
métriques et hydrographiques.
3.1.3.- Données linéaires fermées ou zonales :
- courbes hypso-et bathymétriques (mise en mémoire prévue par
IGN) ;
- courbes isovaleurs (géophysique, hydrogéùlogie, géochimie,
- contours (simplifiés) délimitant des zones de cartes théma¬
tiques : géologiques, hydrogéologiques, tectoniques,... ;
chaque zone peut être accompagnée de données alphanumériques
la caractérisant (critères stratigraphiques, lithologiques,
géotechniques...) ; la saisie de ces données suppose une
simplification ou une codification des légendes et des notices;
. . par contre chaque zone est repérée par un indice qui permet
de se reporter à la notice publiée .;
t- limites d'.études diverses, de thèses, de mémoires,
(il n'existe'pas encore de'donnëes graphiques synthétiquesà ces sujets), contours de prospections (gravimétriques,...)
. de. permis de recherches . et/ou d'exploitation (les cartes qui
existent actuellement sur ces sujets' sont à des échelles
très variées) .
3.2. Consultation et restitution
3.2.1.- La visualisation joue ici deux rôles principaux :
. permettre l'accès à une région ou à un thème par désignation
sur l'écran du point ou de la région désirés ;
_ . permettre la localisation, sur une portion de carte, des
données triées (voir 3i,2.3'.6 et 3.2.2.7).
- 3.2.2.- Suivant l'objectif de la consultation, GIMMAP, par les diffé¬
rents-logiciels disponibles dès aujourd'hui, permet, en mode interactif, de':
60
3.2.2.1.- restituer une carte géologique (simplifiée), une
carte hydrogéologique, une carte tectonique, etc., en tout ou
partie suivant une zone choisie, un critère choisi ;
3.2.2.2.- visualiser un assemblage de cartes jointives ;
3-2.2.3.- visualiser des cartes a des échelles di-fférentes ; '
3.2.2.4.- visualiser . les zones de prospections et d'études ;
3.2.2.5.- restituer des critères stratigraphiques, litholo¬
giques, géotechniques,..., associés aux zones des cartes pré¬
citées ;
3.2.2.6.- visualiser les positions de sondages fournis par
un fichier hors GIMMAP ;
3.2.2. 7. -afficher ;de"s renseigñénients 'statistiques concernant
la zone étudiée (bibliographie,' hydrodynamique,'...) et venant
de fichiers spécifiques.
Les fichiers graphiques doivent évidemment être reliés aux fichiers
des données non graphiques (Banque du sous-sol, fichiers spécifiques comme biblio¬
graphie, géophysique). '
L'interconnexion entre les fichiers GIMMAP et les autres .fichiers
'données -non graphiques) pourrait se faire par l'intermédiaire d'un système de
gestion de bases de données réparties. Certains fichiers spécifiques résideront
sur disques op-tiques numériques (voir ghepitre n°6).
60
3.2.2.1.- restituer une carte géologique (simplifiée), une
carte hydrogéologique, une carte tectonique, etc., en tout ou
partie suivant une zone choisie, un critère choisi ;
3.2.2.2.- visualiser un assemblage de cartes jointives ;
3-2.2.3.- visualiser des cartes a des échelles di-fférentes ; '
3.2.2.4.- visualiser . les zones de prospections et d'études ;
3.2.2.5.- restituer des critères stratigraphiques, litholo¬
giques, géotechniques,..., associés aux zones des cartes pré¬
citées ;
3.2.2.6.- visualiser les positions de sondages fournis par
un fichier hors GIMMAP ;
3.2.2. 7. -afficher ;de"s renseigñénients 'statistiques concernant
la zone étudiée (bibliographie,' hydrodynamique,'...) et venant
de fichiers spécifiques.
Les fichiers graphiques doivent évidemment être reliés aux fichiers
des données non graphiques (Banque du sous-sol, fichiers spécifiques comme biblio¬
graphie, géophysique). '
L'interconnexion entre les fichiers GIMMAP et les autres .fichiers
'données -non graphiques) pourrait se faire par l'intermédiaire d'un système de
gestion de bases de données réparties. Certains fichiers spécifiques résideront
sur disques op-tiques numériques (voir ghepitre n°6).
61
3.3. Mise à jour
Le système GIMMAP offre aussi la possibilité de supprimer certaines
données devenues caduques ou. d'en ajou^ter de nouvelles, bref, de mettre à jour
l'information déjà mémorisée, ' et de créer ainsi de nouveaux fichiers. Ceux-ci
pourront à nouveau être stockés sur disques optiques numériques à la place des
anciens.
3.4. Traitement spécifique
Si le service- con&ultatton peut démarrer relativement vite pour le -
projet à court terme, car il s'appuiera sur un outil déjà opérationnel qu'est
GIMMAP, il est par contre plus difficile d'offrir à brève échéance un service
t/LOtteïïient a la fois rapide, efficace et commercialement viable au point de vue
prix/performance, bien qu'au premier abord, il est très tentant, pour le serveur
,pt ln servi, d'offrir et obtenir une consultation à distance suivie d'une
Lfipijns'à immédiate (ou p.resq'ue) a une' question spécifique posée.
3.4.1.- Les difficultés résident à notre avis dans :
. le degré d'interactivité exigé :
Combien de temps un utilisateur peut attendre devant une
console pour avoir une carte isovaleurs " en direct " ? ou
pour pouvoir effectuer une coupe géologique, à supposer que
le savoir-faire informatique existe ?
Quel prix peut-on payer pour avoir des vues en perspective
à la fois esthétiques (donc longues à élaborer) et scienti¬
fiquement significatives ?
. la vitesse et la fiabilité de transmission : le graphique"
à grande vitesse sur longue distance coûte cher et n'est
pas encore tout à fait au point.
61
3.3. Mise à jour
Le système GIMMAP offre aussi la possibilité de supprimer certaines
données devenues caduques ou. d'en ajou^ter de nouvelles, bref, de mettre à jour
l'information déjà mémorisée, ' et de créer ainsi de nouveaux fichiers. Ceux-ci
pourront à nouveau être stockés sur disques optiques numériques à la place des
anciens.
3.4. Traitement spécifique
Si le service- con&ultatton peut démarrer relativement vite pour le -
projet à court terme, car il s'appuiera sur un outil déjà opérationnel qu'est
GIMMAP, il est par contre plus difficile d'offrir à brève échéance un service
t/LOtteïïient a la fois rapide, efficace et commercialement viable au point de vue
prix/performance, bien qu'au premier abord, il est très tentant, pour le serveur
,pt ln servi, d'offrir et obtenir une consultation à distance suivie d'une
Lfipijns'à immédiate (ou p.resq'ue) a une' question spécifique posée.
3.4.1.- Les difficultés résident à notre avis dans :
. le degré d'interactivité exigé :
Combien de temps un utilisateur peut attendre devant une
console pour avoir une carte isovaleurs " en direct " ? ou
pour pouvoir effectuer une coupe géologique, à supposer que
le savoir-faire informatique existe ?
Quel prix peut-on payer pour avoir des vues en perspective
à la fois esthétiques (donc longues à élaborer) et scienti¬
fiquement significatives ?
. la vitesse et la fiabilité de transmission : le graphique"
à grande vitesse sur longue distance coûte cher et n'est
pas encore tout à fait au point.
62
3.4.2-.- Néanmoins il existe des outils actuellement disponibles, et
que nous pourrions proposer, en différé, via par exemple une " boîte aux lettres "
électronique : .
. élaboration de cartes isovaleurs, soit à partir d'un semis irré-
gulier de points; soit à partir d'un maillage régulier de valeurs
préalablement estimées ;;
. visualisation en perspective sous forme de bloc-diagramme.
3.4.3.- Parmi lés outils intéressants, que nous pourrions développer,
il en est un qui " accrocherait " bon nombre de géologues :
. restitution d'un profil défini sur carte avec la position des
limites géologiques, des failles, le schéma des coupes de sondages,
l'implantation des points importants (carrières, villes, etc ... ) ;
il y aurait possibilité laissée à l 'utilisateur- de tracer lui-même
les limites de formations géologiques sur écran, en mode interactif
Il s'agit, là d'un projet à long terme.
CONCLUSION
4.1. Le nombre de données "cartographiques à saisir, ne serait-ce que pour
résenter l'ensemble de la couverture g
compatible avec la numérisation manuelle.
( 1 )représenter l'ensemble de la couverture géologique de la France , ne semble pas
L'application du système GIÎ-IMAP et de ses programmes dérivés, ,en vue
notamment' de la visualisation des renseignements fournis par des fichiers spéci¬
fiques (Í 3.2.2.6 et 7) et de la restitution d' un 'profil (5 3.3.3.) devrait être
envisagéeà partir d'une cartothèque sur disque optique numérique et/ou après une
numérisation automatique par balayage -(scanner) . Dans ce cas des recherches métho¬
dologiques sont nécessaires pour transformer les données " balayées " en données
compatibles avec la logique du système GIMMAP.
(1) Il faut noter que pour la carte géologique à 1/50 000, il existe 775 coupurespubliées ou en cours de- publication. sur les 1128 coupures que comprend la
-France métropolitaine. ' ' .
62
3.4.2-.- Néanmoins il existe des outils actuellement disponibles, et
que nous pourrions proposer, en différé, via par exemple une " boîte aux lettres "
électronique : .
. élaboration de cartes isovaleurs, soit à partir d'un semis irré-
gulier de points; soit à partir d'un maillage régulier de valeurs
préalablement estimées ;;
. visualisation en perspective sous forme de bloc-diagramme.
3.4.3.- Parmi lés outils intéressants, que nous pourrions développer,
il en est un qui " accrocherait " bon nombre de géologues :
. restitution d'un profil défini sur carte avec la position des
limites géologiques, des failles, le schéma des coupes de sondages,
l'implantation des points importants (carrières, villes, etc ... ) ;
il y aurait possibilité laissée à l 'utilisateur- de tracer lui-même
les limites de formations géologiques sur écran, en mode interactif
Il s'agit, là d'un projet à long terme.
CONCLUSION
4.1. Le nombre de données "cartographiques à saisir, ne serait-ce que pour
résenter l'ensemble de la couverture g
compatible avec la numérisation manuelle.
( 1 )représenter l'ensemble de la couverture géologique de la France , ne semble pas
L'application du système GIÎ-IMAP et de ses programmes dérivés, ,en vue
notamment' de la visualisation des renseignements fournis par des fichiers spéci¬
fiques (Í 3.2.2.6 et 7) et de la restitution d' un 'profil (5 3.3.3.) devrait être
envisagéeà partir d'une cartothèque sur disque optique numérique et/ou après une
numérisation automatique par balayage -(scanner) . Dans ce cas des recherches métho¬
dologiques sont nécessaires pour transformer les données " balayées " en données
compatibles avec la logique du système GIMMAP.
(1) Il faut noter que pour la carte géologique à 1/50 000, il existe 775 coupurespubliées ou en cours de- publication. sur les 1128 coupures que comprend la
-France métropolitaine. ' ' .
63
4.2. Dans le stade à court terme seul le signalement des cartes thématiques
publiées peut servir à orienter l'intéressé à partir du fichier " hôtesse " .
Ce signalement existe en bibliographie de la France.
63
4.2. Dans le stade à court terme seul le signalement des cartes thématiques
publiées peut servir à orienter l'intéressé à partir du fichier " hôtesse " .
Ce signalement existe en bibliographie de la France.
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CHAPITRE 6
SAISIE, STOCKAGE, TRAITEMENT ET RESTITUTION DES DONNEES
GRAPHIQUES
par J P.JOUHAUD
64
CHAPITRE 6
SAISIE, STOCKAGE, TRAITEMENT ET RESTITUTION DES DONNEES
GRAPHIQUES
par J P.JOUHAUD
65
SAISIE, STOCKAGE, TRAITEMENT ET RESTITUTION
DES DONNEES GRAPHIQUES
par JP. JOUHAUD
1. - LES DONNEES POUR GEOBASE
Il y a lieu de distinguer les données non pas par leur nature(données alphanumériques ou données graphiques) mais par les méthodes desaisie employées' qui ont une conséquence directe sur les volumes d'informa¬tions à stocker.
La source ou l'origine des données conditionne le moyen de saisiepar exemple un rapport qui est essentiellement constitué de caractères alpha¬numériques ne sera pas saisi au clavier alpha numérique pour des raisons évi¬dentes de rapidité mais par un procédé opérant par balayage utilisé pour lasaisie de. données graphiques.
La classification des données pour géobase sera donc de deux typesselon le mode de saisie :
- données saisie au clavier alphanumérique ou par lecture optique ,
- données saisie par un système à balayage (données graphiquesmais aussi données alphanumériques) .
Dans ce qui suit il sera question de stockage des données quiseront saisies par un système à balayage .
Ces données concernent :
- les documents bibliographiques, rapports ,
- les notices explicatives de cartes géologiques,
- les cartes,- les graphiques : coupes géologiques ,
- les images aériennes, images spatiales .
65
SAISIE, STOCKAGE, TRAITEMENT ET RESTITUTION
DES DONNEES GRAPHIQUES
par JP. JOUHAUD
1. - LES DONNEES POUR GEOBASE
Il y a lieu de distinguer les données non pas par leur nature(données alphanumériques ou données graphiques) mais par les méthodes desaisie employées' qui ont une conséquence directe sur les volumes d'informa¬tions à stocker.
La source ou l'origine des données conditionne le moyen de saisiepar exemple un rapport qui est essentiellement constitué de caractères alpha¬numériques ne sera pas saisi au clavier alpha numérique pour des raisons évi¬dentes de rapidité mais par un procédé opérant par balayage utilisé pour lasaisie de. données graphiques.
La classification des données pour géobase sera donc de deux typesselon le mode de saisie :
- données saisie au clavier alphanumérique ou par lecture optique ,
- données saisie par un système à balayage (données graphiquesmais aussi données alphanumériques) .
Dans ce qui suit il sera question de stockage des données quiseront saisies par un système à balayage .
Ces données concernent :
- les documents bibliographiques, rapports ,
- les notices explicatives de cartes géologiques,
- les cartes,- les graphiques : coupes géologiques ,
- les images aériennes, images spatiales .
66
2...- LES MOYENS DE SAISIE
La saisie automatisée peut utiliser deux moyens , la caméravidéo numérique, les machines du type scanner . Les deux moyens sontcomplémentaires et l'utilisation de l'un ou de l'autre dépendra de lanature et de la complexité de l'image à saisir. Mais ces deux moyens desaisie induisent un volume important d'informations à stocker.
3. - LE STOCKAGE DES INFORMATIONS NUMERIQUES
La saisie étant effectuée , il convient de stocker cetteinformation pour des traitements ultérieurs .
Les supports classiques bande ou disque magnétiques sontmaT adaptés à ce type d'archivage en ce sens qu'ils présentent unecapacité limitée, les vitesses d'accès et de restitution sont rela¬tivement longs pour des coûts relativement élevés.
L'évolution de la technique permet d'espérer prochainementun support prometteur , le disque optique numérique (D 0 N)
Le DON est obtenu à partir d'un disque original qui est unfi-lm métallique environ 30 cm de diamètre, sur lequel les données sontenregistrées sous forme de trous, au moyen d'un rayon laser , par abla¬tion thermique . Des disques en plastique sont ensuite obtenus par pres¬sage à partir du disque original .
Un lecteur à laser, doté d'un microprocesseur interne permetde restituer des images (documents graphiques) sur un écran de télévisionOn peut 1 'utiliser :
" §2i't_Ê[!_§Y§îlîDÊ_Ëyî2"2iî)Ê ^^ commande directe de l'utilisateurit~Tâ~pr5grâniniâtT5n~dë~séquences automatiques sont réalisées àpartir d'un clavier déportable ,
- soit_comme_gérighérigue_d^ordinateur : on peut piloter le lecteur3iJ~DOÑ~par~uñ~TogTcTeT~résT3añt~sür"un calculateur . Les imagessont adressables et gérées par un code approprié sur le disque .
Possibilités offertes :
. accès en quelques secondes à toute image fixe ou toutpoint de départ d'une séquence d'images ,
. avance (ou régression) continue à vitesse normale ou auralenti ,
. arrêt sur image fixe.
CARACTERISTIQUES PRINCIPALES
- capacité : 10 bits par face
- débit : 4 à 6 mégabits/s
- temps d'accès : 200 ms
Il faut indiquer un inconvénient majeur qui réside dans le fait quele DON est un support non effaçable c'est à dire qu'il n'est pas possible demodifier les informations stockées. Ce qui limite son utilisation au stockage
66
2...- LES MOYENS DE SAISIE
La saisie automatisée peut utiliser deux moyens , la caméravidéo numérique, les machines du type scanner . Les deux moyens sontcomplémentaires et l'utilisation de l'un ou de l'autre dépendra de lanature et de la complexité de l'image à saisir. Mais ces deux moyens desaisie induisent un volume important d'informations à stocker.
3. - LE STOCKAGE DES INFORMATIONS NUMERIQUES
La saisie étant effectuée , il convient de stocker cetteinformation pour des traitements ultérieurs .
Les supports classiques bande ou disque magnétiques sontmaT adaptés à ce type d'archivage en ce sens qu'ils présentent unecapacité limitée, les vitesses d'accès et de restitution sont rela¬tivement longs pour des coûts relativement élevés.
L'évolution de la technique permet d'espérer prochainementun support prometteur , le disque optique numérique (D 0 N)
Le DON est obtenu à partir d'un disque original qui est unfi-lm métallique environ 30 cm de diamètre, sur lequel les données sontenregistrées sous forme de trous, au moyen d'un rayon laser , par abla¬tion thermique . Des disques en plastique sont ensuite obtenus par pres¬sage à partir du disque original .
Un lecteur à laser, doté d'un microprocesseur interne permetde restituer des images (documents graphiques) sur un écran de télévisionOn peut 1 'utiliser :
" §2i't_Ê[!_§Y§îlîDÊ_Ëyî2"2iî)Ê ^^ commande directe de l'utilisateurit~Tâ~pr5grâniniâtT5n~dë~séquences automatiques sont réalisées àpartir d'un clavier déportable ,
- soit_comme_gérighérigue_d^ordinateur : on peut piloter le lecteur3iJ~DOÑ~par~uñ~TogTcTeT~résT3añt~sür"un calculateur . Les imagessont adressables et gérées par un code approprié sur le disque .
Possibilités offertes :
. accès en quelques secondes à toute image fixe ou toutpoint de départ d'une séquence d'images ,
. avance (ou régression) continue à vitesse normale ou auralenti ,
. arrêt sur image fixe.
CARACTERISTIQUES PRINCIPALES
- capacité : 10 bits par face
- débit : 4 à 6 mégabits/s
- temps d'accès : 200 ms
Il faut indiquer un inconvénient majeur qui réside dans le fait quele DON est un support non effaçable c'est à dire qu'il n'est pas possible demodifier les informations stockées. Ce qui limite son utilisation au stockage
67
des informations qui n'évoluent jamais (cas des informations bibliographiques)ou très rarement (tous les 5 ou 10 ans) .
A titre indicatif le tableau ci-après donne une indication descoûts des différents moyens de stockage :
TYPES DE
SUPPORTS
Microfiche 24 x56
Microfilm100 pieds
DISPACK magné.
Bande Magnéti¬que 2400 pieds
Disque optiquenumérique
CAPACITE
Nbre de bitspar mm
900
900
150
30
2000
Images stockéespar unités
98
300
640
1400
45000
COUTS (en dollars)
Coût unitaire
2,5 - 4
12 - 16
400
24
350(actuel.)50(dans le
futur)
Coût par mégabitstocké
0,026 - 0,041
0,004 - 0,053
0,625
0,017
0,012 - 0,017(ac-tuellement)
0,001 - 0,006(futur|)
Source : d'après Strategic Inc., cité par 01-Hebdo n° 644 du 11.05.1981.
La restitution de ces informations peut se faire sur un terminalvidéo noir et blanc ou couleur (TV par exemple) auquel peut être associéune imprimante graphique.
67
des informations qui n'évoluent jamais (cas des informations bibliographiques)ou très rarement (tous les 5 ou 10 ans) .
A titre indicatif le tableau ci-après donne une indication descoûts des différents moyens de stockage :
TYPES DE
SUPPORTS
Microfiche 24 x56
Microfilm100 pieds
DISPACK magné.
Bande Magnéti¬que 2400 pieds
Disque optiquenumérique
CAPACITE
Nbre de bitspar mm
900
900
150
30
2000
Images stockéespar unités
98
300
640
1400
45000
COUTS (en dollars)
Coût unitaire
2,5 - 4
12 - 16
400
24
350(actuel.)50(dans le
futur)
Coût par mégabitstocké
0,026 - 0,041
0,004 - 0,053
0,625
0,017
0,012 - 0,017(ac-tuellement)
0,001 - 0,006(futur|)
Source : d'après Strategic Inc., cité par 01-Hebdo n° 644 du 11.05.1981.
La restitution de ces informations peut se faire sur un terminalvidéo noir et blanc ou couleur (TV par exemple) auquel peut être associéune imprimante graphique.
CONCLUSIONSCONCLUSIONS
69
L'évolution de la recherche géologique, tant dans sa partie
fondamentale que dans celle de ses applications est telle que les
raisonnements s'appuient sur un nombre de plus en plus important de
données précises.
Parallèlement l'éventail des applications possibles de la
géologie s'ouvre au fil des années, les géologues intervenant de plus
en plus dans les domaines de l'aménagement du territoire, de l'agricul¬
ture, de l'environnement. De même l'attrait du grand public pour les
sciences de la terre s'accroit, notamment dans le domaine de la recherche
des services énergétiques individuels (ex. pompe à chaleur) .
Dans le cadre de sa vocation de service public le BRGn a reçu pour mission
de collecter, de conserver et de mettre à la disposition du public les
données sur le sous-sol recueillies à l'occasion de travaux de fouilles ou
de reconnaissances (article 131 à 133 du Code minier).
L'ensemble des données collectées dans ce cadre concerne les grands domaines
suivants :
- la géologie
- la gitologie
- la géotechnique
- 1 'hydrogéologie
- la géophysique
69
L'évolution de la recherche géologique, tant dans sa partie
fondamentale que dans celle de ses applications est telle que les
raisonnements s'appuient sur un nombre de plus en plus important de
données précises.
Parallèlement l'éventail des applications possibles de la
géologie s'ouvre au fil des années, les géologues intervenant de plus
en plus dans les domaines de l'aménagement du territoire, de l'agricul¬
ture, de l'environnement. De même l'attrait du grand public pour les
sciences de la terre s'accroit, notamment dans le domaine de la recherche
des services énergétiques individuels (ex. pompe à chaleur) .
Dans le cadre de sa vocation de service public le BRGn a reçu pour mission
de collecter, de conserver et de mettre à la disposition du public les
données sur le sous-sol recueillies à l'occasion de travaux de fouilles ou
de reconnaissances (article 131 à 133 du Code minier).
L'ensemble des données collectées dans ce cadre concerne les grands domaines
suivants :
- la géologie
- la gitologie
- la géotechnique
- 1 'hydrogéologie
- la géophysique
70
L'ensemble de ces données constituent un patrimoine qui s'enrichit au fil des
ans et qu'il convient de préserver.
Pour que ce patrimoine soit utilisé au mieux des possibilités qu'il peut offrir,
il convient de le rendre aisément accessible en utilisant les moyens informa¬
tiques.
Les ensembles documentaires au B. R.G.M. sont archivés selon différents
processus ' :
, sous forme de fichiers structurés hiérarchisés dont l'accès à
l'information se fait par des logiciels d'interrogation aux possibilités impor¬
tantes. Ces fichiers sont nommés banque de données quand il s'agit de données
factuelles, et base de données quand il s'agit de données bibliographiques,
, sous forme de fichiers structurés gérés par des logiciels
spécifiques offrant des possibilités limitées à des applications précises,
, sous forme de fiches ou dossiers manuels sans aucun appui infor¬
matique.
On retrouvera ces ensembles documentaires dans le rapport n°1, il s'agit pour
les plus importants de :
- la ba&z dz donnzzi, btblLogAaphlquz (500 000 Az{¡eA.zncz&)
- la banquz dz& donniez du ¿ou&-¿ol (130 000 pointu, d'obóeAvatíom)
- Iz {¡IchteA dz& donnzeM gnjavtmtt/Uquzi (ZOO 000 ¿tatlon& zn Emanezzt 1 000 000 ¿u/i Iz mondz zntie/i)
- Iz {tdnJieJi dz la pfioipzctLon gzochùniquz ¿tnatzgtquz- Iz {¡¿chlzA dz ia ¿.tUmlcitl ht^tontquz zt dz& glU&emeyiti, dz
teAAin- Iz ilckieA. dzÁ fiZAhouAczL utlti&atton zt bz¿>otn¿, zn ejaa"IÁmexui"
- l'z {¡¿ckie/L dz la gtologlz ma/itnz
- Iz ilchlzA UXthotkiqaz (77 000 zchantUZonó)
En plus de ces informations, le B.R.G.M. diffuse auprès du public la carte
géologique, document synthétique, et moyen de gestion rationnelle du sous-sol,
mais dont l'utilisation nécessite parfois le recours à des documents originaux
dont l'accès est mal connu du public.
Le besoin d'information existant, il est nécessaire d'offrir à la communauté
scientifique et technique un moyen d'accès à l'information d'utilisation simple,
(unique quels que soient les types de données recherchées), et capable de restituer
sur une même zone géographique et un même support des données brutes provenant
70
L'ensemble de ces données constituent un patrimoine qui s'enrichit au fil des
ans et qu'il convient de préserver.
Pour que ce patrimoine soit utilisé au mieux des possibilités qu'il peut offrir,
il convient de le rendre aisément accessible en utilisant les moyens informa¬
tiques.
Les ensembles documentaires au B. R.G.M. sont archivés selon différents
processus ' :
, sous forme de fichiers structurés hiérarchisés dont l'accès à
l'information se fait par des logiciels d'interrogation aux possibilités impor¬
tantes. Ces fichiers sont nommés banque de données quand il s'agit de données
factuelles, et base de données quand il s'agit de données bibliographiques,
, sous forme de fichiers structurés gérés par des logiciels
spécifiques offrant des possibilités limitées à des applications précises,
, sous forme de fiches ou dossiers manuels sans aucun appui infor¬
matique.
On retrouvera ces ensembles documentaires dans le rapport n°1, il s'agit pour
les plus importants de :
- la ba&z dz donnzzi, btblLogAaphlquz (500 000 Az{¡eA.zncz&)
- la banquz dz& donniez du ¿ou&-¿ol (130 000 pointu, d'obóeAvatíom)
- Iz {¡IchteA dz& donnzeM gnjavtmtt/Uquzi (ZOO 000 ¿tatlon& zn Emanezzt 1 000 000 ¿u/i Iz mondz zntie/i)
- Iz {tdnJieJi dz la pfioipzctLon gzochùniquz ¿tnatzgtquz- Iz {¡¿chlzA dz ia ¿.tUmlcitl ht^tontquz zt dz& glU&emeyiti, dz
teAAin- Iz ilckieA. dzÁ fiZAhouAczL utlti&atton zt bz¿>otn¿, zn ejaa"IÁmexui"
- l'z {¡¿ckie/L dz la gtologlz ma/itnz
- Iz ilchlzA UXthotkiqaz (77 000 zchantUZonó)
En plus de ces informations, le B.R.G.M. diffuse auprès du public la carte
géologique, document synthétique, et moyen de gestion rationnelle du sous-sol,
mais dont l'utilisation nécessite parfois le recours à des documents originaux
dont l'accès est mal connu du public.
Le besoin d'information existant, il est nécessaire d'offrir à la communauté
scientifique et technique un moyen d'accès à l'information d'utilisation simple,
(unique quels que soient les types de données recherchées), et capable de restituer
sur une même zone géographique et un même support des données brutes provenant
71
des différentes banques ou bases.
Dans cet obj'ectif il faut inclure les possibilités d'obtention de documents
élaborés (bloc diagramme, cartographie d' isovaleurs. ..) .
Ce projet est important et sa réalisation nécessite aussi bien un dévelop¬
pement de logiciels de gestion, de matériel informatique spécialisé (saisie de
données graphiques , stocKage par vidéodisques , console -de visualisation
couleur ...) qu'un travail important de collecte et de transfert de l'infor¬
mation dispersée sous des formes les plus diverses (rapports, fiches, cartes
géologiques, cartes thématiques, diagraphies. . . ) .
Afin.de rendre un véritable service public complet dans le domaine des sciences
de la terre, on peut distinguer deux étapes différentes , tant dans leur
réalisation (travail, temps de mise en place) que dans le service rendu (rensei¬
gnements, ou documents synthétiques).
Nous décrirons brièvement les deux étapes , la première étant le fichier "hûtesse"
la deuxième "géobase".
Remarqua : quels que soient- les moyens développés dans la première et deuxième étape,
il est nécessaire que ceux-ci soient accessibles par les systèmes de communica¬
tion à distance tel que transpac.
On pourra alors interroger à partir de tout terminal quelle que soit sa localisation.
Première étape ou "fichier Hôtesse": GEOTESSE
But : faire connaître au public ce qui existe, sous quelle forme et comment
obtenir l'information de base.
Le produit à développer doit tenir compte de ce qui existe pour permettre de
diriger l'utilisateur. Pour ce faire à partir de l'inventaire des sources documen¬
taires existantes au Bureau (cf rapport n°1), il faut pour chacune fournir une
description aussi complète que possible tenant compte notamment des caractères
suivants : type de l'information mémorisée, lieu et mode de stocKage, mode
d'interrogation, type de support de l'information que l'on peut obtenir, délais
de réponse, coOts de l'interrogation, service ou personne responsable...).
Cette description nécessite quelques travaux préalables tels que la définition
de mots clé et d'une fiche d'identification servant à l'indexage des sources
documentaires.
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des différentes banques ou bases.
Dans cet obj'ectif il faut inclure les possibilités d'obtention de documents
élaborés (bloc diagramme, cartographie d' isovaleurs. ..) .
Ce projet est important et sa réalisation nécessite aussi bien un dévelop¬
pement de logiciels de gestion, de matériel informatique spécialisé (saisie de
données graphiques , stocKage par vidéodisques , console -de visualisation
couleur ...) qu'un travail important de collecte et de transfert de l'infor¬
mation dispersée sous des formes les plus diverses (rapports, fiches, cartes
géologiques, cartes thématiques, diagraphies. . . ) .
Afin.de rendre un véritable service public complet dans le domaine des sciences
de la terre, on peut distinguer deux étapes différentes , tant dans leur
réalisation (travail, temps de mise en place) que dans le service rendu (rensei¬
gnements, ou documents synthétiques).
Nous décrirons brièvement les deux étapes , la première étant le fichier "hûtesse"
la deuxième "géobase".
Remarqua : quels que soient- les moyens développés dans la première et deuxième étape,
il est nécessaire que ceux-ci soient accessibles par les systèmes de communica¬
tion à distance tel que transpac.
On pourra alors interroger à partir de tout terminal quelle que soit sa localisation.
Première étape ou "fichier Hôtesse": GEOTESSE
But : faire connaître au public ce qui existe, sous quelle forme et comment
obtenir l'information de base.
Le produit à développer doit tenir compte de ce qui existe pour permettre de
diriger l'utilisateur. Pour ce faire à partir de l'inventaire des sources documen¬
taires existantes au Bureau (cf rapport n°1), il faut pour chacune fournir une
description aussi complète que possible tenant compte notamment des caractères
suivants : type de l'information mémorisée, lieu et mode de stocKage, mode
d'interrogation, type de support de l'information que l'on peut obtenir, délais
de réponse, coOts de l'interrogation, service ou personne responsable...).
Cette description nécessite quelques travaux préalables tels que la définition
de mots clé et d'une fiche d'identification servant à l'indexage des sources
documentaires.
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Une fois ces renseignements de base saisis et mémorisés dans le fichier hôtesse,
nous pouvons opter pour deux services (fonction des moyens que nous consacrerons) :
soit le système fournira les indications nécessaires pour aller chercher
l'information désirée, il restera alors à la personne de prendre contact avec
le service ou les personnes compétentes j
eoit le système sera plus complet et pourra dans certains domaines, à la
demande de l'utilisateur, fournir des données. Dans ce cas le système" hfitesse"
permettra à l'utilisateur d'être mis en communication directe avec le système
d'interrogation assistée de la banque ou base appropriée. Ces possibilités
seraient offertes pour la banque des données du sous-sol où le logiciel GEISHA
offre depuis le 1er janvier 1982 une assistance à l'interrogation : cela veut
dire que l'utilisateur n'a plus besoin de connaître le langage d'interrogation
tout au moins pour des questions d'ordre général.
Ces possibilités de connection a des sytèmes de gestion spécifique pourraient
être étendus à d'autres fichiers tels que séismes ou gravimétrie.
Les possibilités offertes par ce système seront donc limitées à des renseigne¬
ments d'ordre général, et ce système dispensera donc des renseignements d'ordre
général avec dans certains domaines des possibilités calquées sur celles offertes
actuellement par les différents systèmes de gestion informatique de données que
nous utilisons journellement. Par contre il ne pourra pas permettre de correlation
entre des données provenant de fichiers différents ou de restitution graphiques
telles que coupures géologiques, plan de situation... . Nous pensons d'ailleurs
que le stocKage de ces informations graphiques nécessite la mise en place de
tels moyens qu'il est indispensable de réfléchir à l'utilisation des logiciels
évolués qui permettraient de gérer tous types de données dans les domaines des
données factuelles, textuelles et graphiques. Cette réalisation concerne en
fait la deuxième étape ou "Géobase".
Deuxième étape : Géobase
Le produit à mettre en place nécessite des développements techniques dans plusieurs
domaines :
- le stocKage de l'image- le stocKage du texte- le logiciel de gestion de banque de données cartographiques- le logiciel informatique de gestion de base de données réparties.
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Une fois ces renseignements de base saisis et mémorisés dans le fichier hôtesse,
nous pouvons opter pour deux services (fonction des moyens que nous consacrerons) :
soit le système fournira les indications nécessaires pour aller chercher
l'information désirée, il restera alors à la personne de prendre contact avec
le service ou les personnes compétentes j
eoit le système sera plus complet et pourra dans certains domaines, à la
demande de l'utilisateur, fournir des données. Dans ce cas le système" hfitesse"
permettra à l'utilisateur d'être mis en communication directe avec le système
d'interrogation assistée de la banque ou base appropriée. Ces possibilités
seraient offertes pour la banque des données du sous-sol où le logiciel GEISHA
offre depuis le 1er janvier 1982 une assistance à l'interrogation : cela veut
dire que l'utilisateur n'a plus besoin de connaître le langage d'interrogation
tout au moins pour des questions d'ordre général.
Ces possibilités de connection a des sytèmes de gestion spécifique pourraient
être étendus à d'autres fichiers tels que séismes ou gravimétrie.
Les possibilités offertes par ce système seront donc limitées à des renseigne¬
ments d'ordre général, et ce système dispensera donc des renseignements d'ordre
général avec dans certains domaines des possibilités calquées sur celles offertes
actuellement par les différents systèmes de gestion informatique de données que
nous utilisons journellement. Par contre il ne pourra pas permettre de correlation
entre des données provenant de fichiers différents ou de restitution graphiques
telles que coupures géologiques, plan de situation... . Nous pensons d'ailleurs
que le stocKage de ces informations graphiques nécessite la mise en place de
tels moyens qu'il est indispensable de réfléchir à l'utilisation des logiciels
évolués qui permettraient de gérer tous types de données dans les domaines des
données factuelles, textuelles et graphiques. Cette réalisation concerne en
fait la deuxième étape ou "Géobase".
Deuxième étape : Géobase
Le produit à mettre en place nécessite des développements techniques dans plusieurs
domaines :
- le stocKage de l'image- le stocKage du texte- le logiciel de gestion de banque de données cartographiques- le logiciel informatique de gestion de base de données réparties.
73
Si les deux premiers points dépendent essentiellement du développement des
matériels de saisie et de stocKage (cf rapport n°6) à savoir saisie de données
graphiques et alphanumériques par balayage, et stocKage par vidéodisques, les
deux autres points nécessitent un investissement important en "matière grise"
(cf rapport n°7) .
En effet si dans cette deuxième étape, on veut autoriser l'interrogation de
différentes banques ou bases comme si elles appartenaient à une seule banque, '
il faut alors développer un seul système de gestion de base de données réparties,
Ce système permet la consultation de différentes banques quelqu'en soit leur
implantation (ordinateur et localisation).
De même en ce qui concerne les données cartographiques il est nécessaire de
développer un système de gestion spsécifique. Le BRGM dispose déjà d'un outil
"GIMMAP" qui permet la saisie et la structuration des données graphiques, et
qui serait un outil dans ce système (cf rapport n°5).
Par rapport à la première phase, ce système offrirait à l'utilisateur des
produits .soit bruts idonnées- d'observationsj soit évolués' tels que profilsgéologiques, cartes géologiques à la demande.
Pour offrir ces prestations, il convient de mettre en place des équipes de
collecte de l'information et notamment dans le domaine du graphisme comme la
carte géologique. Pour cela il faut disposer des logiciels adaptés ainsi que
de moyens de stocKage importants. Les problèmes abordés par ce projet sont
développés dans le rapport 3,5,6 et 7.
Quelques remarques
Si la mémorisation par exemple de la carte géologique et sa gestion par infor¬
matique permettraient la mise a jour au fur et à mesure de l'évolution
des connaissances, et ceci sans avoir besoin de la rééditer, il convient de
dire que ce mode de stocKage nécessite l'équipement en informatique de touè
ceux qui utilisent la carte géologique. Si ce procédé annihile la production
classique actuelle nous restreindrons et favoriserons un mode de consultations
qui n'est malheureusement pas, pour des questions financières, à la portée de
tous. Ce développement ne peut donc se concevoir que dans un cadre d'évolution
générale des possibilités de télécommunications et d'équipement en terminaux au
même titre que l'on utilise aujourd'hui le téléphone.
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Si les deux premiers points dépendent essentiellement du développement des
matériels de saisie et de stocKage (cf rapport n°6) à savoir saisie de données
graphiques et alphanumériques par balayage, et stocKage par vidéodisques, les
deux autres points nécessitent un investissement important en "matière grise"
(cf rapport n°7) .
En effet si dans cette deuxième étape, on veut autoriser l'interrogation de
différentes banques ou bases comme si elles appartenaient à une seule banque, '
il faut alors développer un seul système de gestion de base de données réparties,
Ce système permet la consultation de différentes banques quelqu'en soit leur
implantation (ordinateur et localisation).
De même en ce qui concerne les données cartographiques il est nécessaire de
développer un système de gestion spsécifique. Le BRGM dispose déjà d'un outil
"GIMMAP" qui permet la saisie et la structuration des données graphiques, et
qui serait un outil dans ce système (cf rapport n°5).
Par rapport à la première phase, ce système offrirait à l'utilisateur des
produits .soit bruts idonnées- d'observationsj soit évolués' tels que profilsgéologiques, cartes géologiques à la demande.
Pour offrir ces prestations, il convient de mettre en place des équipes de
collecte de l'information et notamment dans le domaine du graphisme comme la
carte géologique. Pour cela il faut disposer des logiciels adaptés ainsi que
de moyens de stocKage importants. Les problèmes abordés par ce projet sont
développés dans le rapport 3,5,6 et 7.
Quelques remarques
Si la mémorisation par exemple de la carte géologique et sa gestion par infor¬
matique permettraient la mise a jour au fur et à mesure de l'évolution
des connaissances, et ceci sans avoir besoin de la rééditer, il convient de
dire que ce mode de stocKage nécessite l'équipement en informatique de touè
ceux qui utilisent la carte géologique. Si ce procédé annihile la production
classique actuelle nous restreindrons et favoriserons un mode de consultations
qui n'est malheureusement pas, pour des questions financières, à la portée de
tous. Ce développement ne peut donc se concevoir que dans un cadre d'évolution
générale des possibilités de télécommunications et d'équipement en terminaux au
même titre que l'on utilise aujourd'hui le téléphone.
74
La mise en place d'un tel projet doit donc pour réussir s'intégrer dans un
plan général du développement de la téléinformatique.
Par ailleurs, sur un plan plus restreint, le devenir du matériel informatique
actuellement utilisé pour la gestion des bases et banques de données (l'IBM
370/158), est préoccupant . Le transfert de ces systèmes documentaires sur
un autre ordinateur ne peut s'envisager dans un délai inférieur à une année,
en effet ce transfert nécessitera une réécriture des logiciels actuels.
Mais dans . cette hypothèse-', c'est peut être -l-à -l'occasion dans ie cadre du dévelop¬
pement de Géobase d'envisager un produit de gestion compatible avec les besoins
futurs des utilisateurs.
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La mise en place d'un tel projet doit donc pour réussir s'intégrer dans un
plan général du développement de la téléinformatique.
Par ailleurs, sur un plan plus restreint, le devenir du matériel informatique
actuellement utilisé pour la gestion des bases et banques de données (l'IBM
370/158), est préoccupant . Le transfert de ces systèmes documentaires sur
un autre ordinateur ne peut s'envisager dans un délai inférieur à une année,
en effet ce transfert nécessitera une réécriture des logiciels actuels.
Mais dans . cette hypothèse-', c'est peut être -l-à -l'occasion dans ie cadre du dévelop¬
pement de Géobase d'envisager un produit de gestion compatible avec les besoins
futurs des utilisateurs.