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Joseph Haydn Concerto pour trompette et orchestre … ONCT 13-01... · permettant de jouer une gamme ... Concerto pour trompette et orchestre ... quand je dis ce poème à haute voix,

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Joseph Haydn Concerto pour trompette et orchestre en mi bémol majeur Hob. VIIE.1

Qui pense au concerto pour soliste et orchestre a immédiatement en tête piano, violon ou violoncelle, la trilogie reine du classicisme puis du romantisme. La période baroque – et en particulier l’Italie baroque – avait pourtant multiplié les combinaisons instrumentales. Depuis l’acception initiale du concerto (un ensemble d’instruments dialoguant avec un groupe plus fourni) jusqu’aux concertos pour hautbois, basson, mandoline etc. d’Antonio Vivaldi, le concerto est, entre le XVIe et le XVIIIe siècle, le genre propre aux expériences orchestrales. À cet égard, Joseph Haydn témoigne de son ancrage dans la tradition baroque : si ses concertos pour violon et orchestre ou pour violoncelle et orchestre ont longtemps brillé au firmament des programmes symphoniques, ils ne doivent pas éclipser l’exceptionnelle diversité des instruments que Haydn exploita dans des rôles solistes :

orgue, contrebasse, clavecin, lyre organisée (une parente de la vielle à roue), trompette enfin ! Le Concerto pour trompette en mi bémol majeur est le dernier opus livré par Haydn au genre concertant. Daté de 1796, le manuscrit de l’œuvre figure parmi les testaments destinés à l’orchestre par le musicien viennois. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, la trompette avait fait l’objet d’expérimentations acharnées de la part des interprètes  : comme de nombreux instruments de la famille des cuivres, lui permettre de jouer dans toutes les tonalités et d’accéder à tous les intervalles chromatiques de la gamme était devenu un enjeu majeur. En s’inspirant des cors, l’idée de boucher le pavillon pour changer la longueur de l’instrument et, par là-même, les notes, fut d’abord explorée. Puis un système de clefs permettant de jouer une gamme chromatique s’imposa à partir

Une ville, une œuvre : Leningrad

Rares sont les œuvres qui se sont imposées dans le souvenir commun comme des emblèmes nationaux, militaires,

patriotiques, philosophiques. La Symphonie n° 7 « Leningrad » de Dimitri Chostakovitch embrasse tous ces enjeux.

Symbole de résistance, œuvre majeure du musicien soviétique, porteuse d’espoir en des temps désespérés, elle conserve

sa situation hors du commun dans l’histoire du siècle passé.

JOSEPH HAYDN (1732-1809)Concerto pour trompette et orchestre

en mi bémol majeur Hob. VIIE.1

AllegroAndanteAllegro

durée de l’œuvre : 15 min

DIMITRI CHOSTAKOVITCH (1906-1975)Symphonie n° 7 en ut majeur « Leningrad » op. 60

Allegretto Moderato (poco allegretto)

Adagio Allegro non troppo

durée de l’œuvre : 78 min

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Dimitri ChostakovitchSymphonie n° 7 en ut majeur « Leningrad » op. 60

En août 1939, l’Allemagne nazie d’Adolf Hitler et l’Union Soviétique dirigée par Joseph Staline signaient un pacte de non-agression, qui permettait aux deux puissances de gagner du temps dans la course à l’armement. En juin 1941, les troupes allemandes envahissent l’Union soviétique avec une violence ravageuse, dont les cinéastes et les artistes se firent aussitôt l’écho. Les débuts de la guerre mondiale sur le sol soviétique sont d’abord

gagnés par les troupes allemandes. En septembre 1941, celles-ci encerclent Leningrad – l’actuelle Saint-Pétersbourg –, en un blocus interminable. Une partie des civils et la plupart des artistes furent évacuées par les autorités soviétiques, mais pour l’immense majorité de la population de Leningrad, le blocus de neuf cent jours se révéla un interminable enfer, dans lequel un million huit cent mille soviétiques (dont un

des années 1780. Le soliste Anton Weininger en fut l’un des pionniers, en défendant un instrument capable de jouer deux octaves entiers dans tous les intervalles. C’est à lui que Haydn destina son concerto. Le compositeur tire parti du brio de son interprète, en confrontant le soliste à un orchestre fourni (cordes, bois par deux, percussions). Quelques mois auparavant, Haydn avait achevé son cycle des Symphonies londoniennes, y développant des

formes nouvelles. Le musicien viennois applique ces enjeux à son Concerto pour trompette et orchestre par le biais d’un travail rythmique particulièrement dense. Le dernier mouvement, qui combine la forme sonate (alternance puis fusion de deux thèmes) au rondo (alternance d’un refrain et de couplets) témoigne de la dignité nouvelle du concerto, genre brillant qu’il dote d’une dimension spéculative.

million de civils, soit un tiers de la population restée sur place) perdirent la vie. Morts de faim, morts dans les combats, morts de froid, c’est l’ensemble de la population civile et, à travers elle, l’ensemble de la population soviétique qui est affectée. Restée à Leningrad, la poétesse Anna Akhmatova consacra un vaste poème aux souffrances de sa ville natale : « Je dédie ce poème à la mémoire de ceux qui l’ont entendu pour la première fois, et à mes amis et concitoyens qui sont morts à Leningrad pendant le siège. J’entends leurs voix, je me les rappelle quand je dis ce poème à haute voix, et ce chœur secret est devenu pour moi la justification définitive de cette chose.  » (Poème sans héros). Dans cette cité encerclée, une vie musicale se développa, dotée d’un orchestre symphonique, réussissant à faire venir des solistes renommés, afin de permettre aux civils de ne pas sombrer dans le désespoir. Profondément lié à Leningrad, où il avait étudié à partir de 1919 et où il résidait, Dimitri Chostakovitch fut évacué en compagnie d’autres artistes dès le début du conflit, en octobre 1941.

Dès l’arrivée des troupes allemandes, le musicien avait entamé un nouveau projet symphonique  : « Je suis resté à Leningrad jusqu’au 1er octobre. Le 3 septembre, j’ai terminé le premier mouvement de ma septième symphonie. Le 17 septembre, le deuxième et le 29 septembre le troisième. J’aurais pu terminer rapidement le quatrième, mais il n’est pas prêt, pire  : il n’est même pas commencé. Il y a plusieurs raisons à cela, la principale étant ma fatigue, due à une tension excessive de toutes mes forces, que j’ai employées pour créer les trois premiers mouvements. […] On me retient ici à cause de mon éventuelle tournée aux U.S.A. Personnellement, je refuse d’y aller car je n’en ai vraiment pas envie. J’ai envie de terminer ma symphonie au plus vite et de rester dans ma patrie, plutôt que de partir à l’étranger. » Le 27 décembre, Chostakovitch termine sa Symphonie n°7 en do majeur et écrit : « Je viens d’achever la partition de deux mouvements d’une grande symphonie, ma Septième ; cela veut dire que la vie dans notre cité se poursuit normalement. Plus beau sera notre art, plus il est certain qu’il ne sera jamais détruit. »

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Créée le 5 mars 1942 à Kouïbychev, l’œuvre est ensuite redonnée fin mars à Moscou, puis sa partition est envoyée à Londres, où elle est exécutée en juin. En juillet 1942, Arturo Toscanini la crée à New York, faisant du chef-d’œuvre de Chostakovitch le symbole de la résistance au nazisme. Avec un sens remarquable de la communication, Toscanini écrit ainsi à Stokowski (qui aurait dû créer la pièce) : « Ne pensez-vous pas, mon cher Stokowski, qu’il sera très intéressant pour tout le monde – et pour vous même, aussi – d’entendre le vieux chef italien (un des premiers artistes à avoir lutté sans répit contre le fascisme) diriger cette œuvre d’un jeune compositeur russe antinazi ?» Dernière étape à ce cheminement symbolique destiné à montrer l’échec de l’offensive nazie, un concert sur le lieu même de la catastrophe, à la barbe des troupes allemandes. Le 9 août 1942, les troupes soviétiques lancent une offensive afin d’obtenir de leurs adversaires un certain calme à la nuit tombée. La Symphonie n°7 est donnée à Leningrad à l’intention de la population civile tandis, qu’en parallèle, Chostakovitch multiplie

les déclaration d’intention sur sa signification patriotique  : «  Je dédie ma Symphonie n°7 à la lutte contre le fascisme, à notre commune victoire sur l’ennemi, à ma cité natale de Leningrad  », déclare ainsi le musicien lors du Prix Staline. Œuvre engagée, la Symphonie n°7 ne peut être comprise hors du contexte dans laquelle elle fut composée, et son aura est à la mesure des enjeux de résistance qui lièrent alors les Etats-Unis à l’Union soviétique. À cette fin, Chostakovitch déploie une architecture spectaculaire dont il délivre quelques clefs de lecture. Le thème simple, populaire, heureux qui ouvre le premier mouvement est progressivement combattu par une mélodie militaire (fifres et percussions), d’abord énoncée timidement mais qui finit par gagner et mobiliser l’ensemble de l’orchestre. Le final martial renvoie à l’optimisme requis chez les compositeurs engagés dans l’effort de guerre. En parallèle de ces éléments simples, l’œuvre recèle pourtant de nombreuses ambivalences  : le premier mouvement cite le thème de l’opéra Lady Macbeth condamné avec violence par les autorités soviétiques

en 1936  ; la partie centrale du troisième mouvement cite, elle, la Symphonie n°5 composée après la condamnation de Lady Macbeth à l’une des pires périodes traversées par Chostakovitch. Œuvre de résistance, donc, mais aussi d’insoumission personnelle, la Symphonie n°7 ne peut être détachée ni du contexte militaire ni de l’histoire de l’Union soviétique elle-même. À l’hiver 1944, Leningrad est libérée. Aussitôt, les structures de concert déployées pour permettre aux civils de «  tenir » sont détruites par les autorités soviétiques. « Est-il possible que nous n’ayons mérité que de nous faire insulter. Et pourtant, quelle est la voix qui a retenti dans la ville affamée pendant le terrible hiver 42 ? Quelle est la voix qui a réconforté les Léningradois  ? (…) Cette voix était celle de l’art (…). Et c’est à nous que l’on interdit maintenant de faire venir au Conservatoire ceux-là même dont il a besoin. Est-ce qu’il vaut vraiment mieux que les gens soient livrés à eux-mêmes sans soutien pédagogique  ? Chez nous, la vérité authentique va de pair avec la sottise et la routine. Nous parlons du maintien des ressources humaines et transformons

immédiatement nos bonnes intentions en bobards inutiles  », nota alors Boris Zagourski, l’un des pionniers de la vie musicale dans Leningrad assiégée.

Charlotte Ginot-Slacik

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TUGAN SOKHIEVDIRECTION

© Marco Borggreve

Le chef d’orchestre russe de renommée internationale, Tugan Sokhiev, est Directeur musical de l’Orchestre national du Capitole de Toulouse (ONCT) qu’il dirige depuis maintenant plus de dix ans. Il est également Directeur musical et Chef d’orchestre du Théâtre du Bolchoï de Moscou. Jusqu’à la fin de la saison 2015/2016, il a parallèlement exercé la fonction de Directeur musical du Deutsches Symphonie-Orchester (DSO, Orchestre Symphonique Allemand) de Berlin. Pour la saison 2016/2017, sont entre autres programmés La Damnation de Faust, Carmen, Katerina Ismaïlova, Le Voyage à Reims et La Pucelle d’Orléans au Théâtre du Bolchoï, de nouvelles collaborations avec l’Orchestre Philharmonique de Berlin, l’Orchestre de Philadelphie, l ’ O r c h e s t r e P h i l h a r m o n i a , l ’Orchestre Symphonique de Londres (aux côtés de Janine Jansen), l’Orchestre Philharmonique de

Vienne (notamment au Festival de Lucerne) et un retour au Japon pour le Festival de Musique de la NHK. Il sera, par ailleurs, à la tête de l’ONCT dans toute la France ainsi qu’en tournée en Europe et en Extrême-Orient à l’occasion de projets nombreux et variés.Au cours des dernières saisons, il a partagé l’affiche avec l’Orchestre S y m p h o n i q u e d e C h i c a g o , l’Orchestre Symphonique de Londres, l’Orchestre de Philadelphie a i n s i q u e l e s O r c h e s t r e s Philharmoniques de Berlin, Vienne ou encore du Gewandhaus de Leipzig (des prestations qui lui ont valu d’être qualifié de «  Dirigentenwunderwaffe  » (chef d’orchestre prodigieux) par la critique) et a participé à une tournée européenne avec l’Orchestre Philharmonia et le Mahler Chamber Orchestra. Il a assuré de nombreuses tournées avec l’ONCT, à travers l’Europe, l’Asie, le Royaume-Uni et

l’Amérique du Sud, ainsi qu’avec le DSO de Berlin en Europe. Il dirige, chaque saison depuis 2003, l’Orchestre Philharmonia à Londres avec lequel il a fait des tournées en Europe, et il est apparu en tant que chef invité auprès de l’Orchestre Philharmonique de Vienne à l’occasion du Festival Mozartwoche (la Semaine Mozart), l’Orchestre Symphonique de la Radio Finlandaise, l’Orchestre Symphonique de la NHK, l’Orchestre Philharmonique de Rotterdam, l ’ O r c h e s t r e P h i l h a r m o n i q u e national de Russie, l’Accademia nazionale di Santa Cecilia de Rome, l’Orchestre de la RAI de Turin, les orchestres de La Scala et de l’Opéra d’État de Bavière, l’Orchestre Symphonique de Bournemouth, l’Orchestre de la Radio Suédoise, l ’ O r c h e s t r e P h i l h a r m o n i q u e d’Oslo, l’Orchestre Royal du C o n c e r t g e b o u w , l ’ O r c h e s t r e Philharmonique de Munich et l’Orchestre national de France. Sur le plan lyrique, il a assuré la direction d’orchestre, au Théâtre du Bolchoï, pour de nouvelles productions, de Katerina Ismaïlova et de La Damnation de Faust.Il s’est très tôt forgé une grande expérience lyrique, notamment dans de nombreuses productions pour le Théâtre Mariinsky et l’Opéra national du Pays de Galles, et a été

chef invité au Metropolitain Opera de New York (avec le Mariinsky), au Houston Grand Opera (Opéra de Houston), au Festival d’Aix-en-Provence et à Madrid. Il a été nommé « Révélation musicale de l’année » par le Syndicat de la Critique en France en 2005 pour sa prestation au Théâtre des Champs-Elysées aux côtés de l’Orchestre national du Capitole et au fur et à mesure de ses nombreuses collaborations à Toulouse, Berlin, Paris, Londres et Vienne, il s’est rapidement imposé auprès des orchestres, du public et des critiques en tant que musicien d’exception. Sa discographie comporte de nombreux succès critique enregistrés pour Naïve Classique, réalisés avec l’Orchestre de Toulouse, comme par exemple les Quatrième et Cinquième Symphonies de Tchaïkovski , les Tableaux d’une exposition de Moussorgski, l e s D a n s e s s y m p h o n i q u e s d e Rachmaninov et Pierre et le Loup de Prokofiev, ou encore, plus récemment, Le Sacre du Printemps et L’Oiseau de Feu de Stravinsky. Peuvent être mentionnés parmi ses enregistrements avec le DSO (Orchestre Symphonique Allemand) de Berlin pour SONY Classical Ivan le Terrible, la Cinquième Symphonie et la Suite Scythe de Prokofiev.

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alison balsomTrompette

© Droits réservés

Alison Balsom a été consacrée Artiste de l’Année 2013 par le magazine Gramophone, en plus d’avoir été lauréate à trois reprises du Prix Echo Klassik en Allemagne ainsi que du Prix Classic BRIT également à trois reprises, dont deux fois dans la catégorie Artiste féminine de l’Année, sans oublier le Prix O2 Silver Clef qui lui a été décerné par la fondation Nordoff Robbins. Elle s’est produite avec quelques-uns des plus grands orchestres et chefs d’orchestre de notre époque au rang desquels Pierre Boulez, Lorin Maazel, Sir Roger Norrington et l’Orchestre de Paris, l’Orchestre Philharmonia, l’Orchestre Symphonique de San Francisco ainsi que les Orchestres Philharmoniques de Londres et de Philadelphie, et a été à l’affiche en tant que soliste de la Soirée de Clôture des BBC Proms en 2009. Elle collabore par ailleurs régulièrement avec nombre des principaux ensembles de chambre au monde

et, notamment, l’Academy of Ancient Music (Académie de musique ancienne), l’orchestre Il Pomo d’Oro et l’orchestre baroque britannique The English Concert. En 2013 Alison Balsom est à l’origine de la production saluée par la critique de Gabriel avant d’en devenir la productrice créative et l’une des protagonistes au Théâtre du Globe de Shakespeare à Londres. Elle a récemment animé une conférence TED intitulée « Music as a healer » (la Musique qui soigne) pour l’organisation à but non lucratif The Sapling foundation, et a donné une conférence au Somerville College de l’Université d’Oxford University sur le thème « Women in the Arts » (Les Femmes dans les Arts). Alison Balsom défend ardemment l ’ importance de l’éducation musicale et est l’une des ambassadrices « Ten Pieces » de la BBC (NdT : projet qui vise à faire découvrir la musique classique aux enfants âgés de 7 à 14 ans).

A l i s o n B a l s o m e x p l o r e e n permanence les limites de son instrument et de nombreux concertos ont été composés pour elle. Elle a récemment présenté la Première mondiale de Lanterne of Light de Guy Barker dans le cadre des BBC Proms et compte également Songs of the Paradise Saloon de Bramwell Tovey et Joie Eternelle de Qigang-Chen parmi les œuvres figurant à son répertoire. Sa saison 2016/2017 est marquée par des résidences au Wigmore Hall et au Cambridge Corn Exchange, des concertos interprétés aux côtés de l’Orchestre Philharmonique de New York, de l’Orchestre Symphonique de Birmingham et de l’Orchestre national de Toulouse, ainsi que des t o u r n é e s e u r o p é e n n e s a v e c l’Orchestre de Chambre de Bâle, l’Orchestre de Chambre de Zurich et The Balsom Ensemble. Alison Balsom après avoir été désignée New Generation Artist (Artiste de la nouvelle génération)

de la Radio 3 de la BBC, a r é g u l i è r e m e n t d o n n é d e s représentations avec tous les Orchestres de la BBC. Elle a suivi ses études au Conservatoire de Paris et à la Guildhall School of Music and Drama (École supérieure de musique et d’art dramatique) à Londres. Elle est aujourd’hui membre honoraire et professeure invitée à la Guildhall School, et s’est vue décerner un doctorat honoraire par l’Université Anglia Ruskin et par l’Université de Leicester. Alison Balsom dirige des master classes dans le monde entier et plus particulièrement à la Juilliard School à New York et au Curtis Institute à Philadelphie. Alison Balsom réalise ses enregistrements, depuis 2001, exclusivement sous le label EMI Classics (aujourd’hui Warner Classics).

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PROCHAIN CONCERT

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PREMIER VIOLON SOLOGeneviève Laurenceau

PREMIERS VIOLONSDaniel RossignolEléonore DarmonSylvie ViviesVitaly RasskazovMaryse UrsuleJacqueline BourdariasSylvie MougeatMary RandlesAline MarciacqSébastien PlancadeOlivier AmielAude PuccettiStéphane GuiocheauJulia RaillardJean-Baptiste JourdinEléonore EppIsolde Ferenbach

SECONDS VIOLONSFabien MastrantonioAudrey LoupyChiu-Jan YingMohamed MakniFrancois DrouhinYves Sapir

Marie Jose FougerouxVirginie AllemandEdwige FarencAlexandre DalbigotDavid BenetahQuentin DebroeyerMarie CaucheferSandrine MartinMarjolaine CharlesJi Yun Jeong

ALTOSBruno DubarryJuliette GilLambert ChenLaura EnsmingerIsabelle MensionTymoteusz SypniewskiClaire PelissierVincent Cazanave-PinSamuel JolyAudrey LeclercqAnne-Sandrine DuchêneJoyce Blanco LewisClaudine LegrasAdrien Bacconnier

VIOLONCELLES Pierre GilSarah Iancu

Vincent PouchetPhilippe TribotElise RobineauChristopher WalthamBenoît ChapeauxGaël SeydouxSébastien LaurensMarie GirbalLéa BirnbaumAude Dubois

CONTREBASSESDamien-Loup VergnePierre HequetMichel RenaultDaniel Ben SoussanVictor Garcia GonzalezConor Mc CarthyTarik BahousJulien AvellanRémi MagnanEugenio Romano

FLÛTES Sandrine TillyJoséphine Poncelin De RaucourtClaude Roubichou

HAUTBOISLouis Seguin

Serge KrichewskyGabrielle Zaneboni

CLARINETTESFloriane TardyEmilie PinelLaurence PerryJean-Paul Decamps

BASSONS Lionel BelhaceneChristophe ViviesMarion Deleplancque

CORS Jacques DeleplancqueNn Arnaud BonnetotThibault HocquetJean Wilfrid GrongnetHervé Lupano*Benoit Hui*François Lugue*Antoine Morisot*

TROMPETTES Rene-Gilles RousselotClément FormatcheJulien RieffelNicolas PardoHugo Blacher*Thomas Pesquet*

Sébastien Natali*

TROMBONES David LocqueneuxAymeric FournesFabien DornicDominique Dehu*Patrick Dubarry*Jordi Prieto*

TUBASylvain Picard

TIMBALESEmilien Prodhomme

PERCUSSIONSThibault BuchailletMatthieu ChardonJulien Avellan Christophe DewarumezLuc BagurHervé TrovelPierre MichelSébastien GisbertNN

HARPESGaëlle ThouveninCécile Barutaut

PIANOInessa Lecourt

Formation Orchestrale

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