Journal de bussy numéro 82

Bussypour pouvoir voter en 2007

il faut s'inscrire en 2006

Le magazine P 17

une date historiquepour le vignoble buxangeorgien

Vie de la Cité P 4

« BSGA » à l'ultra-trail du Mont-Blanc

Sports P23

Saint-Georges

Le magazine municipal d’informations

N°82

Sortir de la ville nouvelle !Sortir de la ville nouvelle !

Octobre 2006

82_OCT_06 17/10/06 15:55 Page 1

Sommaire

19. Portraitiste à votre mesure20. G-Zypop, une nouvelle compagnie

21. Open de golf, 6e édition22. Le « BSGA » à l’honneur

24. Courrier des lecteurs25. Tribunes26. Infos commerces27. Informations pratiques

Vie de la cité

Dossier

Vie municipale

Magazine

Pratique

19Sports21

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3Octobre 2006 Bussy Saint-Georges

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endant les vacances, j’ai reçu un mail d’un Buxangeorgienun peu exaspéré de voir que les banderoles d’entrée deville commençaient par «nous». «Nous», ce n’était pas luimais les élus. Passons sur le doute quant à la capacité des

représentants du peuple dûment élus à l’incarner pour ne voir que lecaractère indispensable de cette première personne du pluriel.Comment exclure la communauté du rejet de notre statut ? C’est bien collectivement qu’il convient de se poser cette questionpuisqu’elle est pour tous les Buxangeorgiens inévitable. L’Etat lui-même nous fixe en 2012 notre sortie de l’Opération d’IntérêtNational (OIN). Devons-nous prendre l’initiative de nous débarrasseravant de cette tutelle d’aménagement ? Je le crois, puisque dans monopuscule «Ville nouvelle, chance ou mirage», j’ai démontré qu’êtreville nouvelle constituait un handicap propre à nous ruiner. Et cettedéfiance se déclinera sur le mode du «nous». Individuellement quepuis-je ? Avec votre appui, je suis certain d’y parvenir. N’en déplaise ànotre interlocuteur, je n’ai jamais douté qu’une majorité d’entre vouspartageait cette défiance vis-à-vis des absurdes politiques de la villeque certains baptisent «nouvelle». Des cauchemars d’Evry à Cergy, deLognes à Noisy, je ne compte plus leurs échecs. Si Bussy présente unautre visage, j’ai l’aplomb d’écrire que, dans la droite ligne de monprédécesseur Daniel Doussot, j’y suis pour beaucoup. Plus que jamais,je plaide pour que nous ne soyons plus ville nouvelle. Je crois telle-ment que ce débat constitue la clé de notre avenir que je lui ai dédiénombre d’articles de mon blog (www.huguesrondeau.com) et deséditoriaux du site de la ville (www.ville-bussy-saint-georges.fr).Ceux qui souhaiteraient apporter leur contribution à nos échanges ysont cordialement invités. Aux autres, je témoigne de mon objectif :que Bussy redevienne une ville comme les autres, qu’elle achève sondéveloppement dans l’harmonie, à l’écart des va-et-vient incompré-hensibles de politiques nationales néfastes à notre identité résiden-tielle, qu’elle intègre à terme une intercommunalité aux compétencesbien définies. Vers l’Etat compliqué, je vais avec des idées simples.

Votre Maire,

Hugues Rondeau

Nous ne voulons plus être ville nouvelle.

”

Consulter le site de la villewww.ville-bussy-saint-georges.fr

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14. Comment devenir assistante maternelle17. Elections: S’inscrire avant le 30 décembre 2006

10. Sortir de la Ville Nouvelle11. Qu’est-ce qu’EPAMarne ?13. Un aménageur public«pseudo-privé»

4. Rallye des Vignerons5. Forum des AssociationsVirades de l’Espoir6. L’Amicale des AnciensCombattants à l’Etoile

4 Octobre 2006 Bussy Saint-Georges

Première !Rallye des Vignerons

e Rallye des Vignerons 2006, organisépar l’Association des Coteaux de laBrosse, a attiré, pour sa première édi-tion, le 1er octobre, une cinquantaine depersonnes et 13 voitures étaient au

départ pour une promenade d’environ cinquantekilomètres autour de Bussy.

Sous un ciel menaçant, le départ a été donné vers 14 heures place de Verdun. Un «roadbook» remis àchaque participant devait lui permettre de devinerl’itinéraire en résolvant de petites énigmes, telles querébus, anagrammes, charades, voire indications enmorse ou en Braille.Le circuit a permis à chacun de découvrir des endroitspittoresques souvent inconnus de nos concitoyens :les sculptures délirantes du jardin de la Dhuys aubord de la Marne, la charmante écluse de Chalifert,la maison de Louis BRAILLE, les châteaux deGuermantes, de Jossigny…Le vin était bien sûr à l’honneur pour ce rallye desvignerons : épreuve de reconnaissance des senteursdu vin de Bordeaux ou des arômes des digestifs etune grande épreuve de dégustation à l’aveugle en finde parcours dans les vignes de Bussy.Le restaurant des «trois tilleuls» a accueilli les concur-rents fatigués mais ravis de leur journée.Les résultats ont été proclamés devant un apéritif et uncopieux buffet.Les gagnants de l’épreuve, Olivier et Audrey PRADEL,avaient presque commis un «sans faute» avec une bonneheure d’avance sur le peloton.Une coupe et de nombreux cadeaux ont récompensé lesparticipants qui jurent tous de faire mieux l’an prochain ! Le comité organisateur souhaite que cette nouvellemanifestation intègre le calendrier des animationsannuelles et que d’année en année vous soyez deplus en plus nombreux à découvrir Bussy et ses envi-rons, grâce au Rallye des Vignerons. n

L

GAGNANTS DE L’ÉPREUVE11eerr OOlliivviieerr eett AAuuddrreeyy PPRRAADDEELL eett lleeuurrss qquuaattrreeeennffaannttss aavveecc 22559955 ppooiinnttss ssuurr 33000000 –– GGrraappppee dd’’oorr22èèmmee SSttéépphhaanniiee CCOOUULLYY,, SSttéépphhaannee BBAARRNNIIEERR eettGGiissllaaiinn BBOOUUNNGGOOUU BBOOKKOO aavveecc 22553355 ppooiinnttss ––GGrraappppee dd’’aarrggeenntt33èèmmee DDoommiinniiqquuee BBIIJJAARRDD,, RRééggiinnee eett FFrraannççooiissBBOORRIIEESS aavveecc 22551155 ppooiinnttss –– GGrraappppee ddee bbrroonnzzee

En effet environ 150 ans après sa disparitionsur la commune, la vigne y produit à nouveau ! Les premières vendanges de la vigne desCoteaux de la Brosse ont eu lieu mercredi 20septembre. Ces vendanges, modestes envolume mais d’une qualité déjà intéressante,marquent une étape attendue de longue date ! Depuis la création de l’association en 2001, letravail n’a pas manqué, les difficultés nonplus ! Cette première vendange marque doncune étape importante, qui en appelle d’autres !Sur les conseils d’un œnologue, les vigneronsde l’association des « Coteaux de la Brosse »ont ainsi pu mettre quelque 50 litres de jus deraisin en cuve ! La vinification suit son cours normalementdans le chai, désormais opérationnel dans lepigeonnier du village, aménagé par l’associa-tion. Cette année, les jus de chardonnay et depinot noir donneront un premier vin qui permetd’abord de se former et d’approfondir lesconnaissances de l’équipe des vignerons del’association des « Coteaux de laBrosse ». La suite n’est pas de tout repos,mais à chaque jour suffit sa peine…

Rendez-vous au printemps pour la première dégustation !!

Vie de la cité

uunnee ddaattee hhiissttoorriiqquuee ppoouurr llee vviiggnnoobbllee bbuuxxaannggeeoorrggiieenn !!


Il y avait foule, les 8 et 9 septembre derniers, au gymnase Maurice-Herzog, à l’occasion de la11e édition du forum des associations. Le grand rendez-vous de la rentrée, à ne manquer sousaucun prétexte. A Bussy, une centaine d’associations constitue le tissu associatif, le rendantparticulièrement riche, varié et intéressant. A l’occasion du forum, chacun a pu trouver sonbonheur, en passant d’un stand à l’autre, en effet, pas moins de 80 associations étaient pré-

sentes cette année, culturel, sportif, loisirs créatifs, caritatif… Pour trouver matière à s’occuper,pour petits et grands,aucun problème, l’importante palette de propositionsrépond à toutes les demandes !A chacun de se renseigner, de s’informer et de s’inscrire !Mais pas de panique, si vous avez manqué ce rendez-vous, vous pouvez contacter le service culturel de la mairie pour obtenir la liste des associations, ou consulter le site :www.ville-bussy-saint-georges.fr

Un tissu associatif diversifié

Festival de musique et chants sacrés

Forum des associations

Virades de l’espoir :

Une première à Bussy

La municipalité a confié à l’association « Per La Voce », dont l’objectif principal est lapromotion de l’art sacré, l’organisation d’unesérie de manifestations musicales pour lasaison 2006/2007.Trois concerts émailleront ce Festival. Le premier,le 11 novembre à l’église de Gouvernes sera unhommage à la population féminine qui,durant laGrande Guerre, a perdu des fils, des frères, despères et des maris.Constitué d’œuvres très acces-sibles évoquant le recueillement et l’espoir, le pro-gramme sera interprété par le quatuor à cordes« Lineam » et le chœur des femmes « Per lavoce ». Le second concert (24 mars) sera celuides Solistes, organisé, avec la participation dupublic, autour de la phase finale du concours decomposition et d’interprétation de chant sacré.« Ce concours pour soliste vocal et piano,ouvert àtous les amateurs et professionnels – préciseDominique Daucet , Directeur du Conservatoire -est, placé sous le haut patronage de VioricaCortez, mezzo-soprano de renommée mon-diale et est, unique en France et en Europe ».Quant au dernier concert (12 mai), il seradonné par l’orchestre à cordes de la GardeRépublicaine, formation de prestige national et international.

Tout savoir sur le festival et le concours :www.concoursdechant.free.fr

www.perlavoce.free.fr www.ville-bussy-saint-georges.fr

Tous ensemble pour soutenir la rechercheBussy Saint-Georges est le site« Virades » quifédère 14 com-munes partenai-res des alentours.Cette annéeencore, de nom-breuses anima-tions se sontdéroulées à Bussyet dans les com-munes voisines.

Alors que le 24 septembre, reste la date officielle etnationale, 4 jours d’animations étaient proposés.Dans toutes les villes partenaires, les 21 et 22 sep-tembre, des compétitions inter-écoles étaient pro-grammées, les jeunes des collèges ont, comme àl’accoutumée, donné leur souffle, en parcourant deskilomètres sponsorisés par de généreux donateurs.Le centre de loisirs « Jules Verne », a pour sa part,organisé mercredi 27 septembre une fête du soufflepour soutenir les enfants atteints de la mucovisci-dose. A cette occasion, ils ont invité Fériel (enfant

atteinte) de l’école maternelle « Jules Verne » à par-ticiper à de nombreuses activités.Une course avec lesenfants du centre a eu lieu autour du lac,ainsi que denombreux jeux sur le thème du souffle.En fin d’après-midi, les enfants ont remis en cadeau à Fériel demagnifiques dessins de soutien.Elle gardera un beausouvenir de cette journée, ainsi que des Virades del’Espoir organisées dans sa ville.Côté animations, samedi, une soirée dansante émail-lée de démonstrations exécutées par les associationslocales,«Sky Dance Show» et «Vib’Animation» étaitorganisée au gymnase Maurice-Herzog. Dimanche,les Buxangeorgiens sont venus en nombre soutenir lacause,en participant à toutes les animations program-

mées. Moyennant 1 à 3 euros, ils pouvaient s’offrir unpetit tour de voiture ancienne, ou de side-car, s’adon-ner à la marche à pied à l’occasion de la randonnéepédestre, un petit tour de poney, parcours du souffle,trampoline … autant de réjouissances, qui aurontpermis de récolter la coquette somme, arrêtée à cejour, à 9 000 euros, (d’autres dons peuvent encorearriver) remis à l’association « Vaincre la mucovisci-dose », qui soutient la recherche et aide les malades souffrant de cette maladie génétique. n

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Vie de la cité


Mémoire, toujoursComme chaque année, le dernierdimanche d’août, l’Amicale des AnciensCombattants de la Ville de Bussy Saint-Georges, menée par son présidentRobert Msili, a répondu présent pour ledevoir de mémoire. Les représentants de l’Amicale se sontretrouvés en forêt de Villeneuve, avec unenombreuse assistant composée de :Préfet, Elus, Anciens Combattants etpersonnalités. La gerbe commémorativede Bussy a été déposée par Monsieur etMadame Vandernoot en mémoire auxjeunes FFI fusillés le 25 août 1944. Ensuiteles délégations se sont transportées aumonument commémoratif de l’aviateurRobert, abattu en forêt de Favières,mémorial aux aviateurs tombésvictimes de leur devoir. Le président Msili a déposé la gerbe desAnciens Combattants de l’Air. Discours,minute de silence et hymne national ontclôturé ces cérémonies où nosreprésentants ont été encore félicités pourleur fidélité par les autorités présentes.

Prochaines cérémonies commémoratives

Samedi 11 novembreCérémonie commémorative de l’Armistice.Rendez-vous à 10h45 salle du conseil en mairie,11h au monument aux Morts.A l’issue de la cérémonie, l’Amicale des AnciensCombattants organise son traditionnel banquet. Ouvert àtous sur réservation – inscription auprès de Robert Msili au01 64 76 80 08 - Participation de 37 euros.

Mardi 5 décembreCérémonie en hommage aux « Morts pour la France » dela guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de laTunisie. Rendez-vous à 17h45 salle du conseil en mairie,18h au monument aux Morts.

n tant qu’associationagréée par le ComitéNational du ravivagede la flamme au monu-

ment du Soldat Inconnu sousl’Arc de Triomphe à Paris,« l’Amicale des AnciensCombattants » de la ville deBussy Saint-Georges a été invitée,

comme chaque année depuisquatre ans, à participer mer-credi 20 septembre à cettecérémonie.Cette manifestation patriotiques’est déroulée, sous l’égide desCommissaires de la Flamme, enprésence des élus de la Ville et desenfants du Conseil municipal.

Dépôt de gerbes, minute desilence, sonnerie aux morts, puisravivage de la flamme.Grâce à son « Amicale desAnciens Combattants » omni-présente, Bussy est toujoursfidèle au devoir de Mémoire etprésente à chaque occasion de lamanifestation du Souvenir. n

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L’amicale des Anciens Combattants à l’Étoile


CHINER EN TOUTES SAISONSLa brocante d’automneest désormais inscritedans le calendrierannuel des animations,le rendez-vous du vide-

greniers du village a aussi ses adeptes.On fait des affaires, bibelots, mobiliers,vêtements … tout se vend !Trois jours auront suffi pour trouver preneurspour les cent-soixante emplacements, (contre500 en centre-ville au mois de juin) mis enplace, place de Verdun, ce 17 septembre.Amateurs de brocante, notez dès à présent

sur vos tablettes, le prochain rendez-vousest fixé au mois de juin en centre-ville.

2È SALON DU JOUET ANCIENOrganisé par « Le railClub de Bussy Marne-la-Vallée », le 2e salondu jouet ancien s’estdéroulé salle Maurice-

Koehl, samedi 30 septembre et dimanche1er octobre. Plus de 300 entrées cette année,

pour ce salon réunissant cinq associations loca-les d’amateurs de petits trains, proposant des

expositions de réseaux animés et maquettes sta-tiques, et cinq exposants assurant la vente dematériel ferroviaire.Le prochain salon est fixé pour 2008. En atten-dant, les membres du Rail Club travaillent encommun sur le réseau. Si vous souhaitez lesrejoindre, vous pouvez contacter MonsieurVincent - Rail Club de Bussy Marne-la-Vallée –01 64 66 32 76

SKYDANCE SHOWTout en apprenant àdanser, faites-vousde nouveaux amis !Les cours de danse àdeux, proposés par

l’association Skydance Show ont commencé àBussy Saint-Georges en septembre 2005 à l’ini-tiative de Virginie Vialatte, buxangeorgienne.Les cours assurés par les professeurs de laCompagnie, rencontrent un vif succès.Salsa portoricaine, danse de salon, Rock’N roll,pour adultes et enfants sont proposés du lundiau jeudi, selon la danse choisie.

Pour plus d’informations :01 60 43 17 80 ou 06 14 16 67 12Site Internet :www.skydance-show.com

u 12 au 24 juin dernier, MarcDublanche, président de l’Associationdes Asiatiques Buxangeorgiens(« AdAb »), et monsieur Loc Tong de

se sont rendus à 12000 kilomètres de BussySaint-Georges, à Can Tho (Vietnam) dans ledelta du Mékong, à 4 heures de route de Hô ChiMinh-Ville. Un petit séjour effectué dans lebut principal d’apporter le fruit de la collecteorganisée par l’association au profit de deuxorphelinats vietnamiens.

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Visant à permettre l’apprentissagede la langue française, cette recher-che de dons s’est naturellementorientée sur du matériel informati-que, des livres de lecture, de gram-maire et de conjugaison.Les écoles de Bussy et le Rotary Club duVal-de-Bussy, ont récolté quelque 120livres, et autres fournitures scolaires.Parmi les généreux donateurs, en com-plément du matériel offert par la société infor-matique IDMS, la société Avenance et le VisionCenter Paris Belleville, par leur soutien financier,ont permis à l’association de disposer d’un budgetsuffisant pour acheter deux ordinateurs completsavec imprimante,ainsi qu’un amplificateur et deuxmicros permettant ainsi aux enfants de sonoriserles petits spectacles de l’orphelinat.Par ailleurs, en complément des denrées alimen-taires acheminées, l’association acheta sur placeun stock de nourriture, composé d’huile, nouilles,lait, chocolat… mais également des jouets, desjeux et des médicaments.À Marc Dublanche de conclure : « Qu’il étaitbon de voir le sourire sur les visages de cesenfants. Quelle joie de les voir oublier, un peu,leur condition de vie. Le plus difficile a été deles quitter, mais nous y retournerons ! ». n

« AdAb »

L’association remercie tous ceux qui ont permis la réalisation de ce projet d’aide humanitaire,partenaires et intervenants : Les magasins d’optique Vision Center de Paris, IDMS, Avenance, les écolesde Bussy, le Rotary Club du Val-de-Bussy, la société Algo, l’agence de transfert d’argent Western Union, leJournal La Marne, Canal Coquelicot, le Journal vietnamien Epphé, la Compagnie Vietnam Airline,L’Ambassade du Vietnam, les Autorités vietnamiennes … et tous les généreux donateurs.

remerciements«« AAddAABB »» -- CCoonnttaacctt MMaarrcc DDuubbllaanncchhee –– TTééll.. 0066 6600 4466 5544 1111

en visite à Can Tho

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DossierIntercommunalité librement choisie, retour au droitcommun, autant d’atouts qui permettront à Bussy demaîtriser harmonieusement son développement touten préservant ses équilibres budgétaires.

Nous voulons sortir de la VilleNouvelle ! » Difficile à toutBuxangeorgien d’échapper à ces

banderoles installées en divers points de la ville.Mais souvent tout aussi difficile pour le passantou l’automobiliste de comprendre l’importancedu message véhiculé par cette phrase volontai-rement lapidaire. Et, pour beaucoup, le mes-sage est plutôt sibyllin, provoquant souvent uneinterrogation. Parfois étonnée « Je me sens bienà Bussy, pourquoi devrais-je en partir ? » Oubien de surprise « J’habite Bussy ! Que vientfaire la Ville Nouvelle dans ceci ? » Ou encorede dépit « S’il ne voulait pas être Ville Nouvelle,il n’avait qu’à la refuser ! » Toutes réactionsdevenues, au fil du temps, légitimes tant l’Etat

MARNE-LA-VALLÉE : dates et chiffres clés

1962 è Le recensement prévoit une explosion de la démographie parisienne en raison de l’arrivée àl’âge adulte de la population d’après-guerre (les enfants du «baby boom»), de l’exode ruralet de la décolonisation.

1964 è Paul Delouvrier est chargé par le Général de Gaulle de mettre en place une politique volontaristede réorganisation de la région parisienne. Il est considéré comme le « père » des villes nouvelles« à la française »

1968 è Cinq villes nouvelles sont projetées en périphérie parisienne dont 2 en Seine-et-Marne, Melun-Sénart et Marne-la-Vallée

1969 è Mise en place de la Mission d’Etudes et d’Aménagement de la vallée de la Marne. Les secteur I(Porte de Paris) et II (Val- Maubuée) sont lancés. Les débuts sont difficiles

1972 è Création de l’Etablissement Public d’Aménagement de Marne-la-Vallée (EPAMarne) qui succède àla Mission

1976/1977è Ouvertures successives de la ligne A du RER et de l’autoroute A4. La ville Nouvelledémarre vraiment

1985 è Création du secteur III, dit du « Val de Bussy », couvrant la totalité du territoire de Bussy Saint Georges

1992 è Ouverture du Parc Disney, consacrant le début du secteur IV, dit du « Val d’Europe »

2006 è Marne la Vallée est passée de 86300 habitants (1968) à 265.000 et Bussy de 500 à 20.000 habitants en 20 ans !

s’est fait discret communicant sur un« bébé » imposé, avec force publicité, il ya maintenant un peu plus de trente ans,et dont au fil d’une croissance hiératiqueil s’est progressivement désintéressésans pour autant l’émanciper.

Remontons le temps !Lorsque, dès la fin des années 1960,sont créées les Villes Nouvelles, il y a« urgence » ! Pas question de lais-ser le temps au temps, ces opéra-tions sont alors déclarées d’intérêtnational et vont être des créationspures, s’appuyant sur le territoire decommunes préexistantes, mais enréduisant à leur plus simple expres-sion les droits de ces dernières. Pourbien préciser qui est le « chef » en lamatière, une batterie de concepts etstructures échappant au droit com-mun va être mise en place. Côtéconcept, on invente celui de périmètreancien (s’arrêtant aux frontières du

«Sortir de la ville nouvelle !


bâti préexistant) et nouveau (le reste duterritoire communal où on vaconstruire). Sur le premier, les Elus gar-dent leur pouvoir d’intervention tandisque sur le second, ils n’ont, pour simpli-fier, plus qu’un rôle d’officier d’Etat Civil.Une partition qui ne va pas manquer degénérer nombre de difficultés. Côté struc-tures, l’Etat qui n’entend pas être gêné parqui que ce soit, crée son bras armé :l’Etablissement Public d’Aménagement(Epa), décideur souverain de l’aménage-ment du territoire mis sous son autorité.Parallèlement, sont mis en place des SyndicatsCommunautaires d’Aménagements (SCA), sor-tes de « super Mairies » (mais qu’on se

a ville nouvelle !Qu’est-ce qu’ÉpamarneEPAMarne (Etablissement Public d’Aménagementde Marne la Vallée) a été créé par décret du 17août 1972 et est un instrument opérationnel del’Etat rattachés au Secrétariat Général desGrandes Opérations d’Urbanisme (SGGOU) duMinistère de l’Equipement. C’est unEtablissement Public à caractère Industriel etCommercial (EPIC) combinant règles publiques(Code des Marchés Publics) et gestion privée (dotéde l’autonomie financière) et comprenant 130personnes. C’est l’aménageur des trois premierssecteurs de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée.

è Il a sur le territoire de la Ville Nouvelle, lemonopole de l’acquisition des terrains, deleur aménagement et de leur cession auxdifférents acheteurs

è Il a un rôle prééminent dans les étudesd’aménagement et d’urbanisme

è Il a la charge de la programmation desfinancements publics relatifs auxlogements, aux acquisitions foncières, auxinfrastructures primaires,

è Il est un des principaux acteurs dans laréalisation d’équipements publics de l’Etat,

è Il peut assurer, à la demande, le rôle deconseiller pour les affaires techniquementcomplexes, comme mandataire pour laréalisation des équipements collectifs, enassurant la maîtrise d’ouvrage :infrastructures primaires et équipementsde superstructures.

garde bien de faire élire au suffrage universel !)qui seront chargés de la gestion et de l’en-tretien des équipements d’intérêts communs(espaces verts, voiries, bâtiments) au fur et àmesure de l’achèvement des opérationsd’urbanisme par l’Epa.

Le secteur III sur un rail … unique !Pendant ce temps, ceux qui avaient annoncéune implosion démographique quelquesannées plus tôt revenaient sur leurs prévisions !Aussitôt l’Etat en tire des conclusions, les VillesNouvelles sont revues à la baisse. Leurs objectifspassent à 500.000 habitants puis quelques

Dossier


années après à 250.000 ! Et si opérationsd’intérêt national, elles restent, elles sontfinancièrement de moins en moins prio-ritaires. Nous sommes alors précisément àl’époque où est lancé le secteur III (Val deBussy) de Marne-la-Vallée. « Est-il vraimentutile de le lancer ? » disent en substanceles Elus de ce secteur. Ne serait-il pas plusjudicieux de laisser les communes faire faceà ce développement comme d’autres l’ontfait et continuent à le faire, en périphérie dela Ville Nouvelle, à l’instar de Pontault-Combault, Roissy en Brie ou Ozoir-la-Ferrière ? Le bon sens commun incitait à cechoix, mais pas la raison d’Etat ! Ville nou-velle, il est prévu, Ville Nouvelle il sera. Lesdébuts sont difficiles et il faut toute la déter-mination du Maire de l’époque, DanielDoussot pour faire prendre en compte parl’Epa la nécessité de ne pas faire de Bussy un« copier/coller » du Val-Maubuée. En 1998,

Dépossession à tous les étages !Et de fait,Bussy est devenue un cas unique :celui d’une commune en apparence ordinairemais dont les choix de développement commede leurs conséquences échappent à la maîtriseinitiale de ses Elus ! Et ce à quatre niveaux.Les deux premiers, sont liés au principe mêmede fonctionnement de l’EPA. Le troisième estl’interprétation très personnelle que fait l’Epa,selon les époques, de sa mission d’aménageurpublic.Si on s’en tient aux textes,cet organismeest le seul aménageur autorisé pouvant agir surun territoire destiné à accueillir une Opérationd’Intérêt National. C’est lui qui, parce que seulpropriétaire des terrains, donne son label« intérêt général » à l’opération. Il est donc deson ressort de prendre en charge le finance-ment de tous les équipements publics nécessai-res aux besoins des futurs habitants que sesactions génèrent. Ceci est d’ailleurs théorique-ment incontournable, puisque dans le mêmetemps, les constructeurs et promoteurs interve-nant dans le cadre de la Ville Nouvelle sontexemptés de la Taxe Locale d’Equipement (TLE)qui ailleurs, dans les communes de droit com-mun, sert précisément à ériger ces équipe-ments. Or, à Bussy, l’Epa décide discrétion-nairement de ce qui doit être équipe-ments « d’intérêt général » ou non.« C’est ainsi que la commune se retrouveobligée de financer les écoles et bassins derégulation des eaux pluviales sans autremoyen que de puiser dans sa capacité d’em-prunt ou de différer la réalisation d’autreséquipements à destination des habitants

l’Etat confirme son désengagement des VillesNouvelles en proposant, dans le cadre de l’in-tercommunalité, « aux collectivités locales dedevenir pleinement responsables de laconduite du développement de leur agglomé-ration et de la définition de ses orientations »Le bout du tunnel pour nombre de Maires saufpour …. ceux de Marne-la-Vallée, exclus pouron ne sait quel motif de ce raisonnement. Onva même aller plus loin dans cette exclusionavec le secteur III, en l’implantant sur le terri-toire d’une seule et même commune, BussySaint Georges. Cette dérogation au principed’intercommunalité, base originelle des VillesNouvelles, va avoir, pour la commune, deuxconséquences majeures : celle de ne plusbénéficier des dispositions financières propresaux Villes Nouvelles « historiques » et cellede ne pas avoir accès aux ressources supplé-mentaires attribuées aux groupements de communes.

Trente ans après leur création, que sont devenues les villes nouvelles ?Décrétées opérations d'intérêt national, les villes nouvelles ont longtemps fait l’objet de toutes les attentions.Mais les temps changent… Désormais, si les villes nouvelles entendent parachever vingtannées de réussite, elles devront le faire sans compter sur le soutien de la puissance publique.Pour Bussy Saint-Georges, depuis 1985, l’équation est simple. Comment répondre aux objectifsde construction de logements, d’implantation d’entreprises, d’équilibre emploi-habitat, en jonglantentre ses recettes propres et les dotations spécifiques prévues initialement pour soutenir ledéveloppement, qui tendent à se réduire chaque année un peu plus. Les villes nouvelles nepourront supporter longtemps ce qui ressemble de plus en plus à un goulet d’étranglement.Faute de ne plus être soutenus, beaucoup d’élus seront tentés d’opérer un retour au droit commun et de recouvrer ainsi leur liberté.


déjà en place ! Sans parler des équipementspublics réalisés de façon surdimensionnéepar rapport aux besoins réels et qui une foisdans le patrimoine communal sont autant degouffres en matière de frais de fonctionne-ment ! » Inutile de dire que ce transfert decompétences qui n’ose pas dire son nom a unimpact considérable sur l’équilibre des financescommunales et ce d’autant qu’au fil des ans,les aides spécifiques aux Villes nouvelles sont,soit purement et simplement supprimées (casde la Dotation Globale d’Equipement), soitl’objet de négociations de « marchand detapis » (dotation d’équilibre, différés d’amortis-sement ou dotation globale de fonctionnementmajorée) dont la commune sort, de manièregénérale, guère bénéficiaire. Enfin, dernierétage de la fusée « dépossédante », le glisse-ment progressif d’une partie de l’activité del’Epa dans un rôle d’aménageur dont le qualifi-catif « public » relève de l’alibi.

Ville Nouvelle :chance ou mirage ?A la lumière de tous ces dysfonctionnements(que la Chambre Régionale des Comptes, en2004, a actés) dont les Buxangeorgiens sontfinalement les « otages », la solution n’est-elle pas d’admettre que si la Ville Nouvelle a puêtre une grande idée à son origine, il est tempsmaintenant de reconnaître qu’elle ne corres-pond plus à la réalité. De la notion erronée derisque d’implosion démographique qui a pré-sidé à sa naissance au dévoiement progressifdes missions de son aménageur en passant parla peau de chagrin des moyens financiers yétant consacrés, la Ville Nouvelle ne fait plus

Des élus sans pouvoirs ?Tout comme une entreprise, l’Epa est composé d’une direction opérationnelle et d’un Conseil d’Administration censé représenter les commu-nes et ministères concernées par l’opération d’aménagement. Or, à la création du secteur III, la composition de ce CA n’a pas évoluée demanière à permettre à Bussy d’avoir progressivement une représentation proportionnelle à l’importance du Chiffre d’Affaires procuré, par sonaménagement, à l’Epa. « Aujourd’hui encore – déclare Hugues Rondeau, maire - les représentants de Bussy sont minoritaires par rapport àceux des secteurs I et II où l’EPA n’a pratiquement plus d’activités ! C’est un peu comme si le principal actionnaire d’une entreprise se trou-vait relégué à un rôle d’observateur n’ayant même pas la minorité de blocage ! Inimaginable ailleurs mais possible ici !! » Comme si cette «anomalie » ne suffisait pas, elle est complétée par le pouvoir surdimensionné conféré par l’Etat au Directeur de l’Epa et faisant qu’en cas delitige de point de vue avec le Conseil d’Administration, l’arbitrage au sommet est toujours rendu en faveur de la Direction. Autrement dit, à l’Epa,si besoin est, les « actionnaires » sont dépossédés de leur pouvoir de sanction ! « Il faut naturellement relativiser cette approche – préciseHugues Rondeau – A quelques exceptions près, au cours de ces 20 dernières années, les rapports de Bussy et de l’Epa ont souvent étéempreints d’un respect mutuel permettant à l’aménagement de Bussy de se faire avec le souci des attentes de uns et des autres. Par contre sil’Epa, comme aujourd’hui, entend jouer « à plein » la carte de son pouvoir unilatéral, comment voulez-vous que des Elus l’admettent ? »

« recette » et surtout n’a plus guère d’argu-ments pour justifier son maintien. De rêve ima-giné comme étant la chance de l’avenir, neserait-elle pas devenue un mirage ? «Dans lequotidien d’une ville – conclu Hugues Rondeau- c’est naturellement vers les Elus que l’on setourne en cas de problèmes. La moindre deschoses serait donc de nous permettre d’exercerpleinement nos responsabilités et non pas denous forcer à justifier un injustifiable qui nous

est imposé. Or le paradoxe est que si le déve-loppement de notre secteur doit rester unepriorité, les outils pour le faire ne sont plusadaptés. La Ville Nouvelle en tant que concept,est devenu un cadre étroit. La sagesse seraitque Bussy retrouve son statut de droit communet la maîtrise de son développement, le toutdans le cadre d’une intercommunalité bienpensée où chacun serait respecté à la hauteurde ses contributions et apports ». n

Un aménageur public «pseudo-privé»Alors que le but unique de l’Epa, est d’être l’aménageur unique et public de la Ville Nouvelle,

il s’est, devant la nécessité d’assurer sa survie (l’établissement public étant doté de l’au-tonomie financière) progressivement tournée vers l’aménagement de communes péri-phériques. Afin de sauver les apparences, ces communes ont été déclarées comme com-munes « associées » à la Ville Nouvelle. « Ce qui, pour certaines – précise JJeeaann CCllaauuddeeLLaammaaggnnèèrree,, 1er maire-adjoint - telles, entre autres Montévrain, Ferrières ou Collégien,

ne manque pas de « piquant » quant on sait qu’elles ont, à l’origine, tout fait pour ne pasêtre intégrées à cette Ville Nouvelle ! » Résultat : ces opérations « extérieures » étant

principalement des aménagements de zones d’activités économiques réalisées dansun contexte où la demande d’implantation est largement en deçà de l’offre, il s’agitautant d’actions pénalisantes pour le « remplissage » des zones buxangeorgien-nes et par voie de conséquence, autant de ressources financières manquant à l’ap-pel. « Les exemples d’entreprises ayant été initialement attirées par Bussy maisqu’on a ensuite orientées ailleurs sont désormais nombreux ! Et si nos zonestrouvent encore preneurs, c’est maintenant souvent du à l’action de l’équipemunicipale conduite malgré elle à faire face à la carence de l’aménageur ! »


Vie municipale

Comment devenir ASSISTANTE MATERNELLE ?Cadre législatifUne assistante maternelle accueille chez elle de manière non permanente, et moyennant rémunération, un ou plusieurs enfants dont les parents travaillentou sont à la recherche d’un emploi. Dans le langage courant, on parle parfois de Nourrice ou encore de Nounou. C’est, en France, le mode de garde leplus employé, par choix ou par nécessité. Ce n’est que récemment que cette profession a été organisée dans un cadre statutaire précis qui est maintenantdéfini par la loi du 27 juin 2005 relative aux «assistants maternels et aux assistants familiaux» (auparavant par les lois 77-505 du 17 mai 1977 puis 92-642 du 12 juillet 1992) En l’absence de publication de toutes les mesures réglementaires d’application, la loi de 2005 nepeut encore être appliquée intégralement. Concernant les assistantes maternelles directement employées par les parents, une convention collectivenationale a été signée le 1er juillet 2004.

Les démarches administratives¢ Retirer, auprès du Conseil Général, un for-mulaire de demande et le compléter en préci-sant notamment :è la situation familiale,è les conditions matérielles d’accueil,è la formation, l’expérience professionnelle

et celle auprès des enfants,è le type d’accueil proposé (permanentou non, ...)

¢ Passer une visite médicale pour vérifier quevotre état de santé (physique et psychique) estcompatible avec l’accueil d’enfants et vérifier lesvaccinations.

¢ Ce dossier complet doit être envoyé enrecommandé avec accusé de réception. Lesdates faisant foi de dépôt, votre demandedevra être traitée dans les trois mois à venir.

Évaluation de la demande d’agrémentL’évaluation de la demande pour devenirassistante maternelle est faite par une visiteau domicile de la candidate. L’entretien estréalisé par une infirmière puéricultrice appar-tenant au service de PMI (ProtectionMaternelle et Infantile) du département quiprend en compte :

è Les capacités de la candidateLa visite a pour objectif d’évaluer si lacandidate présente les garanties nécessairespour accueillir des enfants et assurer leurépanouissement physique, intellectuel etaffectif. Pour cela, la puéricultrice abordera etinterrogera la candidate sur : ses motivations,son milieu familial, ses capacitésd’organisation, ses capacités éducatives etpédagogiques et ses capacités decommunication et de dialogue.

èLe logementLa visite de la puéricultrice aura également pourobjectif d’évaluer si la candidate dispose d’unlogement dont l’état et l’environnement permet-tent d’assurer le bien être physique et la sécuritédes enfants en vérifiant l’hygiène des lieux, lesmobiliers et espaces réservés aux enfants, les dan-gerosités potentielles (produits toxiques inaccessi-bles, escaliers non protégés… )

èLes critères de refus immédiatsCertains critères peuvent entraîner une décisionimmédiate de refus comme celui d’être hébergé,de ne disposer que d’un F1, d’avoir un jardin nonclôturé ou bien la présence d’un chien de caté-gorie 1 ou 2 (pitbull, rottweiller…)

Obtention de l’agrémentDans le délai de 3 mois qui suit la demandecomplète attestée par le récépissé remis parle service de PMI ou par l’accusé de réceptionde la poste, la candidate doit recevoir une

Relais Assistantes MaternellesMadame Laborde

11, rue de la PyramideTél. 01 64 77 09 05


Places en crèches, comment ça marche ?La première démarche obligatoire, est de s’ins-crire sur la liste auprès du Service Petite-Enfance.« Il faut savoir que le numéro de dossier informatiquequi est alors donné ne confère aucun caractère depriorité ». Les dossiers sont présentés enCommission, laquelle examine les demandes enfonction des critères suivants :è Situation médicale de l’enfant nécessitant sa

garde par des personnes habilitées etformées présentes dans les structuresd’accueil collectif (justificatif médicalindispensable)

è Signalement par les services sociaux de lapetite enfance situés à Noisiel (PMI,assistante sociale)

è Date d’inscription (4 mois de grossesserévolus) par rapport à la naissance del’enfant (naissances gémellaires et fratriesincluses)

è A critères égaux, chaque dossier est étudiéau cas par cas et sont favorisées les famillesqui n’ont pas eu de place pour leurs enfantsprécédents.

Les enfants entrant en structure jusqu’à leurtroisième année, les places attribuées lors de lacommission sont majoritairement des placespour les bébés de l’année en cours.

NOUNOU NON DECLAREE : ATTENTION DANGER !Ne pas déclarer sa « nounou », et donc ne pas avoir de numéro d’URSSAF et de SIRET, ne pas lui faire de bulletin de salaire, c’est ce qu’on appelle du travail au noir, ounon déclaré. Ce type d’emploi est interdit et peut faire courir de gros risques tant à la « salariée » qu’à l’employeur. â LES RISQUES POUR LA « SALARIÉE »

Les cotisations n’étant pas payées à l’URSSAF (ni par les parents, ni par la CAF dans le cas d’une assistante maternelle), la nounou n’a aucune protection sociale. Ellen’a pas de droit à la sécurité sociale (indemnités journalières en cas de maladie, de maternité) et n'acquiert aucun droit pour sa future retraite, De même elle n’a pasdroit au chômage en fin de « contrat ». Si, par ailleurs, elle touche des indemnités chômage, maternité, maladie, ou CAF (allocation parentale d’éducation), elle peutêtre condamnée à rembourser voire dans certain cas à s’acquitter d’une lourde amende. Cela se produit souvent sur dénonciation (pensez toujours – car c’est sou-vent le cas – à la jalousie d’une personne qui estime qu’on lui prend son travail notamment). Sans contrat, c’est la précarité, c’est perdre son emploi du jour au len-demain sans rien dire. Et en cas de problème (non paiement de salaire par exemple), c’est l’impossibilité d’aller devant les tribunaux pour contester

â LES RISQUES POUR L’EMPLOYEURLa « nounou » a 5 ans pour se retourner contre les parents et demander à être déclarée. Il suffit pour cela qu’elle apporte la preuve de son travail (témoignage depersonne l’ayant vue par exemple). Outre que pour les parents cela a un coût supplémentaire puisque les éventuelles aides ne pourront être versées (réduction d’im-pôt, participation de la CAF au paiement des charges, voire au versement d’une aide...), cela se traduira certainement par des dommages et intérêts au profit de la« nounou » (6 à 12 mois de salaire pour donner un ordre de grandeur), et des amendes (notamment au profit des Assedic) En cas d’accident du travail, ce dernier nepouvant pas être pris en charge par la sécurité sociale, la « nounou » pourra se retourner contre l’employeur. Enfin n’oubliez pas que sans contrat, il n’y a aucunegarantie (pas de préavis à respecter notamment en cas de démission) ni aucune assurance en cas de problème avec votre enfant.

Informations extraites du site http://www.employer-une-nounou.info/employeur/au_noir/index.php

réponse écrite notifiant la décision du Président du Conseil Général

èDécision favorableEn cas de décision favorable, la candidate reçoitune attestation d’agrément (acquis pour unedurée de 5 ans, sur tout le territoire français) pré-cisant le type d’accueil autorisé (permanent ounon), les temps d’accueil autorisés (à la journée,à temps partiel, après l’école), le nombre et l’âgedes enfants qu’elle peut accueillir

èDécision défavorableTout refus total ou partiel d’agrément doit fairel’objet d’une notification par lettre recomman-dée avec avis de réception. Cette décision doitêtre motivée. La candidate peut demander àavoir un entretien avec un membre du service dePMI. Elle peut prendre connaissance de son dos-

d’un recours gracieux. Le cas échéant un recourscontentieux devant le tribunal administratifpourra avoir lieu.

èAucune réponseEn cas d’absence de réponse du conseil généraldans un délai de 3 mois, attesté par l’accusé deréception de la demande ou le récépissé du ser-vice de PMI, l’agrément est réputé acquis.La candidate doit demander par écrit au Présidentdu conseil général une attestation d’agrément. n

D O S S I E R R É A L I S É AV E C L E S I N F O R M AT I O N S D U S I T E

ht tp : / /www.ass i s tante -materne l le .b i z

sier et y apporter ses observations, conformé-ment à la loi du 17 juillet 1978 sur l’accès desusagers aux dossiers administratifs.La candidate dispose de 2 mois après la récep-tion de la décision défavorable pour demanderpar écrit au Président du conseil général demodifier ou d’annuler sa décision, dans le cadre

Quatre nouvelles crèches à l’horizon 2007/2008 – plus d’infos : www.bussy-saint-georges.fr

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Voter est le fruit d’une longue évolution de nos institutions politiques etdu combat mené par tous ceux qui ont permis que nous jouissionsaujourd’hui de cette liberté fondamentale.Voter est un geste simple, mais porteur d’une forte charge symbolique :chaque électeur, en votant, s’inscrit dans la continuité du long ettortueux chemin pour la démocratie.Cette démarche est capitale. Ne ratez pas ce rendez-vous avec la démocratie.

e droit de vote permet au citoyend’exprimer ses opinions et volontés.En votant, mais aussi en se faisantélire, un citoyen fait valoir son point

de vue, il peut ainsi élire ses représentants (parle-mentaires) et ses gouvernants (Président de laRépublique), ses représentants nationaux (parle-mentaires), régionaux (conseillers régionaux),départementaux (conseillers généraux) ou locaux(conseillers municipaux).

Voter, un droitcomme un devoir !Si, en France, voter est un droit, ce n’est pas, juri-diquement, une obligation. La question d’uneéventuelle obligation du vote a souvent étédébattue. Elle existe d’ailleurs dans certains pays,

tels que la Belgique, le Luxembourg, la Suisse oula Grèce où l’abstention non justifiée est puniepar une amende. Ceci étant, peut-on être citoyenet ne pas voter ? Peut-on s’enthousiasmer ou seplaindre sans le faire savoir à travers la seulearme que la démocratie a confiée à tous ?Pour être électeur il faut être majeur, français ounaturalisé français (ou ressortissant d’un pays del’Union européenne lors des élections municipaleset des élections européennes), jouir de ses droitsciviques mais aussi et avant tout …

… Être inscrit sur les listes électorales !Cette démarche, simple, doit être faite en mairieavant le 31 décembre de l’année précédantl’élection. Or 2007, va être une grande année de

rendez-vous électoraux. Election présidentielle,élections législatives et peut-être, électionsmunicipales (pour l’instant elles ont été reportéesen 2008, mais rien n’interdit qu’elles soientremises en 2007).Et pour ceux qui peuvent penser qu’il n’y apas d’urgence à s’inscrire sur les listes etqu’au pire, ils pourront toujours aller voterdans leur ancienne commune à l’occasion deces scrutins, qu’ils sachent que si l’inscriptionest toujours une démarche volontaire et per-sonnelle, la radiation elle, peut se faire d’of-fice à l’occasion de ces opérations régulièresque sont les révisions des listes électorales !Et croyez en l’auteur de ces lignes qui en afait l’expérience en 1981, ne pas pouvoirvoter quand on le veut est une expériencedont on se passerait volontiers ! n

Je pense donc je suis ! Je suis donc je vote !

Aux termes de l’article L.9 du Code Electoral,l’inscription sur les listes électorales est obligatoire.

Les jeunes âgés de 18 ans, nés entre le 1er mars 1988 et le 28 février 1989 sont inscrits d’office d’après la

loi 97-1027 du 10 novembre 1997.

Toutefois, les jeunes gens domiciliés à Bussy Saint-Georges, nés dans la même période et qui n’auraient

pas reçu de courrier de la mairie, sont invités à se présenter spontanément, impérativement avant le

30 décembre prochain, afin d’établir une inscription volontaire sur les listes de Bussy Saint-Georges.

Aussi, dans le cadre des échéances électorales de 2007, élections présidentielles et législatives, les

jeunes atteignant 18 ans entre le 1er mars 2007 et les dates des premiers tours de scrutin seront

également inscrits d’office.

Par ailleurs, doivent demander leur inscription :

è les personnes remplissant les conditions pour être électeurs qui ne seraient pas inscrites sur la

liste électorale de Bussy Saint-Georges.

è les personnes qui ont changé de domicile ou de résidence à l’intérieur de Bussy Saint-Georges.

Les demandes d’inscription sont reçues actuellement à la mairie, et jusqu’au

30 décembre 2006. Elles prendront effet au 1er mars 2007.

Pour se faire inscrire se munir des originaux et des photocopies des pièces suivantes :

è de la carte nationale d’identité ou passeport en cours de validité

è et d’un justificatif de domicile à son nom (quittance de loyer, d’eau, de gaz, d’électricité …)

Pour effectuer son changement d’adresse dans Bussy Saint-Georges, se munir :

è d’un document attestant de l’identité (passeport, permis de conduire, carte nationale

d’identité même périmée…).

è et d’un justificatif de domicile à son nom (quittance de loyer, d’eau, de gaz, d’électricité …)

Les personnes qui déposeront leur demande d’inscription sur la liste électorale après le

30 décembre 2006 ne figureront sur celle-ci qu’à compter du 1er mars 2008.

Compléments d’informations sur www.ville-bussy-saint-georges.fr

L

formalités

Pour pouvoir voter en 2007, il faut s’inscrire en 2006

Les demandes d’inscriptions doivent être déposées avant le 30 décembre 2006


Vie municipale

a présence de crottes de chienssur les trottoirs et pelouses estvécue, à juste titre, comme unegêne par tous.De nombreuses villes de France

comme à l’étranger se préoccupent desdéjections canines. Les affiches de campagne« anti-crottes » fleurissent un peu partout,tous les slogans possibles et imaginables ontété trouvés ; « Trottoir ou crottoir », « trot-toirs utilisés comme crottodrome », « crotteemballée, commune embellie »…

Bussy met à son tour en place sa campagne desensibilisation au travers d’une série d’affiches

mises en place dans la ville. Par ailleurs, outre lestrois « vespachiens » existants, rue Bernard-Palissy, avenue André-Malraux et rue des Halles,la municipalité vient de faire installer quatre« Crott-ï-prop», corbeilles intégrant des distribu-teurs de sacs à déjections canines, mis à dispo-sition gratuitement, dont trois sont situés ave-nue Haroun-Tazieff et un boulevard Antoine-Giroust. Un premier essai, qui devrait rapide-ment se transformer en implantant d’autres« Crott-ï-prop » dans d’autres quartiers.

Le problème des déjections canines fait partiede ces agacements contre lesquels certainescommunes ont déjà pris de sévères mesures, par

exemple, en sortant les carnets à souche et enverbalisant … Loin de là l’idée de la municipa-lité, mais il est temps de mener campagne, nonpas pour incriminer les propriétaires de chiens,mais pour attirer leur attention sur le fait queramasser … c’est aussi un besoin !

Alors pour le bien-être de tous, ayez le bonréflexe, le geste citoyen, ramassez les crottes devotre chien, ou mieux encore, comme certainsdéjà habitués, glissez habilement un morceau dejournal sur le trottoir dès que votre « toutou » semet en position et hop ! il n’y a plus qu’à plier,et jeter dans la poubelle.Ainsi les trottoirs ne res-sembleront plus à des « crottoirs » ! n

Ce sujet très terre à terre ne laisse personne indifférent. Laqualité de vie débute au ras du sol, sur le trottoir ou la pelouse,adultes et enfants sont concernés, la prise de consciencecitoyenne n’attend pas le nombre des années !

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Propreté canine, éduquerle chien ou le maître ?

L

Le magazine

Pour participer à l’émission dans le public, ou faire découvrir vos talents :

IAPIAP« Du jamais vu ! »

Boîte postale 18 - 93 211 La Plaine Saint-Denis – Cedexwww.canalj.net

à noter


abrina, Maureen, Olivia et Gali, jeunes danseuses buxangeorgiennesvivent depuis un peu plus d’un an, un joli conte de fée. Le bon génies’appelle Billy, animateur de l’émission « Iapiap » sur Canal J.Ces quatre jeunes filles, à peine âgées de dix-neuf ans, mordue dedanse ont fait leur classe avec Suzan Seve, du studio de danse

Vibration et Nadège Paineau de la « Compagnie flac floc ». Elles ont com-

mencé toutes jeunes, et à force de persévérance et de travail, elles sont arri-vées, pas encore au sommet, mais sur le plateau de télévision de Canal J !Un rêve de petites filles, passer à la TV ! Ces jeunes buxangeorgiennesl’avaient déjà réalisé en passant dans l’émission « Graines de stars » sur M6,avec le groupe « Poussières d’étoiles » dirigé par Susan Seve, en 2003.Une expérience renouvelée deux fois, dont elles sont sorties vainqueurs.Les « Iapiap Girls », animent en collaboration avec Billy cette émissiondestinée aux jeunes de 4 à 14 ans, proposant des reportages, des jeux.Sabrina, danseuse mais également chorégraphe du groupe réalise pour cha-que émission des chorégraphies d’une durée de 2 à plus de 5 minutes pouraccompagner les chanteurs connus venus sur le plateau, mais également lesnouveaux jeunes talents, que « Iapiap » souhaite faire découvrir.« Je suis en formation de danseuse, je me destine à une carrière de choré-graphe, mais j’aime beaucoup mon petit rôle d’animatrice aux côtés deBilly, qui sait plus tard ( ! ), Gali est également en école de danse, Oliviaen fac d’anglais, quant à Maureen, elle commence sa première année en« psycho », mais nous avons en commun cette même passion de la danse »précise Sabrina.Le concept de l’émission est avant tout de permettre à de jeunes gens talen-tueux, de moins de 13 ans, d’être sur le devant de la scène, le temps d’unnuméro de magie, contorsion, cirque (cracheur de feu), imitation…,« mais, attention ! que de l’exceptionnel » raconte notre jeune chorégraphe.« C’est ouvert à tous, il y a certainement à Bussy des jeunes, dont les talentsméritent d’être connus ! Ils peuvent s’inscrire. Pour nous, c’est un vrai travail,même si l’ambiance est bon enfant, nous prenons notre rôle très à cœur. Noussommes jeunes, c’est une expérience formidable. Nous verrons ce que l’ave-nir nous réserve ! » conclut-elle. n

SUn portraitisteà votre mesureUn environnement de couleurs douces et chau-des qui irradie des multiples tableaux accro-chés aux murs, et comme un don généreux, letalent et l’envie de transcrire par le crayon oule pinceau, la beauté. Une Buxangeorgienneconsciente que plus personne n’a, aujourd’hui,ni le temps, ni même parfois l’envie de poser,réalise votre portrait. « Je tiens toujours à ren-contrer la personne, à parler longuement avecelle, en saisir l’humanité, l’essence profonde, etréaliser une expression de vie et non, commeune photo, un simple arrêt sur image ».

Combien ça coûte ? disons que pour le prixd’entrée de gamme actuel d’un écran plasma,vous pouvez vous offrir l’éternité ! Années degraphisme et d’étude documentaire, besoin irré-pressible de travail de création, cette artistepétillante et attachante donne également descours à Bussy Saint-Georges. Dernier secret decette blonde, son amour pour les aéronefs :pilote, elle connaît sur le bout des doigts lemonde du ciel, et quand il s’est agi de prendreun nom, c’est tout naturellement « je suisamoureux de cet avion » qu’elle a choisi.Tout un programme ! n

Mail : [email protected]él : 06 15 42 79 68

Sur Canal J :Des « Iapiap Girls » buxangeorgiennes

ProjetUn micro-laboratoire de développement au Sénégal

Le magazine


Artiste chorégraphe, Jérémie Tagayi, président fondateur de la Compagnie G-Zypop a débuté à l’âge de 7 ans au conserva-toire de Saint-Thibault-des-Vignes. À 14 ans, il formait un groupe de danse et s’improvisait chorégraphe. En 2003, il faisaitdiverses scènes pour présenter ses chansons. En 2004, il enseignait la salsa, le jazz avec des influences de hip-hop. Entre 2004et 2006, son parcours est émaillé d’expériences scéniques, comédies musicales et théâtre.

À la rentrée 2006, pour parfaire ses connaissances en chant, danse et théâtre, il intègre l’école de comédie musicale des 3 arts.Parallèlement, il fonde sa compagnie afin de développer et d’enseigner un nouveau style de danse, un mélange de jazz et de hip-hop, le jazzypop.Un style novateur qui permet avant tout de se divertir, tout en se perfectionnant en danse.Mêlant le jazz, forme de danse de spectacle d’origine nord-américaine, synthèse de différentes techniques, exécutée avec vitalité sur une musique rythméeet entraînante selon des styles très variés, et le hip-hop, issu de la jeunesse urbaine, apparu aux États-Unis au début des années quatre-vingt, style de dansede rue, cette « nouvelle » danse donne un savant mélange, surprenant, original et intéressant !Ouverts à toutes et tous, les ateliers proposés par la Compagnie se mettent en place petit à petit. n

Paul Faye, Président de l’association «Bussy-Solidarité Cap Sud» s’investit dans de nombreux projets afin d’améliorer

le quotidien des gens des pays du Sud.

i l’enthousiasme pouvaitêtre représenté par uneimage, ce serait celle quedonnent Paul Faye et leDocteur Frédéric Dartigues,

buxangeorgiens, Présidents des associa-tions « Bussy-Solidarité Cap Sud » et« Planète Médicale », lorsqu’ils exposentleur projet humanitaire qu’ils ont en com-mun pour aider l’ile de Gorée au large deDakar au Sénégal.Et le moins que l’on puisse dire, c’estqu’ils ont imaginé, étudié et validé leurdossier sous toutes les coutures.

A la base de leur projet,3 constats majeurs et des réponses simples pour aiderles populations locales à compter d’abord sur elles-mêmes pour accéder à cedroit élémentaire, que devrait être celui de la santé et de l’accès aux soins.S’il n’existe pas encore de système de protection comme notre sécuritésociale, leur réponse est de lancer le 1er chèque Santé universel, en s’inspi-rant d’un principe qui a fait ses preuves, celui des « tickets restaurants ». Enpratique, les chèques-santé pourront être achetés sur place par les maladeseux-mêmes ou envoyés par les familles vivant à l’étranger. Ils pourront aussi

Sêtre donnés par des « sponsors » ou des touristes de passage. Ils servirontainsi aux malades à payer leurs médicaments génériques dans les dispensai-res et les structures médicales déjà existantes et qui ne demandent qu’à sedévelopper. « Le tout fonctionnera comme une micro-mutuelle, entière-ment gérée sur place par des femmes et des mamans sénégalaises et per-mettra par la même occasion de choisir son médecin traitant comme n’importe quel buxangeorgien ».Le deuxième constat est que les médecins, principalement concentrés dansles grandes villes sont largement absents dans les campagnes où les habi-tants doivent souvent s’en remettre aux bons soins d’un infirmier de brousse.La réponse de nos 2 aventuriers du web est de profiter du développementtechnologique du Sénégal pour mettre en place des consultations de télémé-decine rurale et permettre ainsi à des populations isolées de bénéficier desconseils médicaux des meilleurs spécialistes sénégalais.Ainsi leur dispensairepilote serait animé par des médecins locaux et équipé d’une salle de télédia-gnostic reliée,par Internet,à un réseau de spécialistes permettant,à distance,de valider ou corriger la justesse d’un protocole de soins.Pour parachever l’équipement médical, il est aussi prévu de faire fonctionnerune ambulance … à l’huile d’arachide pure ! « Quand on sait que le pre-mier moteur mis au point par Mr Rudolf Diesel en 1892 fonctionnait aveccette huile et que le Sénégal en est un des principaux producteurs mondiaux,c’est un peu un juste retour aux sources ! » Coût du projet : 100.000 ¤ , surla base d’un subventionnement par l’Union Européenne, conseil régional,conseil général, laboratoires pharmaceutiques et équipementiers médicauxqui devraient être sensibles à cette initiative dont la réussite ferait à n’en pasdouter et sans jeu de mots … tâche d’huile ! n

Nouvelle Compagnie, nouveau style !G-Zypop :

N’hésitez pas à les contacter pour tout renseignement complémentaire : 06 78 93 09 73La compagnie G-Zypop recherche 3 danseurs et 3 danseuses. 18 ans environ. 3 ans de pratique minimum de Modern Jazz.Audition le 24 novembre 2006 à 18h à l’école Jules Vernes de Bussy-Saint-Georges - Contact G-Rémy : [email protected]

Ile de Gorée

Activitéssportives

Compétiteurs d’honneur


our la 6ème année consécutive, le golfde Bussy-Guermantes accueillait« l’Open de Bussy » organisé le 24septembre dernier par la mairie deBussy, en partenariat avec la

Société NEVES.

Cette manifestation sportive remporta une fois deplus un vif succès. Cette année, 140 joueurs ontparticipé à cette compétition jouée en stableford,4h00 de parcours pour des passionnés de golf, undépart toutes les 8 minutes. Premier coup d’envoià 7h30, dernier retour à 19h, sous un ciel automnal,une belle journée pour cet Open.Le petit plus de la compétition,organisé sur le trou 7,un concours d’approche, pour le coup le plus précis,et un concours de drive,pour le coup le plus long,autrou numéro 13… La société NEVES, partenairede la mairie, avait fait les choses en grand, en finan-çant un superbe buffet dînatoire élaboré par l’équipedu restaurant « Les Terrasses du golf », offert

aux participants, après la remise officielle des prixfaite par Hugues Rondeau, en présence deDominique Bijard, maire-adjoint, Stéphane Barnier,Conseiller municipal, Guy Jelensperger, maire deGuermantes, d’Eric Vignot, Président du golf deBussy, Virginie Prochasson, directrice du golf et deson adjoint Florian Pouget.

Parmi les compétiteurs, on remarquait la pré-sence amicale de madame Sharifah Syed Zin,ambassadeur de Malaisie auprès de l’UNESCO,de monsieur Musa bin Omar, Attaché de défenseà l’ambassade de Malaisie à Paris et de monsieurJoana Ravoloson, ancien ambassadeur deMadagascar auprès des Nations Unies.Les gagnants se sont vu remettre des vêtementsornés de logos, balles, clubs, mais également,grands crus, parfums et fleurs. Les premiers applau-dissements ont été pour Laurence Ngo, 1ère au clas-sement 1ère série dames qui est repartie les braschargés de cadeaux ! n

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Open de golf de Bussy, 6ème édition

En présence d’Hugues Rondeaude gauche à droiteMonsieur Musa bin Omar, Attaché de défense de l’Ambassadede Malaisie à ParisNarany AnMme Sharifah Syed Zin, Ambassadeur de Malaisie auprès del’UNESCO - Déleguée permanenteMr Joana Ravoloson, Ancien Ambassadeur de Madagascarauprès des Nations Unieset Madame Ravoloson

Laurence Ngo,

1ère au classement 1ère série dames

Martial Voillot,

1er au classement 1ère série Messieurs

en présence de Guy Jelensperger, maire de Guermantes

P

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Activitéssportives

SGA, déjà actif sur tous les ter-rains traditionnels de l’athlétisme,investit maintenant les trails etultra-trails. Après une sortie clubdans le limousin pour la désor-

mais classique course des « Gendarmes etVoleurs de temps », le club Buxangeorgienavait, pour la seconde fois consécutive, deuxreprésentants au départ de l’Ultra-Trail duMont-Blanc.

Cette épreuve, considérée comme l’une desplus exigeantes d’Europe, est devenue, aprèsseulement quatre éditions, un véritable mythedans le monde des courses nature de longuedistance. Elle conduisait, durant le dernierweek-end du mois d’août, les 2 500 partici-pants autour du massif du Mont-Blanc en sui-vant approximativement le célèbre GR TMB.De Chamonix à Chamonix, c’était au total158 km et 8 600 m de dénivelée positive queles coureurs devaient parcourir, en passant parl’Italie, la Suisse et quelques célèbres cols àplus de 2 500 m (la Croix du Bonhomme,Seigne, le grand col Ferret), le tout en uneseule étape et moins de 45 heures, avec un

départ le vendredi à 19h00 et une arrivée, auplus tard, le dimanche avant 16h00.Cette année encore, l’UTMB ne s’est pas « offert »aux concurrents, notamment à cause de condi-tions climatiques difficiles. En effet, si la premièrepartie de la course, s’est déroulée sous un cielclair, étoilé mais très froid la nuit, et ensoleillé lejour, la seconde partie de la course fut beaucoupmoins agréable, la pluie faisant son apparitionvers la 22ème heure de course, pour ne réellementcesser que le dimanche dans la matinée. Toutecette eau, associée au passage des nombreuxconcurrents, rendait les chemins extrêmementglissants, ralentissant la progression en montée etaugmentant les risques de chutes en descente.Pour Richard Aubert et Daniel Vergnes, de BSGA,le premier objectif était d’atteindre l’arrivée decette course, avec en complément, le souhait depasser sous la barre des 40 heures.

Jusqu’à mi-parcours, ils étaient sur cette basehoraire. Malheureusement, quelques coups defatigue, des petites blessures et la météo, lescontraignaient à ralentir leur rythme pour nepas hypothéquer leur chance d’atteindreChamonix et sa dernière ligne droite où, cha-


amedi 16 septembre salle Maurice-Koehl, la foule était en liesse. Lesmembres du club de Bussy Saint-Georges Athlétisme s’étaient réu-nis pour fêter les dix ans de l’asso-ciation. Que de chemins parcourus

depuis le début … Passant de 6 licenciés en septem-bre 1996 à 210 en septembre 2006, affiliée à laFédération Française d’Athlétisme, l’associationdécroche en 2006, le label National 1. Participationsaux championnats du Monde, d’Europe, de France,challenge de Seine-et-Marne, et autres marathons,ils sont partout ! Les traditionnelles Foulées deBussy, l’Ekkiden, la venue de nombreuses person-nalités sportives, tels que Marc Raquil au Forumdes associations, Stéphane Diagana à l’occasion del’inauguration de la piste d’athlétisme portant sonnom en 99 … c’est à Jean-Paul Zita et Suzy Ternonque nous le devons.

L’ambiance était vraiment à la fête, ce 16 septembre,petits-fours, champagne et souvenirs … Un DVD,retraçant ces dix années, projeté sur grand écran, a permis aux nouveaux adhérents de découvrir l’am-pleur de cette association buxangeorgienne.

Hugues Rondeau présent lors de cette soirée d’anni-versaire a témoigné sa gratitude à Jean-Paul Zita etSuzy Ternon, évoquant le rôle majeur qu’a joué le clubdans la vie sportive de Bussy sur une décennie. n

que année, une foule enthousiaste attend etacclame jusqu’au dernier arrivant.C’est donc après environ 43 heures d’efforts que lesdeux amis franchirent, main dans la main, la ligned’arrivée sous les applaudissements, ajoutant leurnom à la liste très prisée des 1150 « finishers ».

La beauté des paysages, l’ambiance, et les émo-tions ressenties lors des arrivées,attirent de plus enplus de coureurs vers les trails. BSGA n’y échappepas et aura des adhérents présents à la prochainecourse des Templiers près de Millau qui est la réfé-rence historique des trails, en attendant une parti-cipation au Grand Raid de la Réunion et, pourquoipas, une équipe au célèbre Marathon des Sables.

Outre les deux membres de BSGA, il faut signalerla performance remarquable de Denis Bouteille,père d’une jeune du club,qui boucla l’UTMB en unpeu plus de 33 heures. n

BSGA À L’ULTRA-TRAIL DU MONT-BLANC

Le «BSGA»

SFête ses 10 ans

B

Madame,Vous m’avez fait part de votre mécontentementconcernant les services municipaux en matièred’accueil de la Petite Enfance.Vous comprendrez qu’il m’est difficile de partagertotalement votre point de vue, même si je ne peuxme satisfaire que vous n’ayez pas obtenu à ce jourde place dans nos structures d’accueil. Soyez assu-rée que je suis parfaitement conscient du caractèreinsatisfaisant de cette situation et que je le regretteprofondément.Il est vrai qu’il nous est malheureusement impos-sible d’intégrer de manière systématique tous lesenfants, car le nombre de places disponiblesdépend aussi de l’année de naissance des enfants.Les bébés une fois accueillis le sont jusqu’à l’en-trée à l’école, sauf exceptions (déménagement,modification de la situation professionnelle desparents notamment).Des critères d’attribution sont donc fixés en toutetransparence, et il nous est difficile d’y déroger,car c’est bien évidemment l’absence de règles quiaboutirait à des injustices.Je ne peux également pas vous laisser croire queBussy Saint-Georges, comme d’autres communes,ne ferait pas tout et davantage pour les besoins enaccueil de notre petite enfance.Notre Ville est, vous le savez, une ville jeune. C’estbien parce que les deux tiers de notre populationont moins de 40 ans et que les enfants sont nom-breux, que la famille est naturellement au centrede nos préoccupations.L’engagement de l’équipe municipale et plus particu-lièrement de Madame Régine BORIES, Adjointe auMaire déléguée à la Petite enfance, nous permetaujourd’hui d’afficher des chiffres comparables, ennombre de places, à des communes dotées d’unepopulation deux fois plus importante.C’est de cette façon que Bussy Saint-Georges estaujourd’hui l’une des meilleures communes deFrance en nombre de places en crèche rapporté aunombre d’habitants. A titre d’exemple, fin 2004,nous comptions 185 berceaux pour 15.189 habi-tants, quand Champs n’en disposait que de 60 pour22.475 habitants et Chelles 220 pour 46.000 !

Certes, rien n’est jamais parfait et tout est per-fectible. C’est pour cela que notre Municipalité esten action et s’attache, selon ses moyens, à trouvertoutes les formules qui permettront d’optimiser lescapacités d’accueil.Je m’attelle notamment, avec le concours deMonsieur Philippe NAUDIN, Conseiller Municipaldélégué au Développement économique, àœuvrer pour la création, en collaborationpublic/privé, d’équipements qui devraient accueil-lir au total plus de 300 lits bien utiles qui placerontla commune parmi les premières de France auregard du nombre d’habitants.Soyez donc assurés que nous sommes attachés àfaire le maximum, au regard des moyens dontnous disposons et dont l’Etat nous laisse dispo-ser pour agir. Quotidiennement sur le terrain,nous nous consacrons à vous soutenir dans votrevie de parents et à répondre autant que possibleaux demandes et aux difficultés éventuelles.Nous sommes très attentifs aux Buxangeorgiensles plus jeunes, à leur avenir comme à celui desgénérations futures.Je souhaite toutefois ajouter qu’il nous est impossiblede construire à l’infini de nouvelles structures carnous constatons déjà à Bussy une évolution impor-tante de la pyramide des âges qui risque de rendreobsolète dans quelques années certains équipe-ments publics du type groupe scolaire ou crèches,financés sur l’argent public.Or une bonne gestion dece dernier rend difficile la création de structures enfonction d’une conjoncture ponctuelle.Telles sont les informations que je souhaitais porterà votre connaissance.Naturellement,au-delà de cesconsidérations, je souhaite de tout cœur que nouspuissions trouver rapidement une solution à votreproblème personnel de garde.Demeurant à votre disposition et souhaitant qu’unesolution favorable pour votre enfant et vous-mêmepuisse être trouvée dans les meilleurs délais, je vousprie de croire, Madame, en l’assurance de mes sen-timents les plus dévoués.

Le Maire,Hugues Rondeau

onsieur le Maire,Je lis régulièrement le magazinemunicipal d'informations de BussySaint-Georges et suis agréablementsurprise de l'intérêt que vous portezaux courriers des Buxangeorgiens.

Alors je me suis dit que moi aussi, j'allais vous faire partde mon problème. Nous nous sommes installés dansvotre ville en novembre dernier. Le secteur de Marne LaVallée nous plaisait beaucoup et nous avons finalementdécidé d'investir à Bussy Saint Georges, un bon compro-mis entre les différentes commodités offertes et notreorganisation de vie.Lors de notre choix, nous n'avions pas regardé de trèsprès les infrastructures relatives à l'accueil des enfants(type crèche notamment). En effet, nous pensions quecela était bien évidemment pris en compte dans uneville nouvelle en pleine croissance.Nous attendons maintenant un enfant pour le mois deseptembre. Quelle ne fût pas ma surprise lorsque j'aicontacté l'ensemble des assistantes maternelles,d'avoir toujours la même réponse négative !«Désolée, mais je suis complète !».Je me suis alors rassurée en allant chercher un dossierpour une place en crèche.Mais à nouveau, l'accueil fût des plus décourageant ! Etquand je demande sur quels critères sont attribuées les pla-ces, je n'obtiens que des réponses très floues.... En fait j'aibien compris qu'il n'y avait aucun critère, il suffit d'avoir lesbonnes connaissances !Non seulement il y a très peu de places, mais j'ai encoremoins de chances que les autres puisque je cherche unmode de garderie pour janvier 2007, donc en coursd'année, et non pour la rentrée septembre. D'ailleurs onm'a clairement conseillée de «calculer» ma prochainegrossesse! Si seulement c'était si simple....N'ayant aucune famille dans la région, je ne peuxcompter sur elle. Et trouver une assistante maternelle àl'extérieur de Bussy n'est pas compatible avec notrebudget pour l'instant (car nécessite l'achat d'unedeuxième voiture).Que faire ? Me faire des connaissances utiles?Déménager ? Difficile voire impossible....C'est pourquoi je tenais à exprimer mon mécontente-ment quant au manque d'infrastructures prévues maisaussi quant à l'accueil peu sympathique réservé auxnouveaux habitants de la commune. Si vous avez desréponses à mes interrogations, n'hésitez pas....En espérant que mon courrier retiendra toute votreattention, je vous prie d'agréer, Monsieur le Maire,mes sincères salutations.

Courrier des lecteurs

La parole est aux Buxangeorgiens. Vous êtes nombreux, chaque jour, àécrire à la mairie, pour soulever tel ou tel problème de la vie quotidienne à

Bussy Saint-Georges. Il nous a semblé intéressant d’en informer le plusgrand nombre. Cet espace de libre expression vous est dédié. Pour des rai-

sons pratiques évidentes, tout le monde ne pourra être publié. Nos choixs’effectuent en fonction de la portée générale et de l’intérêt commun des

questions soulevées. Alors, tous à vos plumes !

Cet espace sera assorti d’un certain nombre de précautions, en vertu de la loi LCEN du 22 juin 2004. La responsabilité de l’éditeur et de son directeur de publication pourraient en effet être engagée si des messages diffamatoires ou injurieux (ou autres) venaient à être diffusés (article 6-1 de la LCEN). Un modérateur interviendra donc avant la diffusion de vos correspondances. Ce contrôle a priori aura pour objectif des’assurer que le message n’est ni diffamatoire, ni injurieux, ni attentatoire à la vie privée, présomption d’innocence etc. Si un message venait à ne pas être publié, nous nous permettrons alors de le réadresser à son auteur en lui indiquant que le message est susceptible de poursuitespénales ou civiles et qu’il ne peut être publié en l’état.


La réponse du Maire envoyée le 10 octobre

MPlaces en Crèche


« La qualité de l’expression verbale est d’être claire sans être banale. »

Aristote

Groupe “Groupe réussir Bussy”

Du calme !Monsieur Hugues Rondeau vient de lancer sur Internet un « Appel à l’opposition » municipale, offrant auxélus de tous les groupes de se rallier à sa politique.Il écrit : « (...) Composés d’hommes et de femmes que je crois sincères, les groupes de droite ou de gauchequi me fustigeaient n’ont à l’esprit, je l’espère, que le bonheur de nos concitoyens (...) »Nous applaudissons chaleureusement à ces propos, qui s’appliquent parfaitement à notre démarche.Certes, notre surprise fut grande en découvrant sous la plume de notre Maire des phrases aussi pacifiées :le Groupe Avenir de Bussy et notre propre Groupe,« Pour Réussir Bussy »,ont pris l’habitude de subir dansles colonnes de cette page un tout autre traitement...Mais peu importe ; nous faisons nôtre l’adage célèbre de Confucius : « L’invective ne déshonoreque son auteur ».Nous créditons Monsieur Rondeau de la même sincérité qui est la nôtre dans la recherche exclusivede l’intérêt général.C’est justement dans ce souci que nous avons à coeur de pointer les dysfonctionnements qui nous parais-sent porter préjudice à notre ville : il est bien évident que si nous approuvions totalement les orientationsmunicipales, nous ne serions pas dans l’opposition.Nous adhérons aux valeurs de la gauche : nous voulons que règnent à Bussy la justice sociale, la solidaritéet l’ouverture, avec une gestion transparente et des relations sereines entre nos édiles et nous, opposants.Nous exprimons donc chaque mois dans cette page nos opinions sur la gestion de notre ville, sans jamaisverser dans les insultes personnelles.Notre souhait est que le débat municipal soit, dans les futurs numéros de ce journal, marqué par le res-pect entre les différents groupes représentés au Conseil, malgré nos différences d’identité politique.Rassurés par le texte rassembleur rédigé par Monsieur Rondeau, nous sommes convaincus que, désor-mais, les articles signés par son Premier Adjoint dans ces colonnes garderont toujours ce ton apaiséet cet esprit démocrate .

Mireïo VILLENAVE, conseillère municipale

Groupe “Agir ensemble pour Bussy”

PanoramaAvec la rentrée, nous entrons de pleins pieds dans une période électorale qui ne trouvera sa conclusionqu’à l’issue des prochaines élections municipales. Pendant ce temps-là, les enjeux de Bussy ne font pasrelâche. Les élus de la majorité municipale entendent bien rester concentrés sur leur mission en dépit desattaques, manipulations et autres mauvais coups qui ne vont pas manquer de pleuvoir comme à l’accou-tumée et auxquels malheureusement Bussy est habituée. Car la ville, pour certains, toujours les mêmes,est un théâtre électoral permanent au service de leurs ambitions, de leurs aigreurs ou de leurs fantasmes.Qu’à cela ne tienne, la ville continue à avancer sans eux : toujours plus de services, toujours plus d’équi-pements, toujours plus de bien-être ; telle est notre devise. 2007 sera de ce point de vue une année trèsdense.Un nouveau centre-ville et 10 000 m2 de commerces,de nouvelles crèches avec la création de plusde 300 berceaux qui feront de nous la commune la mieux équipée du département, un nouveau groupescolaire,qui précéderont un futur équipement sportif supplémentaire.Tout cela constitue une réalité intan-gible qu’aucun mauvais esprit ne pourra venir ébranler. Bien sûr, d’autres combats restent à mener et enpremier lieu celui de notre urbanisme et de notre fameux statut unique dont il ne nous reste plus que lesinconvénients sans en avoir les avantages. Également nous devons régler la question du logement socialafin de nous conformer aux exigences de la Loi SRU ; nous le ferons conformément à notre ambitionurbaine, c’est-à-dire ayant recours à la diversité la plus large possible des opportunités de construction delogements sociaux (acquisition et location, individuels et collectifs) en prenant bien soin d’éviter les écueilstrop souvent constatés d’un urbanisme social concentrationnaire. La loi impose aux communes un quotade 20% de logements sociaux, il nous appartient d’utiliser toutes les ressources (nombreuses) de la loi,pour démontrer à Bussy qu’il est possible de développer un habitat social où il fait bon vivre, et d’éviterle spectre des ghettos.

Jean-Claude LAMAGNERE1er maire-adjoint aux finances

Groupe“Protégeons Bussy”

Depuis 1998, je suis dans l’opposition, élue sur une liste conduite par M. Bernard MENAGER, maire desti-tué par des personnes assouvies de pouvoir et de mal être,et qui ont mis en place M.Hugues RONDEAU notremaire actuel. En 2001, j’ai été tête de liste d’une équipe qui ne pensait et oeuvrait que pour le bien de Bussy,nous avons eu le courage de nous présenter pour dénoncer notre désaccord avec la majorité municipale,c’estainsi que je me suis retrouvée grâce à la vox populi, à nouveau dans l’opposition.- Aujourd’hui où en sommes nous ? S’il y a une chose que l’on ne peut me contester c’est tout simplementma fidélité à mes idées et ma constance à dire la vérité tant à M.le Maire qu’aux Buxangeorgiens,je n’ai jamaisfait d’opposition stérile, j’ai toujours su dénoncer mes désaccords,en revanche j’ai su approuver et voter POURlorsque je trouvais les idées bonnes pour notre ville.Lorsque je lis l’édito du groupe de la pseudo opposition « union pour l’avenir de Bussy », qui essaye de jus-tifier son opposition au Maire, en écrivant des contre vérités sur leur désaccord, en voulant nous faire croirequ’ils seront les sauveurs de Bussy et ne proposant rien au demeurant, je crois rêver.Où étaient ils depuis 1998date à laquelle ils ont mis Hugues RONDEAU aux commandes de la ville ? Mais avec lui et en plus adjoints! Leur a-t-il fallu plus d’un mandat pour s’apercevoir de cela ? En 2001 ils remettent le couvert,en étant encoresur sa liste, à nouveaux adjoints, comble de l’absurde 2 conseillers municipaux de la dite liste démissionnentle soir même de l’élection du Maire et adjoints, n’ayant pas obtenu le poste qu’ils convoitaient, et, nous lesretrouvons aujourd’hui dans cette fumeuse association.Aujourd’hui, ils jouent les vierges effarouchées par la politique menée depuis 1998 par H.Rondeau et sonéquipe, qu’ils semblent découvrir. Rien dans ce qu’ils peuvent raconter n’est crédible. Je vous le démontreraiau fil de mes articles dans les mois à venir.Par ailleurs,Monsieur le Maire vient tout juste de nous révéler sa conversion miraculeuse de la construction àtout va inconséquente, il se travesti désormais en constructeur minimaliste.Aussi, je suis fort aise que M.RONDEAU,désire rejoindre mon groupe en faisant un appel (presque solennel)à l’opposition sur le site internet de la ville. Je suis entièrement d’accord avec lui pour dénoncer les appareilspolitiques,nous n’avons pas besoins d’eux pour gérer la ville,bien au contraire l’appartenance à tous ces par-tis n’est que source d’ennuis,et cette politique politicarde menée par certains n’est pas très saine.La seule dif-férence entre nous, c’est que moi j’ai toujours affirmé la même chose.Monsieur le Maire, sans pour autant faire allégeance à votre programme, je ne peux aujourd’hui quevous soutenir, dans le bras de fer que vous engagez avec Epamarne tant sur la convention triennale quesur les logements sociaux, d’autant plus que cette guérilla est conduite par des rancoeurs purement poli-ticienne. Je veux que Bussy reste la ville que j’ai connue lorsque je suis arrivée en 1995, et ce,dans la dignecontinuité de la politique menée par M. MENAGER,et ses prédécesseurs.Voyagez et vous verrez qu’il fautbon vivre à Bussy !

Marie-Christine LIGNON-FARRET

Groupe “Union pour l’avenir de Bussy”

Où est l’interêt général ? Sous les 2 mandatures de M. Rondeau, Bussy a connu une croissance sans égal de sa population, passantde 9000 en 1998 à près de 17000 hab. en 2006. Mais les équipements publics n’ont pas suivi… Laconstruction de la ville nouvelle repose sur le montage suivant : des terrains agricoles achetés il y a 20 à30 ans par l’Etat et viabilisés par Epamarne - dont c’est la mission principale - sont ensuite vendus auxpromoteurs qui commercialisent les logements.Avec l’argent récolté Epamarne viabilise d’autres terrains,construit les rues et ainsi de suite. Pour un équipement public, le terrain est cédé par l’Epamarne à la villepour l’¤ symbolique, à elle de réaliser l’équipement par des financements appropriés, subventions diver-ses et prêts bancaires. Entre 1999 et 2003, la municipalité s’est fait céder, selon ce principe, des terrainsen centre ville. Elle les a revendus à des promoteurs s’engageant, avec le bénéfice, à construire des équi-pements publics en rez-de-chaussée des immeubles (crèches, centre social, médiathèque). La vente de cesterrains aux promoteurs a rapporté près de 7,3 millions d’euros de 1999 à 2003. Les immeubles sontbien sortis de terre, mais hormis la médiathèque subventionnée à près de 80%, rien n’a été réalisé.Rappelons que 350 places de crèches ont été ainsi promises, aucune n’a été réalisée à ce jour. Certainsrez-de-chaussée sont vides, aujourd’hui, rien n’est réglé, malgré encore des promesses communiquées surle site de la ville. Les pouvoirs publics demandent des comptes à la ville : Elle doit tenir définitivement sesengagements. Il est difficile de dénoncer le désengagement de l’Etat dans cette situation latente. Il fautprobablement voir là, une des raisons du calicot « Nous ne voulons plus être ville nouvelle ».Dans ce contexte d’insuffisance caractérisée d’équipements publics, on est surpris de l’empressement dela municipalité à ériger des lieux cultuels à Bussy.Ainsi, lors du conseil municipal du 14 novembre 2005,une opération de lotissement dans le parc urbain a été décidée pour la réalisation de 3 équipements cul-turels et cultuels sur une surface de terrain d’environ 15 000 m2 : une pagode chinoise, une pagode laoainsi qu’une synagogue de 200 m2 Le 18 juin 2006,a eu lieu la pose de la première pierre du temple boud-dhiste de l’ordre Foguangshan sur un terrain situé derrière le collège Claude Monet. Cet ordre bouddhisteprojette la construction d’un vaste édifice de 4 700 m2 (pour comparer, l’école Georges Sand ne fera que2 400 m2). Très étonnant, le terrain n’appartient ni à la ville, ni à cette communauté, mais toujours àl’Etat/Epamarne (voir http://avenirde bussy.free.fr ). Les porteurs du projet de pagode étaient-ils au fait decette réalité ? Cette pose de la première pierre avait-elle un sens dans un tel contexte ? Le second projetest celui de l’Association des Moines Bouddhistes Lao en France qui prévoit d’acquérir un terrain de4 400 m2 pour ériger une pagode Wat Vélouvanaram.La municipalité prétend justifier ces projets par des besoins exprimés par la population, mais alors pour-quoi les passer systématiquement sous silence ? Aucune information sur les panneaux d’affichage muni-cipaux, sur le site Internet de la ville et dans le journal municipal. Difficile d’être plus discret ! En réalité,les habitants ont été écartés : pourquoi ?Quelles sont donc les priorités de la majorité en matière d’équipements publics? Pourquoi cette fébrilitépour ces deux grands programmes ? Ajoutons qu’il a été décidé de prendre à la charge de la communel’opération de lotissement, habituellement du ressort d’Epamarne. S’il est parfaitement normal que desassociations privées de Bussy puissent pratiquer, librement, leur religion, est-ce vraiment à la municipalitéd’en prendre l’initiative avec des financements publics ? Même si le maire assure que les acquéreurs rem-bourseront ces frais, pour l’instant ce sont nos impôts qui sont sollicités dans cette opération privée endépit de notre dette abyssale de 71 millions d’euros ! A chacun d’y réfléchir.

Tribunes

Le magazine municipal d’informations deBussy Saint-Georges. N°82 - octobre 2006.Réalisation: Service communication, Hôtel de Ville, place de la Mairie, 77600 Bussy Saint-Georges.Directeur de la publication: Hugues Rondeau.Directeur de la communication: Philippe NicolasRédacteurs: Fabienne de Fromentel, Philippe Nicolas,Martine Werlé, E-Medi@. Relecteur: Stéphane Brame.Photographe: Thierry Labonne, Jessica Fourneau,Muriel Roux, Fabien Groue, Tout en photo 0687252300.Maquette, mise en page: E-Medi@, 0140802233.Impression: le Reveil de la Marne.Dépôt légal: octobre 2006. ISSN: 1284-1978.


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Le 23 mai 2006 RANDRIANALIJAFY Dina Le 02 août 2006 MELLERAUD DE VILLARS AnaïsLe 21 juillet 2006 BERLET ArthurLe 10 août 2006 DE MIGUEL PARRAGA MarinaLe 15 août 2006 NGUYEN NathanLe 18 août 2006 MENERATH EvanLe 18 août 2006 MICHEL-TRANCHARD EmmyLe 20 août 2006 MONIOTTE NathanaëlLe 21 août 2006 NEAU DarrenLe 26 août 2006 KIOLO Ethan

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8 juillet 2006 NGUYEN Duc An & DO Phung HaoMariage célébré par Lucien MANGENOT

8 juillet 2006 GOULET Mickaël & LANCEL VirginieMariage célébré par Dominique BIJARD

15 juillet 2006 COSTARD Peter & FARAH AlexandraMariage célébré par Hugues RONDEAU

22 juillet 2006 ADLER Jürgen & DESCAMP CarineMariage célébré par Dominique BIJARD

25 juillet 2006 ISEL Frédéric & HENG CarolineMariage célébré par Lucien MANGENOT

26 juillet 2006 CAO Xiyang & SUN WeiMariage célébré par Lucien MANGENOT

29 juillet 2006 APHAYAVONG Somlith & DUVAL SandrineMariage célébré par Jean-Claude LAMAGNERE

29 juillet 2006 PERRIN Loïc & DUPRET NathalieMariage célébré par Claude LOUIS

5 août 2006 ANTOINE Alain & BOUDACHE AgnèsMariage célébré par Lucien MANGENOT

12 août 2006 NKOUKA Eric & MUANZA LaétitiaMariage célébré par Lucien MANGENOT

19 août 2006 BATTAGLIA Ludovic & BARAS BéatriceMariage célébré par Lucien MANGENOT

1 septembre 2006 PERENNOU Thomas & MATHOUT EmilieMariage célébré par Philippe NAUDIN

2 septembre 2006 MARCEL Luc & GRIER CélineMariage célébré par Dominique BIJARD

9 septembre 2006 SCHEFFER Laurent & NOIREAU DolorèsMariage célébré par Jean-Claude LAMAGNERE

15 septembre 2006 SAIDYASSINE Saïd & BENAISSA NadiaMariage célébré par Dominique BIJARD

16 septembre 2006 CAUMARTIN David & DIALLO MaladoMariage célébré par Jean-Claude LAMAGNERE

16 septembre 2006 DEBIANE Achour & KACI NaouelMariage célébré par Lucien MANGENOT

16 septembre 2006 VERBREGUE Grégory & CHATAIN SylvieMariage célébré par Lucien MANGENOT

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INFORMATION CONCERNANT LA PUBLICATION DES ACTES D’ÉTAT CIVIL :Les dispositions de l’article 9 du code civil, aux termes desquelles chacun a droit au respect de sa vie privée,s’opposent notamment à la divulgation par les autorités publiques,telles les municipalités,à des tiers,quellequ’en soit la qualité, de tout élément de la vie privée d’une personne sans le consentement de celle-ci.L’utilisation par les officiers d’état civil à des fins de communication personnalisée des informations portéessur les registres dont ils sont responsables n’a pas été prévue par le décret modifié n°62-921 du 3 août 1962,dont les dispositions restrictives, prévoyant un accès limité au registre et des règles strictes de publicité desactes de l’état civil, ont été édictées dans le souci de respecter la confidentialité de la vie privée. Ainsi, lesofficiers d’état civil s’exposent à des sanctions pénales s’ils ont contrevenu aux dispositions réglementairesconcernant notamment la publicité des actes d’état civil (article R.645-3 du code pénal). Il est toutefoispossible de considérer qu’un accord exprès des intéressés permet une publication.Dans ce cas,l’officier d’étatcivil prévoira de recueillir cet accord par écrit afin de se prémunir contre toute éventuelle plainte ultérieure.

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Professions médicales - Para-médicales - Bien-être

Le Service Social effectue :Le lundi matin de 9 h 00 à 12 h 00,une permanence sur rendez-vous.Elle sera assurée à tour de rôle par Madame DELASSUS et Madame MOAL,(assistantes sociales).Pour prendre rendez-vous,vous pouvez contacter le secrétariat,Madame TAVERNIER,au 01 69 67 44 04.

Caisse d’Allocations FamilialesPlus de permanences en mairie.Accueil sans rendez-vous au 4, rue Saint-hubert à Chelles,du lundi au vendredi de 9h à 11h30 et de 14h à 16h30.Tél. 0164724686Permanences à Lognes, lundi,mardi et mercredi de 9hà 11h30 sur rendez-vousau 0164724686

Psychologue pour enfants et adolescentsMademoiselle Binot vous reçoit:mercredi de 9h à 13het de 14h à 18h, jeudi etvendredi de 14h30 à 18h30 et un samedi par mois de9h à 13h.Sur rendez-vous uniquement au 0684514242

Conciliation – ASLMonsieur Luciani vous reçoitsur rendez-vous uniquement.Conciliation:vendredi après-midi.ASL: lundi matin.Tél. 0164666879

NotaireSur rendez-vous uniquementau 0164666879

AvocatPermanence le 1er jeudi de chaque moisde 16h à 18h. Sans rendez-vous.Renseignements au 0164662424

Aide juridiqueUn consultant juridique du CCASen partenariat avec l’AVIMEJ assureune permanence et proposeune information générale sur les droits et obligations.Il vous reçoit sur rendez-vous uniquement auprès duCCAS au 0164666192

EGEE (Entente des Générations pour l’Emploi et l’Entreprise)Vous avez un projet de reprise d’entreprise,de créationd’une structure de typeartisanal,commercial ou industriel,le conseiller de l’association EGEE peut vousaccompagner dans votre approche.Sur rendez-vous uniquementau 0164666879

Depuis le 1er septembre,des permanences et consultationsde PMI et planification vous sont proposées au :Relais Assistantes Maternelles11 Rue de la Pyramide

Le jeudi de 9 h 00 à 11 h 00, sans rendez-vous,une permanence de Puéricultrice, parMadame BRAULT

Le mercredi matin de 9 h 00 à 12 h 00, sur rendez-vous,une consultation nourrisson par le Docteur FAIBIS

Pour prendre un rendez-vous, vous pouvez appeler le secrétariat de la P M IMadame LEMAITRE au 01 69 67 44 52Madame PICOUT au 01 69 67 44 51

Le mercredi de 13 h 30 à 17 h 00, sur rendez-vous,une consultation de planification par leDocteur MARINIERpour cela vous pouvez joindre Madame LAURENT,secrétaire au 01 69 67 31 63


Médecins généralistesDr Apithy au 0164667488Dr Bachelard-Coppinau 0164660133Dr Hoffmann-Ravelosonau 0164668888Dr Ho-Nguyen au 0164660784Dr Klein au 0164660609Dr Le Bozec au 0145146600Dr Porro au 0164663333Dr Renaud au 0145146600Dr Ternon au 0164663333Dr Zaghlan au 0164667682Dr Seing au 0164772954

Médecin acupuncteurDr Seing au 0164772954

Médecins homéopathesDr Hoffmann-Ravelosonau 0164668888Dr Ternon au 0164663333

Médecin nutritionnisteDr Ho-Nguyen au 0164660784

CardiologuesDr Peyrot au 0164764742Dr Lussato au 0164764742Dr Jeunet-Hurreesingau 0164669121

EndocrinologueDr Jugie-Rongierau 0164660450

DentistesDr Dang au 0164660860Dr Dang-Vo au 0164668264

Dr Fourcade au 0164668264Dr Jeanlin au 0164660860Dr Lu au 0164669595Dr Naili au 0164662525Dr Solinhac au 0164662525Dr Vernier au 0164662525

OrthodontistesDr Ho Vo Tuan au 0164661000Dr Barthelet au 0164661000

DiététicienneMme Bertrand au 0164770142

Gynécologues-ObstétriciensDr Séguret au 0164668559Dr Barbotin au 0164763737Dr Hozer au 0148991437

Masseurs-KinésithérapeutesMme Barbé au 0164661012M. Barthos au 0164660036M. Champrobert au 0164660902M. Jacquesson au 01 64660036M. Lemaire au 0164661012M. Martin au 0164660939

OstéopathesM. Blusseau au 0164661579M. Coste au 0164660143M. Faverolle au 0164667927M. Martin au 0164660939M. Teissedre-Dalou au 0616303738Mme Trecul au 0164662892

Thérapeute manuelM. Morin au 0164660143

OphtalmologistesDr Bokobza au 0164772279

Dr Sebe au 0164663430

OrthophonistesMme Bertrand au 0164662009Mme Duchaussoy au 0164772428Mme Facundo au 0164668935Mme Grangeard au 0164662009Mme Oudin-Joly au 0164662009Mme Lemaire au 0164668935

PédiatresDr Buzot au 0164662716Dr Séguret au 0164664280

Pédicures-PodologuesMlle Chardaire au 0160431692M. Dessaux au 0164667862Mme Olier au 0164661484

Centre de radiologieCentre Galilée au 0164768094

Psychologues,PsychothérapeutesPsychanalystesMme Antok au 0664009061Mme Durussel au 0609367679Mmes Ferreira et Jouannaudau 0164663399Mme Ferrieu au 0608426201Mme Rodier au 0164663069M. Stecher au 0164660420Mme Truchet au 0603208057

GraphothérapeuteMme Sirica au 0668607036

Sages-femmesMme Jacobee et Mme Bretau 0164662283

Infirmièr(e) sMme Boulle et Mme Vesseronau 0164661731Mme Dozias-Maerte, Mme Hametet Mme Publierau 0164661133Mme Saint-Martin, M. Hibon, etM. Bulardau 0164660577

VétérinairesDr Leroux au 0164668484Dr Lacaze-Masmonteilau 0164668484

PharmaciesPharmacie Ancel au 0164772950Pharmacie de la Croix Saint-Georgesau 0164661796Pharmacie de la Gare au0164669007Pharmacie Huron au 0164668569Pharmacie du RER au 0164669084

Laboratoires d’analysesmédicalesDr Harrabi au 0164662727Dr Rostoker au 0164772121

RelaxologueMme Fayada au 0164763117

Thérapeute psycho-corporelPraticienne en PNL humanisteMme Aubard au 0666008755

Energétique traditionnellechinoiseM. Baldin au 0164661279Mme Meyer au 0660588050

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Documents

Journal de bussy numéro 82