Journal de bussy numéro 87

BBuussssPremier Festival du rire à Bussy

p. 4Crèches : + 350 places en 2007-2008

p. 12Jumelage italien : ça repart

p. 19Championnats UFOLEP de tennis de table

p. 20

LE MAGAZINE MUNICIPAL D’INFORMATIONS - MARS 2007 yySaint-Georges

GGEESSTTIIOONN MMUUNNIICCIIPPAALLEEddeess vvéérriittééss àà rrééttaabblliirr

nn°° 8877

18. Le monde selon Jean-Philippe Clément19. Le comité de jumelage italien relancé

20. Tennis de table : une longue histoire21. Basket : les seniors en lice pour la montée23. Stages multisports de février

24. Courrier des lecteurs25. Tribunes26. Etat civil27. Professions médicales

Vie de la cité

Dossier

Vie municipale

Magazine

Pratique

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Sports20

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12. 350 places de crèches supplémentaires13. 1ère séance du Conseil municipal des enfants14. Le CCAS à l’heure du bilan15. Séjours d’été : inscriptions dès le 28 avril16. Des travaux dans toute la ville17. Le village bientôt réaménagé

8-9-10 De la fumée sans feu aux vérités qui dérangent11. Entretien avec Jean-Claude Lamagnère

4. La Saint-Georges sous le signe du rire !5. Record battu pour Godzilan5. Amalgamme en audition6. A la découverte des vins de Savoie 6. La communauté juive fête Pourim7. Des soirées très solidaires

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N° 87 - Mars 2007Bussy Saint-Georges

Récemment, mon premier adjoint, Jean-Claude Lamagnère,consacrait l’un de ses éditoriaux sur notre site internet pourdénoncer les mensonges continuels qui fusent à propos de Bussy.

J’ai particulièrement apprécié qu’il place son argumentation sous le titrede «y en a marre de la fausse tutelle». C’est vrai que je lis encore, des annéesaprès que ces âneries soient apparues, que notre jolie ville est sous tutelle.Tutelle de qui et pourquoi? N’en déplaise à nos adversaires, nous avonsdégagé, en 2005, quatre millions bruts d’excédent après exécution bud-gétaire et 1,9 million net. En 2006, nous n’avons pas à rougir des600000 euros nets affichés. Dans la même veine, un journaliste deCanal+ montrait du doigt, il y a peu, notre dette soi-disant exorbitante.Or, en réalité, nous ne devons pas plus aux banques et à l’Etat que n’im-porte quelle autre ville nouvelle. Notre endettement par habitant s’avèremême largement inférieur à celui des autres communes de Marne-la-Vallée et, en particulier, celles du secteur II (Lognes, Noisiel, Torcy…).Bien sûr, les Buxangeorgiens sont nombreux à savoir que ces élémentsdiffamants surgissent pour des raisons politiciennes, mais il m’a sembléintéressant de les dissiper à partir de données chiffrées incontestables. Voilàl’objet du dossier de ce mois. Il démontre, preuves à l’appui, que si nousavons à être fiers de notre identité de ville des parcs et jardins où il fait sibon vivre, nous n’avons pas à rougir non plus de notre gestion. Bussy n’estpas plus mal lotie que les autres agglomérations surgies de la campagneseine-et-marnaise sous la volonté de l’Etat d’urbaniser l’Est parisien. J’ai prouvé, dans mon petit livre « Ville nouvelle, chance ou mirage? »,que nous ne pouvons pas profiter de nos richesses car nous subissons unpillage en règle par l’Epamarne. Et ce, depuis 20 ans. Ce journal le met enévidence. Au-delà des montages électoraux et des actions de déstabilisation,je suis persuadé que triomphera, sous peu, pour Bussy, la vérité… n

Votre Maire

Consulter le site de la villewww.ville-bussy-saint-georges.fr

La vérité est bonne à dire.

Sommaire - Edito

Al’occasion du week-end dédié à notre Saint Patron, les 27, 28et 29 avril 2007, la municipalité a décidé de vous offrir unebonne « tranche de rire » avec la toute première édition du

Festival du rire ! Véritable tremplin pour les jeunes comiques qui veu-lent percer, ce festival permettra également à des artistes confirmés devous faire passer d’excellentes soirées.Les festivités débuteront le vendredi 27 avril avec un plateau de troisjeunes talents : Sophie JEZEQUEL, couronnée de prix lors de différentsfestivals, qui manie l’humour noir avec jubilation et brio, GARNIERET SANTOU, deux garçons à l’humour décalé campant des person-nages complètement déjantés, et David SALLES, un comédien capablede passer de la sobriété au délire le plus total avec une classe inégalable.Le lendemain, place à Jean-Luc LEMOINE, rendu célèbre par ses appa-ritions dans les émissions de Laurent Ruquier. Il présentera son toutnouveau spectacle, « Lemoine au naturel ». De ses problèmes person-nels, comme son chien le regardant pendant l’acte sexuel, sa copineultra jalouse ou sa crainte d’avoir un enfant moche, en passant par desthèmes plus universels comme l’orientation des jeunes, la solitude oul’homosexualité, il jette sur notre société son œil toujours cynique etdécalé, mais furieusement drôle.Ce premier festival du rire se clôturera en apothéose avec le sémillantTEX, animateur télé, mais également comique à ses heures. Il nous feral’amitié de sa toute dernière création, Tex in the city, dans laquelle ilnous présentera une galerie étonnante de personnages plus loufoquesles uns que les autres.

Rires et même délire assurés !!! n

FESTIVAL DU RIRE, les 27, 28 et 29 avril à la salle Maurice-KoehlVendredi 27 à 20h30: David SALLES, Sophie JEZEQUEL, GARNIER & SANTOUSamedi 28 à 20h30: « Lemoine au naturel » par Jean-Luc LEMOINEDimanche 29 à 20h30: « Tex in the city » par TEX

Pour ces trois spectacles, le tarif est identique: 5 € par soirInformations et réservations auprès du service communication/évènements au 0164662424

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Tex, Jean-Luc Lemoine … et bien d’autres

Premier Festival du Rireà Bussy les 27, 28 et 29 avril

Si le festival du rire sera la grosse nouveauté de cette année, la fête de laSaint-Georges n’en oubliera pas pour autant ces traditionnels évènements,avec en premier lieu la messe de la bénédiction de la brioche le samedi 28

avril à 18h30 en l’église Notre-Dame du Val-de-Bussy. Une messe qui aura été pré-cédée par la fameuse distribution des brioches aux familles buxangeorgiennes, unetradition qui remonte aux années 1920, sur l’initiative de Victor Blaise. Les jeunesdu village, accompagnés par les musiciens de la fanfare d’antan, allaient de porteen porte distribuer les brioches bénites au cours de l’office religieux du dimanchematin. Après une interruption pendant la Seconde Guerre mondiale, cette traditionfut reprise à la deuxième fête patronale qui suivit la Libération. Au fil des ans, le moyen de transport des brioches a varié. Voiturettes à bras, charrette fleurie etdécorée tirée par un cheval faisaient la tournée du village au son des joyeux instru-ments de musique ou avec le tintement des clochettes.Autres animations qui font le bonheur de petits et grands, la fête foraine,sur la place du marché en centre-ville, du 18 avril au 1er mai. Une dizaine d’attractions seront installées. n

Pour la première année, le Festival du Rire s’arrête à Bussy. A l’occasion de la Fête patronale de laSaint-Georges, en avril, la municipalité ouvre les portes de la salle Maurice-Koehl à de jeunestalents comiques. Le moment de vérifier l’expression « Laughing Out Loud » (LOL) !


Les autres festivités

Vie de la cité

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Jeux en réseau Godzilan 2

350 mordus de jeux vidéo :record battu !

Comme prévu, Godzilan 2 a attiré lesfoules au gymnase Michel-Jazy du 23 au25 février. 350 joueurs ont en effet par-

ticipé à cette LAN géante qui a donné lieu auxscènes habituelles de ce genre de manifestations,où la passion et l’enthousiasme des participantssont particulièrement communicatifs ! Qua-rante-huit heures non stop de jeux vidéo, çause les organismes, même les plus résistants.Mais les organisateurs avaient tout prévu : unstand de relaxation avec une masseuse avaitété mis en place pour les plus acharnés ou les

moins endurants, c’est selon… Des organisa-teurs qui préparaient cette quatrième éditiondepuis deux mois. Il faut d’ailleurs soulignerla prouesse technique que représente le mon-tage d’un réseau de 350 ordinateurs duranttout un week-end. Pour que tout se passebien, l’association organisatrice était consti-tuée d’une quarantaine de techniciens. Venusde toute la France, les 350 joueurs se sontaffrontés sur les jeux d’action les plus passion-nants du moment, tels que Counter Strike,Battlefield 2 et autres Call of Duty.

Objectif sécurité routièreEn marge des tournois, de nombreuses animationsétaient proposées, parmi lesquelles un musée dujeu vidéo, des consoles de jeux en libre accès et lestand de sécurité routière mis en place par leConseil des jeunes et animé par Pïerre-Yves Gay.Pour une première expérience, ce stand a connuune belle réussite puisqu’il a accueilli de nombreuxvisiteurs, constitués principalement de participantsà la LAN, mais aussi de quelques enfants qui ontpu se familiariser à la pratique de la conduite rou-tière grâce à ce logiciel remarquablement bien fait.Deux ordinateurs étaient dédiés à l’entraînementau Code de la route et trois à l’entraînement à laconduite. Chaque poste était équipé d’un volantet d’un pédalier, ceci afin de proposer une situationde conduite la plus réaliste possible. n

AMALGAMME auditionne !L’

association AMALGAMME, qui pro-pose des ateliers de guitare pour enfants(à partir de 7 ans) et adultes, a organisé un

concert de ses élèves le samedi 10 février dans lasalle Maurice-Koehl. Une vingtaine de chansonsfiguraient au programme, parmi lesquelles degrands classiques, dans des styles très différents,comme Hotel California des Eagles, L’Auvergnatde Georges Brassens, El Condor Pasa de Simonand Garfunkel, Wish you were here de Pink Floyd.Une bonne occasion pour les élèves de démontrer

leurs progrès devant un public conquis d’avance.Il faut dire que les interprétations des apprentis gui-taristes étaient particulièrement convaincantes.Rappelons que les ateliers d’AMALGAMME sontouverts à tous les niveaux, tous les styles musicaux etsont animés par un professeur diplômé du Conser-vatoire National Supérieur de Paris. Si vous avez enviede vous mettre à la guitare, n’hésitez donc plus! n

Permanence téléphonique au 01 60 06 65 50 le jeudi et le vendredi de 10h à 12h

Vie de la cité

6 Vie de la cité

Les membres de la communauté juive de Bussy se sont retrouvés ledimanche 4 mars à la salle Maurice-Koehl pour fêter Pourim. Dans lareligion juive, Pourim est une célébration gaie, que l’on pourrait com-

parer au carnaval chrétien. Dans le calendrier juif, le 4 mars équivaut au 14Adar 5767, date à laquelle on commémore la victoire d’Esther, juive orphe-line choisie pour épouse par le roi Assuerus, sur le malfaisant Aman, qui rêvaitd’exterminer le peuple élu. La communauté juive de Bussy, qui compte envi-ron 200 familles, était donc au grand complet pour ce repas de fête qui s’estdéroulé dans une ambiance très chaleureuse. Plusieurs animations ont ponc-tué cette après-midi, comme un concours de déguisement qui a beaucoupamusé les enfants, et une tombola. Une structure gonflable avait égalementété installée dans la salle pour le plus grand plaisir des enfants. n

Dégustation littéraire

La Savoie au menu


LA FÊTE DE POURIM célébrée comme il se doit

Deuxième dégustation littéraire de l’année à la médiathèque de l’Eu-rope le mardi 20 février autour du thème des vins blancs de Savoie.Une région dont l’histoire de la vigne est riche et tourmentée,

puisque son vignoble est antérieur à la colonisation romaine. Comme decoutume, le programme alternait musique, lectures et dégustation propre-ment dite, commentée par l’œnologue Bruno Laigneau, qui n’a pas sonpareil pour faire ressentir sa passion pour le vin. Le conservatoire municipalde musique était également associé à cette dégustation. Son directeur, Domi-nique Daucet, a ainsi donné le la à l’accordéon, accompagné au violon parDavid Naulin, un professeur du conservatoire. Les deux musiciens ont ainsienchanté le public avec différents airs de Savoie. Côté littéraire, le comédienYvan Mignoty avait concocté une série de lectures de textes anciens etmodernes, avec notamment un guide touristique de la fin du XIXe siècle, etdes recettes de plats savoyards qui en ont mis l’eau à la bouche à plus d’un.Il était alors temps de passer à la dégustation des trois vins de Savoie sélec-tionnés, qui ont fait leur effet auprès du public présent. n

Rendez-vous le 24 avril à la médiathèque pour un Tour de France des Cépages.

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Vie de la cité

Concert de musique de chambre

Le conservatoire municipal de musique a ouvert au mois de sep-tembre 2006 une classe de musique de chambre confiée à SvetlanaSamsonova, une professeur de piano. Ce cours s’adresse à tous les

élèves du conservatoire qui ont quelques années de pratique musicale der-rière eux. « Mieux vaut attendre quelque temps pour initier les élèves à lamusique de chambre », explique en effet Dominique Daucet, le directeurdu Conservatoire, qui insiste sur le travail d’écoute initié dans ce cours.L’objectif de cette classe est ainsi de faire travailler ensemble les élèves pargroupes de 2 ou 3 pour leur apprendre l’harmonie au sein d’un orchestreet les habituer à jouer en écoutant également les autres instruments.Le concert s’est déroulé le jeudi 15 février en l’église de Gouvernes. Beau-coup de parents y ont assisté et ont été très impressionnés par la presta-tion des élèves. L’orchestre symphonique du conservatoire, sous ladirection de Jean-Michel Henri, participait également à ce concert, avecune interprétation du concerto de piano de Mozart. n

Les Vietnamiens ont aussi lesens de la solidarité. La com-munauté buxangeorgienne

l’a encore prouvé lors de la tradi-tionnelle soirée de l’associationAmes d’artistes, samedi 3 mars augymnase Maurice-Herzog. Cetteassociation créée il y a trois ans col-lecte des fonds au profit des écoleset des orphelins du Vietnam.Mme Kim Thu, la présidented’Ames d’artistes, a pu comptersur la participation de nombreuxgroupes, venus animer cette soiréeà titre bénévole. Elle-même chan-teuse, elle a participé au show, encompagnie de May Nith, To Lienet Lê Thu. La compagnie Sky-danse Show, également présente, adonné au gymnase Herzog des airsde Lido. Les quelque 200 per-

sonnes, venues de toute la régionIle-de-France, et même au-delà,ont donc été ravies par cette soiréequi a permis de récolter environ

1700 €. Les membres de l’asso-ciation Ames d’artistes iront eux-mêmes déposer cet argent auVietnam, dans la région deSaïgon, au mois de juin. n

Soirée Ames d’artistesLes Vietnamiens solidaires

Créée il y a trois mois, l’association des jeunes pour le développe-ment de Mandza (AJDM) a pour objectif principal d’aider lesjeunes Comoriens présents en France dans les domaines de l’édu-

cation, de la santé, du sport et de l’environnement. Mais ses membres n’enoublient pas pour autant leurs origines, et surtout leur village de Mandza.Elle mène ainsi également des actions de solidarité en faveur de ce vil-lage. La soirée organisée le samedi 17 février à la salle Maurice-Koehlentrait dans ce cadre-là. Il s’agissait d’ailleurs de la toute première soiréede l’association. Les bénéfices étaient notamment destinés à la créationd’une bibliothèque dans le village de Mandza et à l’achat de cahiers sco-laires pour les plus démunis. Cette soirée a connu un joli succès puisqueplusieurs centaines de personnes avaient répondu à l’invitation de l’asso-ciation AJDM. Au programme y figurait un concert de jeunes artistescomoriens, suivi d’une soirée dansante animée par un DJ. AJDM compteà l’avenir multiplier ce genre d’actions pour récolter le plus de fonds. n

Les Comores à l’honneur à Bussy

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N°87 - Mars 2007Bussy Saint-Georges

Dossier

Près de 4 millions d’euros (600 000 € nets) d’excédent budgétaire en 2006 à Bussy ! Un chiffre qui en dit long, plus que de longs discours, sur la gestion de la ville, que d’aucunsn’ont pourtant de cesse de critiquer. En dépit des positions toujours plus surprenantes de quelquesinstitutions, et de notre statut particulier d’agglomération nouvelle, la situation financière deBussy n’est donc pas si catastrophique que ce que certains se plaisent à décrire. Vous trouverezdans ces pages quelques informations importantes à souligner pour rétablir les vérités !

DE LA FUMEE SANS FEU AUX VERITES QUI DERANGENT!

Gestion municipale de Bussy

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Dossier

Voilà des années que l’on affubleBussy d’une tutelle qu’elle n’a enréalité jamais connue. Il faut que ce

soit dit et écrit une bonne fois pour toutes :la ville n’est pas sous tutelle, ne l’a jamais étéet ne le sera sans doute jamais ! Aux difficul-tés financières jadis traversées, dues pour unelarge part à la volte-face des pouvoirs publicspour accompagner notre développement, a ainsi répondu un simple plan de redresse-ment suivi par la municipalité avec applica-tion et méthode. Un plan qui a fait sonœuvre et qui est d’ailleurs aujourd’hui bienobsolète du fait de la croissance annuellede population, de l’ordre de 10 %. Quoi-qu’il en soit, et malgré les attaques inces-santes dont la ville fait l’objet, les chiffresn’ont, eux, pas de parti pris et ne men-tent jamais. Or, l’année 2005 avait étémarquée par un compte administratifexcédentaire (3,8 millions d’euros), unchiffre confirmé et même dépassé en2006. On ne trouve pas meilleur signed’une bonne gestion.Pourtant, les obstacles ne manquent pas,et rien ne nous est épargné, tant dans lacommunication de l’Etat, à tra-vers le récent rapport de la Courdes Comptes, que dans les déci-sions de son représentant local, lepréfet, ou de son bras séculier,Epamarne, dont les prises deposition étonnantes et sujettes àcaution sont innombrables. Toutest ainsi fait pour pointer dudoigt une commune et ses repré-sentants comme étant les maîtresd’œuvre de l’échec d’une poli-tique d’aménagement dont, àquelque niveau que ce soit, ilsn’ont jamais été les initiateurs etexécutants ! « A cet égard, et comme preuvedécrivant ce total déséquilibre de pouvoirs, s’in-surge Hugues Rondeau, la lecture d’une notedu Ministère de l’Equipement datée de l’an2000 est édifiante : concernant le dispositif desvilles nouvelles, déclaré Opération d’IntérêtNational, elle stipule que cette qualification asurtout été celle d’une épée de Damoclès confir-mant la priorité des objectifs de l’Etat sur ceuxdes collectivités locales. » C.Q.F.D. !

La dette : à qui la faute?On nous dit aussi que la ville est endettée: c’estvrai, on ne peut le nier, mais à qui la faute? Dansune Opération d’Intérêt National, le mécanismedes ZAC est par exemple entièrement sous lecontrôle de l’Etat, qui en décide la création, enfixe le périmètre et définit le programme des équi-

pements publics, à charge pour son aménageurde tout mettre en œuvre. En l’espèce, la com-mune n’a qu’un avis à donner. Cette présenceforte de l’Etat sur certaines prérogatives, habituel-lement du ressort des collectivités soumises audroit commun, a été particulièrement défaillantesur Bussy en matière de financements des équi-pements publics. « Si il existe aujourd’hui desgroupes scolaires sur Bussy, ce n’est que parce que laville, mise devant le fait accompli de la carenced’Epamarne, n’a pas eu d’autre solution que d’enprendre en charge la construction, tout en étantdans l’obligation de comprimer son montant d’in-vestissement et d’endettement par habitant »,remarque le maire de Bussy. Cette carence ad’autant plus de mal à s’expliquer que le Codede l’urbanisme (article L.311-4) impose à l’amé-nageur d’incorporer le coût des équipement

publics dans le prix de cession desterrains à bâtir. Cette règle est-ellerespectée? « Impossible, face à l’opa-cité entretenue par Epamarne sur sescomptes, de réellement le savoir ! »Par contre, plus surprenant est lefait que l’EPAMARNE outre-passe son rôle d’aménageurpublic en encaissant d’énormesmarges bénéficiaires sur les ZACdu Génitoy et des Cent-Arpents.Sur cette dernière ZAC, les fraisfixes d’aménageur ont ainsipresque triplé entre 2002 et 2005pour atteindre cette dernièreannée 47 % des dépenses d’amé-nagement. « A titre de comparai-son, les recherches que nous avonspu faire auprès d’aménageurs privésont montré que des honoraires de7 % au maximum étaient lanorme ! Pourquoi un tel écart entrepublic et privé », s’interrogeHugues Rondeau !Autre question sans réponse: pour-quoi s’acharne-t-on sur la dette de laville, alors que nos voisins ne sont

pas beaucoup mieux lotis, loin s’en faut? Puisque,c’est bien connu, comparaison vaut raison, ilconvient de mettre en perspective l’endettementpar habitant de la ville de Bussy avec nos voisinsde la ville nouvelle. Si on se penche une nouvellefois avec attention sur les chiffres, on s’aperçoit

que cet endettement (2900 €) reste inférieur àcelui de nombreuses communes avoisinanteslorsqu’on ajoute leur endettement communal àcelui du Syndicat d’agglomération nouvelle. C’est en effet ainsi qu’il faut calculer. Résultat : un

endettement moyen d’environ 4000 € pournombre de communes voisines. Sont-ellespour autant brocardées pour mauvaise ges-tion? En aucun cas… On préfère s’acharnersur la ville de Bussy, responsable de tous lesmaux ! Heureusement, la vérité finit tou-jours par éclater… n

L’ encours de la dette de Bussy est d’environ 78 M €. Ce chiffre qui, pour beaucoup, peut paraître extra-ordinaire, se doit naturellement d’être rapproché de l’échéancier nécessaire pour le rembourser. Autre-ment dit, l’emprunteur (la ville) est-il, ou non, apte, à travers ses capacités financières, à faire face à

ses obligations de remboursement dans un délai convenable ? Ou bien vit-il au-dessus de ses moyens ? Il est géné-ralement convenu qu’une saine gestion de la dette implique qu’elle puisse être apurée dans un délai de 10 à 15ans. Partant de cette hypothèse, la Cour des Comptes a récemment décrété qu’il faudra à Bussy 27 ans pour résor-ber sa dette !! Un délai pour le moins surprenant quand on sait que c’est l’épargne de gestion qui sert à couvrirle remboursement de la dette annuelle. « Or, celle-ci étant, au compte administratif 2005 de 6.5 millions €, unesimple division démontre que c’est 12 ans, et non 27, qu’il faut à la commune pour rembourser la totalité de sadette. Nous sommes donc tout à fait dans les ratios admis. » n

REMBOURSEMENT DE LA DETTE: 12 ANS ET NON 27!

Endettement / habitant

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Dossier

E ntre 2004 et 2005, l’accroissement des frais de fonctionnement de Bussy a été de 6%. Un rapport du Ministère des Finances sur les finances des collecti-vités locales durant la même période fait état d’une augmentation de 4 % de leurs charges de fonctionnement. Une différence de 2% qui trouve naturel-lement son explication dans le développement exponentiel de Bussy (plus de 10% par an). Conséquence : année après année, la ville doit adapter ses

services communaux à une arrivée massive de population qu’aucune autre commune, dite de droit commun, ne connaît. Plus simplement, il faut savoir que, de2000 à 2005, les recettes de fonctionnement ont progressé de 56.73% tandis que les dépenses de même type ont augmenté de 55.09%. « On est loin d’uneabsence de maîtrise ! Ou alors, nous n’avons pas, avec la Cour, une même définition des mots », martèle Hugues Rondeau. Résultat, l’épargne brute est passéede près de 3M € à plus de 4.5 en 2005. Quant à l’épargne de gestion, elle est passée de 4.8 à 6.5 M €. « Certes, il est toujours possible de trouver un autofi-nancement insuffisant, mais, en l’espèce, il est, à Bussy, plutôt conséquent et la signification d’une saine gestion » Selon les statistiques 2004 de la Direction géné-rale des collectivités locales du Ministère de l’Intérieur, dans les communes comparables à Bussy, l’épargne brute représente 14% des recettes de fonctionnementet les dépenses de personnel 56.4%. « Ici, cela représente respectivement 17.75% et 43.96%. Je crois que les chiffres parlent d’eux-mêmes ! » n

DEPENSES DE FONCTIONNEMENT ET AUTOFINANCEMENT

Investissements

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Dossier

A taille identique, il n’y a aucune commune mesure entre une ville de droit commun et une située en périmètre d’agglomération nouvelle. Dans le premier cas,la ville, libre de choisir le rythme de son développement, peut, de fait, parfaitement moduler l’évolution de ses ressources. Dans le second, l’évolution étantdéfinie par l’Etat et sous forme de « marche forcée », la commune doit constamment faire face à des obligations disproportionnées de services préalables à

l’arrivée des habitants et des activités. Si, donc, comparaison il doit y avoir, c’est entre des communes connaissant la même problématique de développement. Dans cesconditions, Bussy a une pression fiscale équivalente (voire moindre si l’on prend en compte les communes avoisinantes du Val-Maubuée) à celles d’autres communes deVilles Nouvelles. Ceci étant, cette apparente normalité ne doit pas masquer l’existence d’inégalités. De 2000 à 2005, la population buxangeorgienne a connu une pro-gression de 61 %. Cette augmentation exponentielle a eu naturellement, comme effet induit, une évolution des dépenses et recettes de fonctionnement de la ville. Un budget communal étant financé par quatre sources principales, (deux en provenance des habitants - taxe d’habitation et foncier bâti - et deux extérieures à ceux-ci -dotation globale de fonctionnement versée par l’Etat et taxe professionnelle), l’objectif est, bien sûr, que chacune d’elles alimente équitablement le budget en suivant lacourbe d’évolution de la population. A l’inverse, si elles s’en écartent, les finances communales ne peuvent qu’être menacées. Or, durant les années écoulées, les basesfiscales de Bussy ont connu une progression très différenciée. Celles de la taxe d’habitation a progressé de 140 %, celles du foncier bâti de 95 % et celles de la taxe pro-fessionnelle de … 35%. Cette très modeste évolution des bases de la TP s’explique par le fait que les modalités de calcul retenues par les services fiscaux de l’Etat sontcelles du Bussy d’avant Ville Nouvelle, c’est à dire d’un village et non d’une cité ! « Ceci n’aurait bien sûr aucune importance si la totalité des hectares disponibles en zoned’activité et les milliers de m2 carrés de bureaux construits avaient trouvé preneurs. Le nombre d’assujettis aurait alors compensé la sous-évaluation des bases. » Cela n’amalheureusement pas été le cas du fait du non respect de ses engagements par EPAMARNE dont, il faut le rappeler, la compétence en matière d’implantation d’activitésest exclusive. A titre d’exemple, sur la période 2005/2007, les promesses de commercialisation de l’aménageur n’ont été réalisées que pour à peine 50 % sur laZAC Vinci et 33 % pour le centre-ville ! D’où un faible produit de taxe professionnelle ayant conduit, contre son gré, la commune à relever ses taux d’impositionsur la taxe d’habitation. « Malgré cela, la pression fiscale buxangeorgienne reste dans la moyenne des villes de même nature, souligne Jean-Claude Lamagnère,premier Maire-Adjoint aux Finances. Mais il est clair que nous aurions souhaité maintenir celle qui, jusqu’alors, permettait de nous citer en exemple. » n

Le récent rapport de la Cour des Comptes met notamment en cause la muni-cipalité sur le recours à des prestataires extérieurs. Que lui répondez-vous?Ce recours s’est imposé à la commune pour plusieurs raisons. En premier lieu, pour faire face aux procé-dures initiées par l’Etat ou son représentant, et qui, généralement, ont comme dénominateur commun detransformer la ville en "bouc émissaire" des carences de la puissance publique. L’extrême complexité du sujet,les références constantes à des dizaines d’articles de loi, décrets et autres notes d’orientation imposent de faireappel à des spécialistes reconnus et rompus aux techniques argumentaires. Les reproches de l’Etat à l’en-contre d’une collectivité locale constituent un acte suffisamment sérieux pour qu’on y consacre, en réponse,tous les moyens nécessaires. Dans ce domaine, l’à-peu-près ne peut avoir cours!

Dans d’autres domaines, le personnel communal ne pourrait pas être mis à contribution?Dans l’absolu, et hors des points à forte connotation juridique (il n’existe actuellement pas de statut de fonctionnaire avocat !), cela pourraitêtre parfaitement imaginable dans la mesure où l’Etat accorderait à Bussy le surclassement de la ville*. Les caractéristiques de croissance forteet continue de la ville répondent pleinement à la finalité d’une telle décision demandée par la ville depuis 2002. Cela mettrait enfin un termeà nos difficultés de recrutement de personnels de catégorie A dont la formation et l’expérience seraient un "plus" certain et nous permettraientsans doute d’éviter l’actuel recours à l’extérieur.

A combien évaluez-vous ces frais de prestataires extérieurs?Dans le domaine juridique, le recours à un avocat ne correspond, actuellement et par an, qu’à 2000 heures, soit l’équivalent de 1.5 agent de catégo-rie A. Pour les recours à des prestataires extérieurs autres que de conseils juridiques, la ville a toujours eu pour objectif le souhait d’améliorer immé-diatement la qualité du service rendu à la population. Je crois qu’en ce domaine, l’externalisation des centres de loisirs a parfaitement répondu à cetteattente. Il faut d’autre part préciser qu’en choisissant cette voie, il est toujours possible, le jour où le développement de Bussy se sera assagi et où nouspourrons mieux quantifier nos besoins, de revenir à une solution interne.

* Ceci est la classification de la commune en fonction du nombre d’habitants. Pour Bussy, cela consisterait à la classer dans les villes de 20000 à 40000 habitants (ce qu’elle serasous peu) et non de la maintenir dans une tranche inférieure. Ce classement est particulièrement important dans le déroulement de carrière de nombre de fonctionnaires à la quali-fication pointue de catégorie A, qui sont l’équivalent, en quelque sorte, des cadres supérieurs dans une entreprise privée.

Jean-Claude Lamagnère:« Que l’Etat surclasse Bussy, et vite! »

PRESSION FISCALE

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Vie municipale

350 places supplémentaires de crèches en 2007-2008

4 nouvelles structures vont être construitesLa décision d’ouvrir quatre nouvelles structures d’accueil petite enfance confirme l’effort important de la municipalité dans le domaine de la garde des tout-petits.

Cette décision est destinée à répondre à la forte demande enregis-trée ces deux dernières années par la ville de Bussy. La liste d’at-tente pour l’inscription en crèches atteint en effet aujourd’hui le

chiffre record de 650 enfants. Même si elle ne répondra pas à toutes lesdemandes, l’ouverture simultanée de 350 nouvelles places de crèchesdémontre donc, par son envergure, la forte implication de la municipa-lité et sa volonté de s’adapter aux besoins des nouveaux habitants accueillis.Ne pouvant supporter à elle seule la charge de ces 350 nouveaux berceaux,la ville a opté pour un système s’appuyant sur une disposition de loi miseen place en 2003 lors de la conférence de la famille, qui a ouvert le secteurde la petite enfance au privé. C’est donc le dispositif de la délégation deservice public qui a été choisi. Ce système permet à une personne moralede droit public, en l’occurrence la municipalité, de confier par contrat lagestion d’un service public dont elle a la responsabilité à un délégataire(public ou privé) dont la rémunération est liée aux résultats de l’exploita-tion du service. Cette solution permettra à la ville de ne pas grever exagé-rément son budget investissement. « Nous n’avions pas la capacité de leverles fonds pour créer ces 350 places: il nous a donc semblé judicieux derecourir à ce système de DSP, en plein développement actuellement »,explique Hugues Rondeau.Concrètement, la municipalité va donc nouer un partenariat avec desentreprises privées, qui assureront pendant 18 ans la construction et lefonctionnement des quatre nouvelles crèches. Après appel d’offres, la villea confié la réalisation et la gestion des quatre structures à deux opérateursprivés spécialisés dans le secteur de la petite enfance: Crèches de France

et La Maison bleue. Les dirigeants des deux entreprises, Tristan Micol etSylvain Forestier, étaient présents le 5 mars 2007 à Bussy pour signer laconvention les liant à la mairie. Les nouvelles structures, dont l’ouvertures’échelonnera entre le dernier trimestre 2007 et le tout début de l’année2008, fonctionneront de la même manière que les structures municipales.Elles proposeront également la même tarification et les mêmes normesd’encadrement. La qualité du service rendu sera régulièrement évaluéepar les services municipaux. Les prestations proposées seront les suivantes:

ß SERVICE REGULIER

ß SERVICE OCCASIONNEL

ß SERVICE D’ACCUEIL D’URGENCE OU PONCTUEL

Par son ampleur, la création de 350 places supplémentaires de crèchesconstitue un évènement sans précédent : il s’agit en effet de la plus impor-tante opération de délégation de service public lancée dans ce domaineen France. Elle portera le nombre de places de crèches disponibles à BussySaint-Georges de 185 (165 places en gestion directe et 20 places géréespar l’association Bout’chou, largement subventionnée par la municipa-lité) à 535, pour une population de 20000 habitants, ce qui fera de Bussyl’une des communes de la région Ile-de-France qui offre le plus de placesde crèches par rapport au nombre d’habitants. Le personnel est en coursde recrutement. Environ 110 personnes (puéricultrices, auxiliaires depuériculture, cadres…) devraient à terme être recrutées par Crèches deFrance et La Maison bleue. n

Hugues Rondeau, Claude Louis et Régine Bories, entourés par Tristan Micol, de la société Crèches de France, et Sylvain Forestier,de La Maison Bleue, lors de la signature de la convention.

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A Bussy, la démocratie s'apprend dès le plus jeune âge… C'est ce qu'expérimentent, pendantun mandat de deux ans, les jeunes élus du Conseil Municipal des Enfants. La première séanceplénière de ce conseil s'est déroulée le mardi 6 février 2007 en salle du conseil municipal, sousla présidence de M. Hugues Rondeau, Maire, et de M. Claude Louis, Maire Adjoint auxAffaire Culturelles et responsable du Conseil Municipal des Enfants et du Conseil des jeunes.

Conseil Municipal des Enfants

Pour un apprentissage à la citoyenneté

Le Conseil Municipal des Enfants est né d'unevolonté municipale de développer un espacede parole pour les jeunes de la commune, dans

le cadre du Contrat Educatif Local. Ce conseil estun moyen d'enrichir le dialogue avec la jeunesse, departager la vision des uns et des autres sur la vie quo-tidienne, la santé, l'environnement, la solidarité etles loisirs, mais aussi d'avoir un regard nouveau etinventif sur la vie locale. Il permet ainsi aux jeunesconseillers de participer activement et concrètementà la vie de leur ville.Cette assemblée délibérative est constituée de 32membres âgés de 9 à 11 ans, élus pour un mandatde 2 ans. Porte-parole des enfants de leur âge, ilss'attachent à élaborer et développer des projetspour la commune. Au travers de rencontres etd'échanges avec leurs aînés du Conseil Munici-pal, ces écoliers d'aujourd'hui, citoyens dedemain, découvrent le fonctionnement de la col-lectivité et la pratique de l'activité d'élu.L'ordre du jour de la première séance plénière por-tait sur la présentation du conseil et de son fonc-tionnement, ainsi que la constitution desdifférentes commissions liées aux projets desjeunes Buxangeorgiens.

L'organisation :Le Conseil Municipal des Enfants de BussySaint-Georges est rattaché au Service Culturelde la commune. Il est animé par Pierre-Yves Gay,en collaboration étroite avec M. Louis (Maire-adjoint aux Affaires Culturelles) qui assiste àtoutes les séances plénières, et Marina Cavailles,directrice du service. Le Conseil Municipal desEnfants est composé de 2 commissions: Sport etloisirs/Environnement et Sécurité.Les réunions se tiendront 1 fois par mois dans lasalle du conseil municipal ou à la Médiathèquede l'Europe, quand les jeunes conseillers aurontbesoin de se connecter à Internet pour faire desrecherches ou pour rédiger leurs projets. Tous lestrimestres, une séance plénière aura lieu en pré-sence de M. Le Maire.

Outils de communication:Un journal en édition papier, dans lequel lesconseillers évoqueront leurs actions, les sujets quiles touchent, la vie de la commune, les activitésqui peuvent concerner les jeunes.Une rubrique sur le site Internet de la ville pré-sentera le conseil et ses projets.Le journal municipal invitera les conseillers àparler de leurs actions.Les premières commissions du CME se dérou-leront le mercredi 14 mars et le mercredi 21 mars2007. Lors de ces deux rendez-vous commence-ront les premières réflexions par rapport aux pro-jets de nos jeunes élus. n

Vie municipale

äMARCHÉ DE NETTOYAGE DES LOCAUX COMMUNAUXAprès quelques mois d’exécution, il est apparu nécessaire de modifier la périodicité de certaines prestations de nettoyage sur les centres de loisirs LouisGuibert, Bleu du ciel, Jean de la Fontaine, Jules Verne, les Violennes et Louis Braille préfabriqué. Le montant de ces modifications, en rythme annuel,

s’élève à 66420,00 € HT.

äEXTENSION DU CIMETIÈREL’actuel cimetière municipal atteint aujourd’hui ses limites en terme d’emplacements. Environ 450 concessions occupent la quasi-totalité du site actuel.Compte tenu des disponibilités actuelles, on peut considérer que dans deux ans, le cimetière sera totalement occupé. Il est donc devenu urgent deprocéder dans les meilleurs délais à la réalisation d’un nouveau cimetière municipal, ou plus sûrement à l’extension du cimetière actuel, compte tenudes difficultés de création d’un nouveau cimetière à l’extérieur de l’emprise urbanisée de la commune.

äMODIFICATION DE LA ZONE D’AMÉNAGEMENT CONCERTÉE DITE DU « CENTRE-VILLE »La ZAC du Centre-Ville de Bussy Saint-Georges est aujourd’hui réalisée à 80 %. D’une superficie de 175 hectares, elle est composée de logements,d’activités et d’équipements. Elle regroupe notamment les pôles de centralité de la commune, tels que la gare et la quasi-totalité des commerces etservices. L’achèvement de l’aménagement de ce quartier impose de modifier son dossier de création.Le Programme de cette opération est le suivant :7300 logements familiaux dont environ 1000 unités de résidences (étudiants, jeunes travailleurs, résidences sociales et personnes âgées)Environ 120.000 m2 de bureaux, 110.000 m2 SHON de commerces, d'activités et services divers, 900 chambres d’hôtels ou de résidences hôtelières. n

DU CÔTÉ DU CONSEIL MUNICIPAL

Lors de ses séances du 23 février et du 5 mars 2007

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Vie municipale

Le Centre Communal d’Ac-tion Sociale (CCAS) est, enquelque sorte et dans son rôle

principal, le baromètre inversé dela détresse au sein d’une commune.Plus l’aiguille de ses interventionsest basse, plus la vie est ensoleillée.A l’inverse, plus elle est haute, pluscela indique que les nuages arri-vent. « Il est alors temps pour nous,précise Michèle Bui-Khac, Adjointeau Maire chargée de l’action socialeet du logement, de prendre certainesdécisions ou d’orienter différemmentcertaines politiques afin de mieuxaider ceux qui traversent une périodedélicate. » A Bussy, comme ailleurs,les professionnels en charge de lastructure savent bien comme, par-fois, il est difficile de faire appel à eux. « Il existechez certains comme une gêne à pousser notre porte,comme si la démarche était honteuse. Or, noussommes là pour permettre, à notre niveau, la pré-servation du lien social tout en aidant à passer uncap pénible », souligne Céline Heurton, respon-sable du CCAS. Il n’existe pas de profil typeparmi les Buxangeorgiens faisant appel aux ser-vices du CCAS. « Ils sont aussi bien salariés qu’at-tributaires de minima sociaux et célibataires aussibien que mariés ou divorcés, avec ou sans enfants »,poursuit Céline Heurton.

L’aide apportée par le CCAS est de deux natures.Tout d’abord, les aides dites « légales » qui sontles mêmes pour tout CCAS, et qui consistent enla prise en charge locale de politiques socialesnationales (constitution des dossiers RMI, Coto-rep, allocation spéciale vieillesse, cartes améthysteou rubis). Ensuite les aides « facultatives » qui,comme leur nom l’indique, sont du libre choixde chaque ville, « de façon à coller au plus près àla réalité locale » Parmi ces dernières, figurent desaides ponctuelles à la fréquentation des cantines,centres de loisirs ou classes de découverte, mais

aussi des prises en compte de fraisliés au logement (« c’est dans cedomaine qu’en 2006, nous avonsconnu la plus forte progression ») ouau règlement de factureEDF/GDF.Dernier domaine d’interventiondu CCAS, les actions en directiondes anciens, comme la fête del’Epiphanie, le repas et les colis deNoël, le portage des repas ou lessorties (canal Saint-Martin, spec-tacle « Skydance » en 2006), etl’atelier mémoire, où les activitésproposées favorisent le maintiendes nombreuses formes de lamémoire, selon Mme Quatre-homme, psychomotricienne.Cette année, plusieurs projets

devraient voir le jour comme la mise en placed’une navette pour les aînés souhaitant allerdu centre-ville au village ou souhaitant serendre à des rendez-vous médicaux, des coursinformatiques à destination des personnessans emplois ou des aînés, un séjour dans laville jumelle allemande de Meiningen, ainsiqu’une aide plus large en faveur des jeunes.« L’objectif est de leur permettre, en complémentdes aides de la CAF, de s’inscrire aux différentesactivités proposées par la municipalité », conclutCéline Heurton. n

C.C.A.S: LE GARANT DU LIEN SOCIAL!

GRILLES DES TARIFS DES SÉJOURS EN FONCTION DU QUOTIENT FAMILIAL (EN EURO) ** Attention, ces grilles peuvent être modifiées par décision du prochain Conseil Municipal.

VENDÉEE PASSION (6/12 ans)

1 2 3 4 5 enfants (+)A 298 283 269 256 243B 336 319 303 288 273C 373 354 337 320 304D 410 390 370 352 334E 448 425 404 384 365F 485 461 438 416 395G 522 496 471 448 425H 560 532 505 480 456Hors B 746 709 673 640 608

MODALITÉS D’INSCRIPTIONS — EN MAIRIE/SERVICE PÉRISCOLAIRE :(lundi – mercredi — jeudi — vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h30) - Pour ces séjours, les inscriptions se dérouleront à partir du samedi 28 avril 2007. Renseignements au 01 64 66 24 24

COSTA BRAVA (13/17 ans)

1 2 3 4 5 enfants (+)A 464 440 418 397 378B 522 495 471 447 425C 580 551 523 497 472D 637 606 575 547 519E 695 661 628 596 566F 753 716 680 646 614G 811 771 732 696 661H 869 826 784 745 708Hors B 1159 1101 1046 994 944

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Vie municipale

Séjours d’été

L’été sera chaud!Vendée pour les 6-12 ans, Costa Brava pour les 13-17 ans : l’été sera encore bien animé pourles jeunes Buxangeorgiens avides d’activités physiques et manuelles ou de sorties culturelles.Nous vous présentons ces deux destinations pour le mois de juillet.

VENDEE PASSION (Saint-Gilles) - 6 à 12 ansDATES : du mardi 10 au mercredi 25 juillet 2007PLACES DISPONIBLES : 30TRANSPORT : train couchette et car grand tourisme

z SITUATION : Sur la Costa Brava, à l'est de la péninsule ibérique, à proximité de la fron-tière française et de Barcelone.Hébergement dans un vaste camping descendant vers la mer dans unpaysage admirable.Logements en chalets de 6 à 8 litsToutes les activités sportives dont rêvent les adolescents sont faisables sur place

z LES ACTIVITÉS : Sports : voile, kayak, clifting, mur d’escalade, tir à l’arc, hockey, patins àroulette, plongée, tyrolienne, minigolfVisite de Tossa de Mar + une journée à Waterworld et à Barcelone. n

L'encadrement des jeunes sera assuré par l'équipe d'animation de Neige Soleil Tourisme Loisirs.

ESCALE SUR LA COSTA BRAVA (Espagne) - 13 à 17 ans

DATES : du jeudi 5 au vendredi 20 juillet 2007PLACES DISPONIBLES : 30TRANSPORT : car grand tourisme

z SITUATION : Station balnéaire tonique et colorée de la côte de Lumière à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, cette ville a su conserver son âme et son art de vivre en propo-sant des équipements touristiques de qualité et des animations toute l’année. Le centre de loisirs faisant face au chantier naval de Bénéteau est une ini-tiation à l’échappée marine et le berceau du nautisme. Il dispose d’unevaste aire de jeux ombragée autour d’un barbecue géant.

z LES ACTIVITÉS : Atelier menuiserie et polyester : création d’une maquette de bateau et de blason.Chaque participant repartira avec sa maquette du séjour. Visites du port, d’un chantier naval et d’un château médiéval avec spectacle.Excursions à l’Ile d’Olonne et dans les environs.Initiation à la météo et mise en place d’une mini station.VTT à disposition et baignade à la piscine ou en mer avec concours dechâteau de sable. n

L’encadrement des enfants sera assuré par l’équipe d’animation deCap’Loisirs.

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Vie municipale

Des travaux tous azimuts !Les services techniques de la municipalité ont profité des vacances de février pour réaliser quelquestravaux de rénovation dans les écoles, et de voirie dans les rues de la ville. Explication en images.

A l’école primaire les Violennes, les sanitaires et la salled’eau ont été rénovés de fond en comble.

Rue du Vignoble, les services techniques ont installé l’arrosage automatique.

Pour renforcer la sécurité, les abords du groupe scolairedu Clos-Saint-Georges ont été matérialisés par ce grandpanneau peint sur la chaussée.

Rue Bernard-Palissy, les trottoirs ont été repavés à l’aided’un sable très fin, une technique qui permet de bien sta-biliser le pavé.

Avenue du Clos-Saint-Georges, les passages piétons ontégalement bénéficié d’un coup de peinture fraîche !

Boulevard des Genêts, des automobilistes avaient l’habitudede se garer sur le côté droit de la route. Ce n’est désormaisplus possible, puisque des plots ont été installés sur le trottoir.

La ville de Bussy en deuilNous vous informons avec beaucoup de tristesse et d’émotion que Jean-Paul Levecque, conseiller municipal délégué aux transports, nous a quittés le dimanche 11 mars.

Originaire de la région Nord-Pas-de-Calais, Jean-Paul avait intégré l’équipe municipale en 2002. Médecin-anesthésiste, ilavait effectué une grande partie de sa carrière au sein de l’armée, sous le grade de commandant. Depuis 2002, Jean-Paul atravaillé avec beaucoup de passion pour le bien-être de notre commune. Passionné par son mandat d’élu, il était connu pour

son assiduité aux bureaux municipaux. Le décès subit et brutal de Jean-Paul Levecque a stupéfié tous ceux d’entre nous qui le côtoyaient.A sa famille, son épouse, ses trois enfants, nous transmettons nos plus sincères condoléances. n

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Réunions publiques

Boulevards de Lagny et GiroustDes feux tricolores à l’essai

A Bussy, la démocratie participative n’est pas un vain mot. Les Buxangeorgiens ont ainsi pu s’exprimer les31janvier et 7 février sur deux projets touchant leur quotidien: l’aménagement de deux carrefours, ainsique le projet de réhabilitation de l’espace situé derrière la mairie et devant le restaurant les Trois Tilleuls.

Une cinquantaine de personnes ont assisté à la réunion publiqueportant sur le projet d’aménagement de deux carrefours, avenueAndré-Malraux et boulevard de Lagny. Cette réunion avait lieu

dans un contexte pesant suite à l’accident de circulation ayant touchétrois jeunes collégiennes le mardi 16 janvier. Elle n’a pourtant pas étéprovoquée par ce tragique accident, « mais est le fruit d’une réflexion quenous menons depuis plusieurs années sur l’aspect accidentogène de nos voi-ries » soulignait en préambule Hugues Rondeau.Le projet d’aménagement prévoyait à l’origine la mise en place de ronds-points pour casser la vitesse des véhicules. Des ronds-points comprenantdes passages piétons surélevés de 20 cm. Mais l’assistance n’a pas cachésa préférence pour des feux tricolores, qui, selon eux, seraient plus à mêmede ralentir la vitesse des véhicules. Inquiets devant le nombre d’accidentsconstatés boulevard de Lagny, les personnes présentes ont finalement eugain de cause, puisque le maire de Bussy a accepté de tester la solutiondes feux tricolores. Des feux provisoires vont donc être installés boule-vard Giroust et boulevard de Lagny. n

Vie municipale

Le 7 février a été présenté le projet d’aménagement paysager du parc situé derrière la mairie.L’espace en jachère actuellement utilisé comme parking complémentaire sera ainsi réamé-nagé de fond en comble. Un projet qui n’est que la première phase d’un paysagement et

d’une réorganisation générale de la plaine de jeu. Cette première phase portera sur la créationd’un chemin paysager reliant les nouvelles maisons et les terrains de sport à la mairie. Ce cheminsera entouré par des arbres de hautes et moyennes futaies et par une haie végétale variée le longdes clôtures. Des petits fossés sont également prévus à la place des actuelles buttes de terre. Ils seronttraversés par des petits ponts de bois, où poussettes et vélos pourront se croiser en toute sécurité.A la demande des habitants, l’architecte du projet devra revoir sa copie en ce quiconcerne les places de stationnement derrière le parking de la mairie, que beaucoupvoudraient voir disparaître. Le public est également intervenu pour réclamer un éclai-rage adéquat et l’implantation de bancs le long du nouveau chemin.Outre cet aménagement paysager, le carrefour situé devant le restaurant Les Trois Tilleuls figu-rait à l’ordre du jour de cette réunion publique. La ville souhaite ainsi apporter un aspect plus convivial à un espace occupé aujourd’hui par les voitures. A l’emplacement du parking devant le restaurant, une terrasse sera créée avec passage en pavement et haie végétale. Le maire a également écouté les riverainsqui demandaient la réhabilitation de la fontaine. Avec ces nouveaux aménagements, c’est tout le cœur de village de Bussy qui s’apprête à faire peau neuve. n

Aménagement paysager derrière la mairieUn nouveau visage pour le cœur de village

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Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement

Un autre monde est possible *

Jean-Philippe Clément est responsable bénévole du Comité catholique contre la Faim et pour leDéveloppement (CCFD Terre Solidaire) du secteur de Bussy depuis quelques années. Il est l’un desorganisateurs du défi Jeunes « Bouge ta planète », qui a eu lieu le 24 mars au Square Vitlina.

CCFDTerre Solidaire, plusimportante Organi-sation de Solidarité

Internationale (OSI) française, a deux grandesmissions: le soutien (financier, technique, mise enréseau…) à des partenaires locaux, acteurs dedéveloppement, et l’information sur la réalité despays en développement. « Un des objectifs est d’es-sayer de sortir de visions négatives de certains pays etde montrer au contraire qu’il y a des initiatives trèspositives qui existent », explique Jean-Philippe Clé-ment, dont l’engagement dans l’humanitaireremonte au début des années 1990. Le projet detravailler avec les pays en voie de développementlui trottait dans la tête depuis un moment, et ils’est finalement lancé dans cette voie afin de fairebouger les choses, à son niveau, et ici, en France.

Des voyages marquantsJean-Philippe se souvient de son premiervoyage, en 1994, au Guatemala et au Salvador,un voyage d’immersion dont l’objectif était derencontrer des partenaires et découvrir lesconditions de vie dans ces pays. « Je me suis prisune baffe », se souvient Jean-Philippe, qui a étéimpressionné par l’engagement de personnespour la défense de leurs propres droits et deceux de leurs frères humains. Le courage d’uneavocate des droits de l’Homme au Salvadorenquêtant sur des crimes au péril de sa vie l’anotamment beaucoup marqué.Depuis 1992, Jean-Philippe Clément a pu consta-ter l’évolution des mentalités dans la société fran-çaise vis-à-vis des pays en développement. Lesdifférentes campagnes d’information et d’opinionatteignent progressivement leurs objectifs. Mêmes’il reste sans doute encore beaucoup de chemin àparcourir, le responsable local du CCFD se féli-cite de l’éveil de la société civile française, et de laprise de conscience par beaucoup que les pro-blèmes ne sont pas franco-français. «Plutôt que dese regarder le nombril, il faut trouver des voies de tra-vail de coopération au niveau planétaire », souligneainsi Jean-Philippe Clément, qui croit dur comme

nus décents pour de petits producteurs, mais pasforcément ce qu’il y a derrière, des projets collec-tifs de développement, l’autonomie que cela pro-cure à des populations entières, souligneJean-Philippe Clément. Le commerce équitablepermet à des populations très vulnérables deretrouver la maîtrise de leur vie à long terme »rappelle-t-il. A titre d’exemple, si tout le cafédu monde était équitable, la face du monde enserait changée, le café étant le deuxième pro-duit à être échangé dans le monde après lepétrole ! Voilà qui fait réfléchir… n

CONTACT:0669545703 Pour aller plus loin : www.ccfd.asso.fr et www.etatdurgenceplanetaire.fr

* Conviction première des participants au processus desForums Sociaux Mondiaux, FSM

fer que les choses peuvent encore bouger. Sa par-ticipation au Forum Social Mondial à Bamako en2006 le conforte dans ce sens. Il a pu y constaterle dynamisme des populations malienne et afri-caines représentées, notamment par les jeunes, etl’action conséquente des femmes. Il a ainsi étéfrappé par la qualité des débats et par le nombrede propositions concrètes qui y ont été formuléesdans de nombreux domaines, comme l’éduca-tion, les sciences, l’environnement, la vie en sociétéou la démocratie participative.Ces diverses expériences, Jean-Philippe les metdonc en pratique à Bussy au sein d’une associa-tion qui accueille toutes les bonnes volontés ettravaille en partenariat avec d’autres.

Pour un vrai commerce équitableLors du dernier forum des associations, leCCFD était bien sûr présent, et avait souhaitémettre en avant le commerce équitable : « Les gens connaissent un peu le concept, des reve-

Le magazine

Jean-Philippe Clément, lors du dernier Forum des associations, en septembre 2006

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Le magazine

Le comité de jumelage s’est en effet doté enfévrier d’une nouvelle présidente, qui habited’ailleurs à Bussy depuis très peu de temps.

Elle n’a donc pas tardé à s’impliquer dans la vie asso-ciative locale, à l’invitation de Dominique Bijard.Lors de la journée des nouveaux arrivants, elle a ren-contré le Maire-Adjoint chargé des jumelages, quil’a incitée à intégrer le comité. Il faut dire qu’Anne-Marie Trinh connaît bien l’italien, puisque c’est unelangue qu’elle a enseignée durant de longues années.Avec également une nouvelle secrétaire, Marie-Claude Phan, le comité de jumelage italien repartsur de nouvelles bases. Ces deux femmes qui ontune passion commune pour l’Italie comptent biendévelopper leur association. Pour cela, elles nemanquent pas d’idées, mais elles ont besoin del’appui de bonnes volontés prêtes à s’engager danscette aventure franco-italienne. « Aujourd’hui,nous sommes encore un embryon d’association, maisnous voulons la faire découvrir aux Buxangeorgienset lui donner vie », affirment-elles en chœur.Jusqu’ici, le jumelage entre Bussy et San GiulianoMilanese reposait en grande partie sur des échangesentre sportifs. Située au sud de Milan, au cœur dela Lombardie, notre jumelle est une ville jeune,sportive et dotée d’un riche passé. A cette dernièredifférence près, nos deux communes ont doncbeaucoup de points communs, et notamment unevitalité démographique, culturelle et sportive.

L’histoire retiendra aussi que San Giuliano Mila-nese fut le lieu de la célèbre bataille de Marignan,en 1515.Afin de renforcer les liens et développer leurassociation, Anne-Marie Trinh et Marie-ClaudePhan entendent bien organiser quelques mani-festations. Leur principal objectif est de fairedécouvrir l’Italie à travers quelques rendez-vousréguliers, comme des expositions ou des anima-tions théâtrales. « Lorsque j’étais enseignante,

j’ai souvent travaillé sur des pièces de théâtreet je me suis notamment penché sur la com-media dell’arte », se souvient la présidentedu comité de jumelage. Les deux amiesenvisagent également de lancer des coursd’initiation à l’italien, sous une formeavant tout ludique. « Cela permettraitd’avoir des relations plus riches lorsque nousrecevrons une délégation à Bussy. »Dans l’immédiat, Anne-Marie Trinh, Marie-Claude Phan et les trois autres membres del’association ont besoin de vous ! Tous lesBuxangeorgiens sont ainsi les bienvenus ausein du comité pour apporter des idées et destémoignages. Et pour bien faire connaissanceavec les nouveaux membres qui se manifeste-raient, nos deux amoureuses de l’Italie comp-tent bien faire régulièrement des sorties dansdes restaurants italiens des environs. « Quoi demieux que d’être réunis autour d’une bonnetable pour faire connaissance ? » s’amuse ainsiMarie-Claude Phan. L’invitation est lancée…A vous de jouer ! n

Pour rejoindre le comité de jumelage Italie, contactez le 0164669627 ou le 0164772620

Les Buxangeorgiens à San Giuliano

L e 2 mars, une délégation buxangeorgienne s’estrendue à San Giuliano Milanese pour conforter lesliens entre les deux communes. Une rencontre avec

le maire et le personnel municipal de la ville italienne a eulieu afin, donc, de pérenniser ces liens, et notamment de créerun comité de jumelage côté italien, sur le modèle de celui quia été relancé à Bussy. L’idée est de renforcer le partenariatartistique et culturel entre les deux villes. Une rencontre avecl’équipe du centre culturel de San Giuliano Milanese était ainsiau programme de cette visite. Des échanges culturelsdevraient donc très prochainement être organisés. n Le personnel des deux communes s'est attaché

à préparer les futurs échanges entre Bussy et San Giuliano Milanese

Anne-Marie Trinh (au fond à droite) en compagnie des membres du comité lors de la dernière séance de travail

Comité de jumelage italien

Les bonnes volontés sont les bienvenuesJumelées depuis quelques années maintenant, Bussy Saint-Georges et San Giuliano Milanese comptent bien à l’avenir renforcer leurs liens d’amitié.C’est en tous les cas ce à quoi va s’atteler le comité de jumelage, emmené par sa

nouvelle présidente, Anne-Marie Trinh.

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Jean-Pierre Marois, dirigeant « historique »,se souvient des premiers pas de son club.« Lors d’une soirée, je suis tombé par hasard

dans un local sur deux tables de ping-pong. J’ai alorsrencontré le maire de l’époque pour pouvoir en béné-ficier et lancer un club de loisirs. J’aurais trouvé unballon de foot, j’aurais choisi ce sport », s’amuse-t-il!Les débuts du club sont plutôt modestes : « Le premier mardi d’ouverture, il n’y avait quedeux enfants. L’ascension est venue petit à petit, ensuivant la croissance de la population ». Au départ,cette activité tennis de table, accessible à tous,quel que soit l’âge et le niveau, n’était donc des-tinée qu’aux loisirs. Deux ou trois tournois ami-caux étaient organisés chaque année.

L’action de Patrick CherouxC’est en 1988, avec l’arrivée à la présidence dePatrick Cheroux, que le club a progressivementpris son essor. Avec beaucoup de détermina-tion, de dévouement et de patience, il a fait pro-gresser le club pour, de ce qui n’était que duloisir, l’amener à la qualité de sport à partentière. Sous son impulsion, l’association s’estaffiliée en 1992 à l’UFOLEP, puis à la Fédéra-tion française de tennis de table en 1995.

Patrick Cheroux a ainsi su mêler le loisir à lacompétition, tout en conservant cette convi-vialité si importante dans la vie du club.Séparé depuis 2001 de l’Association Sports etLoisirs, le club de tennis de table de Bussy, fortde ses 107 licenciés, figure aujourd’hui enbonne place dans le paysage sportif buxangeor-gien, et les résultats suivent. Il compte notam-ment dans ses rangs un championdépartemental vétéran, Pascal Proteau, et unejeune joueuse très prometteuse, Cyndi Tran,championne poussine UFOLEP. Il alignerégulièrement des équipes dans les différentschampionnats départementaux et régionaux.Présidé par Yolande Spannaccini, le club s’ap-prête à franchir une nouvelle étape les 28 et29 avril, puisqu’il a été chargé par l’UFOLEPd’organiser les championnats de France. Unvéritable honneur pour l’association et la villede Bussy, qui travaillent de concert pour quecet évènement se déroule dans les meilleuresconditions possibles. n

CONTACT: Yolande Spannaccini: 0160040625Entraînement chaque mercredi pour les jeunes et chaque jeudipour les adultes au gymnase Maurice-Herzog

Bussy accueillera donc les 28 et 29 avril2007 les championnats de FranceUFOLEP de tennis de table, au gymnase

Maurice-Herzog. Une première pour le club, quitravaille sur l’organisation de cette compétitiondepuis le mois de juin 2006 ! Il faut dire qu’en-viron 340 pongistes sont annoncés, dans 13 caté-gories allant des benjamins aux vétérans. 36 tables seront donc installées, 20 dans lagrande salle et 16 dans la salle Patrick-Cheroux.A l’instar des dirigeants du club de Bussy, Jean-Paul Pivert, responsable départemental del’UFOLEP pour le tennis de table, ne cache pas sasatisfaction d’accueillir ces championnats natio-naux dans le département, qui ne les avait plusreçus depuis 1999. Seize régions seront repré-sentées dans cette compétition qui s’annonce trèsdisputée. Les qualifications ont d’ailleurs déjà étéd’un haut niveau. Elles avaient lieu à Vulaines-sur-Seine le 4 mars pour les adultes et à Marolles-sur-Seine le 18 mars pour les jeunes. A l’heure oùnous bouclons, nous connaissons déjà 3 membresdu club qualifiés pour ces championnats deFrance : Pascal Proteau, sacré champion d’Ile-de-France, Olivier Prokopowicz, 2e chez les seniors,et Yolande Spannaccini, 4e dans la catégorie vété-ran féminine. A noter que Pascal Proteaux et Olivier Prokopowicz ont également obtenu leurqualification en double messieurs.Début des matches le samedi 28 dès 8 h 00 avecles rencontres par équipes (Coupe nationale). Lescompétitions individuelles (simples et doubles)débuteront le samedi à 14h00 avec des poules detrois dans chaque catégorie. n

CHAMPIONNATS DE FRANCE UFOLEP AU GYMNASE MAURICE-HERZOGEntrée librePhases finales de la Coupe nationale le samedi à 20h30Phases finales individuelles dimanche après-midi

Club de tennis de table de Bussy

Une longue histoire

Le tennis de table à Bussy est une vieille histoire puisqu’il fautaller jusqu’en 1983 pour remonter à la création du club, placé à l’origine sous l’égide de l’Association Sports et Loisirs.

Championnats de France UFOLEP les 28 et 29 avril

Activités sportives

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Atout seigneur tout honneur, on com-mence ce tour d’horizon par l’équipefanion du club, les seniors 1, qui ont ter-

miné la saison régulière à la troisième place de leurpoule d’excellence départementale, ce qui les qua-lifie pour les play-offs. Le maintien dans l’élitedépartementale est d’ores et déjà assuré, et ils peu-vent même prétendre à la montée en divisionrégionale. Pour cela, il faudra terminer à l’une desdeux premières places de la poule de play-offs, qui comptera 8 équipes.En promotion d’honneur départementale, lesseniors 2 ont fait encore mieux en terminant à lapremière place de leur poule. Qualifiés pour lesdemi-finales du championnat, ils sont bienplacés pour aller en finale et offrir ainsi au BussyBasket Club un troisième titre en seniors. Lamontée en championnat d’honneur départe-mental sera également en jeu.Du côté des féminines, les résultats sont un peumoins bons, mais il faut dire que les filles ontquelques circonstances atténuantes. L’équipesenior est en effet l’émanation de l’équipecadette, lancée il y a trois ans seulement. Lesjoueuses sont donc très jeunes et doivent s’adap-

ter au niveau supérieur. Elles ont terminé leurchampionnat à la 11e place, mais nul doute queles saisons futures seront meilleures. Une foisaguerries, les filles devraient en effet vite progres-ser dans la hiérarchie départementale…Quant aux équipes de jeunes, le moral et les résul-tats sont au beau fixe, puisque les benjamins,

minimes et cadets occupent tous la deuxième placede leurs championnats départementaux. L’avenirs’annonce donc radieux au Bussy Basket Club. nProchain match des seniors le samedi 28 avril à 21h, gymnase Maurice-Herzog: BBC-Le Mée

Contact:Paul Faye (Président du club) 0664911052

Zanshin Karaté Do

Laurent Aichoun, 4e danD

epuis le 27 janvier, le club Zanshin Karaté Do compte un 4e dan dans ses rangs. LaurentAichoun, professeur, vient en effet de réussir son examen de grade à Eaubonne. LaurentAichoun, qui a fondé le club de Bussy en 1992 en compagnie de son épouse, Sylvie, a

découvert le karaté dans les années 70 à la faculté des sciences de Jussieu. Il a d’emblée été attirépar le côté à la fois mental, philosophique et spirituel de ce sport, qui est devenu au fil du tempsune véritable passion. Ce professeur de sciences physiques dit ainsi retrouver dans le karaté larigueur et la rectitude qui caractérisent aussi la science.Depuis sa création en 1992, le club de Bussy a beaucoup évolué et compte aujourd’hui 350 licen-ciés. Parmi eux, une majorité d’enfants (environ 200) qui apprennent les différentes techniquesdu karaté dès l’âge de 4-5 ans, en fonction de leur éveil.Le Zanshin Karaté Do est un club familial qui réunit beaucoup de parents et d’enfants : de nom-breux entraînements et stages groupés sont donc organisés. Depuis le début de l’année, il vient delancer un nouveau cours de self-défense, où le public apprend des techniques efficaces pour sedéfendre. Laurent Aichoun encourage tous les licenciés du club à poursuivre leur progression.« Beaucoup d’élèves s’arrêtent à la première dan, et à l’obtention de la ceinture noire, mais c’est un tort,affirme-t-il. Plus on fait de karaté, que ce soit en compétition ou non, plus on prend plaisir à en faire. »Les entraînements se déroulent chaque mercredi et samedi au gymnase Michel-Jazy. n

Contact: Sylvie ou Laurent Aichoun - 01 60 43 06 88

Bussy Basket Club

Les seniors en lice pour la montéeA la mi-saison, il est grand temps de faire un premier bilan pour le Bussy Basket Club, dont les 6équipes engagées dans les championnats départementaux portent bien haut les couleurs de la ville.

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Stages multisports de février

Les enfants en redemandentGymnastique, lutte, basket, ping-pong, corde à sauter, jonglage, et même patinage : les 31 enfants inscrits aux stages multisports organisés par le service des sports de la ville durantles vacances de février n’ont pas chômé ! Idéal pour passer de bonnes vacances, très sportives…

Tom, 11 ans, est un habitué de ces stagespuisque c’est la quatrième fois qu’il y par-ticipe, et à l’entendre, ce n’est sûrement pas

la dernière! « J’aime bien le sport, et ces stages sontbien organisés, nous raconte-t-il. On fait plusieursactivités, les animateurs sont sympas et nous appren-nent bien les différentes règles des sports que l’on pra-tique. » Il faut dire qu’Aline, Nicolas, Daniel etYvan, les quatre animateurs, sont parfaitementrôdés pour ces stages qui se déroulent à chaquevacance scolaire, sauf à Noël. Le gros plus, c’est lagamme d’activités abordées à chaque fois. Toutesles heures, les animateurs changent en effet desport afin de varier les plaisirs. Et quand le temps

le permet, ils en profitent pour proposer le maxi-mum d’activités à l’extérieur. Espérons d’ailleursque les vacances de Pâques seront un peu plusensoleillées que celles de février…Comme Tom, Magalie et Joana ne cachent pasleur enthousiasme. « C’est trop bien, clament-ellestoutes les deux. Au moins, pendant qu’on fait dusport, on n’est pas devant la télévision… Et ça nouspermet aussi de découvrir d’autres disciplines quel’on ne pratique pas forcément à l’école. » A chaquestage, des sorties sont ainsi organisées. Au moisde février, les 31 sportifs en herbe ont pu décou-vrir les joies de la glisse à la patinoire de Neuilly-sur-Marne. Et comme chaque année à Pâques,

la natation sera proposée aux jeunes Buxangeor-giens afin de leur permettre d’apprendre à nager.« Comme les enfants n’apprennent pas à nager àl’école, on profite de ces stages pour qu’ils aient l’op-portunité de passer leur diplôme de 25 m,explique Aline. Normalement, au bout de 10séances, ils savent déjà se débrouiller dans l’eau.Jusqu’ici, on n’a encore jamais eu d’échec… » Avis, donc aux jeunes apprentis nageurs… n

STAGES DES VACANCES DE PÂQUES: du mardi 10 au vendredi 13 avril et du lundi 16 au jeudi 19Inscription au service des Sports jusqu’au vendredi 6 avrilRenseignements au 0164666880

LE PROGRAMME DU STAGE EST LE SUIVANT:1er jour: (Gymnase Maurice-Herzog)

ß Présentation du matériel de pêche

ß Réalisation de nœuds

ß Montage de lignes et équilibrage de flotteurs

ß Réglementation/Sécurité

2e jour (Gymnase Maurice-Herzog)ß Présentation des appâts

ß Présentation des amorces (farines, graines, vers de base)

ß Préparation des amorces

ß Présentation du milieu halieutique

3e au 5e jour (Ile mystérieuse)ß Pêche au coup

6e jour (Ile mystérieuse)ß Concours entre les participants et remise de coupes

Le poisson capturé sera remis à l’eau

Le Pêcheur de Marne-la-Vallée organise en partenariat avec la Fédération Dépar-tementale de pêche de Seine-et-Marne un stage d’initiation pour les jeunes de 10 à 16 ans. Il se déroulera du 16 au 21 avril de 14 à 17h. L’association fournit lematériel, les appâts, les amorces, le permis « exonéré ».

Une participation de 36 euros sera demandée pour la semaine de stage.Pour vous inscrire ou obtenir plus de renseignements, vous pouvez prendre contact avec Pascale Sabotier au 0683508409. Un formulaire sera à remplir, accompagné d’un chèque de 12 eurosen acompte sur le stage. Les participants doivent être âgés de 10 ans minimum.

Avec Le Pêcheur de Marne-la-Vallée

Stage d’initiation à la pêche

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Courrier des lecteurs

Monsieur,

Monsieur le Maire m’a bien transmis votre message, qui a retenutoute notre attention.Depuis plusieurs années, le stationnement en centre-ville était deve-nu impossible pour les habitants. De nombreux véhicules d’usagersdu R.E.R dont beaucoup n’habitent pas Bussy Saint-Georges station-naient de façon permanente, notamment devant les commerces, pri-vant ainsi ces derniers d’une partie de leur clientèle et gênant au-delàdu supportable les habitants de notre commune.Les Buxangeorgiens ne supportaient plus les nombreux véhicules qui

stationnaient à longueur de journée sur la voie publique, les empêchant de trouver des places dispo-nibles de stationnement.Après une large concertation, la municipalité a mis en place les zones vertes et bleues, le stationne-ment payant par horodateur ayant été rejeté par une large majorité d’habitants.La zone bleue est destinée à assurer une fréquente rotation des véhicules de manière notamment àpermettre à la clientèle des magasins de trouver le plus de places disponibles à tout moment.Le stationnement sur ces places ne doit en aucun cas être permanent, sous peine de paralyser le système.Pour cette zone il faut utiliser un disque bleu.La zone verte est plus particulièrement destinée aux riverains, aux commerçants. Sur cette zone, lestationnement est autorisé par demi-journées.Un véhicule peut donc y stationner une journée avec un seul changement de disque.Ce système de stationnement ne permet pas de délivrer des badges distinctifs aux habitants de notre ville.Par ailleurs, nous invitons les habitants du centre ville à utiliser les parkings des immeubles d’ha-bitation où ils résident de façon à optimiser l’offre en matière de places de stationnement.En cas de suppression de ces zones, plus aucune rotation de véhicules ne s’effectuerait, paralysantainsi le centre-ville de notre commune.Ainsi, plus aucune place ne serait disponible pour stationner votre véhicule !Le fonctionnement de ces zones de stationnement a permis de constater une grande amélioration queles commerçants, leur clientèle et les riverains confirment sans hésitation.Les usagers du RER disposent d’un parking de stationnement régional où ils peuvent stationner leurvéhicule et utiliser ensuite les transports en commun. Un tarif préférentiel est réservé auxBuxangeorgiens.Concernant le problème ponctuel de verbalisation que vous avez rencontré, sachez que les agents quisont chargés de faire respecter la réglementation ont pour instruction de le faire avec discernement.Ils effectuent cette difficile mission avec pour objectif de permettre un partage équitable de la voiepublique entre les usagers, ce qui peut parfois poser quelques difficultés.Espérant avoir répondu à votre attente, et nous tenant à votre disposition pour toute autre informa-tion, nous vous prions de croire, Monsieur, à l’expression de nos sentiments les meilleurs.

Olivier MARTELMaire-adjoint,

chargé de la Préventionet de la Sécurité

COURRIEL DU15 FÉVRIER 2007

Stationnement

Monsieur le Maire,

Je vous écris pour montrer mon indi-gnation sur l’inégalité faite entre lesautomobilistes de Bussy. Habitant rueAlain Peyreffite, et ne possédant qu’unseul emplacement de parking, je suisforcé de stationner dans la rue. Or, lejeudi 15 février 2007, je me suis fait ver-baliser par un agent de la police muni-cipale pour un dépassement de 30minutes, ce que je ne conteste pas. Eneffet, j’attendais l’employée familiale quigarde mon enfant (faute de trouver unmode de garde satisfaisant avec leshoraires décalés de mon épouse et moi-même).Comme vous le savez, la rue Alain-Pey-reffite est une rue sans issue en zoneverte avec une interdiction de station-ner au bout de celle-ci. Alors, pourquoil'agent de la police municipale verbalisetous les véhicules dans la zone vertesans verbaliser les 7 véhicules présentssur l'espace vert signalé par l'interdic-tion? Y aurait-il quelconque favoritismepour les stationnements génants sur lacommune de Bussy.Dans l'attente d'une réponse, veuillezcroire, Monsieur le Maire en l'expres-sion de mes salutations sincères.

Un habitant

RÉPONSE ENVOYÉE PARCOURRIEL LE 20 FÉVRIER 2007

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100% innocent !Heureusement qu’il existe dans cepays une justice impartiale. Elle afinalement tranché. Après quatreannées de procédure et d’acharne-ment, la vérité a enfin éclaté au Tri-bunal correctionnel de Meaux.Après avoir été traîné dans la boue,et humilié pendant des années deprocédure, moqué par ses ennemiscomme par ses faux amis, dans uneaffaire montée de toutes pièces, leTribunal correctionnel de Meaux,lors de son audience du mardi20 mars 2007, a rendu son juge-ment. Hugues Rondeau a été per-sonnellement relaxé de l’ensembledes chefs d’accusation retenus à sonencontre. Une décision juste, dontla majorité municipale se félicite, etqui tranche radicalement avec l’ins-truction menée essentiellement àcharge, dans laquelle les considéra-tions politiques, pour ne pas direpoliticiennes, étaient loin d’êtreabsentes. Les juges du tribunal, loinde se laisser impressionner par cesmanœuvres, l’ont bien compris. Jus-tice est faite aujourd’hui.Rappelons également que cetterelaxe intervient après les deux non-lieux prononcés le 27 novembre2006 concernant le marché de net-toyage et le marché de l’éclairagepublic. En tant que maire, HuguesRondeau a assumé le fait d’être res-ponsable. Même de la moindreerreur administrative. Cela ne faisaitpas de lui pour autant le coupableidéal. La Justice du pays l’a reconnu.Qu’on se le tienne pour dit!

Olivier MARTELMaire-Adjoint chargé de laPrévention et de la Sécurité

Mais pourquoi tant de haine ?Ah, les lenteurs de la Justice...Qui se souvenait encore que notremalheureux maire était poursuividepuis 1999 au sujet de la passa-tion du marché public d'audit dela commune, qu'il aurait attribuémalencontreusement à 2 entre-prises ayant le même gérant?L'affaire est passée en Correction-nelle le 22/02/2007 (http://reus-sirbussy.free.fr)Et notre maire, toujours scrupu-leux en matière de procédures, ademandé au conseil municipall'autorisation d'engager les fraisd'avocats nécessaires au traite-ment du dossier... dès le lende-main du procès !Admirable désintéressement de ceshommes de loi qui ont sans nul douteoeuvré gratis pendant ces 8 ans.Il faut dire que le maire est poureux un gros client.Le jugement sera rendu le20/03/2007.Que de déboires.Depuis le 10 février 2006, il estsuspendu de son pouvoir de signerles documents qui engagent notrecommune A ce qu'il avait pré-tendu, il s'agissait d'une « brou-tille », la situation devant senormaliser rapidement.Il n'en a rien été. Devons-nous endéduire que les faits sont plusgraves que ce qu'on a bien voulunous en dévoiler?Monsieur Rondeau se répand enconstantes imprécations contredes « ennemis » toujours plusnombreux, selon lui, à vouloir saperte. Il vitupère contre tout l'uni-vers : l'odieux Epamarne, le Préfetmalveillant, la Cour des Comptespartiale, les méchants journalistes,les opposants perfides... Car tous ont tort : lui seul connaîtLA Voie, et il nous guide: suivons-le, c'est tout droit.Droit dans le mur.

Mireïo VILLENAVEGroupe Pour Réussir Bussy

[email protected]

L’avenir de Bussy etson environnementUne Charte de qualité environne-mentale a été réalisée par Epa-marne dans le cadre de la zoned'aménagement concerté (ZAC)de Léonard de vinci. Avec en lignede mire le développementdurable, cette démarche impliquel'ensemble des acteurs locaux :collectivités territoriales, l’aména-geur, et les entreprises.

Elle vise une utilisation qualitativeet cohérente du territoire : valori-sation du patrimoine, transitionentre les milieux naturels et urba-nisés, choix des matériaux deconstruction. Elle incite les entre-prises à adopter une démarcheenvironnementale : limitation dela consommation des énergies etde la pollution, réduction deseffluents et déchets, modes detransport propres et économes enénergie. La charte sera jointe auxactes de vente, les entreprises s’en-gageant à la respecter.

Cette charte tombe à pointnommé et rejoint les proposi-tions que nous avons faites lorsde l’enquête publique de cettezone en juin 2006 (cf http://avenirdebussy.free.fr). C’est aussi pour nous un engage-ment fort pour préserver cetespace, « dernier poumon vert dela commune », contre tout urba-nisme sauvage et inconsidéré.

A l’instar du concept de « parcs etjardins » initié par Epamarne àl’origine des villes nouvelles, nouslui demandons d’étendre cettedémarche à toutes les futureszones d'activités de la ville pour lebien-être des habitants et pourl’avenir de Bussy.

Régine BRUANDET, Nabia PISI

Nicole BRILLEAU-VALTEL,Groupe Union

pour l’avenir de Bussy

Trop, c’est trop !Un coup de gueule pour cette tri-bune. Oui, je suis en colère d’assis-ter au triste spectacle de la pseudoopposition municipale, au-delàdes opinions politiques dechacun. Mais qu’on les lâche unpeu ! Cette équipe travaille. Lesrésultats sont là pour en témoi-gner. Certes, tout n’est pas parfait,mais cette situation idylliquen’existe dans aucune commune deFrance. Or, ici, tout est plus diffi-cile qu’ailleurs. L’Etat a déserté lesvilles nouvelles. Bussy n’est pasachevée et doit faire face, seule, àses obligations. Dans ce contexte,la Municipalité ne se débrouillepas si mal. 350 places de crèchesviennent d’être signées, une fabu-leuse piste d’athlétisme est en pré-paration, et bien d’autreséquipements publics qui nousfont aujourd’hui tant défaut. Letout sans augmentation annoncéedes impôts locaux. La ville a opéréson redressement avec sérieux. Ilfaut le reconnaître, le travailmunicipal est sur de bons rails.Personnellement je n’ai pas tou-jours été d’accord, mais je doism’incliner aujourd’hui devant lavérité des faits. Ma conception del’action politique ne corresponden rien avec cette opposition sté-rile qui nous montre au fil desmois son aveuglement et sonincompétence. Il ne faut pas avoirhonte de reconnaître ce qui estbien, lorsque c’est bien. Pourquoiprétendre le contraire ? Lorsquel’action municipale était digne àmes yeux de critiques, je les aipubliquement exprimées. Aujour-d’hui, je modère mon propos, parsimple esprit d’objectivité.

Marie-Christine LIGNON-FARRET

Groupe « Protegeons Bussy »

Tribunes

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LE MAGAZINE MUNICIPAL D’INFORMATIONS DE BUSSY SAINT-GEORGESN° 87 - Mars 2007Réalisation: Service communication, Hôtel de Ville, place de la Mairie, 77600 Bussy Saint-Georges.DIRECTEUR DE LA PUBLICATION: Hugues Rondeau.DIRECTEUR DE LA COMMUNICATION: Philippe Nicolas.RÉDACTEURS: Fabienne de Fromentel, Fabien Jambart, PhilippeNicolas, Martine Werlé, [email protected]: Stéphane Brame.PHOTOGRAPHE: Thierry Labonne, Jessica Fourneau, Muriel Roux, FabienGroue, Tout en photo 0687252300MAQUETTE, MISE EN PAGE: Eric Stetten, E-Medi@ - 0140802233.IMPRESSION: le Reveil de la Marne.DÉPÔT LÉGAL: Mars 2007. ISSN: 1284-1978.

INFORMATION CONCERNANT LA PUBLICATION DES ACTES D’ÉTAT CIVIL :Les dispositions de l’article 9 du code civil,aux termes desquelles chacun a droit au respect de sa vieprivée,s’opposent notamment à la divulgation par les autorités publiques,telles les municipalités,àdes tiers, quelle qu’en soit la qualité, de tout élément de la vie privée d’une personne sans leconsentement de celle-ci. L’utilisation par les officiers d’état civil à des fins de communicationpersonnalisée des informations portées sur les registres dontils sontresponsables n’a pas été prévuepar le décret modifié n°62-921 du 3 août 1962, dont les dispositions restrictives, prévoyant un accèslimité au registre etdes règles strictes de publicité des actes de l’étatcivil,ontété édictées dans le soucide respecter la confidentialité de la vie privée.Ainsi,les officiers d’état civil s’exposent à des sanctionspénales s’ils ontcontrevenu aux dispositions réglementaires concernantnotammentla publicité desactes d’état civil (article R.645-3 du code pénal).Il est toutefois possible de considérer qu’un accord exprès des intéressés permet une publication.Dans ce cas, l’officier d’état civil prévoira de recueillir cet accord par écrit afin de se prémunir contretoute éventuelle plainte ultérieure.

ETAT CIVILNaissancesLe 23 novembre 2006 RAMESHKUMAR AbineshLe 27 novembre 2006 SANCHEZ ManaoLe 27 novembre 2006 LAURENT Laurriane Le 28 novembre 2006 PAGE AydenLe 28 novembre 2006 PAGE AngieLe 29 novembre 2006 PLUCHON LaureLe 1er décembre 2006 de ARRIBA EmmaLe 2 décembre 2006 MAURICIA YanisLe 4 décembre 2006 HADID RyanLe 4 décembre 2006 HANOT LaurenLe 4 décembre 2006 MEN SovannitaLe 4 décembre 2006 HOUANGNI RaphaëlLe 4 décembre 2006 NGUYEN AnaïsLe 5 décembre 2006 ANTOSZCZYK SaraLe 5 décembre 2006 ARAUX RomainLe 7 décembre 2006 WAWA ZANGANO KevineLe 11 décembre 2006 DRIEUX ClaraLe 13 décembre 2006 BUN FlorianeLe 13 décembre 2006 GADILLE BastienLe 13 décembre 2006 PETILAIRE-BELLET EnzoLe 14 décembre 2006 LENIN MarionLe 16 décembre 2006 DUBOIS JuliaLe 16 décembre 2006 SAURY TimothéeLe 17 décembre 2006 LEVEQUE TomLe 17 décembre 2006 ZEGHOUD MarieLe 18 décembre 2006 BOYER MaélysLe 20 décembre 2006 APETOR SaskyaLe 21 décembre 2006 BALECKITA Michèle-EmmanuelleLe 23 décembre 2006 MALOU Soraya-Emmanuelle Le 25 décembre 2006 DESJARDINS Théodor Le 25 décembre 2006 AHSEEK Sara Le 26 décembre 2006 VO PHUOC Tuan Le 26 décembre 2006 ADEYEMI ZahiraLe 28 décembre 2006 BELAID MaëlleLe 28 décembre 2006 HENG Anthony Le 29 décembre 2006 MARLIER CassandraLe 29 décembre 2006 ALMAS EthanLe 30 décembre 2006 BOUHALASSA LinaLe 30 décembre 2006 LAM CathyLe 31 décembre 2006 CUYAUBERE Elisa

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Vie pratique

Par arrêté de Monsieur le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, endate du 15 janvier 2007 publié au J.O. du 24 janvier 2007,

Melle Bernadette LONC a été nommée titulaire d’un office de Notairenouvellement créé dans la ville de Bussy Saint-Georges ; En cettequalité, elle a prêté serment en l’audience du Tribunal de GrandeInstance de Meaux, le 15 février 2007.Le siège de cet office est : Immeuble Le Millenium

9, boulevard Mendès-France - 77 600 Bussy Saint-GeorgesTél. 01 64 76 06 10 - Fax : 01 64 76 04 05

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MÉDECINS GÉNÉRALISTESDr Apithy au 0164667488Dr Bachelard-Coppinau 0164660133Dr Hoffmann-Ravelosonau 0164 668888Dr Ho-Nguyen au 0164660784Dr Klein au 0164660609Dr Le Bozec au 0145146600Dr Porro au 0164663333Dr Renaud au 0145146600Dr Ternon au 0164663333Dr Zaghlan au 0164667682Dr Seing au 0164772954

MÉDECIN ACUPUNCTEURDr Seing au 0164772954

MÉDECINS HOMÉOPATHESDr Hoffmann-Ravelosonau 0164668888Dr Ternon au 0164663333

MÉDECIN NUTRITIONNISTEDr Ho-Nguyen au 0164660784

CARDIOLOGUESDr Peyrot au 0164764742Dr Lussato au 0164764742Dr Jeunet-Hurreesingau 0164669121

ENDOCRINOLOGUEDr Jugie-Rongierau 0164660450

DENTISTESDr Dang au 0164660860Dr Dang-Vo au 0164668264

Dr Fourcade au 0164668264Dr Jeanlin au 0164660860Dr Lu au 0164669595Dr Naili au 0164662525Dr Solinhac au 0164662525Dr Vernier au 0164662525

ORTHODONTISTESDr Ho Vo Tuan au 0164661000Dr Mazanek au 0164661000

DIÉTÉTICIENNEMme Bertrand au 0164770142

GYNÉCOLOGUES-OBSTÉTRICIENSDr Séguret au 0164668659Dr Barbotin au 0164763737Dr Hozer au 014899 1437

MASSEURS-KINÉSITHÉRAPEUTESMme Barbé au 0164661012M. Barthos au 0164660036M. Champrobert au 0164660902M. Jacquesson au 01 64660036M. Lemaire au 0164661012M. Martin au 0164660939

OSTÉOPATHESM. Blusseau au 0164661579M. Coste au 0164 660143M. Faverolle au 0164667927M. Martin au 0164660939M. Teissedre-Dalou au 0616303738Mme Trecul au 0164662892

THÉRAPEUTE MANUELM. Morin au 0164660143

OPHTALMOLOGISTEDr Bokobza au 0164772279

ORTHOPHONISTESMme Bertrand au 0164662009Mme Duchaussoy au 0164772428Mme Facundo au 0164668935Mme Grangeard au 0164662009Mme Oudin-Joly au 0164662009Mme Lemaire au 0164668935

PÉDIATRESDr Buzot au 0164662716Dr Séguret au 0164664280

PÉDICURES-PODOLOGUESMlle Chardaire au 0160431692M. Dessaux au 0164667862Mme Olier au 0164661484

CENTRE DE RADIOLOGIECentre Galilée au 0164768094

PSYCHOLOGUES,PSYCHOTHÉRAPEUTESPSYCHANALYSTESMme Antok au 0664009061Mme Durussel au 0609 36 76 79Mmes Ferreira et Jouannaudau 0164663399Mme Ferrieu au 0608426201Mme Rodier au 0164663069M. Stecher au 0164660420Mme Truchet au 0603208057

GRAPHOTHÉRAPEUTEMme Sirica au 0668607036

SAGES-FEMMESMme Jacobee et Mme Bretau 01 64662283

INFIRMIÈR(E) SMme Boulle et Mme Vesseronau 0164661731Mme Dozias-Maerte, Mme Hametet Mme Publierau 0164661133Mme Saint-Martin, M. Hibon, etM. Bulardau 0164660577

VÉTÉRINAIRESDr Leroux au 0164668484Dr Lacaze-Masmonteilau 0164668484

PHARMACIESPharmacie Ancel au 0164772950Pharmacie de la Croix Saint-Georgesau 0164661796Pharmacie de la Gare au0164 66 9007Pharmacie Huron au 0164668669Pharmacie du RER au 0164669084

LABORATOIRES D’ANALYSESMÉDICALESDr Harrabi au 0164662727Dr Rostoker au 0164772121

RELAXOLOGUEMme Fayada au 0164763117

THÉRAPEUTE PSYCHO-CORPORELPraticienne en PNL humanisteMme Aubard au 0666008755

ENERGÉTIQUE TRADITIONNELLECHINOISEM. Baldin au 0164661279Mme Meyer au 0660588050

PROFESSIONS MÉDICALES - PARA-MÉDICALES - BIEN-ÊTRE

LE SERVICE SOCIAL EFFECTUE :Le lundi matin de 9 h 00 à 12 h 00,une permanence sur rendez-vous.Elle sera assurée à tour de rôle par Madame DELASSUS et Madame MOAL,(assistantes sociales).Pour prendre rendez-vous,vous pouvez contacter le secrétariat,Madame TAVERNIER,au 01 69 67 44 04.

CAISSE D’ALLOCATIONS FAMILIALESPlus de permanences en mairie.Accueil sans rendez-vous au 4, rue Saint-Hubert à Chelles,du lundi au vendredi de 9h à 11h30 et de 14h à 16h30.Tél. 0164724686Permanences à Lognes, lundi,mardi et mercredi de 9h à 11h30 sur rendez-vousau 0164724686

PSYCHOLOGUE POUR ENFANTS ET ADOLESCENTSMademoiselle Binot vous reçoit:mercredi de 9h à 13h et de 14h à 18h, jeudi etvendredi de 14h30 à 18h30 et un samedi par mois de 9h à 13h.Sur rendez-vous uniquement au 0684514242

CONCILIATION – ASLMonsieur Luciani vous reçoitsur rendez-vous uniquement.Conciliation:vendredi après-midi.ASL: lundi matin.Tél. 0164666879

NOTAIRESur rendez-vous uniquementau 0164666879

AVOCATPermanence le 1er jeudi de chaque moisde 16h à 18h. Sans rendez-vous.Renseignements au 0164662424

AIDE JURIDIQUEUn consultant juridique du CCASen partenariat avec l’AVIMEJ assureune permanence et proposeune information générale sur les droits et obligations.Il vous reçoit sur rendez-vous uniquement auprès duCCAS au 0164666192

EGEE (ENTENTE DES GÉNÉRATIONS POURL’EMPLOI ET L’ENTREPRISE)Vous avez un projet de reprise d’entreprise,de créa-tion d’une structure de typeartisanal,commercial ou industriel,le conseiller de l’association EGEE peut vousaccompagner dans votre approche.Sur rendez-vous uniquementau 0164666879

Depuis le 1er septembre,des permanences et consultationsde PMI et planification vous sont proposées au :Relais Assistantes Maternelles11 Rue de la Pyramide

Le jeudi de 9 h 00 à 11 h 00, sans rendez-vous,une permanence de Puéricultrice, parMadame BRAULT

Le mercredi matin de 9 h 00 à 12 h 00, sur rendez-vous,une consultation nourrisson par le Docteur FAIBIS

Pour prendre un rendez-vous, vous pouvez appeler le secrétariat de la P M IMadame LEMAITRE au 01 69 67 44 52Madame PICOUT au 01 69 67 44 51

Le mercredi de 13 h 30 à 17 h 00, sur rendez-vous,une consultation de planification par leDocteur MARINIERpour cela vous pouvez joindre Madame LAURENT,secrétaire au 01 69 67 31 63

DES PROFESSIONNELS À VOTRE SERVICE

Vie pratique

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Journal de bussy numéro 87