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HYMNE DES NONES Paroisse Saint-Sauveur - 38 rue de la Fosse Marine - 37100 Tours - 02 47 54 46 19 - [email protected] 2011 Juillet-août Ça y est : l’été est là ! Vacances, pour les uns. Travail pour les autres. Mais pour tous, changement de rythme et d’habitude. Il convient cependant de ne pas laisser tomber notre vie spirituelle. Comment faire pour continuer de nourrir notre foi, alors même que les paroisses tournent par- fois au ralenti ? Voici une occasion privilégiée de se saisir d’un trésor de l’Église, la liturgie des heures ! Encore appelée l’office divin, elle est l’ensemble des priè- res qui rythment de manière journalière toute la vie de l’Église. Elle est composée des différents moments sui- vants : 1.les laudes, comme prière du matin, et les vêpres, comme prière du soir, qui constituent les deux mo- ments forts de la journée. 2.Les complies avant de ren- trer dans le repos de la nuit. 3.L’office des lectures, qui correspond aux matines ou aux vigiles (quand il est un peu plus déployé), nor- malement chanté la nuit, mais qui a été adapté pour pouvoir être récité à n’im- porte quelle heure du jour. Il est appelé ainsi parce qu’il laisse plus de place à la lecture de la Sainte Ecriture, et qu’il comporte une lecture spi- rituelle. 4.Les petites heures, tierce, sexte et none qui sont de petits offices, au milieu de la matinée, à midi, et au milieu de l’après-midi. On peut remarquer que la récitation des psaumes est le fondement de la liturgie des heures. Ainsi, sur quatre semaines, l’ensemble des 150 psaumes est prié. En plus de cela, il y a toujours la lecture d’un passage de la Bible, des antiennes et des répons, ainsi qu’une oraison dite par celui qui préside la prière. La liturgie des heures trouve son origine et sa raison d’ê- tre dans la prière même du Christ Jésus. Elle en est le prolongement. Par elle, ne cesse de résonner le chant de louange, l’hymne céleste qui glorifie Dieu, que notre sauveur a introduit dans notre monde. Par elle, la grande prière d’intercession du Christ pour le monde se perpétue sans interruption. Certes l’Eucharistie accom- plit déjà d’une manière su- réminente cette continua- tion de la prière du Christ, mais la particularité de l’offi- ce divin c’est de la rendre incessante, de l’étendre à tout le déroulement du temps, et de consacrer ainsi tout le cycle du jour et de la nuit. Elle est « comme le complément nécessaire de tout le culte divin exprimé dans le sacrifice eucharisti- que, pour imprégner toutes les heures de la vie des hommes » (cf. Paul VI, Cons- titution apostolique promul- guant l’office divin). « Sanctifier la journée et toute l’activité humaine est l’un des but de la Liturgie des heures » (Présentation Générale de la Liturgie des Heures, §11). C’est donc une réelle œuvre de salut qui s’opère par cet- te prière de l’Eglise, dans et par laquelle le Christ est pré- sent et agissant, pour rame- ner le cœur des hommes vers son Père, pour rassem- bler dans l’unité les enfants de Dieu dispersés. Si la liturgie des heures est spécialement confiée aux prêtres ainsi qu’aux ordres monastiques et religieux, elle n’en demeure pas moins la prière de toute l’Église. Tous les baptisés sont concernés par cette prière incessante, et ils sont vive- ment invités à y prendre part. Leur participation constitue d’ailleurs un pré- cieux témoignage : tout d’a- bord parce que c’est lorsque les fidèles sont rassemblés pour la prière que la nature communautaire de l’Église est le mieux manifestée, et ensuite parce qu’ils expri- ment au monde la vocation de tous les hommes à vivre en présence de Dieu et à entrer dans la vie éternelle. Alors, seul ou à plusieurs, chez soi ou dans une église, n’hésitons pas selon nos disponibilités à prier l’un ou l’autre de ces offices... www.saint-sauveur.doyenne-tours-nord.fr ÉDITO DU PÈRE FRANÇOIS SIMON Berger puissant qui nous conduis, Tu nous as faits pour ta lumière ; Et par delà ce jour trop bref Tu nous emmènes dans ta gloire. À travers l'œuvre de tes mains, Nos cœurs déjà te reconnaissent ; Mais le désir de ton amour Toujours plus loin poursuit sa quête. Nous voulons voir à découvert L'éclat radieux de ton visage. Dans l'aujourd'hui de ton appel, Prépare en nous le face-à-face.

Journal paroisse Saint-Sauveur juillet-août 2011

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Journal paroisse Saint-Sauveur juillet-août 2011

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Page 1: Journal paroisse Saint-Sauveur juillet-août 2011

HYMNE DES NONES

Paroisse Saint-Sauveur - 38 rue de la Fosse Marine - 37100 Tours - 02 47 54 46 19 - [email protected]

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Juillet-août

Ça y est : l’été est là ! Vacances, pour les

uns. Travail pour les autres. Mais pour tous, changement de rythme et d’habitude. Il convient cependant de ne pas laisser tomber notre vie spirituelle. Comment faire pour continuer de nourrir notre foi, alors même que les paroisses tournent par-fois au ralenti ? Voici une occasion privilégiée de se saisir d’un trésor de l’Église, la liturgie des heures ! Encore appelée l’office divin, elle est l’ensemble des priè-res qui rythment de manière journalière toute la vie de l’Église. Elle est composée des différents moments sui-vants : 1.les laudes, comme prière

du matin, et les vêpres, comme prière du soir, qui constituent les deux mo-ments forts de la journée.

2.Les complies avant de ren-trer dans le repos de la nuit.

3.L’office des lectures, qui correspond aux matines ou aux vigiles (quand il est un peu plus déployé), nor-malement chanté la nuit, mais qui a été adapté pour pouvoir être récité à n’im-porte quelle heure du jour. Il est appelé ainsi parce qu’il laisse plus de place à la lecture de la Sainte Ecriture, et qu’il comporte une lecture spi-rituelle.

4.Les petites heures, tierce, sexte et none qui sont de petits offices, au milieu de la matinée, à midi, et au milieu de l’après-midi.

On peut remarquer que la récitation des psaumes est le fondement de la liturgie des heures. Ainsi, sur quatre semaines, l’ensemble des 150 psaumes est prié. En plus de cela, il y a toujours la lecture d’un passage de la Bible, des antiennes et des répons, ainsi qu’une oraison dite par celui qui préside la prière. La liturgie des heures trouve son origine et sa raison d’ê-tre dans la prière même du Christ Jésus. Elle en est le prolongement. Par elle, ne

cesse de résonner le chant de louange, l’hymne céleste qui glorifie Dieu, que notre sauveur a introduit dans notre monde. Par elle, la grande prière d’intercession du Christ pour le monde se perpétue sans interruption. Certes l’Eucharistie accom-plit déjà d’une manière su-réminente cette continua-tion de la prière du Christ, mais la particularité de l’offi-ce divin c’est de la rendre incessante, de l’étendre à tout le déroulement du temps, et de consacrer ainsi tout le cycle du jour et de la nuit. Elle est « comme le complément nécessaire de tout le culte divin exprimé dans le sacrifice eucharisti-que, pour imprégner toutes les heures de la vie des hommes » (cf. Paul VI, Cons-titution apostolique promul-guant l’office divin). « Sanctifier la journée et toute l’activité humaine est l’un des but de la Liturgie des heures » (Présentation Générale de la Liturgie des Heures, §11). C’est donc une réelle œuvre de salut qui s’opère par cet-te prière de l’Eglise, dans et

par laquelle le Christ est pré-sent et agissant, pour rame-ner le cœur des hommes vers son Père, pour rassem-bler dans l’unité les enfants de Dieu dispersés. Si la liturgie des heures est spécialement confiée aux prêtres ainsi qu’aux ordres monastiques et religieux, elle n’en demeure pas moins la prière de toute l’Église. Tous les baptisés sont concernés par cette prière incessante, et ils sont vive-ment invités à y prendre part. Leur participation constitue d’ailleurs un pré-cieux témoignage : tout d’a-bord parce que c’est lorsque les fidèles sont rassemblés pour la prière que la nature communautaire de l’Église est le mieux manifestée, et ensuite parce qu’ils expri-ment au monde la vocation de tous les hommes à vivre en présence de Dieu et à entrer dans la vie éternelle. Alors, seul ou à plusieurs, chez soi ou dans une église, n’hésitons pas selon nos disponibilités à prier l’un ou l’autre de ces offices...

www.saint-sauveur.doyenne-tours-nord.fr

ÉDITO DU PÈRE FRANÇOIS SIMON

Berger puissant qui nous conduis, Tu nous as faits pour ta lumière ; Et par delà ce jour trop bref Tu nous emmènes dans ta gloire.

À travers l'œuvre de tes mains, Nos cœurs déjà te reconnaissent ; Mais le désir de ton amour Toujours plus loin poursuit sa quête.

Nous voulons voir à découvert L'éclat radieux de ton visage. Dans l'aujourd'hui de ton appel, Prépare en nous le face-à-face.

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C ’est à l’appel du Père Bruno Guicheteau, que

nous sommes venus plu-sieurs dimanches, avec quel-ques uns de nos enfants, à la Table Ouverte proposée par la paroisse. Le principe est simple. Par-

tager le repas du dimanche chaque mois avec ceux qui le souhaitent : familles, per-sonnes seules, prêtres de la paroisse, habitants du quar-tier, souhaitant vivre en-semble un moment de convivialité.

Abondance, qualité, variété caractérisent le menu. Quel-ques foyers ont revêtu la tenue de service pour pré-parer le déjeuner et le servir à toute l’assemblée réunie. Au fil des mois nous avons tissé des liens avec nos amis de la Table Ouverte, Chris-tian, Michel, Didier, Mo-

hammed…, que nous som-mes heureux de retrouver chaque fois. Grâce à eux, nous avons ou-vert notre famille aux au-tres. Nous espérons que nous leur apportons aussi quelque chose.

Anne-Sophie et Rémi Fournereault

RÉTROSPECTIVE DU CCFD TOURS NORD

S amedi soir 14 mai 2011, à Notre Dame de l’Euro-

pe, nous avons vécu une excellente soirée pour fêter « les 50 ans du CCFD » à la manière de Tours Nord. Nous étions d’abord accueil-lis autour d’un buffet, ce qui donnait une note très convi-viale à cette rencontre. Ce

fut un vrai bonheur de re-trouver des visages connus mais aussi la bonne surprise de rencontrer des person-nes un peu perdues de vue. En seconde partie, nous étions invités à remémorer les souvenirs des courses « Terre d’Avenir » qui se

sont déroulées de 1990 à 2007 avec le CCFD Tours

Nord. Nous avons eu une pensée pour ceux qui se sont inves-tis et qui nous ont quittés. Nous avons évoqué Sœur Yvonne et d’autres bénévo-les, présents sur l’écran, disparus eux aussi. Un diaporama, montrant

l’éventail des différentes années et lieux : avenue du

Danemark, avenue de l’Eu-rope et la Milletière, nous a ramenés en arrière où cha-cun a pu se dire : « comme j’étais jeune ! » Le bénéfice de chaque mani-festation était destiné a un pays en voie de développe-ment. Tous les continents ont été représentés. Merci aux organisateurs et aux petites mains qui ont préparé cette soirée, à la présence des représentants CCFD du diocèse et de la région, à tous ceux qui ont répondu et honoré de leur présence cette sympathique et joyeuse soirée.

Marie-Françoise Poisson

& Articles

TÉM

OIG

NA

GES

TABLE OUVERTE

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Le Christ-Roi recherche une équipe liturgique.

Contacter Valérie Mauger 06 74 89 56 49

Nous avons besoin de personnes pour l’accueil au Centre Pastoral.

Contacter le Père Bruno début juillet ou après le 10 août 02 47 54 46 19

Elles auront lieu au Centre Pastoral du Christ-Roi :

Mercredi 7 septembre de 16h à 19h Samedi 10 septembre de 10h à 12h

25 SEPTEMBRE : JOURNÉE DE RENTRÉE

Journée paroissiale de rentrée à Marmoutier

JOURNÉE COMMUNAUTAIRE DU 19 JUIN À LA SILLONNIÈRE : RETOUR EN IMAGES

INSCRIPTIONS KT

BESOINS DE BÉNÉVOLES

15 AOÛT : ASSOMPTION DE LA VIERGE MARIE

Confessions (au Centre Pastoral du Christ-Roi)

Vendredi 12 août à 18h

Samedi 13 août à 10h30

Messes le 15 août

09h45 : Notre-Dame de l’Europe et St Symphorien

11h00 : Christ-Roi et Notre-Dame d’Oé

Louange et adoration

17h30 au Centre Pastoral

INSCRIPTIONS AUMÔNERIE

Elles auront lieu au Centre Pastoral :

Mercredi 14 septembre de 17h à 20h

Vendredi 16 septembre de 17h à 20h

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"Je veux être une louange vivante à

Dieu. Je veux être toute à Dieu. Comment savoir ce qu'il attend de moi ?" Tel un dia-mant que seule la lumière fait resplendir, la vie de Claire ne prend tout son éclat qu'à la lumière de cette conquête de l'absolu. Si la joie semble être le leitmotiv de sa vie, ce fut parfois au prix de grands ef-forts. Née en 1953 dans une famille profondément chrétienne, Claire reçoit dès son plus jeu-ne âge une éducation reli-gieuse solide, qui l'enracine dans une foi vivante. Sa natu-re généreuse et passionnée se trouve ainsi orientée vers Dieu, même s'il y a des jours de découragement, du fait d’ennuis de santé, mais ceux-ci n'entament pas sa bonne humeur. Dès qu'elle est en âge de le comprendre, sa mè-re lui propose d'offrir ses souffrances à Jésus, de les supporter en pensant à Lui. Claire gardera brûlant au fond de son cœur ce désir de sain-teté confié, alors qu'elle a six ans, à sa mère - et dont elle lui parlera souvent. Il ne faudrait pas croire que la ferveur de Claire lui fut tou-jours facile et naturelle ; mais ayant développé une grande force de volonté, elle fait des efforts même quand cela lui

coûte beaucoup. Après ses études se-

condaires et une année uni-versitaire à Toulouse, Claire qui a alors 18 ans ½, part pour Rome où elle a réussi le concours d'entrée de l'Institut de Restauration. La ville éternelle où elle fait l'ex-périence de la liberté et de l'indépendance lui offre de nombreuses tentations, parti-culièrement sur le plan de la pureté. Elle sollicite auprès de sa famille force prières, et elle-même répète inlassable-ment cette invocation qu'elle aime tant : "Ô Marie Immacu-lée, je vous confie la pureté de mon cœur. Soyez-en la gardienne pour toujours". Si jusque là les variations sur le thème du bonheur se suc-cédaient pour former une symphonie inaltérable, les difficultés romaines vont per-mettre à Claire de vraiment prendre conscience de la source de tout bonheur : l'union à Dieu. Prise au piège d'une vie artificielle et brillan-te, Claire ne perçoit pas tout de suite qu'elle suit une mau-vaise voie. La réflexion d'une de ses amies : "Tu verras ma pauvre fille, tu y viendras à notre athéisme. Je ne te don-ne pas un an pour que tu sois comme nous", ajouté à un sentiment de mécontente-ment d'elle-même et à un demi-échec dans ses études, lui sert de tremplin pour repartir dans la voie sur la-quelle Dieu l'attend. Cette

é p r e u v e dans sa foi, qui fut pour elle une purifi-c a t i o n , consolide sa voca-tion mis-

sionnaire auprès des person-nes qu'elle fréquente. Voca-tion au bonheur. "Je voudrais donner du bonheur à tous ceux que j'approche et semer la joie. La petite Thérèse at-tendait d'être au ciel pour faire des heureux. Moi, je veux en faire sur la terre". Une véritable grâce, un pèle-rinage en Terre Sainte qui lui permet de mettre ses pas dans ceux du Christ, vient parachever ce retournement, cette conversion, en lui fai-sant découvrir l'essentiel : "[...] un pèlerinage harassant et bouleversant au sens pro-pre du terme. Ma vie a com-plètement changé d'optique en trois semaines : au-delà de ma familiarité avec la Sainte Vierge, je découvre l'Amour de Dieu, immense, étonnant et simple." À son retour de Terre Sainte, elle reçoit son ordre de mission : participer à Assise, à la restauration des fresques de la basilique de Saint-François. Toute tournée vers le Sei-gneur qui l'a ramenée auprès de Lui, Claire d'un naturel gai, pleine d'humour et de joie de vivre, revient dans la résiden-ce familiale de Lauret transfi-gurée ; sa joie ne l'a pas quit-tée, elle s'est approfondie. Claire connaît désormais la joie parfaite dont nous parle saint Jean : "Demeurez en mon amour, [...] afin que ma joie soit en vous et que votre

joie soit parfaite" (Jn 15, 9 ; 11). Les épreuves de tous ordres que Claire a subies - la maladie depuis l'enfance, son épreuve spirituelle à Rome et les conséquences sur ses étu-des - ont participé à cette purification qui la préparait à accueillir la mort et à entrer dans l'union divine. "Je suis tellement heureuse que si je mourais maintenant, je crois que j'irais au ciel tout droit, puisque le ciel c'est la louange de Dieu, et j'y suis déjà", confie Claire à sa mère quelques jours avant que ne se déclenche la méningo-encéphalite virale foudroyan-te qui doit l'emporter. Ces mêmes jours sont marqués par un pèlerinage à Lourdes, dans ce lieu marial qu'elle aime tant. Là, un mystérieux colloque entre elle et la Sain-te Vierge se produit, tandis que Claire prie, prosternée devant la grotte. Leur échan-ge silencieux est leur secret... Claire possède en plénitude cette joie de Dieu tant recher-chée, et la place d'une telle âme n'est plus sur la terre. Alors que Claire magnifiait la création par son travail artis-tique, le Créateur finissait de façonner le cœur de sa créa-ture pour le grand face à fa-ce. L'ouvrage achevé, Il peut venir chercher, le 22 janvier 1975, celle qui désirait n'être qu'"une louange vivante à Dieu", pour qu'enfin unie au chœur des Bienheureux, elle soit, à leur instar, une louan-ge incessante. Flèche embrasée d'absolu, Claire traversa le monde pour nous délivrer, par sa vie exté-rieurement si semblable à la nôtre, ce message : "Tu as pour vocation le bonheur !"

TÉMOIGNAGE SUR CLAIRE DE CASTELBAJAC

Il est des regards dont la clarté ne diminue pas malgré le temps qui passe... Claire de Castelbajac, morte à l'âge de 21 ans en 1975 fait partie de ces témoins dont le sourire et la joie débordante semblent cacher un trésor. Le Père Bruno a lu le livre du Père Dominique-Marie Dauzet, historien : « Que ma joie demeure ». Il a fait un petit résumé de la vie de cette jeune fille, dont un processus de béatification est en cours, lors de la journée commu-nautaire à Chanceaux. Voici ci-dessous un résumé de sa vie, extrait de mavocation.org :

26 OCTOBRE 1953 - 22 JANVIER 1975