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page 4 page 5 page 6 Culture Sciences & techniques Société Drôles de déclinaisons Les sections scientifiques à la Fête de la science Lueur d’espoir pour les réfugiés démarrer l’année en couleurs Numéro 1 - Décembre 2016 Ouest‑France Lycée Jeanne d'Arc STL Nicolas Chaigneau Journée d’intégration : avec le soutien de 15101 ACCUEILLIR, PROMOUVOIR, TÉMOIGNER

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CultureSciences & techniquesSociété

Drôles de déclinaisonsLes sections scientifiques à la Fête de la science

Lueur d’espoir pour les réfugiés

démarrer l’année en couleursNuméro 1 - Décembre 2016

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Journée d’intégration :

avec le soutien de

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ACCUEILLIR, PROMOUVOIR, TÉMOIGNER

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Créer un journal du lycée est une belle idée qui a traversé l’esprit de nombre d’entre nous ces dernières années… Sans que rien n’aboutisse vraiment. Aujourd’hui, c’est chose faite avec le premier numéro de « JDA News », tiré à 3000 exemplaires ! Comment cela a‑t‑il été possible ?

D’abord grâce à l’implication de notre co‑mité de pilotage, composé d’adultes et de lycéens, sensibles à la question des médias dans leur démarche pédagogique ou d’apprentissage. Ils sont conscients de la nécessité d’éduquer ou de grandir par une meilleure connaissance de notre lieu de travail, le lycée Jeanne d’Arc, mais aussi du monde qui nous entoure, par le déve‑loppement d’un esprit critique éveillé et par plus d’ouverture aux autres : qu’ils soient ici chaleureusement remerciés !

Agir chacun à notre place

Ensuite, grâce à nos partenaires, le journal Ouest‑France, premier quotidien régional français, et l’Association pour le dévelop‑pement du Journal des lycées, qui nous accompagnent : leur professionnalisme et leur souci de la place des lycéens dans ce projet sont les garants d’un travail de qualité.

Enfin parce que nous savons que notre grand et bel ensemble scolaire a besoin de liens, d’une communication interne et externe renforcée et mieux maîtrisée. Si nous sommes fiers de ce que nous faisons, nous devons le partager, le faire savoir, le faire aimer.Lire permet de réfléchir et d’échanger, de mieux comprendre, d’évoluer grâce au point de vue des autres, pour ensuite agir chacun à notre place en vue d’un monde meilleur.

Le thème choisi pour ce numéro est celui de la journée de la communauté éduca‑tive du 26 septembre dernier. Des mo‑ments forts et très variés ont été vécus en classe et à l’extérieur, pour une inté‑gration réussie de chacun au sein de Jeanne d’Arc. Très bonne lecture !

Alain Marre, chef d’établissement

coordinateur de l’ensemble scolaire

Après un échange sur la Renaissance, en lien avec les 500 ans de la ville du Havre, les futurs employés techniques de laboratoire, accompagnés des élèves de 2e année de CAP Vente, ont réalisé un arbre à Post‑it ®.

S’engager pour la planète

Cet arbre, symbole de la renais‑sance et du vivre‑ensemble, a pu être fleuri grâce aux Post‑it ® sur lesquels chaque élève a inscrit un engagement à tenir pour le respect de la planète.L’après‑midi, les élèves de

CAP ETL ont embarqué à l’in‑térieur d’un astrodôme pour un voyage dans l’espace…Cette vaste structure gonflable leur a permis d’observer les étoiles et les planètes et tout cela grâce à un passionné d’astronomie, leur professeur principal monsieur Palfray.Une découverte surprenante et enrichissante pour ces élèves qui étaient heureux de partager la passion de leur professeur.

Élise Georges et Lucie Grimonprez,

2nde bac pro Esthétique‑Parfumerie

Les BTS au mont Saint-MichelLe lundi 26 septembre 2016 a été défini comme la journée d’intégration du lycée Jeanne d’Arc. Elle s’est déroulée au mont Saint‑Michel.

Tout d’abord, rendez‑vous au Stade Océane du Havre pour la première étape de notre pé‑riple : Genêt (50). Arrivés là‑bas, des guides nous donnent des conseils pour notre deuxième étape : traverser la baie du mont Saint‑Michel à pied.

Des cris, des rires

Durant celle‑ci, des cris, des rires mais aussi de la volonté se font ressentir de la part des étudiants et des professeurs. Parvenus sains et saufs malgré les sables mouvants au pied du mont – une découverte

pour certains d’entre nous, un souvenir pour d’autres –, une pause repas bien méri‑tée nous redonne des forces. Vient ensuite notre troisième étape, Arromanches (50). Intéressante, mais trop courte, découverte de la plage du 6 juin 1944 où le débarque‑ment américain eut lieu. Puis, dernière étape, retour au Havre. Cet agréable moment nous a permis de nous rapprocher, étudiants comme professeurs.

Adèle Gaudu, BTS 2SP3S

Vie du lycée

La section «Service de proximité et vie locale» a du cœur.

«JDA News» : un journal pour comprendre et agir

Des arbres aux étoiles

Les BTS au mont Saint‑Michel.

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Les élèves de CAP Employé Technique de Laboratoire devant l’astrodôme.

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Accrobranche pour les 2GT

Pour la journée d’intégra‑tion, les élèves de seconde se sont rendus aux Loges (76) où ils se sont répartis en fonction des deux activités proposées : accrobranche et escalade ou réflexion au‑tour du thème de l’année, "la Re‑naissance et le mieux vivre ensemble". Pour travail‑ler ce thème, les professeurs ont distribué des papiers à différents groupes qui ont choisi de crier certains mots ensemble ("entraide", "ac‑cepté", "respect"), ou bien de représenter certaines situa‑tions par des jeux de rôles. D’autres classes ont réalisé des dessins. Cette journée a permis de découvrir une activité ludique et de pas‑ser un bon moment entre camarades.

Justine Bocé, Cynthia Clair et Jessica Potel,

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Les S en visite à Paris

Les classes de 1re et ter‑minale S du lycée Jeanne d’Arc de Sainte‑Adresse sont allées à Paris pour vi‑siter la capitale et mieux se connaître. La journée a débuté au quartier Pigalle, près de Montmartre, où nous avons pu observer la place du Tertre et la basilique du Sacré‑Cœur. Après une pause déjeuner au bord de la Seine et un trajet en métro jusqu’au pont de l’Alma, nous avons embar‑qué sur un bateau‑mouche. Au cours de cette boucle, de grands monuments ont pu être admirés comme la cathédrale Notre‑Dame, le musée d’Orsay et bien évi‑demment la Tour Eiffel… Bien que fatigante, cette journée a été appréciée de tous pour sa convivialité.

Léa Mériot et Marion Prévost, TS

Le départ de la tyrolienne.

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Cette année, nous sommes en 2de bac pro et nous appre‑nons notre futur métier. Comme tous les autres bacs pro, nous suivons des cours en ensei‑gnement général, nous avons également des périodes de formation en milieu profession‑nel et bien évidemment nous avons des cours en enseigne‑ment professionnel.

Une attitude professionnelle

Contrairement à ce que nous pouvons entendre parfois, l’esthétique ne se résume pas qu’au maquillage et à la beau‑té de la personne. Nous dé‑couvrons cette année des ma‑tières très théoriques comme le cadre organisationnel et la cosmétologie, et nous avons aussi beaucoup d’heures de biologie humaine appliquée. Durant notre formation, nous apprendrons la manucurie,

le maquillage, les soins du visage et du corps et les dif‑férents modelages.Pendant nos cours de pratique, nous devons porter une tenue professionnelle et bien enten‑du, nos professeurs attendent de nous une attitude profes‑

sionnelle et que nous déve‑loppions des qualités propres à notre futur métier comme la rigueur, le sens du service et l’écoute des besoins des futurs clients. Pour certains soins, on utilise des appareils spé‑cifiques qui demandent une

bonne compréhension tech‑nique et scientifique.L’esthétique, une formation riche et passionnante !

Élise Georges et Lucie Grimonprez, 2 Bac Pro Esthétique

L’opération Plage propre est une action annuelle qui se déroule depuis 20 ans sur la plage du Havre et qui implique élèves et professeurs.

Tout commence en 1996 à l’ini‑tiative de Mme Germain, alors membre de l’équipe de direc‑tion du Lycée Jeanne d’Arc, très sensibilisée aux questions environnementales. Le constat est le suivant : chaque été, les usagers de la plage aban‑donnent derrière eux de nom‑breux déchets. Il fallait faire quelque chose pour la préser‑ver. L’opération Plage propre est née.Depuis ce lancement, différents groupes d’élèves et d’ensei‑

gnants interviennent chaque année sur la plage, de la digue Nord jusqu’au " Bout du monde". Les déchets sont récoltés puis recyclés au centre de tri de l’Agglomération havraise de la Codah, situé quai du Rhin dans les quartiers sud. De nom‑breux partenaires sont associés à cette opération : les mairies du Havre et de Sainte‑Adresse, l’association Aquacaux, et l’en‑seigne E.Leclerc qui offre un soutien logistique.Cette année, 250 élèves ont

pris part à cette opération, qui s’est déroulée le jeudi 13 oc‑tobre. Interrogés sur place, une majorité des élèves pense que "cette action peut être utile et donne le bon exemple aux gens". Quelques élèves dé‑plorent toutefois que l’action n’a qu’une efficacité limitée dans le temps. Mais le sentiment d’uti‑lité l’emporte et beaucoup se déclarent prêts à remettre les gants l’année prochaine.

Anthony Lebourgeois et Augustin Labbey, 2E

Du 4 au 9 octobre, certaines élèves de 2e année de CAP Assistant Technique en Milieu Familial et Collectif du site Coty du lycée Jeanne d’Arc sont parties à Lourdes.

Ce voyage à Lourdes, elles l’attendaient depuis long‑temps. Afin de faire baisser le prix, elles ont organisé de multiples ventes au sein du lycée. Une fois sur place, et après un long voyage à tra‑vers la France, les filles ont participé à la vie dans un hô‑pital qui fait aussi maison de retraite. Elles ont aidé à ser‑vir les repas et à faire le mé‑

nage, et elles se sont occu‑pées de personnes âgées et handicapées. Ce qu’elles ont aimé, c’est être proche et à l’écoute de la personne. Ce voyage leur a permis de conforter leur choix quant à leur orientation professionnelle.Les filles ont pu visiter la grotte de Lourdes, participer à une messe et visiter la basilique de Lourdes. D’après elles, ce voyage était "une belle expé‑rience de vie". "Nous sommes soudées comme une petite famille."

Alizée Amourette et Sarah Fouache

Vie du lycéeEsthéticienne : un métier complexePour être esthéticienne en institut, le CAP Esthétique Cosmétique Parfumerie est le premier diplôme indispensable. Le bac pro et le BTS métiers de l’esthétique de la cosmétique et de la parfumerie permettent d’évoluer professionnellement et d’acquérir d’autres compétences.

Le pèlerinage à LourdesOpération Plage propre : 20 ans déjà !

Les élèves de 2 CAP ATMFC (Assistant Technique en Milieu Familial et Collectif) à Lourdes.

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Les élèves pèsent les déchets à la plage du Havre.

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Interview de Léa Fleury, élève de 2de GTA :

«J’ai trouvé le lycée très grand»Léa, comment t'es‑tu sentie lors de ton premier trajet vers Jeanne d’Arc ? Je me sentais assez stres‑sée, j’appréhendais énor‑mément le fait d’arriver dans un lieu inconnu avec des personnes que je n’avais jamais vues, mais j’étais excitée de découvrir mon nouvel établissement.

Quelles ont été tes premières impressions sur le lycée à ton arrivée ?J’ai trouvé le lycée très grand car il y avait plusieurs bâtiments. Globalement, ma première impression a été plutôt bonne.

Après quelques jours, comment t’es‑tu sentie ?Je me suis sentie assez bien, on se fait très vite au lycée, la liberté par rapport au collège est très agréable.

Propos recueillis par Mathilde Barray

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Aujourd’hui, de plus en plus de réfugiés viennent en France en espérant une vie meilleure. Un maire a osé ce que personne n’ose et a pris en charge le problème. Il s’agit de Daniel Carême, maire de Grande‑Synthe (située à 40 kilomètres de Calais). Il a raconté son parcours avec les réfugiés lors de la conférence du jeudi 15 septembre du LH Forum du Havre.

Dès 2007, Grande‑Synthe voit ses premiers réfugiés ar‑river. Ils cherchent à rejoindre l’Angleterre. Au départ, ils ne sont qu’une soixantaine ; ce‑pendant, le maire met déjà en place quelques disposi‑tifs comme des toilettes ou l’accès à une douche dans le gymnase. À partir de 2008 et jusqu’en 2015, le nombre de réfu‑giés s’accroît et le maire voit apparaitre des enfants et des femmes qu’il se doit de prendre en charge. Pour lui,

il est inconcevable de laisser une personne dans la plus grande misère. Le maire va donc prendre les choses en main et créer des camps, certes avec le

minimum, comme des pe‑tites cabanes pour chaque famille, des toilettes sèches, des douches. Mais ces camps sont d’une grande aide pour ces populations perdues et

dans une grande précarité. "L’état voyant ces agissements prend peur et craint que cela favorise l’afflux de réfugiés et de passeurs", a déclaré Daniel Carême. Le maire sera

lui‑même accusé d’être un passeur. Face à cette situation, Daniel Carême se tourne vers les as‑sociations et des ONG. Avec leur aide, il débloque 4 mil‑lions d’euros pour améliorer les conditions de vie et ap‑porter un peu de confort aux réfugiés.Selon le maire, les craintes de l’État ne sont pas fondées. Malgré la mise en place de ce camp, le nombre de réfugiés diminue de plus en plus, pas‑sant de 2800 à 800 aujourd’hui. Daniel Carême voudrait que cela serve d’exemple pour les autres communes, qu’elles ne délaissent pas le problème mais qu’elles l’affrontent.Cette aventure est une ex‑périence bénéfique pour les dix mille bénévoles qui constatent qu’ils reçoivent plus que ce qu’ils donnent chaque jour à ces personnes.

Mandy Follet, 1 BTS sp3

Vendredi 14 octobre 2016, nous sommes partis à la rencontre des élèves de 1re année de CAP services hôteliers. Cette section du site Coty est également appelée « classe tablettes ». Mais c’est quoi, une classe tablettes ?

JDA News. Pourquoi une classe tablettes ? Les élèves. Cette classe a été lancée par Mme Montier, notre professeur d’anglais. Les tablettes ont été finan‑cées par une association qui lutte contre l’échec scolaire. C’est la deuxième année que cette méthode d’apprentis‑sage existe dans notre sec‑tion. L’objectif de départ était

de pouvoir travailler autre‑ment qu’avec des méthodes plus " traditionnelles " afin d’ai‑der les élèves en difficulté d’apprentissage.

Comment ça fonctionne une classe tablettes ? Les professeurs créent chez eux des livres interactifs en‑voyés sur les tablettes, où les élèves peuvent trouver

des cours et aussi des exer‑cices. Chacun avance à son rythme et nous pouvons aus‑si travailler ensemble et nous entraider.

Et vous, vous en pensez quoi ?Nous aimons travailler sur les tablettes car les cours sont plus ludiques et attractifs. C’est plus facile d’apprendre avec cette méthode de travail.

Propos recueillis par Élise Georges

et Lucie Grimonprez, 2de Bac Pro Esthétique

Société

Damien Carême, maire de Grande‑Synthe.

Une lueur d’espoir pour les réfugiés

En CAP SH, « c’est facile d’apprendre » Clin d'œil

Le regard de Joséfine sur l'actu

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Les élèves de 2 CAP Services Hôteliers en activité.

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Samedi 1er octobre s’ouvrait l’édition 2016 du mondial de l’automobile au parc des expositions de la porte de Versailles à Paris.

Durant deux semaines, plus d’un million de visiteurs ont arpenté les allées du sa‑lon malgré une baisse de 14 % de la fréquentation par rapport à l’édition 2014. Malheureusement, certaines marques manquent à l’appel. C’est le cas de Lamborghini, Aston Martin, Bentley, ainsi que Rolls‑Royce pour cause de restrictions budgétaires. Plus décevant, l’absence de Mazda, Ford et Volvo qui pré‑fèrent organiser des événe‑ments dans leurs concessions.

Premières mondiales et nouveautés

Tous les const ructeurs cherchent une a l terna‑tive au moteur thermique et améliorent leurs modèles, comme Renault avec sa Zoé. Elle bénéficie de 400 km d’autonomie, mais BMW fait mieux avec son I3 qui passe à 450 km d’autonomie. Tesla présente le Model X, SUV

(véhicule utilitaire sportif) 100 % électrique. Il sera faci‑lement reconnaissable avec ses portes papillon ! Ce modèle dispose de 540 km d’autonomie.Parmi les concepts‑car no‑

tables, on pouvait trouver la Citroën CXperience, la Renault TréZor et la Mercedes Maybach vision 6, trois concepts électriques. Parmi les premières mon‑diales et les nouveautés,

il y avait la Citroën C3 ultra personnalisable. Audi a revu le Q5. Seat lançait un SUV : l’Ateca, et Skoda le Kodiaq. Peugeot a restylé les 3008 et 5008. Land Rover présentait le nouveau Discovery, et, pour

finir sur une note française, Renault lançait son tout pre‑mier pick‑up, l’Alaskan.

La BMW I3 en test

J’ai testé pour vous la BMW I3. Les premiers tours de roue sont surprenants grâce au si‑lence et à la puissance que donne le moteur électrique aux roues. Cette voiture est 100 % écologique car elle possède une carrosserie en fibre de carbone qui la rend plus légère donc plus auto‑nome. La largeur des roues est plus fine afin que la sur‑face de contact avec la route soit la plus réduite possible, ce qui améliore aussi l’auto‑nomie. Les matériaux utilisés à l’intérieur sont exclusive‑ment naturels, et le tout est assemblé dans une usine qui produit sa propre électricité.

Alan Leguillon, 1ES

Cette année encore, les élèves de première scientifique de notre lycée Jeanne d’Arc ont participé à la Fête de la science qui a eu lieu du 13 au 15 octobre 2016, à l’hôtel de ville du Havre.

Le thème était la tectonique des plaques, que les élèves ont expliqué à petits et grands. La dérive des continents, l’ex‑pansion océanique, toutes ces hypothèses étaient illustrées d’accessoires et d’expériences réalisables pour tous, ainsi que d’un extrait de film projeté.

Un village scientifique qui a lieu tous les ans

Cette démarche a été réalisée par M. François‑Xavier Michel, professeur de SVT (Sciences

et Vie de la Terre), qui a ac‑compagné les élèves durant ces trois jours et qui avait ex‑pliqué toutes les notions en amont à la classe, en cours, pendant un mois. Tout le monde semblait heu‑reux et satisfait d’avoir tenu ce stand et d’avoir participé à ce village scientifique qui a lieu tous les ans.

Ludivine Tocqueville, 1S

Cette année, pour la fête de la science qui a eu lieu du 13 au 15 octobre 2016, la section STL (Sciences et Technologies de laboratoire) a choisi de travailler et d’exposer sur le thème des colorants.

Les colorants sont des subs‑tances utilisées pour apporter ou raviver une couleur, dans des domaines industriels variés (textile, alimentation, cosmé‑tiques…) . Il existe trois sortes de colorants : les colorants na‑turels, les colorants artificiels et les colorants synthétiques. Le stand met en évidence ces différents colorants. Il propo‑sait comme expérience une chromatographie de colorants issus de bonbons et de colo‑rants alimentaires. Cette chro‑

matographie consistait à faire migrer (séparer) différents colo‑rants sur une carte de gel de silice plongée dans un éluant et à observer ensuite le résul‑tat. Le niveau atteint par les constituants des colorants ali‑mentaires sur la carte est‑il le même que celui atteint par les bonbons ?Un spectrophotomètre était également présenté, ce dernier permettait de montrer au pu‑blic comment les scientifiques mesurent la longueur d’onde

d’un colorant, ce qui permet de caractériser les différents types de colorants. Pour finir, le stand proposait un jeu éducatif qui permettait de rechercher à quels légumes ou fruits appar‑tiennent les colorants extraits en laboratoire par les élèves de STL : colorants de betterave, chou rouge, carotte, orange, poivron, framboise, épinard, courgette, concombre, radis.

Thomas Haize et Olympe Maletras,

Terminale STL

Sciences et techniques

Il faudra débourser 35 790 euros pour cette BMW I3, de quoi posséder l’avenir de l’automobile.

Mondial de l'auto : il y a de l’électricité dans l’air...

Sciences en fête pour les S

Un stand haut en couleurs

Un élève de 1re S explique la tectonique des plaques à ses camarades.

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Stand des Sciences et Techniques de Laboratoire à la Fête de la science.

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Lors de notre voyage en Allemagne, nous tenions vraiment à aller voir la porte de Brandebourg, proche du Reichstag.

Emblème de la ville de Berlin, cette place et ce monument nous semblent familiers : ils sont connus dans le monde entier, que l’on soit étudiant germaniste ou hispanophone. Les personnes du monde entier viennent la voir. Ce qui est le plus surprenant, ce sont les traces du mur de

Berlin encore visibles sur la route qui entoure cet emblème. Nous avons ressenti l’histoire présente derrière tous ces symboles. Même après vingt‑huit ans, les Allemands restent encore marqués par le mur et la séparation de la ville. Nos fa‑milles d’accueil et la professeur allemande qui nous accompa‑gnait l’ont d’ailleurs exprimé au travers de leurs récits sur cette période.

Éloïse et Sarah, BTS MECP

Pendant son enfance, Jacob a écouté les histoires fantastiques que lui racontait son grand‑père. Après la mort de ce dernier, il découvre une lettre d’une certaine Peregrine Faucon, que son grand‑père aurait connue à l'orphelinat. Afin de décou‑vrir la face cachée de son aïeul, il part sur les traces de Miss Peregrine. Ce film de Tim Burton semble rencontrer beaucoup de succès. Les décors sont splendides, les personnages très soignés, les scènes bien ficelées et pleines d’humour.

Camille Riou et Graziella Cuff,

2 Bac Pro Esthétique

Temps de préparation : 15 minutes pour une trentaine de crêpes. Il faut :– 3 œufs– 250g de farine– 40g de sucre– 1 pincée de sel– ½ litre de lait

Préparation :Mettre dans un saladier la farine et le sucre. Mélanger avant d’y ajouter les œufs puis ajouter de temps en temps du lait. Vous

pouvez ajouter dif‑férents parfums : fleur d’oranger, extrait de vanille. Laisser reposer la pâte pendant 2 heures à tempé‑rature ambiante. Puis, passer sur une plaque de cuisson afin de

les faire cuire. Pour cela, il faut mettre de l’huile au fond de la poêle pour que les crêpes n’at‑tachent pas.

Émilie Plesis, 2GTB

Il y a 30 ans, en juin 1987, était diffusé sur TF1 pour la première fois "Le Club Dorothée", une production AB destinée à un jeune public.

Composée d’un mélange de dessin animés, de chansons, de séries maison (Salut les musclés) et de sketches joués par les animateurs (Jacky, Corbier…), l’émission durera jusqu’en 1997. Elle a participé à populariser les mangas au‑près de toute une génération : Ken le survivant, Dragon Ball,

Jeanne et Serge. Une culture qui s’est depuis diffusée aux nouvelles générations. À dé‑couvrir ou à redécouvrir.

Augustin Labbey, 2GTE

La porte de Brandebourg, à Berlin (Allemagne).

L’affiche du film de Tim Burton,

sorti le 5 octobre 2016.

Bon appétit !

Dorothée à l'Olympia, en 2010.

La porte de Brandebourg

"Miss Peregrine et les enfants particuliers"

Recette de la pâte à crêpes

Club Dorothée, 30 ans déjà !

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Mercredi 5 octobre, nous avons assisté à la pièce « Les déclinaisons de la Navarre » au Théâtre des Bains‑Douches du Havre. Ce spectacle est une répétition d’un extrait de téléfilm retraçant la vie d’Henri de Navarre.

Deux comédiens partageaient la scène : Claire Laureau et Nicolas Chaigneau. Nous avons été surpris car nous nous attendions à une pièce de théâtre classique, avec plus de comédiens.Plusieurs déclinaisons nous ont plu : celle où l’homme et la femme changent de rôle, celle où ils ne disent pas tous les mots ou encore celle comportant de la danse et de l’opéra. Nous avons l’une et l’autre apprécié des choses très différentes en fonction de notre propre culture.

Le rire pour moteur

En conclusion, même sans parvenir à tout appréhender, nous avons passé un super moment avec cette pièce sou‑vent drôle, et ces deux comé‑diens énergiques et généreux. Après la pièce, nous avons

eu la chance de les rencontrer. Claire est une élève is‑sue du conserva‑toire. Nicolas s’est formé au contact de chorégraphes. C’est leur premier projet ensemble. "En cherchant sur Youtube un ex‑trait de La Reine Margot de Chéreau, nous sommes tom‑bés sur une scène du téléfilm Henry of Navarre", ex‑plique Claire. "Elle nous a fait rire, on l’a rejouée comme ça, et petit à petit c’est devenu un terrain de jeu." Les deux comédiens ont alors créé une multitude de ver‑sions qu’ils nommeront dé‑clinaisons. " Chaque jour on

avait des idées nouvelles ", ajoute Claire. Et Nicolas de conclure : "Pour nous, le dé‑clencheur de tout ça c’est le

rire. On rigole beaucoup en‑semble et c’est notre moteur."

Alice Grancher et Marion Mauchrétien, TST2SA

Les élèves du club théâtre en compagnie des comédiens au théâtre des Bains Douches.

Drôles de déclinaisons !

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Noël, merveilleux bonheur

Noël est un événement unique dans l’année et chacun y trouve un sens différent. "C’est un mo‑ment convivial", dit Yonha, élève en 1 ASSP, tandis que Mathis considère Noël comme un jour ordinaire. Sarah et Fanny, entourées de leurs familles et amis, partagent du bonheur et Margaux, leur amie, a une pensée pour ceux qui ne sont plus là. Pour Coraline, de la même classe, Noël signifie la naissance du Christ, la messe de minuit et les oranges, tout comme pour Anna, adjointe en pastorale, qui attend ce rendez‑vous avec Dieu. C’est un jour d’émerveille‑ment ; en regardant l’Enfant Jésus dans la crèche, elle contemple la fragilité de Dieu, puissant en amour, qui s’est fait homme. Et elle l’entend souffler "Viens, suis‑moi" (Mc 10, 22) .

Nolwenn Le Meur, DE CESF

Coups de cœur

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Association pour le développement du Journal des Lycées 10 rue du Breil, 35 051 Rennes Cedex Tél. : 02 99 32 61 04, [email protected]

Lycée Jeanne d'Arc – 22 rue général de Gaulle, 76310 Sainte-Adresse – Tél. : 02 35 54 65 50 Site : http://lyceejdarc.org/ Directeur de la publication : Alain Marre, chef d'établissement coordina-teur LPO et CFA-CFC Jeanne d'Arc

Journaliste référent : Jessica Périsse, pour Ouest-France

Réalisation : Bayard Service Édition Nord – Tél. : 03 20 13 36 60 – www.bayard-service.com

Régie publicitaire : Bayard Service Régie Nord – Tél. : 03 20 13 36 70

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