Journées annuelles de formation continue · Des savoirs hauts en couleurs! e 2 Mot d’invitation de la présidente du Comité organisateur ... disponible dès maintenant sur le

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Journées annuelles

de formation continue 13 et 14 juin 2013

Palais des Congrès de Montréal

Journées annuelles de formation continue 2013

Des savoirs hauts en couleurs! P

age 2

Mot d’invitation

de la présidente du Comité organisateur

En tant que présidente du Comité organisateur des Journées annuelles de formation continue (JAFC), j’ai le plaisir de vous ouvrir les pages de notre programmation annuelle qui, selon la tradition maintenant établie, s’étale sur deux journées consécutives. Les changements organisationnels, les nouvelles réalités de pratique et la complexification des problématiques ne sont que quelques raisons pour lesquelles vous, travailleurs sociaux et thérapeutes conjugaux et familiaux, êtes de plus en plus nombreux, année après année, à faire une place à la formation continue dans votre agenda professionnel. Cette année, notre programmation est portée par un vent de

renouveau. En effet, un appel d’offres à nos membres nous a permis de découvrir l’expertise de nouveaux formateurs en lien avec une multitude de sujets, tous plus captivants les uns que les autres. Que vous soyez intéressés par la collaboration interprofessionnelle, les médias sociaux, l’éthique en tant que processus d’aide à la réflexion, l’évaluation de la dangerosité, les jeunes endeuillés, l’intervention auprès des clientèles réfractaires ou en contexte de VIH/Sida, ainsi que bien d’autres thématiques enlevantes, vous saurez assurément trouver une formation (et même deux!) qui réponde à vos besoins. Qui plus est, l’édition 2013 des JAFC marque une grande première pour nos membres en région, soit l’arrivée de la visioconférence! Vous avez été nombreux à la réclamer et nous avons entendu. Pour connaître tous les détails des formations offertes, veuillez consulter le programme distinct de la visioconférence, disponible dès maintenant sur le site web de l’Ordre. L’organisation d’une activité de cette envergure nécessite beaucoup de travail. Je tiens donc à remercier chaleureusement chacun des membres du Comité organisateur pour leur patience, leur enthousiasme et leur professionnalisme. Merci également à tout le personnel de la permanence de l’Ordre pour un soutien continu et efficace. Il ne me reste qu’à vous conseiller de vous inscrire rapidement afin d’éviter les déceptions (les inscriptions en ligne débutent le 8 avril 2013). En effet, l’inscription en ligne fait en sorte que les places s’envolent rapidement! Sur ce, j’espère de tout cœur avoir le plaisir de vous retrouver nombreuses et nombreux les 13 et 14 juin 2013 au Palais des Congrès de Montréal!

Caroline LAFOND, T.S.

Présidente du Comité organisateur, JAFC 2013 Directrice adjointe de la Direction de l'Enseignement Institut universitaire en santé mentale de Montréal

Les membres du Comité organisateur et le personnel de soutien

Caroline LAFOND, travailleuse sociale Présidente du Comité organisateur Véronique BOULIANNE, travailleuse sociale Carole HAMEL, thérapeute conjugale et familiale Suzanne LAVERDIÈRE, travailleuse sociale Représentante du Comité de la formation continue France MARCIL, travailleuse sociale Représentante du Comité de la formation continue Annick SIMARD, travailleuse sociale Marlène TREMBLAY, travailleuse sociale Direction générale, OTSTCFQ

Ghislaine BROSSEAU, travailleuse sociale Secrétaire et directrice générale Direction du développement professionnel, OTSTCFQ

Natalie BEAUREGARD, travailleuse sociale, directrice Lyse GAUTIER, travailleuse sociale, chargée de projets Nicole PICARD, travailleuse sociale, chargée de projets Isabelle POIRIER, secrétaire

Horaire des journées du 13 et du 14 juin 2013 7 h 30 : Accueil et inscription 8 h 30 : Début des sessions de formation 12 h 00 : Lunch 13 h 30 : Reprise des sessions de formation 17 h 00 : Fin des sessions de formation

Jeudi 13 juin 2013 — 17 h 30 : Assemblée générale annuelle pour les membres de l’OTSTCFQ seulement (un buffet offert gracieusement sera servi sur place)

Ce document a été produit par la direction des communications de l’OTSTCFQ, en étroite collaboration avec l’équipe de la direction du développement professionnel.



age 4

Qui demande quoi à qui? La demande se constitue, se forme et s’exprime toujours à l’intérieur d’une interaction. Elle se calque sur le type de prestations traditionnellement offertes par le service auquel elle s’adresse, et elle peut alors se retrouver bien éloignée des besoins réels, cachés derrière cette souffrance obscure (maladie physique ou mentale, anomalies comportementales, demandes de placement, demandes d’aide matérielle, etc.). Il devient alors prépondérant de sensibiliser les intervenants et psychothérapeutes à l’importance de l’analyse de la demande comme déterminant du service à offrir et d’aider les clients à préparer leur demande en tenant compte :

des acteurs concernés

de la plainte (ou l’objet de la demande)

des objectifs poursuivis par le fait de faire une demande

et du contexte dans lequel la demande est posée, ce qu’il permet et ce qu’il empêche. Pour ce faire, nous utiliserons une présentation magistrale appuyée par un Power Point. Il y aura place pour des supervisions de cas et/ou une simulation. L’échange avec les participants est encouragé.

Madeleine LAFERRIÈRE, T.S., T.C.F. Formée à différents modèles de thérapie, elle exerce en bureau privé. Membre clinicienne et superviseure–formatrice accréditée de l’AAMFT, elle a œuvré auprès de différents organismes publics et privés. Elle codirige CERFIS. Michel LEMIEUX, T.C.F. et sexologue clinicien, il est aussi superviseur accrédité de l’ASQ. Il exerce en bureau privé depuis de nombreuses années et est l’auteur de plusieurs articles et chapitres de livres traitant de thérapie conjugale et familiale. Il codirige CERFIS.

Jean-Luc LACROIX, T.S., T.C.F. et psychothérapeute. Formé à différents modèles de psychothérapie, il est membre clinicien et superviseur accrédité de l’AAMFT. Travailleur autonome, il enseigne dans différents milieux universitaires et établissements privés au Québec et en France. Il codirige CERFIS, et a reçu le prix Mérite du CIQ en 2008.

Formation d’une journée offerte le jeudi : 0,7 UEC



age 5

Introduction à l’éthique en tant que réflexion critique et aide à la décision

L’éthique exerce une certaine fascination auprès de la population en général et encore plus auprès des professionnels qui ont à prendre des décisions relatives à des situations complexes. Il faut reconnaître qu’une certaine confusion règne autour de la définition et de la portée de l’éthique dans le monde professionnel. Pour bien saisir les enjeux éthiques liés à la pratique en travail social, les participants devront tout d’abord clarifier le concept de l’éthique : ce qui en relève et ce qui n’en est pas. De plus, le rôle du travailleur social se situant au cœur de nombreux systèmes en interaction, ce dernier aura la possibilité d’acquérir dans le cadre de cette formation, un minimum de connaissances liées aux notions essentielles d’une position professionnelle éthique : les valeurs, le dialogue et la délibération éthique. Le premier objectif visé par cette formation consiste à une mise à niveau sur les concepts pouvant être associés à l’éthique. Ainsi, le participant sera davantage en mesure d’identifier un dilemme éthique parmi les nombreux questionnements professionnels auxquels il est confronté dans la pratique quotidienne. Deuxièmement, comme le mentionne le titre de la formation, il y aura une introduction à la grille de délibération éthique à partir de situations professionnelles représentant un réel dilemme éthique. Le participant pourra expérimenter chacune des étapes prévues à la pratique d’aide à la décision et se servir de cette base pour poursuivre cet apprentissage par la mise en pratique de la délibération. Cette formation s’adresse aux travailleurs sociaux intéressés par la dimension éthique de leur pratique professionnelle, curieux de parfaire leurs connaissances en éthique et, finalement, ouverts à accepter l’inhérente dose d’incertitude liée à toute délibération éthique et réflexion critique.

Marielle PAUZÉ, T.S., a une expérience variée de la pratique en travail social s’échelonnant sur 30 ans. Elle a œuvré en santé mentale, à la protection de la jeunesse, au Curateur public et à la Commission des normes du travail, au programme de harcèlement psychologique au travail. C’est d’ailleurs sur ce sujet que porte sa thèse de doctorat en philosophie (éthique appliquée) qu’elle est sous le point de terminer. Mme Pauzé est directrice des admissions à l’OTSTCFQ.




age 6

La loi P-38 et l’estimation de la dangerosité - Niveau 201 Avec la loi P-38, la Stratégie d’action face au suicide et le Plan d’Action en santé mentale comme toile de fond, les dernières années ont été caractérisées par le développement de nouveaux services de crise et de nouvelles pratiques en santé mentale. Mais, elles ont aussi été celles de nombreux questionnements, tant sur le mandat de ces services que sur des aspects particuliers de la loi P-38 et de l’estimation de la dangerosité. La journée est divisée en deux, une partie sur la loi comme telle et une autre sur l’estimation de la dangerosité. L’accent est mis sur le savoir-faire et le savoir-être, mais s’appuie sur la littérature juridique et clinique. Les objectifs spécifiques de cette formation sont les suivants :

1) Approfondir des notions problématiques liées au contenu de la loi, telles que :

les rôles respectifs des services de crise et des services policiers (art. 8 de la loi),

la notion d’état mental perturbé,

la confidentialité des informations,

la responsabilité de l’hôpital à l’égard des informations transmises par le Service de crise,

les déficits cognitifs chez les personnes âgées. 2) Étudier en profondeur des aspects de l’estimation de la dangerosité comme :

les attitudes à adopter lors de l’estimation de la dangerosité,

le danger grave et immédiat d’un point de vue clinique,

le danger envers autrui,

la révision du jugement clinique à porter quant aux facteurs de risque,

les éléments du discours suicidaire permettant de distinguer l’intention d’attenter à ses jours d’une demande d’aide.

Étant de niveau intermédiaire, l’atelier s’adresse aux intervenants ayant déjà une connaissance de la loi P-38 et de l’estimation de la dangerosité ainsi qu’une expérience en intervention de crise.

M. Gilles MARSOLAIS, T.S., possède une maîtrise en travail social et une vaste expérience clinique en intervention de crise (au Centre de crise IRIS de Montréal durant 25 ans, maintenant au CLSC Thérèse-de-Blainville). Il a une pratique en supervision clinique de groupe de plus de 15 ans auprès du personnel dans les Centres de crise et dans les CLSC. Ses expériences d'enseignement sur la Loi P-38 et sur des sujets liés à l'intervention de crise et à l’évaluation de la dangerosité sont nombreuses (250 sessions).




age 7

Développer la collaboration interprofessionnelle pour mieux prendre sa place dans les équipes multidisciplinaires Vous aimeriez vous affirmer davantage comme travailleur social ou thérapeute conjugal et familial lorsque vous vous retrouvez en équipe multidisciplinaire et vous hésitez à prendre votre place dans les discussions. Cet atelier vise à vous permettre de mieux saisir comment vos compétences spécifiques peuvent être mises en valeur autant dans les échanges interprofessionnels que dans la préparation de plans d’intervention interdisciplinaires (PII) ou de plans de services individualisés (PSI) en clarifiant les notions de multidisciplinarité, d’interdisciplinarité et de collaboration interprofessionnelle. La formation mettra en évidence les facteurs qui sont essentiels au développement d’une bonne collaboration interprofessionnelle (autant ceux favorables que défavorables) à partir de la littérature et de la pratique. Par la suite, nous examinerons différents types de fonctionnement d’équipe et ferons le lien avec les expériences vécues par les participants, travaillant plus particulièrement sur les difficultés rencontrées. Enfin, les moyens de soutien organisationnel et professionnel qui peuvent être mis à contribution seront abordés (groupes de pairs, communauté de pratique, cadre de référence, etc.). Un questionnaire préformation vous permettra d’exprimer vos attentes spécifiques, les difficultés rencontrées et les champs de pratique afin de nous aider à former de petites équipes de travail pour la journée de formation.

Niveaux : débutant et intermédiaire (idéalement deux années et plus de pratique).

Claude LARIVIÈRE, T.S., Ph. D. Professeur associé à l’École de service social de l’Université de Montréal et responsable des programmes facultaires de deuxième cycle en administration sociale. Coordonnateur de la revue Intervention depuis 2010.




age 8

Auprès des jeunes qui vivent la mort d’un proche et de leur entourage : nos interventions comptent Chaque année, au Québec, on compte environ 60 000 décès laissant de nombreux enfants et adolescents endeuillés d’un père, d’une mère, d’un frère, d’une sœur ou d’une autre personne très significative pour eux. Même s’ils sont silencieux ou donnent l’impression qu’ils vont bien, les jeunes de tous âges vivent de façon très complexe la mort d’un être cher. Ils ne sont pas à l’abri du risque de dépression, de troubles de santé mentale, de troubles de l’attachement et d’estime de soi souvent observés chez les jeunes endeuillés. Cette session, qui se veut une alternance entre théorie, pratique et réflexion, permettra de mieux comprendre ce qu’est le vécu d’un jeune endeuillé, selon son âge, mais aussi ce qu’implique faire partie de son entourage. Nous aborderons les différents types d’interventions simples et efficaces pour les jeunes et sa famille dans le but de donner confiance aux intervenants dans la réalisation de leur rôle déterminant pour ces enfants et ces adolescents qui vivent très tôt dans leur vie l’épreuve de la mort d’un être cher. Contenu :

concepts de base (maladie grave d’un proche, conceptualisation cognitive de la mort,

groupes d’âge, facteurs d’influence, définition du deuil, autres types de pertes,

circularité, séquelles…)

distinction des rôles du parent, de l’entourage et de l’intervenant

analyse des besoins et réactions des jeunes

stratégies et outils d’intervention pour jeunes endeuillés et son entourage

Josée MASSON, T.S., est devenue, après treize ans de travail en CLSC, fondatrice et directrice générale de Deuil-Jeunesse; un service d’aide pour jeunes qui vivent la maladie grave ou la mort d’un proche. Elle est l’auteure du livre « Mort, mais pas dans mon cœur » paru en 2010. Elle est chargée de cours à l’Université Laval, conférencière et formatrice depuis de nombreuses années et elle est une référence dans les médias québécois en matière de deuil vécu par les jeunes.




age 9

Explorer la contribution des travailleurs sociaux au développement des communautés Le soutien au développement des communautés est une stratégie de plus en plus présente dans le réseau de la santé et des services sociaux et dans les groupes communautaires. Elle vise à améliorer la santé et le bien-être d’une population en favorisant la participation et la concertation des individus dans leurs milieux de vie. Elle fait référence à un processus qui amène les individus et les institutions d’un milieu à construire des liens sociaux dans le but explicite d’améliorer les conditions de vie sur le plan physique, social et économique. Cette formation permettra aux participants de mieux connaître cette stratégie, d’explorer la contribution des travailleurs sociaux au développement des communautés et de discuter des liens entre les principes d’intervention qui y sont associés et les pratiques professionnelles qui vont en ce sens. Elle outillera également les participants face aux méthodes qui permettent de mieux connaître les communautés d’un territoire et de leur impact sur la santé d’une population. Cette formation inclura des présentations magistrales théoriques, des études de cas et des ateliers de travail en équipe. Les thèmes traités seront le développement des communautés, amélioration de la santé et du bien-être de la population, pratique professionnelle émergente. Les objectifs de cette formation sont les suivants :

Connaître les origines, fondements et valeurs de la stratégie de soutien au développement des communautés

Connaître les principes d’intervention qui s’y rattachent : participation citoyenne, empowerment, concertation, réduction des inégalités sociales et promotion de politiques publiques favorables à la santé

Explorer les liens entre la stratégie et les besoins de la clientèle rencontrée en CSSS ou en milieu communautaire à partir d’une étude de cas

Explorer les liens entre la stratégie et la pratique des travailleurs sociaux

André-Anne PARENT, T.S. Après avoir travaillé plus de 10 ans en CSSS et de nombreuses années dans le milieu communautaire à titre de travailleuse sociale ou d’organisatrice communautaire, elle termine actuellement un doctorat en santé communautaire à l’Université Laval. Pendant ses 5 années d’études, elle a eu la chance de former de nombreux étudiants, intervenants et gestionnaires sur le sujet du développement des communautés et de son intégration dans le réseau de la santé et des services sociaux.

Manon ROY, T.S. Depuis déjà une vingtaine d’années, elle pratique en organisation communautaire. Bachelière en service social de l’Université Laval, elle a travaillé dans les organismes communautaires de nombreuses années. Depuis maintenant 6 ans, elle est à l’emploi d’un CSSS. La participation citoyenne, l’empowerment et le partenariat ont toujours guidé sa pratique.




age 1

0

Intervention auprès d’une clientèle réfractaire et de leurs proches : un concept qui permet d’explorer une approche orientée vers une analyse réflexive communicative Les transformations dans la pratique sociale nous apparaissent parfois un enjeu difficile à surmonter quotidiennement. Prendre des décisions administratives qui ne répondent pas nécessairement aux valeurs défendues par le travail social et qui engendrent des conflits de valeurs dans les rapports avec les acteurs et les partenaires. S’ajoute une clientèle réfractaire de plus en plus présente et non collaboratrice et des proches épuisées par le système difficile d’accès. Cette journée de formation s’adresse à des intervenants qui travaillent dans le réseau depuis quelques années et qui visent à améliorer leurs interventions, qui parfois, petites soient-elles favorisent une prise de conscience et une place d’action et de mouvement dans la vie du client, notamment le changement du comportement. Dans un contexte de défi, il nous faut préserver l’intervention psychosociale efficace en explorant différentes stratégies d’intervention. L’approche orientée vers une analyse réflexive et communicative permet une analyse des systèmes et des organisations. Le concept explique les schémas des comportements dans la vie actuelle du client, les transactions communicatives ainsi que les résistances. La formation vise l’atteinte des objectifs suivants :

Encourager une réflexion clinique;

Identifier la clientèle réfractaire et les facteurs qui influencent l’intervention;

Transmettre les connaissances théoriques des transactions communicatives d’analyse réflexive;

Expérimenter et se familiariser par des mises en situation avec l’analyse réflexive et communicative afin d’adopter le concept dans le milieu de pratique;

Explorer un modèle d’intervention en réaction à la résistance par la non-résistance de façon stratégique et positive.

Pour des intervenants ayant quelques années d’expérience dans le réseau.

Lise VEILLEUX, T.S., a une maîtrise en psychoéducation. Travaillant en centre de réadaptation en déficience physique (CRDP), elle intervient auprès d’une clientèle adulte hébergée en ressources résidentielles qui a subi un traumatisme craniocérébral et trouble grave du comportement. Depuis 2000, elle est chargée de cours à l’UQO. Elle est également formatrice et conférencière. Elle a de plus exercé pendant sept années en pratique autonome.




age 1

1

L'intervention psychosociale en contexte de VIH/sida Cette formation vous offre une mise à jour de vos connaissances en matière de VIH/sida. Nous vous proposons d'explorer l'intervention du travailleur social dans différents contextes : auprès de la femme enceinte et de son conjoint, l'importance en périnatalité d'intervenir auprès des couples et de favoriser la place d'un père, puis l'intervention auprès de la famille à différents moments de son vécu. Nous verrons également les défis que rencontrent les adolescents infectés en nous appuyant sur les recherches récentes. L'évolution spectaculaire des soins médicaux a transformé la vie des personnes infectées par le VIH/sida. Si les gens meurent beaucoup moins du SIDA, l'annonce d'un diagnostic demeure traumatique et l'adaptation exigeante. L'intervention du travailleur social est importante et contribue à l'adaptation et l'appropriation par la personne infectée et ses proches de cette infection. À la fin de cet atelier, les participants devraient être en mesure de:

Mieux connaître l'évolution de l'infection au VIH/sida et comprendre les enjeux psychosociaux des personnes infectées et leurs familles;

Avoir des repères théoriques afin de favoriser les meilleures pratiques en contexte de VIH/sida, ou de diagnostic difficile, auprès de populations diversifiées.

Cette formation vise le travailleur social, le thérapeute conjugal et familial, le psychothérapeute en pratique institutionnelle ou autonome travaillant avec une clientèle touchée par le VIH/sida, ou toute personne intéressée par l'intervention en contexte de gynéco-obstétrique, d'ITSS ou de maladie chronique.

Guylaine MORIN, T.S., T.C.F., psychothérapeute Depuis 1993, elle travaille au Centre maternel et infantile sur le sida du CHU Sainte-Justine. Elle est membre de l'Association des psychothérapeutes psychanalytiques du Québec, membre de l'Association Internationale de psychanalyse du couple et de la famille. Depuis 2001, elle travaille en pratique autonome auprès des individus, couples et familles. Elle collabore à l'Institut montréalais de psychothérapie analytique.




age 1

2

Le rapport d’évaluation psychosociale dans le contexte des mesures de protection pour la personne majeure conforme aux exigences de la profession ainsi qu’aux cadres réglementaires et légaux Depuis septembre 2012, la Loi réserve en exclusivité aux travailleurs sociaux l’activité de procéder à l’évaluation psychosociale d’une personne dans le cadre des régimes de protection du majeur ou du mandat donné en prévision de l’inaptitude du mandant. Le processus d’évaluation psychosociale en lien avec les régimes de protection exige du travailleur social l’application de connaissances étendues ainsi que le respect des exigences de la profession ainsi qu’aux cadres réglementaires et légaux afférents. Cette formation vise à mieux outiller les travailleurs sociaux qui interviennent auprès des personnes majeures aux prises avec des problèmes qui altèrent leurs facultés mentales ou leur aptitude physique à exprimer leur volonté, à prendre soin d’elles-mêmes ou à administrer leurs biens. Nous sensibiliserons les participants à la production d’un rapport psychosocial conforme aux exigences de la profession ainsi qu’aux impératifs règlementaires et législatifs afférents. L’application de ces exigences aidera à cibler les enjeux relatifs à ce type d’évaluation particulière. Les exigences relatives à l’évaluation psychosociale dans le cadre des mesures de protection seront abordées d’un point de vue critique. Cette session offrira l’opportunité aux travailleurs sociaux d’augmenter leurs connaissances dans le domaine de la protection des majeurs. À partir d’un exposé, d’exercices cliniques et d’échanges, les participants développeront, notamment, une démarche de réflexion critique sur les enjeux du rapport d’évaluation psychosociale produit dans le cadre des régimes de protection du majeur ou du mandat donné en prévision de l’inaptitude du mandant.

Cet atelier s’adresse aux travailleurs sociaux qui ont des connaissances de base dans le domaine.


Lyse GAUTIER, T.S., chargée de projet à l’Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec (OTSTCFQ). Elle a œuvré dans le réseau de la santé et des services sociaux ainsi qu’au bureau du Curateur public du Québec. Elle a contribué au développement de cette organisation ainsi qu’au développement des compétences des travailleurs sociaux dans le domaine de la protection des personnes majeures. Elle a participé à l’élaboration des trois guides de pratique publiés par l’OTSTCFQ

au cours des années 1990, 2004 et 2011.

Margaret FIELDING, T.S. Elle possède une expérience de 12 ans comme infirmière diplômée avant de faire, en 1983, ses études à la maîtrise en services sociaux. Ayant déjà travaillé dans le secteur de la santé mentale, en milieu hospitalier et en services externes, elle est, depuis 1991, curatrice déléguée au bureau du Curateur public du Québec. Elle agit à titre de formatrice en matière du Curateur public et les mesures de protection depuis 2009.



age 1

3

Agressivité, colère, violence : s’y retrouver… pour intervenir de façon appropriée Cette formation s’adresse aux intervenants, coordonnateurs ou gestionnaires dont les pratiques sont de plus en plus confrontées aux comportements agressifs de clientèles de toutes provenances et caractéristiques ainsi qu’aux relations professionnelles difficiles où un conflit qui dégénère peut engendrer une situation de violence ou de harcèlement. Quelles que soient votre expertise et votre expérience, si vous êtes intéressés à envisager une façon différente d’aborder ce sujet au niveau théorique, sous l’angle de l’organisation du travail et de l’orientation de l’intervention et au niveau pratique, dans le cadre d’actions concrètes à poser, vous êtes les bienvenus! Qu’il s’agisse du contenu des exposés magistraux, de la réflexion et des échanges suscités par des exercices individuels et de petits groupes ainsi que la présentation d’un document audiovisuel, ces modalités pédagogiques visent l’atteinte des objectifs suivants :

S’approprier les définitions et les caractéristiques fondamentales des concepts de «violence – agressivité - colère ». Pouvoir appliquer ces distinctions de façon concrète et rapide par l’utilisation de grilles et d’exercices proposés pour l’intervention et la gestion.

Identifier l’intention exprimée par le comportement plutôt que par la réaction qu’il suscite. Élaborer subséquemment un plan d’action efficace, centré sur le sujet et l’impact de ses comportements. Favoriser des stratégies d’affirmation gagnantes.

Proposer, développer et utiliser des moyens concrets et sécuritaires pour l’expression de la colère et de l’agressivité.

Tenir compte des enjeux du rapport de force créé par ces situations. Demeurer réaliste sur les résultats possibles! Fixer les limites de l’intervention et des actions à poser dans les situations de violence. Faire preuve de courage et assumer ses responsabilités.

Diane CHAYER, T.S. Depuis 25 ans en pratique privée. Psychothérapeute avec une clientèle à risque. Superviseure d’équipe, consultante et formatrice, spécialisée en violence.

Dominique BILODEAU, T.S. Depuis 25, consultante et formatrice, spécialisée au niveau de la violence et du harcèlement. Chargée de cours à l’Université de Montréal. Depuis janvier 2013, commissaire au développement d’un milieu de travail respectueux et non violent au Centre universitaire de santé McGill.

*Veuillez noter que la formation du jeudi sera offerte par mesdames Chayer et Bilodeau, et celle du vendredi par Mme Chayer uniquement.

Formation d’une journée offerte le jeudi et le vendredi : 0,7 UEC



age 1

4

Processus d’autorité : approche clinique et métapsychologique Notre travail clinique fourmille de témoignages de dysfonctionnement de l’autorité dans les couples, les familles et les institutions. Que de fois entendons-nous des conjoints qui se plaignent de contrôle mutuel, des parents qui s’avouent incapables d’assumer la discipline auprès de leurs enfants, ou encore des collègues qui contestent l’autorité de leurs chefs d’équipe? Tout au long de cet atelier, nous aborderons le paradigme de complexité de cet acte d’autorité, les caractéristiques d’un processus d’autorité de « bon aloi », ses formes dysfonctionnelles et nous nous interrogerons sur les modalités d’intervention auprès des individus aux prises avec ces difficultés. Les thèmes abordés seront :

Définition du processus d’autorité.

Les caractéristiques du processus d’autorité « suffisamment bon »

Les 2 formes d’autorité dysfonctionnelle.

Les fondements du processus d’autorité : le transgénérationnel, le monde des idées, la séquence transgression/sanction/réparation.

L’élaboration des blocages qui interceptent l’exercice d’une bonne autorité.

La différenciation des 2 configurations cliniques conjugales et familiales de dysfonctionnement du processus d’autorité : deuil et traumatose générationnelle.

Les objectifs de cette formation visent à :

Distinguer l’acte d’autorité du processus d’autorité.

Identifier les 3 registres du processus d’autorité.

Différencier le processus d’autorité de « bon aloi » du processus d’autorité dysfonctionnel.

Définir les dimensions complexes et paradoxales du processus d’autorité.

Se familiariser avec certains concepts métapsychologiques du processus d’autorité : de quoi se compose et procède l’autorité? D’où tire-t-elle son origine et sa légitimité? Quels sont les fondements de l’autorité dans l’intersubjectivité?

Connaître les modalités d’intervention auprès des individus, des couples et des familles aux prises avec des problèmes d’autorité.

IMPORTANT : Une demande de reconnaissance de cette formation a été envoyée

à l’Ordre des psychologues du Québec pour accréditation.

Formation d’une journée offerte le vendredi : 0,7 UEC

Carole HAMEL, T.S., T.C.F., psychothérapeute et psychanalyste, co-fondatrice de l’Institut montréalais

de psychothérapie analytique.



age 1

5

Le travail social de première ligne en santé mentale : remettre le jugement clinique au cœur de l’acte professionnel Un Plan d’action gouvernemental en santé mentale (La force des liens) visant le développement d’une première ligne forte, les mises en réseaux issues de la dernière réforme de la santé (Loi 25 puis Loi 83), la redéfinition du champ d’exercice du travail social (Loi 21) et le déploiement d’un modèle de gestion du social s’appuyant sur des « pratiques exemplaires » et des cibles de gestion et de performance précisément déterminées sont autant d’éléments du contexte actuel qui ont un impact considérable sur la nature du travail social en santé mentale. Le but de cet atelier est de permettre aux participants de réfléchir et d’identifier ce qui caractérise l’exercice de jugement professionnel propre au travail social en santé mentale et de proposer un modèle de pratique cohérent avec le champ d’exercice et les valeurs qui s’y rattachent. Quelle est la contribution spécifique du travailleur social dans une équipe de santé mentale? Quelles dimensions du vécu global des personnes vivant un trouble de santé mentale doivent concrètement être abordées (et comment doivent-elles l’être) aussi bien dans l’évaluation que dans l’intervention sociale? Comment s’articule l’intervention sociale professionnelle, au-delà des impératifs médico-technocratiques (tout en devant conjuguer avec eux)? Dans une perspective de rétablissement et de renforcement de l’autodétermination, quels sont les aspects cliniques pouvant favoriser une pratique de qualité? Voici quelques questions auxquelles nous tenterons de répondre à partir de la présentation d’un cadre conceptuel exhaustif mais simple que nous aurons le souci d’illustrer par des vignettes cliniques, des mises en situation réelles et concrètes et des échanges avec les participants.

Martin ROBERT, T.S., a eu une pratique de milieu en CLSC pendant 20 ans et a, par la suite, agi comme conseiller clinique. Il est actuellement chef d'administration du programme santé mentale adulte au CSSS Memphrémagog et répondant de la pratique psychosociale pour cet établissement.




age 1

6

Témoigner à la cour : une expérience stimulante et enrichissante Témoigner à la cour peut être une expérience positive et valorisante. C’est une opportunité pour le travailleur social ou le thérapeute conjugal et familial de faire valoir son expertise dans l’intérêt du client. Dans notre système judiciaire où chaque partie a le droit d’être représentée, le contre-interrogatoire peut être perçu comme le moment le plus difficile du témoignage. Cependant, il permet à l’intervenant de préciser son opinion professionnelle, maximisant ainsi les chances que le tribunal rende jugement en tenant compte de ses recommandations. Le but de cette session est de permettre aux participants de :

distinguer le témoin ordinaire du témoin expert;

comprendre selon la nature de l’instance judiciaire, le degré de preuve requis;

apprendre à préparer son dossier afin de maximiser la qualité de son témoignage;

identifier ce qui mine la crédibilité d’un témoin;

reconnaître les stratégies des avocats afin d’éviter les pièges qui visent à discréditer le témoin;

s’approprier le langage de la cour et connaître le décorum à respecter;

apprendre certaines techniques de base lorsqu’on témoigne;

développer une façon de témoigner convaincante et efficiente;

dans les dossiers où votre opinion diffère de celle de votre client, apprendre à témoigner en préservant votre relation avec celui-ci tout en respectant votre mandat.

Un exposé théorique jumelé à des exemples concrets permettra aux intervenants d’acquérir plus d’assurance en vue de témoignages futurs. Nous analyserons également le déroulement d’une situation à la cour afin de mieux comprendre les principes enseignés et de se familiariser avec les lieux. ** Cette formation ne couvre pas le témoignage concernant le domaine administratif, le tribunal du travail ou lors de situations d’arbitrage.

Lucie CHAINÉ, T.S., intervenante au CJ de l'Estrie depuis 30 ans, d’abord en protection de la jeunesse, puis au niveau de la Loi sur le système de justice pénale pour adolescents; chargée de cours à l'Université de Sherbrooke pendant sept ans et formatrice pour l'OTSTCFQ depuis 8 ans.




age 1

7

Superviser la collaboration interprofessionnelle (CIP) auprès des stagiaires La collaboration interprofessionnelle (CIP) fait maintenant partie du cadre référentiel des compétences des différentes professions de la santé et des services sociaux. L’avènement du projet de loi 21 met également l’emphase sur les pratiques de collaboration. Plusieurs programmes universitaires ont commencé à offrir une formation initiant les étudiants aux principaux concepts. Dans la continuité de ces apprentissages, les superviseurs sont particulièrement interpellés pour consolider le développement des compétences en CIP dans différents contextes de pratique. En vue de préparer et soutenir les milieux cliniques à la supervision de la CIP, l’Université Laval et le CSSS de la Vieille-Capitale, partenaires du Réseau de collaboration sur les pratiques interprofessionnelles en santé et services sociaux (RCPI) ont développé une formation à la CIP destinée aux superviseurs. De votre côté, que diriez-vous de superviser la CIP? L’atelier offrira l’occasion aux superviseurs et aux professionnels intéressés par la CIP de :

consolider ou développer leurs connaissances au regard des concepts clés de la CIP;

cibler les domaines de compétences liées à la CIP pertinents à superviser en milieu de stage;

identifier les conditions favorables à la supervision;

expérimenter des stratégies de supervision dans un contexte de CIP. À partir de vignettes cliniques et d’exercices variés, les participants seront invités à discuter des situations à privilégier dans leur milieu de pratique pour aborder la CIP dans un contexte de supervision. Le partage des expériences déjà réalisées sera encouragé. De courtes synthèses des éléments clés soutiendront les discussions au cours de l’atelier.

Line PARÉ, T.S., M.S.s., responsable de l’enseignement de la CIP et du soutien aux pratiques interprofessionnelles au CSSS de la Vieille-Capitale, professeure titulaire de clinique de l’Université Laval, a œuvré plus de 25 ans comme intervenante dans une unité de médecine familiale et superviseure auprès d’étudiants de différentes disciplines. Elle est particulièrement impliquée dans la formation aux professionnels et superviseurs.

Jean MAZIADE, M.D., CCMF, FCMF, M.Sc., professeur titulaire de clinique, est impliqué dans le développement des compétences professionnelles pour les programmes de résidence de la Faculté de médecine de l’Université Laval. Dans le cadre de la CIP, il est formateur auprès de professionnels et d’étudiants de différentes disciplines depuis plus de 10 ans.




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La violence au féminin L’intervention en matière de violence conjugale et familiale amène parfois les intervenants qui y sont confrontés à vivre un sentiment d’impuissance ou d’ambivalence face à la personne qui utilise ce moyen avec ses proches. Ceci est d’autant plus troublant, lorsque l’auteure de violence est une femme. Longtemps tabou, la problématique de la violence des femmes fut totalement absente dans l’univers de l’intervention. Bien que ce phénomène soit réel, il existe peu de ressources qui peuvent venir en aide aux femmes ayant des comportements violents. Notre expérience auprès de cette clientèle, nous permet de constater que les intervenants sont parfois mal outillés pour dépister les femmes vivant cette difficulté et, intervenir auprès d’elles. C’est dans ce contexte que nous souhaitons partager notre expérience d’intervention de groupe auprès des femmes présentant des comportements violents envers leurs conjoints, leurs conjointes ou leurs enfants. Pour ce faire, les objectifs poursuivis avec vous durant cette journée de formation sont les suivants :

Offrir un moment de réflexion sur l’intervention de groupe auprès des femmes présentant des comportements violents;

Outiller les intervenants afin de mieux intervenir auprès des femmes présentant des comportements violents;

Augmenter l’aisance des intervenants à développer un lien avec cette clientèle;

Mieux saisir les enjeux de la problématique et de l’intervention.

Patricia CONNOLLY, T.S. Elle possède une expérience d’une douzaine d’année d’intervention dans le milieu de la protection de la jeunesse. Depuis 2001, elle intervient plus spécifiquement auprès des enfants malades et de leurs familles au CHU Ste-Justine. Depuis 15 ans, elle co-intervient dans des groupes pour hommes et pour femmes présentant des comportements violents auprès de l’organisme OPTION.

Danièle GUÉRIN, T.S, M. Sc Elle possède une maîtrise en service social et travaille comme adjointe clinique à la direction de la protection de la jeunesse au Centre jeunesse de Montréal-IU et, depuis une dizaine d'années, elle est intervenante auprès des femmes présentant des comportements violents, et ce, dans le cadre d'une entente de partenariat entre le CJM-IU et l'organisme Option.

Annie SIMARD, T.S. Elle travaille au Centre jeunesse de Montréal–IU depuis 1992. Elle co-intervient dans un groupe de femmes présentant des comportements violents depuis 2003 pour l’organisme OPTION, également dans le cadre d'une entente de partenariat entre le CJM-IU et l'organisme Option.




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Les incontournables médias sociaux : les avantages et les risques croissent avec l'usage!

« Facebook passe le cap du milliard d’utilisateurs actifs » (octobre 2012)

« Le nombre d’utilisateurs de Twitter atteint le demi-milliard » (juillet 2012)

« 175 millions d’utilisateurs de Linkedin » (novembre 2012)

Les médias sociaux font partie de notre réalité quotidienne, tant d’un point de vue personnel que sur le plan professionnel. L’expression « médias sociaux » est composée de deux mots : « médias », outil de communication; et « sociaux », société. Les médias sociaux permettent donc à tous les membres de la société de communiquer entre eux, en temps réel, sur tous les sujets qui les intéressent ou qui les préoccupent. Cet atelier propose une approche en deux temps. D’abord, les participants pourront se familiariser avec les principaux médias sociaux (Facebook, Twitter, LinkedIn, les blogues, etc.), leurs particularités, leur fonctionnement et leur utilité dans la stratégie de communications d’une organisation telle qu’un ordre professionnel. Dans un deuxième temps, nous aborderons les médias sociaux sous l’angle juridique. D’entrée de jeux, les participants seront confrontés à une question existentielle : est-il possible d’avoir des existences personnelle et professionnelle distinctes sur les médias sociaux? Viendront ensuite les aspects juridiques et déontologiques : comment répondre à la demande d’un client ou d’un ex-client qui souhaite devenir notre « ami » sur Facebook? L’utilisation d’un blogue pour discuter de ma pratique professionnelle soulève-t-elle des enjeux déontologiques? Mes propos sur ma page Facebook personnelle sont-ils balisés de quelque façon? Ai-je le droit d’effectuer une recherche Google sur un client?


Richard SILVER, T.S., avocat. Il occupe, depuis 9 ans, le poste de conseiller juridique de l’Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec. Il a également œuvré en établissement public et en milieu communautaire ainsi qu'en tant qu'attaché politique au cabinet du

ministre de la Santé et des Services sociaux.

Luc TROTTIER, directeur des communications de l’OTSTCFQ. Formé en journalisme et en sciences politiques, il a été successivement journaliste, directeur des communications au sein d’une formation politique et conseiller stratégique au sein

d’une firme de communications.

Anouk BOISLARD possède une formation en communications et en relations publiques et occupe le poste d’agente de communication à la direction des communications de l’OTSTCFQ. Elle est notamment responsable de l’élaboration et de la mise en œuvre de la présence de

l’Ordre sur les médias sociaux.



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Intervenir avec doigté dans les conflits à haute teneur relationnelle Le conflit fait partie intégrante du processus d’interdépendance qui lie les personnes les unes aux autres. Plus les relations entre les protagonistes se situent dans la durée, comme c’est le cas dans les familles, dans les communautés ou dans les milieux de travail, plus le conflit risque d’avoir des conséquences dévastatrices et de s’intensifier avec le temps s’il n’est pas géré adéquatement. Les travailleurs sociaux et les thérapeutes conjugaux et familiaux sont aux premières loges pour rencontrer les conflits à haute teneur relationnelle dans leur intervention professionnelle. Ils doivent donc faire preuve de doigté pour éviter de nuire et pour soutenir une saine résolution des différends. Comment tirer le meilleur parti des conflits dans l’intervention psychosociale? Tel sera l’objet de ce séminaire. Les objectifs de ce séminaire sont les suivants :

Définir la notion de conflit, ses étapes, ses sources et ses dynamiques.

Comprendre les spécificités des conflits à haute teneur relationnelle rencontrés en intervention psychosociale comme les conflits autour de la rupture conjugale, des relations parents-adolescents, des relations de voisinage, etc.

Se familiariser avec le guide d’analyse spatiotemporel du conflit et avec ses indicateurs.

Comprendre la dynamique du cycle antagonisme-collaboration et son incidence sur l’intervention psychosociale.

Cette formation s’adresse à des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux qui interviennent auprès des couples, des familles et des groupes.

Linda BÉRUBÉ, M.S.S., T.S, médiatrice et formatrice associée de AGIRE International, Membre de l’Institut de Médiation et d’Arbitrage du Québec. Chargée de cours à la Faculté de Droit de l’Université de Sherbrooke.




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De la diversité familiale aux stratégies pour en finir avec l’homophobie Cette formation permet d’outiller les intervenants qui travaillent auprès des jeunes et des familles pour les aider à lutter contre la discrimination et ses effets dévastateurs auprès des enfants et des adolescents. Quatre objectifs sont poursuivis : 1. Déconstruire les mythes et les préjugés associés à l’homosexualité et à l’homoparentalité

à travers les écrits scientifiques; 2. Comprendre les défis particuliers auxquels sont confrontées les familles homoparentales et

les jeunes de minorités sexuelles ou présumés comme tels dans leur quotidien; 3. Prendre conscience de l’impact de l’homophobie et de l’hétérosexisme sur ces familles,

ainsi que sur les jeunes en milieu scolaire; 4. Outiller les travailleurs sociaux et les thérapeutes conjugaux et familiaux pour favoriser

l’adoption d’une approche inclusive et des interventions adéquates. La journée de formation comprend deux volets. Le premier volet s’intéresse aux principaux mythes et préjugés associés à l’homoparentalité, ainsi qu’aux recherches scientifiques disponibles à ce sujet. Les différents contextes d’accès à la parentalité pour les personnes de minorités sexuelles sont présentés à travers des exemples concrets. Les expériences des parents gais et lesbiens, de leurs enfants et celle des intervenants œuvrant auprès de ces familles sont également abordées. Le deuxième volet s’attarde principalement à l’homophobie dans les milieux scolaires et à ses impacts chez les jeunes. Les incidents à connotation homophobe sont décortiqués afin d’identifier les mesures à mettre en place pour mettre fin à l’intimidation. La formation repose sur des méthodes pédagogiques dynamiques et interactives qui requièrent l’implication volontaire des personnes participantes. Le visionnement de vidéos et l’expérimentation de mises en situation sont également prévus au cours de l’atelier. À la fin de la formation, une trousse pédagogique comprenant divers outils est présentée et remise gratuitement aux participants.

Kévin LAVOIE, T.S., est agent de développement à la Coalition des familles homoparentales depuis 2010. À ce titre, il participe à la rédaction d’outils de sensibilisation et à l’encadrement de l’équipe à la formation. Il complète une maîtrise en travail social à l’Université du Québec en Outaouais, en collaboration avec l’Université de Liège en Belgique.

Rachel BENOÎT détient une formation en enseignement et une maîtrise en travail social. Depuis une dizaine d'années, elle élabore et anime des formations sur les dynamiques de groupe, la gestion de conflits et l’inclusion de la diversité. Depuis octobre 2011, elle travaille à titre de directrice de projets au Centre de liaison sur l'intervention et la prévention psychosociales. Elle s'est jointe à la Coalition des familles homoparentales comme formatrice en mai 2012.




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The psychosocial assessment report produced in instituting protective measures for a person of full age in accordance with professional standards as well as the legislative requirements Since September 2012, the law reserves the activity, exclusively by social workers, of proceeding with a psychosocial assessment as part of the process of instituting a protective supervision measure or homologating a mandate given in case of incapacity for a person of full age. This psychosocial assessment requires that the social worker put into practice, one’s extensive clinical experience, all the while respecting the requirements of the profession as well as the pertaining legal and regulatory frameworks. This workshop is designed to better equip social workers who are called upon to intervene with persons of full age incapable of caring for themselves or manage their affaires due to a mental or degenerative illness, an intellectual disability or a weakened state due to age that alters their mental faculties or the physical ability to express their wishes. The participants will be made aware of the requirements that are essential in producing a psychosocial report that is in accordance with professional standards as well as the legislative requirements. The use of these requirements will assist in understanding and weighing the consequences of such an assessment. The requirements related to the psychosocial assessment in instituting protective measures, will be broached from a critical point of view. This session will offer the opportunity for social workers to enhance their knowledge in the field of the protection of persons of full age. With the use of an oral presentation, clinical exercises and discussions, the participants will develop a critical approach towards the specific dynamics involved in this field of expertise.

This workshop is aimed at social workers with basic field experience.

Margaret FIELDING, S.W. She possesses 12 years of experience as a registered nurse before completing, in 1983, her Master’s Degree in Social Work. Having worked in the field of mental health services in both a hospital and outpatient milieu, she is a curator’s representative, since 1991, for the Quebec Public Curator’s office. Since 2009, she gives workshops regarding the Public Curator and protective supervision measures.




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L’intervention de groupe… c’est efficace et stimulant! L’intervention de groupe : une façon efficace de susciter l’espoir, de favoriser le changement et la reprise de pouvoir chez le client. Notre expérience en intervention de groupe nous a permis de perfectionner notre modèle, qui démontre depuis plusieurs années des résultats dépassant amplement nos attentes. Celui-ci est inspiré de différentes approches court terme et s’adapte à plusieurs problématiques et clientèles. De plus, il confirme l’importance d’être un leader efficace ayant une capacité d’ajustement tant au niveau du cheminement des participants que de celui du groupe. À travers ces deux journées de formation, nous espérons vous transmettre notre passion pour l’intervention de groupe, mais aussi, nous visons le développement d’habiletés et de compétences nécessaires à ce type d’intervention. Voici un aperçu des thèmes abordés :

le processus de groupe;

la structure et le fonctionnement des rencontres;

notre philosophie d’intervention;

les défis de groupe et les solutions;

les conditions gagnantes et différentes techniques d’intervention. Afin de faciliter les apprentissages, nous utilisons différentes modalités telles que : le processus expérientiel, différents types d’exercices, animation interactive, coaching et modeling, documentation et autres outils pédagogiques. Nous souhaitons que cette formation soit l’occasion de vivre une expérience de groupe, enrichissante et stimulante!

Charlyne CLOUTIER, T.S., coordonnatrice clinique. Plus de 30 ans de pratique dans le réseau de la santé et des services sociaux, dont une expérience de quinze ans en intervention de groupe. Pratique autonome depuis cinq ans.

Deena BUTLER, T.S., conseillère clinique. Plus de 25 ans de pratique dans le réseau de la santé et des services sociaux, dont une expérience de 15 ans en intervention de groupe. Elle œuvre désormais en pratique autonome depuis 5 ans.

Formation de deux jours : 1,4 UEC



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Intervenir auprès des personnes âgées en soins palliatifs :

l’approche du soutien psychosocial Les soins palliatifs à l’attention des personnes âgées et de leurs proches sont peu développés, et les intervenants peu outillés pour faire face aux nombreux défis que constituent ces expériences de fin de vie. Les divers contextes (domicile, CHSLD, RI) ainsi que les multiples dimensions à prendre en considération peuvent rendre les interventions complexes.

Cet atelier a pour objectif de sensibiliser les participants aux différents besoins psychosociaux des personnes âgées en soins palliatifs ainsi que de leurs proches. Elle se base sur un guide de pratique en intervention psychosociale réalisé par une équipe de chercheurs et d’intervenants en soins palliatifs.

Les thèmes traités de la formation sont nombreux. Parmi ceux-ci notons : la communication avec la personne âgée et ses proches, le confort physique, la souffrance émotionnelle, les proches aidants, le deuil, l’intervention en contexte de diversité culturelle, la vie spirituelle et religieuse, etc.

Plus spécifiquement, il s’agira :

de développer des connaissances sur l’approche psychosociale en regard de la population âgée en soins palliatifs;

de questionner l’approche psychosociale dans le contexte des soins palliatifs;

de développer une sensibilité aux besoins multiples et hétérogènes des personnes âgées;

d’amener les intervenants à se questionner sur leur pratique et à stimuler leurs réflexions aux particularités des personnes âgées;

d’outiller les intervenants en regard des différents contextes de l’intervention et dimensions psychosociales.

Cette formation est conçue à l’intention de tout intervenant qui désire développer des connaissances ou compétences en soins palliatifs, et ce, peu importe le niveau d’expérience.

Patrick DURIVAGE, Msc, T.S., praticien-chercheur, co-auteur du guide « Intervenir auprès des personnes âgées en soins palliatifs. Guide de pratique sur le soutien psychosocial à domicile » (2012). Il a participé à la recherche sur l’implantation des soins palliatifs à domicile en 2001. En plus de son implication au Centre de recherche et d’expertise en gérontologie sociale (CREGES), il travaille depuis 13 ans au sein de l’équipe « soins palliatifs à domicile » du CSSS Cavendish. Il est aussi formateur accrédité sur l’OEMC, l’Iso-SMAF, le RSIPA, la DSIE et l’OACIS.

Isabelle VAN PEVENAGE détient un doctorat en sociologie de l’Université de Montréal. Elle est chercheure au Centre de recherche et d’expertise en gérontologie sociale (Cregés) et chargée de cours à l’Université de Montréal. Elle travaille actuellement sur plusieurs projets de recherche en étroite collaboration avec les coordonnateurs de deux pratiques de pointes du CSSS Cavendish : les soins palliatifs et les proches aidants.




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L’intervention en contexte pluriethnique : une médiation de différences Le processus d’adaptation culturelle et d’insertion sociale dans la société d’accueil est un pari colossal pour les immigrants. L’interaction entre ces derniers et les professionnels est un moment critique qui peut générer des conflits de valeurs, le repli sur soi, une réaction défensive ou susciter des barrières psychologiques. À l’instar des personnes immigrantes, les professionnels sont porteurs de cultures comportant des valeurs, des normes et des croyances ancrées dans des cadres de références. Les problématiques engendrées par la gestion de la diversité culturelle ont un impact avéré sur la pratique des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux qui sont parfois démunis face aux nouveaux défis occasionnés par l’affluence d’une clientèle pluriethnique. La session de formation permettra aux participants d’acquérir des compétences spécifiques en vue de répondre efficacement aux besoins d’une clientèle culturellement différente et développer une pratique éclairée qui promeut l’éthique, la justice sociale à travers le respect des différences. Contenu :

Enjeux, défis, problèmes liés à l’insertion des immigrants et des réfugiés dans la société d’accueil;

Réflexion autocritique sur les mécanismes qui se déploient lors d’une interaction interculturelle;

Concepts clés : culture, construction identitaire, identité, choc culturel, choc discriminatoire, code culturel, acculturation, etc.;

Champ notionnel de l’interculturel;

Mises en situation, études de cas, anecdotes;

Stratégies et pistes d’intervention (approche interculturelle; développement de la sensibilité interculturelle; décentration, etc.);

Illustration d’un parcours migratoire : cas de réfugiés sélectionnés à l’étranger.

Richard G. KUBELE, T.S., M.A., médiateur interculturel, membre de l’association internationale pour la recherche interculturelle (ARIC). Formateur dans divers milieux professionnels, pratique autonome en médiation de différences et médiation de différends.




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Intervenir auprès des hommes en détresse S’inscrivant dans les mesures d’adaptation des services aux réalités masculines dans la foulée du Rapport Rondeau (2004) et des annonces ministérielles de 2009 et en lien avec les récentes recommandations du Comité d’experts sur les homicides intrafamiliaux (2012), cette formation de deux jours permettra de : favoriser une prise de conscience des réactions qui interfèrent dans la relation d'aide avec des clients masculins, connaître la dynamique de la construction de l’identité et de la socialisation masculines, mieux comprendre la dynamique de demande d'aide des hommes plus traditionnels et identifier les principales clés facilitant l'intervention auprès des hommes en détresse ainsi que des outils pour les mettre en application. S’appuyant à la fois sur la recherche et l’expertise des formateurs qu’ils ont développée au cours des 30 dernières années, cette formation s’adresse aux intervenants, coordonnateurs cliniques et gestionnaires. Le modèle d’intervention auprès des hommes qu’ils ont élaboré a fait l’objet d’articles dans la revue Intervention en français et la revue International Journal of Men’s Health Journal en anglais. Il représente l’un des textes charnières dans le domaine. Le MSSS a retenu cette formation comme l’une des pratiques à promouvoir pour contrer le suicide chez les hommes.

Gilles TREMBLAY, Ph. D., T.S., est professeur-chercheur à l’École de service social de l’Université Laval après avoir travaillé en CLSC plus de 20 ans et offre aussi une pratique privée auprès d'une clientèle masculine. Il est l'auteur de nombreux textes sur les hommes et les masculinités. Il est responsable de l’équipe de recherche Masculinités et Société.

Pierre L'HEUREUX, M.A., est intervenant au CSSS Pierre-Boucher depuis 35 ans. Il forme et supervise des intervenants auprès de conjoints aux comportements violents depuis 1988 et est consultant pour un programme s’adressant aux hommes inuits du Nunavik. Il est coresponsable-partenaire de l’équipe de recherche Masculinités et Société.




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Renseignements

Ce programme est disponible en ligne sur le site Internet de l’Ordre, www.otstcfq.org. Vous devez adresser toutes vos demandes de renseignements à Isabelle Poirier, assistante de direction, direction du développement professionnel de l’Ordre : Par téléphone : 514 731-3925, poste 235; Sans frais : 1 888 731-9420, poste 235; Par courriel : [email protected]

Les activités se tiendront au Palais des Congrès de Montréal* 1001, place Jean-Paul Riopelle, à Montréal (métro Place d’Armes) Téléphone : 514 871-8122 Sans frais : 1 800 268-8122 Site web : http://www.congresmtl.com/fr/index.aspx

Hébergement Cette année, l’hébergement est laissé à votre discrétion; vous devez donc prendre les arrangements nécessaires avec l’hôtel de votre choix. Il n’y a donc pas de tarif préférentiel ni de délai à respecter. Cependant, puisque le taux d’occupation des hôtels est élevé au centre-ville de Montréal, particulièrement l’été, nous vous conseillons de réserver le plus rapidement possible. Pour vous faciliter la tâche, vous trouverez à la fin du programme les noms et coordonnées de quelques hôtels qui se situent à proximité du Palais des congrès de Montréal.

Un seul et unique mode d’inscription : EN LIGNE Vous trouverez facilement le module d’inscription en ligne des JAFC sur la page d’accueil de notre site Internet. La grande majorité des places s’envolent dans les premiers jours. Nous vous encourageons donc à procéder le plus rapidement possible! * En 2012, plusieurs participants ont noté qu’il faisait plutôt froid au Palais des Congrès. Puisque nous n’avons pas de contrôle sur cet élément, nous vous conseillons de prévoir un survêtement ou un chandail chaud.



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Tout ce qu’il faut savoir concernant les JAFC 2013

DATE LIMITE D’INSCRIPTION : 17 MAI 2013

Comment faire pour s’inscrire en ligne? Cliquez d’abord sur l’encadré « Journées annuelles de formation continue » sur la page d’accueil du site Internet de l’Ordre (www.otstcfq.org) et suivez les instructions qui apparaissent à l’écran et :

sélectionnez la ou les sessions désirée (s) en cliquant « Ajouter au panier » ou visionnez le détail d’une session en cliquant « Voir fiche »;

seules les sessions encore disponibles sont affichées; effectuez votre paiement via une transaction sécurisée; indiquez une adresse courriel afin de recevoir une confirmation d’inscription

dès que la transaction sera conclue.

Frais d’inscription Frais d’inscription pour les membres réguliers :

258,69 $ (225 $ + taxes) pour une session d’une journée OU 517,38 $ (450 $ + taxes) pour une session de deux jours.

Frais d’inscription pour les membres à l’emploi exclusif d’un organisme communautaire ou en recherche d’emploi : 137,97 $ (120 $ + taxes) pour une session d’une journée OU 275,94 $ (240 $ + taxes) pour une session de deux jours.

Contingentement des sessions Le nombre d’inscriptions, par session, est contingenté. Inscrivez-vous le plus rapidement possible!

Heures de formation continue Selon la Politique de formation continue de l’Ordre, les HFC que vous accumulez varient selon la durée de la formation à laquelle vous participez, soit :

Durée HFC 1 jour 5 2 jours 10

Unités d’éducation continue Les UEC que vous accumulez varient selon la durée de la session à laquelle vous participez, soit :

Durée UEC 1 jour (7 hres) 0,7

2 jours (14 hres) 1,4

http://www.otstcfq.org/



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Dépenses de formation Les dépenses encourues pour prendre part aux JAFC sont admissibles à titre de dépenses de formation dans le cadre de la Loi favorisant le développement et la reconnaissance des compétences de la main-d’œuvre (L.R.Q, chap. D-7.1). Un reçu vous sera émis.

Annulation d’une session par l’Ordre

Si l’Ordre devait annuler une session (inscriptions insuffisantes, impossibilité pour le formateur de se présenter, etc.), les membres inscrits à cette session seraient invités à faire un autre choix ou seraient remboursés intégralement.

Politique d’annulation par un membre Aucune demande de remboursement ne sera acceptée, sauf pour cause de maladie ou de mortalité et sur présentation d’une preuve écrite.

Demande de changement de session Aucune demande de changement de session ne sera autorisée après inscription.

HÉBERGEMENT Liste des hôtels avoisinants du Palais des congrès Embassy Suites Montréal 208, Saint-Antoine Ouest Tél. : 1 514 288-8886 Sans frais: 1 877 601-7666 Holiday Inn Select MONTREAL CENTRE VILLE DOWNTOWN 99, avenue Viger Ouest Tél. : 1 514-878-9888 Sans frais : 1 877 660 8550 Hyatt Regency Montréal 1255, rue Jeanne-Mance Tél. : 514 982-1234 InterContinental Montréal 360, Saint-Antoine Ouest Tél. : 514 987-9900 Westin Montréal 270, Saint-Antoine Ouest Tél. : 514 380-3333 Réservations : 1 866 837-4262

Documents

Journées annuelles de formation continue · Des savoirs hauts en couleurs! e 2 Mot d’invitation de la présidente du Comité organisateur ... disponible dès maintenant sur le