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Profession Bâtiment Bulletin officiel de la Fédération Française du Bâtiment d’Eure-et-Loir N 0 141 Juillet 2013 Plaquistes : le nouveau DTU 25.41 p. 4 Les bornes de rechargement électrique p. 7 Le chantier du musée des Confluences à Lyon p. 11 calendrier des formations p.11

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ProfessionBâtiment

Bulletin officiel de la Fédération Française du Bâtiment d’Eure-et-Loir

N0 141Juillet 2013

Plaquistes : le nouveau DTU 25.41 p. 4

Les bornes de rechargement électrique p. 7

Le chantier du musée des Confluences à Lyon p. 11

calendrier des formations p.11

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Le Bâtiment mobilisé

Le 14 juin dernier au Palais des sports de la porte deVersailles, plus de 4.000 chefs d’entreprises du Bâtimentont participé aux 24 heures du Bâtiment.

Un moment fort où la profession réunie a exprimé devantle chef de l’état ses difficultés et ses inquiétudes face à uneactivité qui se dégrade de jour en jour.

Notre Président, Didier RIDORET, a évoqué sans ménage-ment, tous les sujets qui viennent chaque jour asphyxier un peu plus la vie de nosentreprises :

Augmentation des taux de TVA, rabotage des incitations fiscales, alourdissementde la taxation sur les plus-values immobilières, concurrence déloyale des auto-entrepreneurs et de la main d’œuvre étrangère, offres de prix anormalement basses, augmentation des charges sociales et des taxes en tout genre,allongement des délais de paiement

… Trop c’est Trop …

Le Président de la république, François HOLLANDE, qui était accompagné deCécile DUFLOT, ministre du logement, et de Sylvia PINEL, ministre de l’artisanat,s’est montré à l’écoute de nos préoccupations et a annoncé quelques mesuresencourageantes :

Passage de la TVA à 10 % pour le logement intermédiaire, réduction de la duréed’exonération de 30 à 22 ans pour le calcul des plus-values immobilières, meilleurencadrement du statut de l’auto-entrepreneur, multiplication des contrôles afinde lutter contre les différentes formes de concurrence qui ne respecteraient pasla loi française ou la réglementation européenne...

Ces mesures viennent compléter celles déjà annoncées le 21 mars dans le cadredu plan d’urgence pour le Bâtiment, signe que le signal d’alarme tiré par notreFédération est entendu.

Continuons notre mobilisation.

Profession Bâtiment N° 141 3

Sommaire

Métiers• Plaquistes :

le nouveau DTU 25.41 4

Événement• Retour sur l’activité du

le secteur du bâtiment éligibleau dispositif 5

Électricité• Assemblée Générale SIE

Les bornes de rechargementélectriques 7

Formation• Offre de formation

du 2e semestre 2013 8

Maçonnerie• Les maçons de la FFB

visitent le chantier du muséedes Confluences à Lyon 11

Événement• Assemblée Générale

de la FFB 12

Brèves 13

Métiers• Questions techniques 14

Responsable de la publication :Marie-Joëlle BORTOLUSSISecrétariat et rédaction : Michel ANTOINE02 37 88 30 80

ÉDITION ET DIFFUSION, RÉGIE PUBLICITAIRE : G2C Communication28190 COURVILLE/EURETél. 02 37 88 37 00

Photo de couverture : Fotolia ©Abonnement : Le numéro : 5 e1 an soit 4 numéros : 20 eN°141 - ISSM 1150-4579

Marie-Joëlle BORTOLUSSI

Présidente

Editorial

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Profession Bâtiment N° 1414

■ Quelle est la date d’entrée en vigueur dece nouveau DTU publié le 21 décembre 2012 ?

Dans les marchés privés faisant réfé-rence à la norme NF P 03-001, le DTUs’applique pour les consultations lancéesdepuis le 1er mars 2013 ; à défaut, lenouveau DTU s’applique pour toutes lesoffres dont la date d’établissement estpostérieure au 21 décembre 2012.

Dans les marchés publics, le DTU 25.41s’applique au marché dont le mois d’éta-blissement des prix est avril 2013.

■ Quels sont les locauxvisés par ce DTU ?

Le DTU 25.41, ne s’applique qu’auxlocaux classés EA (locaux secs ou faible-ment humides), EB (locaux moyenne-ment humides) et EB+ privatifs (locauxhumides à usage privatif) au sens ducahier CSTB 3567 de mai 2006« Classement des locaux en fonction del’exposition à l’humidité des parois ».

A noter que dans les locaux EB+ privatifs,seules sont admises les plaques à pare-ment hydrofugé de type H1.Dans ces locaux, pour des contre cloisonsou cloisons à parement à une plaqueréalisées avec des plaques de BA 13 ouBA 15 et recevant une finition de carre-lage ou assimilés supérieure à 1600 cm2,l’entraxe des lignes d’ossatures verticalesest limitée à 0,40 m.

■ Quelles sont les hauteurs admissiblesà la verticale ?

Pour les cloisons de distribution, ellessont au maximum de 6,85 m et de 6 mpour les contre-cloisons avec fixation

intermédiaire (2,70 avec appuis intermé-diaires clipsés).Les calculs ont été effectués et résumésen tableaux synthétiques en reprenantles entraxes (simple ou double), les typesde montants et de parements (BA 13,BA15 ou BA18). Il est important d’utiliserles tableaux du DTU car la méthode decalcul de l’ancien DTU a été modifiée.

■ Et les charges en plafond ?

En plafond, une cornière ou rail doit toutd’abord être fixé en périphérie.

Dans la plupart des cas, les charges àprendre en compte sont le poids proprede l’ossature et des plaques, mais aussiune surcharge de 10 daN/m2 qui tientcompte des effets moyens dus au vent,ainsi que la masse surfacique de l’isolantet une charge ponctuelle complémen-taire de 2 daN par surface minimale de

1,20 m x 1,20 m pour la fixation d’objets.Le nouveau DTU s’applique pour des isolants allant jusqu’à 15 kg/m2 (contre 6 kg/m2 dans l’ancienne version).Là aussi des tableaux synthétiquesreprennent les entraxes, les types d’ossa-ture, les poids des isolants ainsi que lestypes de parements.

■ Quelles sont les tolérances admises pour l’ouvrage fini ?

Pour les Cloisons et Contre cloisons, lestolérances sont de 1 mm sous la règle de0.20 m et 5 mm sous la règle de 2 m avecun faux aplomb inférieur à 5 mm sur unehauteur d’étage.

Pour les Plafonds, les règles sont iden-tiques avec pour l’horizontalité unetolérance de 3 mm/m sans dépasser 2 cm.

Le 14 mai dernier, Jean-Paul LAM, secrétaire général et technique de l’UMPI, est venu présenter aux plaquistes de la FFB, le nouveau DTU 25.41 sur les règles de mise en œuvre des ouvrages en plaques de plâtre ou à faces cartonnées : Retour sur les questions posées.

Plaquistes :le nouveau DTU 25.41

Métier

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Profession Bâtiment N° 141 5

Événement

Monique MONTAL, Présidente nationale,avait émis le vœu de rencontrer un maxi-mum de groupes femmes. Notre groupea donc décidé d’organiser une rencontrerégionale à CHARTRES avec les départe-ments de la région Centre ainsi que ceuxde la Sarthe, de l’Orne et de l’Eure.Au total une cinquantaine de participan-tes s’est retrouvée à l’Hippodrome deCHARTRES pour participer à la conférenceanimée par Pierre DRELON et Sonia DES-MARCHELIER sur le thème de la relationavec les jeunes au sein des entreprises.Ces jeunes nés depuis 1980 arrivent mas-sivement sur le marché du travail enFrance depuis 5 ans. On les appelle lesgénérations Y, celles du pourquoi(« why » en anglais).On leur reproche souvent le rejet descontraintes, leur instabilité ou la recherchede mouvement permanent ainsi qu’uneforme d’allergie aux règles et à l’autorité.Pierre DRELON précise : Ils sont nés dansune époque de facilité où les entreprisesont créé « le client roi » qui a procréé desenfants-rois, des élèves-rois à l’école et dessalariés-rois en entreprise. Du « facile »

(télécommande, internet, téléphone…) au« tout, tout de suite », les générations Yont appris le culte de l’instantanéité sanseffort. Elles ne croient pas trop aux enga-gements et ne connaissent pas l’effortpour aller chercher l’information puis-qu’elles sont habituées à ce qu’elle arrivetoute seule.Les jeunes de cette générationpeuvent donc éprouver des difficultés às’adapter à la notion de hiérarchie et degestion des priorités nécessaires à labonne organisation du travail.Les jeunes veulent mener de front et àfond différentes choses. Le manager doitaccompagner le mouvement tout enfixant des limites. C’est en donnant deslimites que l’on développe l’autonomie. Ilfaut un cadre et des repères, donner desobjectifs et travailler par courte sessionpour demander des résultats.Les jeunes ne sont pas prêts à se remet-tre en cause pour se conformer à des usa-ges qu’ils considèrent d’un autre temps.Par réflexe, ils rejettent toute forme decontrainte qu’ils ne comprennent pas(difficulté notamment à appliquer desprocédures pour lesquelles on n’a pas dequestion à se poser).Est-ce pour autant que tout est à critiquersur cette génération ? Non bien sûr puis-qu’elle représente l’avenir des entrepri-ses. Pour réussir à gérer les caractéris-tiques de cette génération Y, il estindispensable de revenir aux fondamen-taux de la relation humaine. Il s’agitd’ailleurs là d’une démarche qui concernetoutes les générations jusqu’au manage-ment des seniors.En conclusion : il faut trouver un pointde convergence entre les besoins desentreprises et les besoins des Hommes.C’est ainsi que l’avenir peut se construireet il ne peut se construire sans les jeunes.Un déjeuner servi sur place puis unevisite de la Cathédrale et du VieuxChartres ont contribué à terminer lajournée dans la bonne humeur.

L’activité du groupe femmes a connu un rythme soutenu au cours du 2e trimestre avec deux réunionsd’information sur PRO BTP et les Prud’hommes, et l’organisation de la 1re rencontre régionale duCentre. Retour sur cette journée.

Retour sur l’activité du

Groupe Femmes

des Prud’hommesFabrice MORNIROLI, conseiller prud’-hommes, est venu expliquer le 20 juin dernier, le fonctionnement decette juridiction paritaire tout en fai-sant référence à des cas concretsissus de sa longue expérience.En cas de litige, la première étape passepar le bureau de conciliation composéd’un employeur et d’un salarié. A cestade, il n’y a pas besoin d’avocat car iln’y a pas de risque. On tente simple-ment de trouver un accord. Les échan-ges ont lieu à huis clos.En cas de désaccord, l’étape suivanteest le bureau de jugement (Les débatssont publics). La décision se prend endélibéré à huis clos (2 employeurs 2 salariés). Si les juges ne parviennentpas à trouver une majorité, le délibérérecommence en bureau de départage(2 + 2 + Juge départiteur).Si l’une des parties conteste le juge-ment, elle a un mois pour faire appel.La Cour d’appel est divisée en plu-sieurs chambres sociales.Enfin, le dernier ressort sera la courde cassation qui juge la forme et nonle fond.

Points importants :

• Etant donné la complexité du Codedu Travail, il faut toujours anticiperdès l’embauche. Ne pas se contenterd’un seul avis, prendre conseilauprès de la FFB

• Le doute profite toujours au salarié(cf. Code du Travail), c’est donc à l’em-ployeur de prouver le contrairequand un salarié va devant lesPrud’hommes

• Le principe de la prud’homie c’est lacontradiction

• Le juge prud’homal ne travaille quesur les faits, il est dans le droit purcontrairement au chef d’entreprisequi est plutôt dans le ressenti.

Le Fonctionnement

Si les activités du groupe vous intéressent appelez le 02 37 88 30 81

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Profession Bâtiment N° 141 7

Pierre-Mary LE PERSON, Directeur Technique de la FFIE, estvenu exposer aux installateurs les dispositions réglementaireset normatives à mettre en œuvre pour la réalisation d’infras-tructures de recharge pour véhicules électriques et hybridesrechargeables (IRVE).

Cette réglementation déjà applicable depuis le 1er juillet 2012pour les immeubles collectifs et de bureaux, le sera égalementdans l’existant à partir du 1er janvier 2015.

A l’horizon 2020, c’est 2 millions de véhicules électriques quiseront concernés et potentiellement 5 millions de bornes àinstaller, un véritable marché pour les électriciens.

En pratique, on peut distinguer quatre modes de connexiondifférents.

Le mode 1 permet le raccordement du véhicule au réseau d’a-limentation par le biais de socles de prise de courant normali-sés jusqu’à 16 A en monophasé ou en triphasé; Il est adaptépour les petites puissances de charge.

Le mode 2 est identique au mode 1 dont il ne se distingue quepar l’intégration d’un boitier de contrôle sur le câble vérifiantl’intégrité du branchement électrique. Cette solution est parti-culièrement couteuse du fait de la spécificité du câble.

Le mode 3 inclut un circuit dédié borne — véhicule et néces-site une prise spécifique.

Le mode 4 est un chargeur externe, utilisé essentiellementpour la recharge rapide continue et n’est pas à ce jour traitépar le guide UTE.

Pour recharger un véhicule en toute sécurité, il est recom-mandé d’adapter l’installation en l’équipant d’une ligne spéci-fique et d’une prise dédiée, et ce afin d’éviter les risques desurchauffe, d’effectuer une charge en continue et de diminuerle temps de charge par deux par rapport à une prise standard.

Le Syndicat des Installateurs Electriciens d’Eure et Loir a tenu son Assemblée Générale annuelle le 24 mai dernier sur le thème des bornes de rechargement électriques.

Evénement

Assemblée générale du syndicat des électriciens

Les bornes de rechargement électrique

Lors de cette rencontre, Pierre-Mary LE PERSON aégalement souligné l’importance de prendre encompte les dispositions additionnelles prévues parle cahier des charges de la Commission Centrale deSécurité pour la mise en œuvre d’infrastructuresde recharge dans les Etablissements Recevant duPublic et Immeubles de Grande Hauteur (coupured’urgence, limitation de puissance ou comparti-mentage des espaces destinés à la charge, …).

Ces dispositions regroupées dans une note tech-nique FFIE (NOTEC N°544 – disponible sur le siteinternet de la FFIE / espace adhérents) doivent per-mettre aux électriciens d’échanger avec le servicedépartemental d’incendie et de secours sur toutesles mesures à prendre et aussi sur les possibilitésdérogatoires prévues par le ministère.

Egalement conviée à cette soirée d’information,Cécile MOZER, Directrice Territoriale d’ERDF, a pré-cisé aux installateurs, distributeurs et fabricantsprésents l’impact sur le réseau public de distribu-tion de l’installation des bornes de recharge.

ERDF a mis en relief les dispositions à mettre enœuvre pour rendre possible l’électromobilité sur ledépartement par le raccordement au réseau publicde distribution.

Pour compléter cette information, ERDF et la FFIEont publié un recueil sur les dispositions à mettreen œuvre pour l’installation d’infrastructures derecharges dans les habitations individuelles, lesbâtiments d’habitation collectifs neufs ou exis-tants, les bâtiments tertiaires neufs ou existants,les espaces extérieurs des domaines publics ou pri-vés. Ce guide a été distribué à tous les adhérents dusyndicat.

L’assemblée Générale du Syndicat desElectriciens s’est ensuite poursuivie par un dinercocktail convivial en musique.

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Formation Objectifs Prix H.T Dates

FEEBAT MODULE 1 : Identifierles éléments clés d’une offre

globale d’amélioration énergé-tique des bâtiments

Elaborer et proposer un projet global de rénovation énergétique basésur un bouquet de travaux. Maîtriser les interactions entre les diffé-rentes solutions techniques.

400 d 20/21 Novembre

FEEBAT MODULE 2 : Maîtriser les outils pour mettre en œuvreune offre globale d’amélioration

énergétique des bâtiments

Maîtriser les logiciels permettant d’évaluer la performance énergé-tique d’un bâtiment. Savoir dimensionner et chiffrer un ensemble desolutions énergétiques.

400 d11/12 Septembre 11/12 Décembre

Offre de formationpour les chefs d’entreprise,

Formation Objectifs Prix H.T Dates

Montage - Utilisation -Démontage

d’un échafaudage fixe

Acquérir en tant que monteur, les compétences nécessaires au mon-tage et démontage d’un échafaudage fixe conformément à la noticedu fabricant. Avoir la connaissance, en tant qu’utilisateur, des risqueset savoir les maîtriser. Savoir réaliser des travaux sur échafaudagesfixes en sécurité

335 d23/24 septembre

17/18octobre25/26Novembre

Formation initiale - CACES PEMP CATEGORIE 3B - Préparation

à la conduite en sécurité des plateformes élévatrices

mobiles de personnes (R386)

Etre capable de conduire une plate-forme élévatrice mobile de personnes (PEMP) en respectant les règles de sécurité. 550 d 19/20/21 Novembre

RECYCLAGE - CACES PEMP CATEGORIE 3B - Préparation

à la conduite en sécurité des plateformes élévatrices

mobiles de personnes (R386)

Etre capable de conduire une plate-forme élévatrice mobile de personnes (PEMP) en respectant les règles de sécurité. 350 d 7/8 Octobre

SAUVETEUR SECOURISTE DU TRAVAIL

Intervenir immédiatement et efficacement face à tout accident ousituation d’urgence. Etre capable d’exécuter les gestes de premierssecours destinés à protéger la victime, les tiers, alerters les secoursspécialisés, éviter l’aggravation de la victime et préserver son intégrité physique en attendant l’arrivée des secours.

225 d

30/09 matin - 7/10 matin -14/10 matin + 2 heures

après-midi Durée totale : 14 heures

SE PREPARER A l’HABILITATIONELECTRIQUE BS : salariés non

électriciens exécutant des interventions de remplacement et de

raccordement simples sur des ouvrages électriques

(menuisiers, peintres,métalliers…)

Connaître le risque électrique et savoir mettre en œuvre les procédu-res de travail en sécurité conformément à la norme NF C 18-510

300 d 4/5 Décembre

Formation Objectifs Prix H.T Dates

Réglementation gaz :Techniques et validation

Mettre en pratique toutes les bases techniques et réglementairesindispensables à la bonne réalisation d’une installation intérieure gaz.Appréhender dans de meilleures conditions le passage de la validationdes connaissances gaz.

305 d 1er et 2/10/2013

Etanchéité à l’airIdentifier les points sensibles de la perméabilité à l’air. Apporter dessolutions techniques en chantier. Les familles de fuites récurrentes.Test sur le site

220 d 13 Nonvembre

Profession Bâtiment N° 1418

Formation

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Entreprise ..............................................................................................................................................................

Adresse ...................................................................................................................................................................................................................................................... Tél. ..............................................................................................

Souhaite recevoir le programme détaillé et le bulletin d’inscription pour les formations suivantes (noter le libellé de la formation et les dates choisies)

• ..................................................................................................................................................................................... • ............................................................................................................................................................................................

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à retourner à BATIFORMATION 287 rue Vlaminck - CS 50365 - 28008 CHARTRES CedexTéléphone : 02.37.88.30.80 Télécopie : 02.37.88.30.90.

du 2e semestre 2013conjoints et salariés du bâtiment

Demande de bulletin d’inscription

Formation Objectifs Prix H.T Dates

Multi Devis - Suivi de chantier

Multi devis : présentation et objectifs du logiciel - gestion de labibliothèque, création du devis, impressions et paramétrages, créa-tion des factures et des situations, gestion des clients.Suivi de chantier : création d’un chantier, suivi de chantier parconsommation, gestion des temps par salariés, gestion des approvi-sionnements

600 d 13, 14, 19 Nonvembre

Lecture du bilan Savoir comprendre et lire son bilan et son compte de résultatIdentifier et analyser les chiffres clés. Calculer son besoin en fondsde roulement. Déterminer les seuils d’alerte.

220 d Date en attente

Animer une équipe dans des circonstances

difficiles

Anticiper les incertitudes pour être plus apte à les traverser ; prépa-rer des changements importants ; faire face à une crise majeure(baisse d’activité, pe rte de savoir-faire, départs inopinés…) ; chan-ger et faire évoluer les comportements en face de circonstancesexceptionnelles ; négocier des solutions originales partagées

450 d HT 9/10 Décembre

Gérer une crise de trésorerie : dégager

du cash, prévoir,gérer sa trésorerie

Disposer de méthodes concrètes pour améliorer sa situation finan-cière ; dégager des ressources financières au quotidien dans l’entre-prise ; expliquer, commenter sa situation financière : rassurer sesfinanceurs ; prévoir et budgéter sa trésorerie ; gérer une crise de tré-sorerie

322 d 2 avril

Gestion du Stress etEfficacité professionnelle

Comprendre les mécanismes du stress, ses manifestations, seseffets. Apprendre comment améliorer sa capacité de résistance etd’adaptation au stress. Savoir agir contre les agresseurs

180 d 17 octobre

PAIE BATIMENT etCONTRAT DE TRAVAIL

Acquérir les principes juridiques, sociaux et conventionnels, de l’em-bauche d’un salarié jusqu’à la rupture de son contrat de travail.Etablir un bulletin de paie conformément à la réglementation envigueur dans le secteur du bâtiment

180 d 14 novembre

Rappel : pour toute formation suivie par vous-même, votre conjoint ou vos salariés, vous pouvez être indemnisé (entièrement ou partiellement) par les fonds d’assurance formation.

Nous nous chargeons des prises en charge financière auprès du FAFCEA (pour le chef d’entreprise non salarié) et auprès du CONSTRUCTYS (pour les salariés des entreprises d’un effectif inférieur à 10).

N’hésitez pas à nous contacter avant le démarrage de toute formation.Votre interlocutrice : Dolores ROUSSELET au 02 37 88 30 81

Profession Bâtiment N° 141 9

Formation

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Profession Bâtiment N° 141 11

Il abritera l’ancien musée GUIMET d’histoire naturelle au travers de 6.000 m2

d’expositions temporaires ou permanentes et 11 salles réparties sur 2 niveaux.

Après un démarrage difficile et un arrêt de chantier suite à la nécessité derenforcer les fondations profondes, un groupement d’entreprises piloté parGTM et Vinci Construction, a repris en avril 2010 les commandes de l’opéra-tion sous un macro lot GEA (Gros œuvre, Enveloppe et Abords).

L’îlot, gagné siècle par siècle par l’accumulation de remblais a d’abord néces-sité une consolidation de ses sols. Ainsi, c’est environ 5.000 colonnes de bétonqui ont été réalisées sous le sol existant. De plus, après la reprise des fonda-tions du 1er marché, certaines ont nécessité un renforcement ponctuel réalisépar la technique de micro pieux pour s’adapter aux évolutions du projet.

Ce chantier d’envergure sur lequel intervient pas moins d’une centaine d’en-treprises, se décompose en 3 ouvrages :

■ Le SocleVéritable défi béton, il constitue la base du musée sur laquelle le publicdéambulera.

Organisé sur deux niveaux semi-enterrés, le Socle abrite une multitude delocaux techniques pour la préparation et le stockage des expositions.Entièrement conçu en béton brut, ce sont 14.000 m3 de béton brut, 54.500 m2

de coffrage et 1.700 tonnes d’acier qui ont été nécessaires pour élever cettestructure à huit mètres de hauteur.

14 poteaux élancés pleins en béton et 3 piles évidées pour accueillir les cir-culations verticales du bâtiment (ascenseurs, monte-charges et escaliers)viennent supporter les 6.500 tonnes de la charpente métallique du Nuagecontenant les salles d’expositions.

■ Le NuageImposant de par sa charpente métallique assemblée et boulonnée grâce àplus de 250.000 boulons, il semble flotter au dessus du socle, et abritera lessalles d’expositions du musée.

Charpente qui ne sera malheureusement plus visible une fois l’ouvrageachevé car elle sera revêtue par une enveloppe inox pour la partie extérieureet de plâtre ou de béton cellulaire pour la partie intérieure.

Conçu par l’agence autrichienne COOP HIMMELB(L)AU,le bâtiment se situe au cœur du nouveau quartier créédans l’hyper centre lyonnais, au confluent du Rhône etde la Saône.

Métier

Les maçons de la FFB visitent

le chantier du muséedes Confluences à Lyon

Là encore les quantités de matériaux mis enœuvre impressionnent :

■ 62.000 m3 de peinture de protection,

■ 17.000 plaques inox pour 60 tonnes,

■ 3.700 m2 de façade en béton cellulaire,

■ 22.800 m2 de cloisons de doublage,

■ 1.400 m2 de faux plafonds …

■ Le CristalC’est le point d’attraction du projet mais surtoutl’entrée principale du musée des Confluences, cons-tituée d’une ossature métallique totalement appa-rente de 600 tonnes d’acier et 1.500 vitrages extraclairs pour laisser rentrer le maximum de lumière.

Ici les passerelles de liaisons du musée s’enroulentautour d’un pied central sous forme d’un « puits degravité ».

Eté comme hiver, l’espace sera tempéré par desbrise-soleil et le plancher chauffant/rafraîchissant.

Après la visite guidée approfondie de ce fabuleuxchantier, Les maçons de la FFB ont ensuite profitédu week-end pour découvrir Lyon avec sa placeBellecourt, sa cathédrale, la basilique Notre Damede Fourvière, ses fameuses traboules, les fresquesdu musée urbain Tony Garnier … et ont pu assisterà un spectacle de Guignol dans le parc de la Têted’Or sans oublier de goûter au plaisir des traditionnelsbouchons Lyonnais.

Remerciements à nos partenaires :

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Profession Bâtiment N° 14112

Evénement

Avant la conférence de Michel GODET,célèbre économiste et professeur CNAMet du Conseil National de l’Economie,Eric QUINTON du service économiquede la FFB dresse le portrait de la situa-tion économique actuelle..

■ Un contexte financier peu favorable au Bâtiment

Sans surprise, l’activité Bâtiment est ennette diminution en 2012, en particulierpour le marché de la construction neuvequi subit une baisse de – 20 % par rap-port à l’année 2011 avec 346 000 misesen chantier. Le logement social enregis-tre, lui aussi, une baisse par rapport à2012 avec seulement 90 000 mises enchantier (bien loin des 150 000 prévuespar le gouvernement).

Ce recul de l’activité peut notamments’expliquer par un contexte très difficilepour les ménages car les banques ontdurci les conditions d’accès au créditimmobilier, ce qui entraine une baisse de26% de production de crédits immobi-liers. Aujourd’hui les banques souhaitentdes emprunteurs plus sûrs qui peuventavoir un apport personnel conséquent.Le ralentissement du marché de la cons-truction individuelle est également dû àla suppression du Prêt à Taux Zéro Plus(PTZ+) dans l’ancien et un importantrabotage du PTZ+ dans le neuf. Tous cesfacteurs entrainent naturellement unechute de l’accession à la propriété.Du côté des travaux d’amélioration –entretien, marché qui représente 50% dumarché du Bâtiment, l’activité est égale-ment en baisse de 1,4% au premier tri-mestre 2013 par rapport au premier tri-mestre 2012. Mais ce chiffre devrait s’a-méliorer sur la fin 2013 avec une haussedes demandes de travaux avant l’aug-mentation du taux réduit de TVA au 1erjanvier 2014.

Cette régression du marché se traduitpar un carnet de commandes historique-ment bas avec en moyenne, 2,7 mois dechiffre d’affaires. Autre fait marquant, lescréations d’entreprises sont en nettebaisse (-17% sur les quatre premiersmois 2013, hors auto-entrepreneurs).Paradoxalement, il y a eu moins dedéfaillances d’entreprises sur cettemême période par rapport à 2012.

■ Une sortie de crise prévuepour 2015

La FFB prévoit une année 2013 encorecompliquée pour le secteur du Bâtimentavec un recul de l’activité de 3,5 % (– 7 %pour la construction neuve et – 0,5% pourles travaux d’amélioration – entretien).Cette baisse de l’activité engendrera envi-ron 40 000 suppressions d’emplois.

Les spécialistes prévoient une sortie decrise relativement lente avec une embel-lie prévue pour 2015.

C’est dans ce contexte que MichelGODET émet quelques propositionspour construire et réussir malgré la crise.

Lors de sa conférence, il revient sur lesréussites d’hommes et de femmes qui, àla tête de collectivités locales ou d’entre-prises, ont pu développer et construiredes choses qui marchent. Aujourd’hui, lacompétence, le courage et les projets col-lectifs sont des variables importantespour avancer.

■ « Le mal est en nous,les solutions aussi »

Il existe bel est bien des problèmes mon-diaux mais avec des contraintes iden-tiques, certains pays s’en sortent mieuxque d’autres. Cela signifie donc que lescauses internes sont plus importantesque les causes externes : les facteurs dedéveloppement sont endogènes. Il estimpossible de changer le Monde maischacun peut agir à son niveau. De lamême façon en France, personne nepeut agir à la place du gouvernementmais chacun peut agir sur son territoire.Selon Michel GODET, il faut privilégierles initiatives individuelles qui émanentdes territoires et adapter les réussitesglobalement. En période de crise princi-palement, les handicaps doivent devenirdes forces à positiver pour transformerles points faibles en atouts.Michel GODET voit en la crise plusieurssignes d’espoir. Tout d’abord, l’aspectdémographique : le vieillissement de lapopulation, le flux migratoire vers la pro-vince, l’éclatement des familles provo-qué par les divorces de plus en plus nom-breux… tous ces facteurs engendrent unbesoin en logements et, de fait, du travailpour les entreprises de Bâtiment.

Pour conclure, seulement un quart desinnovations viennent des centres derecherches, selon Michel GODET : « Onpeut toujours faire là où l’on se trouve ceque les autres ne font pas ».

L’assemblée générale de la FFB a eu lieu le 31 mai dernier. Dans un contexte économique plutôt morose, Michel GODET a démontré que la crise est porteuse d’espoir pour les entreprises de Bâtiment.

Assemblée Générale de la FFB Eure-et-Loir

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■ FAFCEA : nouveaux critères de prise en charge

Les critères de prise en charge FAFCEA 2013 ont été modifiés à compter du 1er Juillet.

TYPE DE FORMATION Durée maximale par anCoût horaire maximum

pris en charge

TECHNIQUE 100 heures 22 ,

QUALITE 84 heures 18 ,

GESTION/MANAGEMENT 35 heures 22 ,

PERMIS C/EC/EB/FIMO/FCO Forfait 584 ,

En bref !

Marie Joëlle BORTOLUSSI, Présidente de la FFB etBernard CHERLONNEIX, directeur départemental dela Banque de France à Chartres, ont signé une conven-tion de coopération GEODE valable jusqu’au 31 décembre 2015.

GEODE est un service d’aide à la gestion d’entreprise :analyse du bilan, diagnostic de l’entreprise, comparatifpar rapport aux autres entreprises, aide à la prise dedécision et pilotage de l’entreprise.

La convention permet aux entreprises adhérentes debénéficier d’une réduction de 400 d sur cette prestation.

La FFB a organisé les Rencontres del’Artisanat le 25 juin dernier à Dreux età Chartres. Une vingtaine d’artisansont participé à la réunion « Faites dutéléphone un outil commercial ».

Agenda

19 septembre• Réunion électricité : « les nouvelles technologies dans le Bâtiment : domotique,alarme, fibre optique »

21 septembre• Barbecue du Bâtiment à Thivars

10 octobre• Les Coulisses du Bâtiment : chantier du pôle gérontologie de l’Hopital Henry Ey à Bonneval

11 au 14 octobre• Artisanales de Chartres

16 octobre• Réunion peinture : « le nouveau DTU 59.1 »

30 – 31 octobre - 1er Nov.• Visite de l’usine Philips à Eindhoven

Profession Bâtiment N° 141 13

Rencontre de l’Artisanat

NOUVEAU

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■ La FFB signe une convention avec la Banque de France

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Profession Bâtiment N° 14114

Lors de l’installation d’unedouble rampe d’escalierdans une école primaire, àquelle hauteur doit-on pla-cer la 2e main courante ?

Tout d’abord, il est important desavoir qu’il n’existe aucune obli-gation réglementaire en lamatière.

Toutefois, lorsqu’une doublerampe est demandée, notam-ment pour les enfants ou des per-sonnes de petite taille, il estrecommandée de l’installer à unehauteur comprise entre 55 cm et60 cm par rapport aux nez desmarches de l’escalier.

(Cf guide « Handicap et cons-truction » de L.P. Grosbois).

Quelle pente doit-onrespecter lors de la réalisa-tion d’une douche « à l’ita-lienne » ?

Le guide pour la mise en œuvred’une douche de plain pied dansles salles d’eau à usage individuel

en travaux neuf édité par le CSTB,prévoit une pente d’au moins 1 %dans la zone d’exposition à l’eau,qui s’étend dans le cas de projec-tion d’eau non contenue jusqu’àun rayon de 1 m 80 du point defixation du flexible et du siphon.

A noter que si la porte de la pièceest distante du point de fixationdu flexible de moins d’1 m 80, unressaut entre 10 et 20 mm doitêtre posé au droit du seuil et quela porte doit être située à plusd’1,20 m du flexible.

Dans le cas de projections conte-nues par des parois rigides, fixes oumobiles d’une hauteur supérieureà 1 m 80, la pente est limitée àl’espace de douche et un ressautde 10 à 20 mm doit être réalisé sila longueur de la cloison de la dou-che est inférieure à 1 m 80.

Métiers

Questions techniques :

Vous nous l’avez demandé...

Est-il possible de réparer unplancher chauffant dont lestubes ont été endommagés ?

Le DTU 65.14 relatif aux plancherschauffants à eau chaude, prévoitla possibilité de réparer les tubes,sous réserve de respecter uneméthodologie précise et d’effec-tuer les réparations comme suit :

11.. Localiser la fuite et mettre à nule tube,

22.. Eliminer la partie endommagéeet réparer à l’aide de raccordsdémontables bénéficiant d’un avistechnique. Les raccords sont alorsplacés dans des boîtes visitables.

Il est également possible d’utiliserdes raccords indémontables sousavis technique s’ils sont protégésdu matériau d’enrobage ou d’em-ployer les techniques de répara-tion indiquées dans l’avis tech-nique relatif au système de canali-sations.

3. Effectuer une épreuve à la pres-sion.