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Ouverture d’une nouvelle aile à la Clinique Bouchard à Marseille La Clinique Bouchard à Marseille inaugurera le 11 octobre prochain sa nouvelle aile de 3 300 m². Après plusieurs mois de travaux, la partie la plus ancienne de la Clinique, composée de quatre niveaux, a été entièrement rénovée. De nouveaux services y voient le jour : - une unité de dialyse médicalisée de 20 postes Situé à côté du centre lourd, des centres d’autodia- lyse et de la dialyse à domicile, ce service complète l’offre de soins de la clinique pour les patients atteints d’insuffisance rénale chronique. - le Pôle de la Chirurgie de la Femme Il est dédié à la chirurgie gynécologique, à la chirurgie du sein, à l’Assistance Médicale à la Procréation et à la chirurgie esthétique, plastique et reconstructrice. 43 médecins (8 chirurgiens esthétiques, 17 gyné- cologues et 18 anesthésistes) exercent au sein de ce pôle constitué de 14 lits. Chaque mois, le Pôle de la Chirurgie de la Femme accueille plus de 410 patientes. - l’Unité de médecine cardiologique dans le cadre du regroupement des activités de cardiologie de la clinique Valmante et de la clinique Bouchard sous l’entité Euromed Cardio. Cette unité est désormais composée de 20 lits et accueille plus de 60 patients par mois. A cette offre de soins s’ajoute le plateau technique flambant neuf de cardiologie interventionnelle. Octobre/Novembre/Décembre 2011 du Groupe Vitalia / n°26 CLINIQUE BOUCHARD (MARSEILLE) Catherine Destivelle Ils en rêvaient, c’est désor- mais une réalité : la Clinique Bouchard et l’hôpital Paul Desbief ont décidé de regrou- per leurs atouts pour offrir aux Marseillais une structure de cardiologie de haut niveau. Le transfert des activités de cardiologie de la clinique Valmante sur le site de la clini- que Bouchard a été réalisé au mois de juin. 3 500 m² consacrés à la cardiologie Concrètement, Euromed Cardio se situe dans les locaux de la Clinique Bouchard. Bénéficiant de tout l’environnement technique de la clinique, ce pôle cardiologique regroupe à compter d’aujourd’hui plusieurs sous-spécialités. L’Agence Régionale de Santé (ARS) a en effet autorisé une activité de cardiologie interventionnelle mais elle a égale- ment accordé le regroupement des activités : - de Médecine cardiologique ; - de Surveillance continue ; - de Soins Intensifs Cardiologiques (USIC) ; - de Cardiologie interventionnelle ; - d’Unité de Douleurs Thoraciques de la Clinique Valmante et de la Clinique Bouchard. Euromed Cardio est autorisé pour 57 lits. 68 salariés, 7 cardiologues interventionnels et 20 cardiologues médicaux exercent dans cette struc- ture de 3 500 m². Un plateau technique de cardiologie interventionnelle entièrement neuf a ouvert mi-septembre pour assurer innovation, performance, qualité et sécurité ainsi qu’une unité de mé- decine cardiologique avec des chambres particulières d’une haute qualité hôtelière. La Clinique Bouchard et l’hôpital Paul Desbief à Marseille viennent de donner naissance à un nouveau pôle : Euromed Cardio. Euromed Cardio : un nouveau centre de cardiologie à Marseille Groupe VITALIA 5, rue du Cirque 75008 Paris Tel: +33 (1) 58 56 16 80 Fax: +33 (1) 58 56 16 81 Email : [email protected] www.groupe-vitalia.com Ce numéro de la Lettre de Vitalia a été imprimé à 11000 exemplaires Brèves Lutter contre le cancer Le 9 octobre dernier, une cinquan- taine de salariées de la Clinique Océane à Vannes a participé à la course «La Vannetaise» au profit de l’association «Faire Face Ensemble», une association d’aide aux personnes confrontées à l’épreuve du cancer. 4 e Convention Médicale Vitalia La Convention Médicale 2011 s’est déroulée vendredi 7 octobre. Christian Le Dorze et Jean- Baptiste Mortier ont largement évoqué les perspectives 2012 de Vitalia. Grand témoin de cette convention, le spécialiste de com- munication Thierry Saussez, auteur du «Manifeste pour l’opti- misme», s’est livré à une véritable revue de détail sur «la psychologie des Français». L’alpiniste Catherine Destivelle a ensuite captivé la salle avec le récit de ses expéditions. Cette conven- tion médicale avait débuté par une réunion des Présidents de CME qui apprécient de pouvoir se retrouver entre eux pour mettre en commun leurs expériences. Les débats ont acquis, au fil des années, de la sin- cérité et de la connivence… Comme une réunion de famille ! 1 ère convention des chefs de bloc Les 27 et 28 septembre s’est tenue à Paris la première convention des chefs de bloc Vitalia. Les par- ticipants, en nombre, souhaitent constituer un véritable réseau de compétences. Les différentes di- rections du siège ont présenté leurs objectifs 2012 en vue d’améliorer la performance des blocs opératoires. Cette manifestation, unique en son genre, a suscité l’enthousiasme et a jeté les bases d’une cohésion forte et d’un réel sentiment d’apparte- nance au groupe. A LA UNE Vitalia, un partenaire privilégié du secteur public L es acteurs publics et privés qui réfléchissent aujourd’hui à la coordination de leurs offres de soins introduisent tellement d’idéologie dans leurs visions de la santé que le patient en pâtit. Les clichés et les dogmes ont la vie dure : les acteurs du public mettent en avant des spécificités dans leurs missions par rapport aux cliniques… et le privé martèle qu’il assure une large part des soins en France avec une efficience médicale et économique supérieure, et qu’à ce titre il est porteur d’avenir… Réfléchir ensemble Depuis plusieurs années, dans ce climat peu propice aux rapprochements, un certain nombre d’acteurs de la santé, d’élus, de représentants des tutelles et plus récemment, les Agences Régionales de Santé, ont compris la nécessité de travailler ensemble. Il semble clair désormais que l’amélioration de l’offre de soins pour demain nécessite une réflexion conjointe à l’échelle régionale : décloisonnement des structures de soins, lutte contre « l’hospitalocentrisme », rôle renforcé de la médecine de ville, meilleure utilisation des structures d’aval (SSR, soins à domicile)… Sur le terrain, ces acteurs locaux ont choisi de dépasser les querelles traditionnelles pour dessiner de nouvelles façons d’appréhender la santé dans leur bassin de population. Initiateur de réflexion Dès qu’il a été en position de le faire, le Groupe Vitalia s’est posé comme un « initiateur de réflexion », un partenaire ouvert. Selon Jean-Baptiste Mortier, Directeur Général : « bien sûr, nous n’avons pas vocation à sauver un hôpital qui va mal, mais nous pouvons en revanche accompagner la réflexion des tutelles sur le devenir de ces établissements. Nous devons à notre échelle participer à des projets dont le but est de rendre plus performante et lisible l’offre de soins » . C’est ainsi qu’à Saint-Amand-Montrond (18), Romilly-sur-Seine (10), Vendôme (41), Langres (52) des partenariats ont été mis en place entre le secteur public et des établissements du Groupe Vitalia. D’autres sont en cours comme à Provins (77), Guéret (23) et Montluçon (03). Des partenariats équilibrés Pour le Dr Christian Le Dorze, Président de Vitalia : « ces partenariats doivent être équilibrés et répondre à un projet médical cohérent. Ils doivent permettre à l’hôpital et l’établissement privé d’optimiser la prise en charge des patients avec leurs expertises réciproques. Ainsi, ces dispositifs nouveaux représentent une opportunité pour concilier au mieux proximité et qualité des soins. Nous sommes bien sûr très vigilants sur les schémas proposés car ces projets conditionnent notre avenir. Il est évident que dans les régions, fort heureusement rares, où les tutelles ne sont pas dans des dispositions favorables vis-à-vis du privé, Vitalia se consacrera au développement de sa propre offre de soins ». Nul doute que privé et public sortiront l’un et l’autre grandis de ces nouvelles approches régionales. Depuis sa création en 2006 Vitalia développe des partenariats public/privé. Un choix qui bouscule les habitudes dans un pays où le secteur de la santé demeure trop souvent un territoire d’affrontements idéologiques. Qu’importe, car lorsque privé et public parviennent à dépasser ces clivages d’un autre temps, la qualité de l’offre de soins se trouve renforcée et c’est là l’essentiel. Depuis sa création, Vitalia a initié près d’une dizaine de partenariats public/privé.

La Clinique Bouchard et l’hôpital Paul Desbief 4 A LA … · à Paris la première convention des chefs de bloc Vitalia. Les par-ticipants, en nombre, souhaitent constituer un

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Page 1: La Clinique Bouchard et l’hôpital Paul Desbief 4 A LA … · à Paris la première convention des chefs de bloc Vitalia. Les par-ticipants, en nombre, souhaitent constituer un

Ouverture d’une nouvelle aile à la Clinique Bouchard à MarseilleLa Clinique Bouchard à Marseille inaugurera le 11 octobre prochain sa nouvelle aile de 3 300 m². Après plusieurs mois de travaux, la partie la plus ancienne de la Clinique, composée de quatre niveaux, a été entièrement rénovée. De nouveaux services y voient le jour : - une unité de dialyse médicalisée de 20 postes

Situé à côté du centre lourd, des centres d’autodia-lyse et de la dialyse à domicile, ce service complète l’offre de soins de la clinique pour les patients atteints d’insuffisance rénale chronique.

- le Pôle de la Chirurgie de la FemmeIl est dédié à la chirurgie gynécologique, à la chirurgie du sein, à l’Assistance Médicale à la Procréation et à la chirurgie esthétique, plastique et reconstructrice. 43 médecins (8 chirurgiens esthétiques, 17 gyné-cologues et 18 anesthésistes) exercent au sein de ce pôle constitué de 14 lits. Chaque mois, le Pôle de la Chirurgie de la Femme accueille plus de 410 patientes.

- l’Unité de médecine cardiologique dans le cadre du regroupement des activités de cardiologie de la clinique Valmante et de la clinique Bouchard sous l’entité Euromed Cardio. Cette unité est désormais composée de 20 lits et accueille plus de 60 patients par mois.A cette offre de soins s’ajoute le plateau technique flambant neuf de cardiologie interventionnelle.

Octobre/Novembre/Décembre 2011

du G r o u p e V i t a l i a / n °26

CLINIQUE BOUCHARD (MARSEILLE)

Catherine Destivelle

Ils en rêvaient, c’est désor-mais une réalité : la Clinique Bouchard et l’hôpital Paul Desbief ont décidé de regrou-per leurs atouts pour offrir aux Marseillais une structure de cardiologie de haut niveau. Le transfert des activités de cardiologie de la clinique Valmante sur le site de la clini-que Bouchard a été réalisé au mois de juin.

3 500 m² consacrés à la cardiologieConcrètement, Euromed Cardio se situe dans les locaux de la Clinique Bouchard. Bénéficiant de tout l’environnement technique de la clinique, ce pôle cardiologique regroupe à compter d’aujourd’hui plusieurs sous-spécialités. L’Agence Régionale de Santé (ARS) a en effet autorisé une activité de cardiologie interventionnelle mais elle a égale-ment accordé le regroupement des activités :- de Médecine cardiologique ; - de Surveillance continue ;- de Soins Intensifs Cardiologiques

(USIC) ;- de Cardiologie interventionnelle ;- d’Unité de Douleurs Thoraciquesde la Clinique Valmante et de la Clinique Bouchard.

Euromed Cardio est autorisé pour 57 lits. 68 salariés, 7 cardiologues interventionnels et 20 cardiologues médicaux exercent dans cette struc-ture de 3 500 m².

Un plateau technique de cardiologie interventionnelle entièrement neuf a ouvert mi-septembre pour assurer innovation, performance, qualité et sécurité ainsi qu’une unité de mé-decine cardiologique avec des chambres particulières d’une haute qualité hôtelière.

La Clinique Bouchard et l’hôpital Paul Desbief à Marseille viennent de donner naissance à un nouveau pôle : Euromed Cardio.

Euromed Cardio : un nouveau centre de cardiologie à Marseille

Groupe VITALIA5, rue du Cirque 75008 Paris

Tel: +33 (1) 58 56 16 80 Fax: +33 (1) 58 56 16 81Email : [email protected]

www.groupe-vitalia.com

Ce numéro de la Lettre de Vitalia a été imprimé à 11�000 exemplaires

BrèvesLutter contre le cancer Le 9 octobre dernier, une cinquan-taine de salariées de la Clinique Océane à Vannes a participé à la course «�La Vannetaise�» au profit de l’association «�Faire Face Ensemble�», une association d’aide aux personnes confrontées à l’épreuve du cancer.

4e Convention Médicale VitaliaLa Convention Médicale 2011 s’est déroulée vendredi 7 octobre. Christian Le Dorze et Jean-Baptiste Mortier ont largement évoqué les perspectives 2012 de Vitalia. Grand témoin de cette convention, le spécialiste de com-munication Thierry Saussez, auteur du «�Manifeste pour l’opti-misme�», s’est livré à une véritable revue de détail sur «�la psychologie des Français�».

L’alpiniste Catherine Destivelle a ensuite captivé la salle avec le récit de ses expéditions. Cette conven-tion médicale avait débuté par une réunion des Présidents de CME qui apprécient de pouvoir se retrouver entre eux pour mettre en commun leurs expériences. Les débats ont acquis, au fil des années, de la sin-cérité et de la connivence… Comme une réunion de famille !

1ère convention des chefs de blocLes 27 et 28 septembre s’est tenue à Paris la première convention des chefs de bloc Vitalia. Les par-ticipants, en nombre, souhaitent constituer un véritable réseau de compétences. Les différentes di-rections du siège ont présenté leurs objectifs 2012 en vue d’améliorer la performance des blocs opératoires. Cette manifestation, unique en son genre, a suscité l’enthousiasme et a jeté les bases d’une cohésion forte et d’un réel sentiment d’apparte-nance au groupe.

A LA UNE

Vitalia, un partenaire privilégié du secteur public

L es acteurs publics et privés qui réfléchissent aujourd’hui à la coordination de leurs offres de

soins introduisent tellement d’idéologie dans leurs visions de la santé que le patient en pâtit. Les clichés et les dogmes ont la vie dure : les acteurs du public mettent en avant des spécificités dans leurs missions par rapport aux cliniques… et le privé martèle qu’il assure une large part des soins en France avec une efficience médicale et économique supérieure, et qu’à ce titre il est porteur d’avenir…

Réfléchir ensembleDepuis plusieurs années, dans ce climat peu propice aux rapprochements, un certain nombre d’acteurs de la santé, d’élus, de représentants des tutelles et plus récemment, les Agences Régionales de Santé, ont compris la nécessité de travailler ensemble. Il semble clair désormais que l’amélioration de l’offre de soins pour demain nécessite une réflexion conjointe à l’échelle régionale : décloisonnement des structures

de soins, lutte contre « l’hospitalocentrisme », rôle renforcé de la médecine de ville, meilleure utilisation des structures d’aval (SSR, soins à domicile)… Sur le terrain, ces acteurs locaux ont choisi de dépasser les querelles traditionnelles pour dessiner de nouvelles façons d’appréhender la santé dans leur bassin de population.

Initiateur de réflexionDès qu’il a été en position de le faire, le Groupe Vitalia s’est posé comme un « initiateur de réflexion », un partenaire ouvert. Selon Jean-Baptiste Mortier, Directeur Général : « bien sûr, nous n’avons pas vocation à sauver un hôpital qui va mal, mais nous pouvons en revanche accompagner la réflexion des tutelles sur le devenir de ces établissements. Nous devons à notre échelle participer à des projets dont le but est de rendre plus performante et lisible l’offre de soins ».C’est ainsi qu’à Saint-Amand-Montrond (18), Romilly-sur-Seine (10), Vendôme (41), Langres (52) des partenariats ont été mis en place entre le secteur public et des

établissements du Groupe Vitalia. D’autres sont en cours comme à Provins (77), Guéret (23) et Montluçon (03).

Des partenariats équilibrésPour le Dr Christian Le Dorze, Président de Vitalia : « ces partenariats doivent être équilibrés et répondre à un projet médical cohérent. Ils doivent permettre à l’hôpital et l’établissement privé d’optimiser la prise en charge des patients avec leurs expertises réciproques. Ainsi, ces dispositifs nouveaux représentent une opportunité pour concilier au mieux proximité et qualité des soins. Nous sommes bien sûr très vigilants sur les schémas proposés car ces projets conditionnent notre avenir. Il est évident que dans les régions, fort heureusement rares, où les tutelles ne sont pas dans des dispositions favorables vis-à-vis du privé, Vitalia se consacrera au développement de sa propre offre de soins ».

Nul doute que privé et public sortiront l’un et l’autre grandis de ces nouvelles approches régionales.

Depuis sa création en 2006 Vitalia développe des partenariats public/privé. Un choix qui bouscule les habitudes dans un pays où le secteur de la santé demeure trop souvent un territoire d’affrontements idéologiques. Qu’importe, car lorsque privé et public parviennent à dépasser ces clivages d’un autre temps, la qualité de l’offre de soins se trouve renforcée et c’est là l’essentiel.

Depuis sa création, Vitalia a initié près d’une dizaine de partenariats public/privé.

Lettre de Vitalia n26_v3.indd 4-1 27/09/11 19:08:17

Page 2: La Clinique Bouchard et l’hôpital Paul Desbief 4 A LA … · à Paris la première convention des chefs de bloc Vitalia. Les par-ticipants, en nombre, souhaitent constituer un

Les écrans d’information seront installés par la société SMS (Santé Multimédia Systèmes).

VIE DU GROUPE

La Lettre : Quel est le contenu de ces écrans d’information ? Eric Brunet : Ce média dynamique diffuse en permanence aux visiteurs et aux patients un film de présentation de la clinique. On y retrouve tous les renseignements utiles et pratiques du fonctionnement interne de l’établissement, les services mis à la dispo-sition des patients et des visiteurs, le plateau technique, les spécialités et les équipes médicales ou encore des campagnes de prévention d’intérêt général.Par ailleurs, les écrans diffusent également, en bas de l’écran, dans un bandeau dé-roulant, des flux en temps réels : la chaîne d’information LCI et la chaîne météo.

La Lettre : Est-il possible de modifier le contenu des écrans ? E. B. : Bien sûr ! A tout moment, il est possible de mettre à jour les textes, les animations et les visuels. Il suffit d’envoyer un mail à la so-ciété SMS qui se chargera de la demande.

La Lettre : Combien coûte un tel projet ?

E. B. : L’acquisition du matériel, son entretien et le suivi technique sont entièrement finan-cés par des annonceurs locaux, sous la forme de messages promotionnels en adéquation avec l’univers médical et paramédical. Ce projet est totalement autofinancé.

La Lettre : Ce dispositif a-t’il déjà été ins-tallé dans certaines cliniques du Groupe ?E. B. : Oui, la Clinique de l’Orangerie à Strasbourg a été notre site pilote. Grâce à ce nouvel outil de communication, les personnels des bureaux des entrées ont constaté que nos patients et les visiteurs attendaient dans de meilleures conditions et se montraient très intéressés par la diffusion de ces informations pratiques. Nous allons désormais déployer cet affichage dynamique dans tous les autres établissements Vitalia.

Pour que les malades patientent dans de meilleures conditions, Vitalia a décidé d’installer des totems et des écrans d’information multimédia dans le hall d’accueil et les salles d’attente des établissements du Groupe. Explications d’Eric Brunet, Directeur de la communication de Vitalia.

BrèvesDes écrans d’information dans les cliniques Vitalia

A la Clinique La Roseraie, le taux de consultations est en nette hausse.

Ce matériel high-tech permet un diagnostic précis et plus précoce du cancer.

Bienvenue !Nous souhaitons la bienvenue à : • Thierry Esmilaire, Directeur

de la Clinique de l’Orangerie à Strasbourg ;

• Thierry Loursac, Directeur de la Clinique Guillaume de Varye à Saint-Doulchard (près de Bourges).

Formabloc Le premier module de formation dédié au bloc opératoire, Formabloc, s’est tenu récemment au sein de l’Université Vitalia.L’enseignement dispensé durant ces deux journées a enchanté les 14 participants. «�Je tiens à remercier les formateurs pour la disponi-bilité dont ils ont fait preuve en dehors des cours pour poursuivre les explications, les conseils pratiques si importants dans notre quotidien d’IDE au bloc opéra-toire�» explique une infirmière.

Octobre Rose 2011Dans le cadre d’Octobre Rose, le mois de sensibilisation au cancer du sein, le Médipôle de Gentilly à Nancy organisera le jeudi 20 octobre prochain une journée d’échange et d’information. En partenariat avec Symphonie (association de soutien aux femmes touchées par le cancer), cette journée permettra au grand public de discuter avec les médecins et de s’informer sur le dépistage et la prise en charge de cette maladie. Des témoignages seront également diffusés sur grand écran.

Les cliniques de Nevers se regroupent Les cliniques Val de Loire et Tallet à Nevers ne font plus qu’une ! Depuis le 3 octobre, les 16 salariés, les 11 mé-decins et les services de la Clinique Tallet ont rejoint la Polyclinique du Val de Loire. Du coup, Val de Loire s’est étendu sur 1�292�m2 supplémentaires dans lesquels se trouvent désormais :

3 cabinets de consultation ; -1 service ambulatoire de 34 places ; -1 bloc opératoire de deux salles -connectées au bloc existant ;1 salle de réveil de 13 places. -

Vitalia a investi 4.6�millions d’euros pour cet agrandissement.A noter qu’en lieu et place de la Clinique Tallet sera construite prochainement une résidence pour seniors actifs.

CLINIQUE LA ROSERAIE (SAÔNE-ET-LOIRE)

« La Clinique est en bien meilleure santé qu’avant, c’est sûr », s’extasie avec son accent du sud, Jany Rulfo, directrice de l’établisse-ment. Grâce à la politique de recrutement du Groupe, grâce aussi à son dynamisme, l’équipe de La Roseraie a pu concrétiser son projet : recruter 50% de médecins en plus en une année. « Le jour de mon arrivée, le 23

août 2010, nous caressions cet espoir sans trop y croire. Et bien, force est de constater que nous y sommes parvenus ! », sourit Mme Rulfo. Dans la foulée, La Roseraie a réalisé d’importants investissements en matériel chirurgical : instrumentation en urologie et vasculaire, colonnes de cœlioscopie, stations d’anesthésie…

Aujourd’hui, la clinique compte une équipe médico-chirurgicale de 18 praticiens dont deux anesthésistes, deux orthopédistes, un gastro-entérologue, un chirurgien digestif, un urologue, un stomato-logue, deux chirurgiens dentistes, quatre oph-talmologues et deux cardiologues. « Ce n’est qu’un début, nous

sommes en train de chercher des seconds aux médecins en place, c’est toujours plus facile quand il y a déjà quelqu’un en poste ». Le personnel de la Clinique ne ménage pas sa peine. Conscient de l’importance des enjeux, les salariés ont fait le choix de tout faire pour le maintien des effectifs : passage en 12 heures, réorganisation des postes de travail, suppression des temps de pause (repas inclus dans le temps de travail)… Les licenciements ont été évités.

Fort logiquement, le taux de consultations est en nette hausse et la fréquentation de l’établissement a considérablement aug-menté : + 20% depuis le début de l’année. L’activité médicale tend à s’orienter vers l’activité ambulatoire conformément aux objectifs définis par l’Agence régionale de santé : « L’objectif de l’ARS était que 89% de certains actes soient réalisés en ambu-latoire en 2011. Pour l’instant la clinique a atteint 90% ! ».

C’est une belle histoire que nous vous racontons dans la Lettre. Celle d’une résurrection. Quand Vitalia a accepté de reprendre la Clinique de La Roseraie en 2010, à la demande des élus, l’établissement était moribond. Un an plus tard, La Roseraie a retrouvé une équipe médicale, des patients, et la presse locale salue l’action de Vitalia. Coup de chapeau à tous ceux qui ont œuvré pour la renaissance de la Clinique de Saône-et-Loire.

Pari gagné à Paray-le-Monial !

Un matériel high-tech à la Clinique Guillaume de Varye

DÉTECTION DES CELLULES CANCÉREUSES

Grâce à cet examen indolore et sans effets secondaires, les médecins peuvent avoir la confir-mation d’un cancer ou orienter une biopsie.

L’examen commence par l’injec-tion d’un radioélément (fluor18) fixé sur une molécule voisine du glucose dont le trajet dans l’organisme est détecté grâce à une caméra spéciale appelée caméra TEP, elle-même couplée à un scanner. De ce fait, les cellules cancéreuses qui se nourrissent de beaucoup plus de sucre que les cellules normales apparaissent sur les images.L’examen est composé de cinq phases : injection, détente (le temps que le produit diffuse dans le corps), examen de 20 minutes, interprétation et annonce des résultats.

C’est au mois de juillet 2011 qu’ont débuté les travaux à la clinique. Une extension de

200 m² sera construite. Elle sera constituée d’une salle d’examen, d’une salle de com-mande, de 4 box d’injection, d’une salle d’annonce, d’une salle d’interprétation et

de deux bureaux. Cet investissement est estimé à plus de 3,5 millions d’euros. Ce nouvel équipement, unique dans le départe-ment, vient conforter les activités déjà présentes sur le site, au niveau diagnostique (radio-logie, scanner, IRM, scintigraphie) et thé-rapeutique (chirurgie, radiothérapie, chimio-thérapie, curiethérapie).Aujourd’hui, les patients du Cher et de l’Indre sont contraints de se déplacer jusqu’à Tours, Orléans ou Nevers pour ce type d’examens. Or, à partir du mois de janvier

2012, ils pourront se rendre à la Clinique Guillaume de Varye à Saint-Doulchard, près de Bourges.

La Clinique Guillaume de Varye près de Bourges a obtenu son permis de construire pour accueillir un Pet Scan, une technique d’imagerie médicale de pointe qui permet de détecter les cellules cancéreuses, et de suivre leur évolution. Il autorise aussi la mise en œuvre de traitements mieux ciblés et leur évaluation. Les travaux ont débuté cet été.

CLINIQUE SAINT OMER (PAS-DE-CALAIS)

Depuis le mois de septembre, les patients de la Clinique Saint Omer bénéficient d’un service dédié aux consultations non pro-grammées. Il est composé de 7 box.L’extension de l’établissement a également permis de créer un plateau de consultations composé de 8 bureaux, et deux unités d’hospitalisation chirurgicale de 15 cham-bres individuelles et de 6 chambres doubles chacune.

Les plateaux techniques ont eux aussi fait l’objet d’une restructuration. Une deuxième salle de radiologie a par exemple été créée

afin de compléter l’équipement actuel (scan-ner, échographe, salle de radiologie). Quant au bloc opératoire, il dispose désormais de 3 salles supplémentaires, soit 9 salles au total, et la salle de réveil a été agrandie.

De plus, la clinique a conçu une nouvelle pharmacie centrale et 6 bureaux de consul-tations ont vu le jour (en prolongement du nouveau plateau de consultations non programmées). L’établissement a également aménagé le service ambulatoire dans le but d’augmenter les capacités de 12 à 30 postes.

La Clinique de Saint Omer, dans le Pas-de-Calais, s’agrandit et se restructure. Zoom sur les travaux estimés à plus de 8 millions d’euros.

Saint Omer fait peau neuve !

1 600 m² ont été

construits sur la partie

gauche du bâtiment

actuel.

Lettre de Vitalia n26_v3.indd 2-3 27/09/11 19:08:19