CIE LA LUNE ET L’OCEAN 9, villa de l’Industrie - 93400 Saint Ouen - contact@lalunelocean.com

Contact presse : Clémentine Bommelaer - 01 40 11 52 97 - 06 61 23 90 60

Mise en scène et adaptation

Patrick Mons

Avec Raquel Castellano

Patrick Monset

Jean-Luc LariveAccordéon

Création musicaleJean-Luc Larive

LumièresPascal Noël

ScénographieBlandine Vieillot

DécorsJules Guéneau

LA COMPAGNIE LA LUNE ET L’OCEAN présente

Création 2011

Théâtre du Picolo58 rue Jules Vallès - 93400 Saint-Ouen

du 24 novembre au 23 décembre 2011les jeudis et vendredis à 20h30

COMMUNIQUE

Petites Histoires du soir d’après les nouvelles de Dino Buzzati

Des récits qui partent d’un rien et qui peuvent devenir terribles, des histoires dans lesquel-les on joue d’autres vies pour mieux démêler la sienne, un labyrinthe troublant dans lequel on entre et que l’on construit sans cesse : tel est le rituel auquel se livrent certains soirs un homme et une femme...

« Petites histoires du soir » ouvre les portes d’un univers qui réinvente le quotidien et rend sa part de fantastique à l’aventure humaine… Une création de la Cie la Lune et l’OcéanMise en scène : Patrick Mons Avec Raquel Castellano, Patrick Mons Accordéon : Jean-Luc Larive Scénographie : Blandine Vieillot Lumières : Pascal Noël

Au Théâtre du Picolo 58 rue Jules Vallès - 93400 Saint-Ouen

Du 24 novembre au 23 décembre 2011 Les jeudis et vendredis, à 20h30

Réservations au 01 40 11 22 87Tarifs : 12 / 10 euros

http://www.lepicolo.com/ http://laluneetlocean.com/

Contact Presse:Clémentine Bommelaer, chargée de développement

Cie la Lune et l’Océan 9, villa de l’Industrie 93400 Saint-Ouen 01 40 11 52 97 - 06 61 23 90 60contact@lalunelocean.com

Un homme et une femme se rencon-trent certains soirs pour se livrer à un rituel qui leur est nécessaire : inventer des histoires, comme on joue à la roulette russe, sans savoir quelles inventions vont surgir dans la pensée de l’autre et sur lesquel-les il faudra surenchérir. Ce jeu est vital, comme l’air qu’on respire, c’est leur manière d’être au monde.

Chaque soir, ils entrent ainsi dans un labyrinthe troublant et le cons-truisent encore, le prolongent, créent d’autres pistes sans chercher à revenir sur leurs propres traces.

Les histoires qu’ils inventent et les personnages qu’ils incarnent les révèlent, et dévoilent chaque fois un peu plus de leur personnalité et des rapports qu’ils entretiennent, ou ont entretenu, entre eux.

A travers eux, il y a ce marchand qui reçoit la sinistre visite d’un prévôt malveillant, ce vendeur de déter-sif qui commet l’irréparable, cette femme qui a pour ambassadeur un bourdon, ces deux hommes ridicu-les que la pudeur empêche d’aller aux toilettes d’un hôtel, cet homme qui accueille la mort parce qu’elle vient des mains de sa bien-aimée…

HISTOIRE(s)

A chaque fois, ils s’efforcent de ne pas être dupes, de garder une dis-tance et de ne pas traverser momen-tanément le miroir. Mais le récit inventé à l’intention de l’autre n’em-pêche pas de se faire prendre à son propre piège...

Guidés par un accordéoniste, ils invitent le spectateur à pénétrer dans l’univers fantastique de Buzzati : absurde, parfois dange-reux, c’est l’univers d’un quotidien revisité, réinventé, où nos angoisses, nos pudeurs, nos regrets prennent une nouvelle dimension.

Au moment où le temps se dissout dans l’immédiateté d’une commu-nication compulsive où la distance et le recul n’ont pas droit de cité, il faut prendre le temps de s’arrêter et d’écouter ces petites histoires, où si les angoisses temporelles dominent, si l’on joue à s’inventer des monstres jusqu’à en devenir soi-même, le goût de chaque moment n’en est que plus subtil et intense.

L’écriture de Buzzati nous paraît plus que jamais d’actualité, lui qui n’hé-sita jamais à livrer des vérités brûlantes et téméraires. De plus, il possède, à un degré suprême, l’élégance rare de ne pas refuser l’humour à la conscience et à la présence de la mort. Ses mots, qui décortiquent chaque parcelle d’un présent réinventé, résonnent comme une incitation à profiter justement de chaque instant, de chaque fragment de temps. Son œuvre nous parvient comme une parole à partager, comme un refuge instable face à un monde fragile, hostile, inattendu, tragique et risible.

INTENTION(s)

Le principe de base est qu’à chaque fois que l’un commence une histoire, l’autre prend en charge un des per-sonnages du récit amorcé, jusqu’à ne plus savoir qui raconte... et qui mani-pule qui.

Il y a donc un double niveau : celui des histoires en elles-mêmes et celui où les deux personnages qui les créent et les incarnent se relancent et échangent entre eux sur les buts à atteindre, incitant l’autre à ne pas flancher, à ne pas avoir peur des por-tes mal refermées... Les principaux textes du spectacle :

Récit à deux voixLe rêve de l’escalierUne chose qui commence par un LLe bourdonLe détersifEsclaveLe couloir du grand HôtelQui creuse ?Un cas intéressantCrescendo, ...

Ils sont tirés et adaptés des recueils suivants : Le K, Le rêve de l’escalier, Panique à la Scala, Nous sommes au regret de et Nouvelles oubliées.

Le musicien est une pièce maîtresse du jeu ainsi créé, une sorte d’esprit, de Deus ex machina qui commande aux sons, aux éléments. Derrière une fausse naïveté, il pourrait bien être celui qui “tire les ficelles”. Ses interventions musicales ou parlées sont autant de suggestions faites aux autres les engageant à ne pas rompre la continuité.

A jardin un escalier offre une entrée ainsi qu’un espace surélevé pour le musicien Il peut être debout pour dominer la scène ou bien s’as-seoir face public, de dos ou de 3/4 face à la scène.

A cour, un banc offre une assise pour la rencontre du premier rituel, à côté une cou-lisse à l’italienne permet de s’échapper vers le lointain.

Ainsi nous passerons d’un espace très frontal bord

public pour progressive-ment ouvrir l’espace en

profondeur.De part et d’autre les bords

des portes se poursuivent à cour et à jardin afin de

délimiter des espaces distincts.

Nous avons imaginé un espace évolutif qui de manière très simple permet de situer différemment les scènes.

Nous sommes face à une série de portes en enfilade qui se révé-leront et s’ouvriront au cour de la pièce.

PISTES SCENOGRAPHIQUES

Né à Belluno, en 1906, Dino Buzzati débute très jeune comme corres-pondant du Corriere della Sera où, pendant quarante ans, il donnera des chroniques de plus en plus baroques et fantastiques. A Milan, où il vécut, il consacra son temps à écrire (romans, nouvelles, pièces) et à peindre. En 1940, il livre son chef-d’œuvre, “Le Désert des Tartares”, qui obtient un immense succès.

Loin de se limiter au récit fantastique, on lui doit des fables pour enfants, des poésies burlesques, des scénarios des films, des livrets d’opéra, de nombreu-ses pièces de théâtre, dont l’une, Un cas clinique, a été adapté en français par Albert Camus. Peintre et dessinateur, il a signé des décors de théâtre et réalisé de singulières bandes dessinées.

DINO BUZZATI

C’est à partir du Désert des Tartares que Buzzati, assuré désormais de ses moyens - un style net et lucide, le baro-que naissant non de ses fioritures mais de la luxuriance de l’invention - peut se livrer totalement à son jeu fiabesque des messages lancés au vent, au merveilleux du caprice et de la fantaisie.

Nino Frank

Moi qui ai eu la possibilité de fréquenter cet extraordinaire journaliste, narra-teur, critique d’art, de devenir son ami en raison de l’extrême disponibilité que Buzzati témoignait à son prochain et de connaitre ainsi son humilité, j’eus par la suite quelques surprises en lisant plus d’une de ses pages : parce que certai-nes vérités brûlantes et téméraires ne semblaient pas pouvoir être pensées ni écrites par un homme en apparence si timide, par un cœur qui paraissait si simple.

Domenico Porzio

Comme des cafards fous vous tournerez en tous sens sur ces petites pages, pen-dant des jours entiers, en cherchant la porte secrète qui vous permettrait d’y entrer. Au bout de tant d’années, l’ha-bitude du mensonge vous a obscurci l’esprit et à présent, même si vous vous creusez la cervelle pendant des années, vous n’arriverez pas à saisir ce petit pré-sent que j’ai préparé à votre intention, le cadeau grâce auquel aujourd’hui je jouis de vous voir pâlir de colère.

Dino Buzzati

EN APPARTEMENT OU EN JARDIN ?

Jouer ce spectacle dans une version à domi-cile nous paraît quasiment naturel et dans la droite ligne des obsessions buzzatiennes : le quotidien qui dérape dans des failles temporelles, des évènements en apparence anodins qui compromettent une vie entière, des basculements, des désordres imprévi-sibles... Toutes choses qui nous paraissent plus fortes encore dites et jouées dans un espace « normal », en tout cas non spécifi-quement scénique.

Par cette initiative, la Cie la Lune et l’Océan propose de vivre plus intensément un spec-tacle vivant rendu unique par une représen-tation au plus près du spectateur, des histoi-res dites et vécues au creux de son oreille, au bord des yeux. Plus risqué, plus vibrant, le théâtre à domi-cile tisse des liens forts et authentiques entre spectateurs et comédiens, pour un vrai moment d’échange et de proximité.

LA COMPAGNIE PROPOSE UNE AUTRE VERSION DES “PETITES HISTOIRES DU SOIR”...CHEZ VOUS !

LE TEMPS D’UNE SOIREE, LES COMEDIENS S ’ A P P R O P R I E N T UN LIEU PRIVE, ET INVITENT LES CONVIVES A VIVRE UN MOMENT DE THEATRE AU SEIN D’UN UNIVERS FAMILIER ET QUOTIDIEN.

ATELIERS ECRITURE ET THEATRE

La reconstruction imaginaire du quotidien…

Partir de ce que nous connaissons, le quotidien, et, en décalant quel-ques paramètres, quelques détails, en faire la source d’inspiration pour dépeindre un autre univers, fantastique et inconnu, en laissant parler ses intuitions.

A la manière de Buzzati, il s’agira de sélectionner un souvenir, non dans sa précision et son intégralité mais plutôt dans l’image récurren-te qui nous en reste. Cela peut-être aussi l’image gardée d’un film ou d’un livre qui nous a marqué. Tout incident anodin, toute émotion simple, se prête à des décalages vers le fantastique et l’imaginaire.

Du récit au vivant… introduction à la dramaturgie

Un souvenir, un banal incident sont d’abord narrés puis le groupe est sol-licités, à travers une mise en jeu sim-ple, pour décaler certaines données, introduire des variables. Il s’agit de rebondir par un jeu de surenchères progressives et d’intensification des émotions suscitées.

La finalité étant de mettre en scène, de dialoguer, de faire évoluer à tra-vers des exercices, des propositions de jeu et des improvisations dirigées, ce qui est devenue une histoire avec un début, un contenu et une fin. Il s’agit d’une introduction au jeu et à la dramaturgie.

SUR LE MODELE DE CES PETITES HISTOIRES, LA COMPAGNIE SOUHAITE PROPOSER AUX PUBLICS DE PARTICIPER A UN TRAVAIL DE CREATION, PAR UN ATELIER D’ECRITURE ET DE THEATRE SUR LES DEUX THEMATIQUES SUIVANTES

RAQUEL CASTELLANO, comédienne

Au théâtre, Raquel Castellano a travaillé à Séville, Madrid, Paris et Bruxelles. Sa formation initiale s’est déroulée à Séville au Centro Andaluz de Teatro, puis à Paris (avec Luis Jaime-Cortez), à Londres (avec Philippe Gaulier) et à Madrid. Elle est aussi formée au chant en Espagne avec Daniel Suarez, en jazz à Londres et en chant lyrique dans la classe d’Olivier Lacoste. Elle a joué dans Lenclos ou la Liberté de H. Wouters, La fille du grand serpent (Compagnie El Shàbano), Viva Verdi! de Eduardo Manet théâtre musical, Escapades de vie théâtre d’appartement dirigé par Nicolas Fines, Infiel y no mires con quien co-produit par Teatro Principe, L’Oiseau Vert de Carlo Gozzi dirigé par Gabriel Chame, Divinas Palabras de Valle Inclan dirigé par Ricardo Hiniesta,

Nombre de Mujer de Antonio Cuadrelli, L’Opéra de quatre Sous de Bertold Brecht dirigé par Daniel Suarez, Berlin Requiem textes de Bertold Brecht et musique de Kurt Weil, Cambalache de Daniel Suarez, Paris-Séville, mon amour, et Hugoffenbach avec la Cie la Lune et l’Océan.

PATRICK MONS, comédien, mise en scène

Patrick Mons a intégré le travail d’un grand nombre de compagnies à Saint-Etienne, Marseille, Clermont-Ferrand, Lyon et Paris. Il travaille dans des créations contemporaines de Cormann, Serge Ganzl, Hugo Clauss, Dario Fo, Paul Maar, Buzzati, … sous la direction de Nicolas Lormeau (de la Comédie Française), Charles Lee, Patrick Blandin, Laurent Vercelletto… Il travaille également dans des textes du réper-toire : Molière, Beaumarchais, Racine…, des vaudevilles : Feydeau, Courteline…, des adaptations : Buzzati, Flaubert… et des reprises : «Les palmes de Mr Schutz» (rôle de Pierre Curie). En 2001, il crée la Cie la Lune et l’Océan, dont il est directeur artistique.Il a réalisé les mises en scène de “Hugoffenbach” d’après Hugo et Offenbach, “Paris-Séville, mon amour”, «Les Fumées du Pape» de Dario Fo, « Une saison en enfer « de Rimbaud, «Badonce et les créa-

tures» de Alexandre Vialatte, “Le beau temps menace !” d’Emmanuel Chesne. Les éditions L’Harmattan ont publié en 2001 sa pièce : “Un strapontin pour la lune”.

L’EQUIPE

JEAN-LUC LARIVE , création musicale, accordéon

Jean-Luc Larive débute l’accordéon en autodidacte en 1984. Il se perfec-tionnera aux côtés de Serge Desaunay et Marc Perronne. A partir de 1998, il enseigne au centre des musiques traditionnelles de Ris-Orangis et anime stages et ateliers à travers la France. Il a fait partie du duo Lequerre-Larive et officie actuellement au sein du groupe folk/rock « Alambic «.Sa rencontre avec le théâtre est initiée par Jean-Luc Bernard et le théâtre ATEN de Gennevilliers en 1996. Il récidive ensuite et pousse l’instrument à la rencontre d’autres paroles, d’autres univers. D’abord avec Jean-Claude Botton pour des spectacles de contes puis, puis avec la Cie la Lune et l’Océan dans “Les Fumées du pape”.

BLANDINE VIEILLOT , scénographie

Diplômée en scénographie de l’ENSATT (École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre de Lyon), et d’un BTS Design d’Espace à l’ENSAAMA (École Nationale Supérieure d’Arts Appliqués et des Métiers d’Arts, Paris), Blandine Vieillot a réalisé le scé-nographie des spectacles suivants :-Une Ardente Patience, A.Skarmeta / V.CAMPO, -Guyancourt il y a 100 ans , Mary, chorégraphie G.MOSS (Conservatoire de Vincennes), -Vive Henri IV ou la Galigaï, J.Anouilh / T.LUTZ, -Bar (…), Cie du Point d’Assemblage, -Le rêve d’Alice, chorégraphie Gary MOSS (Conservatoire de Vincennes), -Le Canard Sauvage, H. Ibsen / A. BEAL – (Théâtre de Vanves).Et des expositions : -OEUVRES DE SCIENCE / INSTRUMENTS D’ART, Autour de Jean Dieuzaide – (exposition au Museum d’Histoire Naturelle de Toulouse), -Le printemps de l’enfance – (installation urbaine),-Kréyol Factory, construction d’une scénographie de R. SARTI (La Villette),-Arrêts sur archives - La Batterie de Bouviers - Résonances, C. Derouineau (Guyancourt),

PASCAL NOEL, création lumière

Après des études supérieures en mathématique et physique, Pascal Noël découvre le théâtre avec l’équipe de Jérôme Savary. En 1988 il devient assistant d’Alain Poisson et collabore avec d’autres éclairagistes français tels André Diot et Jacques Rouveyrollis. A partir de 1999 il se consacre à la création lumière avec le comédien et metteur en scène Sotigui Kouyaté pour qui il crée les éclairages du spectacle Antigone au Théâtre de la commune d’Aubervilliers et aux Bouffes du Nord, du Refus au Musée Jean Moulin à Paris, puis d’Œdipe également aux Bouffes du Nord ; du Pont aux Amandiers de Nanterre et de Chasseur de Paroles au théâtre du Châtelet.

Au théâtre, Pascal Noël met régulièrement en lumière les spectacles de Jérôme Savary, d’Eric Vigner, directeur du CDDB-théâtre de Lorient; et a collaboré avec Antoine Bourseiller, Nicolas Briançon, Nanou Garcia, etc… Pascal Noël éclaire également des spectacles de danse : Il collabore régulièrement avec Sylvie Guillem et avec le chorégraphe Olivier Chanut. ll a éclairé également les concerts de Georges Moustaki, ainsi que différents événements dont les défilés de mode du couturier Hervé Léger.

MAIS AUSSI...

Jules Guéneau, construction des décorsMartine Savina, graphiste, réalisation du dossier

Créations

2010 « Hugoffenbach », d’après Hugo et Offenbachmise en scène de Patrick Mons, avec Patrick Mons, Marie Blanc / Raquel Castellano, Thierry Garcia et Philippe ScagniFestival d’avignon et tournée (Paris, Chateau-Thierry, Toulon, Angoulême...)

2009 « Crédo » d’Enzo Cormann mise en scène de Patrick Mons, au Picolo Théâtre avec Joséphine DechenaudPicolo Théâtre

2008 « Paris-Séville, mon amour » adaptation et mise en scène Patrick Mons, avec Raquel Castellano,Patrick MonsEspace 1789, Centre Culturel d’Abbeville, Festival d’Avignon,Vingtième Théâtre, Festival international de Séville, ...

2007 « Les Fumées du Pape » de Dario FO mise en scène Patrick Mons, avec Jean-Luc Larive et Patrick MonsFestival d’Avignon et tournée (Nancy, Paris, Beauvais, Chalons, Bougival...)

2006 « Le Beau temps menace » de Emmanuel Chesne mise en scène et adaptation de Patrick Mons, avec Yvan Gauzyco-production centra Atlas et représentations scolaires

2005 « Dans la chambre » d’après Feydeau mise en scène de Nicolas Lormeau (de la Comédie Française), avec Isabelle Turschwell et Patrick MonsThéâtre le Funambule avec l’aide des ateliers de la Comédie Française

2004 « Le Rôdeur » de Enzo Cormann mise en scène de Charles Lee avec Patrick MonsFestival d’Avignon et tournée

CIE LA LUNE ET L’OCEAN

Créée en 2001 à l’initiative de Patrick Mons, la Cie la Lune et l’Océan est née du désir de fusionner plusieurs formes d’expression artistique, le théâ-tre et la musique notamment.

Elle concentre son travail sur la création de textes contem-porains et puise aussi dans le répertoire des œuvres qui résonnent dans notre actua-lité. S’attachant à dépasser les frontières interdisciplinaires et géographiques, la Cie fédère autour de ses créations artistes et groupes de différents hori-zons. Plaçant la transmission et la ren-contre au cœur de sa démarche, la Cie propose aussi la mise en place d’ateliers et de moments d’échange avec les publics autour de ses créations.

Depuis 2009, elle bénéficie d’une convention de perma-nence artistique avec la Région Île-de-France.