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medicine-of-sickness.blogspot.com medicine-of-sickness.blogspot.com Newsletter du 3 novembre 2007 LA COQUELUCHE & LA MAFIA MÉDICALE ... ... RÉFLÉCHISSEZ DEUX FOIS AVANT DE VACCINER ... Salut à tous … Peut-être que ce serait utile, avant d’entrer dans le vif du sujet, d’expliquer brièvement ce qu’est la coqueluche … en tout cas, du point de vue de la médecine orthodoxe. La coqueluche, nous dit-on, est une maladie infectieuse aiguë de l’appareil respiratoire causée par un bacille (bactérie), Bordetella pertussis. OK, je vais faire semblant d’être d'accord avec ce que enseigne la bactériologie, c.-à-d., la théorie microbienne – la théorie (si je pouvais, je l'écrirais 30 mètres en hauteur) que les bactéries sont la cause des maladies. Les stades tardifs de la maladie sont caractérisés par une toux profonde se terminant par un son aigu ressemblant le chant du coq. La coqueluche est globale et périodique lors des épidémies. La plupart des cas concerne les enfants de moins de 5 ans, et la maladie est la plus inquiétante chez les enfants de moins d’un an. Les gens se contaminent en inhalant des gouttelettes projetées quand une personne infectée tousse ou éternue. Bordetella pertussis produit des toxines (produits biochimiques toxiques) qui gênent

La coqueluche et la mafia medicale

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Le vaccin anti-coquelucheux et ce que les autorités vous cache ...

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LA COQUELUCHE & LA MAFIA MÉDICALE ...

... RÉFLÉCHISSEZ DEUX FOIS AVANT DE VACCINER ...

Salut à tous …

Peut-être que ce serait utile, avant d’entrer dans le vif du sujet, d’expliquer brièvement ce qu’est la coqueluche … en tout cas, du point de vue de la médecine orthodoxe.

La coqueluche, nous dit-on, est une maladie infectieuse aiguë de l’appareil respiratoire causée par un bacille (bactérie), Bordetella pertussis. OK, je vais faire semblant d’être d'accord avec ce que enseigne la bactériologie, c.-à-d., la théorie microbienne – la théorie (si je pouvais, je l'écrirais 30 mètres en hauteur) que les bactéries sont la cause des maladies.

Les stades tardifs de la maladie sont caractérisés par une toux profonde se terminant par un son aigu ressemblant le chant du coq. La coqueluche est globale et périodique lors des épidémies. La plupart des cas concerne les enfants de moins de 5 ans, et la maladie est la plus inquiétante chez les enfants de moins d’un an. Les gens se contaminent en inhalant des gouttelettes projetées quand une personne infectée tousse ou éternue. Bordetella pertussis produit des toxines (produits biochimiques toxiques) qui gênent

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l’appareil respiratoire à éliminer les microbes. La bactérie produit aussi des substances qui provoquent l’inflammation de la muqueuse respiratoire. C’est ce que nous disent les ‘experts’ en bactériologie. Personnellement, je m’en fiche pas mal de la théorie microbienne. Je sens que les bactéries ne sont que des symptômes, au pire des agents aggravants d’une maladie mais jamais la cause de n’importe quelle maladie sur terre. Une personne en bonne santé peut être exposée aux soi-disant 'bactéries pathogènes spécifiques' sans jamais tomber malade.

La coqueluche est caractérisée au début par un coryza, une toux rude et une légère fièvre. La toux spéciale survient 1 à 2 semaines plus tard. Des épisodes de toux, habituellement nocturnes et se terminant souvent par un vomissement, peuvent persister pendant 4 semaines ou plus. La coqueluche peut se compliquer de pneumonie et de crise d’épilepsie. Les médecins orthodoxes ‘traitent’ la coqueluche avec des antibiotiques. D’autres ‘traitements’ comprennent la répression de la toux en utilisant des médicaments sédatifs et le remplacement des fluides perdus. Ils nous disent que le vaccin pertussis protège l’enfant pendant la première année de vie. Ce vaccin est normalement administré en association avec les vaccins anti-diphtérique et anti-tétanique (voir cette newsletter) en une seule injection appelée DTaP (Diphteria-Tetanus-acellular Pertussis). Grâce à des campagnes de vaccination étendues, le taux de mortalité due à la coqueluche a chuté, disent-ils aussi. Et voici la preuve (pour l'Angleterre):

source1

Les diapos des enseignants contiennent des courbes dans le genre et les étudiants en médecine sont manipulés à travers ces courbes qui donnent l'impression que c'est en effet la vaccination qui a permis de diminuer les cas due à la coqueluche. Cependant, le fait d'analyser cette même courbe en ayant du recul (sans idée préconçue) montrera que les cas de coqueluche fluctuent de manière naturelle avec une tendance générale de baisse. En fait, ce que les profs ne disent pas aux étudiants (parce qu'ils ne savent pas) c'est que le taux de mortalité due à la coqueluche avait déjà chuté de 98,5 % sans l'aide des vaccins en Angleterre et au Pays de Galles (comme partout ailleurs dans le monde):

1 http://www.immunisation.org.uk/article.php?id=132

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Maintenant, voici un extrait de ‘Universal Immunization : Medical Mirage or Masterful Mirage’ par le Dr. Raymond Obomsawin …

Président du ‘American Academy of Paediatrics Committee on Infectious Diseases’, V. Fulginiti a fait cette observation incisive :

« Malgré plus de 30 ans d’expérience avec le vaccin pertussis, les facteurs de rétablissement d’une infection aiguë et l’acquisition d’une immunité ultérieure, sont toujours incertains. Il est connu qu’une deuxième attaque faisant suite à la maladie naturelle est rare. Il est aussi connu que 45 à 95 % des gens vaccinés contre la coqueluche sont susceptible de faire cette maladie jusqu’à 12 ans plus tard … On ne comprend pas le mécanisme immunologique impliqué dans la résistance aux infections après l’avènement de la maladie naturelle ou de la vaccination.

Le vaccin pertussis est-il efficace ? ... avant même l’utilisation répandue du vaccin pertussis, et l’incidence de la coqueluche et le rapport cas-décès avaient chuté. L’incidence a chuté par 50 fois et les cas-décès par 84 % en Grande Bretagne entre 1947 et 1972 … En Angleterre, une maigre protection était conférée par les vaccins avant 1968 – pas plus de 20 % de protection … La Grande Bretagne est en position de recommander l’utilisation d’un vaccin pour lequel il n’y a pas de données concrètes. »2

2 V. Fulginiti, Controversies in Current Immunization Practices : One Physician’s Viewpoint, 1976.

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Les observations de G.T. Stewart, publiées dans le ‘British Medical Journal’, indiquent que « parmi les 8092 cas de coqueluche, 2940 (36 %) étaient parfaitement vaccinés, tandis que seulement 2424 (30 %) n’étaient définitivement pas vaccinés. »3

Un numéro du ‘Medical Tribune Report’ du 10 janvier 1979 détaille une épidémie de coqueluche lors de laquelle 46 des 85 enfants parfaitement vaccinés ont contracté la maladie.4 (La raison pour laquelle les 39 autres n’ont pas contracté la maladie pouvait être liée à de nombreux facteurs prédisposants.)

Les recherches d’Ekanem révèlent une augmentation de 21 % des cas de coqueluche au bout de trois ans après l'introduction de l’EPI (‘Expanded Program of Immunisation’) au Nigeria.

L’information qui va suivre maintenant provient de ‘Vaccination : Pain, Profit, and Politics’ par Gary Null et Dr. Martin Feldman. Je ne pourrais pas insister plus sur le fait que si on espère soulever le voile, il est important de pouvoir lire l'anglais car quasiment toute la littérature médicale (revues médicales, bouquins non-rédigés par les autorités etc.) est en anglais. Ceux qui ne peuvent/veulent pas comprendre/lire l’anglais s’enferment volontairement dans leur tour d’ivoire. Et ils sont libres de faire un tel choix. Cependant, ça sera au prix de la liberté pour l'imposition de l’état fasciste.

3 G.T. Stewart, British Medical Journal, 31 janvier 1976.4 Medical Tribune, 10 janvier 1979, p1.

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Les gens ont intérêt à se réveiller très vite ...

Jusqu’en 1996 aux États-Unis, il n’y avait que le vaccin cellulaire contre la coqueluche. Ce vaccin contenait tous les composants de la bactérie Bordetella pertussis, y compris ceux qui sont toxiques, et a causé beaucoup d’effets adverses. Mais au Japon les gens étaient plus scrupuleux et ne voulaient pas d'un tel vaccin. Alors, un vaccin purifié acellulaire a été mis au point et utilisé uniquement dans ce pays-là depuis 1981.

C’est seulement 15 ans plus tard que le vaccin acellulaire pertussis a été approuvé par la FDA et combiné avec les anatoxines diphtérique et tétanique afin de les administrer en un seul vaccin [d’où l’appellation vaccin ‘DPT’ – Diphtérie, Pertussis, Tétanos]. En 1996, une étude a montré que le nombre d’effets adverses rapportés au VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) a chuté, passant de 9,8/100000 à 2,9/100000, après que le vaccin cellulaire ait été remplacé par le vaccin acellulaire pour la 4ième et 5ième

dose de DPT. Déjà on peut conclure que le vaccin acellulaire est plus sûr que le vaccin cellulaire. Trois fois rien d’étonnant, c'est si évident ( voir 'La propagande de la vaccination').

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En Nouvelle-Écosse (Canada), parmi les cas de coqueluche 91 % ont reçu au moins 3 doses du vaccin. Les chercheurs ont conclu que « la coqueluche reste un problème de santé important en Nouvelle-Écosse malgré la vaccination universelle. »

Au Pays-Bas, 96 % des enfants ont eu au moins 3 injections du vaccin pertussis avant 12 mois. Néanmoins, la coqueluche est restée endémique dans ce pays pendant les deux dernières décennies.

En 1975, le vaccin pertussis a cessé d’être une exigence en Allemagne, et dès lors, le nombre d’enfants vaccinés a immédiatement commencé à chuter. De nos jours, moins de 10% des enfants sont vaccinés contre la coqueluche. Et le taux de mortalité continue à chuter. Tout seul.

En 1978, quand le vaccin pertussis a été déclaré obligatoire aux États-Unis, l’incidence de la coqueluche a triplé en huit ans. Toutes les tranches d’âges étaient affectées mais la plus forte incidence était chez les enfants de moins d’1 an et l’augmentation relative la plus importante était chez les adolescents et les adultes. Les nourrissons ont eu beaucoup plus de complications ; les taux d’hospitalisation, de pneumonie, de convulsions et d’encéphalopathie étaient les plus élevés chez ceux âgés de 0 à 6 mois. Parce que l’incidence a triplé (!), on peut, à juste titre, incriminer le vaccin. Ou alors ce n'est qu'une coïncidence, rien de quoi s'inquiéter. Personnellement, je sais que c’est bel et bien le vaccin. Bien entendu, les autorités trouveront d’autres explications hormis celle-là. Ça les arrange. Et les gens les croient car ils dorment debout.

Malheureusement, voici une bonne partie de l'humanité ...

Des épidémies de coqueluche atteignant les nourrissons ont aussi été signalées an Australie malgré une couverture vaccinale étendue.

Le ‘US Department of Health and Human Services’ estime que tous les ans, environ 0,5 million d’injections de DPT provoquent des réactions nocives. Si bien qu’une future administration de ce vaccin est contre-indiquée chez les victimes (En pratique, ça ne se passe pas comme ça …) Alan Phillips précise que environ 11 000 cas de réactions adverses sont signalés au VAERS tous les ans, parmi lesquels il y a 1 % (112+) de décès. La plupart de ces décès, dit-il, sont attribués au vaccin pertussis (le ‘P’ dans 'DPT'). Mais il dit aussi que ce n’est que le sommet de l’iceberg – la FDA estime que seulement 10%

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des effets adverses sont en fait signalés. Oui, vous avez bien lu. 90% des effets adverses ne sont pas signalés. Combien de médecins savent cela ?

Le sommet de l'iceberg ... La plupart de gens n'arrivent à voir que cela ...

Les effets délétères du vaccin DPT sur le système nerveux sont documentés dans la littérature scientifique. Les atteintes neurologiques comprennent la convulsion, les épisodes d’hyporéactivité hypotonique (semblable à l’état de choc), la paralysie et l’encéphalopathie.

Dans ‘Universal Immunization’, Dr. Obomsawin dit que les estimations de l’incidence des dégâts neurologiques sont variables. Par exemple, une étude réalisée à UCLA (Université de Californie à Los Angeles) a constaté qu’1 enfant sur 13 pousse des cris aigus persistants après avoir reçu le vaccin DPT. A propos de cette réaction spécifique, Dr. B. Young dit que « Cela pourrait signaler un dégât cérébral chez l’enfant. »5 1 enfant sur 13 selon UCLA !

Selon Coulter et Fisher6, des 3,3 millions d’enfants vaccinés annuellement aux États-Unis [on est en 1990-91], 16 038 poussent des cris aigus (encéphalitiques, considérés par maintes neurologues comme un signe d’irritation du système nerveux central) ; 8484 ont des convulsions ; et 8484 tombent dans le pommes « pour une totalité de 33 006 cas annuels de réactions neurologiques aiguës survenues en moins de 48 heures suivant une injection de DPT. » Les auteurs suggèrent qu’il y a de quoi s’inquiéter des réactions à long terme dus au vaccin DPT. De graves séquelles neurologiques peuvent apparaître après la vaccination sans qu’il y ait de réaction aiguë. Quand le bébé répond à une injection de DPT par « une petite fièvre et une agitation pendant quelques jours » ceci peut être, et est souvent, un cas d’encéphalite qui est bien capable d'avoir des conséquences neurologiques graves et durables.

5 Walene James, ‘Immunization : The Reality Behind The Myth’, p13.6 H. Coulter and B. Fisher, ‘DPT : A Shot in the Dark’

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En 1994, lors d’une étude publiée dans le ‘Journal of the American Medical Association’ (JAMA), Dr. Michel Odent a constaté que les enfants vaccinés contre la coqueluche avaient 5 fois plus de risque d’avoir de l’asthme. Une autre étude réalisée par Farooqi (et al.) sur 2000 enfants nés entre 1974 et 1984 a montré que le vaccin pertussis augmente par 76 % le risque d’avoir de l’asthme et de l’allergie plus tard dans la vie.

Le SIDS (‘Sudden Infant Death Syndrome’ ou Mort Subite du Nourrisson) est aussi lié au vaccin DPT. Le SIDS est un terme qui désigne la mort soudaine et inattendue d’un nourrisson qui survient sans raison apparente et dont l’autopsie ne peut déterminer la cause. Tous les ans, 5000 à 6000 enfants meurent du SIDS aux États-Unis. La plus forte incidence concerne les enfants de 2 à 4 mois, période durant laquelle la majorité des vaccins sont administrés. Il faut souligner que environ 85% des cas surviennent pendant les 6 premiers mois et que les trois premières injections de DPT étaient faits à l’âge de 2, 4 et 6 mois respectivement quand ces études ont été faites.

Les chercheurs de la clinique Mayo ont étudié l’incidence du SIDS au compté d’Olmsted en Minnesota sur plusieurs décennies. Ils ont trouvé que les cas de SIDS ont augmenté d’un taux de 0,55 sur 1000 naissances viables en 1953 jusqu’à 128 en 1992. C’est une montée énorme en 40 ans. Or, quand ils ont comparé le taux de mortalité due au SIDS avec le taux de mortalité global, ils ont fait une découverte plus bouleversante. Le SIDS est passé de 2.5% à 17.9%. Ils ont alors conclu qu’entre 1950 et 1990, les changements de style de vies, les conditions sanitaires améliorées et le progrès médical ont permis de réduire pratiquement toutes sauf une des causes de décès des nourrissons – le SIDS.

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Le microbiologiste Australien, Glen Dettman, explique que lorsque de grandes quantités d’antigènes sont administrés, l'organisme répond en libérant une énorme quantité de substances de la glande surrénale y compris : le cortisol, l’adrénaline, une quantité excessive d’endorphines ... en fait « plus de mille fois la quantité normale libérée par le cerveau. » Ensuite, il dit que :

« Les endorphines vont supprimer la respiration et la fonction cardiaque. Ainsi, si un enfant malnutri ou ayant un problème immunologique reçoit un tas d’antigène plus qu’il ne puisse gérer – et cet antigène peut être une vaccination – les endorphines peuvent finir par provoquer un arrêt respiratoire ou cardiaque et la mort. »7

En 1982, à la 34ième réunion annuelle du ‘American Academy of Pediatrics’, Dr. W. Torch a présenté un exposé intitulé ‘Diphtheria-Pertussis-Tetanus (DPT) Immunization : A Potential Cause of the Sudden Infant Death Syndrome (SIDS)’. Torch a fait ses recherches après avoir lu un rapport de 12 décès survenus entre 3 heures et demie et 19 heures après la vaccination DPT. Ses recherches concernent 70 cas de SIDS. Il a constaté que deux tiers des victimes étaient vaccinés depuis 12 heures à 3 semaines.

En 1986, Torch a réaffirmé qu’il y a un lien entre le DPT et le SIDS en présentant 11 nouveaux cas de SIDS et un cas de NMS (‘Near-Miss Syndrome’ ou un cas qui a frôlé la mort de très peu) survenus dans les 24 heures suivant l’injection de DPT. Tous ces cas-là présentaient des caractéristiques du SIDS mais aucun n’a jamais été diagnostiqué comme « décès post-vaccinal » ... Comme si on s’y attendait. L’étude de plus de 150 autres décès suivant administration de DPT lui mène à conclure qu’il y a bel et bien un lien entre le DPT et le SIDS. D’autres chercheurs ont aussi confirmé ce lien.

7 G. Dettman, ‘SIDS – Sudden Infant Death Syndrome’, Blackmores Communicator – The Professional Services of Blackmore Laboratories, Vol 6, Sydney, Australia and Auckland New Zealand, May 1983.

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Ce que les autorités ne veulent pas que vous sachiez ...

Maintenant attendez voir ça : Lors d’une survenue du SIDS au Tennessee (États-Unis), quand 11 nourrissons sont morts en moins de 8 jours suivant la vaccination DPT (9 du même lot), et 5 en moins de 24 heures suivant la vaccination (4 du même lot), Mortimer indique que la probabilité que ça soit purement de la chance ou une coïncidence est de 2 à 5 sur 1000.8 ; tandis que Shannon indique une probabilité de 4 à 5 sur 10 000 !9

Mais s'il vous plaît l'OMS et la profession médicale sont là pour vous protéger. Ne vous inquiétez pas, détendez-vous et passez une agréable journée. Surtout gardez pour vous seul ce que vous savez, ne dites rien à personne, ne vous faites pas chier, et merci d'avoir lu cette newsletter jusque-là. Ce fut un plaisir.

Quant à moi, je vous dis à la semaine prochaine ...

8 E. Mortimer, ‘Pertussis immunization : Problems, Perspectives, Prospects’, Hospital Practice, Oct 1980 pp 103-118.9 D. Shannon and D. Kelly, ‘SIDS and Near-SIDS’, New England Journal of Medicine, 306 (17), 1982 pp 959-1028.