La famille

Aujourd'hui je voudrai parler de la famille en France Mon plan comprend trois partis

Premierment je voudrais parler de marriage en France

Deuxiement je voudrais parler de la famille

Troisement je voudrais parler de type de cohabitation

Maintenant je passe au development

Je commence par le marriage en France

La France étant de tradition judéo-chrétienne, la plupart des mariages religieux ont lieu à l’église. La coutume veut que le futur époux entre en pre¬mier au bras de sa mère, et la future épouse entre la dernière au bras de son père.

La cérémonie terminée, les deux mariés sortent ensemble de l'église.

Le mariage religieux ne concerne que la moitié des mariages.

Le mariage est, comme partoutr l’occasinn de réunir sa famille et ses amis pour une grande fête. Pour annoncer l'événement, il est d'usage d’envoyer un faire-part qui précise le lieu et la date de la cérémonie, et d’offrir des dragées (amandes enrobées de sucre) aux parents et

amis.

À la sortie de la mairie ou de l’église, les invités lancent du riz ou des pétales de roses sur les mariés pour leur souhaiter bonheur et prospérité. Un cortège de voi-tures décorées de fleurs et de rubans suit la voiture des mariés en klaxonnant, pendant qu’elle se dirige vers le lieu où une réception est offerte aux invités.

Le repas de mariage se termine généralement par une pièce montée, gâteau souvent fait de choux à la crème disposés en pyramide, que les mariés découpent et servent aux convives.

80 % des mariages ont lieu un samedi entre le mois de juin et le mois de septembre. Les futurs époux et leurs familles dépensent en moyenne 10 000 € pour cet événement.

À cette occasion, les parents et les amis offrent un cadeau aux futurs époux, qui peuvent déposer des liste

Je voudrais continuer par la famille

Martin reste le nom de famille français le plus fréquent, suivi de Bernard et Thomas (ces trois noms pouvant aussi être des prénoms). Il y a plus de probabilités de rencontrer un Monsieur ou une Madame Petit qu’un Monsieur ou une Madame Dupont, nom qui n’arrive qu’en vingt-deuxième place. Les noms de professions sont à l'origine de nombreux patronymes comme Meunier, Boulanger, de même les noms de lieux ont donné des Duval, des Dumont ou des Dumoulin.

La particule « de » n’est pas nécessairement un signe de noblesse, elle marque parfois l’origine géographique d'une personne, par exemple: François de Plazac (Plazac étant un village du Périgord). Aujourd'hui, quelques citoyens fran¬çais portent encore le titre de duc, marquis ou comte.

De nombreuses petites Léa, Laura, Chloé, et de nombreux petits Thomas, Lucas, et Théo ont vu le jour : ces prénoms sont à la mode depuis une dizaine d'années.

Depuis la loi de 2005, le mot patronyme (patro vient du latin pater, le père) a été remplacé par le nom de famille. Cette loi permet aussi aux enfants de porter le nom de leur père ou de leur mère, ou une combinaison des deux noms, et de les transmettre à leurs propres enfants. Mais il n’est pas possible de garder les deux doubles noms. Les frères et les sœurs doivent porter le même nom, et, en cas de désaccord, c’est le nom du père qui est retenu.

Depuis 1993, la loi permet aux parents de choisir librement le prénom de leur enfant, à condition qu’il ne soit pas ridicule ! Les nouveau-nés doi¬vent être déclarés auprès du service de l’état civil de la commune où ils sont nés.

Je voudrais finir mon expose par l'information de contract

Le PACS est un contrat entre deux personnes dési- rant vivre ensemble. Il concerne les couples non mariés et les couples homosexuels. Depuis son adoption en 1999 par l’Assemblée nationale, 230 000 personnes se sont pacsées.

C’est en région parisienne que l’on compte le plus de couples pacsés, et dans les territoires d’outre¬mer et en Corse qu’on en compte le moins. Les droits des couples pacsés sont sensiblement les mêmes que ceux des couples mariés. Par exemple, ils peuvent faire une déclaration de revenus commune. En revanche, la loi interdit aux couples homosexuels d’adopter un enfant. L’instauration du PACS a ouvert un débat sur le mariage gay et sur l’homoparentalité.

Le nombre de familles monoparentales, c’est- à-dire composées d’un ou plusieurs enfants et d’un adulte (le plus souvent une femme), augmente régulièrement: actuellement 19 % des familles sont monoparentales. Un million d’en¬fants vit avec un seul parent.

Ces familles sont celles qui ont le plus de difficultés financières. L’État leur verse une allocation de parent isolé afin de leur venir en aide. La demande doit se faire auprès de la CAF (Caisse d'allocations familiales). Le montant de cette aide varie selon le revenu, mais n’excède pas 748 € pour un enfant et 184 € par enfant supplémentaire. Cette prestation est versée pour un an ou jusqu’à ce que l’enfant ait trois ans, âge où il peut être scolarisé