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1 Copyright © 2015 The Nielsen Company LA GUERRE DES ECRANS COMMENT GAGNER EN VISIBILITE DANS UN MONDE OU LA TELEVISION EST OMNIPRESENTE MARS 2015

LA GUERRE DES ECRANS - Worldwide | Nielsen · LA GUERRE DES ECRANS C 2015 Te Nesen Can 5 Source : enquête mondiale Nielsen sur le paysage numérique, 3e trimestre 2014 POURCENTAGE

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1LA GUERRE DES ECRANS Copyright © 2015 The Nielsen Company

L A G U E R R E D E S E C R A N SCOMMENT GAGNER EN VISIBILITE DANS UN MONDE OU LA TELEVISION EST OMNIPRESENTEMARS 2015

2 LA GUERRE DES ECRANS

LA QUETE ETERNELLE DE L'AUDIENCE

76 % aiment la liberté d'être connectés partout, à tout moment

69 % pensent que les interactions numériques remplacent petit à petit les interactions en face à face

63 % pensent que plus un écran est grand, mieux c'est

65 % préfèrent regarder des programmes vidéo en direct (à l'heure normale de diffusion)

49 % déclarent regarder plus volontiers un programme vidéo en direct s'il est associé à un réseau social

Les téléphones portables sont les appareils les plus souvent cités pour visionner un contenu en déplacement

De nombreuses opportunités numériques liées aux canaux TV vacants existent dans des secteurs tels que la santé, l'éducation, les commerces alimentaires et les finances

A TRAVERS LE MONDE

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Nous vivons dans un monde de connectivité permanente. Nous choisissons la manière dont nous voulons accéder aux différents contenus et cette idée nous plaît. A travers le monde, plus des trois quarts (76 %) des personnes interrogées dans le cadre d'une enquête en ligne Nielsen sur les attitudes et comportements en matière de numérique déclarent apprécier la liberté d'être connectées partout, tout le temps. Si cette flexibilité peut être un avantage pour nous, elle représente un défi colossal pour les marques et les fournisseurs de contenus qui doivent rivaliser d'ingéniosité pour capter notre attention.

Les technologies sont en train de modifier radicalement notre manière d'interagir avec le monde, y compris notre façon de vivre, de travailler et de communiquer. Que ce soit en nous permettant de suivre l'actualité de nos amis sur les réseaux sociaux ou d'acheter en ligne pour ne plus avoir à faire la queue dans les magasins, les technologies continuent de façonner nos habitudes quotidiennes. Près de sept personnes interrogées sur 10 (69 %) pensent que les interactions numériques sont en train de remplacer les interactions en face à face. Et ce n'est qu'un début puisque le paysage numérique va devenir de plus en plus fourni avec la démocratisation de nouvelles technologies numériques, telles que les technologies vestimentaires et celles des voitures connectées.

L'industrie des médias connaît elle aussi une révolution, grâce à la prolifération des appareils numériques et des points d'accès, parmi lesquels les téléviseurs, téléviseurs connectés, smartphones, ordinateurs, tablettes et consoles de jeux. Le cloisonnement entre appareils et formats n'est plus aussi clair et les contenus autrefois confinés à un seul appareil peuvent désormais être diffusés sur plusieurs plateformes. Et au-delà de la bataille que se livrent les appareils et les plateformes pour gagner la préférence des utilisateurs, nous assistons à une véritable fragmentation des médias.

« Comprendre le comportement des consommateurs n'a jamais été aussi important que dans l'environnement numérique en rapide évolution que nous connaissons aujourd'hui », explique Megan Clarken, vice-présidente exécutive de Nielsen Global Watch Product Leadership. « Si le choix implique plus de complexité, il offre également plus d'opportunités. L'industrie des médias doit reconnaître cette évolution et adapter ses stratégies à cette nouvelle réalité, c'est-à-dire offrir des contenus attrayants et pertinents facilement accessibles sur les différents appareils et canaux de diffusion. »

La fragmentation des médias concerne l'ensemble des formats, mais ce rapport se concentre en particulier sur les programmes vidéo, que l'on peut définir comme tout type de contenu, tel qu'émission de télévision, vidéo professionnelle ou contenu généré par un utilisateur, regardé sur un téléviseur, un ordinateur, un téléphone portable, une tablette ou un lecteur numérique. 30 000 personnes issues de 60 pays ont participé en ligne à l'enquête mondiale Nielsen sur le paysage numérique, dont le but est de comprendre comment l'évolution du paysage numérique affecte la façon dont nous regardons des programmes vidéo, le lieu où nous les regardons et pourquoi nous les regardons. Nous avons également examiné les préférences de consommation en matière de programmes vidéo, en cherchant notamment à définir quels sont les appareils les plus utilisés en fonction du type de programme et quels sont les appareils les plus sollicités pour regarder des vidéos à la maison ou en déplacement.

A PROPOS DE LA METHODOLOGIE DE CETTE ENQUETE MONDIALE

Les conclusions de cette enquête s'appuient sur les réponses de personnes issues de 60 pays et disposant d'une connexion Internet. Si une enquête effectuée en ligne représente une méthodologie de grande envergure, qui touche les consommateurs du monde entier, elle ne fournit toutefois des indications que sur les habitudes des internautes actuels et non sur celles de l'ensemble des populations. Sur les marchés émergents où la pénétration d'Internet ne cesse de progresser, les audiences peuvent être plus jeunes et plus aisées que la population générale des pays concernés. Enfin, les réponses à l'enquête reposent sur des comportements déclarés et non sur des données réellement mesurées.

NOUS CHOISISSONS LA MANIERE DONT NOUS VOULONS ACCEDER AUX DIFFERENTS CONTENUS ET CETTE IDEE NOUS PLAIT.

4 LA GUERRE DES ECRANS

UNE NOUVELLE VISIONAlors que l'accès aux contenus et aux marques s'est plus que jamais développé grâce à la prolifération des appareils et des plateformes, les programmes vidéo exercent encore une grande influence sur nos vies. Ainsi, plus de la moitié des personnes interrogées du monde entier (55 %) déclarent que la consultation de programmes vidéo représente une activité importante de leur vie. La manière dont les audiences regardent ces programmes est en revanche en train de changer.

Pour ce qui est de la manière dont nous préférons regarder un programme vidéo, la taille a son importance. La majorité des personnes interrogées (63 %) pensent que plus l'écran est grand, mieux c'est ; mais elles apprécient également le côté pratique et portable des appareils mobiles. Près de six personnes interrogées sur 10 (59 %) estiment que regarder un programme vidéo sur un appareil mobile est pratique et plus de la moitié (53 %) déclarent qu'une tablette est tout aussi adaptée qu'un PC ou un ordinateur portable.

Les personnes interrogées apprécient également de pouvoir contrôler la façon dont elles interagissent avec les contenus et les marques, ainsi que le moment où elles peuvent le faire. Ainsi, 64 % d'entre elles déclarent rattraper leur retard dans la diffusion de leur programme préféré en regardant plusieurs épisodes le même jour. Le même pourcentage (64 %) affirme que regarder les programmes en différé convient davantage à leur emploi du temps. En outre, de nombreux consommateurs ont recours aux technologies pour limiter l'encombrement publicitaire qu'ils subissent dans leur vie. Deux tiers des personnes interrogées déclarent en effet changer de chaîne pendant la publicité.

« REGARDER LA TELEVISION DE FACON LINEAIRE N'EST PLUS D'ACTUALITE POUR BEAUCOUP, PUISQUE NOUS AVONS A PRESENT DAVANTAGE DE CONTROLE SUR CE QUE NOUS REGARDONS, AINSI QUE SUR LE MOMENT ET LE LIEU OU NOUS LE FAISONS », DECLARE MEGAN CLARKEN. « LE PLUS IMPORTANT EST DE COMPRENDRE LA MANIERE DONT LES HABITUDES DE VISIONNAGE EVOLUENT ET DE DETERMINER LES RAISONS QUI MOTIVENT CES CHANGEMENTS. LES TECHNOLOGIES CONTINUENT BIEN ENTENDU D'EVOLUER ET AVEC ELLES NOS HABITUDES. NOUS SOMMES AUJOURD'HUI CAPABLES DE NOUS CONNECTER A DES APPAREILS DE FACON INEDITE ET DANS DES ENDROITS QUE NOUS N'AURIONS JAMAIS IMAGINES, CE QUI A DONNE AU MULTITACHE UN TOUT AUTRE SENS. »

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Source : enquête mondiale Nielsen sur le paysage numérique, 3e trimestre 2014

POURCENTAGE MOYEN MONDIAL DES PERSONNES INTERROGEES TOUT A FAIT D'ACCORD OU PLUTOT D'ACCORD

LES SPECTATEURS ONT PLUS DE CONTROLE SUR LA FACON DEREGARDER UN CONTENU VIDEO, AINSI QUE SUR LE MOMENT ET LE LIEU DE LE FAIRE

changent de chaîne pendant la publicité

rattrapent souvent leur retard lors de la diffusion de leur programme préféré en regardant plusieurs épisodes le même jour

pensent que plus l'écran est grand, mieux c'est pour regarder des programmes vidéo

préfèrent regarder leurs programmes vidéo en direct

affirment que regarder un programme en différé convient davantage à leur emploi du temps

déclarent que regarder un programme vidéo sur leur appareil mobile est pratique

67 %

64 %

63 %

65 %

64 %

59 %

pensent qu'une tablette est tout aussi adaptée qu'un PC ou un ordinateur portable

53 %

6 LA GUERRE DES ECRANS

En dépit du contrôle que nous avons désormais sur le temps, le visionnage aux horaires de diffusion prévus reste une réalité pour la plupart d'entre nous. En fait, 65 % des personnes interrogées préfèrent toujours regarder les programmes vidéo en direct, à l'heure normale de diffusion. Cette préférence ne faiblit pas, en partie grâce aux réseaux sociaux qui sont en quelque sorte les machines à café de l'ère du numérique. Le pouvoir passe du fournisseur au spectateur.

De plus en plus souvent, les conversations en temps réel sur les réseaux sociaux remplacent les réunions autour de la machine à café pour discuter de l'épisode de notre série télé préférée diffusé la veille au soir. Le visionnage en temps réel permet d'éviter les spoilers et fait de la télévision un événement social qui s'étend bien au-delà de notre salon. Plus de la moitié des personnes interrogées (53 %) déclarent aimer suivre régulièrement un programme pour pouvoir prendre part aux conversations à ce sujet sur les réseaux sociaux, et près de la moitié (49 %) d'entre elles reconnaissent regarder plus volontiers un programme vidéo en direct s'il est associé à un réseau social. Parmi les personnes interrogées, 47 % disent interagir sur les réseaux sociaux lorsqu'elles regardent un programme vidéo.

Les personnes interrogées en Asie-Pacifique et dans la région Afrique/Moyen-Orient sont particulièrement actives sur les réseaux sociaux lorsqu'elles regardent des programmes télévisés, avec des pourcentages supérieurs à la moyenne mondiale concernant les attitudes relatives à l'utilisation des réseaux sociaux. Par exemple, 65 % des personnes interrogées en Asie-Pacifique et 57 % dans la région Afrique/Moyen-Orient regardent un programme en direct s'il est associé à un réseau social (la moyenne mondiale étant de 49 %). En outre, plus de six personnes interrogées sur 10 en Asie-Pacifique (64 %) et dans la région Afrique/Moyen-Orient (62 %) déclarent aimer suivre régulièrement un programme pour pouvoir prendre part aux conversations à ce sujet sur les réseaux sociaux.

L'utilisation des réseaux sociaux lors du visionnage d'un programme vidéo est un exemple parmi d'autres de l'utilisation d'un second écran. Accéder à un contenu complémentaire, rechercher des informations sur les personnages, jouer à des applications mobiles ou lire/regarder des interviews sur les coulisses d'un programme deviennent des pratiques courantes. Plus de la moitié des personnes interrogées (58 %) déclarent surfer sur Internet tout en regardant un programme vidéo.

LA STRATEGIE « PUSH-PULL » S'INVERSE

« LA PRATIQUE DITE DU DEUXIEME, TROISIEME VOIRE QUATRIEME ECRAN DEVIENT UNE EXTENSION FONDAMENTALE DE L'EXPERIENCE DE VISIONNAGE », EXPLIQUE MEGAN CLARKEN. « LA MULTIPLICITE DES ECRANS DIVERSIFIE, D'UN COTE, LES OPTIONS A DISPOSITION DES SPECTATEURS ET, DE L'AUTRE, LES OPPORTUNITES ET LES FACONS D'INTERAGIR AVEC LES SPECTATEURS POUR LES FOURNISSEURS DE CONTENUS ET LES PUBLICITAIRES. SI ELLE EST BIEN CONCUE, L'EXPERIENCE DE VISIONNAGE PEUT NON SEULEMENT ETRE PLUS AGREABLE POUR LE SPECTATEUR, MAIS EGALEMENT PERMETTRE D'OPTIMISER LE TEMPS D'INTERACTION DU SPECTATEUR AVEC LES MARQUES. »

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Source : enquête mondiale Nielsen sur le paysage numérique, 3e trimestre 2014

POURCENTAGE DES PERSONNES INTERROGEES TOUT A FAIT D'ACCORD OU PLUTOT D'ACCORD

JE SURFE SUR INTERNET PENDANT QUE JE REGARDE DES PROGRAMMES VIDEO

JE REGARDE PLUS VOLONTIERS UN PROGRAMME VIDEO S'IL EST ASSOCIE A UN RESEAU SOCIAL

J'AIME SUIVRE REGULIEREMENT LES EMISSIONS POUR POUVOIR PRENDRE PART AUX CONVERSATIONS A CE SUJET SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX

VERS UNE EXTENSION DE L'EXPERIENCE DE VISIONNAGE : LES PRATIQUES DU DEUXIEME ET TROISIEME ECRAN

MOYENNE MONDIALE ASIE-PACIFIQUE EUROPE

AFRIQUE/MOYEN-ORIENT AMERIQUE LATINE AMERIQUE DU NORD

DEUXIEME ECRAN

RESEAUX SOCIAUX

58 % 63 %44 %

61 % 60 % 62 %

53 %64 %

36 %

62 %51 %

39 %

49 %65 %

26 %

57 %41 % 33 %

8 LA GUERRE DES ECRANS

STRATEGIES A ADOPTER FACE A UNE PRATIQUE DE DEUXIEME ECRAN :• Etresurlesréseauxsociaux : l'étude de Nielsen montre que les réseaux

sociaux peuvent augmenter la sensibilisation au programme, rendre l'expérience plus agréable et garantir l'implication du public. Le désir de prendre part à la conversation collective peut être une puissante source de motivation pour regarder le programme en direct. Les stratégies en matière de deuxième écran doivent inclure une composante interactive/sociale permettant aux utilisateurs d'interagir et faisant du programme un événement ou une expérience à ne surtout pas manquer.

• Etre(inter)actif : mettre régulièrement à jour le contenu afin d'optimiser le temps passé dessus et d'encourager les visites répétées. Il est également important d'inclure des expériences interactives pour que les utilisateurs se sentent impliqués et plus proches du programme.

• Etredisponible : hors de question pour les concepteurs de se focaliser sur un seul écran ; ils doivent au contraire s'assurer que le contenu sera accessible partout et que l'expérience utilisateur sera agréable sur tous les appareils.

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LES APPAREILS PROLIFERENT, MAIS LE TELEVISEUR RESTE LA VALEUR SUREQue ce soit pour regarder un événement sportif, une émission d'actualités, un documentaire ou un film, le téléviseur reste au centre de la consommation vidéo. Il s'agit de l'appareil le plus souvent cité, et de loin, pour regarder quasiment tous les genres de programmes proposés dans l'enquête. Seule exception : les vidéos de courte durée (généralement moins de 10 minutes), qui sont plus souvent visionnées sur les ordinateurs, téléphones portables et tablettes. L'ordinateur est le deuxième appareil le plus souvent cité pour regarder presque tous les genres et arrive en tête lorsqu'il s'agit de contenu de courte durée. Un pourcentage plus faible mais non négligeable de consommateurs regardent des contenus vidéo sur leur téléphone portable ou tablette. Quant aux lecteurs numériques et/ou aux consoles de jeux, leur utilisation ne s'est pas encore démocratisée dans ce domaine.

Lorsqu'il s'agit de regarder des vidéos, le téléviseur reste le choix numéro 1 de toutes les générations, mais son statut d'appareil privilégié est encore plus marqué chez les consommateurs plus âgés. Le pourcentage de personnes interrogées qui déclarent regarder des programmes vidéo sur un téléviseur est le plus élevé pour la génération silencieuse (65 ans et plus), les baby-boomers (50-64 ans) et la génération X (35-49 ans) et le moins élevé pour les générations Z (15-20 ans) et Y (21-34 ans). En moyenne, 91 % des personnes interrogées appartenant à la génération silencieuse disent regarder les programmes vidéo sur un téléviseur, suivies de 84 % des baby-boomers, 75 % des personnes interrogées de la génération X et 62 % des personnes interrogées des générations Y et Z.

L'utilisation de l'ordinateur et du téléphone portable est a contrario la plus importante chez les consommateurs les plus jeunes. Plus de quatre personnes interrogées sur 10 parmi les générations Y et Z (42 % chacune) affirment regarder des programmes vidéo sur un ordinateur, contre 31 % pour la génération X, 25 % pour les baby-boomers et 15 % pour la génération silencieuse. De la même façon, un cinquième des personnes interrogées parmi les générations Y et Z (respectivement 22 % et 20 %) déclarent utiliser leur téléphone portable, contre 14 % pour la génération X, 6 % pour les baby-boomers et 2 % pour la génération silencieuse. L'utilisation de la tablette est la plus marquée chez les personnes interrogées des générations X et Y : elle est citée respectivement par 16 % et 15 % de ces personnes. En comparaison, 12 % des personnes interrogées de la génération Z, 8 % des baby-boomers et 4 % des personnes interrogées de la génération silencieuse précisent regarder des programmes vidéo sur une tablette.

LA REPRESENTATION INFOGRAPHIQUE SUR LA PAGE SUIVANTE FOURNIT UN APERCU DETAILLE DES APPAREILS UTILISES PAR LES CONSOMMATEURS POUR REGARDER DES PROGRAMMES VIDEO.

10 LA GUERRE DES ECRANS

AUTOEVALUATION PAR GENRE DES APPAREILS PRIVILEGIES POUR REGARDER DES VIDEOS*

LE TELEVISEUR EST LE CHOIX NUMERO 1 POUR REGARDER DES VIDEOS

Source : enquête mondiale Nielsen sur le paysage numérique, 3e trimestre 2014

* Parmi les personnes interrogées précisant regarder ce genre de programmes

EMISSIONS D'ACTUALITES

EVENEMENTS SPORTIFS

EMISSIONS DE REMISES DE PRIX

SOAP OPERAS

EMISSIONS CULINAIRESDOCUMENTAIRES

FILMS

COMEDIESDRAMES EMISSIONS DE VARIETES

EMISSIONS POUR ENFANTS

EMISSIONS DIDACTIQUESJEUX TELEVISES

EMISSIONS DE TELE-REALITE

ACTUALITES SPORTIVES

VIDEOS DE COURTE DUREE

TELEVISEUR ORDINATEUR TELEPHONE PORTABLE

TABLETTE

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LES MEILLEURS CONTENUS MAINTENANT DISPONIBLES PARTOUT, TOUT LE TEMPSSi, à première vue, le téléviseur reste le premier appareil pour

visionner des vidéos à la maison et le téléphone portable, l'appareil

le plus cité pour le visionnage en déplacement, les choses sont en

réalité un peu plus complexes.

Le choix de l'appareil dépend en grande partie de la situation,

comme du lieu où nous sommes, de ce que nous faisons et avec qui.

Même à la maison, l'appareil traditionnel qu'est le téléviseur ne sera

pas automatiquement choisi. Ainsi, parmi les personnes interrogées

qui regardent des programmes vidéo lorsqu'elles sont seules à la

maison, la majorité (63 %) déclarent le faire sur le téléviseur, même

si l'ordinateur n'est pas loin derrière, avec 56 %. Par ailleurs, 34 %

des personnes interrogées précisent utiliser leur téléphone portable

et 22 % leur tablette.

« Le cloisonnement entre les différents appareils continue de

s'estomper et l'appareil le plus approprié pour le visionnage peut

varier considérablement au fil de la journée », précise Megan

Clarken. « Chaque audience choisira l'appareil le plus compatible

avec ses besoins au moment où elle souhaite regarder un contenu.

L'objectif est donc une diffusion homogène et transparente des

contenus, quels que soient le moment, le lieu et l'appareil. »

12 LA GUERRE DES ECRANS

AUTOEVALUATION PAR ACTIVITE DES APPAREILS PRIVILEGIES POUR REGARDER DES VIDEOS*

L'ECRAN PRIVILEGIE DEPEND DE L'ACTIVITE ET DE L'ENDROIT

PENDANTQUE JE SUIS AU

TRAVAIL

PENDANTQUE JE FAIS DES

COURSESSUR LE TRAJET

EN RENTRANT DU TRAVAIL

QUAND JE SUIS EN FAMILLE

PENDANT QUE JE CUISINE

DANS UNE SALLE D'ATTENTE

AVEC DES AMIS

EN FAISANT DE L'EXERCICE

EN CONDUISANT

POUR PASSER LE TEMPS

ENMANGEANT

LORSQUE JE SUIS SEUL(E) À LA MAISON

DANS LA SALLE DE BAINS

EN ATTENDANT UN AMI

PENDANTQUE JE SUIS A

L'ECOLE

Source : enquête mondiale Nielsen sur le paysage numérique, 3e trimestre 2014

*Sont exclues les personnes interrogées qui ne pratiquent pas cette activité ou ne regardent pas de programmes vidéo lors de cette activité

TELEVISEUR ORDINATEUR TELEPHONE PORTABLE

TABLETTE

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LES PREFERENCES DE VISIONNAGE SUR APPAREILS MOBILES VARIENT D'UNE REGION A L'AUTREIl existe quelques différences régionales dans la manière dont les spectateurs

regardent des programmes vidéo. La préférence du téléphone portable pour

regarder des vidéos à la maison est plus marquée en Asie-Pacifique, dans la région

Afrique/Moyen-Orient et en Amérique latine qu'en Europe et en Amérique du Nord.

Parmi les spectateurs qui déclarent regarder des programmes vidéo lorsqu'ils

sont seuls à la maison, 41 % dans la région Afrique/Moyen-Orient, 40 % en Asie-

Pacifique et 38 % en Amérique latine précisent qu'elles le font sur un téléphone

portable, contre 24 % en Europe et 22 % en Amérique du Nord.

A l'extérieur du domicile, l'utilisation du téléphone portable est homogène en

Asie-Pacifique, dans la région Afrique/Moyen-Orient et en Europe. Elle est au-

dessus de la moyenne mondiale en Amérique latine et en dessous en Amérique du

Nord. Ainsi, parmi les personnes interrogées qui regardent des programmes vidéo

sur le trajet domicile-travail, 59 % dans la région Afrique/Moyen-Orient, 62 % en

Europe et 66 % en Asie-Pacifique utilisent leur téléphone portable, contre 80 % en

Amérique latine et 48 % en Amérique du Nord.

Les personnes interrogées des générations Y et Z déclarent plus volontiers par

rapport à leurs homologues plus âgés utiliser un ou plusieurs appareils pour

regarder des vidéos dans tous les lieux couverts par l'enquête. L'utilisation du

téléphone portable et de l'ordinateur à la maison est particulièrement plus élevée

chez les jeunes consommateurs. Ainsi, 42 % des personnes interrogées pour la

génération Y et 38 % pour la génération Z déclarent utiliser leur téléphone portable

pour regarder des vidéos lorsqu'elles sont tranquilles à la maison, contre 30 % pour

la génération X, 18 % pour les baby-boomers et 6 % pour la génération silencieuse.

A l'extérieur de la maison, le téléphone portable est l'appareil privilégié pour

pratiquement toutes les générations. Ainsi, 66 % des personnes interrogées parmi

la génération X et les baby-boomers qui regardent des vidéos sur le trajet domicile-

travail le font sur un appareil mobile, suivis de 65 % pour la génération Y, 64 %

pour la génération Z et 56 % pour la génération silencieuse. De la même façon,

parmi les personnes interrogées qui regardent des vidéos pendant qu'elles font

leurs courses, 74 % des baby-boomers, 70 % de la génération silencieuse, 66 % des

générations X et Y et 65 % de la génération Z déclarent le faire sur leur téléphone

portable.

LES GENERATIONS Y ET Z, QUI SONT NEES A L'ERE DU NUMERIQUE, SONT DES CONSOMMATEURS AVIDES DES MEDIAS ET LES TELEPHONES PORTABLES SONT AU CENTRE DE LEUR VIE », EXPLIQUE MEGAN CLARKEN. « POUR LES JEUNES CONSOMMATEURS, LE TELEPHONE PORTABLE N'EST PLUS SIMPLEMENT UN OUTIL A UTILISER EN DEPLACEMENT, MAIS PARTOUT, MEME DANS LEUR SALON. LES FOURNISSEURS DE CONTENUS ET LES PUBLICITAIRES DOIVENT ADOPTER DES APPROCHES FLEXIBLES AFIN DE TOUCHER LES CONSOMMATEURS INDEPENDAMMENT DE L'ENDROIT OU ILS SONT, DE L'APPAREIL QU'ILS UTILISENT OU DES ACTIVITES AUXQUELLES ILS S'ADONNENT. »

14 LA GUERRE DES ECRANS

GENERATION Z(15-20)

GENERATION SILENCIEUSE (+ de 65 ans)

GENERATION Y (21-34 ans)

GENERATION X (35-49 ans)

BABY-BOOMERS (50-64 ans)

POURCENTAGE MOYEN DES PERSONNES INTERROGEES DECLARANT UTILISER UN APPAREIL POUR REGARDER DES PROGRAMMES VIDEO A UN ENDROIT DONNE*

LES JEUNES GENERATIONS DE CONSOMMATEURS SONT LES PLUS GRANDS UTILISATEURS D'APPAREILS MOBILES, A LA MAISON COMME A L'EXTERIEUR

Source : enquête mondiale Nielsen sur le paysage numérique, 3e trimestre 2014

* Parmi ceux qui regardent des programmes vidéo à un endroit donné

53 %

55 %

69 %

79 %

90 %

65 %

60 %

52 %

52 %

34 %

38 %

42 %

30 %

6 %

20 %13 %

17 %

18 %

18 % 14 %

11 %

59 %

59 %

57 %

58 %

42 %

26 %

24 %

23 %

24 %

22 %

13 %

16 %

17 %

20 %

39 %

24 %

24 %

16 %

15 %

A LA MAISON A L'EXTERIEUR

TELEVISEUR ORDINATEUR TELEPHONE PORTABLE TABLETTE

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Aujourd'hui, nous utilisons à travers le monde des appareils électroniques dans trois buts principaux : créer/entretenir des relations, s'informer et se divertir. Plus de six personnes interrogées sur 10 disent utiliser des appareils électroniques pour communiquer avec leurs amis et leurs proches (65 %), s'informer (63 %), écouter de la musique (63 %) et/ou prendre des photos/vidéos (61 %). Mais quelle utilisation des appareils électroniques envisageons-nous à l'avenir et quelles sont les meilleures perspectives de croissance dans ce domaine ?

Nous avons évalué dans quelle mesure les personnes interrogées étaient disposées à utiliser un appareil électronique pour 14 activités données, ce qui

a permis de faire ressortir quelques thèmes communs au niveau mondial.

LASANTE : échanger des informations médicales est l'une des principales activités pour lesquelles les personnes interrogées sont disposées à utiliser un appareil électronique, toutes régions confondues. Une donnée particulièrement intéressante pour les régions en développement, où l'accès aux services de santé peut être plus compliqué. Ainsi, 60 % des personnes interrogées en Asie-Pacifique, 52 % dans la région Afrique/Moyen-Orient et 50 % en Amérique latine déclarent être disposées à utiliser un appareil électronique pour échanger des informations médicales, suivis de 45 % en Amérique du Nord et 39 % en Europe.

L'EDUCATION : plus de la moitié des personnes interrogées (52 %) déclarent être disposées à utiliser un appareil électronique pour s'instruire. Cette disposition est plus forte en Asie-Pacifique et en Amérique du Nord (57 % dans chacune de ces régions) ; elle est plus faible en Amérique latine (36 %), mais cette région possède également le plus fort pourcentage de personnes interrogées utilisant déjà un outil électronique pour s'instruire.

LA NOUVELLE VAGUE D'OPPORTUNITES NUMERIQUES DES CANAUX TV VACANTS

16 LA GUERRE DES ECRANS

LESCOURSESALIMENTAIRES : alors que moins d'un tiers des personnes interrogées du monde entier (32 %) déclarent utiliser d'ores et déjà un appareil électronique pour faire leurs courses, près de la moitié (48 %) sont disposées à le faire. Cette disposition est plus forte dans les régions où le pourcentage de personnes interrogées effectuant déjà leurs courses par voie électronique est le plus élevé (Asie-Pacifique et Afrique/Moyen-Orient). L'Amérique du Nord, qui présente le plus faible pourcentage de personnes interrogées effectuant déjà leurs courses par voie électronique, suit de très près. La moitié des personnes interrogées de chacune de ces régions (54 % dans la région Afrique/Moyen-Orient, 51 % en Asie-Pacifique et 50 % en Amérique du Nord) sont disposées à utiliser un appareil électronique pour faire leurs courses, suivies de quatre personnes interrogées sur 10 en Amérique latine (46 %) et en Europe (40 %).

LESFINANCES :les personnes interrogées habitant dans des pays en développement sont moins nombreuses à régler leurs factures ou à effectuer des opérations bancaires par voie électronique, mais expriment un intérêt à le faire dans le futur. Plus de quatre personnes interrogées sur 10 en Asie-Pacifique (47 %), dans la région Afrique/Moyen-Orient (44 %) et en Amérique latine (41 %) déclarent être disposées à régler leurs factures sur un appareil électronique. Les pourcentages sont du même ordre pour ce qui est d'effectuer des opérations bancaires sur un appareil électronique (46 % en Asie-Pacifique, 45 % dans la région Afrique/Moyen-Orient et 36 % in Amérique latine).

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POURCENTAGE DES PERSONNES INTERROGEES TOUT A FAIT/PLUTOT DISPOSEES A UTILISER UN APPAREIL ELECTRONIQUE POUR DES ACTIVITES DONNEES

PRINCIPALES OPPORTUNITES NUMERIQUES PAR REGION

S'INSTRUIRE 45 %FAIRE DES COURSES 40 %ECHANGER DES INFORMATIONS MEDICALES 39 %

EUROPE

ECHANGER DES INFORMATIONS MEDICALES 60%S'INSTRUIRE 57%EFFECTUER UNE RECHERCHE 56%

ASIE-PACIFIQUE

ECHANGER DES INFORMATIONS MEDICALES 50%FAIRE DES COURSES 46%RÉGLER DES FACTURES 41%

S'INSTRUIRE 57%FAIRE DES COURSES 50%TROUVER UN TRAVAIL 46 %

AMERIQUE LATINE AMERIQUE DU NORD

Source : enquête mondiale Nielsen sur le paysage numérique, 3e trimestre 2014

ECHANGER DES INFORMATIONS MEDICALES 52 %

S'INSTRUIRE 52 %

FAIRE DES COURSES 48 %

TROUVER UN TRAVAIL 46 %

EFFECTUER UNE RECHERCHE 44 %

REGLER DES FACTURES 40 %

FAIRE DES RENCONTRES 40 %

EFFECTUER DES OPERATIONS BANCAIRES 38 %

REGARDER DES PROGRAMMES VIDEO 36 %

PRENDRE DES PHOTOS/VIDEOS 32 %

PARTAGER DES PHOTOS/VIDEOS 32 %

MOYENNE MONDIALE

FAIRE DES COURSES 54 %ECHANGER DES INFORMATIONS MEDICALES 52%EFFECTUER DES OPERATIONS BANCAIRES 45 %

AFRIQUE/MOYEN-ORIENT

18 LA GUERRE DES ECRANS

A LA RECHERCHE D'OPPORTUNITES D'EXPANSION NUMERIQUE ? CIBLEZ LES JEUNES, MAIS N'OUBLIEZ PAS LES PLUS AGES !Les personnes interrogées appartenant aux générations X, Y et Z sont celles qui présentent les taux autoévalués de participation numérique les plus élevés pour la plupart des activités couvertes par l'enquête. Ce sont également celles qui sont les plus disposées à adopter le numérique pour les activités pour lesquelles ce n'est pas encore le cas.

Quelques activités, néanmoins, séduisent toutes les générations. Plus de la moitié des consommateurs toutes générations confondues déclarent utiliser des appareils numériques pour s'informer et communiquer avec leurs amis et leurs proches. En outre, plus de la moitié des personnes interrogées des générations X, Y, Z et des baby-boomers disent utiliser des appareils numériques pour écouter de la musique et prendre ou partager des photos. Sans surprise, la participation numérique chez les personnes interrogées de la génération silencieuse pour ces activités est bien moindre. Toutefois, la participation est plus importante chez les générations plus anciennes que chez les jeunes générations pour les activités suivantes : effectuer des opérations bancaires, régler des factures et effectuer une recherche.

« L'INFLUENCE DU NUMERIQUE EST OMNIPRESENTE ET TOUCHE TOUS LES SEGMENTS DEMOGRAPHIQUES », EXPLIQUE MEGAN CLARKEN. « LES TAUX D'UTILISATION DU NUMERIQUE POUR CERTAINES ACTIVITES SONT CERTES PARFOIS INEGAUX ENTRE LES DIFFERENTES TRANCHES D'AGE, MAIS ILS EVOLUENT TOUS LES JOURS ET CONTINUERONT D'EVOLUER DANS LES PROCHAINES ANNEES. »

PAYS AYANT PARTICIPE A L'ENQUETE

19LA GUERRE DES ECRANS Copyright © 2015 The Nielsen Company

Source : Internet World Stats, 30 juin 2014

PAYS AYANT PARTICIPE A L'ENQUETE

ASIE-PACIFIQUEMARCHE TAUX DE PENETRATION

D'INTERNETAustralie 94 %

Chine 47 %

Hong-Kong 81 %

Inde 20 %

Indonésie 28 %

Japon 86 %

Malaisie 67 %

Nouvelle-Zélande 95 %

Philippines 41 %

Singapour 80 %

Corée du Sud 92 %

Taïwan 80 %

Thaïlande 30 %

Vietnam 44 %

EUROPEMARCHE TAUX DE PENETRATION

D'INTERNETAutriche 87 %

Belgique 90 %

Bulgarie 59 %

Croatie 71 %

République tchèque 78 %

Danemark 97 %

Estonie 83 %

Finlande 97 %

France 83 %

Allemagne 87 %

Grèce 60 %

Hongrie 75 %

Irlande 79 %

Israël 76 %

Italie 59 %

Lettonie 75 %

Lituanie 69 %

Pays-Bas 96 %

Norvège 95 %

Pologne 67 %

Portugal 65 %

Roumanie 51 %

Russie 61 %

Serbie 65 %

Slovaquie 82 %

Slovénie 76 %

Espagne 75 %

Suède 95 %

Suisse 89 %

Turquie 57 %

Royaume-Uni 90 %

Ukraine 42 %

AMERIQUE LATINEMARCHE TAUX DE PENETRATION

D'INTERNET

Argentine 75 %

Brésil 54 %

Chili 67 %

Colombie 62 %

Mexique 49 %

Pérou 42 %

Venezuela 50 %

MOYEN-ORIENT/AFRIQUEMARCHE TAUX DE PENETRATION

D'INTERNETEgypte 53 %

Pakistan 15 %

Arabie saoudite 67 %

Afrique du Sud 52 %

Emirats arabes unis 96 %

AMERIQUE DU NORDMARCHE TAUX DE PENETRATION

D'INTERNETCanada 95 %

Etats-Unis 87 %

20 LA GUERRE DES ECRANS

A PROPOS DE L'ENQUETE MONDIALE NIELSEN L'enquête mondiale Nielsen sur le paysage numérique a été réalisée entre le 13 août et le 5 septembre 2014 auprès de plus de 30 000 consommateurs issus de 60 pays des régions Asie-Pacifique, Europe, Amérique latine, Moyen-Orient, Afrique et Amérique du Nord. Des quotas relatifs à l'âge et au sexe des internautes de chaque pays ont été appliqués à l'échantillon, qui a été pondéré afin d'être représentatif des consommateurs d'Internet. La marge d'erreur est de ±0,6 %. L'enquête Nielsen est basée uniquement sur le comportement de personnes interrogées disposant d'une connexion Internet. Les taux de pénétration d'Internet varient d'un pays à l'autre. Nielsen utilise une norme minimale d'inclusion à l'enquête correspondant à 60 % de pénétration d'Internet ou à une population connectée de 10 millions de personnes. L'enquête mondiale Nielsen, qui comprend l'indice de confiance des consommateurs dans le monde, a été mise en place en 2005.

A PROPOS DE NIELSEN Nielsen N.V. (NYSE : NLSN) est une société mondiale de gestion des performances qui fournit des indications exhaustives et précises sur ce que les consommateurs regardent (Watch) et achètent (Buy). Le segment Watch de Nielsen fournit aux clients issus des secteurs des médias et de la publicité des services de mesures de l'audience (Total Audience) sur l'ensemble des appareils où du contenu (vidéo, audio et texte) est consommé. Le segment Buy propose aux fabricants et distributeurs de produits industriels destinés aux particuliers la seule vision globale de mesures des performances du commerce de détail. Nielsen intègre ensuite les informations issues de ses segments Watch et Buy et d'autres sources de données afin d'offrir à ses clients des mesures et des analyses de premier ordre pour améliorer leurs performances. Nielsen, cotée dans l'indice boursier S&P 500, est présente dans plus de 100 pays couvrant 90 % de la population mondiale.

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