La messe antichrist

LA MESSE ANTICHRIST

MARK DOWNEY

La fête de Noël, ou « Messe du Christ » 1 ne peut avoir aucune place dans l’IdentitéChrétienne si nous voulons que ce mouvement continue à identifier qui est qui etquoi est quoi. La messe catholique universaliste ne trouve aucune fondation dansle Christianisme. Dès lors, l’introduction du Christ dans la messe est sans fonde-ment. Le Catholicisme a plus d’affinité avec Babylone qu’avec le Christianisme. Sile Yahshua historique n’a jamais eu la moindre connexion avec les fêtes fabriquéespar les hommes, la seule conclusion possible est que le Jésus des églises est « unautre Christ » (II Corinthiens 11:14), une fraude, un Christ artificiel par procura-tion, ce qui le qualifie pour être un antichrist. Un antichrist n’est pas un personnageparticulier du futur – invention provenant de la théorie bien connue de l’« enlè-vement » inspirée des Catholiques – mais plutôt une collectivité de personnages,qui existent depuis 2.000 ans. Le mot « anti » signifie « à la place de », dans le sensd’usurpation. Un antichrist n’est pas simplement quelqu’un qui rejette le Fils deDieu mais quelqu’un – ou un système – qui remplace le Fils par un substitut.

Au commencement, l’âme (la chair), se voyant supérieure, usurpa l’autorité à l’Es-prit (la mentalité). En général, la nature charnelle de l’homme dirige son cœur,à l’exception des Chrétiens ayant été entraînés à suivre l’Esprit Saint (les moti-vations de Dieu). Vous pouvez extraire le Christ réel de la messe, mais vous nepouvez pas extraire la messe du réel antichrist. La messe appelle le bien « mal » etle mal « bien », et elle satisfait la sensualité charnelle.

Ma prise de conscience sur la vraie nature de Noël date d’environ 1980, après quej’eus écouté les sermons sur ce sujet de feu le pasteur Sheldon Emry. Je n’ai pasl’intention ici de parler en profondeur des nombreux pièges que renferme la fête deNoël, tels que : arbres décorés, gui, chants de Noël, échanges de cadeaux, échangesde vœux, cartes postales, nourriture spéciale, friandises, rassemblements, dîners,bûches de Noël, Père Noël et les « marrons mis à griller dans la cheminée ». Ce sontlà quelques-uns des éléments sordides de Noël, renforcés par un déluge incroyablede baratin positif insinué chaque année dans les cervelles par des médias qui nevous parlent jamais du côté noir de ces festivités.

1. « Christ Mass » en anglais (NDT).

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LA MESSE ANTICHRIST M. Downey

J’ai l’intention de prouver au Chrétien racialiste que Noël plante la semence de ladestruction de la race Blanche. J’ose affirmer que le mois de décembre est devenuun point focal pour le Grand Festival du monde séculaire et que la Chrétienté a étéséduite dans le but de l’y faire participer. Des érudits de l’Identité Chrétienne ontprouvé l’impossibilité de la naissance du Christ en cette période du solstice d’hiver.N’est-il pas étrange que le jour le plus court de l’année soit justement choisi commereprésentant notre Sauveur, la Lumière du monde ? Ne serait-il pas plus logiqued’associer le Christ au solstice d’été, au jour le plus long, donc le plus lumineux del’année ?

Ce que je voudrais examiner aujourd’hui est la question déconcertante suivante :pourquoi quiconque dans l’Identité Chrétienne désirerait-il célébrer ou observercette fête appelée Noël après avoir pu constater que les Écritures, la logique et lebon sens parlent contre elle ? Quand je découvris pour la première fois la vérité,savoir que Noël n’est pas Chrétien, et que je tentai de partager la bonne nouvelleavec des amis et avec ma famille, je pus constater à quel point certaines choses sontprofondément enfoncées dans la tête des gens. La pression sociale serait-elle tropforte ? S’agit-il de dissonance cognitive ? Notre peuple est-il complètement balayépar l’esprit de Noël ? Cet esprit peut-il fonctionner en tandem avec l’Esprit Saint ?Si c’est le cas, est-ce uniquement saisonnier ? La Bible nous dit-elle « examinez lesesprit pour savoir s’ils sont de Yahweh ; car beaucoup de faux prophètes sont déjàdans le monde » ? Oui, elle nous le dit.

Certains ont suggéré que nous ne devrions pas manquer d’utiliser les prétendues« fêtes Chrétiennes » à notre avantage. Je suppose que leur façon de penser est : sion a un citron, faisons-en de la limonade. Le problème avec ce genre de tournured’esprit est que vous ne pouvez pas juste prendre un peu de levain pour faireretomber toute la pâte (Galates 5:9). Un Judéo-Chrétien me déclara un jour quela Bible dit : « Quand vous êtes à Rome, faites comme les Romains ». Je lui répondisque je lui donnerais 100 dollars s’il pouvait me montrer ce passage. Il n’a jamaisreçu cet argent. J’ai bien peur que Noël est pourri jusqu’à la racine. C’est un cancer.

Les gens sont-ils programmés par les ennemis du Christ pour l’accepter sans of-frir la moindre résistance ? Tout se passe comme s’ils étaient hypnotisés et qu’ilsavaient besoin d’être déprogrammés. Il est extraordinaire de constater que notremouvement n’est pas unanime sur ce sujet. Il devrait s’agir d’une évidence. En fait,nous devrions être unanimes dans notre opposition à Noël à cause des hérésies évi-dentes que cette fête manifeste. Pendant que notre nation se détériore devant nosyeux, pouvez-vous imaginer, comme repentance nationale – ce que de nombreuxIdentitaires ont demandé – un boycott Chrétien des arbres de Noël, des couronnesde fleurs, des guirlandes, des cartes, des cadeaux, des assemblées solennelles, desdîners, des décorations, etc, etc, et les bénédictions qui en résulteraient ?

Cela fait partie du problème : notre peuple ne peut imaginer une vie sans fête deNoël. Cela me rappelle nos ancêtres Israélites dans le désert, qui se plaignaient

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de ce que la vie était tellement plus agréable en Égypte ; tout ce qu’ils avaient,c’était cette manne envoyée par Dieu et ces vagues promesses sur une certaineterre promise.

La fête de Noël, c’est comme les taxes. Il y a ceux qui la promeuvent ouvertement,comme si la civilisation allait cesser de fonctionner sans elle, et ceux qui la to-lèrent comme un mal nécessaire. Puis il y a un tout petit nombre de personnesqui veulent abolir le système de taxation et le remplacer par l’économie divinenon-confiscatoire. Noël taxe nos âmes quand nous prenons des décisions sur ce enquoi nous croyons et en quoi nous obéissons. Noël n’a strictement aucun rapportavec l’obéissance à la Parole divine. Il n’existe tout simplement aucune admoni-tion, aucun décret et aucun témoin qui puisse permettre la justification de Noël.Le sophisme consistant à affirmer que la Bible ne nous défend pas de fêter Noël esttellement minable que le même type d’argument pourrait s’appliquer à Halloween,à Kwanza ou à l’anniversaire de Martin Luther King.

Cependant, il existe des avertissements dans la Bible contre de nombreux prin-cipes et doctrines de Noël, qui se font passer pour saints et justes alors qu’enréalité ils sont sataniques et auto-justificateurs. Vous ne pouvez pas amener dela dévotion dans Noël en jouant au pieux et en injectant tranquillement Yahshuadans une messe sordide. Un Noël Identitaire serait un oxymore, et nous ne devonspas tomber dans le piège de la dialectique « ACLU 2 contre scène de la nativité »,car la synthèse est toujours le 25 décembre. Lorsqu’un « Chrétien de Noël » affirmequ’il aime Jésus-Christ tous les jours de l’année mais qu’il L’aime tout spéciale-ment pour être né en un certain jour, cela ne révèle-t-il pas que son amour pourle Christ varie selon le jour de l’année ? S’il répond que non, alors Noël devientsans objet, et rien ne devrait changer par rapport à sa marche quotidienne auxcôtés du Christ. S’il répond oui, alors il donne plus d’importance à l’époque qu’à lapersonne. Le problème resterait le même si cette fête tombait n’importe quel autrejour de l’année.

J’ai rencontré certaines personnes dans l’Identité Chrétienne qui demandaient auxradicaux qui rejettent complètement Noël ce qu’ils pensent des Juifs qui sont entrain de gagner leur guerre contre Noël. Ma réponse est que Dieu a le contrôletotal, pas les Juifs. On ne se moque pas de Dieu. Si la vraie Israël n’arrive pas àexécuter la Loi, vous pouvez être certain que le jugement divin, lui, n’échouerapas. Quand nous avons échoué dans l’exécution de la Loi contre les sodomites,Dieu nous a amené des maladies dans notre système immunitaire. La meilleureimmunisation contre la colère divine est d’obéir à Sa Parole. C’est pour cette raisonque nos ancêtres employaient des mesures préventives afin d’éviter leur propredestruction.

2. ACLU : « American Civil Liberties Union ». Organisation juive américaine partisane des non-Blancs contre le peuple Blanc d’Israël (NDT).

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« Et tout le peuple entra dans la maison de Baal, et ils la démolirent ;et ils brisèrent ses autels et ses images, et tuèrent devant les autelsMatthan, sacrificateur de Baal » (II Chroniques 23:17).

Les Juifs n’ont pas gagné leur guerre contre l’Israël Chrétienne, et rien ne pourraséparer le Résidu de l’amour du Christ. Malheureusement, la grande majorité denos frères ne possèdent pas d’immunisation spirituelle ; ils vont çà et là dans leursconsommations et dans leurs festivités. Ils continueront probablement à consom-mer jusqu’à ce qu’ils tombent . . . morts.

Nous pouvons solutionner ce problème en identifiant la cause profonde de lacontroverse. Quelle est la cause de Noël ? Un examen approfondi révèle qu’il nes’agit pas de la date elle-même mais de la date de naissance, que l’on appelle com-munément un anniversaire. Le même argument peut être tenu contre la rumeurstupide selon laquelle c’est la date de la conception qui devrait être observée. Un« pronostiqueur » (Deutéronome 18:10) est placé dans la même catégorie que lesdevins, les enchanteurs ou les sorciers. La vraie question est donc d’examiner ceque la Bible dit à propos des anniversaires. Est-ce qu’une personne raisonnable nedevrait pas être d’accord avec la Bible ? Venez et raisonnons ensemble . . . ô veneztous, vous les fidèles. J’aime chanter cette chanson en juillet.

Rien n’est plus universellement célébré parmi toutes les races que les anniver-saires. C’est vraiment une chose multiculturelle. Mais le Dieu de ségrégation voit-Il les fêtes d’anniversaire comme une chose innocente et amusante, ou bien leshait-Il ? Tout ce que vous avez besoin de savoir sur le vrai but de l’existence estécrit dans les Écritures. Que dit donc Dieu sur les anniversaires ? Les célébrationsd’anniversaire sont mentionnés dans trois passages et, dans chaque cas, quelquechose de terrible se passe. Joseph interpréta un rêve du Pharaon Égyptien qui cé-lébra son anniversaire en faisant exécuter le chef des panetiers (Genèse 40:1–23).Pendant la fête d’anniversaire de Hérode, le grand serviteur du Maître, Jean leBaptiste, fut décapité (Matthieu 14:3–11).

Dans le Livre de Job, nous pouvons penser que les fils et les filles de Job étaient entrain de fêter un anniversaire n’ayant rien à voir avec Dieu, ce qui rendit Job sou-cieux du fait qu’ils avaient péché, et effectivement ses enfants moururent pendantune tempête (Job 1:4, 5, 6–13, 18–19). Le vent représente la fureur de Dieu (Ézé-chiel 13:13). Des preuves supplémentaires que ces fêtes anniversaires déplaisentà Dieu sont trouvées en Job 3, où Job maudit tous les aspects du jour de sa nais-sance. La perte de tous ses enfants à cause d’une fête anniversaire fut pour lui unappel de Dieu, qui lui révéla qu’il n’existe rien de particulièrement bon dans ladate de naissance d’une personne.

Considérez, pendant un moment, la leçon à apprendre de ces récits. Ce sont lesseules fêtes anniversaires mentionnées dans toute la Bible. Un désastre absolu enrésulta à chaque fois. S’il y avait quelque chose de bon dans une fête anniversaire,

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vous pensez bien que Dieu nous aurait donné au moins un exemple positif lesconcernant. Il n’existe aucun exemple de ce type.

En ce qui concerne des personnages aussi importants que Adam, Noé, Abraham,Moïse, le Roi David, Marie, les 12 disciples et Paul, la Bible reste silencieuse surleur date exacte de naissance. C’est la même chose pour tous les serviteurs fidèlesde Dieu, et même la date de naissance de Yahshua-Christ n’est pas révélée. Maiscertains pourraient dire : « Les mages n’apportèrent-ils pas des présents d’anni-versaire au bébé Jésus ? ». La Bible dit-elle cela ? Absolument pas ! Ils arrivèrentbien après Son « anniversaire », et Matthieu 2:11 parle de Yahshua comme d’un« jeune enfant », pas comme d’un bébé. Ceci explique pourquoi les présents qui Luifurent faits ne pouvaient pas être des présents d’anniversaire. Le comportementdes mages était une ancienne coutume qui consistait à présenter des cadeaux enla présence d’un roi. Les mages savaient qu’ils étaient en présence du Roi d’Israël,le Messie prophétisé. Il n’y a pas de prophétie concernant la date de naissance deYahshua ni d’une célébration qui y soit attachée.

Le point important à considérer ensuite en tant que Chrétien fidèle est le fait quenulle part dans la Bible on ne peut trouver d’exemple de disciple du Christ oude quiconque de l’assemblée du Nouveau Testament célébrant l’anniversaire duChrist. NULLE PART. Yahshua nous avertit contre les Chrétiens malavisés, décla-rant :

« Ce peuple-ci m’honore des lèvres, mais leur cœur est fort éloigné demoi ; mais ils m’honorent en vain, enseignant, comme doctrines, descommandements d’hommes. Car, laissant le commandement de Yah-weh, vous observez la tradition des hommes » (Marc 7:6–8).

Jusqu’ici, nous avons établi que la Bible ne rapporte que des exemples négatifs decélébrations d’anniversaires et est complètement silencieuse sur la date de nais-sance d’une quelconque figure biblique, y compris le Messie. La plupart des genssont persuadés que leur date de naissance est spéciale et mérite une attentionparticulière. Et pourtant, Salomon fut inspiré en disant :

« Mieux vaut une bonne renommée que le bon parfum, et le jour de lamort que le jour de la naissance » (Ecclésiaste 7:1).

De même, Jérémie avait peu d’estime pour les anniversaires, déclarant :

« Maudit le jour où je naquis ! Que le jour où ma mère m’enfanta nesoit point béni ! » (Jérémie 20:14).

Ces deux témoignages ne sont pas précisément ce que l’on appellerait des promo-tions des fêtes anniversaires, et c’est la raison pour laquelle le jour de la naissancedu Christ n’est pas sanctionnée par la Bible.

La Parole divine nous apprend que la date de naissance est loin de constituer unjour spécial et encore moins une saison spéciale. Selon les Écritures, ce n’est pas

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une époque appropriée pour exprimer de la joie, pour chanter ou pour s’attendreà un échange de salutations et de cadeaux, simplement parce qu’on a été misau monde à une date spécifique. La vie ne représente qu’une existence physiquetemporaire. La Bible compare la vie à une vapeur « paraissant pour un peu detemps et puis disparaissant » (Jacques 4:14). Comparé à la vie éternelle promisepar Dieu, un anniversaire est semblable à un clignement d’œil dans un cosmoséternel. Quel intérêt cela aurait-il de célébrer votre anniversaire après quelquesmilliers d’années ?

Devons-nous ignorer cette perspective divine ? Qu’ainsi n’advienne ! Comparé àce futur merveilleux que Dieu nous réserve, un destin immortel dans nos corpsglorifiés, célébrer un anniversaire de naissance physique semble ridicule et trivial.Mais la raison pour laquelle les hybrides et les sous-humains voient leur date denaissance comme quelque chose de significatif devient au contraire claire, étantdonné que la résurrection ne leur est pas destinée dans le plan divin pour les âges.

Pouvez-vous me dire d’où proviennent ces célébrations d’anniversaires, étant donnéque la Bible ne les reconnaît pas comme une chose à faire ? La réponse est éton-nante : elles proviennent des pratiques religieuses païennes de l’astrologie, contrelesquelles la Bible nous avertit :

« S’il se trouve au milieu de toi, dans une de tes portes, que Yahweh, tonDieu, te donne, un homme ou une femme qui fasse ce qui est mauvaisaux yeux de Yahweh, ton Dieu, en transgressant son alliance, et quiaille et serve d’autres dieux, et s’incline devant eux, soit devant le soleil,ou devant la lune, ou devant toute l’armée des cieux, ce que je n’aipas commandé ; et que cela t’ait été rapporté, et que tu l’aies entendu,alors tu rechercheras bien ; et si c’est la vérité, si la chose est établie,si cette abomination a été commise en Israël, tu feras sortir vers tesportes cet homme ou cette femme, qui auront fait cette mauvaise chose,l’homme ou la femme, et tu les assommeras de pierres, et ils mourront »(Deutéronome 17:2–5).

Dans les temps anciens, ceux qui n’étaient pas le peuple de Dieu regardaient versles cieux nocturnes. Ils ne voyaient pas la merveille des merveilles de la Créationdivine mais enregistraient les mouvements des astres et inventaient des calendriersentrant en conflit avec le calendrier de Dieu ; ils calculaient ensuite, à partir dela date de naissance de leur client, sa destinée sur cette Terre (à l’exclusion del’omnipotence de Dieu). Ces anciens astrologues païens plaçaient leur confiancedans les horoscopes plutôt qu’en Dieu.

Yahshua-Christ n’était pas juste un homme pouvant être exploité par des païensayant pris un masque Chrétien, pour être mêlé à leur modèle astrologique afind’établir un horoscope politique de complaisance. Le 25 décembre est le solsticed’hiver, à partir duquel la plupart des déités païennes historiques émanent, à la

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fois avant et après l’époque du Christ. J’ai déjà souligné au début de ce messageque la naissance du Christ n’a absolument rien à voir avec le 25 décembre.

De plus, le placement de la naissance du Christ à cette date particulière constitueun assaut violent sur la doctrine de Sa pré-existence, qui atteste de Sa divinité.L’Alpha et l’Oméga du Christ suggère une étendue temporelle illimitée. Si Yahshuaest Dieu, la Parole faite chair, pourquoi un Chrétien limiterait-il Son omniprésence,en tant que Créateur de l’univers, à une date blasphématoire sur un calendrierhumain, Le limitant à 33 ans, c’est-à-dire à une goutte dans l’océan d’un Dieuéternel ? Quelle culot et quelle audace absolus de la part des humains de faire unetelle chose !

Sur le plan politique, nous voudrions établir quand et pourquoi l’Amérique a cesséd’être une nation Chrétienne. Quand nous examinons la chronologie, du rejet dela fête de Noël jusqu’à l’époque où elle fut de nouveau acceptée, nous observonsnotre nation se transformant pour le pire. Le pasteur Don Elmore souligne juste-ment ce fait dans son sermon intitulé « L’homme qui inventa Noël ». La transitiond’une nation Chrétienne à une nation païenne commença vers le milieu du dix-neuvième siècle. Qui irait relier la perte de quelques 600.000 soldats américains,du Nord comme du Sud, dans une guerre civile, à la célébration de la fête deNoël ? Ne s’agissait-il pas d’une histoire de droits des états et d’esclavage ?

J’ose affirmer que la façon dont nous conduisons les affaires en Amérique est liée ànotre propre esclavage. En 1909, le Congrès décréta une taxe générale sur les cor-porations et incita également tout un chacun à remplir un certificat de naissance,au moyen duquel chaque personne était enregistrée par les divers états afin quecette personne devienne une corporation individuelle. C’en était fini des hommeslibres Chrétiens enregistrant la naissance de leurs enfants sur des Bibles familiales.Notre date de naissance et notre nom, écrits en lettres capitales, est tout ce dontBabylone avait besoin afin d’éliminer nos droits divins inaliénables. Ils obtinrentnotre matricule et nous obtinrent . . . quoi ? La marque de la bête ? Quelques per-sonnes commencent à en avoir soupé de cette frénésie commerciale juive annuelleet de ce battage festif, et ils en reviennent à de nostalgiques rassemblements fami-liaux. Mais cela n’est pas la bonne solution. Ce n’est que retourner en arrière, versl’époque où la fête de Noël prenait racine, avant que le cancer se fût étendu.

La raison cachée derrière cette période de Noël est « un autre Christ » destiné àune messe antichrist. Notre Maître ne disait-Il pas « beaucoup viendront en monnom, disant : Je suis Christ ; et ils en tromperont beaucoup » ? Oui, Il disait cela,et Il disait également : « Prenez garde que personne ne vous trompe » (Matthieu24:4–5). Ce ne sont pas juste quelques Chrétiens qui vont faire semblant de croireet adorer un Jésus de Noël en vain ; il s’agit de beaucoup. Combien cela fait-il, beaucoup ? C’est la plupart. La plupart des Chrétiens succomberont à l’espritantichrist de Noël et honoreront un Christ fictionnel avec leurs lèvres. Mais Dieudit : « leur cœur est fort éloigné de moi ». Une autre belle phrase que l’on entend

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partout est : « Ne vous laissez pas voler la fête de Noël », qui ne tient pas comptedes voleurs qui ont dérobé le nom précieux de Yahshua-Christ dans un des plusgrands larcins religieux de tous les temps.

« Un seul est législateur » (Jacques 4:12). Je voudrais que le Chrétien Ho ho ho medise ce qui lui donne le droit de suggérer un commandement aux hommes. Le 4e

Commandement est de « se souvenir du jour du sabbat, pour le sanctifier » (Exode20:8) et nous obéissons à ce Commandement ainsi : « Tu ne feras aucune œuvre »(v. 10) ; c’est un jour de repos. La plupart des Chrétiens travaillent-ils le jour deNoël ? Non ? Est-ce un jour saint ? Les Chrétiens se souviennent-ils de Noël commedu jour anniversaire de la naissance de Jésus afin de le sanctifier ? S’ils le font, ilsen ont fait sans le savoir un sabbat non autorisé. Ils ont ajouté une loi à la Parole.Noël est un jour officiel de repos provenant du gouvernement.

Yahshua avait quelque chose à dire sur les lois faites par les hommes. Il accusaitles Pharisiens d’« annuler la parole de Yahweh par votre tradition que vous vousêtes transmise ; et vous faites beaucoup de choses semblables » (Marc 7:13). Voicil’avertissement :

« Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philoso-phie et par de vaines déceptions, selon l’enseignement des hommes,selon les éléments du monde, et non selon Christ » (Colossiens 2:8).

Le mot « éléments » fait référence au paganisme. Noël est une tradition païenne.Le nom a été changé afin de protéger le coupable.

Ces choses étaient connues, avant l’époque du Christ, par l’expression « les voiesdes païens », et le prophète Jérémie avertit ses frères de ne pas apprendre leursvoies (Jérémie 10:2) lorsqu’ils tentent d’interpréter « les signes des cieux », c’est-à-dire les étoiles dans le ciel. Nous lisons aussi dans ce chapitre quelque chose surun arbre de Noël rudimentaire, quand les païens vont « couper un arbre de la forêt[. . .] on l’embellit avec de l’argent et de l’or » (Jérémie 10:3–4). Il serait très diffi-cile de ne pas voir la correspondance avec la verdure moderne faite d’arbres et decouronnes, auxquels Dieu fait référence par les expressions « chaque arbre vert »et « leurs ashères (“bois”) » dans au minimum 10 versets de l’Ancien Testamenttoujours associés avec l’idolâtrie. « Abstenez-vous de toute sorte de mal » (I Thes-saloniciens 5:22) n’est pas juste une bonne suggestion : c’est la Loi et la Parole deDieu.

Noël exige une mentalité de troupeau. Nous sommes appelés les « brebis perdues »pour une excellente raison. Nous nous tournons vers toutes les mauvaises voies,loin du Bon Berger. Haïssons-nous ce que Dieu hait ou bien, « par peur des Juifs »,personne n’ose-t-il appeler Noël une « messe antichrist » ?

« Je hais, je méprise vos fêtes, et je ne flairerai pas de bonne odeurdans vos assemblées solennelles [. . .] Ôte de devant moi le bruit de

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tes cantiques ; et la musique de tes luths, je ne l’écouterai pas » (Amos5:21, 23).

Peu importe de quelle manière vous essayerez de rendre douce et parfumée l’am-biance de Noël : pour Dieu tout cela pue.

« Ne continuez pas d’apporter de vaines offrandes : l’encens m’est uneabomination, – la nouvelle lune et le sabbat, la convocation des assem-blées ; je ne puis supporter l’iniquité et la fête solennelle. Vos nouvelleslunes et vos assemblées, mon âme les hait ; elles me sont à charge, jesuis las de les supporter » (Ésaïe 1:13–14).

La route vers l’enfer est pavée de bonnes intentions, et tout cela compte pour rien.

Si c’est votre intention de rendre Dieu furieux, comme un délinquant juvénile quirend furieux son père, alors gardez à l’esprit II Chroniques 19:2 :

« Aides-tu au méchant, et aimes-tu ceux qui haïssent Yahweh ? À causede cela il y a colère sur toi de la part de Yahweh ».

Les impies haïssaient tellement le Christ qu’ils l’incorporèrent dans une autre fêtereligieuse. Supposons que vous ayez été là à cette époque. Auriez-vous suivi cettetransition pour faire comme tout le monde ? Si vous étiez un Chrétien fidèle, vousauriez sans aucun doute fait partie des protestataires indignés. Pourquoi alorsles gens rationalisent-ils Noël comme étant Chrétien ? L’expression moderne dé-signant le mélange de fausses coutumes païennes avec l’adoration du vrai Dieu est« syncrétisme ». Quiconque faisant cela dans l’ancien Israël était mis à mort (Lé-vitique 18:21, 29). C’était une affaire sérieuse. Croire que le nouveau a remplacél’ancien est également une grave erreur. Yahshua ne Se prostitua pas à des fêtespaïennes, et Ses fidèles ne doivent pas le faire non plus.

Après l’aboutissement des empires successifs prophétisés, ceux qui ont des yeuxpeuvent voir que les fêtes (païennes) n’ont jamais été plus populaires. En cesderniers jours de Mystère Babylone, « ceux-là qui haïssent le Seigneur » laissenttomber le prétexte de l’apaisement et les aspects Chrétiens de leurs festivités. Ilsdoivent sacrément rigoler en voyant les Chrétiens, qui ont été trompés depuis silongtemps, défendre une chose que Dieu n’a jamais ordonné ni béni, mais à la-quelle Il s’est opposé par Sa colère divine. Nous n’avons pas besoin de prouver lafusion des Saturnales païennes dans l’Église Romaine Catholique antichrist, descentaines d’années après la naissance du Christ. L’Histoire est remplie de toutesles preuves dont on a besoin pour se faire une conviction.

Vers 529 ap. JC, le Christianisme apostat était devenu la religion d’état officiellede l’Empire Romain, et Justinien proclama Noël comme fête civique. Origène, unancien auteur Catholique, admettait que :

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« Dans les Écritures, il n’y a aucune trace de quiconque ayant fêté ouayant organisé un grand banquet pour son anniversaire de naissance.Ce sont uniquement les pécheurs qui organisent de grandes réjouis-sances le jour de leur naissance en ce monde ».

L’Encyclopedia Americana ajoute :

« La fête de Noël n’était pas observée durant les premiers siècles del’église. [. . .] Au cinquième siècle, l’église occidentale ordonna la célé-bration perpétuelle de la fête le jour des rites Mithraïques de la nais-sance du soleil, à la fin des Saturnales, car il n’existait aucune connais-sance précise de la date de naissance du Christ ».

De nombreuses croyances Mithraïques ont été infusées dans les corporations Judéo-Chrétiennes modernes.

Il est absolument incroyable de constater combien le culte de Baal imprègne lapléthore des dénominations, en opposition directe à la Loi divine :

« Toutes les choses que je vous commande, vous prendrez garde à lespratiquer. Tu n’y ajouteras rien, et tu n’en retrancheras rien ». (Deuté-ronome 12:32).

Ce sont les paroles directes de Dieu, disant à Israël qu’elle ne peut pas mélangerles horribles coutumes de ces paganismes avec la prétendue « concentration sur lafamille » des croyants Chrétiens.

Daniel parle d’une « petite corne » qui « profèrera des paroles contre le Très-haut,et il consumera les saints [. . .] et il pensera changer les saisons et la loi » (Daniel7:25). Cette petite corne représente une grande autorité religieuse qui tente desurimposer sa propre perspective sur les dates, le calendrier et les célébrationsassociées. Pouvons-nous identifier Noël comme un exemple d’accomplissement decette prophétie ? Si Dieu ne change pas, si Dieu ne ment pas et si Dieu garde Sesalliances, alors nous ne devrions pas essayer de mouler Dieu à notre propre image ;nous ne devrions pas mentir sur Noël, et nous devrions honorer les conditions etles promesses que Dieu a faites à Son peuple Israël, la race Blanche.

On ne peut pas se tromper sur les origines de Noël, malgré les scènes de la Nativitéen plastique placées dans les devantures. En 1990, le Solon, le conseil scolaire del’Ohio, bannit toutes les scènes de la Nativité et autres décorations de Noël danstous les établissements scolaires parce qu’il pensait que ces choses violaient la sé-paration de l’église et de l’état. Des parents outragés lui firent un procès, car ilsressentaient que Noël avait été volé à leurs enfants et à la communauté. Le conseilperdit son procès ! Les avocats des parents d’élèves avaient avancé l’argument se-lon lequel Noël est une tradition mondiale qui ne fait pas partie d’une religionparticulière et qui les transcende toutes. La fête de Noël fut jugée comme étantséculaire, car faisant partie de pratiquement chaque culture ou race à travers le

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monde. La décision de la cour fut que Noël n’a aucune racine Chrétienne ! Et lacour avait raison. Je peux d’ici entendre le chœur du nouvel Ordre Mondial chan-ter « Nous sommes le monde . . . c’est la période la plus merveilleuse de l’année ».Quelqu’un a un sac pour vomir ?

Que va-t-il arriver aux gens qui veulent garder la fête de Noël, lors de la SecondeVenue du Christ, quand Il leur fera savoir qu’ils avaient tort ? Oups, nous sommesdésolés. Eh bien, ne retenez pas votre souffle si vous buvez votre lait de poule.Le jugement n’est pas quelque chose qui est postposé jusqu’au Jugement Dernier.Regardez autour de vous : le jugement est en cours. Les marchands de la Terredépendent de la commercialisation babylonienne du mois de décembre, qui repré-sente 60% de leurs ventes annuelles. Noël est parfait pour le Juif schizophrènequi hait Yahshua-Christ mais qui adore faire de Dieu une marchandise et des grosprofits. Décembre conduit l’année entière dans une ambiance de matérialisme,d’ivrognerie, de dettes, de cartes de crédits surgonflées, d’arrestations policièrespour conduite sous influence, de promiscuité, de solitude, de jalousie, de convoi-tise, d’appels de détresse domestiques, de dépressions, de suicides, de rivalités,de propagande antichrist, d’incendies accidentels, de vols à la tire, etc. De façongénérale, c’est une époque idéale pour l’esprit d’impiété. C’est la période la plusmerveilleuse de l’année . . . pour la perversion démoniaque ; peut-être encore plusqu’Halloween.

Mais peut-être cette période est-elle conçue ainsi dans le but de garder notrepeuple enchaîné aux ecclésiastiques et aux politiciens, de les garder esclaves del’établissement talmudique. Comme il est ironique de voir des prédicateurs ca-pables d’identifier la moderne Babylone mais qui rejettent avec mépris l’idée selonlaquelle une cabale de contrefaçons de Nimrod est la vraie raison de cette saison.Exhorter nos frères de l’Identité Chrétienne à laisser tomber les habitudes de Noëln’est pas suffisant. Cette saison doit être expulsée à tout jamais de leurs cœurs etde leurs esprits afin qu’ils finissent par comprendre la gravité de cette transgres-sion collective. Nos ennemis savent très bien que Noël est une forme de génocidede la race Blanche.

Les puritains de la Nouvelle-Angleterre comprenaient à quel point Noël est mau-vais et ils bannirent sa célébration par une loi, en 1659. Dans toute la colonie de laBaie du Massachusetts, des amendes et des peines d’emprisonnement pouvaientrésulter du fait de fêter Noël. Ce ne fut qu’environ 200 plus tard, à Boston en1856, que les gens arrêtèrent de travailler le jour de Noël. Je sais bien qu’il estdur parfois de rejeter des obligations familiales quand une telle pression sédui-sante est faite sur nous, qui nous pousse à rester avec ceux que l’on aime. Mais leChrist se réfère à Son assemblée comme d’un « petit troupeau » (Luc 12:32) et pascomme à « beaucoup » ni à une « sécurité dans le nombre » comme dans les églisesJudéo-Chrétiennes.

Il y aura des gens qui, après avoir lu ce message, ne comprendront toujours paset qui ne verront rien de mal dans les fêtes de Noël, la messe antichrist. En fait,

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ils m’attaqueront peut-être même pour en avoir dit autant de mal et pour avoirrépandu encore plus de confusion chez des personnes qui doivent faire face à desproblèmes plus sérieux. Peut-être les gens ont-ils des problèmes à cause de cetteBabel qu’ils s’auto-infligent et parce qu’ils ne veulent pas obéir à Dieu. C’est latriste réalité d’aujourd’hui. Beaucoup envisagent de remettre le Christ dans la fêtede Noël, mais le vrai Christ n’a jamais été présent là-dedans.

La réelle signification et le vrai but de Noël est de maudire la race Blanche. Leurrêve d’un Noël blanc est notre cauchemar des brebis préparées pour le massacre.Dans le passé, je pensais que ce serait une perte de temps et une futilité de tenterd’atteindre les malheureuses victimes hypnotisées par cette manipulation des es-prits. Mais le pasteur Sheldon Emry m’aida à percevoir les dangers de cette foliede Noël. La situation est encore plus désespérée aujourd’hui qu’elle ne l’était alors,avec un président nègre, une nuée d’immigrants illégaux, des centaines de mil-liards de dollars allant aux banquiers, des renflouements financiers pour des cor-porations multinationales, une corruption endémique et une morale en déroute,un taux de chômage massif, des guerres effrénées faisant couler du sang innocent,une législation oppressive, un nombre record de banqueroutes et de saisies, unclimat dévastateur, de la pauvreté, un nombre de plus en plus grand de sans-abri,et ainsi de suite.

Eh bien, devinez quoi ? La fête est finie pour les Chrétiens qui craignent Dieu. Lavérité nous affranchira de ces puissantes illusions. L’esprit de Noël ne vient pasde Dieu. Notre nation s’en va vers une dose massive de jugements divins. Nousferions bien de nous préoccuper de la cause de la colère divine et de faire quelquechose pour y remédier. La relation de cause à effet entre le veau d’or de Noël et lapersécution de la vraie Israël est tout aussi vraie aujourd’hui qu’elle ne l’était dansles temps anciens.

« Et j’ouïs une autre voix venant du ciel, disant : Sortez du milieu d’elle,mon peuple, afin que vous ne participiez pas à ses péchés et que vousne receviez pas de ses plaies » (Révélation 18:4).

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Traduction : Bahrmanou

© 25 avril 2014

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La messe antichrist