...La Parenthèse.......La Parenthèse....

A découvrir aussi dans ce numéro...

Une chanteuse : « Marion, notre découverte »

Le vocabulaire des jeunes

Des livres : « Il faut qu’on parle de Kevin », « Big Easy »

Le jeu vidéo

Film : « Hunger Games »...

Lycée Albert Le Grand

Avril 2015 — N° 2

Editorial

Vous l’attendiez, le voici, le second numéro de La Parenthèse pour cette année scolaire, le magazine composé par les élèves de seconde dans le cadre des enseignements d’exploration.

Parfois mal connus ou mal compris, ces « nouveaux enseignements » présentent pourtant un triple intérêt : d’abord, avantage considérable, étendre la culture générale de nos lycéens mais aussi, grâce aux recherches qu’ils effectuent lors de ces heures d’enseignement, éveiller chez eux une curiosité nouvelle sur un sujet auquel ils n’avaient pas pensé et enfin leur permettre une formation très profitable pour les TPE (travaux personnels encadrés), épreuve anticipée du baccalauréat que tous les lycéens de première préparent.

Cette année, donc, à Albert Le Grand, nos lycéens de seconde, accompagnés de leur professeur de français et de leur professeur documentaliste, se sont engagés dans un travail qui, nous l’espérons, se poursuivra durant les années à venir : la rédaction d’un magazine trimestriel.

Après un démarrage un peu lent (d’où l’absence de numéro 3 cette année), le numéro 2 de La Parenthèse est en ligne. Choisir un sujet (libre), puis écrire un article selon les règles de l’art et enfin le saisir en utilisant un logiciel de PAO (publication assistée par ordinateur) en respectant les contraintes de publication, n’a pas toujours été chose facile. En effet devenir journaliste de presse écrite demande un certain apprentissage. Mais avec de la bonne volonté, du respect, et beaucoup d’enthousiasme on peut réussir et nous l’espérons vous plaire et vous intéresser !

Marion, notre décou-verte 3

Le vocab’ des jeun’s 5

Surfer au creux de la vague

6

Il faut qu’on parle de Kevin, de Lionel Shriver

7

Big Easy, de Ruta Sepetys

8

Jeu vidéo : Une odyssée interactive 9

Hunger Games 10

I love trap 12

La Parenthèse

La Parenthèse

La Parenthèse

Avril 2015 — N° 2

Lycée Albert Le Grand

189 rue Saint-Genès 33000 BORDEAUX

La Parenthèse n° 2 - Avril 2015 Publication en ligne sur le site http://albert-le-grand.com

Rédacteurs : élèves de seconde, en enseignement d’exploration Littérature et Société Responsable de publication : Y. BERTHOU, directeur

Découverte

Sport

Culture

Avril 2015 — N° 2 Page 2

Photo de couverture :

Compétition de surf de Mavericks édition 2010. Photo prise de-puis un bateau.

Shalom Jacobovitz - CC BY-SA 2.0

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Ses influences

Marion s'inspire des plus grands artistes depuis qu'elle a commencé. En passant par le groupe The XX, London Grammar, Kid Cudi, Sia, Adèle etc.

Marion Papin a commencé le piano à l'âge de 3 ans. Elle a écrit sa première chanson seule, «Mon Eternel» à 15 ans. Marion a aussi appris la guitare et la batterie et le chant en autodidacte.

Elle est alors devenue autonome et a commencé à écrire de nombreuses compositions.

Afin de se consacrer pleinement à la musique et dans l'espoir de vivre de son talent, elle a arrêté ses études après le bac. Un ami tenant un studio, devient par la suite son directeur artistique… Elle peut aussi compter sur son ingénieur du son qui est également celui de Johnny Halliday et Christophe Maé pour l'aider à construire son projet.

Ses premiers pas dans le monde de la musique

MARION, NOTRE DÉCOUVERTE

Elle est jeune, passionnée et a accepté de nous livrer son parcours. Nous avons décidé de vous la présenter

afin de vous faire découvrir son univers qui nous a séduites.

Elle sort son premier single en janvier 2014 intitulé «My Love». Cette chanson est écrite en mémoire de son meilleur ami décédé en 2010 d'une leucémie. Elle a atteint les 300000 vues et a été écoutée dans plus de160 pays.

Sa vie lui inspire les paroles qu'elle écrit.

Notre chanteuse a passé le casting de La Nou-velle Star mais n'a malheureusement pas été rete-nue, elle manquait en effet de confiance en elle à cette époque là.

Elle a pour projet de donner de petites représen-tations dans des bars à Bordeaux et de faire les premières parties des concerts.

Ses essais professionnels

Elle trouve son inspiration dans tous les styles pour se créer un univers unique.

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Luana, Maguelone, Valentine

Elle travaille dans un restaurant en tant que serveuse et fait également beaucoup de sport en parallèle (surf, longboard, gym...).

Elle est très présente sur les réseaux sociaux (Twitter, Facebook, Instagram, YouTube) afin de garder en permanence le contact avec ses premiers fans.

Aujourd’hui

Elle a aujourd'hui 21 ans et lance son premier projet : un ensemble de 5 chansons (EP) financé en majeure partie par les internautes souhaitant participer a son projet.

Marion a pour projet de partir aux Etats- Unis tout en continuant son aventure dans la musique et peut-être même se lancer dans le cinéma.

Il lui tiendrait également à cœur de faire de l'humanitaire.

Et en dehors de la chanson ?

Si elle arrive à percer...

Nous lui souhaitons bonne chance !

Pour écouter son titre, suivez ce lien :

https://www.youtube.com/watch?v=4Y4khBQ1bZ8

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Heather & Hadjar

Comment ?

Avec l’arrivée du rap français, les jeunes ont commencé à se différencier avec un nouveau langage.

Des rappeurs comme Booba, Rohff ou même Lafouine les ont intrigués avec ce «nouveau français».

Où / Quand ?

C’est dans les quartiers difficiles que ce langage s’est développé.

Depuis les années 2000, de nombreuses télé-réalités ont débuté (Star academy, Secret story, L’île des vérités,…) ce qui a intrigué davantage les adolescents.

Prenons l’exemple de l’ex candidate des Anges de la télé-réalité, Nabilla Benattia avec son célèbre «Allo».

Pourquoi ?

Les jeunes aiment se reconnaître entre eux sans que le monde des adultes ne les comprennent. Ils s’identifient ainsi en créant un nouveau type de vocabulaire.

Légende accompagnant l'illustration. (Comic 10 italique gras)

Voici quelques exemples des mots employés par la nouvelle génération :

1 – Les mots de tous les jours :

- Wesh ! = Hey !

- Avoir le seum = Etre dégouté, déçu

- Avoir le swag = Avoir le style

- Etre pommé = Etre perdu

- S’faire pigeonner = Se faire arnaquer

- S’enjailler = S’ambiancer

- C’est sheum = C’est moche

- C’est dar, chanmé = C’est trop bien

- Etre au bahut = Etre au lycée

- Etre à la tess = Etre à la cité

2-Mots désignant des personnes :

- La mif = La famille

- Daron/Daronne = Père/Mère

- Mec/Meuf = Garçon/Fille

- Le zin/ la zine = Cousin/cousine

- Babtou = Français

- Rebeu = Arabe

- Keblac = Noir

De nos jours, les jeunes se

différencient en employant un vocabulaire

totalement différent de celui des adultes

Le vocab’ des jeun’s

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...La Parenthèse....

Surfer au creux de la vague

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Quand on pense au surf, on a

tous en tête les plages d'Hawaï

et d’Hossegor. Sous un grand

soleil et un ciel bleu, un surfeur

s'en va, la planche sous le bras

vers d’énormes vagues.

Surfer a beaucoup d’avantages

car c’est un sport complet : il

développe la force dans tout le

corps, la flexibilité des membres

et l’équilibre, mais cette activité

permet aussi de reposer

particulièrement l’esprit. En

exercice complémentaire au surf,

nager est également un excellent

exercice cardiovasculaire.

Ce sport est également sujet à de

nombreuses compétitions très

populaires. Certains champions

français se sont qualifiés

mondialement comme Jérémy

Florès et Pauline Ado.

Ce sport est donc accessible à

tous ceux qui ont une bonne

condition physique. Il est

praticable sur la plupart des

plages françaises sans compter

qu’il peut être une option

intéressante pour le baccalauréat.

Alors n’hésitez pas à vous lancer

quel que soit votre âge mais après

avoir pris quelques cours !

Mais cependant, ce sport n'a

pas que des avantages, en effet,

il a de graves dangers.

Le premier est la vague elle-

même car elle peut s’avérer très

dangereuse à partir du moment

où elle devient puissante et

haute. Il est déjà arrivé qu’une

vague casse une planche en

deux ou brise des os !

Il existe également un autre

danger qui préoccupe les

surfeurs : sur certaines plages

étrangères (Australie…) de

graves accidents ont lieu

encore aujourd’hui à cause de

requins et d’autres animaux

marins qui, prenant la planche

pour un animal, n’hésitent pas à

attaquer.

Enfin, un dernier danger

classique serait de perdre son

équilibre sur sa planche de surf

et se heurter la tête. Cela peut

avoir de graves conséquences

(traumatisme crânien).

Constance, Chantal, Laura

SPORTSPORTSPORT

/Un surfeur à Santa Cruz, sur la côte nord de la Californie

http://fr.wikipedia.org/wiki/Surf — Brocken Inaglory

Avril 2015 — N° 2

Un surfeur à Santa Cruz en Californie. http://commons.wikimedia.org/wiki/Surfing — Brocken Inaglory

CULTURECULTURECULTURE

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U n élève « a été tué sur le coup, un autre devait mourir. Un

troisième serait également mort si le semi-automatique de Kinkel ne s'était pas trouvé à court de munitions, posé sur la tempe d'un gamin. »

Synopsis

Dans les années 2000, dans un quartier des États-Unis, une mère nommée Éva écrit à son mari diverses lettres, remettant en question leur couple, et leur rôle de parents auprès de leur fils : Kevin. Seulement voilà. Pas à pas et jour après jour, Mme Khatchadourian lève le voile sur le meurtre qu'a commis son fils, celui d'avoir tué huit personnes dans le gymnase de son lycée.

Les thèmes de ce livre bouleversant, dérangeant et inquiétant sont la psychologie et la réflexion.

Qui se ressemblent s’assemblent

Eva Khatchadourian est une femme d'une trentaine d'années vivant seule. Rongée par une morosité quotidienne, elle travaille dans le bureau d'une agence de voyage.

Dès le début du roman, l'auteur la caractérise comme une mère particulièrement maigre et sans vie. Il est vrai qu'avec ses cheveux mal coiffés et sa peau presque diaphane, Éva paraît

vide. Les visites en garde-à-vue avec son fils ne l'ont pas rendue plus heureuse. Livrée à elle-même, elle vit comme un robot, enchaînant le travail et les courses ménagères, se limitant à rester chez elle. De manière générale, elle ne possède pas de vie sociale. C'est une personne discrète, ayant perdu toute confiance en elle, n'osant même plus adresser la parole à son fils, lors de ses visites.

Kevin Khatchadourian est le fils d’Éva. Dans les premières pages du livre, on peut apprendre qu'il a dix-huit ans. Plus la lecture avance, et plus on remonte dans le passé, sachant les conflits vertigineux entre lui et sa mère. C'est un enfant détruit, ayant eu un caractère assez ambigu depuis son enfance avec Éva. Enfant non-désiré, il lui a fait vivre les pires atrocités qu'un gamin pouvait commettre. Comme quelqu'un qui est renfermé sur lui-même, Kevin n'aime plus grand chose, tout ce qui lui fait toujours autant plaisir est la solitude. Mature et rusé, il est loin d'être idiot, au contraire il paraît manipulateur, c'est la pièce clef du livre, mais aussi le mystère.

Éva et Kevin sont tout aussi attachants, l'un que l'autre. Éva tente de comprendre à travers ses lettres le comportement de son fils. Des questions qui sont sans réponse, des choses qu'elle ne saura jamais. C'est une mère entre autre détestable qui n'a pas su aimer son propre enfant. Kevin lui, est beaucoup plus pacifiste. Jeune, c'est un garçon

Il faut qu'on parle de Kevin de Lionel Shriver (We need to talk about Kevin)

sans limite au caractère indiscernable.

Ce livre remet en question bien deux tabous de la société. Le premier est l'innocence de l'enfant : parfois, celui-ci peut faire l'irréparable. Le deuxième est celui de l'amour maternel inconditionnel. Éva se méfie de son enfant, jusqu'à mener avec lui une guerre sans merci.

Chaque page, chaque mot de ce livre nous pousse vers une réflexion personnelle. On ne reste pas indifférent, pas insensible. C'est pour cela que nous conseillons ce livre à des lecteurs passionnés de l'humain, des gens qui aiment observer et commenter le comportement des autres. Autrement dit, c'est un roman conseillé à un public majeur.

« Un livre poignant dont on ne sort pas indemne. »

Juliana & Marie-Elisabeth.

CULTURECULTURECULTURE

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Auteurs (Arial 12 italique)

I l « n’est pas de beauté parfaite sans quelque

étrangeté dans les proportions.»

Francis Bacon.

Synopsis

Dans les années cinquante, il y a une période où tout est aussi mouvementé que glorieux, surtout à la Nouvelle-Orléans, connue pour ses folies. C’est dans cette ville qu’habite Josie Moraine, une jeune fille dont la vie bascule le jour d’un meurtre. Entre le choix de l’argent facile ou celui de la manipulation, Josie parviendra-t-elle à rester sur le chemin qu’elle s’est tracée ou deviendra-t-elle une fille du Vieux Carré ?

Sous le masque

Josie Moraine, une jeune fille de 17 ans, dont la vie a été dramatique dès sa naissance : Une mère qui n’a pas l’étoffe de l’être, une prostituée et un père inconnu. Celle-ci s’est retrouvée démunie d’une sphère familiale et d’une enfance insouciante. C’est par ses épreuves, qu’à l’âge de 7 ans, elle a dû acquérir une maturité et une autonomie, afin de parvenir survivre.

Loin de s’apitoyer sur son sort, Josie a de grandes ambitions : intégrer une prestigieuse université à l’autre bout du pays, être reconnu à sa juste valeur, pouvoir se définir par ses actes et non par ses racines, mais surtout choisir un autre chemin que celui auquel ses origines, la prédestinaient.

Entre la vengeance d’un beau-père mafieux, une vie dictée par une femme puissante, dépouillée par sa mère et la proposition insistance d’un homme riche, Josie ne se laissera pas abattre.

Sous son air fragile, se cache une forte détermination, d’énormes espoirs, des projets ambitieux. Mais surtout, la résolution d’une enquête sur le meurtre dont elle est l’une des dernières personnes à avoir parlé à la victime. C’est sous ce credo que la connaissent ses amis, et peut-être sa nouvelle rencontre, ainsi que son premier amour ?

Dès le début, nous sommes projetés dans les années 50, le vocabulaire et le langage sont adaptés à cette période. Une couverture à relief est d’emblée remarquée et une fois, le livre en main, il est bien difficile de le lâcher, et même l’histoire finie, on aimerait une suite. Les personnages y sont réalistes et attachants. Plongé au cœur des aventures de Josie, on ne peut que les poursuivre avec elle, afin de savoir la vérité !

Joie, peine, compassion, suspens, amour et amitié…Une palette d’émotion nous traverse à chaque période, dans une Nouvelle-Orléans, plus vraie que nature.

Le style de l’auteur est appliqué et agréable. Un récit fascinant, dans lequel on se reconnait tous, surtout à travers ce personnage qu’est Josie.

Mais comme elle, sommes-nous parvenues à nous forger un but de vie, à dépasser certaines limites et prêtes-à-tout pour réussir, sous ce masque d’adolescente sereine ?

« Tomber en disgrâce et se relever encore plus haut…En sommes-nous capable ? »

Marie-Elisabeth & Juliana.

Big Easy de Ruta Sepetys (Out of The Easy)

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L e jeu vidéo ou jeu électronique implique une

interaction humaine avec une interface utilisateur, dans le but de générer un retour visuel sur un dispositif vidéo.

Le début de l’histoire du jeu vidéo reste encore inconnu, il n’est pas cadré historiquement, mais pour beaucoup, le véritable début de cette longue odyssée est situé

A partir de 2002 son chiffre d’affaire mondial, dépasse l’industrie du cinéma.

Le jeu vidéo est aujourd’hui considéré comme une forme d’art et de communication ou même plus, comme une discipline artistique.

Parmi les personnages de jeux vidéos les plus connus et emblématiques, nous pouvons citer : Alex Kidd, Crash Bandicoot, Donkey Kong, Mario, Kirby, Link, Samus Aran, Solid Snake, Pac-Man, Megaman, Pikachu, Rayman, Sonic etc…

Parmi les sociétés de jeux vidéo les plus connues, nous pouvons rappeler : Sony, Nintendo, Sega, Ubisoft, Microsoft, Rockstar, et Capcom.

Jeux vidéo : Une odyssée interactive

Martin & Florian

aux alentours de 1950, avec de grands noms du jeu vidéo tels que Ralph Baer inventeur de la première console de salon fa-miliale : L’odyssey.

Cette console est sous la marque Magnavox, et de Wil-liam Higinbotham, concepteur des premiers jeux vidéos avec Tennis for Two et Spacewar. Mais c’est seulement en 1972 avec l’énorme jeu à succès

Pong, avec un gameplay très addictif et accrocheur.

Mais Pong n’est pas pour au-tant, celui qui inventa le jeu vidéo, mais donna le coup d’envoi à l’industrie vidéolu-dique, ce qui permettra à des concepteurs comme Nintendo de se faire connaître grâce à sa console de salon « la Fami-com », plus connue chez nous sous le nom de NES avec son célèbre jeu Super Mario Bros.

Et parmi les créateurs et con-cepteurs historiques du jeu vidéo : Michel Ancel, Frédé-rick Raynal, Shigeru Miya-moto, Shinji Mikami et David Cage.

Voici quelques consoles Rétro : Nes, Super Nintendo Nintendo 64 , Playstation 1 et Game Boy Advance SP.

Consoles nouvelles générations actuelles : Playstation 3, Playstation 4, Xbox 360, Xbox One, Wii, Wii U etc…

Nos jeux favoris : pour Mar-tin : Resident Evil 4 (Capcom) et pour Florian : Metal Gear Solid (Konami). Ces jeux nous procurent beaucoup de plaisir et d’attention. Ils mettent en avant la créativité artistique.

Depuis, le secteur du jeu vidéo connaît une énorme croissance...

Magasin de jeux-vidéo (Wikipedia)

CULTURECULTURECULTURE

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H unger Games est tiré d’une trilogie de livres

écrits par Suzanne Collins entre 2008 et 2010. Les ouvrages, qui ont eu un énorme succès, ont été adaptés en tétralogie cinématogra- phique entre 2012 et fin 2015.

Les douze districts (précédemment au nombre de 13) sont gouvernés depuis cette cité et les Hunger Games sont organisés et célébrés à l’intérieur de ses murs. Le Capitole est une dictature tyrannique dirigée par le président Snow (avant sa mort), qui détient la domination politique et économique globale sur Panem. Il applique ses règles à travers une armée de pacificateurs, ainsi il réprime la propagande. Le Capitole est la seule grande ville mentionnée dans la trilogie. Mais le Capitole est connu pour sa mode et sa nourriture.

Katniss Everdeen, l’héroïne du livre se porte volontaire au jeu des Hunger Games pour protéger sa petite sœur. Ce jeu consiste à prendre deux personnes de chaque district qui sont ensuite enfermées dans une arène créée par le Capitole. Le but est de s’entretuer jusqu’à ce qu’il ne reste qu’une seule personne vivante : le vainqueur des jeux Hunger Games. Katniss Everdeen du district 12, fait un acte de rébellion en voulant se suicider car elle refusait de tuer son partenaire Peeta Mellark du même district. Depuis Katniss est désignée

comme la sauveuse sous le nom du geai moqueur. Après ces évènements, Paylor (l’ancienne présidente du district 8) devient la nouvelle présidente d’une armée en rébellion contre le Capitole.

Ce film aurait du s’appeler « Jeu de massacre ». C’est une critique de la téléréalité poussée à ses extrêmes, cela rappelle des jeux de guerres ou de vidéos.

La violence n’a pas de conséquences directes sur le

Hunger Games

« Puisse le sort vous être favorable »

message mais montre une violence morale choquante: « les rivaux tuent sans pi-tié ».

Ce film montre un peuple abusé par un gouvernement, exemple de ce qui pourrait arriver à l’avenir.

Les Hunger Games sont ins-pirés des combats de gladia-teurs. Ils utilisent ces jeux comme un instrument de ter-reur sur la population des districts mais de divertisse-ment pour le Capitole.

http://ilovewerewolfs.deviantart.com/art/D-12-429491268

Avril 2015 — N° 2

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Paola A. Sara M. Auriane A. Lucy H.

La dictature serait donc une métaphore du manque de choix où se trouvent les gens dans la misère. En effet, de nombreuses personnes ont la « liberté » de s’en sortir (dans le sens où aucune loi ne les en empêche).

Dans le premier Hunger Games, on ressent plus de suspens et nous sommes emportés par l’action de l’histoire, celui-ci reste donc notre préféré.

Dans Hunger Games La Révolte, on s’attend à une suite plus mouvementée mais la fin du film compense notre déception.

Dans Hunger Games L’Embrase-ment partie 1, on ne trouve aucun jeu « Hunger Games ». On voit le district 13 en rébellion contre le Ca-pitole suite à la destruction du dôme faite par Katniss lors de la 75ème édition des Hunger Games.

On pourrait s’imaginer que dans Hunger Games L’Embrasement par-tie 2, Peeta retrouverait la mémoire et finirait avec Katniss, ils auraient deux enfants. Primrose Everdeen, la petite sœur de Katniss va mourir lors d’un bombardement effectué par Gale l’ancien meilleur ami de sa sœur.

Et vous, lequel est votre préféré ?

http://allheartsgoboom.deviantart.com/art/Catching-Fire-movie-Logo-Transparent-With-Ring-351203152

LE GEAI MOQUEUR

« L’espoir est la seule chose plus forte que la peur . »

http://mmsc10.deviantart.com/art/Hunger-Games-369131052

CULTURECULTURECULTURE

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Louis

N é à Houston (États-Unis), ce style musical est issu

d'une déformation du dirty south dans les années 2000. A la base ce nom désignait les lieux où se pratiquaient les trafics de drogues. Suite à de nombreux commentaires de la part des fans ou de critiques des autres gens, les rappeurs se feront appelés « rappeurs trap » en référence au trafic de drogues principalement évoqué dans leurs textes.

On distingue facilement la trap grâce à ces des doubles croches aux sonorités de charlestons, qui donne un effet très entrainé de la track rapide, généralement à 140 Bpm (battements par minute), accompagnées de sa fameuse bass 808 et kicks très puissants qui raviront les fans des différentes musiques de danse électroniques, plutôt, comment dire … agitées !

De nombreux artistes, intéressés par ce concept, décident de revisiter l'EDM (aussi appelé electro danse music en anglais) et prennent exemple du contenu lyrique des boîtes à rythmes des années 80 (Roland TR) et intègrent celui-ci dans leurs productions. Flosstradamus et RL Grime ont été les premiers à adapter ces deux styles musicaux ensemble.

La trap, tout le monde en a forcement entendu parler et c'est normal. C'est un des genres musicaux qui cartonne et ce depuis bien trois ans déjà ! Mais est-ce que cet essor va continuer son ascension ou bien

Cependant ces sonorités se retrouvent aussi chez les rappeurs américains comme européens.

On peut citer Schoolboy Q. Kaaris ou bien O.T. Genasis.

Et comme il y en a pas encore assez, d'autres dérives ont vu le jour comme « l'acide trap », la « trapstep » ou la « ghetto trap » avec Diplo, Getter & Datsik, Kanye West, Mr Carmack ou Kaytranada.

Utilisée et modifiée à toutes les sauces par de nombreux producteurs, la trap ne cesse de ravir les jeunes en soif de bonne musique. Espérons simplement que cette épopée durera le plus longtemps possible et résidera au fond de nous à jamais !

I love trap

Image : http://pixabay.com/fr/

Licence: CC0 Public Domain