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1 La Punition d’une Petite Sadique Elle devait être très vicieuse pour son âge. Je les avais surpris, elle et deux garçonnets dans les caves de mon immeuble, dans un recoin peu fréquenté. Elle était là, debout comme une matrone, les jambes écartées et les mains sur les hanches, donnant des ordres d’une voix arrogante aux deux gamins nus devant elle. Elle devait avoir environ 11 ans, et les deux petits qu’elle humiliait devaient avoir, eux, dans les 7 ou 8 ans. Cela faisait bien 20 minutes que je les observais, ayant entendu des bruits de voix alors que je revenais du parking souterrain. Elle leur donnait des ordres, et les deux gosses exécutaient différents actes en rapport avec le sexe en pleurnichant. Je ne sais pas comment cela avait commencé, sans doute par un jeu quelconque, mais maintenant ils étaient nus, et elle les obligeait à exécuter diverses choses plus ou moins barbares pour des petits de cet âge. De voir cette scène me rappelait clairement une situation similaire que j’avais vécue quand j’étais tout jeune aussi. Je devais avoir 6 ans, et malgré mes 50 ans maintenant, je me souviens encore parfaitement des humiliations subies de la part d’une « grande », dans une cave aussi. Elle m’avait mis nu, et obligé de toucher mes parties intimes et de lécher les siennes. Elle m’avait même mis un doigt dans le cul et forcé à le sucer ensuite. Ces souvenirs sont restés très présents dans mon esprit, générant en moi au fil des ans tout d’abord du dégoût, puis de l’indifférence, et depuis quelques temps, l’envie de revivre ce genre de chose, comme pour exorciser un traumatisme. Je regarde la gamine. Elle est mignonne, malgré l’air méchant qu’elle veut se donner. Déjà un peu formée, elle montre fièrement deux petits nichons qui pointent sous son chemisier. Elle ne porte pas de soutien-gorge, et je vois distinctement ses bouts bien durs qui pointent à travers le tissu. Elle doit être excitée, la petite salope. Ça doit la faire mouiller d’humilier comme ça les deux petits gars, me dis-je in petto. Maintenant, elle les oblige à se sucer à tour de rôle leurs petites queues juvéniles. Malgré leurs pleurnichements, ils bandent quand même les petits bougres. Elle, voyant ça, les oblige à se tourner vers elle, et leur empoignant leurs petites pines dans chaque mains, elle les tord en leur disant que c’est la punition pour avoir osé bander. Les gamins poussent des cris de douleur, et je décide d’intervenir. – Qu’est ce qui ce passe ici ? Fais-je d’une grosse voix autoritaire en surgissant devant eux. – Rien M’sieur ! Fait la gamine en me regardant avec un faux air innocent. On joue tout simplement. Elle me défie du regard, sûre de son autorité et de sa supériorité de petite femelle. Je l’observe encore. C’est vrai qu’elle est jolie avec sa petite jupette et ses jolies jambes bien bronzées. Comment une aussi charmante gamine peut être aussi méchante ? – Et tu crois que tes petits copains ça les amuse ? Les deux gamins me regardent avec des yeux effarés, essayant de cacher leurs parties intimes avec leurs mains. – Alors, les petits gars, vous trouviez ça amusant ? les questionnais-je Ils me font signe que non de la tête, et je leur dis de se rhabiller et de filer. Ils ne demandent pas leur reste et s’enfuient en courant. La gamine veut les suivre, mais je la retiens par le bras. – Non, toi tu restes ici. J’ai encore deux trois mots à te dire. – Ah bon ? Mais moi, ça ne m’intéresse pas de vous écouter, lance-t-elle avec colère La petite garce, elle me défie encore. J’ai la moutarde qui me monte au nez au point que j’ai presque envie de la gifler. Je réfléchis dix secondes en me retenant, et me dis que je tiens là peut-être l’occasion de me « venger ».

La Punition d'Une Petite Sadique

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Un homme surprend une fillette en train d'humilier des garçons, et décide de la punir personnellement.

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La Punition d’une Petite Sadique

Elle devait être très vicieuse pour son âge. Je les avais surpris, elle et deux garçonnets dans les caves de mon immeuble, dans un recoin peu fréquenté. Elle était là, debout comme une matrone, les jambes écartées et les mains sur les hanches, donnant des ordres d’une voix arrogante aux deux gamins nus devant elle.

Elle devait avoir environ 11 ans, et les deux petits qu’elle humiliait devaient avoir, eux, dans les 7 ou 8 ans. Cela faisait bien 20 minutes que je les observais, ayant entendu des bruits de voix alors que je revenais du parking souterrain. Elle leur donnait des ordres, et les deux gosses exécutaient différents actes en rapport avec le sexe en pleurnichant. Je ne sais pas comment cela avait commencé, sans doute par un jeu quelconque, mais maintenant ils étaient nus, et elle les obligeait à exécuter diverses choses plus ou moins barbares pour des petits de cet âge.

De voir cette scène me rappelait clairement une situation similaire que j’avais vécue quand j’étais tout jeune aussi. Je devais avoir 6 ans, et malgré mes 50 ans maintenant, je me souviens encore parfaitement des humiliations subies de la part d’une « grande », dans une cave aussi. Elle m’avait mis nu, et obligé de toucher mes parties intimes et de lécher les siennes. Elle m’avait même mis un doigt dans le cul et forcé à le sucer ensuite. Ces souvenirs sont restés très présents dans mon esprit, générant en moi au fil des ans tout d’abord du dégoût, puis de l’indifférence, et depuis quelques temps, l’envie de revivre ce genre de chose, comme pour exorciser un traumatisme.

Je regarde la gamine. Elle est mignonne, malgré l’air méchant qu’elle veut se donner. Déjà un peu formée, elle montre fièrement deux petits nichons qui pointent sous son chemisier. Elle ne porte pas de soutien-gorge, et je vois distinctement ses bouts bien durs qui pointent à travers le tissu. Elle doit être excitée, la petite salope. Ça doit la faire mouiller d’humilier comme ça les deux petits gars, me dis-je in petto. Maintenant, elle les oblige à se sucer à tour de rôle leurs petites queues juvéniles. Malgré leurs pleurnichements, ils bandent quand même les petits bougres. Elle, voyant ça, les oblige à se tourner vers elle, et leur empoignant leurs petites pines dans chaque mains, elle les tord en leur disant que c’est la punition pour avoir osé bander. Les gamins poussent des cris de douleur, et je décide d’intervenir.

– Qu’est ce qui ce passe ici ? Fais-je d’une grosse voix autoritaire en surgissant devant eux.

– Rien M’sieur ! Fait la gamine en me regardant avec un faux air innocent. On joue tout simplement.

Elle me défie du regard, sûre de son autorité et de sa supériorité de petite femelle. Je l’observe encore. C’est vrai qu’elle est jolie avec sa petite jupette et ses jolies jambes bien bronzées. Comment une aussi charmante gamine peut être aussi méchante ?

– Et tu crois que tes petits copains ça les amuse ?

Les deux gamins me regardent avec des yeux effarés, essayant de cacher leurs parties intimes avec leurs mains.

– Alors, les petits gars, vous trouviez ça amusant ? les questionnais-je

Ils me font signe que non de la tête, et je leur dis de se rhabiller et de filer. Ils ne demandent pas leur reste et s’enfuient en courant. La gamine veut les suivre, mais je la retiens par le bras.

– Non, toi tu restes ici. J’ai encore deux trois mots à te dire.

– Ah bon ? Mais moi, ça ne m’intéresse pas de vous écouter, lance-t-elle avec colère

La petite garce, elle me défie encore. J’ai la moutarde qui me monte au nez au point que j’ai presque envie de la gifler. Je réfléchis dix secondes en me retenant, et me dis que je tiens là peut-être l’occasion de me « venger ».

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– Ah oui ? Et moi, ça ne m’intéresse pas de savoir ce que tu penses, fais-je en prenant un air méchant.

Avec le ton que j’emploie, je vois que je commence à l’impressionner, et une petite lueur de peur s’allume dans son regard. Je lui tiens toujours le bras fermement, et la repousse dans un coin de mur. La situation commence à me plaire.

– Alors, tu aimes faire souffrir ? questionnais-je toujours sur le même ton.

Elle ne répond pas et se tortille pour essayer de dégager son bras. Je renforce ma prise, sachant exactement que je suis en train de lui faire mal. Je vois dans ses yeux, vides maintenant de toute arrogance, que la peur commence à l’envahir. De mon côté, je sens des picotements au niveau de mon bas ventre, picotements caractéristiques annonciateurs d’un désir sexuel. Je suis excité par la situation et décide d’en profiter.

Prenant une voix douce, je lui fais :

– Tu vois, je t’ai vu faire du mal à ces deux pauvres petits gars, et maintenant, ma petite salope, c’est toi qui va ressentir ce qu’ils ont ressenti, je lui susurre avec un air carnassier.

Je ponctue mes dires d’un petit sourire sadique. De la voir là, à ma merci, gigotant dans tous les sens, commence à m’exciter. Je sens dans mon pantalon ma bite qui durcit, et l’envie me prends de profiter d’elle pour la punir pour sa méchanceté.

– Alors, tu vas commencer par te foutre à poil, comme tu as fait avec les deux garçons.

Ce disant, je lui tords le bras, lui arrachant un gémissement.

– Vous me faites mal ! Lâche-t-elle d’une voix larmoyante.

– Alors fais tout ce que je te dis, et je relâche ton bras. Mais attention, à la moindre désobéissance, je te le casse compris ?

Des larmes perlent au coin de ses yeux et elle opine de la tête. Je la relâche, et elle fait glisser sa jupe le long de ses jambes. Elle porte une culotte de petite fille, sous laquelle je devine un joli abricot bien bombé. Une auréole d’humidité marque son sous-vêtement, et j’en déduis que la petite garce mouillait de plaisir en torturant les deux gamins. J’y vois aussi des traces jaunes et j’en déduis que la gamine ne s’essuie pas très bien, ou alors pas du tout. Je me promets de contrôler tout ça un peu plus tard.

Sur mon ordre, elle déboutonne maintenant son chemisier qu’elle retire également. Ses deux petits seins en pleine croissance sont joliment rebondis, mais les mamelons ne sont maintenant plus aussi durs que tout à l’heure. Bien au contraire, il semble même que les tétons se sont rétractés. La peur en est sûrement la cause, et cela me stimule davantage. Je me rapproche un peu d’elle, et sans crier gare, je lui arrache sa culotte d’en geste brusque. Elle a un sursaut et met immédiatement ses mains devant son intimité pour la cacher à ma vue.

– Enlève tout de suite tes mains, aboyais-je, sinon tu sais ce qui va t’arriver !

Elle obtempère, et la voilà maintenant complètement nue, à ma merci. Je me délecte de la vision de ce corps nubile, laissant mon regard s’arrêter sur sa vulve. Cette dernière est pratiquement totalement glabre, hormis quelques poils blonds qui surmontent son pubis. Ses grandes lèvres sont charnues, comme je les aime. Ni son clito, ni ses petites lèvres ne sont apparents, et la vue de ce joli con juvénile fait monter mon excitation d’un cran.

Décidant de ne pas faire dans la dentelle et de la faire souffrir un peu, je lui triture le téton gauche, dans l’espoir de le faire durcir. Mais comme je cherche plutôt à lui faire mal qu’à lui faire du bien, c’est peine perdue. Aucune réaction, si ce n’est ses grimaces et ses tentatives pour se soustraire à mes attouchements. Je la prends par le cou en serrant un peu et lui dit méchamment de se calmer et que je ne veux pas entendre un bruit. Elle me regarde avec des grand yeux effrayés, et de la savoir à

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ma merci me stimule encore un peu plus. Je sens ma verge qui durcit de plus en plus, et il me tarde de me libérer.

Je recommence mes pincements sur son téton, et parvient enfin à en prendre le bout entre mon pouce et mon index. Je le serre violemment en le tordant, espérant lui infliger une petite douleur. Mon but est atteint, car des grosses larmes coulent maintenant sur ses joues. Elle serre les lèvres pour ne pas crier, et pris d’une inspiration subite, je l’embrasse sur la bouche, forçant le passage avec ma langue, et lui mordant les lèvres.

Hummm, un vrai délice que de violer cette bouche. Elle ne m’offre pas sa langue, mais la mienne se fait insidieuse, et explore sa bouche violemment. Ma main torture toujours son nichon sans ménagement, et elle se tortille de plus en plus pour échapper à la douleur ainsi qu’à mon baiser.

Comme je ne suis pas vraiment assez sadique physiquement pour continuer à lui faire mal, je décide de changer de tactique, et de l’humilier comme elle l’a fait avec les deux gosses. Je la relâche donc et lui fait :

– Tu vois que je peux te faire très mal, si je le veux. Alors si tu ne veux pas que ça continue, tu vas faire tout ce que je te demande, sans rechigner, d’accord ?

– Euh..... oui M’sieur, fais-t-elle d’une petite voix soumise.

– Alors accroupis-toi jambes ouvertes et écartes les lèvres de ton petit vagin le plus que tu peux avec tes doigts.

– Que..., que je.... Que je quoi ?

– Tu as très bien compris. Ouvre ta chatte de petite garce !!

Elle s’exécute et je découvre un amour de petite chatte, rose tendre, encore brillante d’humidité, avec des petites lèvres très peu apparentes, et un tout petit clitoris caché sous son capuchon. Je me retiens de ne pas la lui bouffer sur le champ.

– Maintenant, pisse !

Elle me regarde étonnée :

– Mais je ne peux pas comme ça, devant vous...

– Je m’en fiche ! Force-toi ! Pousse !

Elle fait des efforts pour pousser, et ceux-ci sont tels que je vois même se contracter son petit trou de derrière au rythme de ses contractions abdominales. Au bout de quelques instants, un petit filet d’urine suinte de sa vulve et dégouline le long de ses cuisses.

– C’est tout ?

– C’est que, que.... Je.... Je... n’ai p.... pas trop be....besoin, bégaye-t-elle.

– Je vais te montrer, moi, ce que c’est de pisser !

Je baisse le zip de mon pantalon et sors ma bite à moitié bandée devant elle. Elle écarquille les yeux à la vue de mon zob. À voir sa surprise, j’imagine qu’elle n’a jamais vu de queue d’adulte en vrai. Comme j’ai une belle envie de pisser, je lui pisse dessus, d’abord à hauteur du bas ventre, sur sa vulve, et ensuite je dirige mon jet sur son ventre, ses seins, pour finir sur son visage. La gamine se secoue dans tous les sens, grimaçant de dégout, tentant d’éviter le jet qui lui arrose le visage.

Tenant mon engin d’une main, je la prends par la nuque de l’autre et attire sa tête contre mon sexe. Mon gland se trouve sur ses lèvres et c’est là que je termine ma miction. La gamine à un hoquet de répulsion, et je dois dire que cela ajouté à la vision de ma queue contre ce visage enfantin m’excite terriblement. Ma tige se dresse maintenant fièrement, dure comme un bâton, toujours appuyée contre son visage. Ce dernier, tout comme son corps, ruisselle de mon urine.

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– Alors, tu as vu ce que c’est de pisser ?

Elle ne répond pas, prostrée dans son coin, l’air égaré.

– Maintenant, tu vas me nettoyer la bite avec ta langue.

Ses yeux se lèvent sur moi, et je vois maintenant de la terreur envahir son regard.

– Je vois que tu commences à comprendre ce que ça fait de faire souffrir les autres. Mais ce n’est pas fini, tu vas en voir d’autres.....

La peur palpable qui l’habite augmente encore plus mon excitation, et j’appuie mon gland sur ses lèvres en lui ordonnant de lécher.

Timidement, elle sort sa langue, et je la sens qui s’aventure sur mon bout turgescent. Maladroitement, elle lèche, comme si elle dégustait une crème glacée. Je ne cesse pas de l’observer, et je vois à son expression qu’elle fait un gros effort pour obéir à mes ordres. Elle le fait si bien, que, au bout d’un moment, je commence à sentir la sève monter. Je ne veux pas jouir maintenant, et je me recule.

– C’est bien, maintenant on va tenter autre chose. Redresse-toi et penche-toi en avant en me tournant le dos et en écartant tes fesses de tes deux mains.

Totalement à ma merci, elle obéit, tout en pleurnichant en silence. Je peux maintenant admirer sa petite rosette, autour de laquelle quelques résidus de merde séchée sont restés collés. Pas très propre, la petite. Mais cela arrange mes bidons.

Je m’approche de son petit trou, et je peux sentir l’odeur piquante qui s’en dégage. Je lui écarte encore plus les fesses, et crache abondamment sur son anus. L’odeur m’enivre, et je me retiens de ne pas lui lécher son joli trou de balle.

– Maintenant, tu vas t’enfoncer un doigt dans le cul, le plus profondément possible.

Comme elle ne bouge pas, je lui prends la main, et lui enfonce progressivement le majeur dans le cul. Elle a un sursaut et crie sa douleur. Il est vrai que je ne l’avais pas beaucoup préparée, mis à part ma salive.

– Ta gueule ! Lui dis-je en lui balançant une claque sonore sur les fesses. Plus tu gigotes, plus tu bouges, plus tu auras mal.

Son doigt est maintenant pratiquement complètement à l’intérieur. Je l’oblige à tournoyer un peu, histoire d’élargir son trou, des fois que l’envie me viendrait de l’enculer. Petit à petit, je sens une odeur caractéristique qui se dégage de son orifice, et j’en déduis qu’elle doit avoir envie de chier. Je ne me trompais pas :

– S’il vous plait, M’sieur, j’ai besoin, me dit-elle d’une voix larmoyante.

– Besoin de quoi ?questionnais-je tout en sachant très bien de quoi elle voulait parler.

– Ben,.... Heu..... de f....faire ca.....caca.

– Ah bon ? Et bien on va remédier à tout ça, et empêcher ce caca de sortir, fais-je en ricanant.

Elle tourne la tête vers moi et me lance un regard apeuré et interrogateur.

– Eh oui, lui fais-je pour répondre à sa question muette, on va boucher ce trou, mais de façon naturelle.

Je lui retire lentement son doigt de son anus, et je vois qu’il est déjà recouvert de merde. Sa grosse commission doit être prête à sortir. Je la prends par les hanches et m’empresse alors d’appuyer mon gland contre sa rondelle, afin de l’utiliser pour en boucher le trou. En même temps que l’odeur qui devient très forte, je sens une matière visqueuse et chaude m’envelopper le bout, car elle a relâché

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ses sphincters, et un étron tente de sortir. J’appuie plus fort encore, et mon gland passe la barrière de son muscle anal et pénètre son colon.

La sensation est intense. J’ai le bout complètement serré dans son fondement, baignant dans une fange visqueuse et chaude. J’entreprends de pousser un peu plus, et contre toute attente, je glisse assez facilement à l’intérieur. Il faut dire que ma bite n’est pas très large, et que sa matière fécale fait office de lubrifiant.

Que c’est bon ! C’est merveilleusement bon ! Je n’avais encore jamais enculé dans ces conditions, et encore moins une pucelle de 11 ou 12 ans, et là c’est le nirvana. La chaleur de son ventre, l’étroit boyau qui me comprime la bite, le corps nu de cette petite garce, couvert de pisse, qui gémit, se tord, empalée au bout de mon chibre, tout contribue à m’amener vers un orgasme que je suppose formidable. Je commence à bouger dans de lents va et vient, savourant chaque frottement sur mon gland dans cet étroit boyau.

La petite s’est tue et semble tétanisée par mes mouvements de pénétration. Je la pistonne de plus en plus fort et j’ai l’impression que ma queue prend encore plus de volume dans son cul. Pour parachever mon excitation, je passe un doigt sur sa chatte, et à ma grande surprise, je constate qu’elle est ouverte et mouillée. La petite salope prend du plaisir on dirait. Je caresse son clito de mon index, et je le sens durcir et pointer hors de son capuchon. Je remarque aussi que ses hanches se sont mises à bouger, son cul se tendant contre moi pour mieux me sentir au fond d’elle.

La salope prend du plaisir, et cela ne me plait pas du tout. Ce n’est pas le but escompté. La voilà maintenant qui gémit, mais non plus de douleur, mais de plaisir. Alors, avec toute la perversion dont je suis capable, j’échafaude un plan machiavélique. Je caresse d’une part son bouton d’amour avec toute la science dont je suis capable, et de l’autre main, je peux enfin titiller ses petits nibards dont les tétons sont maintenant durs et turgescents. Insidieusement, je l’amène au bord de l’orgasme, si j’en crois le tremblement qui agite ses jambes et les contractions que je ressens dans son anus.

Alors, quand je la sens prête à jouir, je sors ma bite de son cul et arrête de la pistonner. Je la retourne à genou face à moi, mon dard plein de sa merde à 10 centimètre de son visage. Elle me regarde avec des yeux suppliant, ne comprenant rien à ce qui se passe, son corps quémandant l’orgasme libérateur.

– Ouvre la bouche et tire la langue ! je lui ordonne.

Dans l’état d’excitation dans lequel elle se trouve, elle ne se rend pas compte de la situation, et ouvre sa bouche sans sourciller. Je pose mon gland souillé sur sa langue, et entreprend de violer sa bouche. Sa merde lui dégouline à la commissure des lèvres. Elle ne se rend pas bien compte de ce qui se passe, trop occupée à se branler le clito pour enfin atteindre cet orgasme tant attendu.

Mon gland bute contre son palais, et ce moment est tellement jouissif que je ne tarde pas à déverser de longs jets de sperme dans sa gorge, savourant intensément ce moment de plaisir pervers. Elle de son côté ne sait plus ce qu’elle fait. Totalement obnubilée par son orgasme à venir, elle ne réalise pas réellement ce que je viens de lui faire, et continue à se branler pour enfin pouvoir laisser éclater sa jouissance.

Dans ma perversité du moment, je lui prends les mains et l’empêche de continuer à se caresser. Elle se tortille comme un serpent blessé, en gémissant de frustration. Elle serre convulsivement ses cuisses, dans l’espoir d’atteindre enfin cet orgasme, qui maintenant ne viendra plus. Je jouis moralement de la voir dans cet état. Avec toutes les souillures que la recouvrent, on dirait une possédée par un démon quelconque qui cherche à fuir l’entité qui l’habite. Sa tête va de gauche à droite et elle roule des yeux égarés. Sa vulve est turgescente et rouge tellement elle l’a triturée avec violence.

Elle finit par se calmer et je la relâche. Elle tombe en avant, complètement ravagée par sa montée d’excitation qui n’a pas abouti. À plat ventre sur le béton, elle met sa tête entre ses bras et je

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l’entends pleurer en silence. Son joli corps souillé de merde, de pisse et de sperme est encore agité de petits spasmes et je vois même encore pointer du caca entre ses fesses. Mais je n’ai pas pitié, j’ai assouvi là mon fantasme de vengeance.

Ma pine, encore à moitié dure, dégouline de sperme et de merde. Je prends alors sa chemise et m’essuie consciencieusement. Maintenant que je ne suis plus excité, je suis dégouté par l’odeur et toutes ses salissures qui commencent à sécher sur son corps. Elle est toujours là, couchée par terre, presque pitoyable dans son calvaire. Je me retiens de la regarder tout en remballant mon engin dans mon pantalon, car je sens un peu de compassion m’envahir à son égard. Que dis-je, je sais maintenant que c’est pratiquement de la pitié que je ressens pour elle. Comme si je la découvrais maintenant, et qu’un autre lui avait fait subir ce que je lui ai fait.

Elle relève la tête, et fait exactement ce qu’il ne fallait pas faire pour m’achever. Elle me regarde avec de grands yeux tristes et murmure d’une voix de toute petite fille :

– S’il vous plait, aidez-moi. Je ne peux pas rentrer dans cet état à la maison. Mes parents vont me questionner et je ne veux rien leur raconter. Tout cela est de ma faute, ajoute-t-elle d’une voix tremblante, et je serais encore une fois de plus punie.

– Pourquoi une fois de plus ? questionnais-je.

– Parce que chaque fois qu’il m’arrive quelque chose de particulier, un bobo, un petit malheur ou même une remarque à l’école, je suis sévèrement punie. Mon père se met très en colère me fait mettre nue et me fesse avec une baguette

– A ton âge ? Mais au fait, tu as quel âge.

– Onze ans, M’sieur.

– Et ça fait longtemps que tu subis la colère de ton père ?

– Depuis toujours, M’sieur. Je crois qu’il voulait un garçon, alors je paie pour le fait de ne pas en être un.

– Et ta mère ?

Elle soupire :

– Ma mère ne dit rien. Elle aussi doit supporter les colères de mon père.

– Il la bat aussi ?

– Cela arrive parfois. Même que je l’ai vu une fois arracher les habits de ma mère et la frapper à la poitrine en la traitant d’incapable et de bonne à rien.

En écoutant le récit de la petite, je commence à comprendre son attitude. En torturant les deux gamins, elle ne fait qu’essayer d’exorciser ce qui la hante ; la violence et la domination de son géniteur, et quelque part, elle agit un peu comme moi, elle se venge....

Maintenant qu’elle m’a raconté tout ça, j’ai un peu honte de ce qui s’est passé. Je la regarde avec compassion et ait subitement envie de la protéger, de la câliner et de lui donner cette tendresse masculine qui a dû tant lui manquer durant toute son enfance. Je la regarde, et vois de grosses larmes qui coulent sur ses joues, se mêlant à toutes les sécrétions que j’y ai laissées. Son visage n’est plus maintenant que celui d’une petite fille, malheureuse, humiliée, à la recherche d’amour et de tendresse.

Touché par son récit, et aussi pour me faire pardonner ce que je lui ai fait subir, je décide de l’aider en l’emmenant chez moi. Toutefois, pour ce faire, il va falloir traverser le parking souterrain et prendre l’ascenseur pour monter à mon appartement. Et ça ne va pas être facile, car dans l’état ou elle est, je risque quelques ennuis si on rencontre quelqu’un. J’enlève alors ma veste, et lui donne ma chemise pour s’en couvrir. Cette dernière, trop grande pour elle lui descend jusqu’aux genoux

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comme une robe. Je pense que ça va aller. Je boutonne ma veste sur mon torse nu, et ramassant sa culotte et sa chemise que je roule en boule, nous nous dirigeons vers l’ascenseur.

La traversée du garage souterrain se fait sans encombre et la chance continue de nous sourire puisque l’ascenseur est vide et que nous atteignons sans problèmes l’étage de mon logement. Une fois à l’intérieur, direction immédiate la salle de bain.

– Voilà ce qu’on va faire. On va enlever tous nos habits et les mettre dans le lave-linge, et ensuite, on va prendre une bonne douche tous les deux, car on en a sacrément besoin, tu ne crois pas ?

Elle me regarde avec reconnaissance et acquiesce de la tête. Nous nous débarrassons rapidement de nos vêtements et je mets en route le lave-linge. Nous voilà nus tous les deux, au milieu de ma salle d’eau. Elle encore couverte de souillures, et moi, maintenant, l’air un peu gêné avec ma bite molle, qui porte encore les traces de mes exactions.

– Tu n’as pas l’air choquée de me voir à poil ?

– Oh non M’sieur ! J’ai l’habitude, car mon père se promène souvent dans cette tenue chez nous. Même que des fois, son machin est gros est dur, dit-elle en louchant sur ma bite.

– Il n’a jamais, heu.... Enfin.... Heu... Il n’a jamais fait des « choses » avec toi quand il est nu ?

– Non jamais avec moi, mais je l’ai vu faire avec ma mère parfois. Même qu’il le lui met de force dans la bouche.

– Devant toi ?

– Non, mais quand j’entends ma mère le supplier d’arrêter, je me cache dans une autre pièce et je les espionne.

Tout en discutant, j’ai ouvert les robinets de la douche et je la pousse maintenant gentiment sous le jet d’eau chaude. Je la rejoins dans la cabine. Je précise que ma cabine de douche est très spacieuse et est équipée d’un petit banc contre une des parois, afin de pouvoir profiter des jets de massage sans devoir rester debout.

Elle est maintenant sous le jet d’eau et je m’assois en face d’elle sur la banquette. Elle ne semble pas gênée par ma nudité, ni par la sienne d’ailleurs. Une eau noirâtre et nauséabonde dégouline le long de son corps et s’écoule dans la bonde. Je prends du savon liquide, m’en verse généreusement dans les mains et entreprend de la laver. Mes mouvements sont tendres et caressant, comme pour me faire pardonner. Elle ferme les yeux, savourant ce moment de détente sous l’eau chaude qui l’enveloppe.

Je commence par son visage, que je caresse en faisant mousser le savon. Je la frotte doucement, et j’enlève toute trace de mes exactions. Je descends ensuite sur ses épaules, ainsi que sur ses petits nichons sur lesquels je m’attarde un petit peu. Les tétons ne tardent pas à durcir et elle soupire d’aise en fermant les yeux. Elle se laisse aller à mes caresses, et j’ai le sentiment que c’est peut-être la première fois que quelqu’un s’occupe d’elle avec autant de douceur.

Son joli corps juvénile se découvre dans toute sa splendeur, purifié par l’eau et le savon qui dégoulinent sur elle. Je la fait pivoter et je continue mes investigations mousseuses dans son dos. J’atteins ses fesses, et mes doigts suivent sa raie jusqu’à son anus. J’entreprends de le nettoyer avec beaucoup de savon, allant même jusqu’à lui enfoncer un peu de mon doigt pour bien en décrotter l’entrée.

Elle ne réagit pas outre mesure à mon attouchement et je continue ma séance de nettoyage en m’occupant de ses jambes. Elles sont douces et musclées. De mes deux mains, j’entoure une de ses cuisses et frotte doucement en descendant sur ses mollets et ses pieds. Je remonte ensuite jusqu’à son entrejambe et ma main vient buter contre sa petite vulve. Je réserve le même traitement à son autre jambe, et lorsque mes mains remontent, je sens imperceptiblement qu’elle écarte les cuisses.

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Je la retourne à nouveau face à moi, et comme j’ai maintenant mon visage à la hauteur de son ventre, j’en profite pour lui faire un petit bisou sur le nombril. Elle a un petit sursaut et me regarde avec étonnement. Ses yeux cachent mal son trouble, et je sens que j’ai touché là un point sensible. Ce n’est certainement pas souvent qu’un homme lui prodigue un peu de tendresse.

Je remets une bonne dose de savon au creux de ma main, et l’obligeant doucement à écarter encore un peu plus les cuisses, je m’active à nettoyer son petit con. Ma main d’abord tout entière passe et repasse sur sa vulve. Je frotte doucement pour y enlever toutes traces de souillures. Puis, écartant délicatement les grandes lèvres, je passe mon doigt enduit de savon dans les replis de ses petites lèvres, m’attardant insidieusement sur son petit clito. Elle ne réagit pas négativement, bien au contraire.

Elle pousse un peu son bassin en avant, comme pour mieux profiter de mes attouchements. Tout doucement, mon doigt pénètre de quelques centimètres dans son petit trou. J’entreprends alors un mouvement circulaire pour bien en nettoyer l’entrée. Elle se méprend sur mes intentions et écarte encore davantage les cuisses. Je pense qu’elle est un peu excitée, car je sens au bout de mon doigt cette humidité gluante caractéristique de la cyprine qui s’écoule.

Je retire alors ma main et empoigne le pommeau de douche pour la rincer. J’écarte à nouveau ses lèvres et dirige le jet sur son vagin. Je rince abondamment, m’attardant sur son bouton d’amour. La réaction ne se fait pas attendre et je l’entends soupirer d’aise. Je règle le débit de l’eau et passe en position « petits jets alternatifs de massage ».

Tout en lui prodiguant ce massage aquatique, je l’observe. Elle a renversé la tête en arrière, fermé les yeux et se laisse aller à savourer l’instant. Dans cette position, dans cette attitude, malgré son corps à peine formé, ses petits nibards juvéniles et sa chatte imberbe, elle est autant désirable qu’une femme accomplie. Ma bite se redresse entre mes cuisses, car je sens le désir m’envahir. Non plus un désir pervers comme tout à l’heure, mais un désir authentique d’un homme pour une femme. J’en reste très troublé, et j’ai envie de la serrer dans mes bras et de l’embrasser. Elle est tellement touchante dans son innocence que j’ai peine à croire que c’est la même gamine qui torturait les deux gosses.

Pour chasser ce sentimentalisme qui m’envahit et calmer mon excitation, je me redresse et entreprends de me laver moi aussi. Je me frotte vigoureusement le corps, faisant mousser le savon. Je descends mes mains vers mon entrejambe pour décalotter ma bite et la nettoyer, lorsque soudain, contre toute attente, la petite me saisit le vit timidement et fait coulisser le prépuce pour libérer le gland. Elle me prend la douche des mains, et presque maternellement me rince le gland. Elle prend du savon sur mon ventre et frictionne ma tige de bas en haut. Je ne sais pas si elle sait qu’elle est carrément en train de me branler, mais en tout cas, l’effet ne se fait pas attendre. Voilà ma verge qui devient dure comme un bâton et qui pointe en direction de son visage.

Mon désir pour elle augmente encore et je la repousse gentiment. Une sorte de timidité m’envahit, et je me sens soudain un peu mal à l’aise dans cette situation. Elle, elle reste là, à trente centimètre de mon sexe tendu, la douche à la main, ne sachant que faire, fixant mon organe d’un œil intéressé.

– C’est plus petit que le truc à mon père, mais ça a l’air plus dur aussi, fait-elle d’une voix sérieuse en palpant ma bite de manière médicale.

Ses petits doigts qui me tâtonnent me font frissonner.

– Tu as déjà touché le sexe d’un homme auparavant ?

– D’un homme non, mais des garçons quelques fois, déjà.

– Toujours avec violence, comme tout à l’heure ? fais-je perfidement.

Elle rougit et baisse les yeux.

– Non, des fois je les touche jusqu’à ce que le jus sorte.

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– Et les garçons, ils te touchent eux aussi ?

– Oui, mais ça me fait rien. Ils touchent ma poitrine, mettent leur main dans ma culotte, mais je ne ressens rien. Cela me fait presque mal parfois, quand ils essayent de mettre un doigt dans ma zézette.

– Jamais personne ne t’a caressée avec douceur, avec tendresse ?

– Non jamais. Si je veux des caresses, je dois me les faire moi-même. Je n’ai besoin de personne pour ça, ajoute-t-elle avec de la détermination dans la voix.

– Tes parents ne t’ont jamais fait de câlins ?

– Jamais, ni ma mère ni mon père. Ils ont toujours été trop occupés à s’engueuler et à se disputer.

– Et alors, tu te caresses comment ?

– Ben je passe d’abord longtemps mes mains sur mon corps, et ensuite sur mes seins. Je pince les bouts qui deviennent durs, et comme ça me fait des sensations dans le ventre, je me caresse ensuite entre les cuisses jusqu’à ce que je ressente un grand frisson et beaucoup de bien.

– Et tout à l’heure, dans la cave, tu allais ressentir la même chose ?

– Encore plus fort, car c’est toi qui me touchait, finit-t-elle en adoptant le tutoiement. C’est dommage que tu ne m’as pas laissé aller jusqu’au bout.... J’étais vraiment pas bien après, tu sais ? J’en ai même encore maintenant des contractions dans le ventre.

Eh bien voilà qui est clair, au moins. Malgré ma perversité à son égard, elle a ressenti du plaisir, uniquement parce que c’était un adulte qui la touchait.

Pendant notre petite conversation, mon sexe s’est ramolli. Elle est toujours là, debout devant moi, la douche à la main. La buée commence à envahir sérieusement la cabine de douche, et nous décidons de sortir. Comme ses habits ne sont pas encore propres, je l’enroule dans un grand drap de bain. De mon côté, je passe mon peignoir et nous nous installons au salon.

Je la regarde avec compassion. Pauvre petite fille en recherche d’affection, qui confond la tendresse avec le sexe. J’ai maintenant envie de la prendre dans mes bras et de lui donner toute l’affection que je peux, en lui prodiguant des caresses et des câlins. Elle s’est installée sur le sofa et a remonté se genoux contre sa poitrine. Le drap de bain qui la recouvre ne cache plus grand-chose de son entre jambe et me laisse voir sa jolie vulve, ainsi que le mignon sillon qui sépare ses fesses. Cette vision réveille à nouveau en moi quelques idées lubriques, et je sens entre mes jambes mon membre qui recommence à se manifester.

– Et maintenant, tu m’en veux ? questionnais-je avec un peu d’appréhension

– Un peu, car ça me brûle encore au petit trou de derrière, fait-elle avec un pauvre sourire.

– Attends, j’ai quelque chose pour ça. Tu veux bien que je te mette un peu de crème calmante ?

– Oui, je veux bien, si ça peut calmer ma douleur, répond-elle, mais je me sens un peu gênée de te montrer mon petit trou.

– Tu sais, avec ce qui s’est passé entre nous, maintenant je crois qu’il n’y a plus de gêne à avoir, lui fais-je dans un sourire.

Elle me sourit également.

– C’est vrai, tu as raison. Que faut-il que je fasse ?

– Tu enlèves le drap de bain et tu te mets à genou sur le sofa, et tu écartes bien tes fesses avec tes mains. Je vais chercher l’onguent.

Je prends dans ma salle de bain une crème apaisante et retourne au salon. La vision qui m’est offerte est magnifique. Elle a fait exactement ce que je lui ai dit et pris la pose demandée. Il se dégage de

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cette scène un érotisme torride, et je frissonne de désir en voyant ce jeune corps offert, exposant sans pudeur toute son intimité. Ses fesses sont totalement écartées, et je peux voir qu’effectivement, son anus est rouge et irrité. Sa vulve également est bien visible, et je peux en admirer la beauté juvénile.

Je m’installe derrière elle sur le sofa, et enduisant mon doigt de crème, je commence à en enduire doucement le pourtour de sa rosette. Au bout de deux minutes, je questionne :

– Ça va ? Je ne te fais pas trop mal ?

– Oh non, ça me fait beaucoup de bien.

Et ce disant, elle écarte encore plus ses fesses. Son petit trou s’élargit comme une invite, et m’enduisant généreusement l’index de crème, je le fais pénétrer doucement à l’intérieur, en accomplissant quelques mouvements circulaires, comme pour bien faire pénétrer la crème. Je pousse alors mon doigt plus en avant et ne sent aucune résistance. Son anus est bien assez large pour laisser passer mon index, et je sens même qu’elle pousse son postérieur contre moi, comme pour mieux s’empaler.

Je regarde son petit con et remarque qu’il s’est entrouvert également. J’en déduis qu’elle est excitée, d’autant plus que j’entends sa respiration s’accélérer à chaque mouvement que je fais dans son cul.

De mon côté, bien sûr, ma queue s’est tendue et tente de sortir entre les pans de mon peignoir. Mon excitation s’est accrue, et je me prends à imaginer que je remplace mon doigt par mon zob et que cette fois, je l’encule avec beaucoup d’égards et du plus de tendresse dont je suis capable.

Je décide alors de lui rendre cet orgasme que je lui ai donné. Tout en maintenant mon intrusion dans son fondement, de mon autre main, je lui caresse doucement les grandes lèvres. Je les écarte un peu et passe un doigt dans son sillon labial. Bien que très serrée, sa petite chatte dégouline de cyprine. Elle soupire d’aise, et je sens que de longs frissons parcourent son corps.

Je retire alors mon doigt de son cul. Elle a un petit sursaut d’étonnement, et me regarde avec interrogation. Elle pense certainement que je vais l’empêcher de jouir, comme tout à l’heure.

– Ne t’inquiète pas, je vais te faire encore plus de bien, lui fais-je comme si j’avais compris sa question muette. Mets-toi sur le dos, et écarte bien les jambes.

Je me penche sur elle, et commence à lui embrasser l’intérieur des cuisses, tout en continuant mes caresses sur son petit abricot. Elle pousse son bassin en avant, pour venir à ma rencontre, et comprenant son invite, je pose mes lèvres sur ce fruit défendu. Quel délice ! Son jus est épicé, suave et odorant en même temps. Je m’en délecte avec bonheur, passant et repassant ma langue à l’orée de son utérus.

Les mouvements de son corps dénotent une excitation extrême, et je choisi ce moment pour atteindre son clitoris. Ce dernier pointe hors de son capuchon, et je sens sa dureté sur mes lèvres. Il est petit, comme toute gamine de cet âge, mais terriblement dur. J’accomplis quelques mouvements circulaire de ma langue, le faisant rouler dans tous les sens, sans manque d’accélérer progressivement.

Bien entendu, le résultat ne se fait pas attendre, et dans une contraction violente de son corps, elle hurle son orgasme. Ce dernier la dévaste totalement et la laisse pantelante sur le sofa. Je la regarde avec un sentiment mitigé. Maintenant qu’elle a joui et qu’elle est apaisée, elle paraît vraiment très jeune. D’un côté, si j’en crois ma bite en totale érection, je ressens énormément de désir et d’un autre, quand je regarde ce joli petit corps encore agité de frissons, je ressens l’envie de la protéger, de la chérir et de la cajoler.

Elle reprend ses esprits peu à peu et ouvre les yeux. Elle merveilleusement impudique, les jambes écartées, couchée devant moi. Ses tétons sont encore durs, et son petit minou est toujours ouvert, dégoulinant de sa lubrification. Ma queue, plus dure que jamais, pointe entre les pans de mon

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peignoir. Je n’en peux plus de désir. Je me redresse à genou entre ses jambes, mon engin pointant en direction de sa chatte. Je m’empoigne, et je commence une lente masturbation tout en me rapprochant de sa minette. Mon gland est totalement décalotté, et je viens le frotter tout doucement entre ses lèvres. Son petit con est brûlant et mouillé à souhait. Mon bout turgescent glisse sans difficulté dans son sillon labial, et je me frotte avec délectation.

Mon excitation monte encore d’un cran, et je ne suis pas loin de lâcher tout mon jus, alors je ralentis mes mouvements, restant presque immobile contre son vagin. Je me retiens avec force de ne pas éjaculer, là, tout de suite, tellement la situation est érotique. Elle regarde avec attention, une petite lueur de crainte dans les yeux, de peur peut-être d’une pénétration. J’ai très envie de le faire, mais je ne voudrais plus la faire souffrir. Ma compassion est plus forte que mon désir, et positionnant ma queue sur son ventre, je prends appui sur mes bras et m’allonge sur elle.

La chaleur de ce petit corps me fait fondre et je lui embrasse les seins, les épaules, le cou. Ma bouche atteint la sienne, et nos lèvres se soudent dans un long baiser. Ma langue s’insinue entre ses lèvres et la sienne ne tarde pas à la rejoindre pour un ballet effréné.

Notre baiser est torride, et malgré moi, mon bassin s’agite et je frotte ma bite sur son ventre, dans des mouvements copulatoires dictés par l’instinct de reproduction. Je suis comme un animal en rut, et je ne contrôle plus du tout mon excitation. Mes mains parcourent son corps frénétiquement, s’attardant parfois sur ses petits mamelons, caressant ses hanches, ou explorant ses cuisses. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps avant que l’envie de pénétration me pousse à m’introduire de force dans son petit con.

Je relève la tête et la regarde dans les yeux.

– Tu me rends fou de désir, lui fais-je en ponctuant mon aveu d’une pression de ma queue sur son ventre.

– Alors mets ton truc dans moi, puisque c’est ce que tu as envie.

– Toi tu en as envie ?

– Je ne sais pas, lâche-t-elle avec un air préoccupé.

– Alors, on va faire autrement, car je ne veux pas te forcer à perdre la pureté de ton petit vagin.

– Et c’est quoi, autrement ? demande-t-elle d’une voix mutine.

– Et bien, je vais me coucher sur le sofa, et toi tu vas venir sur moi, tête-bêche. Tu vas me donner du plaisir avec ta bouche et tes mains, et moi je t’en donnerai avec ma langue.

Chose dite, chose faite. Je me retrouve avec son petit con à hauteur de ma bouche, ses jolies fesses écartées me laissant admirer et humer son petit trou du cul. Je promène ma langue de haut en bas, suivant sa fente, m’attardant sur son clito. Elle mouille à nouveau abondamment, et je déguste avec voracité son jus de gamine. De son côté, elle manipule ma bite maladroitement des deux mains, et donne de petits coup de langue le long de ma tige.

– Prends-la dans la bouche, et suce-la, suppliais-je

– Mais comment on fait ?

– Tu introduis le bout dans ta bouche, et tu suces comme tu le ferais avec une crème glacée. Tu passes ta langue autour, en faisant bien attention de ne pas me blesser avec tes dents. Et avec tes mains, tu fais des mouvements de haut en bas.

De lui expliquer ça, je ne suis pas loin de jouir. Ma bite est tendue au maximum et je sens ses petites mains qui m’empoignent maladroitement. Je pousse du bassin, et voilà que je pénètre sa bouche. Des contractions envahissent mon bas ventre et je sens la sève monter. De mon côté, ma langue a repris son ballet sur son clitoris, alors que du pouce, je lui caresse sa rosette. Les mouvements de

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mon bassin deviennent incontrôlables, et je manque de lui mordre son petit bouton lorsque je me répands dans sa bouche à longs jets. À ce moment, elle écrase sa chatte contre mon visage en se frottant frénétiquement, et aux contractions de son anus devant mes yeux, je comprends qu’elle jouit aussi.

Nos orgasmes étaient foudroyants, et nous restons de longues minutes sans bouger, tentant tous deux de reprendre notre souffle. Au bout d’un moment, elle se retourne, et reste allongée sur moi. Je sens ses lèvres chercher ma bouche, et un long baiser langoureux qui n’en finit pas nous unit. Son haleine sent très fort le sperme qu’elle a avalé comme une grande. Ma bite, encore un peu dure, est enserrée entre ses cuisses, contre sa vulve, bien au chaud. Nous restons ainsi de longs instants, savourant la détente caractéristique après l’amour.

– Au fait, comment t’appelles-tu ? que je lui chuchote dans l’oreille.

– Marine, et toi ?

– Patrick.

Et sans savoir pourquoi, j’ajoute :

– Je t’aime, Marine.

– Moi aussi, Patrick

Elle me serre de ses bras, et pose sa tête sur mon torse, et c’est dans cette position que nous nous endormons.

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