La revanche des Bâtards

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La revanche des Btards

"Malheur au sicle, tmoin passif d'une lutte hroque, qui croirait qu'on peut sans pril, comme sans pntration de l'avenir, laisser immoler une nation! Cette faute, ou plutt ce crime, serait tt ou tard suivi du plus rude chtiment." Relation du voyage de la commission scientifique de More dans le Ploponnse, les Cyclades et l'Attique Prface Quand la cause est diabolique, tous les efforts le sont aussi. Donner plus de la mme chose, n'amliorera rien, seul le petit peuple est capable de mettre fin ce carnage, qui n'a que trop dur. Beaucoup, ne liront pas ce que j'cris, car je donne, et ce qui est donn n'a aucune valeur dans notre monde. C'est bien qu'il en soit ainsi et c'est la raison, pour laquelle j'ai crit un livre qui ne sera jamais termin, ni publi, ni vendu, mais donn. Celui qui est incapable de distinguer l'attracteur mouches du reste, celui qui est incapable de se dtacher de la forme pour apercevoir le fond, disparatra bientt. Je ne suis qu'un inculte, sans ducation, sans prtention ni aucune lettre de noblesse, qui mprise le mensonge, la haine, la violence, la guerre, la domination et l'hypocrisie. Je suis une tte de cochon et d'une intolrance maladive aux compromis d'apparence.

Quand j'ai compris qu'il y avait deux ducations, deux lois, deux savoirs et deux classes d'individus qui peuplent la plante, j'ai aussi compris quelle classe j'appartenais. Je n'ai aucun tabou, ni d'hsitation aborder des sujets comme science, Dieu, divin ou religion, ni plus qu' critiquer ce monde de pseudo connoisseurs et de spcialistes qui nous dirige. Ai-je un seul doute sur la validit de ce que j'cris ? Aucun ! cette lecture, vous aurez choisir selon votre conscience.

Introduction Batard, batard! Vulguaire : Personne quelconque, le commun des mortels, la masse. Dans mon livre Bouleversements climatiques de lAtlantide au vingtime sicle je dcrivais le chaos de socit venir, celui dans lequel nous sommes, travers le rtablissement dune trs ancienne histoire trs diffrente de celle que nous connaissons. Le 22 dcembre 2007, je rendais public mon article Jaccuse http://www.incapabledesetaire.com/edito3/aaaccuse.htm

Dans lequel, je dcrivais que lhistoire, ainsi que la gographie avaient t manifestement trafiques. La dernire partie de larticle : Le diable est dans les dtails donnait la description dune histoire ancienne diffrente, base sur les anciennes cartes marine et les dcouvertes du Nouveau Monde . Dans lensemble, ces textes couvrent lancienne histoire dune faon passablement prcise jusquau dluge il y a 5000 ans, et dune faon moins prcise dans la priode qui stend jusqu nous. Ce texte vise corriger ces erreurs, en plus dajouter une prcision ingale dans le dernier 5000 ans, redessinant notre perception de lhistoire et notre conception du mot mensonge. Quand jai compris que lor et les richesses taient bien peu de choses en gard du savoir, je croyais avoir saisi la motivation derrire un mcanisme qui sappropriait le savoir au fil du temps, pour dominer le reste du peuple. Puisquils enfournaient tout par la force, rien nexpliquait le manirisme pris lgard du peuple. Non seulement il y avait une couleuvre senfiler, mais il fallait se la faire volontairement. Des agissements au fil du temps, qui ntait pas sans rappeler celle du chasseur qui ne dsire surtout pas veiller les sens de la proie somnolente.

Ce manirisme suggrait une peur viscrale, celle que quelque chose soit dcouvert, ou ne sveille avant le temps, qui bouleverserait incontestablement lissue dun plan dessin exclusivement pour pallier cette ventualit. Lenrlement des ides engageait la loyaut lgard du systme, de la compagnie, de la secte, de la religion, de largent, de la performance, de limage, le parc humain ne contenait plus que des moutons et des lions, mais tous ayant lapparence de moutons... le rve de tout lion. Pourquoi fallait-il ncessairement que dans ce grand plan machiavlique, lhomme demeure identifi comme le principal orchestrateur de ses propres malheurs alors que les maux ne sont que luvre de certains ? Un trou idologique qui prenait manifestement lapparence du grand frre mal intentionn, posant des gestes hypocrites lgard dun plus jeune, pour soulever lire paternelle. Dans mon article sur lnergie libre, je dcrivais le concept amourrsistance , lorigine de cette grande thorie de lunivers appel Dieu. Aucun mysticisme. Une thorie de la science philosophique, une poque o les mots Dieu et religion ne soulevaient pas de tabous. Conservons-en simplement, que la plante, juge inutile pour un agriculteur, sera arrache, et quune autre, juge utile, sera au contraire fertilise par le fermier. Un exemple qui na rien voir avec la dcision humaine, puisque de telles symbioses existent partout dans la nature. La croise thrique dans laquelle nous sommes, est aussi le moment ou sengage ce choix, une direction volutive qui affecte tout. Amour ou rsistance dans laltruisme, engageront une destine qui sera supporte par Dieu et ses grandes lois immuables dune faon imparable. Poursuivre ce plan, impliquait donc quil soit ralis avec lassentiment de la plus grande populace possible, certains moments prcis du calendrier concidant avec ces fameuses croises clestes, au risque de voir se soulever une remise en question populaire de lordre tabli, qui naurait de cesse. Il fallait donc tout prix assurer lharmonie et le consensus mme factice, en vitant la contestation durant ces priodes, signe que notre engagement tait lamour, lire alignement des ides, un dessein qui sera aussi support par leffort divin. Ne pas avoir de rsistance est pour eux, un impratif. Pour y arriver, ils ont d tronquer lhistoire aux glorieux Romains en plus de nous laisser quune vague ide de tout ce qui sest produit avant le 17e sicle. Pour y arriver, ils ont d faire disparatre des pans entiers dhistoires et de calendrier, raccordant comme au cinoche, les diffrents bouts entre eux. Pour y arriver, ils ont d faire disparatre de la population une valeur chre aux anciens, celle dun arbre gnalogique qui identifie les anctres depuis lorigine de lhomme.

Pour y arriver, ils ont du livrer une guerre constante au savoir et aux cultes populaires comme ils lont fait en Allemagne ou au Vietnam ou en Irak ou en Core ou au Chili ou en Isral. Pour y arriver, ils ont d gorger des millions de personnes, hommes, femmes et enfants, rasant au sol des rgions entires avant de contraindre la population lesclavage, non sans avoir oubli de prendre ses richesses au passage. Pour y arriver, ils ont du dtruire et censurer des milliers de livres rvlant des bribes de savoir, ce savoir si prcieux qui permettrait de comprendre. Pour y arriver, ils ont d duquer ceux qui restaient, que tout ce qui venait avant, ntait que balivernes et imbcillits, instaurant du coup l'obscurantisme. Mais son origine remonte au premier jour o des hommes instruits voulurent assurer leurs connaissances, un caractre surnaturel et un prix incommunicable, pour paratre eux-mmes suprieurs lhumanit, et dominer sur les restes des mortels. Quels furent, sur lesprit humain, en gnral, et dabord sur la science elle-mme et sur les hommes qui la cultivaient, les effets de ces habitudes jalouses, et si contraires la philosophie librale qui se fait aujourd'hui un noble devoir du soin de rpandre les lumires ? Cette disposition gnrale dut surtout sappliquer ltude des sciences occultes : on ne cherchait que des moyens de produire des merveilles et tout ce qui ne devait pas y conduire semblait peu digne dattention. Dune telle mthode, il ne peut que rsulter des connaissances partielles, interrompues par de vastes et importantes lacunes et non pas une science dont toutes les parties enchanes entre elles se rappellent mutuellement, en sorte que la connexit de lensemble prserve les dtails de tomber dans loubli. Chaque secret, chaque connaissance pouvait se perdre isolment et lhabitude du mystre rendait chaque jour le danger plus probable. Ceux qui douteraient de notre assertion peuvent la vrifier sur des faits modernes Histoire des sciences occultes

Les anciens tournaient toutes les sciences du ct de lutilit. Tout ce qui ntait pas intressant pour les arts, pour la socit tait nglig. Ils rapportaient tout lhomme moral et ne croyaient pas que les choses qui navaient point dusage fussent dignes de loccuper. Discours sur la manire de traiter lhistoire naturelle - uvres de Buffon. Un livre a t publi, il y a moins de 200 ans, pour tablir que lon doit crire en latin et non pas en franais les ouvrages savants, parce qu'on a produit de grands maux en communiquant au peuple les

secrets des sciences Belot. Apologie de la langue latine, etc. 1637 Pour y arriver, ils ont d effacer notre histoire parce que si nous avions su ce quils ont fait, jamais nous ne consentirions lever le regard sur ces animaux. La surface habitable de la plante tant un paramtre trs variable qui passait de tout pratiquement rien de faon soudaine, la slection des lus, destins la nouvelle terre daccueil, devenait chaque fois un casse-tte sanglant. Avec la perte de lhistoire, disparaissait le savoir populaire concernant le dplacement des portes dHercules. Sous divers prtextes, la rduction de population pouvait maintenant tre planifie sur de longues annes prcdant les changements, cachant au regard les causes vritables, pour assurer une place privilgie celui qui savait. Cette stratgie ouvrait la porte une opportunit en or, qui stendait sur les quelques sicles prcdant les vnements dramatiques de fin dpoque. Laccroissement dmesur de la population, permettait la mise en place dune socit industrielle dveloppement limite dans le temps et qui demeurerait sous domination directe par tous les moyens possible, sans jamais franchir certaines tapes du dveloppement intellectuel, prmisse indispensable susciter un saut de paradigme rput assassin. Histoire efface

Si ce nest pas une surprise de constater que lEmporium romain a cach ce qui venait avant eux, a lest de constater la masse dhistoire gigantesque quils ont pu cacher sous ce joug de la censure. Rass, mdecin arabe, non seulement il dposa, comme un gage, une quantit considrable de vaisselle, niais encore, il fui oblig de nommer un seigneur pour lui servir de caution dans l'acte par lequel il s'engageait rendre ses livres la Facult. Dans le XIe. Sicle, on inventa le papier dont tout le monde se sert aujourd'hui, et cette nouvelle invention, en augmentant le nombre des manuscrits, facilita singulirement l'tude des sciences. Plusieurs sicles avant l'intention de l'imprimerie, diffrents gouvernements avaient dfendu les manuscrits et les avaient fait livrer aux flammes. Cela est arriv souvent chez les Grecs et les Romains. Athnes les ouvrages de Protagoras furent prohibs et tous les exemplaires que l'on en put dcouvrir furent brls par le crieur public. Rome, le snat fit brler les livres de Numa trouvs dans son tombeau, parce qu'ils taient en opposition avec la religion de l'tat. Goname le peuple de Rome tait extrmement superstitieux et que les livres des astrologues l'entretenaient dans cette disposition, le snat fit souvent supprimer ces ouvrages par le prteur. L'empereur Auguste fit brler tout la fois plus de vingt mille exemplaires de ces ouvrages des astrologues. Il avait commenc par le livre du satirique Labienus : ce fut le premier ouvrage condamn au feu et Auguste fit une loi contre les livres de ce genre. Sous Tibre, le snat condamna aux flammes l'ouvrage de l'historien Crtius. Antiochus piphane fit brler les livres des juifs et dans les premiers sicles de l're chrtienne, les livres des chrtiens furent traites de la mme manire. Kusbe nous apprend que Diocttien fit brler la Bible. Aprs que la religion chrtienne fut tablie, le clerg exera contre les livres qui ne s'accordaient pas avec les dogmes reus le mme genre de proscription. Ainsi, les livres d'Anus furent condamns au feu, et Constantin menaa de mort ceux qui en recleraient. Le concile d'phse obtint de lEmpereur Thodose II que les livres de Nestorius fussent brls et chaque sicle vit renouveler la mme perscution. Nouveau dictionnaire des origines, inventions et dcouvertes Lhistoire de lhomme civilis sur la plante dbute, il y a plus ou moins 350,000 ans. Cest partir de ce moment que slve la communaut et quil dlaisse pour la premire fois la caverne et la massue, pour prendre conscience de lui-mme et de ce qui lentoure. Ces hommes furent dits de la gnration Pr-Adamique , mais cette expression nest pas exacte. Il faudrait dire gnrations pr adamiques, puisquelles furent lgions.

Bien que le lecteur intress puisse faire le tour de cette tranche dhistoire disparue dans mon livre, il est bon d'ajouter que le dernier chapitre de ces gnrations pr adamiques en fut aussi le plus clbre, lAtlantide ou Atlantis, qui fut dtruite par un cataclysme il y a 12,000 ans. LAtlantide tait la nomination du continent amricain. Elle a contenu une civilisation, qui a possd jusqu 300 millions dhabitants et un dveloppement similaire au ntre. Socit inhumaine, dominatrice et guerrire, ces raisons furent souvent avances, comme celles ayant conduit son jugement de destruction divine. Suivant la destruction de lAtlantide, la plante fut longtemps inhabitable. Quelques groupes survivaient ici et l sur les hauts plateaux, donnant naissance des communauts nouvelles. Les bassins de population rduits, facilitrent la reproduction de caractristiques biologiques et dhabitudes de vies singulires. Les humains prirent des voies diffrentes et changrent. Certains groupes dgnrrent. Cest cette poque que notre mythologie et la ralit se confondent le plus. Des gants, des nains, des anthropophages, certains hommes prirent une couleur de peau diffrente ou dveloppaient des habitudes de vies honnies des leurs. Les anciens suggraient que les dauphins ou les gorilles, seraient de ces humains qui ont dgnr au cours de cette priode. Suivant les changements de la Terre, la chaleur et la scheresse qui sensuivit devinrent globales. La pluie cessa pendant de longues dcennies, pendant que le niveau des nappes phratiques senfonait de plus en plus, comme c'est le cas prsentement, jusqu faire disparatre la majorit des sources deau de la plante pour nen laisser que quelques-unes, sur une terre qui fut appel par la suite le Paradis terrestre

Histoire de la gnration adamique.

La gnration adamique dmarra il y a 7000 ans sur le toit du monde, les terres rouges. lpoque o la patrie mre de lhumanit vit nos anctres tous pour la premire fois, la terre ntait quune crote de terre sche, incapable de supporter la vie terrestre lexception dun territoire minuscule du ple entour de gigantesques montagnes infranchissables, lle dEllesmere, qui fut appel dans de nombreuses civilisations, le Paradis Terrestre. Deux individus, Adam et ve, furent les originaux. Adamique ou pr adamique ntait pas une rfrence une gnration prcdente, mais un concept idologique duqu, rfrant une volution plus ancienne, donc sousdveloppe. Une vision comparable lide moderne que nous possdons sur les nandertaliens. La notion adamique faisait rfrence une civilisation qui stait hisse dans lchelle de lhumanit, tout en relguant le pr adamique dans une chelle de classement qui variait de la divinit au dmon inhumain selon son anciennet. Une architecture sociale catgorisant dans la colonne diabolique sous le coup dun svre interdit, les ralisations prodigieuses de la socit pr adamique, dont les reliques fantomatiques dun autre ge jonchaient le sol de la plante, autorisant tous les excs. Une socit agraire dhommes, semblables nous, au savoir trs dvelopp en dpit de cette enfance de socit et refusant en toute connaissance de cause, une direction de socit technologique.

Bord du ct de lEurope par la mer Arctique, lhomme de lpoque, incapable de naviguer, se dveloppa l o la terre le poussait. Il colonisa ainsi les terres environnantes adjacentes son territoire, envers le Grand Nord canadien. La race adamique vcut de cette faon durant prs de 1000 ans, alors que Dieu tait ce moment sous le sol du Paradis Terrestre. Kolbrin. Un troupeau humain, muni dun vritable petit manuel dimplantation du parfait colon au Paradis terrestre. Brochette de loi de vie simple tablie dun point de vue connaisseur, qui offrait un cadre de vie articul autour dun dveloppement humain et qui, du mme jet offrait un rempart naturel contre larbre de la science et du savoir. Le ddale de la science et du savoir. Laccession au savoir qui ntait pas matrise par la socit, engageait une spirale incessante, qui grenait toujours les mmes tapes et menait toujours au mme endroit. Lhomme se lanait dans une conqute du savoir dbride, dont lissue tait toujours la mme, puisque le savoir finissait toujours par devenir lobjet de sa propre puissance, chappant au passage le fameux un pour tous , pour ne laisser que le Tous pour un . Du luxe et de l'opulence des riches, survient la loi de l'Airain. La loi d'airain de l'oligarchie, est un concept utilis en sociologie pour qualifier la tendance de toute organisation scrter une lite oligarchique. C'est notamment le cas au sein des partis politiques. En politique, c'est aussi la division entre une minorit dirigeante et une majorit dirige. L'organisation est la source d'o

nat la domination des lus sur les lecteurs, des mandataires sur les mandants, des dlgus sur ceux qui les dlguent. Toute organisation engendre des relations de domination. Des processus de diffrenciation interne et de division du travail se mettent en uvre, et mesure que l'organisation partisane se dveloppe, on voit merger une bureaucratie peuple par des dirigeants professionnels. Ceux-ci vont s'appuyer sur la matrise des ressources collectives dgages par l'organisation et vont dvelopper des savoirs faire qui leur permet de recueillir des mandats et des responsabilits. Ils deviennent presque des chefs inamovibles. Cela signifie que l'organisation cre des dirigeants, qui deviennent indpendants des masses et coups de leur contrle. C'est un processus de captation du pouvoir. Qui dit organisation, dit oligarchie. Si largent et lor faisaient fonctionner le royaume aujourdhui, le savoir en assurait la prennit. Un jour ou lautre, il finissait ncessairement par y avoir un petit malin qui comprenait que son pouvoir, son luxe et celui de sa descendance, ne tenaient qu' une quation simple dans laquelle il ne suffisait que de multiplier le nombre de sujets par la quantit de ressource quil pouvait leurs subtiliser sans rvolte tout en sassurant une position imprenable. Le maximum de plumes, avec le minimum de cris. Lexploitation caractrise dmarrait. Inluctablement, lexploit et lexploitant se polariseraient et deviendraient rapidement des animaux diffrents. Lorsque le gnie demanda au lion quel serait son premier souhait, il rpondit quil dsirait que tous les sujets de son royaume soient transforms en gnisse. La protection et le respect de la loi, furent remis aux Adams, qui le firent plutt religieusement , tablissant une relation de domination sur les ve. Les ve trahirent la loi divine et entranrent lhomme dans leurs sillages, occasionnant le pch originel, ce qui eut pour effet dexpulser Dieu du soussol de la terre quils occupaient.

Prtexte social, lendroit, lpoque, une technologie adapte, un comportement inadapt, une allgorie? Quoiquil en soit, en quittant il changeait la donne. Il fut dit que Dieu ntait pas satisfait de sa cration et quil raya lhumanit de la surface de la Terre, pour ne laisser comme tant de fois dans lhistoire, quun endroit rduit possdant un environnement viable, dou lhumanit pouvait reprendre pied. Survient alors un homme dot dinspiration divine qui, une poque o lhomme ne possde pas la connaissance de la navigation, reoit lensemble du savoir concernant les grands cycles, en plus dun plan de montage dcrivant la construction dun navire qui ne sappelle pas navire, mais Arche , avec son bord tout le grement du colonisateur, No. Une puissante redoute, faisant office de pont darche au moment du passage dun monde lautre. Un vhicule qui servirait faciliter le passage dune petite portion de lhumanit en direction d'un Nouveau Monde durant cette priode de grandes perturbations, une priode similaire celles que nous vivons actuellement. Solidement lu dira ton, au vu de la masse gigantesque dinformations que lindividu reoit. On ne peut qutre surpris dune telle capacit humaine, si on estime le niveau de civilisation prsum de ce peuple celui prtendu par la socit moderne. Dautre part, LArche tait une construction imposante et on ne peut qutre tonn de la richesse dun No, qui possde manifestement beaucoup de moyens pour entreprendre une telle ralisation.

Le faire, une poque o la navigation nexistait pas, sans aucune intelligence du sujet, relve du pur dlire. Va pour linvention du rasoir 5 lames, mais la lecture de ces textes, on ne peut sempcher davoir limpression incongrue de le retrouver dans les mmes couches gologiques que le silex bifaces. Les fameuses rvlations divines conduisant la ralisation de lArche, se firent en rponse au pch originel, celui pour lequel Adam et ve mangrent du fruit de larbre du savoir et furent expulss du Paradis Terrestre. LArbre du savoir auquel ve et Adam puisrent, tait une rfrence au savoir pr adamique. Ce principe qui na pas t contest alors, ni contest depuis, le dpart de Dieu navait srement pas frein cette ardente qute du savoir.

Seulement voil que le combat de David survenu plusieurs gnrations plus tard, et la carte de Hereford, nous enseigne que les gants ont survcu bien aprs le dluge de No. La gnration pr adamique ne sest pas termine avec le dluge, ni plus quavec lhistoire fabuleuse du combat de David contre Goliath. Dot dune stature, dune puissance physique et dune dure de vie bien audel de lhomme moderne, dot de la puissance formidable hrite de la science de leurs anctres, il y a fort parier quils ne sont pas trangers la cration de la gnration adamique et certaines rectifications de notre socit de lancienne histoire.

De plus, le raffinement dun tel plan et lintelligence qua ncessite la mise en place dun chafaudage aussi vaste enjambant les ges, laisse un doute quant sa possible provenance dune forme de vie, dure aussi limite que la ntre. Bien quon veuille voir cet endroit une fracture dans le temps, elle apparat sous cet angle beaucoup plus comme un chevauchement. Et cest de ce chevauchement que No apparat en relation divine. Le dluge biblique fut appel dluge pour signifier lextraordinaire singularit dun tel vnement. Si des auteurs modernes et beaucoup de scientifiques de salon, appliquent ceci ltiquette facile de mythe lgard de lexprience des 300 dernires annes et sil est facile den rduire la porte un village ctier dtruit par les quelques vagues dun tsunami ppre ayant fait des grosses peurs, rien nest plus faux. Bien quil faille tenir compte dune glaciologie diffrente et plus importante que celle daujourdhui redisposant les terres arabes en quantit rduite, le rsultat fut simplement une abomination, hors de proportion avec ce que lhomme moderne est en mesure dimaginer. La mer couvrit soudainement lensemble des terres habitables, au-del des plus hautes montagnes, laissant la plante dans un tat de dlabrement total. Nous devons ncessairement prsumer d'une certaine limite dans lvaluation de ces gens. Parler de la plante comme terrain de comparaison une poque aussi lointaine serait peu raliste. Il faut donc raisonnablement rduire leurs univers aux terres habitables et aux chanes de montagnes environnantes, quelques milliers de kilomtres carrs daprs les cartes de la Terre Sainte. Les montagnes prenaient aux yeux de ces gens une importance infiniment suprieure celle que nous possdons. Le recul des glaciers et la bascule des plaques tectoniques modifiaient sans cesse le cheminement et les caractristiques des cours deau, rendant impossible le reprage maritime au long terme sur ces seuls attributs. Au regard dun marin sur la mer, chaque crique et chaque bras de mer sont susceptibles dtre une embouchure de rivire, quil faut visiter pour en tablir la rfrence. Il ny avait quune seule vraie rfrence qui ne changeait jamais de place dans la navigation vue, la montagne. Avant mme linvention du parchemin et du papier, les navigateurs commerciaux eurent besoin de cartes, permettant de mmoriser la forme de la cte. Cest ces fins qutaient utiliss les objets cartographiques sous forme de dits, reprsentant le territoire de la nation, dans laquelle la dcoupe du personnage et sa position, refltaient le dessin de la cte et les limites de la royaut. Comprendre ensuite quils pouvaient sappuyer sur le soleil et une infinit de formations dtoiles pour aller dans la bonne direction et atteindre ladite cte, ntait plus quune formalit. Le soleil, la multiplicit des toiles dans le ciel et linfinit des appuis quelles offraient, permettait tout bon navigateur darriver dans la bonne rgion. Les objets cartographiques et les montagnes faisaient le reste du travail. Mais les montagnes taient importantes pour plusieurs raisons. Le danger constant quencourraient les cits antiques dtre attaques, prtait au

plateau ou au sommet de montagne, une position facile dfendre et quasi imprenable. La vaste majorit des montagnes utilises taient tronques et amnages en cits, qui servaient de plus de rserve alimentaire et de dernier refuge en cas dattaque pour la communaut dpendante qui se dveloppait en dessous. Dune part, la pression atmosphrique leve de la plante rduisait les carts entre des rgions au climat tropical et celles au climat glaciaire, rtrcissant dautant les endroits susceptibles de porter la vie. Trs tt, ils apprirent tirer parti de la fracheur apporte par les montagnes de la plaine pour construire leurs refuges. Ils pouvaient ainsi profiter deau frache et de glace en tout temps de lanne. Mais encore, la recherche dun lien dillumination divin, considr comme un trsor incomparable, tait une constante proccupation. Cette capacit dinduction tant en relation directe avec la prsence dun ther pur que le sommet des montagnes favorisait nettement par langle dincidence solaire, prcdant le lever de soleil et la temprature plus frache. Lermitage, cette retraite au sommet dune montagne, visait profiter de cette mme induction durant des priodes ou les cits cessaient dexister. De tout temps et encore lpoque moderne, les descendants de la noblesse europenne qui sinstallrent en Amrique, se rservaient tous les sommets en retrait des villes, ou ils se construisaient de vritables refuges. Alors quon ne retrouve rien de notre ancienne histoire au-del de quelques millnaires, il existe nanmoins quelques artefacts impeccables, qui nous en sont parvenus. Des artefacts toujours enlumins dune aura religieuse et attirant beaucoup dengouement, qui se distinguent par leurs trs grandes conformits lancienne histoire. Une conformit quasi magique, tout fait impossible. Ainsi, si l'on considre que les rseaux de montagnes apparaissant sur les anciennes cartes de la Terre Sainte devront tre reprsents avec beaucoup de dtail et de prcision ; que les ctes et le rseau hydrique apparaissant sur les anciennes cartes, ne seront aujourdhui en rien comparables la cte relle ; que le climat de la Terre-Sainte a ncessairement volu ; que le mont Ararat se dmarquant par sa hauteur, doit ncessairement se retrouver dans lenvironnement immdiat de la Terre Sainte et distance raisonnable dune rgion de dpart situe aux alentours de lactuel Nord canadien ; si on considre que lhomme dalors navait pas dintrt pour les terres situes en de du quarantime parallle, lactuel tat de Palestine en Cisjordanie et sa ville de Jrusalem, ne pouvaient qu'tre des faux. Le Vatican et Jrusalem, sont de ces dendroits plus vrais que nature, dignes dune mise en scne hollywoodienne. Simple, cette nouvelle Jrusalem dans cet tat Palestinien, ce Vatican dans cette Rome, cette ancienne Grce et toute lhistoire jusqu la fin de la priode classique, ne pouvaient pas stre drouls lendroit ou ils sont.

Ce ne sont que des simulacres Hollywoodiens, qui furent crs que pour luder le commun et qui, jusqu une poque relativement rcente, taient sans intrt pour nos anctres.

Ancien Mandala tibtain avec 6 climats identifis Selon les poques et en excluant 2 climats en de du 38e parallle, qui furent crs par les modernes, de 2 7 climats existaient. La dfinition de ces climats tait beaucoup plus vaste quelle ne lest aujourdhui et indiquait une chelle de la valeur de lther, qui trouvait son apoge au ple Nord et dcroissait ensuite jusquau 38ime parallle, pour navoir plus de valeur ensuite. Ce septime climat, le moins intressant de cette chelle, entourait la terre ne descendait pas au dessous de la cte nord de la Mditerrane ou de la Caroline du Sud. Valeur profondment tablie, il ne serait jamais venu lide de quiconque de stablir ailleurs que dans les plus hautes terres fertiles possible, de faon bnficier au maximum de cette inspiration divine induite que nous appelons couramment intuition, ainsi que dun climat apportant un peu de fracheur.

Ces climats, cet ther ne variait pas quen latitude, mais aussi en longitude, laissant apparatre une de ces crtes au dessus de la cte ouest-amricaine (1), de lEurope (2), une troisime au-dessus du Tibet (3) et une dernire au dessus de la cte est amricaine (4), tous lieux des plus hautes chanes de montagnes du monde, des reliefs occasionns justement par cet ther. Suivant la lente ronde des plantes, ces crtes se produisaient en succession, attribuant pour de courtes priodes une pousse dther importante la latitude donne et plus encore dans une rgion circonscrite apparaissant au znith du soleil lors de son passage dans ces rgions, impliquant une crte mensuelle, une crte annuelle et une mga crte se produisant au fil des grands cycles. Cette nergie vitale en quantit dmesure, se retrouvait dans lair et dans la pluie, simprimait dans le sol pour se diffuser ensuite lentement. Cette rose bnie tait consomme avec respect et parcimonie. Dans les priodes les plus intenses, elle donnait lieu une eau extrmement nourrissante, qui se corrompait rapidement, et qui fut appele dans l'histoire la manne ou Mna. Ces rgions devenaient des endroits de prdilection pour lermitage et les sanatoriums.

Vritable Eldorado du moine ou du noble, cette distribution dnergie divine pouvait tre prdite en suivant la ronde des plantes selon lastrologie chaldenne. La venue de ces portails de temps et de location, faisait lobjet de beaucoup de recherche et danalyse. Les gens qui y avait la chance de sy baigner taient rvrs, couts, questionns, touchs comme des saints et taient en mesure de raliser des prouesses tonnantes, qui nont rien de la magie. Ce sont ces gens linspiration divine appels saint dont tmoignent la bible et dautres anciens textes, que nous qualifierions simplement dintelligents comme un singe , au vu de notre savoir moderne. Mais les trois axes de chute ntaient que similaires. Si lillumination des autres terres produisait leurs lots de saints et il n'y aura qu' valuer les populations qu'elles couvrent pour s'en assurer, elles ne possdaient pas la richesse de celle de la cte est amricaine. Appel Terre Sainte non pas cause de son appartenance sectaire ou tribale, mais parce que cette terre, de par sa localisation, avait produit plus de ces saints individus, que toute autre terre de la plante. Saint : Origine de lancien franais sain et signifiant incorruptible. Pourquoi donc se donner tant de mal pour faire disparatre 20,000 kilomtres carrs alors quil aurait t beaucoup plus facile de ne pas sen proccuper ? Pourquoi toute cette mise en scne et ces tueries, pourquoi tout cet acharnement sur lhistoire et pourquoi dpenser autant de temps nous faire

croire que tout ce cirque est lgitime, alors quil tait manifestement beaucoup plus simple de tout raser et de se reproduire une nouvelle gnration dindividus, quils seraient mme dduquer leur main et qui pourrait-tre laisse dans lombre de lhistoire ? Nabuchodonosor, Alexandre, les Romains. Dportation des populations locales. Croisement avec certaines lignes hrditaires, inapte bnficier de linduction pour crer. Mise mort des premiers-ns visant liminer toute une couche de la population, prdispose par leur naissance bnficier de cet effet. Ce nest pas faute de ne pas avoir essay, mais en dpit de toutes leurs tentatives, de leurs efforts, de leurs puissances, leurs artifices et leurs richesses, ils en furent tout fait incapables ce jour. Quoi quils fassent, ils narrivrent pas contenir cette vague dveil, durant laquelle des individus et parfois des cits entires, acquraient tout dun coup, des aptitudes singulires la perception de leurs environnements et la comprhension du monde qui les entourent. Bienveillant, prsence remarquable, fine intelligence, brillant orateur, attrayant lil et loreille, sensible et empathique, ces individus parlaient de choses que la population avait le got dentendre et dune faon agrable entendre. Elles avaient le got dcouter. Un magntisme humain incontestable, inexplicable.

Galiens transportant une grappe de vigne. Une soudaine pousse de vie tonnante.

Pour ajouter l'irritation de la classe des matres, il y avait de plus cette sempiternelle obsession pour ces illumins travers les ges, dobliger un retour et une remise en question sur un choix fondamental de lorganisation de socit, Un pour tous ou Tous pour un . Famille, cellulaire, animale, crbrale, humain, ce choix est si fondamental, quil concerne lorganisation de la vie elle-mme, quelle quelle soit. Votre foi, votre rate, votre cerveau nont pas qumander au reste le sang indispensable qui les nourrit et leur permet de faire leur travail. Au contraire, tous partagent un bassin de nourriture, dans lequel ils puiseront pour assurer leur viabilit ou poursuivre leur activit, en rapportant le maximum de bnfices lensemble. Dans cette organisation Un pour tous , nous en dirons simplement que tous les besoins de base sont assurs pour une masse dindividus, qui devront en change pourvoir la tche et ajouter la communaut laquelle elles appartiennent. Mais notre organisation de socit nest pas un un pour tous , mais un tous pour un . Ce type dorganisation, ne peut-tre compar autrement, quavec certains parasites qui sabreuvant de sve ou de sang, trangleront le passage abreuvant les organes de lhte, de faon limiter minimalement le passage du liquide nourricier, pour en conserver lutilisation leur usage propre. Notre socit est axe sur la possession. Cest la raison du systme dconomie, de lois et dlitisme que nous possdons. La gestion de la possession. Comme la possession est au centre de notre univers, lhumain reste accessoire et nest plus cultiv que pour assouvir le centre de la socit, la possession. Les lois du march sont prcisment comme les lois de la jungle dans laquelle, il ny a que le sommet de la chane alimentaire qui est roi et matre. La possession nest pas une fin, elle est un processus et ce processus engage absolument la mise en place de classes de socit, en surenchrissant la concentration des possessions. Une direction qui ne peut aboutir ultimement que dans une course deux vitesses, lunique matre-propritaire et les soumis. Une ligne de lion qui ne steindra plus jamais. Au contraire, une socit humaine un pour tous nest plus axe sur la possession des choses, mais sur le dveloppement des gens. Comme la rserve dnergie, de sang, de sve ou dargent appartient tous, il ny a plus de possession. Largent reprsentant un moyen dchange devient inutile lintrieur de la communaut qui est un organisme entier et ne deviendra ncessaire quavec des organismes extrieurs, comme une autre communaut. Sil ny a pas dargent, il ny a pas dconomie et pas de systme de lois de possession. Chaque enfant est cultiv avec soin et chaque individu participe bnvolement au bien-tre de sa communaut, en apportant sa contribution en fonction de ses aptitudes, au fur et mesure que les besoins se prsentent.

Ces communauts attaches en tous pour un ont toujours exist. Tous les villages du monde possdaient une organisation similaire jusqu lore du 20e sicle. Beaucoup de petits villages et communauts du monde, possdent encore aujourdhui une telle structure. Ces communauts reposaient sur une liste de lois morales simples qui taient dites de Dieu , sous la supervision dun patriarche local, que la plupart des gens simples et honntes mettent en uvre de toute faon. Elles admettaient une loi dgalit, dans laquelle, si un a droit une portion de gteau, lautre aussi, tout comme dans une famille tendue. Pensons ces communauts Amish, ou Quakers, Lycurge de l'ancienne Grce ou mme cette fameuse Utopia (voir le texte Utopia), qui na rien dune utopie et qui avait russi pousser cette structure un autre niveau, englobant un ensemble de communauts dans une grande socit, promulguant les mmes valeurs et les mmes rgles. Toujours lorigine de mouvement beaucoup trop rassembleur aux yeux des conqurants, qui voyaient de trs mauvais il limplantation dune philosophie nautorisant pas dautres matres que le livre ou le Dieu et le patriarche, et pour lesquels lide de travailler pour un autre en change dargent ntait qu'esclavage, la mise en place dune telle philosophie signifiait la mort de tout litisme hrditaire. Un vritable assassin du tous pour un, tout devait tre fait pour enrayer ce mouvement, seul cueil la grande mise en place finale et sans appel du pouvoir ultime ternel, le grand rve romain, le nouveau dieu, le totalitarisme. En ajoutant une masse incessante de nouveaux venus en provenance de lextrieur dans une communaut tendue impossible appele ville , et en obligeant la communaut les recevoir et les supporter comme les leurs, l'Empire les alourdissait dindividus oisifs, facilitant la corruption de lesprit communautaire et linstauration dun rgime tous pour un. En dpit de cette corruption, limpact des fentres dilluminations tait si important, que malgr tous les efforts de la classe noble ce jour et en dpit de toutes leurs sciences, ils furent incapables de contrler le phnomne et de combattre de face le soulvement populaire rsultant. Devant cette impuissance et pour viter toute contamination avec le reste de lempire, il choisissait la stratgie du blocus, en isolant totalement la rgion touche, tant que le contrle de la situation ntait pas repris par lintermdiaire dun sarclage et dun nettoyage systmatique des contamins . Cest ce quils ont fait plusieurs reprises et cest ce quils feront encore ! Ainsi, par la guerre, par lconomie, par la maladie, par le dpeuplement, par le piratage, par la criminalit, par la destruction, ils briseront lAmrique et la couperont des autres continents. Ils la diviseront en petites royauts pour isoler le rayonnement de ce prtendu mal, autant quil soit possible de le faire. Ceci est la raison des frontires et des enclaves linguistiques comme le Qubec, offrant un rempart de protection supplmentaire contre cette contamination dides.

Beaucoup de documents significatifs de lhistoire sont ainsi rfugis dans une langue ou lautre, inaccessibles moins den payer le prix fort. Cest la prophtie du colosse de Babylone qui, tout invincible de mtal, possde nanmoins un talon dargile qui mnera son effondrement en pices. Une prophtie, un plan, une tactique, une stratgie de guerre, un poison violent, qui a t utilis aussi souvent que ncessaire et qui emmure chaque fois un peu plus haut, lexpression de cette force. Un plan ultime, dans lequel serait appliqu un grand tour de magie qui ferait disparatre la Terre Sainte. Comme on savait, par les rcits des chrtiens arabes et coptes, que le christianisme un peu grossier de ces peuples lointains permettait l'alliance du sacerdoce avec la dignit royale dans la personne du souverain, ce dont on a la preuve par les tmoignages des auteurs coptes et arabes, tel que Svre, vque d'Aschmounan, et AbouSelah, il n'en fallut pas davantage pour transporter dans les rgions centrales de l'Afrique les tats du prtre Jean, qu'on ne savait plus o placer, et qu'on n'avait jamais bien connus. Comme la gographie plaait aussi dans l'Inde ces pays de l'Afrique, et qu'on regardait comme certain que le prtre Jean avait rgn dans l'Inde, l'illusion fut complte, et l'on put ds lors regarder comme constant que c'est de l'Orient mme, c'est--dire de l'gypte et de la Syrie que vint l'opinion errone qui plaait le prtre Jean en Afrique. Relations des quatre voyages entrepris par Christophe Colomb Un plan dans lequel lillumin divin des Anciens, ne deviendrait rien de plus quun illumin de la psychiatrie, vtu dune camisole de force et prt partir pour lasile. Le savoir, jusqualors proprit de la noblesse, fut successivement nettoy pour ne laisser au commun, que ce qui serait utile ltablissement de la socit industrielle venir, sans plus.

Le traquenard de la gographie et de l'histoire Selon lhistoire officielle, alors que la terre tait plate et que les navires pouvaient tomber dans le nant, Colomb cherchait un passage pour lInde situe dans lOrient et aboutit par erreur sur les ctes de lAmrique, quil appela Inde . Il est remarquer que les nombreuses pices relates, lettres ou indications du moyen ge, qui se rapportent au prtre Jean, ne manquent pas de placer son royaume dans l'Inde ou dans la GrandeInde. On l'appelle Rex Indorum, dominator et imperator Indice, et son pays, Major pars Indice, ou la Grande-Inde (Hist. hierosol., liv. I, chu p. 76, et Plan Carpin, chap. 5).Relations des quatre voyages entrepris par Christophe Colomb.

En ralit, les Indes comme nous les connaissons aujourdhui, nont jamais exists avant la dcouverte de lAmrique et tait appel l'Inde ou Linde. Les anciennes cartes de navigation montraient un ocan Pacifique, recouvert de glace en partant de la cte de Chine jusqu celle de lAmrique, ne laissant que les zones ctires dgages comme le Ceylan et lle de Taprobane, qui ne furent nommes Inde Orientale, qu partir dune poque rcente. Comme la chape de glace recouvrait lInde et la grande mer, il devenait facile den donner le mme nom aux deux extrmits. Inde devint Indes , un combin de lInde orientale, territoire appel jusqualors Ceylan , et lInde occidentale, lAmrique. Le Christ of Colomb , il va sans dire un nom demprunt dont il n'existe pas de reprsentation, savait parfaitement o il allait. Il cherchait un passage pour lInde situ en orient de lEurope, et que cest prcisment ce quil trouva.

Le 30 juillet, il devine que la terre est proche, mais l'eau et les provisions commencent manquer, et il songe virer de bord, lorsque le mardi 31 juillet, midi, un matelot son service personnel, signale de la hune, l'ouest, trois pics de montagne relis la base. Colomb se trouvait la pointe sud-est de l'le de la Trinit.

L'Amrique avait t dcouverte avant Colomb, mais le secret en avait t bien gard. Oscar Wilde. partir de ce jour, lOrient cessait dtre une direction, pour devenir un endroit. quoi bon conqutes et guerres, puisquaprs sa disparition, il ny avait plus qu dcouvrir et possder lAmrique. Ces changements engageaient rapidement la popularisation dun autre nom pour les Indes Orientales et furent appels Amrique , qui ntait quune volution du mot Amerech , lui-mme driv du mot Armorique , un territoire qui fut plus tard assimil une province franaise. Dans la Gaule Celtique, une partie portait le nom dArmorique, et les peuples qui l'habitaient s'appelaient Armoricains. Suivant l'abb Derick, ce mot Armorique vient des mots bretons Ar Moor rich , province situe sur la cte bretonne . Le Lyce Armoricain S'il est vrai que saint Gildas ait prch l'vangile en Irlande sous le Roi Ammerick qui ne commena rgner qu'en 56o, il faut qu'il soit retourn en ce pays de l'Armorique o il s'tait retir en 527. Pour saint Gildas, surnomm l'albanien, il ne peut avoir prch en Irlande dans le temps dont nous parlons, puisqu'il tait mort. Vies des pres, des martyrs et des autres principaux saints Allluia, une nouvelle Terre Sainte natrait du dsert. Les Indes, Armorique, Amerech, Galile taient partie intgrante de lAsea dorigine, lendroit ou tait situ la Terre Sainte, berceau daccueil de lhumanit et identifi sur la carte de Le Danois par le nom de Vinhland la frontire du Vermont et du Qubec.

Cette carte montrait une bien curieuse plante. Une plante qui ne comprend quune seule communaut humaine dapparence complexe, ce griffonnage situ la hauteur du Vermont. Le reste tant constitu davant postes, qui prennent lapparence de comptoirs commerciaux. L'Empire Normand Le reste, tait simplement biff du savoir. Hrsie Il y a 5000 ans, suivant dune porte dHercules particulirement svre ayant transfr la calotte polaire au-dessus de lEurope et de lAsie quelle recouvrait en grande partie, le Pacifique daujourdhui tait alors couvert de glace qui le rendait inaccessible la navigation autre que ctire. Limpeccable verdure du Sahara, priode au cours de laquelle avait t construite les grandes pyramides, tait disparue depuis longtemps ne laissant que dsert et sable. lexception de quelques les de la Mditerrane et de lAtlantique; l'exception dune troite bande de ctes la lisire sud de lEurope continuellement dchire entre la glace, leau et le dsert; l'exception de lactuel dsert de Gobi qui donna naissance la race asiatique; l'exception des les du cercle de feu; le vieux continent tait peu habitable. En Amrique la chape de glace du ple stendait du Pacifique, jusque dans les grandes plaines du Canada, ou elle se greffait un espace verdoyant englobant lOntario, le Qubec et les tats de la nouvelle Angleterre.

Au sud, la monte des eaux avait commenc engloutir les grandes plaines entre la cte mexicaine et les les, ne laissant que la cte dun Yucatan et dun golfe du Mexique tendu. Le reste de lAmrique ntait quun dsert profond, incapable de soutenir la vie. Dans sa phase la plus svre, les portes dHercules nous laissrent avec une plante qui navait gure plus de 10 15% des terres cultivables actuelles, rtrcissant dautant le parc humain quelle est en mesure de supporter. Tout ceci ne se produit pas au hasard. La quantit dther reu par la plante varie peu au fil des longues priodes et dirige l'ensemble du climat, mais la dimension de la surface qu'elle affecte, variera et changera son intensit en relation. La ronde plantaire modifiera par bonds successifs la projection de lther au cours dune priode de 5000 ans, passant dun rayonnement intense sur une petite surface rendue trs luxuriante, un rayonnement couvrant la quasi-totalit de la plante, mais avec une intensit relche cette fois, supportant moins bien la vie, comme cest le cas prsentement. Bien quil y ait aussi une variation sculaire modifiant lgrement les aires, le tout se joue en 5 grandes tapes de 1000 ans. Chacune de ces Portes dHercules remodelant radicalement la face utilisable de la plante en quelques dcennies peine, grands coups dinondations, de pluie, de froid, de chaleur.Le peu dinformations que nous possdons sur ce sujet, porte croire que lensemble se joue en 7 tapes de 1000 ans et inclut une premire priode de 400 ans avec une chaleur et une scheresse incomparable travers toute la plante, ne laissant aucune source deau potable lexception du ple Nord. Nous en sommes prsentement la toute fin de la septime tape. Bien que ceci ne soit mentionn nulle part, il est aujourd'hui plausible de croire que cette scheresse plantaire n'affectait pas non plus le ple Sud. D'une part, la datation du centre de la chape de glace dmontre une dure nettement suprieure aux grandes crises climatiques et implique qu'il y a cet endroit une glace quasi ternelle. De plus, d'anciennes cartes comme celle de Piri reis, qui laisse apparatre une terre partiellement dgage et connue, ainsi que des artefacts retrouvs par une quipe scientifique russe en priple sur le ple Sud il y a une dcennie, laisse croire que cet endroit servit de refuge durant cette priode de grande scheresse.

Ce changement de la nature des terres, passant de cultivables une totale strilit, soit par leau, le soleil, le froid, furent lorigine de toutes les grandes migrations humaines que la plante a connues. Ce qui tait leldorado lorsquune nouvelle rgion verdoyante souvrait, devenait un enfer lorsque linverse se produisait et dversait ailleurs des milliers de rfugis du climat et engendrant frictions et guerres incessantes entre les groupes culturels pour la possession des terres. Cette seule raison fut lorigine de la construction des multiples murailles construites travers les ges. Le mur dAntonin, la muraille de Chine ne sont daucune utilit pour contenir une arme. linstar de celle sparant Israel de la Palestine et cette autre, sur la frontire tats-Unis-Mexique, elles nont pour but que dempcher les grands mouvements humains faisant suite aux nombreuses famines ayant constells lhistoire.

De plus, la valeur ajoute par la Terre Sainte, qui au contraire des autres joyaux ne pouvait tre emporte dans les bagages des rois, compliqua grandement le puzzle final. Quelque part autour de lan -1000, lapproche de lune de ces fameuses portes, il fut dcid par lassociation des puissants, de faire soigneusement disparatre la Terre Sainte de la culture populaire. Ceci avait comme avantage de conserver ces matires royales entre les mains de gens prdisposs sen occuper, les rois, et permettait du mme coup de mettre une sourdine populaire sur lapproche des grands changements, qui occasionnaient toujours beaucoup de perturbations dans la socit. Ce privilge de la connaissance de la vraie histoire, tait ensuite redonn sous le sceau dun secret hermtique, une classe privilgie au gr de chaque roi, qui videmment incluait toujours leurs propres descendants et leurs favoris. Ainsi louverture des nouvelles terres, chacune des royauts se voyait attribuer une seconde terre dans cette nouvelle rgion, dont les caractristiques gnrales taient similaires la royaut existante et sur laquelle, chacun des rois aurait la responsabilit de nettoyer les autochtones les plus rfractaires et celle de construire un rseau de cits, imitant la perfection la royaut dorigine, mais cette fois avec une nouvelle populace tire des autochtones, qui leurs racines furent enleves.Rien de nouveau sous le soleil, llite est blanche. lexclusion de quelques endroits, la plupart des pays du Monde, sont sous la domination dune lite la peau dlave, qui va mme comme en Argentine et au Brsil, jusqu senfermer dans des ghettos de luxe entours de palissades en plein centre des villes et villages. Pour eux, comme pour nous et le reste de la plante, ce sont des Argentins et des Brsiliens, puisquils y sont ns, mais pour la population descendante des autochtones, ils sont dune autre couleur, ce sont des blancs. Ils y occupent tous les postes dinfluences au gouvernement et sont collectivement propritaires de tout ce que le pays produit. Au contraire, Cuba et le Vnzuela ne font plus partie de ces pays. Leurs rvolutions visaient directement lexpulsion de llite dite Imprialiste des commandes du pays. Ce faisant, ces pays parias salignaient dans un axe du mal au vu de l'Empire qui n'en profitait pas et se retrouvaient par la suite et encore aujourdhui au ban du commerce international. Castro et Che Guevara, les auteurs de la rvolution cubaine, taient eux-mmes des enfants de cette lite blanche, qui furent crous pour leurs ides rvolutionnaires. Ils laissrent Cuba une dmocratie qui, au contraire de celles de lEmpire de lOuest, ne possde pas les mcanismes de corruption permettant doutrepasser les volonts du peuple.

Lorsque le Che, fort de ce succs, repartit en Bolivie avec lide dy faire la mme chose, il fut captur et aussitt assassin froidement sous les ordres du gnral Barrientos, ancien pilote amricain et alli de la CIA.

Profitant des quelques dcennies de grandes perturbations du passage du 1000 et des particularits des anciennes cartes marines, ils navaient plus qu rduquer la nouvelle gnration de marins, une nouvelle cartographie et une nouvelle Terre Sainte Hollywoodienne . la fin du cycle de 5000 ans, moment o la dimension des surfaces habitables seffondrait pour se recentrer sur la Terre Sainte, chaque roi avait alors la responsabilit de dterminer ceux qui allaient possder un saufconduit pour la terre dorigine, ainsi que le sort du reste de la populace en famine qui saccrochait dsesprment aux terres colonises. Grce aux famines, linjection de maladies contagieuses, aux guerres factices et un constant harclement, il tait possible de rduire la population et fermer le territoire. Cest prcisment ce qui se passe aujourdhui sur le pourtour de la mditerrane et dans les pays orientaux.Avantage collatral non ngligeable, ils avaient compris depuis longtemps que les mines taient des centaines de fois plus productives lorsquelles taient pratiques au-dessus des sites, autrefois occups par les anciennes villes et dont les fondations reposaient quelques mtres sous la terre. Cette profusion extraordinaire ntait rendue possible que par llment de surprise, apport par la soudainet des grands changements climatiques qui dvastait brutalement la rgion, en repoussant les habitants avec suffisamment de brutalit, pour quils naient pas le temps demporter leurs richesses. Les grands changements ramenant essentiellement les mmes configurations fluviale et climatique dune fois lautre, il ne fut pas trs long avant quun petit malin ne comprenne que la ralisation des villes des endroits stratgiques qui seront ventuellement dtruits par les changements venir, reprsentait de largent en banque, qui naurait pas t autrement rcolt, en plus deffacer rigoureusement toutes traces physiques dune ancienne ville. Une particularit qui ntait pas ddaigner lorsque venait le temps deffacer lhistoire et de tromper tout le monde.

Imperator Indice - LEmporium tait n. Cette exprience des diffrentes configurations plantaire, signifiait aussi quils avaient rpt ce mme stratagme plusieurs reprises, rajoutant pelure par-dessus pelure sur le secret, compliquant dautant la localisation des anciennes cits. Une qute insoluble, tant que le stratagme et les motivations ntaient pas connus. Ainsi, il fut possible de dlier cet imbroglio et didentifier quatre de ces grandes pousses de dveloppement en plus dune douzaine de migrations importantes ayant eu comme objectif, loccupation des nouvelles terres, spcialement prpares ces fins. Dans le premier chapitre temporel de cette saga, le flot dther, qui de toute faon nest pas en quantit suffisante pour couvrir adquatement la totalit de la plante, perd ses franges dinfrences et est recentr sur quatre bandes longitudinales, qui sont associs deux deux par le phnomne de rsonnance plantaire et qui offrent des crtes dnergies similaires.

Laxe 3-4 recevra plus dnergie que laxe 1-2. De tous les axes, le bras 4 est celui qui en recevra le plus au moment de ce premier millnaire. Pour chaque bras de la croix, lnergie atteindra une intensit de crte dans une large zone entre le 40ime et le 50ime parallle, surfaces les plus susceptibles de porter la vie ces priodes, le reste tant partag entre la glace et le dsert strile. Un niveau de la mer particulirement bas, contenu lintrieur des grands bassins ocaniques, laissait paratre une cote beaucoup plus tendue quelle ne lest aujourdhui. Les deux surfaces les plus vivifies, donc les plus susceptibles de porter la vie, se retrouvaient sur la cte est Amricaine, couvrant le Qubec et une partie de la Baie dHudson, et loppose sur le nord de la Chine et la Mongolie, couvrant la plus grande partie de lactuel dsert de Gobi, berceau de la race asiatique. Le reste de la plante tait laiss la remorque dun ther rsiduel pauvre et instable, cette chaleur charrie par les courants marins et ariens, qui transparaissait dans les profondes valles et dtroites bandes ctires, coinces entre le sable et la glace. Ce nest pas un phnomne unique, mais ce quoi la terre ressemble, pendant au moins un millnaire tous les 5000 ans. Aussi loin quil soit possible de remonter, ces quatre rgions ont vue natres toutes les gnrations dhommes, de toutes les poques de la plante. moins que les paramtres des diffrends plantaires ne changent, elles verront aussi toutes celles venir.

Pouss par les glaces qui descendaient du ple et qui dcoupaient chirurgicalement ces rgions, No, inspir dune vision reu de Dieu, na pas pu schouer dans une autre rgion que celle de lAmrique, la zone 4, location du mont de lArar-at, signifiant la Gense.

La carte du Hereford nous avait dj appris beaucoup. Le fameux Alrion, ce gigantesque labyrinthe naturel de pierre qui nexiste qu deux endroits de la plante. (Voir Jaccuse) Jai dmontr comment les Romains avaient orchestr la ralisation de la copie dun segment de la cte est amricaine, sur la cte de lactuelle Angleterre, qui ntait alors quun caillou nu sous la glace. La facilit avec laquelle une telle magouille fut orchestre, laissait transparatre une matrise dans la ralisation qui navait pu tre acquise que par lexprience. Cette tape, ne visait pas cacher lobjet de ce cirque, mais servait dissimuler les traces permettant de retrouver lancienne Jrusalem. Sous cet angle, elle nest quun chapitre du parcours historique visant racoler tout ce qui pouvait tre ramen l'Angleterre. Si le fabuleux monde de Walt Disney fut invent quelque part, cest cet endroit. Cest tout ce que lAngleterre et le nord-ouest de lEurope sont. Un dcor de carton-pte mis en place la sauvette, ds que la glace sest dgage suffisamment pour librer un peu de terre fertile.

Comme nous lavons vu sur la carte des projections thriques, cette rgion bordant la mer du Nord possdait un climat viable il y a plus de 5000 ans. Cest ce moment que furent raliss les anciens monuments de lAngleterre, comme Stonehenge et tant dautres, par les communauts phrygiennes de lpoque. Autrement, les vnements taient assez flous. On apprenait quen partant dun changement de cap navigable pour le commun, une censure des cartes maritimes existantes et un piratage incessant des mers qui avait pour but dcumer tous ceux qui connaissaient le stratagme et traversaient lAtlantique, ils finirent par rediriger la majorit des marins envers lancien continent.

La Terre Sainte, Oz, Avalon, lArcadie, Babylone, la Grce, lgypte, la Rome et autres rgions de lpoque classique sombreraient dans loubli pour tous, lexception de la classe impriale, qui demeurait propritaire de ces terres et continuait les frquenter comme on frquente le chalet dt ou la succursale provinciale de commerce.

Incidemment, beaucoup de cultures et dpoques ont ralis des cartes gographiques de la Terre-Sainte. Chacune des douze tribus dorigines possdait la leur, sans oublier que ltablissement du secret travers les ges, avait sans doute largement contribu la rdaction de nombreuses autres. Douze tribus est en ralit la quantit exprime dans les critures saintes. Les gyptiens et les Coptes en parlaient en terme de territoire qui tait de quatorze et passrent ensuite treize, la suite de conqutes. Elles sont sans doute les plus anciennes cartes existantes, puisquelles nutilisaient pas encore de reprage de direction. Beaucoup furent ralises une poque ou un reprage plantaire, que ce soit par les toiles ou la boussole, ntait pas encore utile. Cest en comparant les multiples cartes de la Terre Sainte, quil est possible den comprendre un peu plus sur la perspective de lpoque. Toutes ces cartes possdent des caractristiques similaires. La dimension et la forme du territoire, ainsi que les principales cits et autres constructions grand dploiement sont toutes sur un mme modle approximatif. Mais l sarrte toute comparaison possible. La glace, le dsert et le rseau fluvial eux changeaient constamment. Ils changeaient tellement en fait, quils avaient manifestement t nots au fil dune trs longue priode, au cours de laquelle des dserts devenaient des forts et des fleuves voyaient leurs morphologies compltement transformes.

Mais pas les montagnes. Les montagnes ne changeaient pas. Elles pouvaient la rigueur disparatre parce quune rfrence de navigateur avait chang au fil du temps, caractrisant une montagne plutt que lautre. Elles pouvaient aussi disparatre parce que la rfrence dorigine tait disparue dans la crote de glace inaccessible, ou quelle ntait pas aussi haute que singulire aux yeux des navigateurs et quelle avait t engloutie avec la monte des eaux, mais ce ntait gnralement quexception et elles constituaient une rfrence essentielle la navigation. Seulement voil, sur les diffrentes cartes de la Terre Sainte, les montagnes aussi changeaient de place. Il ny avait pas que des montagnes, des chanes de montagnes entires et dautres caractristiques tout aussi singulires, napparaissaient simplement plus au mme endroit, dune carte lautre. Un peu comme si la topologie mme de la crote terrestre avait soudainement chang du tout au tout, laissant un fac-simil parfait de ce qui tait trs visible, mais ne possdant plus les caractristiques importantes. Il fallait se rendre lvidence, lhistoire nous avait laiss plus dune Terre Sainte. En dpit de limportance que la tradition des anciens accordait la ligne ancestrale, nous possdons pour la plupart dentre-nous, une ligne hrditaire qui sembrouille au-del de 400 ou 500 ans. Nous avons t duqus par des livres, dont toutes les rfrences furent tires de manuscrits appartenant une classe noble , seule capable de se payer les manuscrits du savoir. Notre histoire noffre que bien peu de prcision au-del de 400 ou 500 ans et devient carrment absente l'poque prcdant l'arrive des Romains. Nous avons affaire un empire suffisamment puissant, pour diriger des destines humaines de force, mais aussi de gr. Toute ville, nest rien dautre que le produit dun comptoir de traite commerciale qui a eu suffisamment de succs pour agglomrer une population et une historiette locale travers le temps et qui saxera sur des tmoins vritables de lhistoire. 2 ou 3 sicles peine seront ncessaires pour en faire une ville moderne comme nous les connaissons, portant le nom choisi, quel quil soit. Il devenait facile de raccrocher ces racines aprs celle des autochtones qui taient en place avant larrive de cette ville, et de pomper dans cette ancre historique des millnaires dhistoire nouvelle. Mais quest-ce donc quune ville, si ce nest rien de plus quun endroit qui peut porter nimporte quel nom et qui deviendra le centre dune agglomration et propritaire dun point additionnel sur les cartes gographiques de ceux qui incidemment, les impriment? Il existe 25 endroits de par le monde appels Eureka , cette nigmatique parole prononce par Archimde. Loin dtre des plus impressionnantes, cette quantit de villes homonymes est en relation directe avec le dsir de lEmpire docculter un endroit ou lautre. Ainsi, la ville sainte de Jrusalem tait constitue de plusieurs cits. Ces cits

taient en quelque sorte des banlieues dhabitations regroupant les diffrentes ethnies. Une de celle-ci tait la ville de Salem. Suivant le bannissement des juifs de la Terre Sainte par les Romains, la ville de Salem tait un boulet, qui devait disparatre plus que tout autre, cause de son appartenance juive. Il existe aujourdhui dans le monde une soixantaine de villes, villages ou endroits appels Salem . Si on y ajoute les variantes, comme les New Salem ou les Salem Township on en arrive plus de 120 Salem dans le monde. Le plus curieux est que la plupart se prtendront loriginale ou se rclameront un lien avec la Salem dorigine. Ajoutons-y quil ny a quune seule cit portant le nom de Jrusalem. Pour sassurer que le pot aux roses ne soit pas ventuellement dcouvert, il ny avait qu prtendre que la terre tait nouvellement dcouverte, ainsi elle navait pas dhistoire.Lactuel nom Cree, affect aux Indiens Cree du Nord du Qubec, est un nom laiss par les nouveaux arrivants. Cree est en ralit le diminutif de Cristinaux, ce qui signifie Chrtien dans lancien Franais. Ce nom apparat sur plusieurs cartes gographiques provenant des premiers dcouvreurs.

La Terre Sainte Entre dans l'arche, toi et toute ta famille, car je t'ai vu seul juste mes yeux parmi cette gnration. De tous les animaux purs, tu prendras sept paires, le mle et sa femelle; des animaux qui ne sont pas purs, tu prendras un couple, le mle et sa femelle et aussi des oiseaux du ciel, sept paires, le mle et sa femelle, pour perptuer la race sur toute la terre. Car encore sept jours et je ferai pleuvoir sur la terre pendant quarante jours et quarante nuits et j'effacerai de la surface du sol tous les tres que j'ai faits. Une fois l'arche termine, No monta bord avec toute sa famille et les animaux, et ce jour-l jaillirent toutes les sources du sol, un grand abme, et les cluses du ciel s'ouvrirent. La pluie tomba ensuite sans discontinuer sur la terre pendant quarante jours et quarante nuits. Les eaux finirent par couvrir les plus hautes montagnes, qu'elles dpassrent mme de plus de quinze coudes. Toutes les cratures vivantes s'teignirent, et seuls No et les siens survcurent. No dcida alors d'envoyer en claireur un corbeau, qui alla et vint en attendant que les eaux aient sch sur la terre. Il fit ensuite sortir la colombe, laquelle ne trouva aucun endroit dgag des eaux o poser ses pattes et revint auprs de lui. La tentative fut renouvele aprs sept autres jours et cette fois la colombe revint avec dans le bec un rameau tout frais d'olivier , ce qui apprit No que le niveau des eaux avait enfin diminu. Il lcha la colombe une nouvelle fois aprs une semaine, et l'oiseau ne revint plus. Ce signal annonait la fin de l'preuve.

Finalement, au bout de 220 jours de navigation, l'arche vint s'chouer sur le mont Ararat et les eaux reflurent encore quarante autres journes, avant que n'apparaisse le sommet des montagnes environnantes. Alors, Dieu parla No : Sors de l'arche, toi et ta femme, tes fils et les femmes de tes fils avec toi. Tous les animaux qui sont avec toi, tout ce qui est chair, oiseaux, bestiaux et tout ce qui rampe sur la terre, fais les sortir avec toi : qu'ils pullulent sur la terre, qu'ils soient fconds et multiplient sur la terre. Satisfait de ce comportement, Dieu se rsolut pour sa part ne plus jamais maudire la terre cause de l'homme et ne plus jamais dtruire toute vie de cette manire. En signe de cette promesse, Dieu mit un arc-en-ciel dans les nuages et dclara: lorsque j'assemblerai les nues sur la terre et que l'arc apparatra dans la nue, je me souviendrai de l'alliance qu'il y a entre moi et vous et tous les tres vivants . l'arrive des eaux, seuls les tres vivants rfugis sur l'arche de No purent survivre, et tous les autres trouvrent la mort. (Gense 7:21) Lallgorie de ce Dieu, qui prend la dcision de ne plus jamais dtruire de vie de cette manire, est une allusion directe aux conditions plantaires ncessaires la gnration dun dluge. Celles-ci ne se reproduiront plus avant une trs longue priode et puisque ce mouvement des plantes tait le rsultat dune volont dites divine , le sort rsultant ltait aussi. Sans lapport de cet illumin qutait No, il ny aurait plus eu dhumanit. Que cet nonc ne soit que partiellement vrai, ne change rien aux croyances lgitimes quont dmontres ses descendants par la suite. Pour eux, No tait llu, le pre de lhumanit, le choisi de Dieu. Lanctre, le patriarche, ce pre dune humanit qui possdait un culte profond des anctres, a chou son bateau dans la montagne o il a continu de pourrir depuis... Dfinissons ce quest une construction imposante. LArche possdait 137 mtres de long, 26 de large et 16 mtres de haut.

Une telle construction nest pas unique dans les anales de lhistoire puisquau tournant du 13e sicle, les navires de la flotte impriale des trsors chinois possdaient des dimensions similaires. Ici, il est possible de juger de ces proportions, lorsque compares lun des navires utiliss par Colomb pour la traverse de lAtlantique. Construire un tel navire en bois aujourdhui, est une prouesse qui relve de lingnierie technique. Mme en mtal, un tel navire est loin du rafiot. On parle dune ralisation simplement gigantesque, mme lpoque moderne et qui se rapproche d'un petit transatlantique. Alors quon ne retrouve rien de notre ancienne histoire, un cowboy texan plus allum que les autres, aperoit sur une montagne, qui incidemment savre porter le nom biblique dArarat en Armnie, les restes dun navire encore tout fait visible, l ou ils doivent tre. Wow! Une prtention, pour le moins culotte. Considrant limportance dun tel vnement du type fin du monde comme celui qui venait de se produire et considrant limportance de lArche, une des seules reliques en provenance de lAncien Monde, nauraient-ils pas fait un temple et des rassemblements pour les protger et les vnrer ? Des glises et des villages pour les priers? Ny auraient-ils pas eu au cours des ges des aventuriers qui seraient arrivs aux mmes conclusions faciles, engageant une course au secret comme pour tout le reste? Ces temples

auraient t dtruits par les guerres et conqutes et ils nauraient pas dtruit les reliques saintes, vritable objet de vnration ? Comme la nouvelle Jrusalem, ltat de Palestine, Rome, le Vatican, la Mecque, la terre des Angles, a puait larnaque. Un attracteur maringouins. Il ne manquait plus que des motels, des pinglettes et des dpliants publicitaires pour en faire une destination familiale toute saison. Une comparaison entre les anciennes descriptions Bibliques et la carte de la Mditerrane biblique prtendue, permet vite de se rendre compte du ridicule de certaines descriptions, qui ne correspondent absolument pas au terrain actuel. Il existe de nombreuses aberrations qui furent assez bien documentes par les anciens historiens et compltement mis l'cart par les nouveaux. Je citerai celle dans laquelle un roi de cit dut parcourir plus de 3000 kilomtres pour prendre le commandement de ses propres troupes et revenir attaquer une cit voisine immdiate de la sienne. Ou encore Nazareth en Cisjordanie, cette cit o serait n le Jsus des Romains, na jamais existe avant les croisades du premier millnaire. Elle fut construite de toutes pices autour de cette priode, partir dun petit village de la Palestine moderne. Un argument de fond, qui au contraire d'tre dbattu, fut utilis par toute une gnration dacadmiciens pour dmontrer que lhistoire de Jsus de Nazareth ntait que pure invention. Simple, si la vritable Arche de No avait t cet endroit, nous ne laurions jamais su. Mais ces dcors de cartons-ptes prfabriqus, sont nanmoins bien utiles par les indices supplmentaires quils procurent sur la configuration de lendroit vritable. Noublions pas qu-la-Walt Disney, ces dcors visaient offrir aux navigateurs et autres aventuriers, un parc thmatique crdible et pour y arriver, il devait ncessairement afficher les endroits vedettes de la course et des caractristiques singulires, dune crdibilit raisonnable au vu du navigateur. Ainsi, lanalyse dtaille de la grande rgion armnienne, sige du mont Ararat, nous montre un de ces parcs thmatiques, regroupant sur un petit territoire possdant une topologie et un rseau fluvial caractristique, un ensemble de cits aux noms dorigines bibliques. Des parcs thmatiques identiques, regroupant topologie et rseau fluvial similaire, ainsi quun ensemble de cits aux mmes noms dvocation biblique, mais color dune poque diffrente et dune traduction locale, apparaissent aussi en Roumanie, en Slovaquie, en Turquie, en Cisjordanie, en Angleterre, en France, en Nouvelle Angleterre, en Virginie, au Nouveau Brunswick, en Ontario et au Qubec. Chaque fois quune mutation de plante se produisait, librant de nouvelles terres, on en profitait pour y pousser des colons et ouvrir une succursale de

parc thmatique. De la mme faon, dautres parcs thmatiques possdant un ventail de caractristiques et de cits diffrentes, mais ayant tous en commun dtre des segments de la Terre Sainte dorigine prise diffrentes poques avec les noms affrents, se retrouvaient tous reproduits ici et l, dans les mmes grandes rgions que celles mentionnes. De plus, la qute devait prsumer que la Terre Sainte originale, en plus de regrouper en un seul endroit lensemble de ces fragments et tant soumis au passage du temps et la censure, ne possderait pas elle-mme, beaucoup des attributs originaux. lexception dune officielle plus vraie que la vraie et que lon sait maintenant fausse, on se retrouvait avec des copies difformes de la Terre Sainte un peu partout. Tous possdant des petits bouts de la vrit, mais une seule dentre elles, verrait des diffrences attribuables un changement de la morphologie du territoire au fil du temps. En plus des mers, qui dcouperont les ctes autrement et dune faon parfois radicale, la plante entire reprend une position diffrente, un peu lexemple dun ballon de plage que lon souffle. Durant les priodes de grands changements, les variations de tensions brisent les plaques tectoniques de la crote terrestre, pour en orienter l'horizon en relation avec cette nouvelle tape, modifiant du coup radicalement tout le rseau hydrique dune faon connue et prdictible, telle quelle fut dj dans un lointain pass.

GuatemalaCeci a dbut en 2006 et en 2007 alors que des dtonations similaires des booms supersoniques, furent entendues sur de grands territoires de la Floride et du Texas, sans laisser de trace sur les sismographes. linstar de los cass qui se brise sans cesse, ces dtonations se produisent lorsque les plaques tectoniques sont brises par la tension impose la plante laissant de tels vides. Nous ne possdons pas suffisamment dinformations pour dterminer la vitesse dvolution du phnomne, mais comme ceci doit encore se produire plusieurs endroits, il est plus que probable que la prochaine dcennie en apportera son lot.

Dans la gographie moderne, les montagnes sont dilues dans une mer de montagnes qui ne faisaient assurment pas partie du porte-folio des descendants de No. De plus, il est manifeste quaux yeux du caravanier ou du navigateur de lpoque, les montagnes ont possds une importance qui sest transforme au fil du temps. Les cits dorigines nexistent plus depuis longtemps, mais elles ne sont pas disparues. Nous devons nous rappeler que tout ceci est lobjet de cette manuvre et quautrement, il naurait pas t ncessaire de recrer toutes ces rpliques. Nous parlons dun joyau. Des gens savaient et ils ont toujours su. Les graines de larbre ne tombent jamais trs loin de son tronc et tout nest pas disparu. Par ailleurs, les particularits naturelles sont plus difficiles copier dans un quelconque parc thmatique. Rocher ou cap de montagne de forme singulire, profonde valle, une baie dont laccs ncessite un cheminement particulier, sont des exemples de ces particularits qui marquent lil du voyageur et sont souvent associes aux noms des populations qui lentourent, rendant plus persistent travers le temps les bribes de lhistoire. Anciennes cartes Notre ducation nous force regarder ces cartes dun point de vue moderne. Suivant cette ducation moderne, il nous est impossible de placer cette Terre Sainte au Qubec par exemple, puisquil y fait trop froid, il ny a pas de dsert, les ctes sont diffrentes, il y a des lacs, des mers et des rivires qui nexistaient pas. Des immuables, comme le climat. En fonction de nos connaissances, de notre ducation et surtout de toutes les vidences qui nous sont offertes, nous ne pouvons donc situer cette terre raisonnablement, qu un seul endroit sur la plante, la mer Mditerrane. Aprs un temps, lducation est bien ancre et limmuable nest plus questionn. Il ny a que ce qui se prsente de nouveau, qui est jug en regard de notre rfrence immuable. Bien normal, car ce sont des immuables. Tel un arbre, plus les immuables seront plants jeunes, plus ils seront rigides, rsistants au changement. Une courte vue caractrise. Cest du haut de cette solide montagne dimmuables appris en bas ge, que nous observons et jugeons la vie. Nous jaugeons une carte partir de la forme gnrale de la rgion quelle reprsente en relation avec les masses deaux quelle contient. Cest ainsi que du premier coup dil, nous sommes en mesure dtablir lendroit auquel cette rgion appartient, parce que la relation unissant la quantit et la disposition des terres, de fleuves et des lacs, sont les mmes et sont dans la mme direction. De cette manire, quelle que soit lchelle laquelle nous observons le territoire, dans la mesure o nous sommes capables de recadrer une partie de ces 2 informations contrastantes, nous serons en mesure de localiser lendroit. linverse, nous

sommes incapables de rsoudre cette quation ds que cette relation change, puisque la base de notre jugement duqu, est cette relation. Il faut de plus tenir compte du point de vue des anciens navigateurs ou caravaniers, qui construisaient des rfrences pour leurs propres besoins avant de les assembler et den faire des cartes. Les anciens navigateurs possdaient leurs propres perspectives, qui staient chafaudes au fur et mesure des ncessits.

Comme nous lavons vu, les cits ne se dveloppaient pas n importe o. Eau de qualit, nourriture abondante, protection contre les menaces, site facilitant les changes avec les autres cits, taient des paramtres de base permettant la survie dune cit antique. Comme aujourdhui, cet effet tait ralis en construisant les cits sur la plaine immdiate la montagne des anctres assurant du mme coup eau, commerce, nourriture, en plus dune solide redoute de montagne, dans laquelle les habitants pouvaient se rfugier en cas dattaque. Tel un reprsentant de commerce qui effectue sa tourne client, les navigateurs commerciaux d'antan tablissaient diffrents circuits des cits portuaires, o ils taient susceptibles de fourguer leurs marchandises le plus rapidement possibles pour en retirer du profit et ainsi retourner acheter une autre cargaison de biens. Les cartes des anciens navigateurs navaient pas pour objet de faire connatre la topologie de la terre un ventuel aventurier ou un historien moderne, mais doffrir dans un format le plus simple possible, un rappel de la route suivre pour aller de A B , prochaine cit sur la voie navigable. La profondeur des terres navait pas dimportance et le relief darrire-plan en avait, que sil procurait des prcisions supplmentaires sur le parcours.

Ainsi, la carte navigateur ntait pas ddie au commerce intrieur ou au savoir gnral, mais visait procurer un navigateur un outil simple, facilement reproductible, qui clairait une route de travail , sapparentant beaucoup plus un triptyque montrant un chemin suivre par segments utilisables, quune carte gographique.

Carte de Peutinger Jusqu la gographie moderne, lidentification des rivires visait deux objectifs: permettre datteindre une cit qui serait sur un affluent et un point darticulation de la cte. Le point darticulation tait une technique normalise des navigateurs dpoques permettant de reproduire une cte suffisamment redresse, pour lenchsser ou mme d'en mettre plusieurs dans un format utilisable. Ils y parvenaient en reprsentant les rivires et les fleuves, quils utilisaient ensuite, comme pivot dangle pour linariser la cte. Chaque segment de cte inter-rivires, possdait donc le format de la cte reprsente avec son relief caractristique, mais pas sa direction gnrale qui navait en ralit que peu dimportance pour le navigateur vue. Advenait-il qu'un groupe de nouvelles cits souvrant sur un affluent, il ny avait plus qu produire un triptyque supplmentaire reprsentant les cits et la voix prendre pour sy rendre, et de la graver au bon endroit sur la carte objet ou de la greffer au bon endroit dans la pile de cartes, lorsque les cartes furent dutilisation courante.

De la mme faon, la marchandise tait ensuite distribue lintrieur des terres par des caravaniers qui avaient eux, le besoin de baliser leurs routes en utilisant les montagnes intrieures. Par la suite arriva le systme de reprage aux toiles et la boussole, qui apportait une amlioration sur la gographie, mais qui avait comme consquence de rduire la perspective des cartes, en changeant le rapport des distances nord-sud & est-ouest en plus de les dformer lapproche du ple Nord. Ainsi, quel que soit lendroit de la cte quil atteignait, il ne faisait que la longer jusqu une rfrence connue, do il pouvait tirer son chemin. De la mme faon quun caravanier navait pas connatre les sinuosits de la piste ou la forme du lac pour effectuer sa tche. Il navait qu avancer sur cette piste, jusqu ce quil croise le bord du lac ou de la mer et poursuive sa route de cet endroit. Cette diffrence de perception entre notre vision moderne et la leur est importante, car elle permet dexpliquer les diffrences et similitudes existantes entre les cartes de la Terre Sainte provenant des diverses cultures. Instruire la gographie moderne comme immuable, ntait quune faon comme tant dautres de tirer parti de ces diffrences, pour poursuivre le mensonge. Le dluge nest pas si exceptionnel au regard de certaines anomalies terrestres, mais il y a eu plus d'un dluge. Suivant les grands changements de climat du ple Nord ayant men lexpulsion dAdam et ve du Paradis, la ligne des glaciers sest mise descendre, englobant dans un premier temps une grande rgion autour de lle dEllesmere. La lente glaciation referma ensuite un gigantesque mur de glace tout contre la Baie DHudson, enfermant une phnomnale quantit deau sale et lempchant de se vider en dpit de la baisse du niveau de la mer. Au fil de la glaciation qui gagne vers le sud, cette masse deau fut repousse contre la ligne de sparation des eaux, jusqu ce quelle se fraye un chemin par une autre face du continent. Une lente et inexorable avance, crant une mer deau sale intrieure, qui slvera tt ou tard au rang dune perptuelle menace en suspens, susceptible doccasionner beaucoup de dommages pour les populations environnantes. Caractristique de choix, la mer Asphaltique tait aussi appele mer morte. Cette mer intrieure aux eaux sales, tait morte et incapable de supporter la vie. Dans la version officielle moderne, ce rle vertueux est jou par la mer Morte, un grand lac deau sal qui achve de scher au fond dune cuvette situe en dessous du niveau de la mer en Palestine moderne. Cette concentration de sel rsultant de laction du soleil empche la vie, phnomne lorigine de son nom de Mer Morte. La Mer Morte nest pas unique. Le grand lac sal de Salt Lake City aux tatsUnis, est une autre de ces anomalies ou l'on retrouve le fond dun lac deau sal, dans une cuvette entour de montagnes 1200 mtres au-dessus du niveau de la mer.

Suivant un vnement aussi catastrophique que celui du dluge, propulsant des quantits deau massive dans toutes les valles et cuvettes de montagnes et de glacier, de telles masses deau sales ont rendu toutes les dcharges deau douce, inutilisable pour une longue dure. Entours de ce mur de glace qui bouche les valles, de nouveaux lacs et mme de nouvelles mers intrieures sont crs. Tous ces trous deviennent des poches deau sales, qui nauront pas dendroit o spancher et qui dans de nombreux cas, persisteront durant plusieurs sicles, inondant pisodiquement les lacs intrieurs deau douce et les terres fertiles quils contaminent. Mer Morte nest pas le bon mot. La Bible parle dune mer morte bien sr, mais une mer morte appele Lac Asphaltique ou Asphaltide, la Mer Morte appartenant en propre la Palestine daujourdhui. Le lac Asphaltique possdait la rputation dtre mort et de ne possder aucune vie. Des qualificatifs qui dpassaient les attributs de la mer morte dans le sens que non seulement elle ne contenait pas de vie, mais tait nocive la vie, ce qui ne pouvait tre que le simple fait du degr de salinit. Des eaux soufres, contenant des gaz dits mphitiques , qui communiquaient lair une odeur pestilentielle. Des rsidus qui sexsudaient en masse du fond du lac aprs de longue priode, taient ramasss par les riverains et utiliss dans toute la Jude pour se chauffer et sclairer. Si les auteurs modernes sentendent gnralement sur du bitume, dautres en liminent simplement la possibilit en relevant lodeur pouvantable que le produit exhalait et qui disparaissait aprs le schage au soleil. Il tait dit que des maisons construites de cette matire, ne rsistaient pas laction du temps. Flavius Josephus qui tait du pays, en donnait une description qui mrite rflexion : De son temps, le lac de Sodome navait aucun poisson. Leau en tait si lgre, que les corps les plus lourds ne pouvaient aller au fond. . Bien quil soit possible de croire ici une mauvaise interprtation de notre physique moderne, ceci sapparente beaucoup plus une mauvaise traduction. De toutes les cuvettes naturelles ayant retenue ces lacs deaux sals, certaines taient dj des lacs deau douce aliments par des affluents, qui virent simplement leur eau, tre dun seul coup remplac par de leau sale provenant du Dluge. Pour ces lacs, laction ne se limitait pas un dpt deau sale qui terminera sa vie en schant. Les affluents qui les nourrissaient en eau avant, poursuivirent leurs tches par la suite, dversant dans ces bassins salins une quantit deau douce, qui pourrait tre vue comme un lment rgnrateur, mais ce n'est pas le cas. Les deux types deaux, lune douce et lautre sale, ne possdent pas la mme densit et ne se mlangeront pas. Leau douce beaucoup plus lgre,

stendra sur toute sa surface du bassin deau sale comme le ferait une pellicule plastique, avant de se retrouver dans une dcharge du lac. Le lac Asphaltique tait un des affluents du Jourdain. De nombreuses communauts vivaient au long de cet affluent et bnficiaient de cette eau en partant de la dcharge mme du lac. Une eau empoisonne aurait rendu toute vie impossible. Ainsi alimente par les affluents du lac, la rserve saline pouvait durer des sicles. Durant cette priode, la pellicule deau douce ayant leffet dun isolant, le bassin salin de la cuvette emmagasinera de la chaleur sous laction du soleil. Vritable accumulateur de chaleur, la temprature du bassin salin dpassera rapidement celle o un baigneur risque les brlures et dans laquelle la vie ne peut survivre. Les affluents livrant au lac une eau riche de sdiments et de vie aquatique qui, incapable de sortir du lac, meurent en se dposant au fond du bassin o ils cuisent feu doux dans un marmiton deau sal sous pression. En plus de nous donner une piste concernant lorigine du ptrole, ceci explique les raisons pour lesquelles les exsudations de cette matire, ne survenaient quaprs de longues priodes, moment o cette matire tait suffisamment gorge de gaz pour se dcoller du plancher et remonter la surface en plaque. Il est possible de croire que suivant un vnement de lintensit de celui du Dluge biblique, de tels macrateurs ptrole situs dans des poches furent trs nombreux et srement pas limits un seul endroit. Une perspective qui incidemment, allait lencontre de notre ducation moderne.

Au vu de lensemble des anciennes cartes de la Terre Sainte, sa premire phase peut-tre dcrite ainsi : Une grande plaine dapproximativement 100 kilomtres sur 400, borde dun ct par une mer appele Grande Mer, Mditerrane ou Galile selon les poques. Cette grande plaine est parseme de petites montagnes groupes et elle est traverse dun ct par deux chanes de montagnes parallles, encadrant une plaine donnant sur la Grande Mer. lautre extrmit de cette premire chane de montagnes appeles montagnes de l'Anti Liban, se trouve un groupe de montagnes remarquables par leurs hauteurs et des sommets couronns de blanc toute lanne. Cest sur la plus haute de ces montagnes que lArche de No schoua. (Le cercle bleu) Sa progniture se dveloppa sur ces montagnes, fournies abondamment en eau fraiche par les neiges ternelles du sommet. Des lacs au pied des montagnes donnaient ensuite naissance au fleuve Jourdain qui se rendait jusqu la grande mer, aprs avoir travers la plaine de la Terre Sainte, quelle fertilisait en dbordant tous les ans. Le Jourdain ne se rendait pas la grande mer directement, mais la suivait paralllement pendant un moment, avant de bifurquer 90 dans sa direction. lendroit de cette bifurcation, il existe le lac Gnsareth, qui fut aussi appel le grand lac Tibriade suivant la conqute romaine, dans lequel se jettent deux autres affluents. Un de ces affluents provient du lac Asphaltique ou mer des Moabites, avant darriver loppos du Jourdain dans le lac Gnsareth. Un troisime affluent, de moindre importance, provenait de la direction oppose la grande mer. Suivant les traumatismes du dluge et les diffrences de climat, lhomme ne sinstalla pas immdiatement dans la plaine. Les montagnes taient les lieux de prdilection des hommes dalors. Chaque montagne possdant les prs requis, tait amnage pour y recevoir la cit. Certains de ces endroits possdant des avantages suprieurs en cas de menace, taient considrs comme lieu de refuge ultime pour les cits environnantes de la rgion en cas dattaque et amnage en consquence. Tous les saints hommes de la bible, ont gravit autour du lac Gnsareth. La dpouille de beaucoup dentre eux y repose et le paysage est le tmoin de leurs histoires. Cest cet endroit que beaucoup plus tard Jsus de Nazareth sera crucifi sur la montagne du calvaire par les Romains. Un endroit si sacr en fait, quune cit fantastique fut mise en place la clbration de ces anctres, Jrusalem.

Jrusalem tait une grande cit. Jouxte de sa banlieue immdiate, sa population a pu atteindre 5 ou 6 millions dindividus certaines poques. Elle tait entoure dune imposante fortification de trente mtres de hauteur et suffisamment large pour que deux chariots chevaux puissent y circuler de front. Lensemble de luvre atteignait 80 kilomtres de long. Considr comme un joyau pour les raisons dcrites, elle tait constamment lobjet dattaques et fut conquise, dtruite et reconstruite de nombreuses reprises, dportant chaque fois les habitants en colonne, pour devenir des esclaves au nouveau matre. Dans les temps forts, l'ensemble de la Terre Sainte a contenu une soixa