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la semeuse de rêves à parr de Haïkus de Bashō théâtre - son - poésie laboratoire arsque de l’Espace Pasolini valenciennes

La semeuse de rêves

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à partir de Haïkus de Bashō Théâtre - Son - Poésie un création du laboratoire artistique de l’Espace Pasolini / Valenciennes Performance : Nathalie Le Corre Création sonore & interprétation : Philippe Asselin Lumières & régies : Sophie Lepoutre Actions de médiation : Marie-Odile Raux

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la semeuse de rêvesà partir de Haïkus de Bashō

théâtre - son - poésie

laboratoire artistique de l’Espace Pasolinivalenciennes

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la semeuse de rêvesà partir de Haïkus de Bashō

théâtre-son-poésie laboratoire artistique de l’Espace Pasolini / Valenciennes

Performance : Nathalie Le CorreCréation sonore & interprétation : Philippe AsselinLumières & régies : Sophie Lepoutre

Actions de médiation : Marie-Odile Raux

à partir de 6 ansdurée : 45 minutes

chargé de diffusion Flavien Boisson • [email protected]+33(0)668814887

photographies ©Frédéric Iovinodessin Henri Duhamel

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Mise en corps, voix et sons, la poésie subtile du maître du haïku japonais révèle l’instant dans toute sa fragilité et son éphémérité.Nous avons découvert les haïkus de Bashô il y a plus de vingt ans lors de nos ateliers avec les enfants. Nous étions alors tout aussi émerveillés qu’eux à la découverte de ces petits bijoux poétiques.

La semeuse de rêves naît des retrouvailles avec les haïkus de Bashô que notre équipe a transmis à un grand nombre d’enfants ; et surtout du désir de retrou-ver l’Enfant face à notre geste artistique.

Les carnets de voyage de Bashô forment l’architecture de La semeuse de rêves.

Les haïkus, par leur extrême simplicité, font miroiter toutes les facettes de l’existence humaine et de l’uni-vers. Les êtres humains, les animaux, la nature dans son ensemble sont mis en adéquation avec l’Instant, révélant l’impermanence des choses.

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Bashō (1644-1694)

Père du Haïku, universellement connu comme le plus grand poète du genre.

Sa vie est ponctuée par des périodes de solitude dans son ermitage et de nombreux voyages.

Il traverse le Japon à plusieurs reprises, au péril de sa vie. Ses périples sont la source essentielle de son inspiration, des voyages

à la fois poétiques et initiatiques.

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La semeuse de rêves commence par l’invocation du seigneur ermite Bashō et son apparition très théâtrale qui n’est pas sans rappeler le Nô, théâtre traditionnel japonais.

Après une lente traversée, Bashō gagne son espace de vie, sa maison : une scène de bois réduite à sa plus simple expression. Le personnage énigmatique aban-donne son manteau de voyage puis déploie son corps au travers de gestes du quotidien ; des rituels simples ponctués par les haïkus. L’actrice apparaît peu à peu derrière le masque. Dépouillée de tous ses artifices, elle quitte la petite scène de bois pour s’immerger dans le corps du public tout en semant les haïkus comme autant de graines poétiques. Elle danse ; elle danse la fête des moissons ; elle danse une danse des saisons, rythmée par les sons percussifs des nombreux et étranges instruments de Philippe Asselin.

La semeuse de rêves est un spectacle qui aiguise les sens, un spectacle à vivre et à partager. La matière so-nore tissée à la performance de l’actrice, la lumière et le dispositif scénique qui réunit public et artistes en un espace unique, invitent à plonger dans un univers intemporel, aussi délicat que les haïkus eux-mêmes.

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Dispositif scénique

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La place et le rôle du public sont une réflexion majeure de l’Es-pace Pasolini depuis de nombreuses années.La mise en place d’un « laboratoire des publics » permet d’expé-rimenter des dispositifs qui questionnent le statut du spectateur.L’équipe de l’Espace Pasolini développe un travail sur l’acte poé-tique en tentant d’inclure le public au cœur de sa démarche de création, l’amenant progressivement à prendre lui-même conscience de sa présence, de sa respiration et de sa responsa-bilité vis-à-vis de l’œuvre.

La semeuse de rêves réunit artistes et spectateurs en un espace unique. La semeuse de rêves investit le public en douceur.Il ne s’agit pas de faire participer le public en lui donnant un sta-tut intermédiaire entre artiste amateur et spectateur ; mais de lui faire parcourir de façon sensible l’événement artistique et de lui donner pleinement sa responsabilité de spectateur.Le dispositif scénique a pour objectif de créer un tissu immersif entre le corps des enfants, corps du public et celui de la per-formeuse ; amenant ainsi le moment de la représentation à un véritable moment de partage sensible.

La semeuse de rêves permet une très belle initiation des enfants à l’univers poétique et artistique car ils s’y trouvent immerger en toute simplicité.

Après la représentation, les artistes restent disponibles pour échanger avec leur public. Ce moment privilégié permet de consolider « cette mission » de partage et de transmission.

Le dispositif scénique : artistes et spectateurs réunis dans un espace unique

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Le dispositif scénique : « une communauté sen-sible avec les armes de la poésie ».

« Ce projet naît de mon expérience d’actrice et de formatrice des dix dernières années. Le chantier de création à partir de Hanjo de Yukio Mishima, les workshops menés à Munich et à Madrid avec de jeunes professionnels, l’atelier universitaire au sein du-quel j’ai développé le corps performatif, et plus récemment mon travail dans le laboratoire sonore mis sur pied par Philippe Asse-lin m’ont progressivement amené à quitter l’espace de la repré-sentation mais surtout le corps de la représentation pour cher-cher à conquérir une présence instantanée, un « corps sensible ». Ma recherche tend depuis des années à inviter chaque personne du public dans mon geste de façon à former une communauté sensible.

Le projet Enfemme qui a consisté à recueillir la parole de femmes sur la délicate question de la création et de la maternité a boule-versé ma démarche d’artiste et de femme, et l’a grandement en-richie. En allant à la rencontre de publics éloignés de la culture, en oubliant volontairement mes attributs d’artiste, en acceptant cette plongée dans la forêt sociale, j’ai exploré les limites du pouvoir de l’artiste ; mais aussi sa capacité à réunir à partir de sa seule présence, j’ai appris sa capacité à libérer la parole, la mémoire, et l’émotion.

Je cherche un corps à corps avec le public.

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La performance s’est peu à peu imposée à moi. Le compagnon-nage de presque trente années avec Philippe Asselin qui a eu le courage de remettre sans cesse en question chacune des formes artistiques créées, les rencontres avec les artistes de la danse contemporaine accueillis dans les festivals Lignes de Corps et Next, m’ont conforté dans le désir de rompre avec l’organisation spatiale et temporelle de la représentation.

L’adéquation entre celui qui acte, le lieu où la « chose » se passe, le public présent et le moment de l’action signe la création comme un acte unique et absolument vivant. »

Nathalie Le Correactrice performeuse, directrice de l’Espace Pier Paolo Pasolini

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Dispositif sonore

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Le laboratoire sonore a une place prépondérante dans le laboratoire artistique de l’Espace Pier Paolo Pasolini.

Mis sur pied en 2009 par Philippe Asselin, ce labora-toire sonore se construit à partir d’un instrumentarium de gongs, de tams et de cloches asiatiques. Les per-cussions métalliques sont associées aux sons électro-niques et électroacoustiques.

L’instrumentarium est installé au milieu du public.Les sons révèlent la musicalité des haïkus et la préci-sion des gestes de l’actrice. La matière sonore permet au public de vivre une véritable immersion sonore.

Le Laboratoire sonore

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Tissage des sons d’instruments traditionnels et des sons électroacoustiques.

La pièce centrale du dispositif sonore est un cadre de piano découpé et couché pour mettre à nu la table d’harmonie ; il est utilisé comme un cymbalum, une caisse de résonance. Les cordes du piano et les instruments traditionnels (gongs, tams et bols) sont mis en vibration. Les sons produits sont trans-formés, développés, étirés via des pédales à effets et des syn-thétiseurs, créant un tissu sonore original.

Philippe Asselin mène un travail autour de la résonance et de la vibration, pour ce faire il joue avec les cordes de manière aty-pique en les frottant, en les pinçant à l’aide d’accessoires détour-nés pour l’occasion : brosses, tiges de bois, chaines, fils de nylon, pierres sphériques.

De la même manière, Philippe Asselin ne travaille pas le tam et les tams tams de façon conventionnelle. Il fait naître le son de frottements réalisés à l’aide de superball, brosses et tiges de bois.

Les instruments traditionnels qui composent le dispositif so-nore :

• Deux tams tams chinois ;• Un tam Chinois (1 mètre) ;• Un gong de l’île de Bali (85 cm) ;• Un set de cloches d’origines diverses : Thaïlande, Japon, Tibet, Birmanie, Europe ;• Cinq bols de méditation : un bol japonais et quatre bols tibé-tains ;• Un Carillon composé de tubes de métaux divers (aluminium, cuivre, laiton…) ;• Un Khên du Laos (un orgue à bouche).

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Pier Paolo Pasolini est un poète, écrivain, essayiste, scénariste, dramaturge et cinéaste italien. Auteur d’un « cinéma de poésie », il est reconnu comme un des grands artistes et intellectuels du XXème siècle.

Il s’est insurgé contre l’hédonisme de la société de consommation qu’il accuse de conduire à une forme d’acculturation.

Il cherchera par tous les moyens, dans ses œuvres aux formes multiples, souvent contradictoires, dans sa vie publique et privée, avec les « armes de la poé-sie » et une « Vitalité Désespérée », à dire aux pou-voirs la nécessité absolue d’un art et d’une pensée libre au sein d’une société.

L’Espace Pasolini est le seul lieu en Europe portant le nom de l’artiste depuis la fermeture de la fondation Pier Paolo Pasolini qui était située à Rome et était dirigée par Laura Betti.

C’est dans cette tentative toute pasolinienne d’un corps et d’une parole engagés dans sa société que s’écrit la vie de l’Espace Pasolini.

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ESPACE PIER PAOLO PASOLINI

née dans l’élan des années 80, la jeune compagnie Collectif théâtral du hai-naut devenue avec son ouverture à l’international en 1985 le Jeune théâtre international, développe un projet artistique qui met sur un même pied d’égalité, avec une exigence égale, la création et la sensibilisation artistique en direction des enfants et adolescents.

De 1984 à 2014, 40000 enfants et jeunes sont sensibilisés au théâtre et à la poésie au sein de leur établissement scolaire ; dans la même période, phi-lippe Asselin signe 32 mises en scènes dont la plupart à partir de ses textes ou adaptations.

1990 marque un tournant décisif. Le Jeune théâtre international loue et aménage un local industriel situé dans le centre ville de Valenciennes.Ce lieu, baptisé espace pier paolo paso-lini, devient un espace culturel alter-natif qui accueille une programmation audacieuse tournée vers l’innovation, l’expérimentation et l’émergence artis-tiques, ainsi que des colloques et des séminaires.

en 2001, L’espace pasolini met sur pied un festival international de danse contemporaine, Lignes de Corps qui

accueille les danseurs et chorégraphes à l’émergence de « la non danse » ou « danse conceptuelle », qui marque une véritable révolution artistique en europe : Boris Charmatz, Xavier Le roy, Alain Buffard, raimund hoghe, La ribot, Jérôme Bel, Laurent Goldring, Cindy Van Acker, Emmanuelle Huynh, eszter salamon, Lisa nelson, João Fia-deiro et bien d’autres sont accueillis régulièrement à l’espace pasolini.

Depuis 2008, Lignes de Corps est deve-nu le festival NEXT, en partenariat avec des maisons françaises et belges (La rose des Vents de Villeneuve d’Ascq, les théâtres de Courtrai et la Maison de la Culture de Tournai).

en 2002, philippe Asselin et nathalie Le Corre, directeurs de l’espace pasolini, révolutionnent leur processus de créa-tion : celle-ci devient transdisciplinaire, et tend de plus en plus vers une forme performative, abandonnant le système conventionnel de la mise en scène et de la production théâtrale.

L’Espace Pasolini devient un labora-toire artistique, une des maisons en Europe où est expérimentée l’explo-sion des frontières entre les arts.

Lieu de créations et d’expérimen-tations pour les artistes, de forma-tion des publics - prioritairement les plus jeunes - l’Espace Pasolini réunit artistes et publics à l’occasion d’Ins-tants Magnétiques : créations, perfor-mances, présentation de fin de rési-dences, restitutions d’ateliers...

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Philippe Asselin écrit ses premiers textes à l’âge de 17 ans. Il est enga-gé comme comédien animateur au ‘Théâtre Populaire des Flandres’ dirigé par Cyril Robichez en 1975.

En 1977 il met sur pied un collectif d’improvisation musicale et poétique : MU. En 1979, il écrit et met en scène sa première pièce personnelle : La Sor-cière d’après l’œuvre de Michelet, puis crée son premier spectacle solitaire : Histoire(s) d’être fou(s).Il dirige un atelier « Théâtre et Poésie » au Lycée Watteau de Valenciennes. En naît une création d’élèves : Antigone de Sophocle qui sera le départ du ‘Collec-tif Théâtral du Hainaut’.

Depuis 1981, il assure la direction artis-tique du ‘Collectif Théâtral du Hainaut - Jeune Théâtre International’, et depuis 1991 la direction artistique de l’Espace Pasolini.En 1982, il forme une jeune équipe d’acteurs qui mène de front un travail

de terrain en direction de la jeunesse, à travers des projets de sensibilisation au théâtre et à la poésie au sein des établissements scolaires de la région Nord-Pas de Calais ; et un travail de création.

En 1985, le Collectif Théâtral du Hai-naut devient Jeune Théâtre Internatio-nal et met sur pied un réseau de colla-boration internationale.

Entre 1982 et 2001, la compagnie pré-sente 27 créations, à partir des grands textes de la tragédie antique souvent adaptés par Philippe Asselin lui-même (Prométhée Enchaîné, Iphigénie en Tauride, Antigone, Hippolyte…) ou des poésies (Charles Baudelaire, Georg Trakl, Pier Paolo Pasolini…) ou des textes de Philippe Asselin (Les Noces dans la terre, Adolescences, Don Juan ou la naissance des larmes…).

En 2002, après la création d’Hippolyte d’Euripide et une nouvelle version de

Philippe Asselindirecteur artistique de l’Espace Pasoliniauteur - artiste

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Prométhée Enchaîné d’Eschyle qui sera présentée à Pékin puis à Shanghaï, Philippe Asselin engage un chantier scénique à partir d’une des œuvres majeures de la littérature allemande, Penthésilée d’Heinrich von Kleist. Ce laboratoire ouvert à des artistes et chercheurs constitue le creuset à partir duquel Philippe Asselin et son équipe révolutionnent son processus de créa-tion et son mode de production. La création de Philippe Asselin devient transdisciplinaire, abandonne le mode de production théâtrale convention-nelle, notamment la structure de la mise en scène et questionne les rela-tions artistes/œuvres/publics et la no-tion même de représentation.

Depuis, les créations de l’Espace Paso-lini se déclinent sous la forme de chan-tiers qui évoluent avec les artistes, les publics, le temps. Peu à peu, Philippe Asselin amorce un vaste chantier sur le son et la voix, qui aboutit à des formes artistiques étonnantes : Gongs à partir d’une collection de gongs et de tams asiatiques a pour but de faire résonner des espaces naturels, industriels ou patrimoniaux. En 2010, il écrit Bribes Jocaste et déve-loppe avec Nathalie Le Corre un travail interactif entre le son, la voix, les mots.

Aujourd’hui il s’investit dans le déve-loppement d’un laboratoire sonore.

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Nathalie Le Corre découvre le théâtre au sein d’un atelier théâtre au lycée Jules Mousseron à Denain. Elle débute son aventure théâtrale professionnelle dès 1984 dans la compagnie ‘Collectif Théâtral du Hainaut’ dirigée par Phi-lippe Asselin. De 1984 à 1988, elle est actrice dans toutes les mises en scènes de Philippe Asselin : La lépreuse dans Prométhée homme nouveau d’après Eschyle, Io dans Prométhée Enchaîné d’Eschyle, Dona Anna dans La naissance des Larmes de Philippe Asselin, la Mère dans Le combat des Dragons et le chant d’Halewyn…

Puis elle quitte la scène pour se consa-crer à l’assistanat à la mise en scène et à la dramaturgie. Dans le même temps, elle prend en charge la direction de « la sensibilisation en milieu scolaire », développe au sein de plusieurs com-munes partenaires de la Compagnie le festival de théâtre d’enfants Les Se-maines Théâtrales de l’Enfance qui de-vient en 1990 le Jeune Mai du Théâtre.

En 1990, elle est directrice de la com-pagnie aux côtés de Philippe Asselin, et met sur pied à l’Espace Pier Paolo Pasolini une série de colloques et évè-nements à partir de l’œuvre de Pier Paolo Pasolini.

En 1998, elle assure la formation, notamment à travers l’atelier universi-taire de Valenciennes et une classe de formation théâtrale qui donnera nais-sance à plusieurs créations d’élèves : Ophélie d’après Shakespeare, Oreste caché de Philippe Asselin, L’inadver-tance d’Alain Suied, Hanjo de Yukio Mishima... De 2000 à 2003, elle enseigne au Conservatoire de Musique et d’Art Dra-matique de Valenciennes.Elle coréalise avec le compositeur Alexandre Markéas un spectacle musi-cal « La Conférence des Oiseaux » avec les enfants des écoles primaires de Valenciennes.

Nathalie Le Corredirectrice de l’Espace Pasoliniactrice performer

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Entre 2002 et 2004, elle organise deux colloques à partir de l’auteur allemand Heinrich Von Kleist et de son œuvre, sur la thématique « représenter l’irre-présentable ».En 2005, elle retrouve le plateau en qualité d’actrice lors du Chantier 3 de Matériau -Penthésilée d’après Heinrich von Kleist, une création qui marque le départ du laboratoire artistique de l’Espace Pasolini.A partir de 2006, elle met sur pied le projet intitulé Enfemme qui consiste à réunir à partir de la question de la création et de la maternité, des témoi-gnages de femmes à travers le monde. Puis elle performe à partir de ces té-moignages.

Parallèlement, elle développe une méthode de travail basée sur « le corps et la voix mythiques » qu’elle expé-rimente lors de workshops avec de jeunes artistes européens. Depuis 2008, elle assure la program-mation artistique du festival transfron-talier Next, en partenariat avec la Rose des Vents de Villeneuve d’Ascq, la Mai-son de la culture de Tournai, le Théâtre de Courtrai et le Buda de Courtrai.

Le parcours de Nathalie Le Corre est atypique dans le sens où elle est de-meurée actrice dans tous les sens du terme, s’investissant dans tous les do-maines (pédagogie, direction de pro-jets culturels, création artistique). Elle prône l’engagement de l’acteur à tous les endroits de la société.

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Accueillir La semeuse de rêves

• 3 personnes en tournée• Temps de montage : 6h

ESPACE SCéNIquEArtistes et spectateurs sont installés dans un espace uniqueespace minimum : 12m x 9m50Jauge limitée en fonction de l’espace mis à disposition

ATELIERS dE MédIATIONdes ateliers de sensibilisations peuvent être réalisés en amontdes représentations, auprès des classes.

CONTACT :Flavien Boisson • [email protected]+33(0)668814887

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Espace Pasolini

@EspacePasolini

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2 rue Salle Le Comte - Valenciennes

03 27 32 23 [email protected]

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