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www.u-m-p.org 1 > ARGU FLASH < 3 avril 2012 L’ACTION DE NICOLAS SARKOZY EN FAVEUR DE LA JEUNESSE Alors que le PS infantilise la jeunesse en lui proposant de la maintenir dans l’assistanat, Nicolas Sarkozy base son projet sur l’autonomie et la responsabilité. Car on ne gagne pas son autonomie en touchant une allocation, mais en ayant, quelque soit son profil, la chance de construire son avenir. 1/ La majorité a fait de la formation et de l’insertion sur le marché du travail ses priorités pour la jeunesse. a/ Un parcours de formation profondément rénové, de la maternelle à l’université. Grâce à la réforme du primaire, du lycée général, technologique, et professionnel, nous avons fait évoluer notre école, pour qu’elle permette à chacun de trouver sa voie d’excellence. En créant plus de 10 000 places d’internats d’excellence – à terme 20 000 -, nous avons donné plus aux jeunes qui ont moins. Pour permettre aux jeunes de milieux modestes de faire des études supérieures : 312 cordées de la réussite ont été créées, bénéficiant à 47 000 jeunes des « cités ». L’objectif de 30% de boursiers dans chaque classe préparatoire a été atteint. Le mouvement va se poursuivre et les cordées seront étendues aux zones rurales. Les bourses ont été revalorisées et augmentées : le nombre de boursiers est passé de 470 000 à 600 000. Depuis la rentrée 2011, tous les boursiers reçoivent un 10è mois de bourse. Un fonds d’aide a été créé pour les étudiants faisant face à une situation d’exceptionnelle gravité. L’aide à l’acquisition de la complémentaire santé est passée de 100 à 200€. Nous avons modernisé l’université, grâce à l’autonomie qui s’est accompagnée d’une hausse de 9 milliards d’euros des moyens de l’enseignement supérieur. Le budget des universités a augmenté de 25% à 50%. Les universités bénéficient également des Investissements d’avenir (7,7 milliards) et du Plan campus (5,5 milliards) pour améliorer les conditions de travail des étudiants et chercheurs. Le plan Réussir en licence a permis de rénover celle-ci : les parcours sont plus personnalisés et le soutien est renforcé. En imposant un stage et des référentiels communs de formation, la licence redevient un vrai diplôme de référence. Nous avons connecté davantage nos établissements au marché du travail. En créant une banque de stages nationale pour tous les lycéens en parcours professionnel. En inscrivant la mission d’insertion professionnelle au cœur de l’université. Nous avons fait de l’orientation des jeunes une priorité. En instaurant un véritable « droit à l’erreur » en matière d’orientation. En créant la plateforme d’ « Admission Post Bac » qui met tous les lycéens sur un pied d’égalité pour la poursuite de leurs études. En créant le Service public de l’orientation.

L'action de Nicolas Sarkozy en faveur de la jeunesse

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Argumentaire UMP - L'action de Nicolas Sarkozy en faveur de la jeunesse

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> ARGU FLASH < 3 avril 2012

L’ACTION DE NICOLAS SARKOZY EN FAVEUR DE LA JEUNESSE

Alors que le PS infantilise la jeunesse en lui proposant de la maintenir dans l’assistanat,

Nicolas Sarkozy base son projet sur l’autonomie et la responsabilité. Car on ne gagne pas son

autonomie en touchant une allocation, mais en ayant, quelque soit son profil, la chance de

construire son avenir.

1/ La majorité a fait de la formation et de l’insertion sur le marché du travail ses

priorités pour la jeunesse.

a/ Un parcours de formation profondément rénové, de la maternelle à l’université.

� Grâce à la réforme du primaire, du lycée général, technologique, et professionnel, nous

avons fait évoluer notre école, pour qu’elle permette à chacun de trouver sa voie

d’excellence. En créant plus de 10 000 places d’internats d’excellence – à terme 20 000 -,

nous avons donné plus aux jeunes qui ont moins.

� Pour permettre aux jeunes de milieux modestes de faire des études supérieures :

• 312 cordées de la réussite ont été créées, bénéficiant à 47 000 jeunes des « cités ».

L’objectif de 30% de boursiers dans chaque classe préparatoire a été atteint. Le

mouvement va se poursuivre et les cordées seront étendues aux zones rurales.

• Les bourses ont été revalorisées et augmentées : le nombre de boursiers est passé

de 470 000 à 600 000. Depuis la rentrée 2011, tous les boursiers reçoivent un 10è

mois de bourse. Un fonds d’aide a été créé pour les étudiants faisant face à une

situation d’exceptionnelle gravité. L’aide à l’acquisition de la complémentaire santé

est passée de 100 à 200€.

� Nous avons modernisé l’université, grâce à l’autonomie qui s’est accompagnée d’une

hausse de 9 milliards d’euros des moyens de l’enseignement supérieur.

• Le budget des universités a augmenté de 25% à 50%. Les universités bénéficient

également des Investissements d’avenir (7,7 milliards) et du Plan campus (5,5

milliards) pour améliorer les conditions de travail des étudiants et chercheurs.

• Le plan Réussir en licence a permis de rénover celle-ci : les parcours sont plus

personnalisés et le soutien est renforcé. En imposant un stage et des référentiels

communs de formation, la licence redevient un vrai diplôme de référence.

� Nous avons connecté davantage nos établissements au marché du travail. En créant

une banque de stages nationale pour tous les lycéens en parcours professionnel. En

inscrivant la mission d’insertion professionnelle au cœur de l’université.

� Nous avons fait de l’orientation des jeunes une priorité. En instaurant un véritable

« droit à l’erreur » en matière d’orientation. En créant la plateforme d’ « Admission Post

Bac » qui met tous les lycéens sur un pied d’égalité pour la poursuite de leurs études. En

créant le Service public de l’orientation.

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b/ L’insertion professionnelle de jeunes au cœur de la politique de l’emploi.

� Nous nous étions engagés à nous occuper des 150 000 jeunes qui décrochent chaque

année :

• Le système interministériel d'échange d'informations permet d’identifier tous les

décrocheurs, afin de les prendre en charge au sein de 400 plateformes locales de

lutte contre le décrochage. 90 000 entretiens ont été réalisés et plus de 56 000

solutions d’embauche ou de formation ont été trouvées.

• Nous avons également donné un coup d’accélérateur aux écoles de la seconde

chance : elles offrent 10 500 places aujourd’hui.

� Nous développons l’alternance à tous les niveaux du système éducatif et universitaire,

pour atteindre l’objectif ambitieux de 800 000 jeunes formés par l’alternance en 2015 :

zéro charges, création d’un bonus-malus, création d’un portail de l’alternance – 90 000

offres en ligne –, l’alternance dès 15 ans, et de nouvelles places en CFA (250M€).

� Les organismes de placement s’investissent pour les jeunes en difficulté. En

complément, ces derniers reçoivent des allocations, distribuées sous condition

d’implication dans la recherche d’emploi. C’est la logique des droits et des devoirs. C’est

le contrat CIVIS (1 million de jeunes), le contrat d’autonomie dans le cadre du plan Espoir

Banlieues (44 000 jeunes), ou le revenu contractualisé d’autonomie (4100 jeunes).

c/ Une meilleure reconnaissance du travail des jeunes :

� Le travail étudiant a été défiscalisé : en août 2007, l’exonération d’impôt sur les

salaires perçus par les élèves ou étudiants de moins de 26 ans a été généralisée (dans la

limite de trois fois le SMIC pour 2011).

� Pour mettre fin aux abus en matière de stages, nous avons interdit les stages hors

cursus et rendu obligatoire leur rémunération après 2 mois.

� Nous avons voulu que les jeunes qui ont travaillé 2 ans sur une période de 3 ans

puissent bénéficier du RSA jeunes actifs. C’est une mesure d’encouragement du travail

et une mesure de justice (10 300 jeunes en bénéficient).

� Nous soutenons les jeunes qui ont envie d’entreprendre : aujourd’hui, près de 170 000

jeunes âgés de 18 à 30 ans bénéficient du statut d’auto-entrepreneur. En 2011, nous

avons créé le statut du mineur entrepreneur, pour que les 16-18 ans puissent se lancer

dans la création d’entreprise, après accord de leurs parents.

2/ Face aux difficultés de la vie, la majorité a aussi souhaité mieux protéger les

jeunes et leur faire confiance.

a/ Le fonds d’expérimentation pour la jeunesse est une pépinière de solutions innovantes.

Créé en 2009 et doté de 250 millions d’euros, il permet d’impulser quelques 400 initiatives

en faveur de la jeunesse, toutes soumises à une stricte évaluation.

b/ Le logement des jeunes érigé en priorité

� 3,1 milliards d’euros par an sont versés aux jeunes de moins de 25 ans au titre de l’aide

au logement. 45 000 chambres étudiantes ont été rénovées ou construites.

� Le plan campus a permis de moderniser le cadre de vie des étudiants.

� Face au problème du financement de la caution auquel sont confrontés les jeunes, le

Loca-pass ou le Passeport logement permettent la prise en charge des cautions.

c/ Ouverture du chantier du permis de conduire.

� Son coût et sa difficulté constituent un vrai obstacle à l’emploi : nous avons franchi une

première étape en réformant l’examen pour le rendre moins long et plus

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accessible ; nous soutenons des initiatives comme le permis à 1 € par jour qui bénéficie à

80 000 jeunes, et l’opération 10 000 permis pour réussir qui permet de financer le permis

en contrepartie de bénévolat associatif.

d/ Valorisation de l’engagement

� Grâce au service civique, 20 000 jeunes se sont engagés en faveur de grandes causes, au

service de l’intérêt général. Ils seront 25 000 fin 2012. A terme, l’objectif est d’atteindre

10% d’une classe d’âge, soit 75 000 jeunes. Avec 59% des jeunes engagés qui ont un

niveau scolaire inférieur au baccalauréat, l’objectif de mixité sociale est atteint. 90% des

volontaires ont une opinion positive du service civique !

� Instauration de la pré-majorité associative : dorénavant, les jeunes peuvent, dès 16 ans,

s’impliquer dans des associations.

� Abaissement de l’âge de l’éligibilité de 23 ans à 18 ans à l’Assemblée nationale, et de 30

ans à 23 ans au Sénat.

3/ Pour le prochain quinquennat, le projet de Nicolas Sarkozy est d’aider la

jeunesse à être libre, à être responsable, à s’engager dans des projets.

a/ Une banque pour la jeunesse afin de porter les projets des jeunes en particulier les

jeunes des classes moyennes qui n’ont pas toujours des parents qui peuvent les aider.

� Désormais, tout étudiant pourra emprunter pour financer ses études : l’Etat se portera

caution pour lui auprès des banques et couvrira tout risque de défaillance de sa part.

Concrètement, tout jeune pourra percevoir un revenu de 500€ par mois pendant toute la

durée de sa formation. Il ne devra rembourser la somme qu’après avoir touché son

premier salaire, et le montant de ses annuités sera proportionnel à ce salaire. L’accès au

dispositif sera conditionné à l’inscription dans un cursus de formation et ne sera

reconduit l’année suivante que si le bénéficiaire a été reçu à ses examens.

� La « Banque de la jeunesse » apportera également une garantie locative universelle.

Aucun jeune ne doit pouvoir se voir refuser l’accès à un logement au prétexte qu’il ne

peut présenter de caution parentale ou déposer de garantie. Les pouvoirs publics

joueront désormais le rôle d’une assurance « GLI » (garantie loyers impayés) qui, en cas

de loyer impayé, paierait le loyer au propriétaire à la place du jeune.

b/ Développer l’alternance pour en finir avec ce mur infranchissable qui se dresse entre les

entreprises et les jeunes.

� Nicolas Sarkozy propose de rendre l’alternance obligatoire en dernière année de bac

professionnel et de CAP, soit 250000 jeunes en plus formés en alternance chaque année.

� Les entreprises de plus de 250 salariés, accueilleront obligatoirement un nombre

d’apprentis égal à 5% de leurs effectifs. Les banques, les entreprises d’assurance mais

aussi, les administrations devront accueillir des apprentis.

c/ Favoriser l’emploi des jeunes notamment dans les PME et les TPE.

La politique de Nicolas Sarkozy a favorisé la création de 2,5 millions d’entreprises en France

depuis 2007 notamment avec le dispositif « zéro charges » pour les TPE qui embauchent un

jeune de moins de 26 ans. Nicolas Sarkozy souhaite pérenniser le dispositif « zéro charges »

pour les TPE, qui est bénéfique pour les PME comme pour les jeunes. Ce dispositif, sans

restriction d’âge, avait fait ses preuves entre 2008 et 2010 puisqu’il avait bénéficié à 1

million de salariés. Il est légitime de le reconduire pour l’emploi des jeunes.