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l’infolʼédito du présidentChers Amis,La Loi HPST : après son passage à lʼAssemblée Nationale et au Sénat, le texte nʼest pas défi nitif car en attente des derniers arbitrages de la Commission Mixte Paritaire.Nous sommes (avec dʼautres) toujours vivement opposés à certaines mesures inacceptables et contre productives : IGAS dans les cabinets, déclaration dʼabsence auprès des CDO, contrats de solidarité ou « taxe Bachelot », etc.Malgré tout, nous restons, à ce jour globalement satisfaits de lʼorientation générale de ce texte qui préconise un nouveau pilotage de la santé en région. Vous devez savoir, que lʼURML BN identifi ée pour son engagement, ses propositions et ses actions, a été depuis des mois, jusquʼà aujourdʼhui, particulièrement sollicitée : ministère, commissions des affaires sociales des deux Assemblées, sans oublier EGOS, Mission Larcher, commissions parlementaires, … Partout la base de notre discours a été : dans le cadre dʼune régionalisation de la santé, la médecine libérale doit avoir toute sa place, développant lʼidée que nul ne peut décider pour elle et sans elle. Cette démarche et ce combat se sont avérés essentiels car rien nʼétait gagné. Loin de là !Ainsi nous avons obtenu :.que le scrutin démocratique des élections professionnelles détermine les représentativités et représentations régionales et nationales,.que les URML soient confortées et consolidées dans leur statut et dans leur capacité de représentation, de contractualisation, etc,.que la cohérence des décisions en région soit orchestrée par les ARS (unité politique, organisationnelle et fi nancière),.que lʼassurance maladie soit renvoyée à sa mission originelle dʼassureur, avec disparition des URCAM et bureau FIQCS,.que la médecine libérale avec ses actions sur les territoires bénéfi cie dʼenveloppes régionales spécifi ques. Nous avons déposé cette semaine encore avec lʼURML Bretagne, à Matignon pour les arbitrages de la CMP, plusieurs propositions dʼamendements concernant lʼoffre de soins territoriale et la politique des PSL, mais aussi sur le pouvoir des Présidents de CME des établissements privés et la validation par les médecins du projet dʼétablissement, etc.Groupes Qualité : cette politique de lʼURML BN engage aujourdʼhui dans lʼEPP 200 médecins sur 20 territoires de la région.ADOC BN et déploiement de messageries sécurisées : consolidation de cette action avec succès quantifi able malgré toutes les embûches (cf. page 2, lʼarticle de Francis Faroy).Charte régionale de lʼoffre de soins : une cinquantaine de projets de PSLA, dont 8 en cours de fi nalisation.Partenariat 2009 avec le Réseau Régional Douleur (cf. page 3 lʼarticle de Claire Delorme), et avec le Centre François Baclesse dans différentes actions conjointes dʼinformation et de formation à suivre.
Veille sanitaire et organisation en période de crise : lʼURML BN se mobilise pour la protection des médecins libéraux et la défi nition dʼun cadre organisationnel opérant et effi cace à la fois dans chacun des 3 départements, au niveau régional et aussi au niveau national.
Cordialement,Dr Antoine LEVENEUR
Président de lʼURML Basse-Normandie
contacts...7, rue du 11 novembre 14000 CaenTel : 02.31.34.21.76 / Fax : 02.31.34.21.89mail : [email protected] / web : www.urml-bn.org Directeur de la publication : Dr Antoine LEVENEURconception : Visuel com / conseil rédaction : impression : 2 500 exemplaires / imprimerie NII Caen
Pour toutes ces raisons, les élus généralistes de lʼURML BN, toutes tendances confondues, vous conseillent de ne pas signer ces contrats.
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n°7 - juillet 2009llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll
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Malgré son jeune âge, lʼassociation est maintenant bien ancrée dans le paysage médical bas-normand. Cʼest essentiellement grâce à son service de mise en relation entre médecins installés et médecins remplaçants, activité la plus «visible» dʼURBAN, mais aussi grâce aux différentes actions dʼinformation menées en direction des internes et des remplaçants. Ces actions ont pour objectif principal de promouvoir la prévoyance et de faciliter les premiers remplacements en apportant un maximum de renseignements pratiques : relations avec lʼordre et les tutelles, comptabilité, etc.Enfi n, les soirées de formation organisées par URBAN, par leur convivialité et leur sérieux, continuent à attirer un public nombreux. Vous pouvez prendre connaissance
du programme sur :www.urban-basse-normandie.orgCʼest une association encore jeune, mais qui se doit dʼévoluer constamment.
.Depuis le début de lʼannée, une nouvelle version du site internet est en ligne, avec un aspect graphique plus moderne mais surtout un moteur de recherche amélioré, afi n dʼavoir la meilleure adéquation possible entre les offres et les demandes de remplacement. De plus, ce nouvel outil permet maintenant de générer automatiquement et en ligne les contrats de remplacements..URBAN doit aussi renforcer son rôle dʼinterlocuteur vis à vis des partenaires institutionnels afi n de mieux représenter les remplaçants en médecine générale.Signataire de la charte sur les PSLA (Pôles de Santé Libéraux Ambulatoires), URBAN va continuer à sʼimpliquer fortement au niveau régional pour favoriser leur déploiement. URBAN souhaite aussi participer dʼune façon plus large à la réfl exion sur les problématiques dʼoffre de soins et de démographie médicale au niveau national. Cʼest pourquoi lʼassociation vient dʼadhérer à ReAGJIR (Regroupement Autonome
des Généralistes Jeunes Installés et Remplaçants) qui fédère les 12 structures régionales équivalentes à URBAN.Lors de lʼAG du 22 avril, le bureau a été renouvelé :Président : Dr Fabrice ROUX Vice-présidente : Dr Nathalie GUESDONTrésorier : Dr Gérald BOQUETTrésorier adjoint : Mme Emilie MOUCHETSecrétaire général : Dr Grégory SZWARC
Dr Fabrice ROUXPrésident dʼURBAN
LʼUnion des Remplaçants de BAsse Normandie vient de souffler sa 4ème bougie !
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Consensus à propos des Contrats dʼAmélioration des Pratiques Individuelles, dits CAPI et proposés par les caisses aux médecins généralistes.Lʼensemble des syndicats médicaux représentés en Basse Normandie a fait les constatations suivantes :.Ces contrats individuels prévoient une prime versée annuellement en contrepartie de la réalisation dʼun certain nombre dʼobjectifs chiffrés. Ces contrats ne sont pas négociés par les syndicats au niveau national. Ils nʼoffrent aucune protection collective. Il nʼy a pas de suivi conventionnel et aucune garantie de pérennité..Ces contrats ne sont pas basés sur des référentiels
professionnels adaptés aux soins de premier recours. Il nʼy a aucune assurance dʼavoir un suivi continu et fi able des items contenus dans ces contrats, retour essentiel pour adapter la pratique tout au long de lʼannée..Les modes de calculs sont incompréhensibles et ne permettent pas dʼestimer la rémunération du médecin signataire..Le Conseil National de lʼOrdre des Médecins a considéré ces contrats comme contraires au code de déontologie.
Un nouveau look pour le site web dʼURBAN
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A/H1N1.Etes-vous toujours en possession du Kit de protection (avec masques FFP2 et masques chirurgicaux) distribué par le Ministère de la Santé en 2007 ? SI NON, contactez la DDASS de votre département..Merci de nous communiquer votre email à lʼadresse suivante, sans oublier de nous préciser vos nom et prénom :
[email protected] médecin face à un cas suspect en situation 5A/5B doit appeler le 15Toutes les informations sont mises à jour quotidiennement sur le site de lʼURML :
www.urml-bn.orgVACCINATION ?Il faut sʼattendre, sans doute, en ce qui nous concerne, à vacciner (en 2 injections !) 1,6 millions de bas-normands à lʼautomne...
Groupe Régional dʼObservation de la Grippe (GROG)Désormais coordonné par lʼURML de Basse-Normandie, le GROG, qui assure un maillage régional de veille sanitaire, recrute des médecins généralistes et pédiatres comme médecins vigies dès la rentrée de septembre. Il nous est nécessaire de consolider le groupe déjà existant et couvrir le mieux possible le territoire bas-normand.Nʼhésitez pas à appeler pour de plus amples renseignements :
02.31.34.18.12
PanelL̓ URML BN et lʼORS vous livrent les premiers résultats régionaux de lʼenquête PANEL.Cette action portée par lʼURML a mobilisé 200 médecins généralistes de la région, comme en PACA, Bourgogne, Pays-de-la-Loire et Bretagne.
généralistes : ne vous prenez pas les pieds dans le CAPI !
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2009, année contre la douleur en Basse-Normandie
dans la diffi culté de notre exercice professionnel quotidien, nous tenons à rendre hommage à notre prestataire caennais MUSTINFO qui nous accompagne dans lʼadversité depuis le début de lʼexpérimentation et répond à vos questions au :
02 31 06 22 02Finalement et malgré tout :
QUEL SUCCÈS !
Dr Francis FAROYPrésident de lʼADOC BN
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messagerie sécurisée
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Dans le cadre de la mutualisation des actions du Réseau Régional Douleur de Basse-Normandie (RRDBN) et de lʼURML Basse-Normandie, une campagne de sensibilisation et dʼinformation a été lancée en début dʼannée concernant les migraines et les céphalées par abus dʼantalgiques. A ce titre, tous les médecins libéraux ont reçu une affi che ainsi quʼun triptyque résumant les critères International Headache Society des céphalées migraines. Par ailleurs, des formations décentralisées ont, ou vont, vous être proposées dans les différents territoires de santé.Dʼores et déjà une rencontre a eu lieu à :Bayeux.................... le 1er avrilSt Lô et Avranches le 23 avrilAlençon....................le 22 avril, une 2ème date sera prévue Cherbourg............... le 12 mai Lisieux.................... le 26 maiFlers........................ le 11 juinCaen........................ le 16 juin Argentan................. le 25 juin La deuxième action proposée porte sur la douleur des soins.Quʼils soient médicaux ou infi rmiers, quʼils soient pratiqués en institution ou à domicile, les soins sont souvent générateurs de douleur, prévisible, connue, dont le traitement passe idéalement par lʼinstauration de mesures préventives pour en atténuer lʼintensité. Les différentes enquêtes menées ou publications font état dʼune insuffi sance de prévention de ces dernières, même sʼil serait illusoire de prétendre à un soulagement total
tel que pourrait le procurer lʼanesthésie. Les traitements peuvent être bien évidemment médicamenteux, mais aussi non médicamenteux et chaque soignant (médecin, infi rmière, aide-soignante), a son rôle dans cette prévention.Dans un premier temps, le groupe de travail du réseau a souhaité aider les prescripteurs et les acteurs de soins pour une meilleure utilisation des antalgiques à notre disposition, tant il est vrai quʼune mauvaise gestion de ces traitements peut faire perdre toute effi cacité aux traitements.Ainsi, un tableau a été créé récapitulant les principaux traitements possibles, leur effi cacité, le délai dʼaction et le délai dʼantalgie après le soin. Ce tableau est mis à disposition de tous les établissements hospitaliers, mais également de tous les médecins libéraux, et téléchargeable sur le site de lʼURML : www.urml-bn.org et celui du Réseau : www.douleur-rrdbn.org.
Par ailleurs, nous proposons dʼaccompagner lʼutilisation de cet outil par des FMC décentralisées sur le même principe que celles proposées pour les céphalées migraines qui auront lieu au 3ème trimestre de lʼannée 2009.
Dr Claire DELORMEMédecin coordinateur du RRDBN
Partenariat entre lʼUnion Régionale des Médecins Libéraux de Basse-Normandie et le Réseau Régional Douleur en Basse-Normandie.
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Avec 60 000 messages sécurisés par mois, la Basse-Normandie est lʼune des régions de France qui utilise le plus la messagerie sécurisée par rapport à son nombre de médecins. L̓ arrivée du Centre François Baclesse dans la communauté des «communicants sécurisés» a participé à cette dynamique. L̓ arrivée prochaine du CHU avec dʼabord quatre services pilotes, puis une montée en charge progressive confortera cette mutation culturelle dans les échanges médicaux que nous sommes en train de vivre. A côté de ce succès remporté par la dynamique engendrée par lʼURML BN, les embûches ont jalonné notre parcours.Les fi nancements pour mener à bien cette action ont été sources de grandes diffi cultés. Un fi nancement URCAM/ FIQCS nous a été attribué, mais incomplètement versé, puis une demande infondée de remboursement partiel a été formulée par le bureau du FIQCS, (CFDT, CGT,...) sans justifi cation sérieuse, traduisant lʼincompétence et lʼirrégularité de la procédure. Face à ces incohérences, lʼADOC BN a déposé le 12 mai une requête auprès du tribunal administratif «pour vices dʼincompétences».
L̓ assemblée générale de lʼURML BN a voté son soutien à lʼunanimité à lʼaction de lʼADOC BN.Face à ses diffi cultés dʼintendance, face à certains problèmes techniques que nous ne sous-estimons pas, mais qui nous rappellent que nous sommes dans une phase dʼexpérimentation et de mutation rapide, les libéraux sont isolés et dénigrés par les fi nanceurs publics souvent effrayés de notre effi cacité comparée à leur inertie.Nous nous battons pied à pied pour garantir le meilleur service
messages APICRYPT sur la Basse-Normandiechiffres offi ciels de lʼAPICEM par mois
2006 2007 2008 2009
60 000
2 500
10 000
20 000
30 000
40 000
45 000
50 000
Orne Manche Calvados
assemblée générale de lʼURMLL̓ Assemblée Générale du 18 juin 2009 a voté statutairement pour désigner le nouveau bureau de lʼURML de Basse-Normandie.BUREAUPrésident :.............. Dr Antoine LEVENEUR, FMFVice-Président :...... Dr Bruno MASSON, FMFSecrétaire :............. Dr Francis FAROY, FMFSecrétaire Adj. :...... Dr Jacques BATTISTONI, MG-FranceTrésorier :................ Dr Thierry LEMOINE, FMFTrésorier Adjoint :.. Dr Carole CORNU-THOREL, FMF
Membre coopté :..... Dr Pascal BIOCHE, FMFMembre coopté :..... Dr Marc DE LA PROVOTE, FMF Membre coopté :..... Dr Armel LE BAIL COLLET, FMF
BUREAU - Section des généralistesPrésident :........... Dr Gilles TONANI, FMFVice-Président :.. Dr Marc BARRIERE, FMFSecrétaire :.......... Dr Olivier CUZIN, MG-France
BUREAU - Section des spécialistesPrésident :........... Dr Armel LE BAIL COLLET, FMF Vice-Président :.. Dr Michel RIMEY, FMFSecrétaire :.......... Dr Philippe MORIN, FMF
