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avec le soutien de L’Arc a dit Le journal du lycée Jeanne-d’Arc www.e3montaigu.fr 14 030 Numéro 2 - Avril 2011 Leur formation les emmène au service des autres : nous avons rencontré des élèves en pleine action (lire en page 10) La seconde euro devient officielle et prend un nouvel élan page 4 Après le concours de belote des sportifs, la soirée théâtre du lycée s’annonce page 12 Amis de la culture, retrouvez les coups de cœur de Colombe, Louise et les autres page 15 Jeanne d’Arc classé 1 er lycée de Vendée au palmarès 2011 des lycées.

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avec le soutien de

L’Arc a ditLe journal du lycée Jeanne-d’Arcwww.e3montaigu.fr

14 030

Numéro 2 - Avril 2011Leur formation les emmène au service des autres : nous avons rencontré des élèves en pleine action(lire en page 10)

La seconde euro devient offi cielleet prend un nouvel élan

page 4

Après le concoursde belote des sportifs, la soirée théâtredu lycée s’annonce

page 12

Amis de la culture, retrouvez les coups de cœur de Colombe, Louise et les autres

page 15

Jeanne d’Arc classé 1er lycée

de Vendéeau palmarès 2011

des lycées.

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Editorial 3

S’inscrire dans une démarche qualité n’est pas motivé par le constat que le travail est mal fait. C’est au contraire, avoir l’humilité de reconnaître que l’on peut mieux faire.

Labellisation

Depuis sa création, le lycée Jeanne-d’Arc est présent sur les formations profession-nelles. Il a développé de mul-tiples relations avec des parte-naires du monde économique.Le centre de formation (l’Ade-fi ) accueille des salariés d’en-treprise, des personnes en recherche d’emploi et des par-ticuliers souhaitant acquérir de nouvelles compétences. Les entreprises sont attentives à la qualité et la continuité du service rendu. C’est pour-quoi, en 2006, le centre a fait

l’objet d’un audit et d’une cer-tifi cation Areppal (Association Régional d’Éducation Perma-nente des Pays de la Loire).Cette année, nous avons sou-haité renouveler ce label qui se veut plus proche de la norme ISO 9001, et qui intègre des éléments de développement durable ainsi que d’identifi ca-tion et de pérennité des pro-cessus mis en œuvre.Dans ce même esprit, le lycée s’est inscrit dans une labelli-sation «lycée des métiers» ef-fective depuis le 1er septembre 2009. Vous trouverez dans ce numéro des informations sur ce label. Il permet d’identifi er des pôles de compétences en matière de formation profes-sionnelle, de certifi cation ou d’accompagnement, d’infor-mation ou de services tech-niques aux entreprises.

En se donnant un certain nombre d’indicateurs, l’éta-blissement s’astreint à une amélioration permanente du service rendu.

Améliorer le service

Ce travail se fait à l’attention de nos partenaires économiques et institutionnels. Nous faisons surtout le pari que le savoir-faire acquis profi te au fonction-nement global de l’établisse-ment. Par conséquent que les familles et les jeunes puissent bénéfi cier d’une amélioration du service rendu tant sur le plan pédagogique qu’au ni-veau des relations administra-tives et éducatives.

Dominique REMAUD.

Faire le choix de la qualité

La réforme des lycées profes-sionnels était attendue par les équipes pédagogiques. Elle a par contre un peu modifi é les repères tant des familles que ceux des élèves sur les parcours et fi nalités de ces fi lières.Les deux éléments les plus vi-sibles de cette réforme sont la transformation du cursus de deux années de BEP suivies éventuellement de deux an-nées en bac professionnel, par trois années dès la sortie de troisième. Dans un même temps, l’éducation nationale à souhaité renforcer l’offre de CAP (en deux ans).

Ce nouveau dispositif générali-sé à la rentrée 2011 a plusieurs objectifs.Le premier est de revalori-ser et augmenter l’attractivi-té d’études dont l’objectif est l’entrée dans la vie active. Mais également, tout en préparant son entrée dans un métier ou une fi lière, ce parcours arme le jeune qui le souhaite pour pour-suivre en études supérieures. Le nouveau bac pro joue en cela un rôle d’ascenseur so-cial que l’on reproche parfois à l’éducation nationale de ne plus remplir.Le cursus en deux fois deux ans reste possible pour

les jeunes qui s’interrogent sur leur motivation à s’engager sur trois ans grâce au CAP.La réforme permet donc aux jeunes selon leur situation de : Trouver un enseignement concret pour retrouver moti-vation et réussite ; Choisir un secteur d’activités permettant de s’orienter vers plusieurs métiers ; Continuer à acquérir une culture générale pour pour-suivre les études ; Se préparer à entrer dans la vie active ; S’au-toriser un parcours scolaire par étape ; Apprendre avec des méthodes plus interactives.

Dominique REMAUD.

Des clefs pour la réforme du LP

M. Remaud, directeur du lycée.

Associationpour le développementdu Journal des Lycées

10 rue du Breil - 35 051 Rennes cedexTél. 02 99 32 61 [email protected]

Lycée privé Jeanne d’Arc3 bis boulevard Raymond ParpaillonBP 30 359, 85 603 Montaigu CEDEXTél. : 02 51 48 87 00 - Fax : 02 51 46 43 27Site : www.e3montaigu.fr

Directeur de la publication : Dominique RemaudMise en page : Bayard Service Édition - Ouest

Tél. : 02 99 77 36 36Imprimerie : LBC (labellisé développement durable)

La page de communication JDLse trouve en page 2

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4International

Quand êtes-vous partis ?Nous sommes partis le 14 dé-cembre, vers 6 h. du matin.

Pour combien de temps ?Cinq jours, nous sommes re-venus vers 4 h du matin le 18 décembre.

Avec qui êtes-vous partis ?Les deux classes de secondes Euro (A et C), accompagnées de Mesdames Roy et Ge-lot, et de Messieurs Gallais et Moquillon.

Dans quel but ?Découvrir l’Espagne, et surtout Barcelone.

Qu’avez-vous fait là-bas ?Nous avons visité Barcelone, ses lieux culturels, ses monu-ments, la Sagrada Familia, le Campnou…

Nous dormions dans une au-berge de jeunesse.

Que penses-tu de cette expérience ?C’est enrichissant et intéressant de découvrir une ville inconnue.«Les visites étaient bien mais un peu ennuyantes, la Sagrada Fa-milia était très belle ! L’auberge de jeunesse était super, nous

pouvions aller voir nos cama-rades dans leur chambre jusqu’à 22 heures. Le dernier soir, nous avons fait quelques jeux, Time’s up, Belote… Au cours d’une soi-rée, nous avions joué à saute-mouton dans les couloirs, c’était géant, très drôle, mais les profs n’étaient pas contents ! Dans le car, on a regardé le fi lm de Gad Elmaleh, et deux élèves avaient

emmené leur guitare, alors ils nous jouaient des morceaux, c’était sympa ! Malheureuse-ment nous n’avons pas beau-coup parlé Espagnol… Cepen-dant il faisait un temps super, alors qu’à Montaigu il neigeait !» nous confi e Louise, élève qui est partie à Barcelone.

Colombe RENAUD.

Le voyage de la classe euro à BarceloneNew : section européenne

À la rentrée 2011, le lycée ouvre offi ciellement les sec-tions européennes anglais et allemand en classe de seconde. Ces sections sont destinées à des élèves mo-tivés, désireux d’approfon-dir une langue vivante étran-gère. Chaque semaine, les élèves suivront deux heures de langues supplémen-taires, dont l’une dans une discipline non linguistique. Ils participeront également à un projet culturel euro-péen. Pour les fi lières gé-nérales, cette option peut être poursuivie jusqu’en classe de terminale et elle sera évaluée au baccalau-réat. La réussite à cette épreuve permet l’obten-tion d’une «Mention Eu-ropéenne» sur le diplôme du Bac. Quelles que soient les études supérieures sui-vies, un bon niveau en lan-gue étrangère constitue un avantage indéniable.

La fi esta en barcelona !

Depuis vingt ans, l’ISLT per-met à des étudiants, en un an d’étude après un BTS, de faire des stages à l’étranger. Pen-dant cette 3e année d’étude après le baccalauréat, se dé-roulent deux stages d’une durée de trois à six mois : un premier stage en France et un deuxième dans un pays étranger préalablement choi-si. Ainsi ces étudiants de 3e année partent dans des en-treprises du secteur de la lo-gistique et du transport. Ces deux stages sont obligatoires dans leur formation. Plusieurs objectifs sont visés : parler la

langue couramment, devenir autonome, connaître les diffé-rentes techniques de la fonction étudiée, et aussi connaître la culture du pays. Nous espérons que ces objectifs seront atteints par Maxence, Cindy et Romain qui partent en juin et juillet 2011 dans des entreprises où ils oc-cuperont le poste d’un salarié. À leur retour, ils rédigeront un rapport de stage. Ensuite, leur plus grand objectif sera de trouver un travail, avec l’aide de l’ISLT, pour entrer dans la vie active.

Mélissa FAVRY.

Les 3e année à l’étranger

Antoine, Manon, Louise et Lau-ra ainsi que Flavie, cinq élèves du lycée général, sont partis peu de temps après la ren-trée de septembre 2010, en direction de la Galice, à Vigo, pour le projet Comenius, ac-compagnés de Mme Grasset. Là-bas, ils ont suivi certains cours préalablement choisis comme par exemple en série S, ES, dans le lycée partenaire du projet… Après la journée de cours, à 14 h 10, ils étaient libres de sortir. Au début, ils res-taient souvent ensemble puis, grâce aux affi nités créees en

groupe, ils ont vraiment profi té de leur temps libre pour faire du sport… Les Espagnols ont même organisé une fête d’anni-versaire surprise pour Antoine ! Les cinq participants à ce pro-jet ont aussi voyagé pour dé-couvrir la région. Ils sont, par exemple, allés visiter Saint-Jacques de Compostelle.Après trois mois de vie à la mode espagnole, ce fut le retour en France, une semaine avant les vacances de Noël. Il leur a été diffi cile de revenir parmi nous, surtout après avoir noué des liens d’amitié, me racontait

Manon. Mais malgré tout, ce sé-jour effectué dans un but pé-dagogique leur a véritablement permis d’améliorer leur pratique de la langue de Cervantès, surtout en ce qui concerne la compréhension orale, comme l’a déclaré Antoine la semaine suivant son retour. Cette expé-rience, inscrite dans le projet Comenius, a été proposée par le lycée. Les cinq participants affi rment tous qu’il leur a été bé-néfi que et utile de séjourner trois mois en Espagne.

Mélissa FAVRY.

Trois mois «embarqués» à Vigo !

Manon, Antoine, Louise, Flavie, Laura ont embarqué trois mois à Vigo.

Notre centre de formation.

Interview de Jean-Baptiste, élève de classe euroqui raconte le voyage à Barcelone.

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5International

Comme chaque année depuis six ans déjà, l’échange avec Drayton Manor High School a lieu. Celui-ci a été mis en place par Linda Barreau, ancienne élève du lycée Jeanne-d’Arc, avec le collège Saint-Nicolas de Tiffauges, où sa maman en-seignait. En 2011, les élèves français : Harmonie, Marion, Andréa de 2A, Pauline de 2C, Léa de 2D, Anaëlle et Solène de 1S1 et Alice de 1S2, par-tent du 31 mars au 8 avril. Au-paravant, elles ont accueilli leurs correspondants anglais au lycée du 10 au 17 février. Cet échange a été proposé aux classes de première, puis aux classes de seconde, car il restait quelques places. Sept élèves anglais ont été reçus au lycée mais huit Françaises sont parties.

De riches découvertes

Ici, les Anglais après une pré-sentation du lycée, ont parti-cipé à des cours. Puis ils ont

effectué un mini-rallye dans les rues de Montaigu. Après un week-end en famille, ils ont découvert la boulangerie Robin de Montaigu, le lundi

matin. M. Robin les a aidés à fabriquer du bon pain fran-çais. L’après-midi, ils ont fait des animations dans l’École Saint-Jean Baptiste, accueillis

par Vincent Richard, profes-seur de l’école. Mardi 15 fé-vrier, ils ont passé la journée au Futuroscope. Jeudi, après une matinée de cours la veille,

ils sont partis pour Nantes. Ils y ont fait des visites, joué au bowling et fait du shopping avant de rentrer pour la soirée d’au revoir. Le lendemain ma-tin le départ s’est fait cordia-lement car les correspondants savaient qu’ils se reverraient lors de la visite des Françaises en Angleterre. À Drayton les élèves françaises assisteront aux cours, visiteront Londres, passeront une journée dans un parc d’attraction. Le week-end les familles les prendront en charge.Cet échange permet de dé-couvrir le rythme scolaire d’un autre pays que le nôtre, d’améliorer son anglais, de découvrir la culture britan-nique. Il favorise l’autonomie et l’apprentissage de la vie en groupe. À l’issue de cet échange, les élèves rédige-ront un compte-rendu ou un reportage sur leur séjour.

Delphine GILBERT.

Drayton Manor High School, demandez le programme !

Marine Chenu et ses camarades en 2010.

Tous les élèves de Terminale ayant choisi l’option théâtre sont partis, du 26 mars au 3 avril, en Espagne, pour un festival de théâtre à Huesca, dans la région d’Aragon. Ils ont été tout d’abord accueillis dans des familles à Saragosse. Puis les Espagnols viendront chez nous pour participer au Festi-val des Festivals de La Roche-sur-Yon, du 25 au 30 avril. À l’aller, nos comédiens français ont passé les premiers jours à Saragosse pour y faire du tourisme. Puis ils ont participé au festival «Coup de théâtre»

de la ville de Huesca. Bien qu’il se déroule en terre es-pagnole, le festival est fran-cophone. Les comédiens du lycée ont présenté leur pièce. C’est une création inspirée des textes d’Olivier Py et d’André Roussin, dont le titre, provi-soire, est «Ombres d’ivresse». À Huesca, ils ont eu le plaisir de voir aussi les pièces ama-teurs des autres lycées qui se-ront présents au festival, ain-si que des pièces de troupes professionnelles.

Colombe RENAUD.

Revenons plutôt à l’échange de l’année dernière qui se pas-sait aussi avec Drayton Manor High School. Il se déroulait du 24 mars au 1er avril 2010. Pour nous parler de cet échange, j’ai interviewé Marine Chenu, élève de terminale littéraire.

Marine peux-tu nous parler des différences entre les scolarités française et anglaise ?Elles sont différentes sur plu-sieurs points. Tout d’abord, les classes anglaises ont de très petits effectifs, elles sont com-posées d’une dizaine d’élèves à peu près. Cela est bien peu,

comparé à la France où les ef-fectifs des classes atteignent parfois les 30 élèves ! Ensuite toutes les classes disposent d’un tableau interactif. Pour fi -nir, les élèves peuvent choisir certaines matières.

Comment as-tu trouvé cet échange et qu’as-tu fait là-bas ?Cet échange était tout simple-ment «énorme», car je m’en-tendais très bien avec ma cor-respondante. En Angleterre je suis allée dans un parc d’at-traction, j’ai visité plusieurs mo-numents, j’ai été voir un spec-tacle de danse dans lequel une

correspondante participait, j’ai fait des sorties avec ma corres-pondante, du shopping et j’ai été dans le plus grand centre commercial d’Europe «West fi eld». Pendant cet échange j’ai aussi participé à des cours, comme l’économie, le Français, le droit…

Que t’a apporté cet échange ?Cet échange m’a permis de progresser en Anglais et il m’a donné l’occasion de découvrir le mode de vie britannique.

Delphine GILBERT.

Ils ont représenté la FranceL’échange vécu par Marine Chenu

Les Terminales en pleine répétition.

La promotion 2011.

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7Lycée des métiers

Intégrer le lycée des métiers, c’est choisir de se former au Bac professionnel Logistique ou Transports.

Ces formations vont permettre aux jeunes d’acquérir des compétences professionnelles pour se préparer à des métiers porteurs d’emplois dans notre secteur. Pour se former selon des méthodes conformes à ce-lui du milieu professionnel, les élèves ont à leur disposition un équipement professionnel adapté. Dans l’entrepôt péda-gogique, les élèves peuvent concrétiser les notions de ré-ception des marchandises, de gestion des stocks, de prépa-ration de commandes… Sur l’aire de manutention, 3 cha-riots élévateurs et un transpa-lette à conducteur porté for-mant le parc de matériels de conduite, complété par une re-morque de camion stationné à quai permettent l’apprentis-sage de la conduite. Ils peu-vent ainsi valider les CACES 1, 3 et 5, indispensables à l’insertion en entreprise dans l’activité logistique. La gestion informatique des stocks, elle, se fera notamment grâce à un progiciel de gestion d’entre-pôt. Pour la formation en trans-ports, un partenariat avec une bourse de fret a été établi, «Té-léroute», qui est leader sur le marché de fret. Les élèves peuvent ainsi se confronter à

des mises en situation profes-sionnelle dans le domaine du transport.Cet équipement pédago-gique ne serait rien sans une équipe enseignante confi r-mée et expérimentée dans la spécialité, accompagnant les élèves dans leur formation. Un réseau de professionnels

de la logistique et des trans-ports, fi dèles, vient compléter le professionnalisme appor-té par cette équipe. Ils ac-cueillent les jeunes pour les périodes de formation en mi-lieu professionnel à raison de 22 semaines sur 3 ans, pour des visites d’entreprises. Ils collaborent aussi pour parti-

ciper au développement de projets et ainsi favoriser l’an-crage de la formation dans le concret.Pour ces raisons, les bacca-lauréats professionnels Logis-tique et Transports représen-tent un maillon important de la fi lière proposée dans le cadre du lycée des métiers.

Découvrir le lycée des métiers… au LP

L’ADEFI : 2 fois labélisé

L’ADEFI, Centre de Forma-tion du lycée, obtient un 2e label qualité avec le Label lycée des Métiers.

L’ADEFI a obtenu le renou-vellement du Label Qualité AREPPAL en 2010.

L’ADEFI participe à la démarche «lycée des Métiers» :

• En proposant des for-mations professionnellesdans le domaine de la Lo-gistique et du Transport :

- BTS Transpor t par alternance,

- Titre Professionnel de Technicien en Logistiqued’Entreposage,

- Titre Professionnel de Technicien Supérieur en Méthodes et Exploitation Logistique (en prévision).

• En collaborant avec les entreprises : en 9 ans, dans le cadre du BTS Transport, 50 entre-prises ont accueilli 124 stagiaires (en contrat de professionnalisation)…

Manutention en logistique.

Ce Label qualifie une dé-marche qualité accessible à tout lycée professionnel ou po-lyvalent associant les voies pro-fessionnelle et technologique.Ce label de lycée des Métiers permet d’identifi er des pôles de compétences et une offre de services dans plusieurs domaines :• Un cursus complet de for-

mation : Lycéens, étudiants, stagiaires de la formation continue,

• L’organisation de l’alternance et de la formation tout au long de la vie,

• L’existence de partena-riats économiques (informa-tion ou services techniques aux entreprises), sociaux et culturels,

• Un travail d’orientation auprès des collégiens,

• La promotion de la mobilité géographique et culturelle,

• Un dispositif d’aide et de suivi des publics vers une insertion professionnelle.

Le Label lycée des Métiers de la Logistique et du Transport a été délivré au lycée Jeanne-d’Arc – ISLT – ADEFI le 22 dé-cembre 2009.

Peux-tu te présenter ?J’ai 21 ans, originaire du Mans. Je suis rentrée à l’ISLT après un BTS Commerce Internatio-nal. Mon objectif : me spéciali-ser en transport.

Comment as-tu vécu ton année à l’ISLT ?Mon année à l’ISLT a été très intense. Les 5 mois de cours sont passés à une vitesse in-croyable. J’ai appris à travailler en groupe grâce à la gestion de projets. Le management était un aspect que je n’avais pas abordé auparavant et j’ai été surprise de toutes les choses que j’ai apprises.

Où as-tu réalisé tes stages ?Chez Brioche Pasquier. En Espagne, j’assurais les fonc-tions d’assistante logistique. Cette expérience m’a apporté une rigueur et une analyse ac-crues. J’ai pris de l’assurance en remplaçant ma collègue. En me donnant des respon-

sabilités, l’entreprise me fai-sait confi ance. C’est à ce mo-ment que j’ai compris que je pouvais avoir un rôle à jouer dans leur organisation. Quant à l’étude, elle était très inté-ressante car les fl ux tendus sont un sujet contemporain, innovant.

Que fais-tu actuellement ?J’ai obtenu un poste d’assis-tante commerciale sur Paris chez AGIBOIS, entreprise de négoce international de bois. Les usines de bois sont scan-dinaves - Suède, Norvège, Finlande. Je dois m’occuper de tout le suivi client et de toute l’organisation du trans-port national et international : une activité variée qui me plaît beaucoup.

Défi nition du LabelLe label : un gage de qualité !

Le Logo

Aurore.

Aurore, ancienne étudiante de Cycle 2 «Responsable en logistique de distribution», montre l’adéquation entre formation et besoins des entreprises.

Le législateur a souhaité valoriser l’enseignement professionnel en inscrivant dans la loi l’existence du Label lycée des Métiers.

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8Orientation

Ce Forum est un temps de rencontres entre les anciens élèves et les lycéens d’au-jourd’hui. Les élèves de se-conde, les premières et les terminales y sont tous invités. Les intervenants ont présen-té les métiers qu’ils exercent aujourd’hui. Cela contribue à aider les lycéens dans la dé-fi nition de leur projet d’orienta-tion. Les anciens élèves infor-ment ceux qui viennent à leur rencontre des moyens d’ac-céder à ces professions. Il y a plusieurs «anciens élèves» pour chaque secteur d’activi-

tés. Ainsi étaient représentés les domaines suivants : Agri-culture-Environnement, Com-merce-Économie-Gestion, Défense et Police nationale, Droit, Éducation, Information-Communication, Informatique, Lettres-Sciences humaines, Santé-Social, Sciences-Tech-nologies, Tourisme-Hôtellerie. Ce forum permet d’obtenir di-vers renseignements pour son orientation. Le fait que le forum soit présenté par des anciens élèves nous facilite le contact : nous sommes moins intimidés pour leur poser des questions.

80 anciens élèves

Ce forum se tient tous les deux ans car il n’est pas pos-sible de l’organiser chaque an-née en raison de la préparation nécessaire. Cette année on a compté entre 70 et 80 anciens élèves présents. Parmi les visi-teurs, les élèves de terminales étaient plus nombreux que les élèves de seconde. L’édition de 2010 présente un bilan glo-balement positif. Les anciens élèves étaient contents et satis-faits d’avoir répondu à l’invitation du lycée. Néanmoins ils regret-

tent qu’il n’y ait pas eu plus de lycéens. Ceux qui sont venus au forum déclarent que c’était très intéressant car les anciens élèves se sont montrés dispo-nibles et ils ont répondu à toutes

leurs questions. En somme un rendez-vous à ne pas manquer ! Alors à vos agendas pour la pro-chaine édition de 2012.

Élodie LOIRAT.

Qu’est-ce que le Forum des anciens élèves ?

L’échange anciens et actuels lycéens.

Emmanuelle estime que le fo-rum des anciens élèves orga-nisé par le lycée est une ex-cellente initiative. Elle pense qu’il est intéressant pour des lycéens d’avoir l’opportunité de rencontrer des étudiants et de pouvoir échanger avec eux. Même si nos études su-périeures nous paraissent bien loin quand on est en classe de seconde, elle conseille forte-ment aux élèves du lycée d’y faire un tour afi n de découvrir des informations qu’on peut ignorer. Elle n’est pour l’instant qu’en première année d’un cycle de 5 années d’études, et elle fait un BAC + 2. C’était la première année qu’elle par-ticipait à ce forum et, si elle est disponible en 2012, elle aime-rait revenir, afi n de renouveler cette expérience. Elle est venue au forum avec l’objectif de par-tager son expérience avec des

lycéens en pleine réfl exion sur leur poursuite d’étude. Malheu-reusement, sa formation a été très peu demandée au sein du lycée Jeanne-d’Arc le jour du forum. Elle n’a vu qu’une élève, potentiellement intéressée. À l’époque où elle était encore au lycée (baccalauréat série ES), elle a eu très peu d’occasions d’avoir des témoignages d’étu-diants dans le domaine qu’elle ciblait. Par ailleurs, sa partici-pation au forum des anciens élèves lui a donné l’occasion de rétablir la vérité sur des formations qui peuvent «faire peur». Emmanuelle apprécie beaucoup le partage avec les autres. Elle a donc trouvé in-téressant de pouvoir éclairer des lycéens en répondant à leurs interrogations sur leur orientation.

Élodie LOIRAT.

Emmanuelle Durand,«ancienne» du lycée

Le forum des anciens élèves.

Le Forum des anciens élèves a eu lieu le samedi 11 décembre 2010 au lycée Jeanne-d’Arc,de 9 h 30 à 12 h 30. Cette manifestation a été organisée par Mme Stalter, directriceadjointe du lycée, ainsi que par tous les professeurs principaux.

Le forum des anciens élèves a fait revenir des anciens ly-céens de Jeanne-d’Arc, pour parler de leurs parcours ou de leur métier. J’ai pu rencontrer des personnes passionnées par leurs études et heureuses de partager leur expérience. Je voulais voir les différentes écoles de commerce présentes dans la région, et j’ai pu les comparer. Ce forum m’a per-

mis d’avancer dans ma dé-marche d’orientation, même si j’ai encore quelques interroga-tions. Marc, élève de seconde B est allé voir les domaines de l’économie et des sciences car il avait une idée globale de son orientation. Ce forum lui a per-mis de s’assurer que le do-maine scientifi que lui corres-pondait. C’est un bac de série scientifi que puis une école d’in-

génieur qu’il envisage. Un autre élève a découvert les différents parcours envisageables après un bac scientifi que : IUT scien-tifi que, école d’ingénieur, par exemple. Ce forum est un bon moyen pour nous aider à che-miner dans notre projet d’orien-tation, quelles que soient nos préférences.

Enzo MATHÉ.

Le point de vue d’Enzo

Échange autour du Forum avec Marc et Élie.

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9Orientation

Les portes ouvertes se sont dé-roulées le vendredi 18 février au soir et le samedi 19 au ma-tin. Tous les élèves du lycée Jeanne-d’Arc participaient ainsi que les personnels et les en-seignants, pour présenter aux parents et aux possibles futurs élèves notre établissement.Ces journées intéressent sur-tout les élèves en troisième ou en terminale pour le choix de leur orientation pour l’année prochaine. Tout l’établisse-ment est ouvert : L’ISLT, Institut Supérieur de la Logistique et du Transport rouvre ses portes, après une première session le 12 février.L’accueil était assuré à l’en-trée par des lycéens ; certains se sont transformés en guides pour cette occasion, afi n de faire découvrir les locaux aux futurs élèves et à leurs familles. Les fi lières proposées, du CAP au post-bac, sont mises en va-leur. Les élèves actuellement en seconde ont pris une part ac-tive dans l’explication du fonc-tionnement de l’Aide Person-nalisée. Ils ont fait part de leur

expérience et de leur ressenti sur cette nouveauté introduite par la réforme du lycée. D’autre part, des élèves de première et terminale se sont employés à la présentation des fi lières : économique et sociale, litté-raire, sciences et technologies de la gestion sciences et tech-nologies de laboratoire, scien-tifi que, ainsi que les CAP APR et ATMFC, les bacs profession-

nels logistique et tertaire. Cette manière de procéder plaît beau-coup aux élèves : «Ils appren-nent ainsi à prendre la parole devant des personnes qu’ils ne connaissent pas», constate une enseignante. De plus, «Il est parfois plus facile pour les visiteurs de leur poser des questions qu’aux enseignants présents : ils le vivent actuelle-ment et peuvent faire part de

leur expérience», constate une autre. Les enseignants étaient présents pour apporter des compléments d’information sur l’orientation, le choix des fi lières du lycée professionnel, techno-logique et général. Ils ont été particulièrement sollicités pour l’explication des enseignements d’exploration.

Salim BENNANI.

Le lycée ouvre ses portes ! Présentationdes BTSau lycée

Mme Stalter et M. Remaud ont organisé une présen-tation de 11 BTS tertiaires de l’enseignement privé de Vendée : Comptabilité et Gestion des Organisations, Assistant Manager, Assis-tant de Gestion PME-PMI, Informatique de Gestion-Administ. Réseaux Dév. Applications, Négociation Relation Client, Notariat, Management des Unités Commerciales, Commerce international, Transport, Vente et Production Tou-ristique, Animation et Ges-tion Touristique Locale et Professions Immobilières.

M. Remaud a d’abord pré-senté les BTS en forma-tion initiale et en formation continue. Ensuite les élèves par groupe de 15 ou 20 al-laient voir 2 BTS différents pendant 30 minutes L’opé-ration fut un succès, la for-mule sera renouvelée.

La présentation de la classe de seconde et des enseignements d’exploration.

La réforme du lycée per-met de changer de filière en cours d’année de pre-mière. Les fi lières générales(séries L, ES, S), proposent un tronc commun de 15 h par semaine : 4 h de français, 4 h d’histoire géographie, 4 h 30 de langues (LV1, LV2), 2 h d’EPS et une 1/2 h d’ECJS, plus 1 h de travaux personnels encadrés.

Pour la filière L, 5 h 30 de cours sont ajoutés : 1 h 30 de sciences, 2 h de littérature fran-çaise, 2 h de littérature étran-gère plus 3 h d’enseignements spéciaux : mathématiques, LV3

espagnol ou un approfondisse-ment dans une langue.Pour la filière ES, 9 h 30 s’ajoute au 5 h 30 de tronc com-mun : 5 h de sciences écono-mique et sociales, 3 h de mathé-matique et 1 h 30 de sciences.Et pour la fi lière S, ce sont 10 h de cours qui s’ajoutent : 4 h de mathématiques, 3 h de sciences physiques et 3 h de SVT. Les épreuves du bac. à passer en fi n d’année de première sont le français (séries L, ES, S), les sciences (série ES) et l’histoire géographie (série S).

Enzo MATHÉ.

Les fi lières, quels changements ?

La formathèque à Nantes se déroule au parc des exposi-tions à la Beaujoire, tous les deux ans. C’est un salon ré-gional qui permet de s’infor-mer pour mieux s’orienter et préparer son avenir. Cette ma-nifestation s’est tenue du jeudi 20 janvier au dimanche 23 jan-vier 2011. C’était la 13e édition d’un salon qui attire toujours de nombreux visiteurs. Cette année, les élèves des classes de première et de terminale du lycée y sont allés, le jeudi 20 et le vendredi 21 janvier. Une élève de terminale déclare

avoir trouvé le déplacement très utile car maintenant elle sait ce qu’elle veut faire plus tard et la formation qu’il faut suivre pour réaliser son projet. D’autres élèves sont aussi sa-tisfaits de cette sortie à la for-mathèque pour les mêmes rai-sons. La formathèque présente, par salle, différents secteurs d’activité comme les métiers des arts, les transports, le tou-risme, le commerce ou encore le secrétariat et la comptabilité ainsi que de nombreux autres secteurs. Des espaces ont été mis en place comme l’espace

insertion ou l’espace appren-tissage et alternance. Ce sa-lon propose des expositions et des conférences pour les for-mations universitaires ou pour les écoles d’ingénieurs. Une élève de terminale déclare qu’il vaut mieux préparer sa visite à la Formathèque avant d’entrer dans ce «grand» salon. Le dé-placement à Nantes, pour pro-fi ter de cette manifestation, re-présente une opportunité pour défi nir son projet professionnel ou bien pour préparer son futur.

Salim BENNANI.

La Formathèque à Nantes

Quelle formation choisir ?

Présentation des fi lières après-bac.

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10CAP

Lors de notre rencontre, le 15 février, les élèves de CAP ATMFC nous ont présenté leurs activités professionnelles au cours de l’année. Ils mènent trois projets pluridisciplinaires à caractère professionnel. Ainsi au début de l’année, une acti-vité sur la pomme a été réali-sée conjointement avec l’école Saint-Jean-Baptiste. Au mois de mai, l’expérience sera re-nouvelée avec la venue d’en-fants de cette école pour fa-briquer du pain. De plus, des intervenants extérieurs sont in-vités au lycée. Ainsi, un kiné a expliqué les différentes pos-tures de travail. Cela permet ainsi aux élèves des deux CAP de savoir comment prendre en charge les personnes à forte corpulence.

En situation réelle

Certains cours de la section ATMFC ont lieu en milieu ex-térieur, en se rendant dans les structures partenaires du lycée, comme la résidence «Mon Re-pos», la maison de retraite «Le

Soleil de la Maine» et l’école pri-maire Saint-Jean-Baptiste de Montaigu. Ils sont accompagnés de leurs professeurs. Chacun

est alors mis en situation réelle d’apprentissage car le public est là et la communication peut s’exercer. La classe nous a fait

part de son ressenti : «Cela nous permet de nous mettre dans des situations diffi ciles et d’apprendre à les surmonter !»

En cours pendant notre pause

Peut-être avez-vous remarqué, au self, le personnel de ser-vice est parfois épaulé par des élèves. Ce sont les CAP APR. Ils sont en cours pendant notre pause déjeuner ! Il n’est pas rare qu’ils apportent les différents plats. Ceux-ci veillent à ce que les diverses préparations pro-posées au menu du jour soient présentées dans la chaîne du self. Certains s’escriment avec les thermomètres afi n de s’assu-rer que les entrées, par exemple, soient proposées à la bonne température ; d’autres peuvent servir à l’assiette. Ils fabriquent, lors de leurs travaux pratiques, aussi des plats chauds ou froids, comme des gougères, des ca-rottes râpées, qui sont proposés à la vente au personnel.Lors de la soirée organisée par la classe européenne de se-conde, à l’issue de leur voyage à Barcelone, les CAP ont pré-paré le buffet.

Karine BARRETEAUet Adélaïde SOULARD.

Les CAP en action !

Intervention à la résidence Le Repos.

Le CAP ATMFC : Assistant Technique en Milieux Familial et Collectif s’adresse à des élèves sortant de 3e et se pré-pare en deux ans. La formation porte sur des activités relevant de l’alimentation, de l’entretien du cadre de vie et de l’entre-tien du linge, dans les struc-tures collectives et au domicile privé. L’enseignement profes-sionnel a lieu au lycée et sur le terrain. En effet, les élèves ef-fectuent 16 semaines de stage sur les 2 années de formation : 4 semaines dans les structures de services à la personne ; et 12 semaines dans des struc-tures collectives comme une

crèche, un EHPAD, une MAR-PA, un IME… Au lycée, ils sui-vent entre 16 et 18 heures de travaux pratiques par semaine dans l’atelier d’alimentation ou le studio. À l’issue de ce CAP, ils peuvent travailler soit dans les services techniques d’une collectivité comme la cuisine, l’entretien des locaux ou la lin-gerie ; soit au domicile privé des personnes comme aide à domicile. Les jeunes diplômés peuvent poursuivre avec une mention complémentaire d’aide à domicile ou un Bac Pro ASSP.

Karine BARRETEAUet Adélaïde SOULARD.

Le CAP APR : Agent Poly-valent de Restauration, est proposé aux élèves à l’issue d’une classe de troisième. La formation professionnelle se prépare en deux ans et elle porte essentiellement sur des activités relevant de la restau-ration collective et commer-ciale rapide. Elle comprend 17 heures d’enseignement pro-fessionnel et 15 heures d’en-seignement général, chaque semaine. Parmi les enseigne-ments professionnels, les CAP A.P.R. étudient entre autres les sciences de l’alimentation et la microbiologie. En effet, ils

doivent être sensibilisés plus particulièrement à l’hygiène, car les risques liés aux ma-ladies sont très élevés dans ce domaine d’activité. Des tra-vaux pratiques sont organisés. Les élèves travaillent alors sur la production de préparations froides et chaudes ; la mise en place de la distribution et du service ; l’entretien des locaux, des matériels et des équipe-ments. Ils interviennent notam-ment au self du personnel du lycée : ils assurent la distribu-tion et le service à table ou à l’assiette. Au cours du cursus, seize semaines de stages sont

également obligatoires afin d’être immergé dans le milieu professionnel. Après cette for-mation, les élèves peuvent soit travailler dans la restauration collective comme dans les cui-sines centrales qui fournissent les repas dans les établisse-ments scolaires, les cliniques, les centres de rééducation… ; soit dans la restauration com-merciale dans les cafétérias, les pizzerias et les crêperies ou encore dans la restaura-tion rapide.

Karine BARRETEAUet Adélaïde SOULARD.

Le CAP ATMFC, c’est quoi ? Qu’est-ce que le CAP APR ?

Multi crêpes pour maxi gourmands !

Une pizzaïola souriante !

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12Options

L’option sport, enseigné par Mme Baty pour les 2des et par Mme Chiron pour les 1res, se déroule de 11 h à 12 h 30 le mardi midi pour les 2des et le lundi midi pour les 1res. Les ac-tivités proposées pour les se-condes sont la boxe, la mus-

culation, l’art du cirque et le volley ball. Elles permettent de découvrir de nouveaux sports. Ces élèves ainsi que ceux de l’option sport d’eau, accompagnés par M. Fau-chard, Mme Chiron, Mme Tal-botier et M. Cogny, sont allés dans les Deux Alpes dans le cadre de leur PAE-ski, du di-manche 30 janvier au samedi

5 février. Les participants, heu-reux de cette semaine sportive, sont revenus tout bronzés. Ils nous ont raconté leurs exploits et leurs mésaventures sur les pistes : il y a eu beaucoup de chutes, mais la plus belle et la plus drôle fut celle de M. Fau-chard, le professeur en charge des confi rmés ! Les élèves l’ont qualifi é de «magique». «Cela

restera un grand moment de la semaine». La journée était organisée de la manière sui-vante : à 8 h, dur réveil, suivi du petit-déjeuner ; à 9 h, départ du chalet vers les pistes pour skier pendant trois heures ; à 12 h 30, pique-nique au bas des pistes ; à 13 h 30, reprise du sport de glisse ; à 17 h 30, goûter au chalet ; à 19 h 30, re-

pas chaleureux au chalet puis quartier libre jusqu’à 22 h. Ce joyeux PAE sera renouvelé dans quelques années. Pour Antoine, ce séjour fut un moyen de se retrouver entre copains et de s’éclater sur les pistes en-neigées des Deux Alpes, mal-gré les virages.

Marc FAUCHARD.

L’option EPS dans les Deux Alpes !

Spectaclede fi n d’année

Le vendredi 22 avril, à l’amphithéâtre de l’ISLT à Montaigu se produiront les élèves du lycée Jeanne-d’Arc qui pratiquent le théâtre. Ils joueront la pièce qu’ils ont travaillée au cours cette année, avec les conseils d’un co-médien professionnel. C’est un spectacle ouvert à tous les passionnés de la scène, mais aussi aux familles des élèves, aux amis… Pour vous donner un avant-goût de ce spectacle, les se-condes joueront «Musée haut musée bas» écrit par Jean-Michel Ribes. Les pre-mières présenteront «Nous sommes» et les terminales joueront leurs «Ombres d’ivresse». Le destin de ce spectacle est maintenant entre vos mains, peut-être à bientôt… Les places se-ront vendues par des élèves comédiens et le secrétariat à partir du 18 avril.

Élie BONNET. La pause déjeuner sur les pistes !

Le lycée Jeanne-d’Arc pro-pose l’option théâtre. Ce cours est enseigné par des profes-seurs passionnés de théâtre. Cette option a été créée pour initier les élèves à l’art drama-tique et, pourquoi pas, les ai-der à prendre la parole devant une classe entière sans être gê-nés. Les élèves se produiront : pour les secondes : à la salle

de Thalie de Montaigu lors du festival «Mont’en scène» ; les premières joueront aussi à «Mont’en scène» et ils iront à la Roche-sur-Yon pour le prin-temps théâtral ; enfi n les termi-nales ont eu la chance de partir à Huesca, en Espagne, pour le festival international du théâtre, une belle expérience pour tous ! Colombe élève de seconde B nous a dit qu’il ne faut pas hési-ter à s’inscrire pour l’année pro-chaine et qu’il manque une pré-sence masculine. Elle tenait à nous faire part d’une phrase de son rôle qu’elle joue sur scène et qui pourrait inciter les élèves à s’inscrire : «il faut dire que le mammouth esthétiquement n’est pas nocif».

Marc FAUCHARD.

L’option théâtre au lycéeL’option sport d’eau, enseigné en seconde et première par Mme. Chiron, est composé de 4 fi lles et de 11 garçons venant principalement de 1re. Les activités proposées sont : le waterpolo, la natation sportive, l’apnée et la natation avec palmes, masques et tu-bas. Une élève de seconde, Diane, nous déclare que l’op-tion est faite pour elle, pour se divertir, pour progresser en natation et pour se faire plaisir avant tout ! L’option se déroule le mardi midi de 11 h à 12 h 30. Ils restent environ 1 h 20 dans l’eau ; la séance se déroule de la façon suivante : l’échauffement en pratiquant la natation sur quelques lon-gueurs du bassin, puis l’en-traînement avec un rythme

plus intense, ensuite une application de l’objectif de la séance, enfin, pour finir une application plus ludique avec quelques courses, ou bien des jeux entre les «dau-phins»! L’option sport devien-dra une matière bonifi ée au Baccalauréat. Diane déclare : «C’est une option, c’est donc autre chose que les cours, on a un maximum de plaisir et ça nous relaxe !» Pour ceux qui aiment l’eau, cette élève nous dit qu’il ne faut pas hésiter à s’inscrire pour l’année pro-chaine ! À l’issue des 2 ans de sport d’eau, ils peuvent pas-ser le diplôme de maître na-geur en mer. Pour cela il fau-dra nager 800 mètres dans un temps limité. Des compé-titions ont commencé depuis

le mercredi 23 février. Les options Sport d’eau ont aussi participé au PAE-ski avec les options sport, dans la station des Deux Alpes, au mois de février.

Élie BONNET.

Présentation des dauphins du lycée !

Les séances à la piscine.

Nos comédiens après leur prestation à Huesca

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13Solidarité

Celle-ci est destinée à l’école Sainte-Thérèse de Cayes-Jac-mel de Haïti, qui fut entièrement détruite lors du séisme. «La classe se fait toujours sous les tentes, la nourriture est chère mais les enfants se présen-tent par centaines pour venir à l’école» explique Sœur Jeanne Bertrand, religieuse haïtienne. Ce projet humanitaire est à l’initiative de Mme Bouteau, responsable de la pastorale. L’action est menée avec l’as-sociation Amitié Vendée-Haïti qui est en relation, sur l’île, avec les Sœurs Saint-Joseph de Clu-ny. L’association vendéenne participe à la «réhabilitation» de l’école Sainte-Thérèse de Cayes-Jacmel. Débutée en octobre 2010 la collecte s’est achevée avec les vacances de février 2011. Elle est compo-

sée de jouets, de vêtements, de boîtes de sardines, de sachets de bonbons ainsi que de ma-tériel scolaire (livres, cahiers, cartables, crayons…).Une randonnée semi-noc-turne, s’est tenue le samedi 6 novembre 2010. Les ins-criptions ont permis de récol-

ter une somme d’argent qui sera entièrement reversée à l’association vendéenne Ami-tié Vendée-Haïti. Pour collecter du matériel scolaire, les élèves de seconde logistique étaient présents dans les grandes sur-faces de Montaigu, le 20 no-vembre 2010.

Projet professionnel

L’ensemble de l’opération a été «traité» par les 19 élèves de Seconde professionnelle logis-tique et transport, dans le cadre du projet pluri-disciplinaires à caractère professionel «col-lecte des déchets». « C’est un

projet fédérateur et motivant» explique Nathalie Parent, res-ponsable de la classe de se-conde logistique. La collecte sera acheminée vers Haïti par bateau, dans un container, en-voyé en mars 2011.

Sylvain GARREAU.

La préparation de la collecte à destination de Haïti

Collecte de livres pour Haïti.

Dans son premier numéro, L’Arc a dit vous annonçait une action en faveur des Haï-tiens. Une exposition, à l’initia-tive de certains professeurs, a répondu à cet appel à projet. La pastorale du lycée et les élèves de seconde logistique et transport, suite de la confé-rence à l’amphithéâtre avec l’association Vendée Amitié Haïti, ont décidé d’agir en me-nant plusieurs actions. L’une

d’entre elle a été l’exposition installée au CDI. Elle mettait à la disposition des élèves des objets artisanaux, des cartes, des affi ches, des pein-tures présentant la vie quoti-dienne. Elle a été prêtée après la conférence à l’issue de la-quelle un chèque de 522 € a été remis à l’association Ven-dée Amitié Haïti.

Yohann GUILBEAU.

En 2010, un puissant séisme de magnitude 7,3 sur l’echelle de Richter a frappé l’île d’Haï-ti, près de la capitale Port-au-Prince, faisant des centaines voire des milliers de victimes. Le tremblement de terre a dé-truit une grande partie des im-meubles de la ville. Un an après le tremblement de terre du 12 janvier 2010, des dizaines de milliers de bâtiments sont toujours en ruine, tandis que les Haïtiens sont aux prises avec l’épidémie de choléra et les in-certitudes électorales.La situation humanitaire de-

meure inquiétante en Haïti. La population, mais aussi les au-torités et les structures ont été affaiblies par une série noire : séisme, intempéries, épidémie de choléra, violences postélec-torales. Même si beaucoup d’or-ganisations humanitaires sont actives sur place, elles ne peu-vent pas reconstruire Haïti en un clin d’œil. Actuellement, beau-coup d’Haïtiens vivent encore dans des conditions précaires.En outre, la phase de recons-truction prend beaucoup de temps, car elle est constituée de plusieurs étapes. Il s’agit

d’abord de mettre en place des abris provisoires, avant de construire des bâtiments conçus pour durer.Les élections présidentielles et législatives qui se déroulent actuellement dans le pays sus-citent également de vives in-quiétudes, des manifestations violentes ont paralysé certaines villes du pays et ont complexifi é l’accès à l’eau et aux soins de santé. Haïti demeure dans l’in-certitude politique et matérielle.

Sylvain GARREAUet Yohan GUILBEAU.

L’exposition sur Haïti au CDILa situation de Haïti, un an après

L’exposition sur Haïti au CDI.

La remise du chèque à l’association Amitié Vendée Haïti.

Une collecte humanitaire pour Haïti a été préparée au lycée Jeanne-d’Arc afi n d’aider les rescapés de Haïti suite au séisme du 12 janvier 2010.

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14Détente

Un poisson d’avril est une plai-santerie que l’on fait le 1er avril à ses amis.Pour les enfants, il consiste à accrocher un poisson en pa-pier dans le dos de personnes dont on veut se moquer. «Pois-son d’avril !» est aussi l’excla-mation que l’on pousse une fois qu’une des plaisanteries est découverte, ou pour avertir la victime du canular que l’his-toire qu’on vient de lui raconter est fausse.Le rapprochement avec le car-naval a été mis en évidence. Lors du carnaval on peut se dé-guiser en femme quand on est un homme, ou en riche quand on est pauvre… Le jour du 1er avril on peut répandre une rumeur, se faire passer pour ce qu’on n’est pas, s’amuser en toute impunité et même se moquer des autres et de soi-même. Un autre point commun entre le carnaval et le 1er avril est le fait d’encadrer la période du carême : le carnaval marque

le début du carême, le 1er avril marque sa fi n.Le 1er avril, toujours très ap-précié par les blagueurs, les professeurs sont souvent les victimes d’élèves ingénieux ; les médias diffusent les farces.En 1564, le roi Charles IX a décidé que l’année ne com-mencerait plus le 1er avril mais le 1er janvier. Un chan-gement a également décalé les échanges de cadeaux et d’étrennes qui marquaient le passage à la nouvelle année. Pour semer le doute au sujet de la date réelle du nouvel an, certains ont continué à offrir des cadeaux en avril. Au fi l du temps, les cadeaux d’avril se sont transformés en cadeaux pour rire, en blagues, puis en stratagèmes pour piéger les autres.

Pourquoi le choixdu poisson ?

Si les farces sont connues sous le nom de «poisson d’avril», cela remonte au XVIe siècle. Les cadeaux que l’on s’offrait en avril étaient souvent alimen-taires. Cette date correspon-dait la fi n du carême, période pendant laquelle la consom-mation de viande est interdite chez les chrétiens, le pois-

son était le présent le plus fréquent.

Lorsque les bla-gues se déve-loppèrent, l’un

des pièges les plus courants était l’offrande de faux

poissons.

Alex PICHAUD.

Qu’est ce que le poisson d’avril ?

T’as vu dans ton dos !

Horizontal

1. Sources (… des Joncs) deux mots. Langue occitane

2. État américain3. Célèbre opéra italien4. Dynamite. Charles Martel s’y

illustra5. Pâlis. Terminaison verbale.

Article6. Exagérée. Saison. Sonné7. Ne perd pas ses feuilles.

Secteur postal. Altesse royale

8. Préfecture de la Loire9. Voir en anglais. Sans

occupation10. Onomatopée enfantine.

Que l’on peut attacher. Déshabillée

11. Le plus long fl euve français. Couleur symbolique

12. Château d’une favorite. Note. Pointai

13. Lu. Choisis. Île de Vendée. Issu

14. Affl uent. Prénom d’un Ter-rible. Fin de verbe

15. Monnaies roumaines. Rem-pli. Premier.

16. Affl uent. Mouche africaine

Vertical

A. Ville de la plaie de Forez. Accord

B. Nouvelle lune. Sous sol. Résiliés

C. Ville d’un édit. Département voisin. Laça

D. Autre affluent. Pronom personnel

E. Nom d’un renard. Nom d’une célébrité suisse. Agit

F. Exclamation. Tente. Aimée de Zeus. Traduit à gauche

G. Gai participe. Embouchure. Début de père

H. Comme le chat d’un conte. Lettre grecque. Pays à l’hon-neur cette année

I. Colère poétique. Dieu du vent. Habille

J. Intente une action en justice. Refuse. Réels

K. Ville et nom d’une maison princière. Autre affl uent

L. Crochet. SouverainesM. P r e m i e r n o m d e

Saint-ÉtienneN. Château de François 1er.

Lagunes

Solution dans le prochain numéro.

Chloé GAUTIER.

Mots croisés

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15Coups de cœur

La fin de la frontière franco-belge pose problème, surtout pour le belge joué par B. Poel-voorde : il déteste les Français comme Dany Boon. Mais il y a un «os» : la sœur de Ruben Vandervoorde et Mathias Du-catel (D. Boon) sont fous amou-reux. Alors quand on propose à Mathias de collaborer avec Ruben, il accepte pour arranger «la situation». Une foule de pé-

ripéties se produisent… Pour la suite, allez voir Rien à déclarer !

Louise F.

Paloma, 12 ans, philosophe sur la vie et le comportement des gens qui l’entourent, dans son «Journal du mouvement du monde». Une concierge instruite se fait passer pour une concierge ronchonnante. L’arrivée d’un nouvel habi-tant changera la vie de tous. Ses chapitres aux titres hété-roclites : «Construire Tu vis Tu meurs Ce sont Des consé-quences» ou encore «Culotte ou Van Gogh ?» imposent de

lire la suite. «... depuis très long-temps, je sais que la destination fi nale, c’est le bocal à poissons, la vacuité et l’ineptie de l’exis-tence adulte.»

Colombe R.

Rudy et Dallas, un jeune couple, travaillent dans la même usine : la KOS. Ils sont emportés par les diffi cultés de notre monde. Relations humaines au travail et en famille, crise fi nancière et amour tissent admirable-ment le roman de Gérard Mor-dillat. Il nous émouvait déjà par la puissance de ses descrip-tions et des situations qui sont

les nôtres. En regardant le premier épi-sode de la série proposée par France 2 en DVD aujourd’hui, j’ai redé-couvert le registre épique. La scène de l’inondation est no-tamment très bien tournée.

L. AUGER.

J’avais vu la bande-annonce de «Au-Delà», le dernier fi lm de Clint Eastwood, et j’en at-tendais beaucoup. Mais j’ai été un peu déçue car elle ré-vèle tout, il n’y a pas d’autres actions. Cependant il reste un film émouvant, l’acteur Matt Damon incarne le rôle d’un ancien médium : il com-munique avec les morts. Il ne veut plus exercer cette pro-fession puisqu’avant il n’avait pas de vie. Mais plusieurs per-

sonnes le sollicitent pour entrer en contact avec leurs proches décédés. Ce fi lm nous fait ré-fl echir, il vaut la peine d’être vu !

Louise FAUCHARD.

Après Bienvenue chez les ch’tis !

L’Élégance du Hérisson

Les Vivants et les Morts :notre épopée ?

Un peu décevant mais…

La rubrique«Coup de cœur»Cette rubrique a pour ob-jectif de vous faire connaître les coups de cœur de l’équipe de rédaction pour des événements, des ro-mans, des CD musicaux ou des DVD Vidéo. Laissant la place à la subjectivité des rédacteurs, les journalistes en herbe cherchent à vous faire connaître et partager ce qu’ils ont aimé. Il vous revient ensuite de confi r-mer ou d’infi rmer les choix présentés dans cette page. Cette rubrique devrait vous inciter à nous faire aus-si partager vos propres coups de cœur : nous se-rions ravis de connaître vos choix concernant vos lec-tures préférées, vos CD ou vos DVD Vidéo «chéris». L’équipe de rédaction de L’Arc a dit serait très heu-reuse, lors d’un prochain numéro du journal, de pu-blier vos avis. Alors n’hési-tez pas : à vos plumes, ou à vos claviers pour les plus branchés !

Pierre Guérin écoute en rêvant les histoires des îles que lui ra-conte Alcime. Dans le bocage vendéen des années 1900, un tel voyage reste une douce uto-pie. Mais Pierrot ne voit pas son avenir en restant à Baure-paire. Il part pour Nantes où il compte s’embarquer. Le hasard des rencontres et des tempêtes

traversées lui apportera l’amour de Jenny.Marcel Grelet signe ici son deuxième roman après Le Der-nier Canasson. La Ballade de Jenny nous fait voyager : on découvre les paysages magni-fi ques du Pays de Galles et les diffi cultés de ses mineurs.

L. AUGER.

Depuis l’été 2004 et jusqu’en 2007, Riad Sattouf a publié, dans le magazine Charlie Heb-do, une page de bande-dessi-née par semaine. Les voici ras-semblées. L’auteur affirme y retranscrire des faits réels, qu’il a observé, ou vécus, ou enten-dus. Sans voyeurisme et souvent

avec humour, Riad Sattouf relate les comportements des jeunes d’aujourd’hui. Les situations vécues prennent souvent pour cadre des lieux publics : métro, bus, fast-food, parcs… Sattouf devient le chroniqueur impartial d’une jeunesse. Tout simplement vrai, drôle et tragique !

Depuis le 30 janvier nos Fran-çais sont champions du monde. C’est leur 4e victoire d’affi lée dans une compétition internatio-nale. Leur parcours fut presque sans faute : seul un match nul face à l’Espagne les a privé de la compétition parfaite. Reve-

nons sur cette fi nale magnifi que face au Danemark : une excel-lente entame de match de la France avec quelques points d’avance conservés tout au long de la rencontre. Mais dans le dernier quart d’h, le Dane-mark revient puis égalise à 5

secondes de la fi n. La France s’impose après prolongation.

Alex

Germain Chazes, 45 ans, est un colosse. Mais il est aussi l’idiot du quartier. Il vit dans une ca-ravane, au fond du jardin de la maison de sa mère. Il passe son temps entre le bistrot et le jardin public. C’est là qu’il ren-contre Margueritte, une dame âgée et très cultivée, qui le fait entrer dans le monde des livres et des mots, un monde dont il se méfi e. La lecture bouleverse

son rapport aux autres et à lui-même. Ce roman émouvant et tendre, écrit par M. S. Roger, a été récem-ment adapté au cinéma, avec Gérard Depardieu dans le rôle de Germain.

Marcel Grelet a reçu en dé-cembre le prix du roman ven-déen avec La Ballade de Jen-ny. L’auteur est venu parler de son métier le vendredi 18 fé-vrier aux élèves de 2A. Il a ex-pliqué ce qui le motive, com-ment la découverte de l’Histoire et les relations humaines jalon-nent ses romans. Auteur dispo-

nible, accessible et prolixe, il évoque ses rapports avec les éditeurs et les diffi cultés qui n’occultent jamais sa passion : les mots.Vous pourrez le rencontrer au Printemps du Livre de Mon-taigu, du 8 au 10 avril prochain.

L. AUGER.

La Ballade de Jenny

La Vie secrète des jeunes

J’ai cru manger mon canapé

Le roman La tête en friche

Les 2A reçoivent un écrivain

Page 16: L’Arc a dit - Montaigu en Vendéemontaiguvendee.fr/cms/uploads/pdf/Animation et Culture/Larcadit2.pdf · Louise et les autres page 15 Jeanne d’Arc classé 1er lycée de Vendée