L'atlantide Boréenne

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    LATLANTIDE BORENNE5me partie : # 5/5

    C/ Mises jour et supplments vus sur le NetV/ En Amrique ?Mj 15 nov. 04 : Il ny a aucune trace de dveloppement graduel dans les hautescivilisations qui stendaient autrefois du Mexique au Prou. Plus les archologuescreusent profondment, plus la culture est avance ; jusqu un point prcis o lesvieilles civilisations ont brusquement surgi sans aucune fondation parmi des cul-tures primitives ! Thor Heyerdahl, Kon-Tiki.Dans les annes 1500, lempereur aztque Montezuma (ou Moctezuma)

    dit lenvahisseur Corts: Nos pres ne sont pas ns ici; ils sont venus dune lelointaine de la mer nomme Aztlan o slevait une trs haute montagne qui atteignaitle ciel et o croissait un jardin habit par les Dieux.

    Or, en Amrique prcolombienne, les hros ou dieux viennent quasiment tous,par air (?) ou par mer, dune terre inconnue situe lEst et que lon dit souvent dis-parue dans les flots. Quetzalcoatl, au Mexique, avec sa peau blanche et sa longuebarbe, comme la plupart des hros du lieu, a mme dvelopp le culte dun dieu de lamer qui nest autre que Posidon!

    Le Codex Toltec Tira (Livre des migrations) mentionne larrive de huit tri-bus qui allrent jusquaux rivages du Pacifique et qui venaient dun pays trs lointain,

    situ lEst, du nom dAztlan.On mentionne aussi, mais je ne sais rien de plus sur cette mention, quil existait1Chapiteau de Boscherville : cet Escarboucle nest-il pas le plan dAtlantis selon les dires dePlaton? Et, sur sa face de droite, ne dirait-on pas Fenrir, lauteur du cataclysme/ Ragnark ?;

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    au Venezuela, il y a vingt ans peine, une tribu dIndiens la peau blanche; il sagis-sait des Parias qui habitaient, entre lApur et lOrnoque, un village nommAtlan. Michel Fournier@, 17-2-04.

    V/Sur le Nil ? Il y a quelque 5.000 ans, pour une raison inconnue, une civilisationdisparu de son site originel et stablit le long du Nil, sur les berges des rivires mso-potamiennes, au bord de lIndus porte par des hommes barbus qui construisaient desbateaux de lianes, par des astronomes qui adoraient le soleil et lui levaient des pyra-mides escaliers telles quon en trouve en Egypte, en Msopotamie, au Mexique, enBolivie, Tnrife. Il est impossible que de telles civilisations se soient dvelop-pes brusquement en une seule gnration ou mme en un sicle : il y avaitquelque chose avant ! Thor Heyerdahl.

    Maj propose par Michel Fournier le 4 fvr. 04 : Le plus ancien rcit connu estle conte gyptien du Serpent. Un marin fait naufrage dans locan Indien en serendant vers le Pays de Punt (?) Il arrive sur une le magnifique et opulente. Dans letonnerre et les clairs, le matre de lle lui apparat sous lapparence dun serpenttrange: Il mesurait trente coudes (une coude mesure de 45 52,5 cm) et sabarbe dpassait deux coudes; ses membres taient plaqus dun mtal plus brillantque tous les ors, ses sourcils en lapis lazuli vritable et il savanait avec prudence. Iltransporta le marin dans sa bouche, jusqu son repaire, en le rassurant sur ses inten-tions. Il le choya et lui annona que son le allait trs bientt tre engloutie dans lesflots. Des marins gyptiens qui passaient recueillirent notre naufrag avec les nom-breuses richesses offertes par le Serpent.Puis, lle disparut au milieu dun immense vacarme et dclairs de feu qui

    montrent jusquau ciel. Les richesses offertes par le Serpent furent remises au Pha-raon. Parmi celles-ci, il y avait de nombreux produits inconnus, mais surtout des mca-nismes mystrieux, tranges dont les scribes dressrent alors linventaire.

    W/ Objections :

    Mj 16 janv. 04 : Les Atlantes ne pouvaient en un temps aussi recul avoir toutesles connaissances dont vous parlez !Une rponse peut lui tre apporte par cet article publi rcemment dans nosNouvelles* Archologiques et qui montre le niveau culturel astronomique atteint

    en Europe* du Nord avant quune catastrophe ne ramne ces populations au rang despeuples primitifs dont elle ne stait sortie que par un effort continu ou par un gnieinn

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    UN SAVOIR FORMIDABLE :

    Le DISQUE DU CIEL de NEBRA2tait un OBJET CULTUEL SACR!

    par Dagmund / ORA, in revue Huginn & Muninn, dc 03.

    Ce que soi-disant personne ne se risquait supposer mais ce que nous,paen, savions ds le premier instant les examens scientifiques l'ont maintenantprouv: le disque du ciel de Nebra tait une sorte d'ostensoir - port en procession

    comme un objet cultuel. Sur le disque, les parties en or figurent l'ensoleillement3

    faisantune sorte de calendrier qui par la mesure (du temps annuel)N jouait un rle pour les f-tes des solstices.Evidemment, pour des chercheurs malveillants fanatiques de "l'ex-oriente-lux",cet inopportun trsor culturel parait bien incommode voir et ils ne semblent doncpas avoir russi expliquer ce prcurseur des ornements de l'Arbre de Nol-SolsticedHiver(N) ou d'une partie de vaisselle4.Il semble quil y ait encore un genre de "savants" qui feraient peut-tre volon-tiers disparatre un objet de culte paen parce que leur pense est contre le fait quuneculture ait pu exister en Europe centrale avant la colonisation chrtienne.Comme l'archologue du Land de Saxe-Anhalt Harald Meller l'avait annonc le6 nov. 2003, les solstices et leur dtermination astronomique taient d'une importanceparticulire pour les paysans de l'ge du bronze puisque la vie des personnes et desanimaux dpendait de la prosprit des semailles et des plantations. Le cuivre de cedisque venait avec une grande vraisemblance de la rgion de Mitterberg en Autriche,et l'or de la Roumanie du nord-ouest.Ce disque est considr comme la plus ancienne reprsentation du ciel connuedans l'histoire de l'humanit et il est classer dans le milieu culturel Nordique("Atlantide*") que le centre du Danemark du sud et le Schleswig-Holstein embrassaitmais, qui prit lors de catastrophes naturelles autour de 1220 AEC.

    2Nebra, cf. art. R&T nouvelles archologiques* (arkeneo/htm)3Ensoleillement, entre les zones de lever et de coucher hliaques aux solstices dhiver et dt4Vaisselle : veyssel sacre, cf. art. R&T Graal*

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    Mj 17 janv. 04 : Notre correspondant et ami, Michel Fournier, dont nous avons publiLa dcouverte du vritable La-byrinthe* (cf. article*) est trs attach l'ide que l'Atlantide de Platon tait la

    Crte (o il a une maison) !Quoique nous ne partagions pas ce point de vue, nous avons toujoursconsidr la Crte comme un trs important site initiatique (dont le nom n'estpas innocent : Knossos > Gnsis "connaissance", cf. mj infra) d'autant que laMythologie* a fait tat des rapports rpts de l'Europe* du Nord avec laGrce ! Nous sommes donc heureux de vous prsenter aussi son opinion car au-cune de ces hypothses ne doit, dans notre esprit, exclure les informations com-plmentaires venant dautres propositions !

    Y/ Participations/@ et Nouvelles LecturesL'ATLANTIDE (CRTOISE)n

    BERCEAU DE L'HUMANITEMichel Fournier www.origines.fr.st

    Au fait, saviez-vous que la Crte, autrefois, tait appele "CYDONIA",que le Mont Youchtas qui se trouve sur cette le, reprsente, pour les Crtois, le visagede Zeus* contemplant le ciel, que sur ce Mont Youchtas se trouve un village nomm"Archanes" ce qui veut dire "les secrets", qu' Rhodes fut construit un "Colosse", qu'

    Lemnos fut construit un Labyrinthe en l'honneur d'Hphastos, que ce Labyrinthe*tait une merveille d'architecture d'une grande superficie, que.....

    Saviez-vous que Zeus, Pre des Dieux* et des Hommes, a pris l'apparence d'untaureau blanc pour sduire la belle Europe*, qu'il l'a emporte sur son dos par-del les

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    mers, qu'il s'est ainsi rendu en Crte pour s'unir elle, redevenu "humanode", au pieddu platane de Gortyne, lequel platane est situ au pied du Mont Ida, appel aussi"Psiloritis" ce qui peut se traduire par "rites* du haut" (et que veut dire "autorit" si cen'est "rite par soi-mme"), et qu'on accde par le village d'Anogia, ce qui se traduit par

    "la Terre du haut" la caverne o Zeus a grandi tant enfant....Saviez-vous que, de leur union, taient ns 3 enfants qui, chacun leur ma-nire, sont des clefs pour assurer une bonne organisation sociale et politique 5 : Minos,la Sagesse ( le nom de "Minos" a-t'il donn MINIStre ?), Rhadamanthe, la Loi et Sar-pedon, la Crativit, cette "trinit" tant trs saine, sans doute autant que celle qui futdispense aux hommes primitifs par gNya'-khri-btsan-po

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    Mj 14 nov. 04, Gnose, vu sur Encyclopdia Universalis (publicit gratuite) :La GNOSSE est cette science mise au moint par pimnide, n Knossos,KNOSSOS tant le nom de la CONNAISSANCE PURE...PIMNIDE DE CNOSSE (actif -Vle s.?) : Il est d'autant plus difficile de daterpimnide le Crtois que la lgende lui attribue plus de cinquante annes dedormition dans une cave des montagnes consacres au Zeus crtois, ce qui lui don-nerait plus de cent cinquante et parfois prs de deux cents annes de vie: finalement, etau tmoignage de sa propre mmoire, sa lgende fait de lui une rincarnation d'aque,juge aux Enfers avec Minos et Rhadamanthe. Les indices le rattachent la lgende dela Crte, laquelle, plus d'un millnaire aprs l'apoge de la civilisation minoenne, con-servait en Grce le prestige de ses antiques traditions.pimnide reste pourtant li l'histoire d'Athnes, en l'ge dj historique de

    Solon, qui l'aurait appel purifier la ville souille par le meurtre de Cylon et frapped'une pidmie. Athnes conservait cet pisode inscrit sur son sol, sous la forme de pe-tits autels dresss aux endroits o avaient t sacrifies en hcatombe purificatrice cin-quante brebis blanches et cinquante noires. pimnide fut un homme divin, devin,purificateur, expert en rituels anciens, et peut-tre adonn de plus aux techniques cha-manistes importes du Nord. Il a laiss des oracles, des posies religieuses, dont leslambeaux se retrouveraient parmi les recueils de tradition orphique, un pome piquesur la lgende des Argonautes et une thogonie qui contait, entre autres choses,l'origine des Curtes crtois. Comme celle de son voisin Phrcyde, cette thogonie selaissait sans doute interprter de faon savante. Les traditions recueillies par Dio-gne Larce rangent pimnide parmi les sept Sages. Il reste pour nous exemplairedu type de l'homme religieux, du matre de vrit de la Grce archaque, selonl'expression de M. DtienneLES SEPT SAGES : Titre sous lequel Diogne Larce honore Thals de Mi-let, Bias de Prine, Solon d'Athnes, Chilon de Sparte, Priandre (tyran de Corinthe),pimnide de Crte, Phrcyde de Syros, Pittacos de Mitylne, Clobule de Lindos (Rhodes), Myson (originaire d'une obscure bourgade continentale) et Anacharsis (filsd'un roi barbare et d'une Grecque). Si les prtres de Delphes ont canonis, en ~585584, une liste des Sept, il faut croire que, pour quelques gnrations, rgnrentdes immortels aux noms changeants.Le titre court de l'un l'autre. Et aussi la lgende, une histoire de talisman de

    l'autre monde, d'une coupe ou d'un trpied ramass avec un filet dans la mer ou autre-ment, attribu par l'oracle au plus sage de la ville, transmis par sa modestie a un5 Note r.t - bonne organisation sociale et politique : cf. notre art. Fonctions*

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    plus sage encore, et finalement remis par le plus sage de tous Apollon*6 : tel ungage que la ronde fait courir du dieu au dieu par la chane des sages. Tous les lmentsde la lgende pointent vers l'Apollon de Delphes. Les formules sapientiales attribues l'un ou l'autre promeuvent une commune thique de la mesure, la modration. La

    diversit mme des origines, clbres ou humbles, grecques ou barbares, indique unevolont et une vritable stratgie de culture panhellnique.On remarque que la liste compte des experts dans la science des nombres, desfigures, des astres, des lettres et de la lgislation; des hommes de gouvernement, desdonneurs de lois, des rformateurs et mme un tyran (au titre disput), ct devieux thologiens.L'homme sage du -Vlme sicle n'est donc pas, ou pas seulement, un hommede tradition. Il n'est pas seulement un homme de contemplation. Il se dfinit par unedouble opposition: d'une part, au type archaque du devin, matre de vrit ou de m-moire; d'autre part, une varit d'artisans ou d'artistes, hommes de mtiers. ll

    s'oppose aux premiers comme matre d'un savoir nouveau; aux seconds comme ex-pert dans des arts de qualit suprieure, divine ou sublime. Le terme mme de"sophos" a subi une volution qui le fait passer du sens de l'homme de l'art au senshumaniste de la sagesse, qui n'est ni mtier ni science. Le "sophos" du -Vlme sicle sesituerait mi-chemin, comportant quelque chose de l'homme de l'art, mais dans dessavoirs neufs ou des arts relevs, quelque chose aussi de la sacralit attache, selon letitre de l'ouvrage de M. Dtienne, aux matres de vrit (Les Matres de vrit dela Grce Archaque). 1998 Encyclopdia Universalis France S.A.

    6Lgende : Comment ne pas penser ici la lgende mdivale du Graal* (cf.boussole in Irminsul*)

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    Mj 18 Janv. 04, Commentaires TT sur la gravure Mlancolie dAlbrecht Drer,1515:Comment ne pas tre mlancolique alors que lle Sainte Thul (Balance)va tre engloutie par ce mtore qui, venant du fond de lespace, outrepasse lArc-en-Ciel Bifrost pour frapper Asgaard ? Et, avez-vous remarqu la messagre (aggelos)sous le sablier du temps qui passe, elle note les dtails de la catastrophe pour les gn-rations futures et, ne fait-elle pas un peu Sirne*-oiseau ? Et cette curieuse grue*

    sacre* qui senvole en portant la nouvelle sur la banderolle de ses ailes ouvertes ?Messagre de Mmoire, althia absence doubli, vrit !

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    ------------ Mj 11 nov. 04, vu sur le 12 mai 04 ------------Die Weltgeschichte - Der wahre Ursprung

    Ein sensationeller Einblick in das grte Geheimnis dieser Erde:Das verborgene zweite Universum

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    von Georg Lohle 7

    Dieses Buch beschreibt eine Welt, die wir noch begreifen mssen. Und das ist erstnur der Anfang. Doch wenn wir die fast unglaubliche Basis nicht kennen und ver-stehen, bleibt uns logischerweise alles Folgende noch lange verborgen. Der Autordieses Buches fhrt den Leser auf einer spannenden Entdeckungsreise durch einenie erahnte Geschichte und durch unentdeckte Landschaften dieses Planeten. Einevllig neue Sichtweise fhrt uns nicht in eine abstrakte oder ferne Dimension, son-dern zeigt uns unsere Erde in einem absolut neuem Gewand.

    Eine Flle von Indizien, ber Jahre mit groem Aufwand recherchiert, ergeben hier nicht nur eineTheorie. Denn hier schliet sich ein Kreis, der bisher von keiner Wissenschaft geschlossen werdenkonnte und vieles bisher Unerklrbare in einem Atemzug auflst. Die Erde ist ein hohler Planet!Dieses Buch wagt die bereits bekannte Theorie ber einen hohlen Planetenkrper neu aufzugreifenund stellt nicht nur wissenschaftlich fest, ob das berhaupt sein kann. Diese schier unglaubliche Be-hauptung, die bisher leider nur einer politischen oder phantasievollen Motivation entsprungen zu seinschien, steht hier auf einen geschichtlichen und geophysikalischen Prfstand und wird letztendlich zueiner Feststellung. Dabei werden die verschiedensten wissenschaftlichen Theorien als nicht mehrhaltbar entlarvt und durch Denkmodelle, die auch von berhmten Physikern und Wissenschaftlernentliehen sind, ersetzt. Durch diese Einfhrung in eine weitaus komplexere Thematik gestaltet sichauch unser Universum vllig neu und erffnet ungeahnte Horizonte. Die altnordische Edda, das AlteTestament, der Ishtar Mythos oder andere weltbekannte Mythologien und berlieferungen zeigensich hier nun verstndlicher und selbst ungeklrte Fragen, die jene sagenhaften Pyramiden oder dasverschollene Atlantis betreffen, finden eine Antwort, ohne dabei das Gefhl zu vermitteln aus der

    Luft gegriffen zu sein. Das unsere Erde eine hohle Struktur aufweist, setzt voraus, dass die Erde eingewachsener Planet ist und immer noch expandiert. Und gerade die Erdexpansion wird in jngsterZeitauf hchster wissenschaftlicher Ebene diskutiert und strkt damit das Ergebnis dieses Buches. DerAutor versucht in einer verstndlichen Sprache nicht nur aufzuklren, sondern wirft viele Fragen auf,die uns in eine vielversprechende und spannende Zukunft fhren knnten. Das Licht in der Tiefe isteine uns verborgene Sonne, die unseren Himmel nicht erhellt, doch bisher Verborgenes aufklrt.

    Vorwort1. Kapitel Die Fesseln der Vergangenheit

    2. Kapitel Atlantis und das Erbe der "Ura-Linda-Chronik" >3. Kapitel Der Naturgeistermythos4. Kapitel Das Mandala Geheimnis

    5. Kapitel Die gttliche Lsung7Bohmeier Verl., Konstantinstr. 6 - D-04315 Leipzig (D). Fon: +49 (0) 341 68 12 8 11 - Fax: +49 (0) 341 68 11 8 37Immer erreichbar unter unserer Rufweiterleitung : Fon: 0700-62 44 25 78

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    NachwortLiteratur- und Quellenverzeichnis

    * * * Atlantis * * *Esquisse du 2me chapitre de L'Histoire Universelle - La Vraie OrigineAprs Platon, la recherche hypothtique d'Atlantis est seulement celle de son ventuelle existence.Tant que tout reste spculatif, cela permet chacun d'interprter librement Platond'une manire ou d'une autre, mme avec le rsultat qu'il n'y eut pas d'Atlantis.

    Atlantis est-elle un mythe* ou un pass rel ? Cela parat une voie bien fonde!

    La base de ce modle est une chronique vieille-frisonne. Atlantis, autrefoisl'Altland "le vieux pays" et aussi Atlant, se trouvait situ entre le Danemark etl'Angleterre et devint la victime de la Mer du Nord dont le niveau remontait en

    s'largissant depuis plus que 4.000 ans. Non seulement la chronique confirme ce mo-dle, mais encore Platon peut lui aussi confirmer cet tablissement par ses descriptions D'aprs les indications de la chronique vieille-frisonne, une grande catastrophenaturelle au lieu autour de 2200 AEC. Selon la description de la chronique (mais aussid'aprs celles plus sommaires de Platon) ses dclencheurs furent plusieurs ruptionsvolcaniques et tremblements de terre qui produisirent finalement un raz de mare !Avant qu'Atlantis soit submerge, un nuage de brme couvrait depuis longtemps le li-bre regard vers le ciel. Donc, en ce temps, la terre tait inquite.Une srie d'ruptions volcaniques peut avoir t provoqus par le survol(presque une collision) d'une comte. Une bouillonnante marmite (Hot-Spot-Tpfe) devolcans peut avoir clat cette poque sous l'influence de la gravitation provenant dela comte, ce qui obscurcit ainsi l'atmosphre. Les points d'impacts des bribes de ro-ches de la queue comtaire auraient provoqu le mme effet. Des tremblements deterre sont aussi provoqus par de tels survols car l'effet du changement de gravitationle rend probable : en effet, la Lune provoque seule des mares malgr son relative-ment grand loignement mais, si celles-ci concident avec le survol d'un corps clesterelativement grand et encore plus proche, cette circonstance en accrot grandementl'effet.C'est exactement cette poque que des images de catastrophe apparaissentdans toutes les traditions. Ainsi, l'Ura-Linda-Kronik dcrit alors la catastrophecomme un processus progressif cause du soleil qui semblait peu abondant et rouge-

    tre dans le ciel et dun vent notable faisant dfaut, plutt que faisant prir le "VieuxPays" d'un jour l'autre. Ces phnomnes climatiques sur une priode plus longue fu-rent dj observs, loin en Europe du Nord quand, la fin du XVIIIe sicle, une rup-tion volcanique dsastreuse se produisit en Islande.Alors, d'un jour l'autre, la catastrophe se produisit. Un raz de mare envahitle pays et emporta les vies et les btiments sur son passage. Il laissa un paysage limo-neux, dvast. L'empire d'Atlantis en fut bris. Les rgions non directement concer-nes taient sans contrle et les survivants s'enfuyaient des rgions dpeuples et d-truites. Un randonne de peuples commena, mais pas seulement parce que le climats'aggravait. On a des indices scientifiques du changement de climat de cette poque etdune monte lente du niveau de la mer de prs de 3 mtres, ce qui indique les surfa-ces du plat pays que la Mer du Nord incorpora. Ensuite, 4.000 ans d'rosion ont ni-vel le fond de la mer qui nest qu 40 mtres sous son niveau actuel !L'inondation pourrait avoir t dclench depuis l'Islande ou Jan Mayen, les

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    Tsunamis partant, de ces rgions. La simulation de Tsunami indique qu'une onde de100 mtres de haut aurait pu provenir du point d'impact dun mtorite. Pour la con-qute des rgions des plats pays dans le bassin de la Mer du Nord, de plus petites on-des suffisent pour causer des destructions d'une grande envergure. Les les Shetland et

    Orkney furent spares du continent. Aujourd'hui mme on retrouve des restes de co-lonisation tranges et des restes culturels de l'ge de bronze - mme dans les plus peti-tes les, comme si on s'tait enfui avec ses derniers biens sur les sommets et qu'onavait encore continu vivre l selon les restes de la "vieille culture".La Grande Mare envahit la surfaces des pays presque jusque devant l'led'Hligoland [le Pays Sacr*] alors beaucoup plus grande et qui ne fut spare quebien plus tard. Dans ses caractristique, la cte de la Mer du Nord d'aujourd'hui de-vant l'Allemagne est ge de seulement quelques centaines d'annes et se rduit deplus en plus malgr l'adjonction de digues les plus modernes...Le Rhin coulait alors l'ouest prs d'Edimbourg en cosse (cela rsulte de sonprofond profil) dans le Lac du Nord alors beaucoup plus petit. Le lit du fleuve dont le-courant puissant tait augment de la Meuse, l'Escaut, la Vechte et la Tamise, s'garaitdans le pays relativement plat et l'Elbe et la Weser s'y unissaient prs de l'Helgolandd'aujourd'hui, partant vers le nord dans la mer. cette poque, l'Ems divisait l'Altlandpresque concentrique. Cest donc prs de l'une de ces trois rivires que Basilea se se-rait probablement trouve car, depuis toujours, les rives des fleuves taient les pointsde colonisation optimaux dans chaque culture.

    Basilea tait selon Platon une grande ville circulaire. Cette sorte de constructionse retrouve dans les remparts en anneau du Danemark et de Sude et referme ainsiencore plus le cercle dune vraisemblable situation dans la mer du Nord. Par ailleurs,

    on tablit toujours que les articles culturels nordiques importants se trouvent sur uneligne gographique. Cette forme de l'archologie est aussi appel occasionnellementLeylinienforschung (les Leylinien sont aussi interprts comme des lignes du champde force nergtique)8n . Les clbres remparts en anneau du Danemark dAggersborg Lgstr, Fyrkat Hobro, Eskeholm sur Sams ainsi que Trelleborg se trouvent demme sur une ligne. E.von Dniken attirait l'attention dans l'un de ses livres sur ce ca-ractre insolite. Ces dispositions pourraient tre exactement une fonction cl pourl'ancienne situation de Basilea car seulement 3 fleuves entrent en ligne de compte poursa localisation...

    8 Leylinien : Ces lignes directrices sont pour le Muhlespiele/ Escarboucle (cf. art. Astro*),des lignes de vise des points significatifs de lever ou coucher hliaque (cf. aussi art. Rite* Romulus)

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    Cette image de l'Aggersborg situ dans le Nord-Jtland nous montrel'un des anneaux typiques de la construction de la Basilea Atlantique.

    Ce sont l d'tonnants parallles avec les remparts en anneau du Danemark. Ces

    dispositifs au Danemark sont des indications pour une prise en charge culturelle de lasymbolique*, de l'architecture et de la tradition. Aucun n'imitait le classique, mais lamthode de construction indique ici avec vraisemblance une structure locale bien queces remparts en anneau du Danemark aient t distinctement construits seulementaprs l'poque suppose d'Atlantis [et le cataclusme atlanten qui ravagea Frise et Jut-land (Danemark)]n.

    Ces deux illustrations montrent Trelleborg et le rempart en anneau de Fyrkat (Dk)( pour des renseignements plus rcents, voir : http: // www.gimpster.com )

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    La cartographie d'Atlantis dessin d'aprs un profil des relief de la Mer du Nord

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    La ligne bleu fonc montre la ligne des ctes9 de cette poque-l qui s'tablitd'aprs le profil profond (environ 35-40 m/ NM).Les points rouges montrent les posi-tions (lieux d'implantation) supposes de Basilea le long d'une ligne de Ley [ou laye] n

    qui se trouve peine au-dessus du 56me degr de latitude N. Les croix orange surli-gnes montrent ses sites culturels en cosse et au Danemark.

    La capitale de l'Atlantide mentionne par Platon tait une installation de rem-parts en anneau qui est typique de la culture des Pays Nordiques de ce temps maislesbateaux maritimes et la structure de la ville en limitent fortement les possibles situa-tions. Les lignes de Ley/ layes sont aussi une indication possible et vraisemblable pourla dtermination de la position. Les lieux d'implantation possibles de Basilea se trou-vent tous le long d'une telle ligne qui relie au rempart en anneau vieux-nordique sui-vant et aux chteaux-forts des cits : la liste de l'est vers l'ouest va de Slvesborg, Hl-singborg, Skanderborg, Arnborg et, en Ecosse, des nombreux lieux sacrs dans le sud-

    ouest, d'Argyll + Bute (Glebe-Cairn; Kilmartin Stones; Ri-Cruin-Cairn; DunaddLoin; Cairnbaan Marks, etc., se trouvent ncessairement, de par les descriptions dePlaton, sur une rivire avec la proximit de la mer...Donc trois lieux d'implantation restent possibles ici, sur la ligne de Ley.Parrapport aux dimensions et l'importance du Rhin avec sa liaison du sud au nord,le lieu d'implantation le plus vraisemblable de la capitale de Basilea serait pour moi laposition la plus occidentale, non loin de la cte de l'Ecosse (remarque : les coordon-nes exactes de la position rsultent de la considration et du calcul sur une carte plusexacte). Remarquons que si les dispositifs de rempart en anneau reproduits en haut duDanemark viennent incontestablement d'une poque plus tardive, ils sont une indica-tion infaillible pour une culture prenne et une tradition de construction. Son strict ali-gnement gomtrique circulaire se retrouve nouveau dans la description de Basilea.

    La thorie sur Atlantis mentionne dans le livre est fonde sur les rvlationscontestables de la Chronique des Pays-Bas et cette source admet seulement uneconclusion : Atlantis fut une fconde langue de pays dans la Mer du Nord. L'empirelui-mme embrassait des domaines tendus de l'Europe centrale proche du Danemarket de la Sude du sud et avait des enclaves la prolongeant jusqu' la Turquied'aujourd'hui. Atlantis avait prospr durant de nombreuses annes alors que se dve-loppait paralllement la culture crto-minoenne, et mme encore avant la cit de

    TroieI [Illion]n

    . Les gyptiens comme utilisateurs de l'hritage littraire d'une pr-cul-ture inconnue dvelopprent leurs dynasties seulement aprs le dbut culturel des At-lantes. Cest avec la chute du soi-disant "Vieil Empire" gyptien que se produisit aussila catastrophe naturelle qui fit prir Atlantis. Aprs la date de la submersion mention-ne ici, se dclarrent aussi des famines et des dsordres en gypte et le Vieil Empirese brisa. Ces circonstances sont aussi nonces dans la dite chronique ! Donc, selon la description de Platon, il faut remarquer ceci : il rapporte la datede la submersion au jeune Kritias qui couta cette histoire de la submersion de la bou-che de son grand-pre qui, lui, la reue de Solon. Le jeune Kritias avait 10 ans quandson grand-pre la lui racontait et il antidata cette submersion 9.000 ans. Puisquil n'ya aucun trace de culture cette poque, sans doute mit-il un zro de trop la date de

    ce conte dramatique insignifiant pour lui. 900 ans seraient un retour dans le temps dj9Note R & T : La ligne des ctesdu Grand Marais ou Magelemose en danois, cf. article Dlu-ges* / site http://www.racines.traditions.free.fr/

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    http://www.racines.traditions.free.fr/http://www.racines.traditions.free.fr/
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    beaucoup plus vraisemblable. Alors, la submersion se trouverait une poque histori-que qui admet une chute climatique. L'histoire antique grecque, ou une meilleure my-thologie connat aussi deux grandes et infernales mares, les dluges* de Deucalion etd'Ogyges. Le dluge de Deucalion se trouve en parallle avec l'incendie provoqu par

    Phaton. Les deux raz de mare amenrent des destructions immenses en Grce etl'histoire d'Atlantis pourrait se trouver en liaison directe avec ces catastrophes naturel-les. Julius Africanus crivit que le Dluge* d'Ogyges avait eu lieu l'poque de lafuite d'gypte sous Mose. La catastrophe naturelle se retrouve en effet dans les des-criptions de la Bible qui parle des attaques divines [Jehovah]n contre les gyptiens.Mais ct de Julius Africanus, d'autres historiens rangeaient le Dluge de Deucaliondans ces vnements. Finalement, il semble plus vraisemblable de considrer pluttque le raz de mare d'Ogyges se produisit avant celui de Deucalion. Car le caractredestructeur peut se reflter seulement dans le dluge suivant tout en laissant les deuxdans la mmoire. Mais les deux raz de mare se produisirent dans une prochesuccession et les descriptions biblique admettent un classement temporel lpoque de la submersion dans la chronique frisonne. Donc le XXIIe sicle 10AEC demeure convenable pour la priode de ces vnement. Cependant, si l'on rejette cette Chronique comme source, restent les conclu-

    sions logiques des crits de Platon (citations du livre de Georg Lohle ): Et mainte-nant, cela devient correct et intressant, mais difficile pour toutes les anciennes tho-ries. Les dimensions du pays de l'Empire Atlante submerg et longuement dcritpar Platon comme lisse et plat, allong en tendu sont, dans une direction de 3.000stades de long et de 2.000 stades de large en progressant vers la mer.

    Cette indication de dimensions de 540 x 360 kilomtres correspond exacte-ment, on peut peine le croire, aux mensurations de la Mer du Nord qui estd'environ 550 kilomtres de large en moyenne et atteint l'Atlantique seulement aprsenviron 1000 kilomtres, mais en prenant en considration une profondeur de seule-ment 40 m sa limite est environ 350 kilomtres au nord de la cte Nerlandaise.

    Pour la catastrophe elle-mme, Platon donne les informations suivantes :donc, plus tard, quand des tremblements de terre incroyables et des inondations en-trrent, enfonant pendant un jour et une unique mauvaise nuit toute la gnrationcombative sous terre, de mme disparut l'le d'Atlantide pendant qu'elle s'enfonaitsous la mer".

    10Le XXIIe sicle AEC : Pour R & T, ce serait au XIIIe s. AEC !

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    La description utilise par Platon "le pays d'les, ou mme l'le", est plutt lapriphrase d'un continent auquel beaucoup d'les sont associes, ainsi qu'on pourraitaussi nommer aujourd'hui le Danemark comme "un Pays d'les"... Aussi, faut-il remar-quer que le Rhin largement sinueux avec les Meuse, Waal et Tamise, sparait dj visi-blement par son courant puissant et enracin dans la dpression plate, la Grande-Bre-tagne du Vieux Pays ( Alt Land: Atlantis) situ l'est ; et, l'est du Skagerak,l'embouchure de l'Elbe sinueuse reproduisait elle aussi ce schma.

    Mais, je reviens Platon : plutt qu'un pays constitu d'les, la cte cettepoque-l 11 allait depuis les chanes de Gibraltar jusque devant l'Ecosse. Platon dcritle pays comme lisse et plat. Ici la Mer du Nord avait autrefois dj un lger jeu. Celadevait tre dj dispos comme la Frise, donc une quantit de domaines, de "pays"taient spar de l'Atlantide de cette poque.

    Cependant Platon parle aussi d'une falaise et ici se proposent Heligoland ouSylt (Kampen) qui indiquent dj avec leurs falaises abruptes et leurs fins de pays,

    comment ceux-ci sont enclos. Bien qu'on puisse penser l'Ecosse et la Norvge, onpeut ici comprendre pourquoi cette plaine plate a t dlimite par de hautes monta-11La cte de cette poque-l : intermdiaure celle du plateau continental ?

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    gnes. Une indication prochaine encourage ainsi cette hypothse ! Platon nous dit plus loin : Ainsi, la mer est maintenant l o l'on ne pou-vait plus traverser en bateau car c'tait devenu impraticable : l'le avait laiss deshauts fonds vaseux lors de son effondrement".

    D'anciennes traces d'utilisation dans le "Watt" (bas-fond/ lagune)

    On comprend bien aprs Platon cette histoire de vase prs des lagunes jusqu'40 mtres sous le niveau de la mer, bien que plus de 4.000 ans soient passs mainte-nant. Les explorateurs modernes qui cherchent aujourd'hui la ville engloutie de"Rungholt" devant Pellworm, vont aussi mare basse de par la profonde vase que lamer du Nord a laisse quand elle s'emparait du continent quelques centaines d'annesauparavant et que la ville s'enfonait dans les hautes mares. Je renvoie aux mares

    de tempte qui se produisirent il y a 800 600 ans et qui, dvorant le continent, ontlaiss aujourd'hui, partiellement, 14 m de profondeur jusqu' la mer du Nord.Aujourd'hui beaucoup plus profondement, de grands domaines de la Mer du Nord dusud n'existent plus. Et, justement, cette description n'admet pas beaucoup d'autresthories, mme si l'on dirige son regard sur le globe entier !

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    La reprsentation moderne du raz de mare de Rungholt en Frisia Borealis 1362

    Le long des ctes d'aujourd'hui on voit distinctement les sections des pays noysdans les dernires mares de tempte de la cte frisonne du nord :

    entre 1.100 et 1.500 sections de pays noys ne sont dj plus visibles.

    Environ 7 km l'ouest de la ville de Westerland se trouvait alors "Eidum",une Kirchstadt considrable qui dut elle aussi tre abandonne en 1436 aprs une ma-re de tempte. Actuellement, ces sections de pays noys ne peuvent mme plus treretrouves sur l'image satellitaire. Ces cartes anciennes montrent l'ancien trac des ctes et les sections de pays

    dj noyes ou perdues. Sur ces reprsentations, la ligne des ctes d'aujourd'hui setrouve loin dans l'intrieur du pays et montre comment au cours des 700 dernires an-nes la ligne de ctes de la Mer du Nord a chang. Si l'on regarde la carte, on peutcomprendre pourquoi Platon parlait d'un pays d'les. La Longue Anna (ci-dessous de-vant Heligoland) montre mare basse l'volution possible de l'ancienne structure dupays vers celle de lagune rode et conquise par la mer. En considration des ancien-nes surfaces de pays supposes, Heligoland le dernier reste de cette ancien et immense"pays" serait en haut.

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    Helgolandse trouve avec ses rochers, tendu comme une forteresse dans la mer duNord. Ici on reconnat ses puissants rochers comme d'orgueilleux bonnets brillants.

    Il y a d'autres thories sur une situation possible de l'Atlantide submerge maisaucune n'atteint la quantit d'explications logiques mentionne ici. Ce sont simplement

    beaucoup de modles de droulement logiques et d'indications qui ne semblent queconfirmer l'image obtenue ici :Outre l'le double d'Helgoland,

    il n'y a aucune rgion dans la Mer du Nord qui pouvait dfier cette catastropheAtlantis se trouve devant la porte de notre maison :

    La recherche de la confirmation peut commencer 10 janvier 2004 - Georg Lohle.

    Concernant ce livre "l'histoire universelle, la vraie origine", nous trouvons seulementici un "ex cursus" historique autour du thme de l'Atlantide qui dans la suite du coursdu livre, tombe presque dans l'oubli typique d'une poque la manire de voir subor-

    donne au modes. (Traduction sommaire TT, le 14 mai 04)* * * * * * * * *

    Il existerait mme un fabuleux document que je nai pas encore men-tionn etdont je nai eu connaissance que par une source: cest Le Livre dOrea Linda. En1871-1872, les membres de lHistoric Frisian Society, en Hollande, avaient publi etcomment cet ouvrage crit en caractres runiques, mais de manire confidentielle.

    Un anglais, Robert Scrutton, aurait rcemment repris cette tude quil a consi-gne dans deux ouvrages que je nai pu me procurer: The other Atlantis etSecrets of Atlantis. Il sagit dune sorte de chronique qui dcrit une terre fabuleuse

    peuple dhommes trs avancs, sans cesse en progrs, mais aussi leurs conflits, leursconqutes, et leurs voyages qui les menrent partout dans le monde. On y raconteaussi la fin tragique de leur pays quils appellent Atland.

    C'est une des plus vieilles familles de la Frise hollandaise, les Over de Linden,qui s'est occultement transmis le prcieux dpt runique, de gnration en gnration.Selon ce document, l'homme est n trs loin au Nord de la Frise, sur une le immenseo il a prospr. Puis certains sont devenus mauvais, les forces de l'espace se sont d-chanes "et le grand pays des hommes et de leurs mres s'est subitement enfoncdans les flots tandis que peu de ses habitants gagnaient avec peine les forts sauvagesqui bordaient l'autre ct de la mer priphrique."

    Il est question de "La pierre norme du Dieu-Souffle qui tomba du ciel et jetaloin derrire les eaux tumultueuses les terres apeures et le grand pays o naquitFrya".., un astrode dont la masse norme aurait creus le cratre arctique [?]n, etqui, enfouie dans le sol, dvierait les aiguilles des boussoles vers ce fameux ple ma-

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    gntique, diffrent du ple gographique ??

    Enfin, qu'il me soit permis de citer la Bible, Gense , 1 4, juste avant la par-tie intitule "LE DLUGE": Fils de dieu et filles des hommes : Lorsque les hommes

    commencrent d'tre nombreux sur la face de la terre et que des filles leur furent nes,les fils de Dieu trouvrent que les filles des hommes leur convenaient et ils prirent pourfemmes toutes celles qu'il leur plut. Yahv dit:

    "Que mon esprit ne soit pas indfiniment humili dans l'homme puisqu'il estchair; sa vie ne sera que de cent vingt ans." Les Nephilim taient sur la Terre en cesjours-l (et aussi dans la suite) quand les fils de Dieu s'unissaient aux filles des hommeset qu'elles leur donnaient des enfants; ce sont les hros du temps jadis, ces hommesfameux". Michel Fournier, 4 fv. 04.

    * * * * * * * * *

    La catastrophe borenne :la chute dun bolide, suivi dun raz de mare

    Mise jour nov. 04, vu sur le remarquable livre en ligne, La Terre Bombarde, deM-A Combes :Des dizaines de livres et darticles sont parus pour vulgariser le do-maine de limpact cosmique et ses consquences. Celles-ci sont presque toujourssous-estimes, notamment les consquences humaines et conomiques. Seuls quelqueschercheurs ont envisag un impact denvergure dans un pays surpeupl, dans lequel lanourriture post-impact ferait dfaut pour assurer le minimum vital aux nombreux sur-vivants. Famine, pidmies, guerre civile, tout cela parat si irrel, si peu probable

    lchelle humaine>

    Permettez-nous de couper provisoirement le texte de M.A. Combes afin dinclurecomme illustration, cet extrait de larticle vu sur le Net :

    Atlantis et l'hritage de l'ra Linda12 Chronik :() Le chapitre suivant nous informe de la chute/ effondrement du "vieux pays" ou"Atlant" comme les navigateurs l'appelaient : Alors commenrent les temps difficiles.Tout l't, la Soleil fut cache parles nuages, comme si elle ne voulait pas voir la Terre. Le vent se reposait dans sagrotte et, de ce fait, la fume et la vapeur s'levaient comme des colonnes sur les mai-

    sons. L'air tait trouble et crpusculaire et, dans le coeur des gens, il n'y avait plus nigaiet, ni joie. Au milieu de ce silence, la terre commena trembler, comme si ellevoulait mourir. Les montagnes s'ouvrirent et crachrent le feu. De petites crtes de fo-rt tombrent et dans l'tendu des champs, des montagnes s'levrent. Aldland, appelpar les marins Atland, s'abaissait et le Haff sauvage s'avana trs loin vers les monta-gnes et les valles jusqu' ce que tout soit plong dans la mer. Beaucoup de gens fu-rent enterrs, et plusieurs qui avaient chapp au feu, moururent aprs cela dans lesraz de mare . Non seulement dans les Pays de Finda les montagnes crachaient le feu,mais encore dans le Twiskland (probablement la Basse-Saxe d'aujourd'hui). Ainsi, lesforts brlaient de plus en plus loin et le vent de ces incendies emportait notre payscompltement en cendre. Le lit des rivires s'taient dplacs et leur embouchure

    survenaient de nouvelles les du sable et d'animaux la drive. Pendant trois ans, la12ra Linda: un manuscrit runique pieusement recopi depuis des centaines de gnrations,dont nous parlons plus longuement dans notre article Runes* !

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    terre souffrit; et quand cela s'amliora, on put en voir les blessures. Beaucoup de payss'taient enfoncs, d'autres s'levaient de la mer, et le Twiskland tait moiti dbois.Des bandes de gens de Finda recouvraient les rgions vides. Nos peuples quis'chappaient taient extermins ou ils devenaient leurs esclaves. L, nous dmes tre

    doublement vigilants, et le temps nous enseigna que la concorde est notre meilleureprotection. Dans cette description de la chute d'Atland (Aldland, "vieux pays", Atlantis)estdcrite une catastrophe naturelle, telle qu'elle ne peut pas tre imagine aujourd'huiet l'on ne remet donc pas en question son existence. Avec la chute/ effondrement d-crite de ce "vieux pays", non seulement elle est considrer au sens le plus vridiquedu mot mais, de mme, la destruction de rgions plus lointaines de ce "vieux pays".Non seulement une partie, les pays de l'ouest, mais aussi les rgions de la Mer Baltiqued'aujourd'hui, furent les victimes du raz de mare pendant que d'autres taient seule-ment dtruites sans s'enfoncer dans la mer.......

    Suite Macombes : Mythologie germano-scandinave - le Ragnark13 : Pour lesGermains* et les autres peuples du Nord, la fin du monde tait symbolise par le Ra-gnark, ou "Crpuscule des dieux". Cette catastrophe cosmique de trs grande am-pleur est raconte en grand dtail (mythologique, pas scientifique !) dans le pome inti-tul Voluspa et qui fait partie du grand ensemble de l'Edda. De ce rcit complexe quimet en place de nombreux dieux*, nous retiendrons les quelques extraits reprsentatifssuivants : Du ct du Sud, l o commence le pays des gants du feu, Surt, le matrede ces contres, dresse dj son pe de flammes. Au bord du ciel est post Heimdall,le veilleur des dieux ; personne au monde n'a la vue aussi perante ni l'ouie aussi fine ;pourtant, il se laisse ravir son pe par Loki et ne commence souffler dans son cor

    retentissant que lorsque les gants sont en marche. Le loup Fenrir, que les dieuxavaient jadis enchan, rompt ses liens et s'chappe. Les secousses qu'il donne ses en-traves font trembler la terre tout entire ; le vieux frne Yggdrasil ( Irminsul*)n en estbranl des racines jusqu'au fate. Des montagnes s'croulent ou se fendent de haut enbas...Au Sud apparat Surt14 , que suit la troupe innombrable des gants du feu ;son pe lance des clairs ; tout autour de lui des flammes jaillissent du sol crevass.son approche les rochers s'croulent, les hommes s'affaissent sans vie. La vote duciel, branle par le tumulte de cette arme en marche, embrase par l'haleine de four-naise qui l'environne, clate en deux ; et quand les fils du feu font passer leurs chevauxsur le pont que l'arc du ciel tend de la terre au sjour des dieux, ce pont s'enflamme et

    s'effondre...Les grands dieux sont morts. Et maintenant que Thor*, protecteur des de-meures humaines, a disparu, les hommes sont abandonns ; il leur faut quitter leursfoyers ; la race humaine est balaye de la surface de la terre. La terre elle-mme vaperdre sa forme. Dj les toiles se dtachent du ciel et tombent dans le vide bant...

    13Ragnark :Le Mythe* nordique du Crpuscule des Dieux prsente une analogie certaine avecla trs vieille lgende grecque de Typhon raconte en son temps par Hsiode dans sa Thogonie. Cesdeux lgendes immortalisent un mme phnomne, celui de la collision entre la Terre et un objet co-mtaire (cf. 19 de mon livre) et qui se produisit vers 1208. .14Surt : Au Sud apparat Surt le 12 Tybi ! Il reste trouver l'anne exacte du cataclysme pourajuster la date exacte. Si 1209 avant J.-C. (soit 1208) est la bonne anne (ce qui n'est pas sr etn'est qu'une approximation 10 ou 20 ans prs qui dpend de la chronologie exacte des pharaons,trs mal connue et variable selon tous les auteurs), la date de la collision cosmique serait alors voisinedu 31. .

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    Le gant Surt inonde de feu la terre entire ; l'univers n'est plus qu'un brasier ; desflammes jaillissent de toutes les fentes des rochers ; la vapeur siffle de toutes parts ;toute plante, toute vie sont ananties ; seul le sol nu subsiste...Et voici que toutes les mers, que tous les fleuves dbordent. De tous cts les

    vagues pressent les vagues. Les flots, qui se gonflent en bouillonnant, recouvrent peu peu toutes choses. La terre s'enfonce dans la mer. L'immense champ de bataille os'taient affronts les matres de l'univers cesse d'tre visible.Tout est fini. Et maintenant tout va recommencer. Des dbris du monde an-cien nat un monde nouveau... "

    L'pope cosmologique du Ragnark est particulirement intressante pour quitudie, comme nous, les cataclysmes cosmiques de l'Antiquit. Elle est aujourd'hui d-finitivement associe au dernier grand cataclysme cosmique qu'a subi la Terre et qui aeu lieu la fin du XIIIe sicle av. J.-C., et dont nous parlerons en dtail au chapitre 19.Surt, Sekhmet, Typhon, Phaton, Absinthe, Anat et d'autres encore sont les noms dif-

    frents de l'objet comtaire (ou d'origine comtaire) qui est entr en collision avec laTerre, une poque o de nombreuses civilisations taient dj bien en place et pros-praient, semant tout au long de son parcours la panique, la ruine et la mort. C'est cemme cataclysme qui est associ l'Exode des Hbreux et aux dix plaies d'gypte etque nous retrouverons au chapitre 2, sous un clairage assez diffrent : l'clairage bi-blique.

    Figure 19-3. Trajectoire de la comte-astrode Sekhmet

    La flche indique la trajectoire sud-est/nord-ouest suivie par Sekhmet. Les divi-nits dont les noms sont indiqus sont associes au cataclysme de la fin du XIIIe sicleavant J.-C. Lpope du Ragnark concerne tout le nord-ouest de lEurope(mythologie germanique et scandinave) et date de la mme poque comme la montrJrgen Spanuth.

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    Le cataclysme de la fin du XIIIe sicle avant J.-C. a caus partout sur son pas-sage la dsolation et la misre, ruinant et chassant des peuples entiers de leurs terresancestrales. Certains de ceux-ci se regrouprent pour former les fameux Peuples de lamer, cohorte htroclite de guerriers en qute de nouveaux territoires. Ce personnagequi figure sur les bas-reliefs de Mdinet Habou a une coiffe caractristique des peuplesgermaniques, comme la montr J. Spanuth et est probablement venu des contres dunord-ouest de lEurope. On sait par les textes que les pays du neuvime cercle ont ttotalement dvasts par un grand cataclysme: le Ragnark, parvenu jusqu nous sousforme de mythe. M.A. Combes/ .

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    Mise jour du 13 nov. 04, vu sur :En lisant l'Iliade et ... le Rmyana. La lecture de ces deux monuments de la littra-ture mondiale que sont l'Iliade et le Rmyana conduit curieusement des paralllessurprenants avec ce que la tradition nous a lgu concernant l'Atlantide...popes : L'Iliade, le Rmyana ou l'pope de Gilgamesh par exemple, sonttout autre chose que des "produits" inspirs par une politique ditoriale. Lorsqu'en cespoques lointaines un ade se levait, c'tait pour rciter un texte charg de sens, pasune bluette !

    On a toujours beaucoup dnigr l'attitude qui consiste considrer que les my-thes et les popes ont un fond de vrit. Il semble cependant que cette approche soitindispensable pour qui ne se satisfait pas des "vrits rvles".Il faut bien sr avoir l'esprit que cette vrit (quand elle existe encore) n'estgnralement pas livre toute harnache. Les dformations, soit volontaires dans le ca-dre d'une transmission sotrique (terme prendre au sens premier...), soit involontai-res en raison de l'loignement temporel, doivent tre retrouves, interprtes; tout untravail de reconstruction est ncessaire la lueur de multiples recoupements.Souvent infructueuse ( mais toujours enrichissante ), cette qute est quelquefoisfconde, et ces fois-l, mme rares, sont les plus belles des justifications ()

    Une autre pope ? Une "Troie-en-Troade" pour tenir le rle d'une "Troie-en-Atlan-tide" ? L'histoire de la destruction de Troie pour raconter la destruction de l'Atlantide?Et si la Guerre de Troie avait bien eu lieu... mais pas o on l'imagine. Si Ho-

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    mre (ou l'ensemble d'ades connus sous ce nom ) s'tait tout simplement servi d'unepope plus ancienne qu'il aurait "adapt" au monde grec tout en laissant volontaire-ment ou involontairement subsister des traces de l'ancienne histoire ? Ancienne his-toire qui pourrait tre celle d'une guerre ayant oppos, l'aube de notre civilisation et

    au couchant de la leur, des Atlantes avec ...? Peut-tre cette guerre contre les Grecsjustement, dont Platon nous entretient dans Time et Critias ?En pensant tous les "Nostoi", les "Retours" longs et prilleux (alors qu'iln'avaient aucune raison de l'tre) des hros achens aprs la chute de Troie (l'Odyssen'est que le plus clbre de ceux qui nous sont parvenus.), on peut vraiment se deman-der si la grande cit d'Ilion ne se trouvait pas bien plus loin que la cte de l'Asie Mi-neure.Le souvenir estomp par les sicles aurait-il entran l'incertitude et la confusionquant aux attributs et l'identification de chaque camp? La Troie-en-Troade est trs"atlante" avec ses fortes murailles bties par Posidon et ses sources d'eau chaude etd'eau froide. Mais les assigeants achens sont plus "atlantes" que les Troyens (voir les

    dix rois ou le bouclier d'Achille).

    Le Rmyana : L'Iliade, texte fondateur s'il en est de la culture occidentale, rejoint cu-rieusement un autre texte, fondateur celui-l de la culture indienne: le Rmyana.De nombreux points communs entre ces deux textes appartenant pourtant deux cultures diffrentes:- 1. Une grande guerre (Achille et les Achens vs les Troyens / Rma et les singes

    d'Hanuman vs les Rkchasas)- 2...entre deux camps originellement loigns l'un de l'autre et spars par la mer- 3...pour les "beaux yeux" d'une belle princesse ( Hlne / Sita )

    - 4...qui a t enleve par un "mchant" ( Pris / Rvana)- 5...qui la retient dans sa citadelle "imprenable" situe au-del des mers ( Troie /Lank )

    - 6...Enfin, aprs une longue guerre, le droit vaincra et le mal sera vaincu."Lank a quatre portes, avec des battants hauts comme des arbres. Ses rem-parts sont prodigieux, inaccessibles, tout en or et dfendus par des combattants sanspeur. Des douves profondes, glaces, o foisonnent des crocodiles, baignent leur pied."(Le Rmyana, le Livre de la bataille)Souvenir commun d'un vnement plantaire ? Ou les hommes auraient-ils sipeu d'imagination que d'un bout l'autre de la plante ce seraient les mmes chosesqui les feraient rver ?...

    Guerre(s) primordiale(s) : Le souvenir diffus d'une guerre de grande ampleur se re-trouve ailleurs que dans l'Iliade et le Rmyana. Plus d'une mythologie antique con-tient le tableau d'une lutte grandiose opposant les dieux des gants, des monstresou des dmons:- Dans le mythe d'Osiris, Seth, dieu malfaisant, tue Osiris et s'oppose ensuite Isis et

    Horus.- Dans les hymnes vdiques, il est question de deux sortes de divinits opposes, les

    deva et les asura.- La mythologie babylonienne dcrit le combat de Marduk contre Tiamt.- La mythologie grecque celui de Zeus contre les Titans.- La mythologie scandinave connat les luttes des dieux contre les gants et contre les

    puissances dmoniaques issues de Loki . On connat aussi chez ces peuples nordiquesla guerre des Ases et des Vanes, et chez les Celtes celle des Tuatha D Danann contre

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    les Fomoire.- L'pope indienne (Le Mahbhrata) raconte la grande guerre des Pandava, issus

    des dieux, contre leurs dmoniaques cousins, etc...- Et bien sr comme mentionn dans le Time et le Critias la grande guerrre entre les

    "palo-Athniens" (Plasges ?) et les Atlantes.Ces guerres primordiales pourraient assez facilement se fondre en une seuletant leurs points communs sont nombreux. Toutes les sources reconnaissent le conflitcomme ayant t d'une extrme antiquit et d'une extrme violence, ayant mis fin un monde et ouvert une nouvelle page de l'humanit. Un affrontement de cette am-pleur et ayant eu ces consquences ne pouvait que marquer les esprits et passer lapostrit sous forme de mythes et d'popes, subissant alors les modifications dues des comprhensions partielles et une transmission effectue comme l'indique le Ti-me par des "illettrs et des ignorants".Or cette puissance (i.e. l'Atlantide), ayant une fois concentr toutes ses forces,entreprit, d'un seul lan, d'asservir votre territoire et le ntre et tous ceux qui se trou-

    vent de ce ct-ci du dtroit (...)C'est alors, Solon, que la puissance de votre cit fit clater aux yeux detous son hrosme et son nergie. Car elle l'a emport sur toutes les autres par la forced'me et par l'art militaire. D'abord la tte des Hellnes, puis seule par ncessit,abandonne par les autres, parvenue aux prils suprmes, elle vainquit les envahis-seurs, dressa le trophe, prserva de l'esclavage ceux qui n'avaient jamais t esclaves,et, sans rancune, libra tous les autres peuples et nous-mmes qui habitons l'intrieurdes colonnes d'Hercule. (Time)

    Il ny a rien rajouter ce texte des plus clairssi ce nest que nous aurions aim lcrire nous-mme ! r.t

    Mj 15 nov. 04, vu sur : "Car, en ce temps-l, on pouvaittraverser cette mer..." Selon le tmoignage de Platon, en ce temps-l "l'ocan tait na-vigable" et la capitale atlante tait un trs grand port qui regorgeait "de navires mar-chands et de commerants venus de partout" et dont le nombre produisait "un va-carme assourdissant de jour et de nuit" ()Les consquences de l'impact ocanique d'un astrode ont dj t vo-ques. Le gigantesque tsunami qui en rsulterait correspondrait parfaitement la des-cription de la fin de l'Atlantide rapporte par Platon: "...il y eut des tremblements deterre effroyables et des cataclysmes. Dans l'espace d'un seul jour et d'une nuit terri-bles (...) l'le Atlantide s'abma dans la mer et disparut" (Time). "Mais aujourd'hui,elle s'est enfonce dans la mer la suite de tremblements de terre" (Critias).Ce tsunami pourrait galement expliquer la dure du cataclysme ( partir d'unepremire onde gigantesque on observerait des "rpliques" de plus en plus affaibliesaprs avoir fait le tour de la Terre). Il pourrait aussi expliquer l'absence de vestiges at-lantes car son importance, sa force, sa rptition n'a pu que "dcaper" les terrains b-tis, balayant violemment et jetant la mer toute trace d'activit humaine.

    * * * * * * * * *

    Mj 15 nov. 04 : Une autre version ethnique dAtlas roi dAtlantide pourrait trecelle des Lydiens qui met en scne la figure mythique* de leur Roi Tantale qui futbanni pour soutenir le ciel! Pline, l'historien latin, nous a appris quun tremblement

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    de terre avait aval sa capitale Tantalis et, quaprs la catastrophe, la ville fut rempla-ce par un lac. Nous remarquerons ici combien les parallles entre Atlantis/Tantaliset Atlas/Tantalus sont suggestifs !

    * * * * * * * * *Mj du 14 nov 04: Dans la 1 note de la #2/5 de cet article, nous vous informionsde la rception le 23 janv. 04 de prcisions de notre correspondant et ami MichelFournier concerant la racine du mot Gadeira (le Pays) :On dcouvre que le mot "Gaderou Gadiren lanque atlante voulait dire"comptoir fortifi" ou plutt "colonie" ! () Voici en quelques mots le raisonnementqui me permet de faire cette affirmation. Gadiros est en effet le seul nom que Solonlui-mme rattache directement l'Atlantide. Donc, Gadirique et Gadiros sont tirs enligne droite du dialecte parl sur l'le et, si l'on sait que gadir, en punique, veut dire"ville fortifie", que gader en hbreu signifie "haie d'enceinte", et, par extension,

    "enceinte fortifie" galement, on peut avec beaucoup de prcautions, formulerl'hypothse que ces trois langues (punique, hbreu, atlante) font partie d'une mme fa-mille, c'est--dire la famille smitique >TT : Heureuses prcautions qui nous amnent prciser ici que :-1/que les Puniques ( Phniciens/ Pni, pen chef, tte) sont pour le moins

    des prceltes ou/et des transfuges atlantes borens qui ont rebaptis les Monts en-neigs dAfrique du Nord du nom de leur Vieil Ase Atlas (Cf.aussi notre art.

    Berbres*)!-2/Quun linguiste isralien a affirm il y a peu et sans contradicteur que 50%du vocabulaire hbraque est indo-europen* (cf. bro dans notre art. Celtes*).

    > Jen retiens essentiellement que Gader et Gadir voquent des villes ou en-ceintes fortifies, voire des colonies. Paul FAURE, spcialiste minent de la Crte,m'crivait le 21 avril 1994 : On sait que la ville qui prcda l'hellenique"GORTYNE" se nommait "LARISSA", la Citadelle dont il existe huit autresexemples en Mditerrane orientale, Asie Mineure comprise, tous prhlleniques.GaRiDos, GoRTyne, les racines sont quasiment les mmes; le sens est rigoureuse-ment le mme. Actuellement et depuis peu de temps, on dgage tout autour de Gortyne desmurs d'enceinte qui dlimitent une ville absolument gigantesque puisque le rayon avoi-sine et parfois dpasse largement les 10 kilomtres. Force est donc de constater que lenom de Gortyne semble avoir une racine voisine de Gadiros.... mais surtout que le

    nom que portait prcdemment cette ville correspond celui donn une ville ou uneenceinte fortifie. Michel Fournier.Merci Michel qui, estivant en Krte tous les ans (en attendant dy prendre laretraite mrite dun enseignant) parle le grec moderne comme lancien (ils sont enfait trs proches contrairement ce que les tudes classiques pourraient laisser suppoi-ser) et, de ce fait, il prcise souvent, pour notre bonheur, de nombreux concepts !Par contre, nous lui apporterons le complment de la mythologie* germano-scandinavequici, R&T, nous connaissons mieux:Gard 15 jardin clos, proprit(voir le mythme mdival dhortus conclusus, de la Dame la Licorne*]en rf-rence la tripartition fonctionnelle* de ce Monde de lge dOr nordique :

    - Asgard Enclos des Ases ou Asaheim o les Dieux* se runissent autourdOdhin/ Wotan* dans la Salle Gladsheim (ou Glastheim)Sjour-de-la-Joie.Dsigne15Gard: jardin clos, proprit, racine pr i-e GRD/ GDR

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    le monde des dieux par opposition au monde des gants/ Daimon et des nains*(esprits) et au monde des hommes (Midgard ).Cf. art. Paradis*, du grec Paradeisosjardin des btes sauvages apprivoises (Iran. Pardes).-MidgardEnclos-du-Milieu, ou Manaheim* le domaine des Hommes (qui se-

    rait aussi le Volkswang de Freyja selon von List) ; et-Niflheim16 lenglouti domaine brumeux !

    * * * * * * * *

    "Les vagues du Nord

    crient mes Dieux engloutis ..."extr. pome de M. Rollet* * * * * * * * *

    Hors notre article Biblio*,voici une Biblio + pour les amateurs de solutions alternatives

    Francis Bacon, Nova Atlantis 1625)Bouchet Ren, "De M .. l'Atlantide ... aux Druides", 2000 ou 2001.

    Boura Olivier, Les Atlantides, gnalogie dun mythe, Arla 1993.

    BOYER Rgis, L'Atlantide, c'est--dire la Sude selon Olof Rudbeck (1630-1702) La Sude litt-raire du XVIIe sicle compte peu de grands noms mais celui du savant anatomiste, philologue et bota-niste, Olof Rudbeck ne doit pas prir. Il rdigea, partir de 1679, en sudois d'abord, puis en latin,un ouvrage monumental intitul Atland sive Manhem : il s'agissait de dmontrer que la grandeur duNord scandinave venait de ses lointaines origines "gotes". Pour Rudbeck, l'Atlantide de Platon taitla Sude. A partir de connaissances puises toutes les sources et d'tymologies fracassantes, Rud-

    beck entendait dmontrer qu'ex Septentrione lux, ce Septentrion-l se limitant la Sude.Carnac Pierre: un livre sur l'Atlantide?, 2001.

    Deloux Je-P et Lauric Guillaud (en collab. Francis Adoue) "L'Atlantide de A Z", E-dite 2001.Duriselle Jean, De la Prhistoire aux Mgalithes, France-Empire.

    Gattefoss Jean, LAtlantis et le Tritonis occidental, Bul. Soc. Prhist. Maroc 1935.Gattefoss Jean et Roux Claudius, Bibliographie de lAtlantide (1.700 titres en 1926).

    Guillaud Lauric, Atlantides, les les englouties, Omnibus Paris, 1995.Guillaud Lauric, L'ternel dluge, e-dite, Paris, 2000.KADATH No 84 - Sommaire : le mythe Aztlan : l'origine des azteques en amrique du nord ? /

    l'origine des trusques : une dcouverte passe inaperue / le rle de la section sacre dans la gom-trie de stonhenge / dossier catastrophisme : la fin de la dernire glaciation : atlantide, dluge et catast.

    Mermet Roget, Le Pass antreur, France-Empire.Une assoc. damateurs de lAtlantide:La principaut dAtlantide, Copenhague, Dk.

    http://www.ccic-cerisy.asso.fr/atlantides02.htmlhttp://plato-dialogues.org/fr/faq/faq006.htm

    ("Platon et l'Atlantide")http://plato-dialogues.org/fr/email/980808_1.htm

    ("Pourquoi Platon dtruit-il Athnes en mme temps que l'Atlantide ?")http://plato-dialogues.org/fr/tools/char/atlas.htm

    16 Les neufs mondes nordiques traditionnels sont : 1 - Muspelheim. 2 - Alfheim. 3 - As-gard. 4 - Vanaheim. 5 - Midgard. 6 - Jtunheim. 7 - Schwarzalfrheim. 8 - Hellheim. 9 - Niflheim. (9est le chiffre de la perfection : lenfant vient terme, parfait!)

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    http://www.ccic-cerisy.asso.fr/atlantides02.htmlhttp://plato-dialogues.org/fr/faq/faq006.htmhttp://plato-dialogues.org/fr/email/980808_1.htmhttp://plato-dialogues.org/fr/tools/char/atlas.htmhttp://plato-dialogues.org/fr/tools/char/atlas.htmhttp://plato-dialogues.org/fr/email/980808_1.htmhttp://plato-dialogues.org/fr/faq/faq006.htmhttp://www.ccic-cerisy.asso.fr/atlantides02.html
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    ("Atlas, hros mythologique")IMAN WILKENS, Where Troy once stood. London Rider 1990, ISBN : 90-6134-381-X, NUGI : 644, que Fermaut@ a lu dans sa version nerlandaise : Waar eens Troje lag,

    Uitgeverij Bigot & Van Rossum BV Baarn. Selon lauteur, Troie se situait prs de Cambridge.

    Et un tableau rcapitulatif des localisations(Vu sur le site : epopee atlante, mj le 13 mars 2003)

    * Quelques unes (on peut difficilement tre exhaustif en ce domaine) des localisations proposes aucours de l'Histoire... La page sera complte au fur et mesure...

    * Les dates sont indicatives (on peut trouver des variations suivant que l'on considre l'anne deprsentation de l'ide ou l'anne des premires fouilles par exemple, ou l'anne de parution du livre

    le plus clbre ou mme l'anne de mise en ligne du site web...).* Attention!: La proposition, sur cette page, d'un lien vers un site extrieur ne vaut pas approba-

    tion du contenu du site en question...

    ANTIQUIT

    -VIIme : Homre(pote) : Ocan Atlantique (?) Ogygie ?pays des Phaciens ? ("L'Odysse").-Vme : Hrodote(historien) : Atlas ("Histoires").-Vme-IVme : Platon (philosophe) premire (?) mention "officielle"("Time", "Critias")

    (il existe unsite(fr) consacr Platon.-IIme -Ier : Marcellus (gographe) voque une le atlantique qui aurait fait partie de l'Atlantide

    (l'le de Posidon).-Ier : Diodore de Sicile (historien) : Afrique du Nord("Bibliothque historique").

    -Ier : Philon le Juif(philosophe) : le disparue de l'ocan Atlantique.-Ier : Plutarque (crivain) : Atlantique nord ?

    -IIme -IIIme : Tertullien(apologiste) : le disparue de l'ocan Atlantique. -IVme -Vme : Ammien Marcellin(historien) : le disparue de l'ocan Atlantique

    ("L'Histoire Julienne").

    TEMPS MODERNES-XVIme : Oviedo y Valdez(historien) : Amrique du Nord("Historias de las Indias").

    -XVIme : G. Mercator (cartographe) : Amrique du Nord.-XVIme : A Ortelius(gographe) : Amrique du Nord.

    -1533 : F. Lopez de Gomara (historien) : Amrique du Nord("Histoire gnrale des Indes Occidentales").

    -1578 : Jean de Serres(rudit) : Palestine .-1675 : Olas Rudbeck (savant) : Sude (Atland sive Manhem).

    -1695 : G.K.Kirchmayer (rudit) : Afrique du Nord .-XVIIme : F. Bacon (philosophe) : Amrique du Nord ("New Atlantis").

    -XVIIme : F. la Motte le Vayer(crivain) : Grnland.-XVIIme : Athanasius Kircher(encyclopdiste) : le disparue de l'ocan Atlantique (Aores...)

    ("Mundus subterraneus").-1726 : Olivier de Marseille(rudit) : Terre Sainte ("Dissertation sur le Critias").-1754 : J. Eurenius (thologien) : Terre Sainte ("L'Atlantide orientale").

    -1762 : Bar (rudit) : Terre Sainte ("Essais sur les Atlantiques").-1779 : J.S. Bailly(astronome) : Mongolie ("Lettres sur l'Atlantide")

    livre consultable sur le site de la BNF (fr).-XVIIIme : William Blake(pote) : le disparue de l'ocan Atlantique.

    -1801 : Fabre d'Olivet (crivain) : Caucase et Mditerrane occidentale ("Lettres Sophie").- 1803 : Bory de Saint-Vincent (naturaliste) : le disparue de l'ocan Atlantique (Canaries...)

    ("Essai sur les les Fortunes") livre consultable sur le site de la BNF(fr).-1806 : J.B. Delisle de Sales(rudit) : Caucase et Mditerrane

    ("Histoire nouvelle de tous les peuples")

    -1819 : P.A. Latreille (naturaliste) : Perse("Discours sur l'Atlantide").-1841 : Mc Culloch(gographe) : Amrique centrale .-1859 : A. Snider-Pellegrine(rudit) : Brsil.

    -XIXme : G. de Vasse (rudit) : Malte (le de Gozo) .

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    -1868 : D.A. Godron(botaniste) : Sahara .-1870 : Jules Verne (crivain) : Atlantique nord ("20.000 lieues sous les mers")

    -1876 : J. Verdaguer(pote) : Espagne (Catalogne)("La Atlntida").-1877 : Elena Blavatsky (thosophe) : le disparue de l'ocan Atlantique("Isis dvoile")

    site "BLAVATSKY NET FOUNDATION".

    -1882 : Ignatius Donnelly(rudit) : le disparue de l'ocan Atlantique("L'Atlantide, monde antdiluvien") lien "IGN. DON. AND THE END OF THE WORLD"-1883 : E.F. Berlioux(gographe) : Monts Atlas ("L'Atlas primitif et l'Atlantis").

    - 1885 : W.F. Warren(scientifique) : Mer Arctique.-1896: A. Le Plongeon (mdecin) : le disparue de l'ocan Atlantique .

    -1899 : W.B. Wallace(rudit) : pont continental euro-amricain .1900 : J. Baikie (gyptologue) : Crte.

    XXme sicle-1903 : W.P. Phlon(mdecin) : Indes Occidentales.

    -1907 : J.L. Courcelle-Seneuil (crivain) : Auvergne.-1909 : K.T. Frost(scientifique) : Crte ("The Critias and Minoan Crete").

    -1911 : Leo Frobenius(explorateur) : Afrique occidentale("Mythologie de lAtlantide: Le Poseidon de lAfrique noire").-1912 : Paul Schliemann : Atlantique Nord("Comment j'ai dcouvert l'Atlantide").

    -1913 : Hans Hrbiger(scientifique) : le disparue de l'ocan Atlantique(ses thories ont inspir Denis Saurat pour "L'Atlantide et le rgne des Gants").

    -1919 : Pierre Benoit(romancier) : Sahara ("L'Atlantide").-1920 : A.L. Rutot(gologue) : Maroc.

    -1922 : Rudolf Steiner (thosophe) : le atlantique ("Nos anctres les Atlantes").-1922 : Adolf Schulten (archologue) : pninsule ibrique (Tartessos)

    lien vers "Una visin mtica de Tartessos" (es).-1923 : M. Pollet : Pays-Bas, Belgique.

    -1925 : R. Hennig (historien) : Espagne (Tartessos).-1925 : F. Butavand (scientifique) : Tunisie (entre la Sicile et Djerba)

    ("La vritable histoire de l'Atlantide")-1925 : P.H. Fawcett(explorateur) : Brsil, Amazonie.

    -1925 : Lewis Spence : les disparues de l'ocan Atlantique ("Atlantis in America").1926 : J. Churchward(crivain) : le disparue de l'ocan Atlantique (pendant de la Terre de Mu

    situe dans le Pacifique)("Mu, le continent perdu") lien vers une analyse critique de "Mu" (fr).-1926 : Paul Le Cour(sotriste) : le disparue de l'ocan Atlantique

    lien vers le site de la revue "Atlantis"(fr).-1929 : Hermann Wirth :Continent nord-atlantique ("La Naissance de l'humanit").

    -1929 : V. Berard(crivain) : Carthage.-1931 : S. Kadner(crivain) : Arctique.

    -1935 : Edgar Cayce (mdium) : les atlantiques (des Sargasses aux Aores)lien vers le site officiel de l'Association for Research & Enlightenment (A.R.E.).

    -1936 : L. de Launay(crivain) : Mexique.-1948 : H.T. Wilkins(crivain) : Amrique du Sud("Mysteries of Ancient SouthAmerica").

    -1953 - Jrgen Spanuth (archologue) : Mer du Nord(L'Atl. retrouve ?+ Le secret del'Atl.)

    -1954 : L. Sprague de Camp (crivain) : le disparue de l'ocan Atlantique("Lost Continents: The Atlantis Theme in History, Science, and Literature").

    -1967 : Spiridon Marinatos (archologue) : Crte et Thra (Santorin).-1969 : A.G. Galanopoulos & Edward Bacon : Thra (Santorin)("Atlantis: The Truth

    behind the Legend") lien vers "SANTORINI AND THE LEGEND OF ATLANTIS".-1969 : J.V. Luce : Thra (Santorin) ("Lost Atlantis: New Light on an Old Legend")

    lien vers un article de J.V. Luce.

    -1971 : Michel de Grce(crivain, historien) - Crte("La Crte, pave de l'Atlantide").-1974 : Flavio Barbiero (scientifique) - Antarctique ("Civilta' sotto ghiaccio")lien vers une prsentation (Power Point) de la thorie.

    -1976 : Otto Muck : le disparue de l'ocan Atlantique ("Alles ber Atlantis").

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    -1980 : Manson Valentine, Berlitz, Carnac : Bahamas (Bimini) et Floride(Berlitz: "Atlantis : The Eighth Continent", P Carnac: "L'histoire commence Bimini")

    lien vers un article sur Bimini et Atlantis.-1982 : Jim Allen : Bolivie ("Atlantis, the Andes solution")

    lien vers le site de Jim Allen: "Historic Atlantis in Bolivia".

    -1985 : Emilio Spedicato (scientifique) : Hispaniola.lien vers la liste des travaux en ligne du Pr Spedicato-1986 : Jacques Gossart : le disparue de l'ocan Atlant., lien vers le site de la rev."Kadath"(fr)

    Jacques Gossart, "Les ATLANTES Hier et Aujourd'hui",-1990 : Jean Deruelle : Mer du Nord, Dogger Bank ("L'Atlantide des mgalithes")

    Fce-Empire, lien vers le site de J. Deruelle(fr).-1995 : Rand & Rose Flem-Ath (crivains) : Antarctique ("When the sky fell")

    lien vers le site des Flem-Ath-1995 : Viatcheslav Koudriavtsev : Mer Celtique: Sole Bank

    lien vers le site de V.K. : "ATLANTIS: Ice Age Civilization".-1997 : Arysio Nunes dos Santos : dtroit de la Sonde

    lien vers le site d'A. N. dos Santos: "The Lost Continent Finally Found".

    -1998 : W.Ryan & W.Pitman Littoraux nord de la Mer Noire (Noah's Flood")lien vers un article de la Columbia University, New York.-1999 : L. Gerardin (crivain) : Mer du Nord et littoraux europens occidentaux

    ("l'Atlantide et les Dluges") lien vers la prsent. de son livre").-2000 : Andrew Collins(crivain) : Cuba ("Gateway to Atlantis")

    lien vers le site d'A. Collins: "Eden".-2000 : Graham Hancock (crivain) : civilisation mondiale("L'empreinte des Dieux",

    "Heaven's mirror") lien vers "The Official Graham Hancock Website"

    XXIme sicle-2001 : J. Collina-Girard(scientifique) : Spartel Island (dtroit de Gibraltar)

    lien vers un article de J. Collina-Girard (fr).Cette liste

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    Sites en rapport direct avec l'Atlantidevus sur Lpope Atlante (site voir) ([email protected]) :

    "Tableau rcapitulatif des localisations proposes au cours de l'Histoire" indique de trs nombreux si-tes consacrs des localisations gnralement bien argumentes bien qu' incompatibles entre elles !"Lle de Thra-Santorin et lAtlantide", par Louis Godart (Octobre 2001), article en ligne sur le site

    de Clio (voyages culturels) (http://www.clio.fr)N'oublions pas la version "officielle" ("conte philosophique") sur un site remarquable (malgr

    tout!...) en franais et anglais consacr Platon et ses oeuvres: http://plato-dialogues.org/, sur le-quel l'auteur consacre quelques pages marginales "Platon et l'Atlantide" :

    http://plato-dialogues.org/fr/faq/faq006.htm ("Platon et l'Atlantide")http://plato-dialogues.org/fr/email/980808_1.htm

    ("Pourquoi Platon dtruit-il Athnes en mme temps que l'Atlantide ?")http://plato-dialogues.org/fr/tools/char/atlas.htm ("Atlas, hros mythologique")

    Bien sr l'auteur ne laisse aucune chance l'hypothse atlante (quelle qu'elle soit hormis un mythefabriqu de toutes pices), cependant il serait vain de s'obstiner ignorer totalement ce point de vue...

    Time ou Critias par exemple sur le site angl.:Jean-Pierre Deloux et Lauric Guillaud (+Francis Adoue) "L'Atlantide de A Z" (E-dite, 2001)

    Anthologie d'Olivier Boura "Les Atlantides, gnalogie d'un mythe" (Arla, 1993)Autres sites :

    infinito.it/utenti/a/abydosgatemythes-et-legendes.net copyright

    > pageperso.aol.fr/tlantix/index.htmlLiens vus sur

    Art'chives: A la recherche des civilisations perduesLes Mystres de l'Atlantide

    Le Grand Dieu PanL'AtlantideSiti italiani

    AtlantideAtlantide: Storia e NewsCentro Studi Atlantis

    Atlantide: la porta del tempoAtlantis revealed

    ArcheoastronomiaLe Mappe di NantesSiti in lingua inglese:

    Atlantis: the lost continent finally foundTeam Atlantis

    When the sky fell: in search of AtlantisAtlantis information

    The Missing Continent, AtlantisAtlantis in Iberia and Africa

    Section 5/5 cre le 15 nov. 04

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    mailto:[email protected]://www.clio.fr/http://plato-dialogues.org/http://plato-dialogues.org/fr/faq/faq006.htmhttp://plato-dialogues.org/fr/email/980808_1.htmhttp://plato-dialogues.org/fr/tools/char/atlas.htmhttp://plato-dialogues.org/fr/tools/char/atlas.htmhttp://plato-dialogues.org/fr/email/980808_1.htmhttp://plato-dialogues.org/fr/faq/faq006.htmhttp://plato-dialogues.org/http://www.clio.fr/mailto:[email protected]
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    Autorisation de citations :

    Vous pouvez extraire de cette tude toute citation utile un travail personnelavec le nom de son auteur ainsi que les rfrences du crateur de ce site :

    Tristan MandonLes Origines de lArbre de Mai

    dans la cosmogonie runique des Atlantes borenshttp://racines.traditions.free.fr

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    http://racines.traditions.free.fr/http://racines.traditions.free.fr/