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Projet Tutoré en Finance et Contrôle Parain du projet: Mr ELBERMAKI Analyse financière de 3 entreprises du même secteur

Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

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Projet Tutoré en Finance et

Contrôle

Parain du projet: Mr ELBERMAKI

Analyse financière de 3 entreprises du même secteur

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Le groupe du travail

ZakariaAROUBITE

Ahmed FAKHRI

Micheldy HAUGEN

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L’intérêt de notre choix

• basé sur le souci de produire un travail estimé excellent.

• Ce choix et intérêt situent deux points essentiels : plan technique: le fait qu'étant étudiant finaliste du premier cycle

universitaire, a le devoir de produire un travail de taille, analytique appelé projet de fin de cycle, pouvant confirmer le conflit de cursus et le mérite du diplôme couronne de son parcours.

Tout travail de ce genre doit demeurer de la conciliation entre la théorie apprise en matière de cours et la pratique de confection d'un travail sc.

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Le secteur

Le secteur immobilier

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Secteur

• Le secteur de l’immobilier est l’un des plus dynamiques du tissu économique marocain. Sa participation à la croissance du PIB ne cesse de se raffermir et c’est l’un des secteurs les plus attractifs en matière d’investissement et le plus créateur d’emplois.

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Les entreprises

ALLIANCES DÉVELOPPEMENT IMMOBILIER SA

DOUJA PROMOTION GROUPE ADDOHA

COMPAGNIE GÉNÉRALE IMMOBILIÈRE

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L’information

• On dispose des bilans et des CPC des 3 dernières années (2008,2009,2010).

• A la lumière de ces états financières des entreprises déjà citées, on analysera ses situations financières tout en mettant l’accent sur les principaux principes d’analyse financière.

projet tutoré 2.rar

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PLAN• Introduction

I. Bulles spéculatives immobilières au niveaumondial.

1) Présentation des bulles immobilières

2) Formation des bulles spéculatives dans le secteur de l’immobilier.

3) Historique des crashs immobiliers au niveau mondial

4) Indicateurs de prévention contre les spéculations immobilières

II. Le secteur de l’immobilier au Maroc1) Apport du secteur du BTP a la croissance économique

a) La valeur ajoutée

b) La part du PTB dans l’investisement national/etranger

c) La création d’emploi

d) Offre de logement

e) les acteurs de la production de logementf) la demande

g) Les ménages2) Disponibilité et cout de financement bancaire

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III. Benchmarking et perspectives du secteur immobilier marocain1) Comparaison internationale

2) Poids de l’investissement dans le secteur immobilier3) Perspectives de développement du secteur immobilier marocain

1) Déficit en logement

2) Interventions publiques

Conclusion

Bilbiographie

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INTRODUCTION

• Le secteur du bâtiment et des travaux publics joue un rôle de premier

ordre beaucoup plus que les autres secteurs économiques eu égard aux

effets d’entraînement qu’il produit. La demande en bâtiment et travaux

publics est en croissance du fait que la population marocaine double tous

les 25 ans.

• Cette croissance de la population signifie aussi l’augmentation des besoins

en infrastructures socio-économiques (routes,barrages, ports, écoles,

hôpitaux, usines etc.) et en logements.

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BULLES SPÉCULATIVES IMMOBILIÈRES AU NIVEAU MONDIAL

• 1. Présentation des bulles immobilières• A l’instar des différentes bulles spéculatives des autres secteurs

d’activité économique, une bulle immobilière s’identifie par une hausse diligente

• des prix dans une zone géographique déterminée.• Cette hausse de la valeur des biens immobiliers peut être amorcée

par un quartier ou une région, pour se propager ensuite à toute une ville et, à terme, à l’ensemble du territoire d’un pays.

• En effet, cette croissance des prix du marché immobilier est généralement soutenue par une croyance populaire qui considère que le prix augmente en permanence.

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2-FORMATION DES BULLES SPÉCULATIVES DANS LE SECTEUR DE L’IMMOBILIER

Le marché immobilier se trouve essentiellement déséquilibré en raison de plusieurs dysfonctionnements d’ordre conjoncturels, budgétaires et réglementaires.

Les méfaits conjoncturels sont spécialement dus aux fluctuations des taux d’intérêt des emprunts bancaires octroyés à de nombreux ménages, ayant la possibilité de s’endetter et d’acheter à des prix élevés. Dans ce cadre, les risques des bulles immobilières présentent une corrélation opposée à celle des taux d’intérêt.

Quant aux dysfonctionnements budgétaires, ils concernent l’adoption, par exemple, d’une politique de destruction de logements insalubres sans mettre en œuvre une stratégie de construction de logements neufs, ponctuée par un manque de vision opérationnelle des autorités locales pour le renouvellement urbain.

Concernant les contraintes réglementaires, elles se rapportent spécifiquement à l’inadéquation des règles fiscales et des lois de protection des petits propriétaires qui provoquent une situation de forte spéculation sur les parcs immobiliers, cadencée par une déréglementation du système bancaire.

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HISTORIQUE DES CRASHS IMMOBILIERS AU NIVEAU MONDIAL

La première bulle immobilière enregistrée à l’échelle planétaire remonte aux années 1920,

ayant précédé la crise économique mondiale de 1929. Elle a été amorcée aux Etats-Unis, causant un sérieux crash immobilier qui a délaissé des villes entières en chantier et des régions en état d’ébauche. Ce crash a été essentiellement enclenché par les facteurs traditionnels provoquant les crises immobilières tels que : le surcroît démesuré des prix, rythmé par l’assouplissement disproportionné de l’accès aux crédits, et l’investissement excessif de nombreux spéculateurs externes.

Le crash immobilier des années 2000 avait réuni toutes les caractéristiques nécessaires pour

favoriser la prolifération d’une crise économique mondiale, ayant sévi depuis l’année 2008. La faiblesse des taux d’intérêt du crédit offerts par les différents établissements bancaires internationaux, confrontés à une concurrence acharnée, appuyés par la titrisation des emprunts contractés.

Le crash immobilier américain résulte fondamentalement des méthodes très risquées d’octroi des emprunts, fondées sur le crédit hypothécaire « subprime ». Cette politique d’endettement très risquée a été raffermie par un engouement significatif de l’accession à la propriété aux Etats-Unis, accélérant ainsi la propagation de la bulle spéculative immobilière américaine. Cette bulle a fini par éclater à l’échelle internationale en 2007 entraînant dans son sillage, à partir de l’année 2008, l’une des plus grandes crises économiques et financières planétaires.

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INDICATEURS DE PRÉVENTION CONTRE LES SPÉCULATIONS IMMOBILIÈRES

Une multitude d’indicateurs économiques et financiers sont utilisés à l’échelle internationale et sont employés distinctement en fonction des

besoins de chaque pays. Ces indicateurs représentent un instrument incontournable pour déceler les surévaluations des biens immobiliers et les éventuelles bulles spéculatives y afférentes, en vérifiant si le prix dépensé pour un logement

reflète réellement sa valeur intrinsèque. Ils se rapportent généralement à des références relatives à l’évolution des prix des logements, à la dette financière, ainsi qu’à l’effet de levier.

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LE SECTEUR DE L’IMMOBILIER AU MAROC

• Chiffres clés:1. Apport du secteur du BTP a la croissance

économique:

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La part de la VA du secteur BTP dans la VA global

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La contribution au PIB

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IDE

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La création d’emploi

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Les acteurs de la production de logement

• 4 filiéres:la filière promoteur – entreprise organiséequi réalise l’ensemble de la commandepublique de logements et une partie deslogements en immeubles ;la filière promoteur-tâcheron réalise unepart de la production de logements enimmeubles ;la filière autopromoteur-tâcheron réalisela quasi totalité des habitations de typemarocain et des villas ;la filière autoconstructeur maallam réaliseune grande partie de l’habitat nonréglementaire.

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L’offre de logement

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La demande :la population croissante

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Une urbanisation croissante

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L ’urbanisation

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Les ménages

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Les sources de financement

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Les taux des crédits

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Le cout de logement

• Selon une analyse effectuée par le Ministère de l’Habitat et de l’Urbanisme, le coût moyen des transactions immobilières se serait multiplié par 2,15 en 2001 (base 1989). Les hausses des prix les plus fortes ont concerné les actifs suburbains dont les prix se sont multipliés par 5,75 entre 1989 et 2001.

• Ces hausses des prix des transactions immobilières sont importantes .Ceci signifie que les prix des transactions ont augmenté plus vite que les autres dépenses liées à l’habitat (entretien, maintenance, prestations, etc.). Ces hausses sont aussi plus importantes que celle du SMIG observées sur la même période, ce qui dénote d’une détérioration du pouvoir d’achat « habitat ».

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Benchmarking et perspectives du secteur immobilier marocain

1. Comparaison internationale 1. la Valeur Ajoutée créée par l’activité du BTP rapportée au PIB, permettant de mesurer

la contribution relative du secteur du BTP à la création de richesse 2. Poids de l’investissement du secteur du BTP dans l’investissement global mesuré par la

Formation Brute de Capital Fixe (FBCF).La valeur ajoutée du BTP par rapport au PIB

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2) Poids de l’investissement dans le secteur immobilier

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3-Perspectives de développement du secteur immobilier marocain

A) Déficit en logementB)Interventions publiques

• Afin de concrétiser une planification et une gestion urbaines appropriée, Il est nécessaire également d’établir un nouveau cadre juridique plus fonctionnel afin d’assouplir les aspects juridiques de référence tels que : le

code de l’urbanisme, l’arsenal juridique de la construction et le Règlement pour la régularisation urbaine de l’habitat. Ce cadre juridique devra ainsi privilégier l’accélération de la validation des dossiers d’autorisation de construction, tout en permettant une lutte plus efficace contre le déficit en logement et l’habitat insalubre.

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CONCLUSION

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Le secteur BTP : Un traitement

comptable spécifique

Parain du projet: Mr.ELBERMAKI

RÉALISER PAR: Ahmed FAKHRI Zakaria AROUBITE Micheldy HAUGEN

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PLAN:

RésumerIntroductionchapitre 1 :Apercu sur le plan comptable sectoriel immobilierchapitre 2:Les apports du PCSI

section 1: Au niveau du fondSection 2 : Au niveau de forme

chapitre 3 :Le cadre fiscal Conclusionbibliographie

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INTRODUCTION

• Le secteur immobilier présente plusieurs spécificités, pour se convaincre ,cette partie a pour objectif la mise en évidence le plan comptable sectoriel immobilier, par une aperçu générale et ses apports en le comparant avec les normalisation dictées dans le CGNC.

• En effet cela exige un traitement fiscal spécifique en tenant compte de CGNC

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APERÇU SUR LE PLAN COMPTABLE SECTORIEL IMMOBILIER

CLASSE 1 : COMPTE DE FINANCEMENT PERMANENT13. CAPITAUX PROPRES ASSIMILES 135. Provisions réglementées Elles correspondent, en général, à une fraction du bénéfice placée sous un régime fiscal provisoire et constituent en réalité non pas des provisions mais des réserves qui ne sont pas définitivement libérées de l’impôt. Elles comprennent : 1351. Provisions pour amortissements dérogatoires 1354. Provisions pour investissement 1356. Provisions pour acquisition et construction de logements 1358. Autres provisions réglementées

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16. COMPTES DE LIAISON DES ETABLISSEMENTS ET SUCCURSALES 160. Comptes de liaison des établissements et succursales 1601. Comptes de liaison du siège 1605. Comptes de liaison des agencesCes deux comptes, dont l’objet est d’assurer la liaison entre la comptabilité centrale du siège et celles décentralisées , doivent être obligatoirement soldés à la clôture de l’exercice.

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CLASSE 2 : COMPTE D’ACTIF IMMOBILISE23. IMMOBILISATIONS CORPORELLESLes immobilisations corporelles comprennent les postes suivants : 231. Terrains 232. Constructions 233. Installations techniques, matériel et outillage 234. Matériel de transport 235. Mobilier, matériel de bureau et aménagements divers 238. Autres immobilisations corporelles 239. Immobilisations corporelles en coursIl est à remarquer que les agencements et aménagements des terrains, des constructions et autres aménagements sont rattachés directement aux comptes issus des postes ci-dessus.Par aménagement, il convient d’entendre les dépenses effectuées en vue de la mise en état de l’utilisation des immobilisations corporelles concernées.

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231. Terrains (autres que la réserve foncière) Ce poste est constitué des terrains destinés exclusivement à usage professionnel et à rester durablement dans l’entreprise. Ils ne comprennent pas, bien entendu, les terrains enregistrés en stocks et qui sont constitués des terrains destinés à être vendus en l’état ou après les avoir lotis ou après y avoir édifié des constructions.

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232. Constructions 2321. Bâtiments 23217. Bâtiments destinés à la locationCe compte est débité de la valeur des bâtiments dont l’entreprise est propriétaire.Les bâtiments s’entendent des fondations et leurs appuis, des murs, planchers, toitures ainsi que les aménagements faisant corps avec eux, à l’exclusion de ceux qui peuvent en être facilement détachés ou encore de ceux qui, en raison de leur nature et de leur importance, justifient une inscription distincte.L’existence de ce compte doit nécessairement correspondre à l’existence d’un compte de terrains bâtis.2323. Constructions sur terrains d’autruiIl enregistre la valeur des constructions qui sont propriété de l’entreprise mais édifiées sur des terrains ne lui appartenant pas. L’existence de ce compte n’aura pas de correspondant dans les comptes « Terrains ».

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2327. Agencements et aménagement des constructionsCe compte reçoit à son débit la valeur des travaux destinés à mettre les bâtiments en état d’utilisation (Gros travaux de peinture, de ravalement, pose de moquette etc. ) tels que : - les installations téléphoniques dont la mise en place incombe à l’entreprise - les installations de chauffage - les installations de douches pour le personnel (Constructions légères),...... qui n’ont pas été incorporés au coût de revient de la construction. 233. Installations techniques, matériel et outillage 239. Immobilisations corporelles en cours

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24/25. IMMOBILISATIONS FINANCIÈRESElles sont constituées des créances immobilisées et des titres immobilisés.CLASSE 3 : COMPTE D’ACTIF CIRCULANT (Hors trésorerie)31. STOCKSIls comprennent les terrains autres que ceux enregistrés en immobilisations. Il s’agit des terrains destinés à être vendus en l’état ou après les avoir lotis ou après y avoir édifié des constructions.Compte tenu de la durée de production dans le secteur de l’immobilier, l’évaluation des stocks est généralement effectuée selon la méthode de l’inventaire permanent.Les stocks dans le secteur immobilier sont constitués principalement par :

les terrains non encore affectés à être lotis ou construits (Réserve foncière) l’ensemble des travaux immobiliers de lotissement ou de construction en

cours l’ensemble des travaux de lotissement et/ou de construction achevés en

attente d’être livrés ou vendus.

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312. Matières et fournitures consommables 3120. Terrains 3121. Matières premières 31211. Ciment 31212. Acier 31213. Sable 31214. Gravette

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34. CREANCES DE L’ACTIF CIRCULANT Cette rubrique comporte : - Les créances liées à des opérations d’exploitation quelque soit leur délai de recouvrement (même supérieur à 12 mois) ; - Les créances non liées à l’exploitation telles que les créances sur cessions d’immobilisations ou les créances financières dont le délai de recouvrement est inférieur ou égal à 12 mois.Elle regroupe également les comptes rattachés au tiers et destinés à enregistrer soit des modes de financement liés aux créances (effets à recevoir), soit des créances à venir (produits à recevoir) et les comptes de régularisation actif.

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CLASSE 4 : COMPTES DE PASSIF CIRCULANT (HORS TRESORERIE)44. DETTES DU PASSIF CIRCULANTIl s’agit des dettes : - liées à des opérations d’exploitation quel qu’en soit le délai d’exigibilité ; - non liées à des opérations d’exploitation qui sont présumées avoir, à leur entrée dans le patrimoine, un délai d’exigibilité inférieur ou égal à 12 mois ; - rattachés aux tiers créditeurs et destinés à enregistrer soit des modes de financement (effets à payer), soit des dettes à venir (Charges à payer)Si un compte de tiers normalement créditeur devient débiteur à la date d’arrêté des comptes, il doit être viré lors de l’établissement des états de synthèse dans les comptes parallèles de la classe 3.

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CLASSE 5: COMPTES DE TRESORERIECLASSE 6 : COMPTES DE CHARGES61. CHARGES D’EXPLOITATIONLa rubrique 61 regroupe les postes suivants : Poste 611 : Achats revendus de marchandises Poste 612 : Achats consommes de matières et fournitures 6121. Achats de matières premières Chaque compte d’achat peut encore être détaillé en sous comptes par projet 6121 01 xx. Achats de ciment 6121 02 xx. Achats d’aciers 6121 03 xx. Achats sable 6121 04 xx. Achats gravette.

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6122. Achats de matières et fournitures consommablesChaque compte d’achat peut encore être détaillé en sous comptes par projet 61221. Achats de matières et fournitures 61223. Achats de combustible 61224. Achats de produits d’entretien 61225. Achats de fournitures d’atelier et d’usine 61226. Achats de fournitures de magasin 61227. Achats de bois de coffrage Postes 613 / 614 : Autres charges externes Poste 616 : Impôts et taxes Poste 617 : Frais de personnel Poste 618 : Autres charges d’exploitation Poste 619 : Dotations d’exploitationLes achats consommés de matières et fournitures sont ceux qui entrent dans le cycle de fabrication des produits soit par incorporation soit par disparition à l’occasion de leur élaboration.Le prix d’achat des matières et fournitures s’entend net des taxes légalement récupérables

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CLASSE 7 : COMPTES DE PRODUITS71 : PRODUITS D’EXPLOITATION 712. VENTES DE BIENS ET SERVICES PRODUITSUn produit d’exploitation est la contrepartie monétaire d’un produit (bien ou service) vendu ou créé par l’entreprise.Il s’exprime soit en prix de vente lorsqu’il correspond à un produit vendu à un tiers, soit en coût calculé à un niveau approprié, s’il correspond à un produit stocké.Parmi les postes de cette rubrique : 712. Ventes de biens et services produits 7121. Ventes de biens produits au Maroc 71211. Ventes de logements 71212. Ventes de terrains lotis 71213. Ventes de locaux d’activité 71218. Ventes autres biens produits

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7124. Ventes de services produits au Maroc 71241. Prestations de services 71242. Rémunération du mandat 71243. Gestion d’immeubles pour tiers 71244. Loyers 71248. Autres services produits 7128. Ventes de biens et services produits des exercices antérieursLes ventes des biens et services produits sont enregistrées selon leur nature au crédit des comptes 7121 à 7128 à la naissance du fait générateur.Le compte 7127 "Ventes de produits accessoires" enregistre à son crédit les produits des activités annexes de l’entreprise.Le compte 7128 "Ventes de biens et services produits des exercices antérieurs" est crédité de toutes les opérations des exercices antérieurs concernant les ventes de biens et services produits.

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L’objectif de cette section est double:• Présenter les apports du plan comptable

sectoriel immobilier adopter par le conseil national de la comptabilité en mars 2003, tant au niveau de fond que de la forme.

• Présenter les principales spécificités comptables liées au secteur.

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LES APPORTS DU PCSI

• Au niveau du fond: Aspect relatif A la dépréciation des stocks

À l’incorporation des charges financières au cout de production

Aux traitement à réserver au charges commerciales et de publicité

Aux honoraires et frais

Aux provisions pour les travaux restant à effectuer

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Les stocks

Ils comprennent les terrains autres que ceux enregistrés en immobilisations. Il s’agit des terrains destinés à être vendus en l’état ou après les avoir lotis ou après y avoir édifié des constructions.Les stocks dans le secteur immobilier sont constitués principalement par :

– les terrains non encore affectés à être lotis ou construits (Réserve foncière) ;

– l’ensemble des travaux immobiliers de lotissement ou de construction en cours ;

– l’ensemble des travaux de lotissement et/ou de construction achevés en attente d’être livrés ou vendus.

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LES PROVISIONS POUR DÉPRÉCIATION DES STOCKS

• CGNC:• On comptabilise toujours avec le cout de revient, tout en respectant le

principe de la prudence.• A ce titre il est crucial de vérifier que:• Cout de Stockage <VPV(frais de commercialisation déduit).• En cas de difficultés de vente de certains projets immobiliers,

l’entreprise est tenue de s’assurer de l’opportunité de constater des provisions pour dépréciation des stocks.

• À cet effet, l’entreprise doit mettre en place des procédures permettant la détection et la dépréciation comptable des valeurs non réalisables et des opérations à risques, notamment par la mise en place de procédures de suivi des coûts par programme, et une mise à jour du coût prévisionnel des programmes à la clôture de chaque exercice. Ce coût sera comparé au prix de vente net de frais de vente directs estimés afin de dégager les provisions éventuelles à constater.

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• La provision pour dépréciation doit être constituée, même pour les programmes en cours de réalisation, s’il paraît probable qu’ils se solderont par des déficits.

• En pratique, et afin d’estimer les dites provisions d’une manière raisonnable, une réunion avec les services techniques de la société et les responsables de la commercialisation s’impose et permettrait en principe d’éclairer les comptables sur l’éventualité de constater de telles provisions.

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INCORPORATION DES CHARGES FINANCIÈRES AU COÛT DE PRODUCTION DES OPÉRATIONS IMMOBILIÈRES

• Le C.G.N.C prévoit la possibilité, pour les entreprises dont le cycle normal de production est supérieur à douze mois, d'inclure dans le coût de production les charges financières courues pendant la période de production et relatives à des dettes contractées pour le financement spécifique desdites productions.

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• La principale innovation du plan comptable sectoriel en matière d’incorporation des charges financières au coût de production:

• Les charges financières à incorporer devraient concerner des emprunts spécialement contractés pour la réalisation d’un ou plusieurs projets immobiliers.

• Dans le cas où les emprunts financeraient simultanément plusieurs opérations, les charges financières seront affectées, par répartition entre ces opérations en justifiant, au niveau de l’E.T.I.C, les modalités de répartition.

• L'incorporation des charges financières a lieu jusqu'à l'achèvement de l'opération (construction- lotissement).

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INCORPORATION DES CHARGES COMMERCIALES ET PUBLICITAIRES

• C.G.N.C:• Les charges de distribution ne sauraient en aucun cas être

portées dans les coûts de production. • PCSI:• Le plan comptable sectoriel immobilier est venu trancher le

problème crucial relatif aux charges commerciales et publicitaires Les charges de commercialisation telles que celles relatives au fléchage et à la signalisation d’un chantier, à l’aménagement de bureaux de vente provisoires ou d’appartements- témoins, aux plaquettes commerciales et à la publicité de lancement de programme constituent un élément du coût du projet. Elles sont ainsi incluses dans les stocks.

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• En revanche, le coût d'une publicité générale et les coûts directs liés à la vente (rémunération, commissions sur vente) ne sont pas inclus dans le coût des stocks et constituent des charges.

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HONORAIRES ET FRAIS

• CGNC:• Le coût de production des biens ou des services en stock

est formé de la somme : – Des coûts d’acquisition des matières et fournitures utilisées

pour la production de l’élément ; – Des charges directes de production telles les charges de

personnel, les services extérieurs, les amortissements… ; – Des charges indirectes de production dans la mesure où il est

possible de les rattacher raisonnablement à la production de l’élément et qui ont été engagées pour amener les produits à l’endroit et dans l’état où ils se trouvent.

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• PCSI:Une des particularités du secteur immobilier réside dans le fait que l’ensemble des travaux fait appel à des prestataires de services dans différents domaines de compétences et les montants des honoraires versés à ces consultants est d’une importance significative Ces honoraires ont trait à des études directement liées à la réalisation du projet. Le caractère direct de ces prestations fait qu’elles soient incorporées au coût du projet. En effet, le P.C.S.I précise que les honoraires et frais hors fonctionnement, pouvant être rattachés à des programmes en cours de réalisation, sont compris dans le coût de revient.

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• Il s’agit notamment des frais suivants : – Assurances propres aux programmes ; – Honoraires des architectes ; – Honoraires des avocats ; – Honoraires des notaires ; – Frais de courtage ; – Frais d'expertise ; – Frais juridiques ; – Frais d'appels d'offres ; – Annonces et insertions propres aux programmes en cours.

Ces frais sont à comptabiliser directement dans les comptes de stocks. Les autres honoraires de conseils, d'audit, de commissariat aux comptes ainsi que les frais d'actes et de contentieux sont comptabilisés en charges de l’exercice.

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67

LES PROVISIONS POUR TRAVAUX RESTANT À EFFECTUER

• Ces provisions correspondent au coût des travaux à effectuer postérieurement à la constatation de l’achèvement d’un programme pour permettre d’arrêter le coût total du projet.

• Ces dépenses, connues dans leur principe, ne peuvent être chiffrées avec précision au moment de l’achèvement des opérations. Il s’agit notamment :

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• Des révisions de prix basées sur des indices non encore arrêtés

• Des travaux de finition ou de parachèvement des ouvrages dont la nécessité est apparue à la fin du chantier ;

• Des travaux d’aménagement des abords qui peuvent s’étaler sur une durée assez longue après la vente du programme concerné ou encore des travaux dont la réalisation immédiate ne peut être effectuée au regard de l’état d’avancement du projet telle que la porte d’entrée, les plantations sur les voies d’accès.

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AU NIVEAU DE LA FORME : • Dérogation relative au plan des comptes :• l’évaluation des stocks est généralement effectuée selon la méthode de

l’inventaire permanent. La règle de tenue des comptes en inventaire permanent est complétée par l’obligation de faire apparaître dans la comptabilité générale le coût historique cumulé de chaque opération jusqu’à sa complète sortie du stock.

• Pour permettre l’application de cette règle, il y a lieu d’associer à chaque compte de stock, un compte spécial au crédit duquel sont comptabilisées les sorties. Ce compte est identifié par « 9 » en quatrième position de la codification. Ce compte enregistre les sorties de stock et permet de conserver dans le compte principal le coût de revient cumulé.

• En fin d’opération, ces comptes s’équilibrent. Ils sont alors tous soldés, les uns par les autres, après la livraison du dernier produit (lot, logement ou commerce …).

• Chaque compte de stock étant affecté d’un compte créditeur, les sorties de stock sont comptabilisées au crédit du compte par l’écriture :

• 7132. Variation de stock. Immeuble achevé • 3159. Produits finis sortis

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70

• Dérogation relative à la variation des stocks • Cette dérogation concerne le traitement des variations de

stocks en matière d’opérations propres. En effet, compte tenu de la composition du coût du stock, la variation des stocks au cours d’un exercice ne sera pas cherchée en totalité dans le poste 713 " variation des stocks des produits " mais sera constituée par la somme des éléments suivants :

• 713 : Variation des stocks • 7197 : Transferts de charges• 7397 : Transferts de charges financières correspondant à

l’imputation des frais financiers aux coûts des stocks.

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LE SECTEUR IMMOBILIER SELON LE CADRE FISCAL

L’environnement encadrant les entreprises du BTP se caractérise par l’existence de nombreux problèmes d’ordre pratique liés notamment à l’impôt sur les sociétés (IS) Publiée en novembre 2002, les principales solutions retenues par la circulaire de la Direction Général des impôts spécifiques au BTP du Maroc, ont pour objectif de normaliser le traitement fiscal des opérations du secteur et de clarifier son application à l’égard des entreprises du BTP.Nous examinerons en l’occurrence les points suivants :

La composition du chiffre d’affaires et les modalités de révision des prix Le régime des approvisionnements et l’imputation des frais

d’installation de chantier Les conditions de déductibilité des provisions

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72

LA COMPOSITION DU CHIFFRE D’AFFAIRES ET LES MODALITÉS DE RÉVISION DES PRIX

– Le chiffre d’affaire imposable• En cas de contrôle fiscal, le chiffre d’affaires faisant

l’objet de la vérification est déterminé sur la base des décomptes établis par l’administration publique. Cependant des divergences sont parfois apparues du fait que les décomptes sont établis unilatéralement par l’administration sans l’accord de l’entrepreneur. Les dates de réalisation portées sur les dits décomptes présentent souvent des décalages par rapport aux dates effectives de la réalisation des travaux.

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73

• Le dispositif légal et réglémentaire– La loi comptable– Le code général de normalisation comptable

• L’ISDans le même contexte, l’article 6 de la loi n°24-86 relative à l’impôt sur les sociétés prévoit que le chiffre d’affaires imposable est constitué par les recettes et créances acquises se rapportant aux produits livrés, aux services rendus et aux travaux immobiliers ayant fait l’objet d’une réception partielle ou totale qu’elle soit provisoire ou définitive.

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• Les modalités de révision de prix : Les révisions des prix présentent certaines difficultés quant à leurs modalités de calcul et à leur exercice de rattachement comptable. • Dispositif légal et réglementaire : a) Cahier des Clauses Administratives Généralesb) Le Code Général de Normalisation Comptable c) Solution retenue par la note circulaire

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• II-Le régime des approvisionnements et imputation des frais d’installation de chantier

Le C.C.A.G prévoit dans son article 57 que les approvisionnements peuvent être portés sur les décomptes dès lors qu’ils sont acquis en toute propriété et effectivement payés par l’entrepreneur. Ils sont dans ce cas réglés au fur et à mesure de l’avancement des travaux suivant le calendrier d’exécution.• Dispositif légal et réglementaire :

– Circulaire de l’IS : – Cahier des Clauses Administratives Générales– Le Code Général de Normalisation Comptable

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76

• Imputation des frais d’installation de chantier : • La réalisation de certains marchés de travaux nécessite, dans certains cas,

l’engagement de dépenses nécessaires à l’installation de chantiers, tels que bureaux, logements pour personnel….Sur le plan fiscal, ces dépenses étaient parfois considérées comme des éléments immobilisables et partant, faisant l’objet de réintégration dans le résultat fiscal alors qu’elles avaient été comptabilisées par l’entreprise comme une charge et donc déduites de l’exercice considéré.

• Dispositif légal et réglementaire : • a) Code Général de Normalisation Comptable (C.G.N.C) : • Il prévoit que les frais d’installation nécessaires pour mettre un bien ou

une prestation en état d’utilisation, sont à classer parmi les charges d’exploitation de l’exercice ou, le cas échéant, susceptibles d’être répartis sur plusieurs exercices.

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77

• b) Solution retenue par la note circulaire : • La circulaire distingue deux situations : Les frais d’installation de chantier doivent être comptabilisés dans

les charges de l’exercice s’ils comportent un prix unitaire spécifique stipulé au marché. En contrepartie, les produits correspondants sont à prendre en compte parmi les travaux facturés, ou parmi les stocks en fin d’année pour la partie non encore facturée.

Ils sont inclus dans les différents prix unitaires des travaux et devront alors être immobilisés à l’actif de l’entreprise conformément aux dispositions comptables en vigueur, et donc amortis sur la durée totale de réalisation des travaux découlant du marché.

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Sur le plan fiscal, la déductibilité d’une provision dépend de l’existence d’un lien de cette provision avec un évènement réel, rendant la perte probable et évaluable. Pour qu’une provision pour risques et charges soit déductible fiscalement, elle doit répondre à des conditions de fond et de forme :- Les risques ou les charges doivent être nettement précisés quant à leur nature ; - Les risques et les charges doivent trouver leur origine dans l’exercice en cours ;- Les provisions doivent faire l’objet d’une approximation suffisante- La provision doit concerner une charge déductible ;- La provision doit être constatée en comptabilité et retracée sur le tableau de provisions faisant partie de la liasse fiscale de l’exercice.

III- Conditions de déductibilité des provisions

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79

CONCLUSION

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80

BIBLIOGRAPHIE• Ouvrages:

A.Fechtali et B.Figuig : La comptabilité générale des entreprises marocaines : Tome II

Mémento pratique Francis Lefebvre – Comptable .• Textes réglementaires :

Code Général de Normalisation ComptablePlan Comptable Sectoriel Immobilier Plan comptable généralNotes circulaires de la direction des impôts relatives aux impôts

et taxes cités• mémoire:

• proposition d’adaptation de la démarche d‘audit aux spécificités comptables et fiscales du secteur de Mlle. Manar FADRIQ

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LA PRÉSENTATION DU DOUJA PROMOTION GROUPE ADDOHA

RÉALISER PAR: Ahmed FAKHRI Zakaria AROUBITE Micheldy HAUGEN

Parain du projet: Mr.ELBERMAKI

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PLAN :INTRODUCTIONCHAPITRE I: LE PROFIL DE LA CGI:

1. FICHE TECHNIQUE2. INFORMATION SUR LA CGI

a. SA MISSIONb. SA VISIONc. SA STRATEGIEd. SES METIERSe. SES VALEURS

CHAPITRE II : LA STRUCTURE ORGANISATIONNELLE FINANCIÉRE ET FILLIALES3. CONSEIL D’ADMINISTRATION4. ORGANIGRAME5. EVOLUTION DU CAPITAL SOCIAL6. LA STRUCTURE DE L’ACTIONNARIAT7. LES FILLIALES

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• CHAPITRE III : ACTIVITÉS1. DESCRIPTION DU PROCESSUS DE PRODUCTION2. LA RESERVES FONCIÉRES DE LA CGI3. LES FOURNISSEURS ET LES CLIENTS

• REVUS DE PRESSE• CONCLUSION• BIBLIOGRAPHIE

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La société est historiquement positionnée sur le segment du logement économique mais se diversifie actuellement dans la production de logement de haut standing. Elle s’impose comme un acteur majeur dans le paysage immobilier marocain avec une production annuelle de près de 20 000 logements. En 2009, Douja Promotion Groupe Addoha a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 6,0 Mrds de dh et a été la première société du secteur immobilier à s’introduire en bourse en juillet 2006.

INTRODUCTION

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LA STRATÉGIE

Le groupe occupe la place de leader sur le marché en termes d’unités réalisées sur les segments.Dans une politique de conserver ce leadership sur les segments logements économique et intermédiaire, le groupe a déployé une stratégie qui répond aux attentes des clients sur le plan de la qualité et de la sécurité des logements.La vision stratégique adoptée par la société Douja Promotion Groupe Addoha s’articule autour de six axes majeurs et peut se résumer comme suit :

une sélection adaptée en termes de foncier ; une politique adoptée dans les domaines de la qualité et de la sécurité ; le financement des acquéreurs ; l’assistance aux acquéreurs ; les actions de communication ; la diversification géographique des programmes.

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ÉVOLUTION DU CAPITAL SOCIAL

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LA STRUCTURE DE L ’ACTIONNARIAT

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ORGANIGRAMME

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FILIALES DE DOUJA PROMOTION GROUPE ADDOHA:

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L’activité de Douja Promotion Groupe Addoha consiste en la réalisation de programmes de logements économiques et de standing, dont le coeur de métier constitue le segment de l’habitat économique.Depuis 2006, la Société a fortement renforcé son activité de standing concrétisée par l’acquisition de terrains destinés à des programmes de haut standing et la création de filiales avec des partenaires nationaux et étrangers de renom en vue de réaliser des programmes immobiliers et touristiques.A fin 2009, les projets en cumul de la société Douja Promotion Groupe Addoha et de ses filiales, incluant l’activité de ses filiales sur les segments économique, intermédiaire et haut standing se présentent comme suit :

ACTIVITÉ DE DOUJA PROMOTION GROUPE ADDOHA

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Page 92: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Part de marché du Groupe Addoha en 2009 sur la base des opérateurs publics et privés.

Page 93: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

localisation du terrain ;

note de renseignements de l’Agence Urbaine ;

étude du marché ;

étude par l’architecte du nombre de logements pouvant être réalisés ;

étude de rentabilité financière prévisionnelle du programme ;

achat du terrain.

Politique d’acquisition des terrains:

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PROCESSUS DE DÉROULEMENT D’UN PROGRAMME

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PROCESSUS DE COMMERCIALISATION

Dans le cadre d’une stratégie basée sur l’anticipation et la satisfaction des besoins des clients, le Groupe Addoha a mis en place une démarche commerciale active depuis la visite d’un appartement témoin à la remise des clés aux acquéreurs.Ce processus de commercialisation dynamique et structuré fait appel à un ensemble d’intervenants (Direction Commerciale, Direction Technique, Service Crédits, Notaires, Banques,…) ayant pour objectif d’optimiser en permanence les prestations au profit de la clientèle.La description des principales phases des processus de commercialisation pratiqué par le Groupe se schématise comme suit :

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PROCESSUS DE COMMERCIALISATION DES LOGEMENTS ÉCONOMIQUES ET INTERMÉDIAIRES DE DOUJA PROMOTION GROUPE ADDOHA

CLIENTS ACQUEREURS

Projet 1 Projet 2 Projet 3 Projet n

AGENTS COMMERCIAUX Accueil Argumentaire commercial Visite de l’appartement/villa témoin Simulation du crédit bancaire Détermination du montant de l’avance

PHASE1

DIRECTION COMMERCIALE

Enregistrement de la réservationVérification du versement de l’avanceÉtablissement et signature du compromis de venteAlimentation de la base informatique

Interfaceinformatique

COMPTABILITEImputation comptable des versementsSuivi des encaissements

PHASE2

DIRECTION TECHNIQUE Suivi achèvement des travaux Réceptions Obtention des PH Eclatement des titres

SERVICES RELANCE &

FINALISATION

SERVICE CREDITS NOTAIRES

SERVICEGARANTIE

ETDEBLOCAGE

BANQUES

COMPTABILITE

SERVICE REMISEDES CLES

PHASE3

Page 97: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

CLIENTS ACQUEREURS

BUREAUX DE VENTES SUR SITES Accueil Argumentaire commercial Visite de l’appartement témoin Simulation du crédit bancaire Détermination du montant de l’avance

DIRECTION COMMERCIALE

Interfaceinformatique

COMPTABILITEImputation comptable des versementsSuivi des encaissements des effets éventuels

PHASE

2

SERVICE CREDITS NOTAIRESBANQUES

COMPTABILITE

SERVICE REMISEDES CLES

PHASE

3

Enregistrement de la réservationVérification du versement de l’avanceÉtablissement et signature du compromis de venteAlimentation de la base informatique

DIRECTION TECHNIQUE Suivi achèvement des travaux Réceptions Obtention des PH Eclatement des titres

PHASE

1

PROCESSUS DE COMMERCIALISATION DES LOGEMENTS DE HAUT STANDING DE DOUJA PROMOTION GROUPE ADDOHA

Page 98: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

CARTOGRAPHIE DES PROJETS IMMOBILIERS ÉCONOMIQUES

Page 99: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

CARTOGRAPHIE DES PROJETS IMMOBILIERS INTERMÉDIAIRES

Page 100: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

CARTOGRAPHIE DES PROJETS IMMOBILIERS HAUT STANDING

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CONCLUSION

Page 102: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

SOURCES

Sites web: http://www.groupeaddoha.com/ http://www.mhu.gov.ma/Pages/default.aspx

Notes d’informations: Note d’information du 21 juillet 2010 sous la référence

n°VI/EM/032/2010. Note d’information du 29/05/06 sous la référence N°

VI/EM/016/2006.

Page 103: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

LA PRÉSENTATION DU ALLIANCE

DÉVELOPPEMENT IMMOBILIER

RÉALISER PAR: Ahmed FAKHRI Zakaria AROUBITE Micheldy HAUGENParain du projet:

Mr.ELBERMAKI

Page 104: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

PLAN :INTRODUCTIONCHAPITRE I: LE PROFIL DE ALLIANCE DÉVELOPPEMENT IMMOBILIER:

1. FICHE TECHNIQUECHAPITRE II : LA STRUCTURE ORGANISATIONNELLE FINANCIÉRE ET FILLIALES

2. ORGANIGRAME3. EVOLUTION DU CAPITAL SOCIAL4. LA STRUCTURE DE L’ACTIONNARIAT5. DIVIDENDES DISTRIBUÉS PAR ADI6. L’ÉVOLUTION DU COURS DU TITRES ADI

CHAPITRE III : ACTIVITÉS7. DESCRIPTION DU PROCESSUS DE PRODUCTION8. PROCESSUS DE COMMERCIALISATION

CONCLUSIONSOURCES

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INTRODUCTION

Créé en 1994, le Groupe Alliances a su à travers de nombreux projets phares, s’imposer en tant qu’acteur majeur du secteur Immobilier. Il est aujourd’hui le premier opérateur immobilier et touristique intégré au Maroc. Exerçant plusieurs métiers, notamment celui de développeur, de promoteur, d’aménageur, de prestataire de services et, depuis cette année, de constructeur, le Groupe intervient sur cinq segments d’activité : l’Habitat Intermédiaire, l’Immobilier Résidentiel et Tertiaire, les Resorts Golfiques, la Prestation de Services et la Construction. Le pôle Construction, récemment créé, va permettre au Groupe d’accompagner les grands chantiers d’infrastructure du Royaume.

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RENSEIGNEMENTS À CARACTÈRE GENERAL:

Dénomination sociale: La société a la dénomination sociale : «ALLIANCES

DEVELOPPEMENT IMMOBILIER SA».

Siège social: 16. Rue Ali Abderrazak - Casablanca

Date de constitution: 13/06/1994

Capital social 2011: 1 210 000 000,00 dhs divisé en 12 100 000 actions de 100 dhs

chacune.

Tribunal compétent en cas de litige: Tribunal de Commerce de Casablanca

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la promotion des secteurs du tourisme et de l'immobilier par l‘étude. la conception. La réalisation. la construction. la gestion de toute affaires ou société et la commercialisation directe ou indirecte de tout produit lie aux activités des secteurs susmentionnés.

• L'achat. la vente et l‘échange des valeurs mobilières. de toutes parts d'interets.• L'acquisition. la vente et l‘échange de tous immeubles et ensembles immobiliers.

bâtis ou non. l‘édification de toutes constructions.• Toutes opérations relatives à l‘éxecution de travaux publics et prives et

particulièrement ceux faisant appels aux techniques les plus avancées tant sur le plan de la conception que sur celui de l‘éxecution.

• L'achat. la construction et la commercialisation de tout immeuble en vue de l'industrie touristique en général et notamment la création de tous projets touristiques. immobiliers. financiers et commerciaux.

• La maitrise d'ouvrage déléguée.• Toutes opérations industrielles. commerciales. mobilières et immobilières.

financières se rattachant directement ou indirectement aux objets ci-dessus spécifies ou pouvant favoriser le développement de la société

OBJET SOCIAL:

Page 108: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

ORGANIGRAMME

Page 109: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

ÉVOLUTION DU CAPITAL SOCIAL

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LA STRUCTURE DE L ’ACTIONNARIAT

Page 111: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

LA STRUCTURE DE L ’ACTIONNARIAT

Page 112: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

LA STRUCTURE DE L ’ACTIONNARIAT

Page 113: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

DIVIDENDES DISTRIBUÉS PAR ADI

Page 114: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

L’ÉVOLUTION DU COURS DU TITRES ADI

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Le cycle de production d’Alliances Développement Immobilier se compose en 4 phases :• Phase développement • Phase réalisation et construction • Phase commercialisation • Phase gestion d'actifs

Le cycle de production d’Alliances Développement Immobilier

Page 116: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

• Phase développement

Durant la phase de développement, le groupe Alliances identifie les opportunités foncières et effectue le montage des projets immobiliers • Phase réalisation et construction

Cette phase comprend plusieurs étapes :

- Avant Projet Sommaire (APS) : les architectes réalisent une esquisse du projet et étudient sa consistance. Les bureaux d’études réalisent une estimation du coût de réalisation et analysent les aspects techniques du projet, résultant en un avant-projet sommaire.

- Autorisation de construire : le dépôt de la demande d’autorisation de construire se fait auprès des autorités concernées sur la base des plans APS approuvés par le promoteur.

- Avant Projet Détaillé (APD) : les architectes et les bureaux d’étude établissent une étude plus détaillée sur le projet, aboutissant à l’APD en tenant compte des différentes contraintes techniques, administratives et budgétaires.

- Sélection des entreprises : dossier de Consultation des Entreprises (DCE) : les bureaux d’étude établissent, en concertation avec les

architectes et le maître d’ouvrage, le cahier des charges auquel doivent se conformer les entreprises qui seront en chargées de la réalisation.

Appel d’Offres (AO) : lancement des appels d’offres et sélection des entreprises selon des critères bien définis (le respect du cahier des charges, les références de l’entrepreneur, les moyens humains et matériels, l’organisation du chantier et enfin le budget de l’opération.

Page 117: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

• Phase commercialisation ALVI est la filiale spécialisée dans la commercialisation de l’ensemble des projets immobiliers réalisés par le groupe Alliances. ALVI est en charge de:

la commercialisation des projets immobiliers ; l’animation et la gestion du réseau de vente ; la gestion et administration des ventes ; l’encaissement et le recouvrement.

• Phase gestion d'actifs ALGEST est la filiale spécialisée dans la gestion locative et para hôtelière. La société offre des services d’administration de biens et de syndic. A ce titre, elle recherche des locataires pour résider dans les logements des résidences, à qui la société fournira des services hôteliers.

Page 118: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Processus de commercialisation

Le processus de commercialisation est pris en charge au niveau de la Direction Commerciale pour l’ensemble des projets immobiliers réalisés par le groupe. La Direction Commerciale de chaque pôle décline une stratégie commerciale axée sur les attentes et besoins de la clientèle en l’adaptant à chaque type de produit.Chaque pôle définit et met en oeuvre sa stratégie commerciale en réponse aux attentes et besoins de la clientèle et agit de façon autonome. Néanmoins, ils bénéficient du support des services généraux

Page 119: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Dans le cadre de ses programmes de promotion de projets de resort golfique, d’immobilier résidentiel, ou d’habitat intermédiaire, le groupe Alliances déploie un processus de commercialisation dont les principaux axes peuvent être schématisés comme suit :

Page 120: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN
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CONCLUSION

Page 122: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

SOURCES

Sites web: www.alliances.co.ma

Notes d’informations: Note d’information du 19 février 2010 sous la référence

n°VI/EM/006/2010. Rapport annuel 2010

Page 123: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

LA PRÉSENTATION DU COMPAGNIE GÉNÉRALE

IMMOBILIÈRE

RÉALISER PAR: Ahmed FAKHRI Zakaria AROUBITE Micheldy HAUGEN

Parain du projet: Mr.ELBERMAKI

Page 124: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

PLAN :INTRODUCTIONCHAPITRE I: LE PROFIL DE LA CGI:

1. FICHE TECHNIQUE2. INFORMATION SUR LA CGI

a. SA MISSIONb. SA VISIONc. SA STRATEGIEd. SES METIERSe. SES VALEURS

CHAPITRE II : LA STRUCTURE ORGANISATIONNELLE FINANCIÉRE ET FILLIALES3. CONSEIL D’ADMINISTRATION4. ORGANIGRAME5. EVOLUTION DU CAPITAL SOCIAL6. LA STRUCTURE DE L’ACTIONNARIAT7. LES FILLIALES

Page 125: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

• CHAPITRE III : ACTIVITÉS1. DESCRIPTION DU PROCESSUS DE PRODUCTION2. LA RESERVES FONCIÉRES DE LA CGI3. LES FOURNISSEURS ET LES CLIENTS

• REVUS DE PRESSE• CONCLUSION• BIBLIOGRAPHIE

Page 126: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Fiche technique:Dirigeants:• Président du Conseil d’Administration: Anass ALAMI • Directeur Général Délégué en charge du pôle Finances: Rachid BENCHAABOUN • Directeur Général: Mohamed Ali GHANNAM

Informations financières• Exercice: 2011 • Capital: 1 840 800 000,00• Chiffre d'Affaires: 2 667 000 000,00• Nombre d'actions: 18 408 000• Résultat Net: 376 000 000,00• Date d’AGO: 26/06/2012

Principaux actionnaires au 26/06/2012• CDG DEVELOPPEMENT: 79,14 %• DIVERS ACTIONNAIRES: 12,36 %• RMA WATANYA: 8,51 %

Page 127: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Informations sur la CGI• Raison sociale: COMPAGNIE GENERALE IMMOBILIERE• Siège social: Espace les oudayas. Avenue Mehdi Ben Barka. HAY RIAD RABAT• Secteur d'activité: Immobilier• Date de constitution: 12/03/1960• Date d'introduction: 10/08/2007• Objet social: La société a pour objet tant au Maroc qu'à l'étranger de réaliser :

Toutes opérations foncières et immobilières portant sur des terrains nus ou des terrains comportant des constructions à démolir ;

La réalisation de tous projets immobiliers tant pour son propre compte que pour le compte de tiers ; La participation sous toutes ses formes. y compris la souscription à toutes sociétés ou la création de toute société ou

entreprise dont l'activité serait similaire ou connexe. ou de nature à favoriser le développement des activités ; Et plus généralement. toutes opérations commerciales. financières. mobilières ou immobilières pouvant se rattacher

directement ou indirectement aux objets précités

• Durée de l'Exercice Social: 12 Mois

Page 128: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

La société: Pionnière en matière de promotion immobilière à l’échelle nationale, la Compagnie

Générale Immobilière conçoit et réalise des cadres de vie de qualité dans les domaines résidentiel, tertiaire et touristique.

Comprendre les besoins de ceux qui vont vivre dans ces espaces, y travailler, assurer leur bien-être, créer des bâtiments esthétiques et innovants, intégrer harmonieusement les lieux de vie dans l’environnement, respecter la nature, maîtriser les dépenses énergétiques, rechercher l’excellence, tels sont les principes et les fondamentaux qui animent cette société au quotidien.

Aujourd’hui plus que jamais, la différenciation entre concurrents se fait par l’innovation, mais aussi par la qualité. La raison pour laquelle la CGI concentre ses efforts autour de nouveaux concepts, alliant modernité et harmonie, pour répondre au mieux aux besoins de ses clients et partenaires.

Page 129: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Sa mission: Grâce à son expertise, elle se fixe comme mission de concevoir et réaliser des projets

immobiliers, véritables cadres de vie de qualité, elle permettant d’avoir un réel avantage compétitif.

Elle a été certifiés IS0 9001 en 2006, une certification que elle maintient et développe grâce à une organisation rigoureusement orientée vers la qualité. Enfin, la satisfaction du client, tant dans la conception que dans la réalisation du produit et de tous les services associés, reste l’une de ses préoccupations majeures.

Sa vision: Forte d’une expérience d’un demi-siècle, la CGI déploie ses efforts pour façonner le paysage

urbain des grandes villes du Royaume. Elle ambitionne d’être un développeur-promoteur majeur dans l’ensemble des domaines

de l’immobilier.

Page 130: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Sa stratégie:La stratégie de cette société englobe plusieurs objectifs qu’ elle s’engage à respecter

scrupuleusement.• Accompagner l’évolution du secteur immobilierLes marchés de l’immobilier évoluent constamment. Au Maroc, ils connaissent depuis quelques

années un essor considérable. Les évolutions socio-économiques et démographiques ont ainsi fait apparaître de nouveaux besoins immobiliers. CGI suit ces changements de très près pour adapter en permanence à une demande en constante évolution et de plus en plus exigeante.

• Contribuer à l’attractivité des villesLa CGI a la responsabilité d’enrichir les villes du Royaume pour les rendre encore plus attractives. Un

tel engagement signifie pour elle d’édifier dans le respect de l’environnement, des projets intégrés de qualité, des bureaux, des résidences touristiques, des commerces et les équipements nécessaires à leur

pérennité.

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• Allier performance et transparenceIntroduite en Bourse depuis 2007, la CGI a rencontré un vif succès auprès des marchés de capitaux.

Son positionnement en tant que valeur phare de la place boursière elle a permis d’accroître le volume de ses investissements, d’accélérer le rythme de réalisation des projets tout en engageant une réelle politique de transparence et de performance sur des projets de grande envergure.

• Développer un processus de réalisation intégrant le management par la qualitéL’enjeu était de mettre en place une politique d’amélioration continue couronnée par une

certification qualité ISO 9001. Cette certification implique la coordination des actions de tous les intervenants (maître d’oeuvre, entreprises, fournisseurs...) et l’intervention d’un auditeur indépendant qui vérifie le respect du référentiel tout au long des différentes phases des projets (programmation, conception, réalisation), puis les performances du bâtiment réalisé.

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Ses Métiers:La Compagnie Générale Immobilière intervient dans tous les domaines de la

promotion immobilière :

Logement et résidentiel Villas, complexes résidentiels, villas en villégiature et pôles urbains.

Business centers Bureaux, complexes administratifs, espaces offshoring, sièges sociaux, succursales et showrooms.

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Tourisme et détenteResorts, complexes touristiques intégrés, établissements hôteliers et golfs

Equipements communautairesCentres hospitaliers, infrastructures de sport et centres universitaires. Economique et Social Relogement Social, complexes résidentiels économiques et requalification urbaine.

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Shopping et loisirsCentres commerciaux,centres multifonctionnelset marinas.

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Ses Valeurs: • Ecoute clientL’évolution constante des exigences clients impose une attention particulière pour les satisfaire au mieux. C’est

ainsi que la CGI a renforcé l’écoute de ses clients, avec la systématisation des enquêtes de satisfaction et un recours accru à des organismes externes pour garantir une expression libre.

• Esprit d’équipeSes équipes sont son premier atout. Elles sont un véritable vivier de savoir et de compétences. Leur

professionnalisme et leur volonté continue d’exceller et d’aller de l’avant, ils sont la base de succès et de performances de cette société. La multidisciplinarité, le travail d’équipe, le partage de l’information font de ses ressources humaines le garant de son efficience.

• PerformanceAu cœur de la stratégie de la CGI, la performance intervient directement dans la compétitivité des projets. Elle

mène ainsi des recherches visant à l’amélioration de la performance des matériaux et des matériels, de la sécurité et de la qualité d’exécution. ses efforts portent également sur l’optimisation des délais

et des coûts.

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CONSEIL D’ADMINISTRATION

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L’ORGANIGRAMME DE LA CGI

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ÉVOLUTION DU CAPITAL SOCIAL

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LA STRUCTURE DE L ’ACTIONNARIAT

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2010

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PRÉSENTATION DU PRINCIPAL ACTIONNAIRE DE LA CGI :

CDG DÉVELOPPEMENT:

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DIVIDENDES DISTRIBUÉS PAR LA CGI

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L’ÉVOLUTION DU COURS DU TITRES CGI

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LES FILIALES DE LA CGI

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DESCRIPTION DU PROCESSUS DE PRODUCTION:

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En 2008, la réserve foncière de la CGI est passée de 1 887 ha à 3 663 ha. Au 30 juin 2010, le niveau de la réserve foncière globale de la CGI est maintenu à 3 663 ha et reflète la politique de la CGI de garder un niveau satisfaisant.

LA RÉSERVE FONCIÈRE DE LA CGI

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PRINCIPAUX FOURNISSEURS ET CLIENTS

Cabinets d’architecte ;

Fournisseurs:

Bureaux d’étude ;

Entreprises de gros œuvres ;

Agences de communication.

Clients

• La Caisse de Dépôt et de Gestion ,• Les filiales de la Caisse de Dépôt et de Gestion ,• Autres maîtres d’ouvrages notamment les ministères, les

offices, des sociétés privées etc.

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Publication Périodicité Date Page

Challenge Hebdo

Hebdo Francophon

e12/07/2008 46/68

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Publication Périodicité Date Page

Al Ahdath Al Maghrebia

Quotidien Arabophone 14/07/2008 18/20

Lancement des travaux de la Casablanca Marina à partir d’Août 2008 avec un investissement d’environ

5 milliards de DH

Page 151: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Publication Périodicité Date Page

La Nouvelle Tribune

Hebdo Francophone 05/08/2008 27/40

Page 152: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN
Page 153: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

BIBLIOGRAPHIE

Site web:www.cgi.mawww.cdg.mahttp://www.cdgdev.ma

Notes d’information:La Note d’information du 14 décembre 2010, sous la référence VI/EM/049/2010.La Note d’information du le 12 juillet 2007, sous la référence VI/EM/023/2007.Rapport annuel de 2009

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L’ANALYSE FINANCIÈRE

RÉALISER PAR: Ahmed FAKHRI Zakaria AROUBITE Micheldy HAUGEN

Parain du projet: Mr.ELBERMAKI

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INTRODUCTION:CHAPITRE 1 : ANALYSE DE L’EXPLOITATION

I- LES SOLDES INTERMÉDIAIRES DE GESTION :1- NOTION DU CHIFFRE D’AFFAIRES2- PRODUCTION DE L’EXERCICE 3- LA CONSOMMATION DE MATIÈRES ET FOURNITURES :4- MARGE BRUTE 5- VALEUR AJOUTÉE :6- EXCÉDENT BRUT D’EXPLOITATION (EBE) : 7- RÉSULTAT D’EXPLOITATION 8- RÉSULTAT FINANCIER ET COURANT : 9- RÉSULTAT NON COURANT ET RÉSULTAT NET

II- CAPACITÉ D’AUTOFINANCEMENT : 1- DÉFINITION :2- MODE DE CALCUL :

A- MÉTHODE ADDITIVE B- MÉTHODE SOUSTRACTIVE :

PLAN

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III- LES RETRAITEMENTS DU CPC 1- LE CRÉDIT BAIL 2- CHARGES DE PERSONNEL 3- CHARGES DE SOUS-TRAITANCE : 4- SUBVENTION D’EXPLOITATION

CHAPITRE 2 : ÉTUDE DU BILAN I- LE BILAN COMPTABLE FONCTIONNEL : II- LE FOND DE ROULEMENT FONCTIONNEL (F.R.F)

1- DÉFINITION 2- MÉTHODE DE CALCUL

A- PAR LE HAUT DU BILAN B- PAR LE BAS DU BILAN

III- BESOIN DE FINANCEMENT GLOBAL (B.F.G) IV- TRÉSORERIE NETTE :V- RELATION ENTRE LE FOND DE ROULEMENT FONCTIONNEL, TRÉSORERIE NETTE ET LE BESOIN DE FINANCEMENT GLOBAL :VI- TRÉSORERIE ET ÉQUILIBRE FINANCIER :

1- BESOIN DE FINANCEMENT GLOBAL POSITIF (BESOIN DE FINANCEMENT)

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A- SCÉNARIO 1 : FRF > 0 ; BFG > 0 ; TN > 0 : B- SCÉNARIO 2 : FRF > 0 ; BFG > 0 ; TN < 0 : C- SCÉNARIO 3 : FRF < 0 ; BFG > 0 ; TN < 0

2- BESOIN DE FINANCEMENT GLOBAL NÉGATIF (BESOIN DE FINANCEMENT) A- SCÉNARIO 1 : FRF > 0 ; BFG < 0 ; TN > 0 :

CHAPITRE 3:L’ANALYSE PAR LES RATIOS:I. ANALYSE DES RATIOS DE RENTABILITÉ

1. RENTABILITÉ FINANCIÈRE 2 RENTABILITÉ COMMERCIALE

II. ÉTUDE DE LA CAPACITÉ D'AUTOFINANCEMENT DE LA LESIEUR CRISTAL1. RATIOS TIRÉS DE LA CAPACITÉ D'AUTOFINANCEMENT 2. RATIOS DE ROTATION DES CAPITAUX3. RATIOS DE LIQUIDITÉ

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Le but de l'analyse financière est de réaliser une évaluation d'entreprise, selon le cas :• Soit pour évaluer la solvabilité de l'entreprise (pour lui consentir un crédit par exemple, et plus généralement pour nouer des relations d'affaires avec elle) : analyse crédit ;• Soit pour estimer la valeur de l'entreprise dans une optique de cession de participation d'achat ou de vente d'actions en bourse : évaluation d'actions boursières.

LE BUT :

INTRODUCTION

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Selon Samira RIFKI, 2008, l'analyse financière est la discipline « qui englobe les méthodes permettant d'apprécier les équilibres et les performances des entreprises.»L'analyse financière est une vision résolument intégrale de l'entreprise :En effet, qu'il s'agisse d'une analyse financière interne ou externe, l'analyse doit s'efforcer d'étudier l'entreprise selon une approche systémique, afin d'élaborer un diagnostic des politiques suivies et de leurs résultats. L'analyste est amené à reconstituer les politiques menées par l'entreprise dans la mesure où sa situation financière est la sanction (positive ou négative) de son management et sa stratégie.

DÉFINITION:

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LES MÉTHODES D'APPRÉCIATION DES ENTREPRISES: L'analyse financière a un caractère rétrospectif. Elle porte sur l'évolution passée et les caractéristiques constantes au moment de l'analyse. Elle se distingue ainsi des travaux de gestion prévisionnelle ouverte vers l'action. L'analyse financière comporte cependant une phase de synthèse et d'interprétation dont l'objet est de déterminer l'évaluation probable de la situation financière de l'entreprise. La situation constatée à un moment donné contient potentiellement les éléments de transformation de cette situation. Le prolongement des tendances constatées au cours d'une période permet également d'anticiper l'évolution de la situation financière en tenant compte des éléments nouveaux susceptibles d'intervenir. Ainsi il existe des méthodes permettant d'apprécier ou de suivre l'évolution de la situation financière d'une entreprise. Ces méthodes consistent à faire des rapports existants entre les postes du bilan ou groupe des postes du bilan ou encore entre ces postes et les résultats. Cette démarche regroupe les deux pôles de l'analyse financière. L'équilibre financier d'une part, la rentabilité et évaluation d'autre part.Pour valider notre hypothèse, nous avons utilisé deux méthodes :

- L'analyse par l'ESG ;- L'analyse par la méthode des ratios.

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I- LES SOLDES INTERMÉDIAIRES DE GESTION

1- Notion du chiffre d’affaires- Reflète le dynamisme commercial d’une entreprise.- Son évolution intéresse aussi bien l’entrepreneur que les différents partenaires de l’entreprise.- Son évolution dépend d’un certain nombre de conditions (les conditions climatiques, la conjoncture, la concurrence …etc.).-Reflète l’état de santé de l’entreprise.

2- Production de l’exercice :Si le chiffre d’affaire traduit le dynamisme commercial de l’entreprise, le concept de production est un indicateur du niveau de l’activité. Ainsi,Production de l’exercice = Ventes + Variations de stock + Production immobilisée.

CHAPITRE 1 : ANALYSE DE L’EXPLOITATION

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3- La consommation de matières et fournitures :* Achats + ou – la variation de stock de matière première et de marchandises.* Son évolution doit correspondre en principe à celle de l’activité.

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(CAF) = Excédent brut d’exploitation ou insuffisance brute d’exploitation – Charges décaissables (Autres charges d’exploitation, Charges financières sauf dotations sur actif immobilisé et financement permanent, charges non courants (sauf valeurs nettes d’amortissement et immobilisations cédées et dotations sur actif immobilisé ou sur le financement permanent, impôts sur les résultats) + Produits encaissables (Autres produits d’exploitation, transfert de charges d’exploitation , produits financiers sauf reprises sur provisions réglementées ou sur provisions durables et reprises sur amortissement, produits non courants sauf produits de cession d’immobilisation reprise sur subvention d’investissement et reprises sur provisions durables ou réglementées).

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4- MARGE BRUTE :Elle se déduit des ventes de Marchandises par la relation suivante: Marge brute = Ventes de marchandises – Achats revendus de marchandises. (Achats revendus de marchandises = Achat +/- variation de stock) Cette grandeur intéresse les entreprises commerciales qui utilisent l’évaluation de la marge sur cout variable globale pour l’analyse du seuil de rentabilité 5- VALEUR AJOUTÉE :Elle permet d’apprécier la contribution de l’entreprise à la formation du produit intérieur brut du pays, elle sert dans l’analyse de la productivité et de la croissanceValeur Ajoutée = Margé Brute + Production de l’exercice – Consommation de l’exercice.6- EXCÉDENT BRUT D’EXPLOITATION (EBE) :L’EBE est un excédent de gestion c’est-à-dire , une mesure brut du profit au sens économique du terme.Excédent brut d’exploitation = Valeur ajoutée + Subventions d’exploitation – Impôts et taxes – Charges du personnel

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7- RÉSULTAT D’EXPLOITATION :Résultat d’exploitation = Excédent brut d’exploitation + Autres produits d’exploitation – Autres charges d’exploitation + Reprise d’exploitation – Dotation d’exploitation + Transfert de charges.8- RÉSULTAT FINANCIER ET COURANT :Résultat financier = Produits financiers – Charges financiers.Il permet d’apprécier les performances de la politique financière de l’entreprise.Résultat courant = Résultat d’exploitation + Résultat financier.Il traduit le niveau de performance tant que commerciales qu’industrielles et financières de l’entreprise.9- RÉSULTAT NON COURANT ET RÉSULTAT NET :Résultat net courant = Produits non courants – Charges non courantes.Résultat net = Résultat courant + Produits net comptables – Charges non courantes – Impôts sur les sociétés.

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II- CAPACITÉ D’AUTOFINANCEMENT :1- Définition :

Selon le plan comptable marocain la capacité d’autofinancement se définit comme étant « Une ressource de financement générée par l’activité de l’entreprise pendant l’exercice, avant toute affectation du résultat net ».

A- MÉTHODE ADDITIVESelon cette méthode, on ajoute au résultat de l’exercice les charges calculées déduites de l’EBE pour le calcul des autres charges intermédiaires de gestion puis qu’elles n’ont pas été décaissées et l’on retranche les produits calculés contenu dans ces différents soldes puisqu’ils n’ont pas été encaissés.

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(CAF) = Excédent brut d’exploitation ou insuffisance brute d’exploitation – Charges décaissables (Autres charges d’exploitation, Charges financières sauf dotations sur actif immobilisé et financement permanent, charges non courants (sauf valeurs nettes d’amortissement et immobilisations cédées et dotations sur actif immobilisé ou sur le financement permanent, impôts sur les résultats) + Produits encaissables (Autres produits d’exploitation, transfert de charges d’exploitation , produits financiers sauf reprises sur provisions réglementées ou sur provisions durables et reprises sur amortissement, produits non courants sauf produits de cession d’immobilisation reprise sur subvention d’investissement et reprises sur provisions durables ou réglementées).

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(CAF) = Résultat net de l’exercice + Dotations de l’exercice autres que celle relatives à l’actif et passif circulants et à la trésorerie – Reprise sur amortissements (autres que celles relatives à l’actif et passif circulant et à la trésorerie) et sur subvention d’investissement – Produits d’investissement + Valeur nette d’amortissement des immobilisations cédées ou retirées de l’actif.

B- MÉTHODE SOUSTRACTIVE :Ici, pour calculer la CAF, on ajoute à l’EBE le solde des produits et des charges non pris en compte pour le calcul de la valeur ajouté mais donnant lieu à des flux de trésorerie. En revanche sont exclus du calcul des produits non encaissés et les charges non décaissés. Ainsi,

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III- LES RETRAITEMENTS DU CPC : 1- Le crédit-bail :-Retranché en intégralité du poste des autres charges externes (partie amortissement).-Ventilé entre les dotations aux amortissements (partie amortissement) et les charges financières (partie intérêt). 2- Charges de personnel :-Retranché les charges de personnel intérimaires ou de personnel détaché ou prêté à l’entreprise des autres charges externes.-Rajouté aux charges de personnel. 3- Charges de sous-traitance :-Retranché des autres charges externes.-Rajouté aux achats (matière première).-Rajouté aux charges de personnel (main d’œuvre ). 4- Subvention d’exploitation :-Complément du prix de vente.

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Chapitre 2 : ÉTUDE DU BILANI- Le bilan comptable fonctionnel :Le bilan permet de visualiser à un moment donné l’état des emplois et des ressources de

l’entreprise, c'est-à-dire ce qu’elle détient et ce qu’elle doit.Il se présente comme suit :

II- Le fond de roulement fonctionnel (F.R.F) :1- Définition :Il est égale à la différence entre les ressources et les emplois stables , et il correspond au

montant du ressources acycliques qui, après financement de l’actif immobilisé demeure disponible pour couvrir les besoins de financement du cycle d’exploitation de l’entreprise, il s’agira donc d’apprécier la situation en calculant le degré de couverture réel du BF par le FRF sur le plan statique ou dynamique.

Le FRF peut également être calculé par la différence entre l’actif circulant et le passif circulant .

Actif immobilisé Financement permanent

Actif circulant Passif circulant

Trésorerie active Trésorerie passive

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2- Méthode de calcul :a- Par le haut du bilan :Le FRF par le haut du bilan permet d’apprécier les modalités de financement de l’actif

immobilisé .Fond de roulement fonctionnel = Financement Permanent – Actif immobilisé.

F.R.F = FP - AI.b- Par le bas du bilan :Le FRF par le bas du bilan constitue un indicateur d’appréciation de l’équilibre financier ou

de la solvabilité de l’entreprise.Fond de roulement fonctionnel = Actif circulant (et la trésorerie) – Passif circulant (et la

Trésorerie).

III- Besoin de financement global (B.F.G) :B.F.G = Actif circulant hors trésorerie – Passif circulant hors trésorerie.

Besoin de financement :

Trésorerie active

Actif circulant (hors trésorerie)

Actif immobilisé

Trésorerie active

Passif circulant (hors trésorerie)

Financement permanent

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Ressources de financement :

IV- Trésorerie nette :La trésorerie nette définie comme un solde résiduel se rapportant aux postes de bas du bilan,

ce solde se calcule soit directement soit à partir des autres solde:Trésorerie nette = Trésorerie active – trésorerie passive.

Ou : Trésorerie nette = Fond de roulement fonctionnel – Besoin de financement global.Trois cas peuvent se présenter :- Trésorerie nulle : le fonds de roulement fonctionnel couvre la totalité du BFG - Trésorerie positive : Le FRF est supérieure au BFG donc il finance le BFG et le reste

alimente de la trésorerie- Trésorerie négative : le FRF est inférieure au BFG dans ce cas le FRF est incapable de

couvrir le besoin de cycle d’exploitation, l’entreprise devra recourir au financement bancaire ou aux organismes financiers.

Actif immobilisé

Actif circulant (hors trésorerie)

Trésorerie active

Financement permanent

Passif circulant (hors trésorerie)

Trésorerie active

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V- Relation entre le fond de roulement fonctionnel, Trésorerie nette et le Besoin de financement global :

Fond de roulement fonctionnel - Besoin de financement global = Trésorerie nette.1- Besoin de financement global positif (besoin de financement) :a- Scénario 1 : FRF > 0 ; BFG > 0 ; TN > 0 :Illustration : Bilan :

Commentaire: Le FRF couvre le BFG et permet en outre de dégager des liquidités. Cette situation, bien que

favorable à priori, peut traduire une erreur de vision stratégique ou un sous-emploi des capitaux de l’entreprise.

Actif immobiliséActif circulant (HT)Trésorerie active

1000 700 100

Financement permanentPassif circulant (HT)Trésorerie passive

1200 550 50

FRF = 200BFG = 150TN = 50

1800 1800

Page 174: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

b- Scénario 2 : FRF > 0 ; BFG > 0 ; TN < 0 :Illustration : Bilan :

Commentaire:Le BFG est financé par le financement permanent et par des concours bancaires. Cette

situation de déséquilibre doit s’apprécier en relation avec le risque bancaire couru et la rentabilité de l’entreprise

c- Scénario 3 : FRF < 0 ; BFG > 0 ; TN < 0 :Illustration : Bilan :

Actif immobiliséActif circulant (HT)Trésorerie active

1.000 750 50

Financement permanentPassif circulant (HT)Trésorerie passive

1.200 500 100

FRF =200BFG =250TN = -50

1800 1800

Actif immobiliséActif circulant (HT)Trésorerie active

1.200 740 60

Financement permanentPassif circulant (HT)Trésorerie passive

1.000 700 300

FRF = -200BFG = 40TN = -240

2000 2000

Page 175: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Commentaire:Cette situation déséquilibrée est extrêmement dangereuse car les concours bancaires

couvrent non seulement le BFG et les disponibilités, mais également une partie de l’actif immobilisé. Si cette situation persiste, il faut procéder à une restructuration de la situation financière de l’entreprise.

2- Besoin de financement global négatif (besoin de financement) :a- Scénario 1 : FRF > 0 ; BFG < 0 ; TN > 0 :Illustration : Bilan :

Commentaire:Cette situation est favorable car les ressources de financement induites par le cycle

d’exploitation, associées aux excédents du financement permanent sur l’actif immobilisé, permettent de dégager une trésorerie positive (liquidités).

Cependant il faut s’assurer si cette situation ne recouvre pas un sous-emploi des capitaux.

Actif immobiliséActif circulant (HT)Trésorerie active

1.000 800 400

Financement permanentPassif circulant (HT)Trésorerie passive

1.200 850 150

FRF =200BFG = 50TN = 250

2200 2200

Page 176: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

b- Scénario 2 : FRF < 0 ; BFG < 0 ; TN > 0 :Illustration : Bilan :

Commentaire:Cette situation est déséquilibrée car les ressources de financement couvrent la trésorerie

nette de l’entreprise et une partie de l’actif immobilisé (FRF <0).Un renforcement du financement permanent est à envisager, sauf si les ressources de

financement sont pérennes d’un exercice sur l’autre.c- Scénario 3 : FRF < 0 ; BFG < 0 ; TN < 0 :Illustration : Bilan :

Actif immobiliséActif circulant (HT)Trésorerie active

1.100 800 400

Financement permanentPassif circulant (HT)Trésorerie passive

1.0001.220 80

FRF = 100BFG =420TN = 320

2300 2300

Actif immobiliséActif circulant (HT)Trésorerie active

1.100 900 100

Financement permanentPassif circulant (HT)Trésorerie passive

1.000 980 120

FRF = -100BFG = -80TN = -20

2100 2100

Page 177: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Commentaire :Cette situation est totalement déséquilibrée dans la mesure ou le financement

permanent ne couvre qu’une partie de l’actif immobilisé (FRF<0), cette insuffisance étant compensée par le passif circulant. Par ailleurs, elle est tout a fait précaire, du fait de la très grande dépendance financière externe de l’entreprise, et appelle des mesures de restructuration financière.

Page 178: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

CHAPITRE 3:L’ANALYSE PAR LES RATIOSPlusieurs auteurs du domaine de l'analyse financière restent unanimes à affi rmer que seule l'analyse fondée sur le fonds de roulement ne suffi t pas pour porter un jugement définitif sur la santé financière d'une entreprise, ainsi préconisent-ils le recours à la deuxième approche de l'analyse financière, celle des ratios.

Page 179: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Le ratio est le rapport expressif entre deux grandeurs caractéristiques (significatives) de la situation du potentiel de l'activité ou de rendement de l'entreprise. Ce rapport est dit expressif car à partir de deux données, l'on peut établir une nouvelle information de nature différente.Ce rapport permet à l'analyste de raisonner sur la situation financière d'une entreprise. Il peut être exprimé soit sous forme d'un quotient, soit sous forme d'un pourcentage. Les ratios peuvent servir à mesurer les relations qui existent entre les éléments de la structure de l'actif et du passif ou pour apprécier l'équilibre entre le degré de liquidité et le degré d'exigibilité. En effet, si certains ratios peuvent être utilisés directement pour apprécier la santé financière d'une entreprise, ils comportent un certain nombre d'inconvénients parmi lesquels nous pouvons citer :- la méthode des ratios s'applique sur une analyse de l'évolution de plusieurs bilans successifs,- le calcul des ratios ne permet pas de prédire l'avenir, c'est pourquoi doit-il être renforcé par d'autres outils permettant de convertir le passé au futur.

DÉFINITIONS ET INTERPRÉTATIONS

Page 180: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

La solvabilité est définie comme étant la capacité d'apurer l'exigible avec la réalisation de l'actif. Les ratios de solvabilité permettent de connaître la solvabilité générale de l'entreprise, pour en fin apprécier sa valeur du point de vue financier.Les banquiers en général et les bailleurs de fonds en particuliers préfèrent ces ratios pour apprécier le degré de solvabilité de l'entreprise sous étude.· Ratios de financement de l'actif immobiliséCe ratio peut être décomposé en plusieurs types des ratios :

RATIOS DE SOLVABILITÉ À LONG TERME

Page 181: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

- CP/VIRatio de financement des immobilisations aux fonds propres, et il est calculé comme suit :Ce ratio nous indique la part des capitaux propres dans le financement de l'entreprise et il doit être supérieur ou égal à 1, et lorsqu'il est supérieur à 1, cela signifie que les capitaux propres financent non seulement les valeurs immobilisées mais financent aussi une partie des valeurs circulantes, c'est-à-dire que l'entreprise respecte le principe d'équilibre financier et par conséquent dispose d'un fonds de roulement propre.

Page 182: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

- Ratio de financement des immobilisations aux capitaux permanents =CPE/VICe ratio est une expression du fonds de roulement et détermine son importance et son évolution dans le temps. Il permet d'apprécier la part des capitaux permanents d'une entreprise dans le financement des valeurs immobilisées. Ces deux ratios ci- haut cités indiquent dans quelle mesure les capitaux propres et permanents sont investis dans les constructions, machines et autres moyens de production.

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- Ratio de financement des immobilisations par les dettes à L/M/TCe ratio indique la part de dettes à long et à moyen terme dans le financement des actifs fixes. Il est calculé comme suit :

DLMT/VIIl est en effet intéressant de déterminer le rapport existant entre les valeurs immobilisées et l'ensemble de l'actif, car l'entreprise qui immobilise une trop grande partie de son actif résiste diffi cilement aux crises économiques.D'où le ratio d'immobilisation = TOTAL ACTIF/VIEn dehors de ces ratios ci- haut mentionnés, il est conseillé de calculer le ratio de couverture de l'actif circulant, ce ratio permet de connaître dans quelle mesure le fonds de roulement couvre les actifs circulants, il se calcule de la manière suivante :FRNG/VC

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L'étude de cette catégorie de ratio permet d'éclaircir la mesure selon laquelle la répartition entre les capitaux propres et permanents s'effectue.Trois principaux types de ratios sont classés dans cette catégorie :Ratio d'endettement =CP/D à L/M/TCe ratio permet de connaître l'importance des capitaux propres dans les dettes à long et à moyen terme.- Ratio d'indépendance financière = CP/CPECe ratio permet de connaître la part qu'occupent les capitaux propres dans l'ensemble de capitaux permanents utilisés par l'entreprise.- Ratio d'indépendance financière =DLMT/CPECe ratio permet de connaître l'importance de l'exigible par rapport aux capitaux permanents dont dispose l'entreprise.

RATIOS D'AUTONOMIE FINANCIÈRE

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Le suivi de l'évolution de la situation financière d'une entreprise reste une préoccupation majeure de ses dirigeants, nous avons vu que l'entreprise doit faire suivi de sa politique de liquidité, pour pouvoir survivre, c'est pourquoi la gestion financière exige un suivi particulier de la liquidité dont dispose l'entreprise, ainsi pour ce faire divers ratios sont utilisés parmi eux nous pouvons citer :- Ratio de liquidité générale =CAP CIRCULANTS/Dettes CTCe ratio montre la mesure selon laquelle les actifs circulants couvrent les dettes à court terme, en d'autres termes, il nous permet d'apprécier si l'entreprise dispose d'une marge de sécurité suffi sante.

RATIOS DE SOLVABILITÉ À COURT TERME

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Ratio de liquidité immédiate ou de disponibilité=DISPONIBLES/DCTCe ratio permet de voir dans quelle mesure les valeurs disponibles peuvent financer les dettes à court terme.- Ratio de liquidité relative ou de trésorerie à échéance- Valeurs réalisables + valeurs disponiblesDettes à court termeCe ratio exprime la capacité de l'entreprise à honorer ses engagements à court terme. Ce ratio ne contient pas des stocks puis qu'ils sont moins liquides que les réalisables et les disponibles. Pour que ce ratio soit significatif, il faut que la durée de transformation de créances en liquides soit supérieure à celle des dettes à court terme.

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Signalons que les ratios sont tirés du bilan et des comptes des résultats, cependant ces ratios n'ont pas un caractère de conformité pour toutes les entreprises, il est évident qu'une entreprise peut utiliser d'autres ratios non mentionnés ici. Il est parfaitement possible qu'elle peut utiliser une liste suivant ses besoins personnels.Rappelons également qu'il est nécessaire d'examiner les variations du numérateur et le dénominateur car chacun peut varier différemment alors que le ratio reste constant. Ceci justifie le fondement de l'interprétation du résultat obtenu à partir d'un ratio quelconque.

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CONCLUSION

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Analyse de la situation financière de Alliances

développement

RÉALISER PAR: Ahmed FAKHRI Zakaria AROUBITE Micheldy HAUGEN

Parain du projet: Mr.ELBERMAKI

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Plan:Introduction :• L’analyse par les ratios (suite)I. Analyse financière d’Alliance développement:

1. Dépouillement des trois bilans (2008-2009-2010) 2. Les commentaires3. Le bilan fonctionnel(2008-2009-2010)4. Les commentaires5. Le TFR (2008-2009-2010)6. Analyse par les ratios

a) Autonomie financièreb) L’endettement à termec) La liquidité réduite

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I. Les ratios de structure financière A. L’autonomie financièreOn utilise l’un ou l’autre des ratios complémentaires suivants :

R1 = Capitaux propres/Passifs ou R2 = Dettes totales/Passifs Ces deux ratio ne permettent d’apprécier l’indépendance de l’entreprise vis-à-vis de ses

banques et de mesurer le niveau d’autonomie financière et le risque qui pèse sur les créanciers de l’entreprise, qui ont intérêt à avoir les fonds propres prédominer dans la structure de financement.

B. L’endettement à termeR3 = Dettes de financement/Capitaux propres

ou R4 = Dettes de financement/Capitaux permanents ou R5 = Capitaux propres/Capitaux permanent

Ces ratios sont équivalents et peuvent être utilisés séparément. Ils traduisent soit une capacité d’endettement potentielle, signe de flexibilité, soit la saturation de cette capacité et la nécessité de recevoir à des fonds propres.

C. La capacité de remboursement des dettes à termeR6 = Dettes de financement/Capacité d’autofinancement

R7 = Résultat d’exploitation/Charges financières

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Le ratio R6 traduit le nombre d’années nécessaires à l’entreprise pour assurer le remboursement totale des dettes à terme, au moyen de sa capacité d’autofinancement, les dettes de financement ne doivent pas dépasser trois fois le montant de la CAF . Le ratio R7 indique le degré de couverture des charges financières par le résultats d’exploitation.

II. Les ratios de liquiditéA. La liquidité réduite

R1 = Actif circulant-Stock/Passif circulant. détermine la capacité d'une entreprise à honorer ses dettes à court terme. S'il est supérieur à 1,

l'entreprise à un fonds de roulement qui finance tout son stock. il ne permet d’analyser la part du passif circulant totale c’est-à-dire l’ensemble des dettes à court terme susceptible d’être couverte par les actifs réalisable et disponible.

III. Les ratios de gestion ou de besoin en fond de roulementR1 = FDR/BFRE , R2 = (BFRE/CAHT)*360j , R3 = CAF/Augmentation du BFRE

Le ratio R1 nous permet de vérifier la part du BFRE couverte par le FDR. Il doit être égale à 1 ou proche de 1.

Le ratio R2 exprime le BFRE en jours de CAHT étant donné que le BFRE est généralement proportionnel que le CA, il doit normalement rester stable dans le temps

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Le ratio R3 s’agit de vérifier un niveau d’équilibre dans le financement des besoins de l’entreprise, la CAF qui représente les revenus disponible au sein de l’entreprise doit être suffisante pour financer l’augmentation des besoins généré par l’exploitation imprévus.

IV. Les ratios de rentabilité A. Les ratios de rentabilité financièreLe meilleur indicateur de la rentabilité des capitaux qu’il a engagés est mesuré par le ratio

suivant : R1 = Résultat de l’exercice/Capitaux propres Il est possible de décomposer ce ratio en un produit de 3 facteurs :

R1 = (Rt net/CA)*(CA/Actif total)*(Passif/K propres)

Marge commerciale Rotation de l’actif Ratio d’endettement

La rentabilité financière est donc fonction de:• La politique commerciale de l’entreprise.• La rotation de ses actifs c’est-à-dire de son aptitude à générer di CA à partir de moyens

déterminés.• La politique financière de l’entreprise c’est-à-dire de la structure de ses ressources financières

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Le bilan comptable: les commentaires

L’actif fictif d’Alliance développement qui avait subi une baisse entre 2008 et 2009 de 12% a connu une stagnation entre 2009 et 2010Au niveau des immobilisation incorporelles, plus précisément les autres immobilisation , on décèle une forte augmentation de 188% entre 2009 et 2010,et de même entre 2008 et 2009 de 82%.Les immobilisations corporelles ont connu de légère variation soit une baisse de 21% et une augmentation de 30% durant les 3 exercices.Les immobilisations financières n’ont pas cessés d’augmenter avec une augmentation de moitié en 2009 par rapport à 2008 et de 38% en 2010 Les stocks quand à eux ne sont pas du tout stables. Ils baissent dans le temps d’une façon plus ou moins significativeQuant aux créances de l’actif circulant, elles ont connu une importante augmentation entre 2008 et 2009 de 76 et elles ont continué a augmenté entre 2009 et 2010 avec 79%.la gestion des modes de paiement est à revoir.

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On constate également une baisse des écarts de conversion actif entre 2009 et 2010 de 12%.ces derniers ont énormément baissé par rapport à 2008 ou ils avaient dégagé une baisse de 68%.La trésorerie actif a subit une augmentation très forte entre 2009 et 2010 après une baisse en 2009 par rapport à 2008 de 94%.cela est du principalement au déficit que subit la banque, la trésorerie générale et les chèques et valeurs à encaisser.L’actif dans sa totalité a augmenté, quittant de 2,833,072,752.26 en 2008 à 3,633,683,301.23 en 2009 et a 5,904,854,800.59

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Passif:Les capitaux propres d’Alliances n’ont pas subi d’importantes variations au cours de 3 années. on observe juste que entre 2009 et 2008 une augmentation de 3% des capitaux propres.Au cours des 3 années, les dettes de financement qu’elle a contracté n’ont pas cessé d’augmenter de façon considérable. Passant de 156,200,721.86 en 2008 a 580,719,746.72 et a 1,476,356,241.13 en 2010 ,soit respectivement une augmentation d’environ 272% entre 2008 et 2009 et 154% entre 2009 et 2010.Au niveau des dettes du passif circulant, l’augmentation fulgurante se situe au niveau de compte d’associés avec 120194% entre 2009 et 2010.La trésorerie quand à elle, a dégagé des résultats insuffisants entre 2008 et 2009 soit une augmentation de 2361% entre 2008 et 2009 et par la suite une augmentation de 268 en 2010 par rapport à 2009

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Element/Excercice 2008 2009 2010 var 08-09 var 09-10

*CP 1,996,015,143.34

2,015,253,514.09

2,066,699,279.43

+cap P ass

+avance recus des assosié

+emprunt obligatoir 1,000,000,000.00

+autre dette de fin 156200721.9 580,719,746.72

476,356,241.13

+engagement crédit bail

+prov durables pour R et C 1,783,600.00

=capitaux permanent 2152215865 2595973261 3544839121 21% 37%

immob NV 37887685.21 33,478,578.27

33,423,902.35

immob inco 372,366.74

679,374.94

1,954,082.73

immob corp 32,417,334.84

25,572,925.68

33,151,771.57

immob fin 702,871,634.69

1,084,296,083.90

1,496,102,175.87

FDR FONCT 1,378,666,843.72

1,451,946,298.02

1,980,207,188.04 5% 36%

Bilan fonctionnel

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FDR FONCT 1,378,666,843.72

1,451,946,298.02

1,980,207,188.04 5% 36%

Total actif circulant 2,055,118,796.71

2,489,385,180.25

4,292,594,451.83

Total Passif circulant 677,745,712.05

961,135,900.55

2,078,165,741.70

BFR 1,377,373,084.66

1,528,249,279.70

2,214,428,710.13 11% 45%

Trésorerie nette 1,293,759.06

76,302,981.68-

234,221,522.09-

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2008 2009 2010

(500,000,000.00)

-

500,000,000.00

1,000,000,000.00

1,500,000,000.00

2,000,000,000.00

2,500,000,000.00

FDRBFRtrésorerie nette

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Commentaire:En 08/09 la variation du FDR est bénéficiaire. Cela est dû à un FDR qui augmente de 2008 a 2009.cet précèdent évènement sera comblé par une variation du BFR positive plus importante presque le double du FDR ce qui constituât un emploi ce qui diminua la liquidité au niveau de la trésorerie.En 09/10,la variation du FDR est positive certes mais la progression de la variation du BFR et plus importante; cette croissance parallèle du FDR et BFR est la cause principale de la trésorerie déficitaire.La variation globale soit de 08/10 nous montre sans aucun doute cette dérogation progressive de la trésorerie car la variation globale du BFR se présente 20% plus de celle de FDR.

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PRODUCTION DE L'EXERCICE : (3+4+5) 586160913.7 459962764.4 737436432.7 -22% 60%

Elements/ Année 2008 2009 2010 Var 08-09 Var 09-10

CONSOMMATION DE L'EXERCICE :(6+7) 521897786.7 451943068.7 677516580.1 -13% 50%

Commentaire:La variation de la consommation entre 2008 et 2009 a subit une diminution de 13% qui combler une diminution a la production de 22% dans la même période.Entre 09-10 la production a augmenté de 60% et la consommation a augmenté de moitié aussi.

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Commentaire:EBE : On note une diminution de 50% entre 2008 et 2009.cette tendance défavorable est suit par une augmentation entre 2009 et 2010 de 47%CAF:on note une diminution entre 2009 et 2008 avec une forte augmentation de 574% entre 2009 et 2010.On testons ces CAF par rapport aux capitaux on se compte que pour chaque dirham investi on crée 0.06 en 2008,0.02 en 2009 et 0.08 en 2010 de capacité d’autofinancement.

Année 2008 2009 2010

CAF/CP 0.057630439 0.010842787 0.071224484

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VALEUR AJOUTEE (I+II+III) 64263126.98 8019695.76 59919852.65 -88% 647%

Elements/ Année 2008 2009 2010 Var 08-09 Var 09-10

EXEDENT BRUT D'EXPLOITATION (EBE) 27857445.65 - 21963991.31 -50% 47%

OU INSUFFISANCE BRUTE D'EXPLOITATION (IBE) -41651848.41 -

CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT (C.A.F)

115,031,228.17

21,850,965.03

147,199,589.43 -81% 574%

AUTOFINANCEMENT 65031228.17-50749034.97 62499589.43 -178% -223%

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ANALYSE PAR LES RATIOS:

Variation Année CP/Passif

- 2008 2.945079707

-0.288052721 2009 2.096741484

-0.525700989 2010 0.994482412

L’autonomie financière:

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Endettement a terme Années dettes/CP

2008

0.08

2009 0.29

2010 0.23

Endettement à terme

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La liquidité réduite R1 = Actif circulant-Stock/Passif c total

2008

2.76

2009

2.45

2010

2.04

La liquidité réduite:

Le ratio de la liquidité réduite ((AC total-Stock)/PC total) durant les 3 années est supérieur à 1 on peut dire la liquidité de cette entreprise par rapport au stock est suffisantes

Page 207: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Bibliographie:

• www.Alliance.ma

• Cours S5 analyse financière

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Parain du projet: Mr.ELBERMAKI

Réaliser par: Ahmed FAKHRI Zakaria AROUBITE Micheldy HAUGEN

Analyse financière

de« groupe adDoha »

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Plan:introductionI. Analyse bilancielle des bilans(sociaux):

1. Dépouillement des trois bilans (2009-2008-2007) 2. Les commentaires3. Le bilan fonctionnel(2009-2008-2007)4. Les commentaires5. Le TFR (2007-2008-2009)

II. Analyse par les ratiosConclusionbibliographie

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INTRODUCTION

Page 211: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Analyse bilantielle

L’actif immobilisé net s’établit en 2009 à 2 661 Mdh en léger repli (-0,8%) par rapport à l’exercice précédent s’expliquant principalement par le recul des immobilisations financières (2 560 Mdh en 2009 vs 2 573 Mdh en 2008).En outre, les immobilisations corporelles se sont quasi maintenues (+2,1%) s’établissant à 77 Mdh contre 75 Mdh en 2008.Les immobilisations incorporelles, composées essentiellement des frais de logiciels, s’établissent à 5,0 Mdh en 2009 contre 4,3 Mdh en 2008.Concernant les immobilisations en non valeurs, celles-ci ont enregistré un repli de 36,3% pour s’établir à 19,5 Mdh contre 30,6 Mdh en 2008 correspondant principalement à l’amortissement annuel des frais de l’augmentation de capital réalisée en 2007.

ACTIF IMMOBILISÉ:

Évolution: 2008-2009

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L’actif immobilisé net s’établit en 2008 à 2 683 Mdh en forte croissance (+55,8%) par rapport à l’exercice précédent justifiée principalement par l’augmentation des immobilisations financières (2 573 Mdh en 2008 vs 1 653 Mdh en 2007) En outre, les immobilisations corporelles ont progressé significativement (>100%) liées principalement aux investissements engagés dans les extensions 28 Mdh.Les immobilisations incorporelles, s’établissent à 4,4 Mdh en 2008 vs 3,7 Mdh en 2007.Concernant les immobilisations en non valeurs, celles-ci ont enregistré une hausse de 9,2% pour s’établir à 30,6 Mdh contre 28,1 Mdh en 2007.

Évolution: 2007-2008

Page 213: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Au titre de l’exercice 2009, les fonds propres s’établissent à 4 685 Mdh vs 4 320 Mdh en 2008, soit une progression de 8% par rapport à l’exercice antérieur. Le renforcement des fonds propres s’explique par la croissance significative du résultat net (+75%) et de la réserve légale (+41%) sur la période.

LES FONDS PROPRES:

Évolution: 2008-2009

Évolution: 2007-2008

Douja Promotion Groupe Addoha enregistre une croissance modérée de ses fonds propres (+1%) pour s’établir à 4 320 Mdh en 2008 contre 4 294 Mdh en 2007 .

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Les terrains acquis sont inscrits dans le poste Stock Marchandises à leur valeur d’acquisition. Les produits en cours (logements en cours de réalisation) et produits finis (Logements réalisés en cours de commercialisation) incluent la quote-part des terrains utilisée pour leur réalisation. Cette quote-part est ainsi déduite du poste Stock Marchandises à sa valeur d’acquisition.

une croissance significative des stocks (+42%) qui s’élèvent à 5 851 Mdh vs 3 408 Mdh en 2007.

LES STOCKS :

Évolution: 2008-2009

Évolution: 2007-2008

une croissance soutenue des stocks (+37,4%) qui s’élèvent à 8 042 Mdh vs 5 851 Mdh en 2008.

Page 215: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

les dettes du passif circulant ont enregistré une forte hausse (>100%) s’établissant à 3 960 Mdh en 2008 contre 1 930 Mdh en 2007 en raison principalement de :• la croissance significative du poste fournisseurs & comptes rattachés

(+84%) pour s’établir à 1 603 Mdh vs 873 Mdh en 2007.• la hausse des avances clients (+38%) qui ressort à 1 126 Mdh en 2008

contre 819 Mdh en 2007 justifiée par la hausse des ventes ;• la progression remarquable (>100%) des comptes d’associés passif qui

s’élèvent à 753 Mdh en 2008 vs 39 Mdh en 2007.

LES DETTES P C :

Évolution: 2007-2008

Page 216: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Évolution: 2008-2009

Par ailleurs, les dettes du passif circulant ont enregistré une hausse de 25,6% s’établissant à 4 973 Mdh en 2009 contre 3 960 Mdh en 2008 en raison principalement de : la croissance significative du poste Etat (>100%) pour s’établir à 238 Mdh vs

20 Mdh en 2008 la hausse des avances clients (+39,5%) qui ressort à 1 571 Mdh en 2009

contre 1 126 Mdh en 2008 justifiée par la hausse des ventes ; la progression (+19,7%) des comptes d’associés qui s’élèvent à 901 Mdh en

2009 vs 753 Mdh en 2008.

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Le bilan fonctionnel

2007 2008 2009 var 07-08 var 08-094,293,678,593.96 4,319,906,454.85 4,685,487,864.51

0 1500000000 15000000001,500,000,000.00 1,500,000,000.00 1,449,559,462.63

- 5,793,678,593.96 7319906455 7635047327 26% 4%

28,073,765.97 30,646,267.54 19,518,274.29 3,681,078.91 4,381,106.80 5,011,446.25

37,441,654.40 75,157,333.58 76,711,282.69 1,652,804,659.86 2,573,239,678.06 2,560,064,718.40 4,071,677,434.82 4,636,482,068.87 4,973,741,605.51 14% 7%8,317,942,435.76 11,617,070,688.24 12,951,809,395.60 1,930,245,843.69 3,960,880,700.67 4,973,493,803.17 6,387,696,592.07 7,656,189,987.57 7,978,315,592.43 20% 4%2,316,019,157.25- 3,019,707,918.70- 3,004,573,986.92-

Element/Excercice

BFRTrésorerie nette

immob corpimmob finFDR FONCTTotal actif circulant Total Passif circulant

+engagement crédit bail+prov durables pour R et C=capitaux permanentimmob NVimmob inco

*CP+cap P ass+avance recus des assosié+emprunt obligatoir+autre dette de fin

Page 218: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

En 2008, le BFR s’établit à 7 656 Mdh en hausse de 20% par rapport à l’exercice précédent, justifié notamment par les éléments suivants :• un recul des titres et valeurs de placement (-45%) qui s’établissent à 662 Mdh

contre 1 201 Mdh en 2007.• une hausse du poste clients et comptes rattachés (+55%) qui s’établit à 1 074

Mdh vs 694 Mdh en 2007 ;• une progression des avances et acomptes fournisseurs à l’actif (+32%) qui

ressortent à 2 296 Mdh vs 1 737 Mdh en 2007 en raison du lancement des constructions de plusieurs projets .

Évolution: 2007-2008

LE BFR :

Page 219: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

En 2009, le BFR s’établit à 7 978 Mdh en hausse de 4% par rapport à l’exercice précédent, justifié notamment par les éléments suivants :• un recul des titres et valeurs de placement (-59%) qui s’établissent à 269

Mdh en 2009 contre 662 Mdh en 2008 .• une hausse du poste clients et comptes rattachés (+30%) qui s’établit à 1

393 Mdh vs 1 074 Mdh ;• une progression du poste autres débiteurs (+53%) qui s’élève à 1 528 Mdh

vs 1 002 Mdh constituée principalement de dividendes à verser et d’avances en comptes courants d’associés ;

• un fort recul des avances et acomptes des fournisseurs à l’actif (75,5%) qui ressort à 563 Mdh vs 2 296 Mdh en 2008.

Évolution: 2008-2009

LE BFR :

Page 220: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Évolution: 2007-2008

LE FDR :

En 2008, le fonds de roulement de Groupe Addoha s’élève à 4 636 Mdh enregistrant une hausse notable (+14%) par rapport à l’exercice précédent en raison principalement de la croissance de son financement permanent lié à l’émission d’un emprunt obligataire de 1 500 Mdh en 2008.L’activité induit un niveau de BFR élevé par rapport au fonds de roulement affectant la trésorerie nette en fin d’exercice qui ressort à -3,0 Mrds Dh contre -2,3 Mrds Dh en 2007.Évolution: 2008-2009

En 2009, le fonds de roulement de Douja Promotion Groupe Addoha s’élève à 4 974 Mdh enregistrant une croissance de 7,3% par rapport à 2008 L’activité de Douja Promotion Groupe Addoha induit un niveau de BFR toujours élevé, et supérieur au fonds de roulement affectant ainsi la trésorerie nette en fin d’exercice qui ressort en 2009 à -3,0 Mrds Dh.

Page 221: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

2007 2008 2009

FDR 4071677434.82 4636482068.87 4973741605.51

BFR 6387696592.07 7656189987.57 7978315592.43

trésorerie nette

-2316019157.25 -3019707918.7 -3004573986.92 (3,000,000,000.00)

(1,000,000,000.00)

1,000,000,000.00

3,000,000,000.00

5,000,000,000.00

7,000,000,000.00

9,000,000,000.00

FDRBFRtrésorerie nette

Page 222: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Le chiffre d’affaire Element 2007 2008 2009 var 07-08 var 08-09Ventes de bien et services produits 2039014 2566409 3116903Ventes de marchandises (en l'état) 166276Chiffre d'Affaire 2039014 2566409 3283179 26% 28%

Page 223: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Au titre de l’exercice 2008, le chiffre d’affaires réalisé dans le segment économique s’établit à 2 032 Mdh en hausse de 26% par rapport à 2007.

Au titre de l’exercice 2009, le chiffre d’affaires de Douja Promotion s’établit à près de 3,3 milliards de dirhams en progression de 28% par rapport à l’exercice antérieur.

Évolution: 2007-2008

Évolution: 2008-2009

Page 224: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Valeur ajoutéeelements 2007 2008 2009

MARGE BRUTE SUR VENTES EN L'ETAT 166276PRODUCTION DE L'EXERCICE 2023757 3424504 3876512Marge commeriale 2023756 3424468 4042788Achat consommés de matiéres et fournitures 1285287 2513939 3029692Location et charges locatives 866 1885 3892Redevance crédit-bail 17403 16615 14815Entretien et réparations 2914 5767 10167Prime d'assurances 641 935 1156Rémunération du personnel extérieur a Ese 1 0 0Rémunération d'intérmidiaire et honoraires 5199 14464 19687Redevance pour brevet,marque,droits 0 0 0Transport 2328 2996 2904Déplacements,missions et réceptions 6003 8048 9564Reste du poste des autres charges externes 30587 42147 37987CONSOMMATION DE L'EXERCICE 1351230 2606796 3129863valeur ajoutée 672526 817672 912925Valeur ajoutée/Chiffre d'affaire 33% 32% 28%

2007 2008 2009Chiffre d'Affaire 2039014 2566409 3283179valeur ajoutée 672526 817672 912925

La valeur ajoutée enregistre une forte hausse de 22% s’établissant à 818 Mdh en 2008 et une croissance de 12% s’établissant à 913 Mdh en 2009 justifié par l’egmentation de production et de consommation.

Page 225: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

L’EXCEDENT BRUT D’EXPLOITATION

L’excédent brut d’exploitation enregistre une croissance significative de 20% et s’élève en 2008 à 749 Mdh vs 626 Mdh au titre de l’exercice 2007. Cette augmentation est justifiée principalement par la croissance de la valeur ajoutée de 22% sur la période qui s’établit à 818 Mdh en 2008 vs 673 Mdh en 2007.

L’excédent brut d’exploitation enregistre une hausse de 8% et s’élève en 2009 à 808 Mdh vs 749 Mdh au titre de l’exercice 2008. Cette progression s’explique principalement par la croissance de la valeur ajoutée de 12% sur la période qui ressort à 913 Mdh en 2009 vs 818 Mdh en 2008 et à la hausse de 50% des charges de personnel qui s’établissent à 101 Mdh en 2009 vs 67 Mdh en 2008.

Évolution: 2008-2009

Évolution: 2007-2008

2007 2008 2009 Var 08-09 Var 09-10626231 748894 807973 20% 8%EXEDENT BRUT D'EXPLOITATION (EBE)

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La CAF

Au titre de l’exercice 2008, la capacité d’autofinancement s’élève à près de 469 Mdh, en recul notable de 18% par rapport à l’exercice antérieur, en raison principalement du repli de 19% du résultat net sur la période.L’autofinancement s’établit à près de 43 Mdh en repli significatif de 81% par rapport à l’exercice antérieur s’expliquant par l’augmentation de la distribution de bénéfices de 26% qui s’établit à 425 Mdh vs 338 Mdh en 2007 et par la baisse de la capacité d’autofinancement de 18%.

Évolution: 2007-2008

Elements/ Année

1 555,403 451,253 790,831 -19% 75%13,939 17,297 19,906 24% 15%

43,224 + 6 -100%+

+

-

- 34,557 - 34,122 1 - 568,913 468,550 853,962 -18% 82%+ 337,500 425,250 425,250 26% 0%

231,413 43,300 428,712 -81% 890%Distributions de bénéfices

AUTOFINANCEMENT

Variation 07-08

CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT (C.A.F) - AUTOFINANCEMENT

2007 2008

Resultat net de l'exercice

Dotations d'exploitations (1)

Dotations financieres (1)

Dotations non courantes (1)

Reprises d'exploitations (2)

Reprises Financiéres (2)

Reprises non courants (2) (3)

Produits des cessions d'immobilisations

Valeurs nettes d'amort.des immob.cédées

CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT (C.A.F)

Variation 08-092009

Page 227: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Au titre de l’exercice 2009, la capacité d’autofinancement s’élève à près de 854 Mdh en hausse substantielle (+82%) par rapport à 2008 en raison principalement de la progression du résultat net (+75%) et des dotations d’exploitations (+15%) sur la période. L’autofinancement s’établit à près de 429 Mdh en croissance significative (>100%) par rapport à l’exercice antérieur s’expliquant par l’augmentation de la capacité d’autofinancement et le maintien de la distribution de bénéfices au même niveau que 2008, soit 425 Mdh.

Elements/ Année

1 555,403 451,253 790,831 -19% 75%13,939 17,297 19,906 24% 15%

43,224 + 6 -100%+

+

-

- 34,557 - 34,122 1 - 568,913 468,550 853,962 -18% 82%+ 337,500 425,250 425,250 26% 0%

231,413 43,300 428,712 -81% 890%Distributions de bénéfices

AUTOFINANCEMENT

Variation 07-08

CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT (C.A.F) - AUTOFINANCEMENT

2007 2008

Resultat net de l'exercice

Dotations d'exploitations (1)

Dotations financieres (1)

Dotations non courantes (1)

Reprises d'exploitations (2)

Reprises Financiéres (2)

Reprises non courants (2) (3)

Produits des cessions d'immobilisations

Valeurs nettes d'amort.des immob.cédées

CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT (C.A.F)

Variation 08-092009

Évolution: 2008-2009

Page 228: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Analyse par les RatiosLes ratios d’activité:La valeur ajoutée/Chiffre d’affaire:

2007 2008 2009Chiffre d'Affaire 2039014 2566409 3283179valeur ajoutée 672526 817672 912925Valeur ajoutée/Chiffre d'affaire 33% 32% 28%

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Délais de paiement des fournisseurs (jours d'achats): Fournisseurs et Comptes rattachés*360/(Achats TTC + charges externes TTC)

Les délais de paiement des fournisseurs ont également enregistré une progression sur la période, s’établissant à 184 jours d’achats en 2009 contre 85 jours en 2007.

2007 2008 2009 Var 07-08 Var 08-09Délais de paiement des fournisseurs (jours d'achats) 85 164 184 93% 12%

Page 230: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Délais de règlement des clients (jours de CA)Clients et Comptes rattachés*360/(Chiffre d’affaires TTC)

Au titre de l’exercice 2009, les délais de règlement des clients s’établissent à 142 jours de chiffre d’affaires contre respectivement 144 jours de CA et 118 jours de CA en 2008 et 2007.

2007 2008 2009 Var 07-08 Var 08-09Délais de règlement des clients (jours de CA) 118 144 142 21,8% -14%

Page 231: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

La rentabilitéREX/CA:

2007 2008 2009 Var 07-08 Var 08-09REX/CA) 30,7% 28,8% 24,1% -1,9 'pts -4,6 pts

La marge opérationnelle ressort à 24,1% vs 28,8% au titre de l’exercice précédent lié à une croissance plus forte du chiffre d’affaires que celle du résultat d’exploitation sur la période 2008-2009.

RN/CA: marge nette

2007 2008 2009 Var 07-08 Var 08-09

(RN/CA 27,2% 17,6% 24,1% -9,7 pts 6,5 pts

Page 232: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

la structure 2007 2008 2009

4,071,677,434.82 4,636,482,068.87 4,973,741,605.51 6,387,696,592.07 7,656,189,987.57 7,978,315,592.43 2,316,019,157.25- 3,019,707,918.70- 3,004,573,986.92-

FDRBFR

trésorerie nette

• En 2008, le BFR s’établit à 7 656 Mdh en hausse de 19,9% par rapport à l’exercice précédent.

• En 2009, le BFR s’établit à 7 978 Mdh en hausse de 4,2% par rapport à l’exercice précédent.

• Le rapport FR/BFG s’établit ainsi à 60,6% contre 63,7% en 2007, soit un repli de 3,2 points.

• Le rapport FR/BFG s’établit ainsi à 62,3% contre 60,6% en 2008, soit une amélioration de 1,8 point.

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Conclusion:

Page 235: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Source de recherchehttp://www.groupeaddoha.com/http://www.mhu.gov.ma/Pages/default.aspxCours S5 Analyse financière /M.elbermaki Note d’information du 21 juillet 2010 sous la référence

n°VI/EM/032/2010

Page 236: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Réaliser par:

Ahmed FAKHRI

Zakaria AROUBITE

Micheldy HAUGEN

Analyse de la situation financière de la COMPAGNIE

GÉNÉRALE IMMOBILIÈRE

Parain du projet: Mr.ELBERMAKI

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introductionI. Analyse bilancielle des bilans(sociaux):

1. Dépouillement des trois bilans (2009-2008-2007) 2. Les commentaires3. Le bilan fonctionnel(2009-2008-2007)4. Les commentaires5. Le TFR (2007-2008-2009)

II. Analyse par les ratios1. Les commentaires

Conclusionbibliographie

PLAN:

237

Page 238: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

238

L’ANALYSE BILANCIELLE

Au niveau des immobilisations incorporelles, et plus précisément les autres immobilisations, on décèle une forte augmentation de 40% entre 2008 et 2009, et 20% entre 2007 et 2008.Les immobilisations corporelles ont connu une grande variation soit une baisse de 42% et une baisse de 1% durant les 3 exercices.Les immobilisations financières ont connu une hausse de 56% entre2007 et 2008 et de 36% par la suite. Les stocks quand à eux ne sont pas du tout stables. Ils baissent dans le temps d’une façon plus ou moins significative.Quant aux créances de l’actif circulant, elles ont connu une importante augmentation entre 2007 et 2008 de 32% et elles ont continué a augmenté entre 2008 et 2009 avec 92%. La gestion des modes de paiement est à revoir.On constate également une baisse des écarts de conversion actif entre 2009 et 2010 de 12%.ces derniers ont énormément baissé par rapport à 2008 ou ils avaient dégagé une baisse de 68%.

Page 239: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

239

L’ANALYSE BILANCIELLE

La trésorerie actif a subit une augmentation de 15% entre 2008 et 2009 après une baisse entre 2007 et 2008 de 32%. Cela est dû principalement au déficit que subit la banque, la trésorerie générale, les chèques et valeurs à encaisser.L’actif dans sa totalité a augmenté, quittant de 5,055,947,000 en 2007 à 6,601,566,681,19 en 2008 et à 8,301,866,209,75 en 2009.Les capitaux propres d’Alliances n’ont pas subi d’importantes variations au cours des 3 années. On observe juste qu’entre 2009 et 2008 une augmentation de 7% des capitaux propres.Au niveau des dettes du passif circulant, l’augmentation fulgurante se situe au niveau des comptes de régularisation du passif avec 877% entre 2008 et 2009.La trésorerie quand à elle, a dégagé des résultats insuffisants entre 2007 et 2008 soit une augmentation de 1486% .Et par la suite une augmentation de 100% en 2009 par rapport à 2010.

Page 240: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

240

L’ANALYSE DU CPC

Les produits d’exploitation de la CGI ont connu une augmentation entre 2007 et 2008 de 11% et de 27% entre 2008 et 2009Au niveau des charges d’exploitations, plus précisément les dotations d’exploitation, on décèle une forte augmentation de 172% entre 2007 et 2008, mais au contraire entre 2008 et 2009 ont connu une baisse de 21%.Donc on constate que le résultat d’exploitation a connu Une stabilité durant les 3 exercices Les produits financiers ont connu une forte augmentation entre 2008 et 2009 de 422% et de 58% entre 2007 et 2008.Pour Les charges d’exploitation a connu une augmentation significative entre 2007 et 2008 de 769 Par contre sa Variation de 2009 est Nulle Les charges non courants n’ont pas continu la forte l’augmentation de 974% entre 2007 et 2008 elle devenu 2% entre 2008 et 2009

Page 241: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

LE BILAN FONCTIONNEL2007 2008 2009 var 07-08 var 08-09

4,002,252,000.00 4,130,470,808.62 4,409,389,439.27 3,664,000.00 1,595,041.78 20,431,144.90

- - - - - -

17,522,000.00 17,787,221.97 73,849,398.44 4,023,438,000.00 4,149,853,072.37 4,503,669,982.61 3% 9%

60,420,000.00 45,314,646.37 30,209,764.242,495,000.00 1,830,147.09 2,379,128.10

13,867,000.00 19,734,250.84 19,454,152.99 572,315,000.00 890,774,374.23 1,213,670,614.11

3,374,341,000.00 3,192,199,653.84 3,237,956,323.17 -5% 1%4,121,672,000.00 5,450,023,690.19 6,812,649,211.41 1,002,912,000.00 1,982,308,233.07 2,859,817,216.09 3,118,760,000.00 3,467,715,457.12 3,952,831,995.32 11% 14%

255,581,000.00 275,515,803.28- 714,875,672.15- -208% 159%

Element/Excercice

BFRTrésorerie nette

immob corpimmob finFDR FONCTTotal actif circulant Total Passif circulant

+engagement crédit bail+prov durables pour R et C=capitaux permanentimmob NVimmob inco

*CP+cap P ass+avance recus des assosié+emprunt obligatoir+autre dette de fin

241

Page 242: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

2007 2008 2009 var 07-08 var 08-09Element/Excercice

Évolution: 2007-2008

LE BFR :

3,118,760,000.00 3,467,715,457.12 3,952,831,995.32 11% 14%BFR

En 2008, le BFR s’établit à 3 468 Mdh en hausse de 11% par rapport à l’exercice précédent, justifié notamment par les éléments suivants :• une hausse du poste clients et comptes rattachés (+100%) qui s’établit à 53

Mdh vs 7 Mdh en 2007.

242

Page 243: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

2007 2008 2009 var 07-08 var 08-09Element/Excercice

LE BFR :

Évolution: 2008-2009

3,118,760,000.00 3,467,715,457.12 3,952,831,995.32 11% 14%BFR

En 2009, le BFR s’établit à 3952 Mdh en hausse de 14% par rapport à l’exercice précédent, justifié notamment par les éléments suivants :• une hausse du poste clients et comptes rattachés (+100%) qui s’établit à 1052 Mdh vs 53

Mdh ;• une progression du poste autres débiteurs (+100%) qui s’élève à 891 Mdh vs 433 Mdh en

2008 constituée principalement de dividendes à verser et d’avances en comptes courants d’associés.

243

Page 244: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

LE FDR :

2007 2008 2009 var 07-08 var 08-09Element/Excercice

Évolution: 2007-2008

3,374,341,000.00 3,192,199,653.84 3,237,956,323.17 -5% 1%FDR FONCT

En 2008, le fonds de roulement de la CGI s’élève à 4 636 Mdh enregistrant une baisse notable (5%) par rapport à l’exercice précédent en raison principalement de la croissance des immobilisations de 48%Soit 957 Mdh en 2008.

En 2009, le fonds de roulement s’élève à 3 237 Mdh enregistrant une croissance de 1 % par rapport à 2008

Évolution: 2008-2009

244

Page 245: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

245

LE FDR ; LE BFR ; LA TRÉSORERIE NETTE

Page 246: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

246

En 2008 L’activité induit un niveau de BFR élevé par rapport au fonds de roulement affectant la trésorerie nette en fin d’exercice qui ressort à -275 Mdh contre 255 Mdh en 2007.En 2009 le niveau de BFR toujours élevé, et supérieur au fonds de roulement affectant ainsi la trésorerie nette en fin d’exercice qui ressort en 2009 à -715 Mdh.

2007 2008 variation 07-08 2009 var 08-093,374,341,000.00 3,192,199,653.84 -5% 3,237,956,323.17 1%3,118,760,000.00 3,467,715,457.12 11% 3,952,831,995.32 14%255,581,000.00 275,515,803.28- 2.08- 714,875,672.15- 1.59

FDRBFR

T.NETTE

element

Page 247: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

247

Elements 2007 2008 2009 var07-08 var 08-09CA 926986000 1,189,062,000.00 1,607,290,000.00 28% 35%

CHIFFRE D’AFFAIRE

Page 248: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

248

Au titre de l’exercice 2008, le chiffre d’affaires réalisé dans le segment économique s’établit à 1.1 milliards de dirhams en hausse de 28 % par rapport à 2007.

Au titre de l’exercice 2009, le chiffre d’affaires de CGI s’établit à près de1.6 milliards de dirhams en progression de 35% par rapport à l’exercice antérieur.

Évolution: 2007-2008

Évolution: 2008-2009

CHIFFRE D’AFFAIRES

Elements 2007 2008 2009 var07-08 var 08-09CA 926986000 1,189,062,000.00 1,607,290,000.00 28% 35%

Page 249: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

249

1,877,959,652.95 2,162,883,652.95 2,477,326,380.14 15.2% 14.54%PRODUCTION DE L'EXERCICE : (3+4+5)

1,656,513,840.36 1,768,432,840.36 2,320,184,031.29 7% 31%CONSOMMATION DE L'EXERCICE :(6+7)

221,445,812.59 394,450,812.59 157,142,348.85 78% -60%VALEUR AJOUTEE (I+II+III)

La valeur ajoutée enregistre une forte hausse de 78% s’établissant à 394 Mdh en 2008 et une baisse de 60% s’établissant à 157 Mdh en 2009 justifié par l’augmentation de la consommation (31%)

Var 07-08 Var 08-092007Elements/ Année 2008 2009

LA VALEUR AJOUTÉE

Page 250: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

250

0100200300400500600700800900

1,0001,1001,2001,3001,4001,5001,6001,7001,800

2007 2008 2009

0

50

100

150

200

250

300

350

400

450

500

550

600

650

700Chiffre d'affaire la valeur ajoutée

LA VALEUR AJOUTÉE

Page 251: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

251

182,443,456.86 327,756,456.86 76,325,435.80 80% -77%EXEDENT BRUT D'EXPLOITATION (EBE)

L’excédent brut d’exploitation enregistre une croissance significative de 80% et s’élève en 2008 à 327 Mdh vs 182 Mdh au titre de l’exercice 2007. Cette augmentation est justifiée principalement par la croissance de la valeur ajoutée de 78% sur la période.

L’excédent brut d’exploitation enregistre une baisse de 77% et s’élève en 2009 à 76 Mdh vs 327 Mdh au titre de l’exercice 2008. Cette diminution s’explique principalement par le recul de la valeur ajoutée de 60% sur la période.

Évolution: 2008-2009

Évolution: 2007-2008

Var 07-08 Var 08-092007Elements/ Année 2008 2009

Page 252: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

252

1 1 254049 327575 5550392 + 18587 23206 793664 + 25005 - 4797 4500 43757 - 1758 2069 8488 - 22916 239800 2350009 + 4747 110450 110150

250,412.00 214,862.00 504,333.00 I 10 - 80000 199356 276120

170412 15505 228213Distributions de bénéfices

AUTOFINANCEMENT

Reprises d'exploitations (2)

Reprises non courants (2) (3)

Produits des cessions d'immobilisations

Valeurs nettes d'amort.des immob.cédées

CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT (C.A.F)

2009Elements/ AnnéeResultat net de l'exercice

Dotations non courantes (1)

2007 2008

Dotations d'exploitations (1)

La capacité d’autofinancement de la CGI s’établit à 250 Mdh en 2007, 215 Mdh en 2008 et 504 MDH en 2009, soit un TCAM de 60%.L’autofinancement de la CGI s’établit à 170 Mdh en 2007, 15,5 Mdh en 2008 et 228 Mdh en 2009.

LA CAPACITÉ D’AUTOFINANCEMENT

Page 253: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

253

L’ANALYSE PAR LES RATIOS

Délais de paiement des fournisseurs (jours d'achats): Fournisseurs et Comptes rattachés*360/(Achats TTC + charges externes TTC)

Délais de paiement frs (en jours d'achats) 2007 2008 2009 VAR 07-08 VAR 08-0950 94 139 88% 48%

Les délais fournisseurs s’établissent à 139 jours d’achats en 2009 contre 94 jours en 2008 et 50 jours en 2007.

Page 254: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

254

L’ANALYSE PAR LES RATIOS

Délais de règlement des clients (jours de CA) Clients et Comptes rattachés*360/(Chiffre d’affaires TTC)

Délais de règlement des clts (en jours de CA) 2007 2008 2009 VAR 07-08 VAR 08-0963 136 196 116% 44%

Les délais de règlement des clients ressortent à 196 jours de chiffre d’affaires contre 136 en 2008 et 63 en 2007.

Page 255: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

255

L’ANALYSE PAR LES RATIOS

Variation l'autonomie financiére CP/Passif- 2007 4.0

-48% 2008 2.1-26% 2009 1.5

La liquidité réduite R1 = Actif circulant-Stock/Passif circulant2008 2.14

-41% 2009 1.26 -18% 2010 1.04

l’autonomie financière :

La liquidité réduite :

Page 256: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

256

Conclusion

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257

Site web:www.cgi.mawww.cdg.mahttp://www.cdgdev.ma

Notes d’information:La Note d’information du 14 décembre 2010, sous la référence VI/EM/049/2010.La Note d’information du le 12 juillet 2007, sous la référence VI/EM/023/2007.Rapport annuel de 2009

LES SOURCES DE LA

RECHERCHE

Page 258: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

La comparaison entre Les situations financières de : ADDOHA, ALLIANCEs, CGI

Réalisé par: Ahmed FAKHRIZakaria AROUBITEMicheldy HAUGEN

Parain du projet: Mr.ELBERMAKI

Page 259: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

PLAN

I. La comparaison entre les situations financières:1. Le chiffre d’affaire2. Le fond de roulement 3. Le besoin de fond de roulement 4. La trésorerie nette5. La production 6. La consommation7. La valeur ajoutée8. L’excédent brut d’exploitation9. La capacité d’autofinancement10.Endettement net

Conclusion générale.

Page 260: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

LE CHIFFRE D’AFFAIRE:

var07-08 var08-09 var09-1026% 28%28% 35%

-9% 57%

Page 261: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

LE FDR :var07-08 var08-09 var09-10

14% 7%-5% 1%

5% 36%

Page 262: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

LE BFRvar07-08 var08-09 var09-10

20% 4%11% 14%

11% 45%

Page 263: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

LA TRÉSORERIE NETTE var07-08 var08-09 var09-10

30% -1% -100%-208% 159% -100%

-5998% 207%

Page 264: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

LA PRODUCTION

0.00

500,000,000.00

1,000,000,000.00

1,500,000,000.00

2,000,000,000.00

2,500,000,000.00

3,000,000,000.00

3,500,000,000.00

4,000,000,000.00

ADDOHA 2,023,757,00 3,424,504,00 3,876,512,00

CGI 1,877,959,65 2,162,883,65 2,477,326,38

ALLIANCES 586,160,913. 459,962,764. 737,436,432.

2007 2008 2009 2010

var07-08 var08-09 var09-1069% 13%15% 15%

-22% 60%

Page 265: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

LA CONSOMMATION

0.00

500,000,000.00

1,000,000,000.00

1,500,000,000.00

2,000,000,000.00

2,500,000,000.00

3,000,000,000.00

3,500,000,000.00

ADDOHA 1,351,230,00 2,606,796,00 3,129,863,00

CGI 1,656,513,84 1,768,432,84 2,320,184,03

ALLIANCES 521,897,786. 451,943,068. 677,516,580.

2007 2008 2009 2010

var07-08 var08-09 var09-1093% 20%

7% 31%-13% 50%

Page 266: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

LA VALEUR AJOUTÉE

0

200000000

400000000

600000000

800000000

1000000000

1200000000

1400000000

ALLIANCES 64263127 8019695.76 59919852.7

CGI 221,445,812 394,450,812 157,142,348

ADDOHA 672526000 817672000 912925000

2007 2008 2009 2010

var07-08 var08-09 var09-1022% 12%78% -60%

-88% 647%

Page 267: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

EBE

-100% -50% 0% 50% 100%

07-08

08-09

09-10

ADDOHA CGI ALLIANCES

ALLIANCES -50% 47%

CGI 80% -77%

ADDOHA 20% 8%

07-08 08-09 09-10

var07-08 var08-09 var09-10-60% -100%

-196% -100%-195% -100%

Page 268: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

LA CAF

0

100000000

200000000

300000000

400000000

500000000

600000000

700000000

800000000

900000000

ALLIANCES 115,031,228 21,850,965. 147,199,589

CGI 250,412.00 214,862.00 504,333.00

ADDOHA 568913000 468550000 853962000

2007 2008 2009 2010

Page 269: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

ENDETTEMENT NET

2

1 1

4

2 22

1 1

0

0.5

1

1.5

2

2.5

3

3.5

4

4.5

ADDOHA 2 1 1

CGI 4 2 2

Histogramme 3 2 1 1

1999 2000 2001 2002

Page 270: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

CONCLUSION

Au terme de ce travail on peut dire que le secteur BTP est un réel levier de l’économie nationale en matière de renforcement des infrastructures de base, de promotion de l’investissement, et de création de richesses et d’emplois.Dans ce contexte les entreprises marocaines de BTP doivent saisir les opportunités constituer par le plan lancé par le gouvernement marocain qui a objectif se structurer et favoriser l’émergence d’entreprises performante et compétitives.L’objectif de ce travail a été donc de mettre en évidence les spécificités du secteur et analysé la santé financière 3 entreprises et suivre ses évolutions sur 3 années successives.

Page 271: Le groupe du travail Zakaria AROUBITE Ahmed FAKHRI Micheldy HAUGEN

Nous avons calqué l’élaboration de ce projet sur la méthodologie de recherche que nous avons adopté et sur les objectifs que nous avons assignés à ce travail.la première partie du travail a été consacré à la présentation du secteur BTP et son cadre comptable et fiscal appliqué. Ensuite nous avons vu que ce secteur est régi par un cadre juridique particulier (passation des marchés, garanties, les intervenant), et des règles comptables et fiscales propres(les comptes, les dérogations, comptabilisation du résultat a l’achèvement, les provisions, l’incorporation de certaines charges).En second lieu nous avons présenté les entreprises qui font l’objet de l’analyse financière.C’est dans ce cadre que la deuxième partie s’établisse pour analyser la situation financière des 3entreprises :ADDOHA ,ALLIANCES , CGI ;Nous avons enfin conclus par la comparaison analytique entre ces dernières entreprises Nous avons effectué des choix, des interprétations et des analyses concrètes, qui n’emporteront peut-être pas l’unanimité mais qui, nous l’espérons, auront suscité l’engagement du lecteur.