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Le guide pratique des gestes quotidiens éco ... · Fruit d’un travail collectif approfondi, ce guide pratique des gestes ... Je trie mes déchets et je dépose les petites fournitures

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Le guide pratique Le guide pratique Le guide pratique Le guide pratique des gestes quotidiens des gestes quotidiens des gestes quotidiens des gestes quotidiens écoécoécoéco----responsablesresponsablesresponsablesresponsables

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Sommaire

� Introduction p 3

◦ Le mot du directeur

◦ Le commentaire du groupe de travail : se mobiliser

� Le papier p 4

� L’électricité, le chauffage, l’éclairage p 5

� L’eau, une ressource à protéger p 6

� Les fournitures de bureau p 7

� Les déplacements p 8

� Les déchets p 9

� Les différents labels p 10

� La santé p 11

� L’alimentation p 12

� Les pauses café, déjeuner p 13

� Le jardin p 14

� Les vacances p 15

� Sport et environnement p 16

� L’engagement associatif p 17

� Je calcule mon empreinte écologique p 18

� Une journée éco-responsable p 19

� Remerciements p 20

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IntroductionIntroductionIntroductionIntroduction

� Le mot du Directeur

Fruit d’un travail collectif approfondi, ce guide pratique des gestesquotidiens écoresponsables, que j’ai le plaisir de préfacer, présente tous lespetits actes de la vie quotidienne qui concourent à la maîtrise de notreconsommation, au sein de l’entreprise comme à son propre domicile.

Le nombre de recommandations peut sembler vertigineux, mais regardez-bien : beaucoup des bonnes pratiques qui figurent dans ce guide sont d’oreset déjà intégrées à notre comportement quotidien.

Alors, pas de panique !

Lisez-le, regardez les bénéfices conjugués que nous pouvons en tirer, (sur unplan personnel comme sur un plan collectif), économies d’énergie etallègement des factures, recyclage et aide aux personnes en difficultés,…

Pas de culpabilité non plus, une des conditions de réussite de l’éco-responsabilité, c’est le caractère non punitif de la démarche.

Alors, imprégnez-vous, allez à votre rythme, expérimentez, évaluez,n’abandonnez pas votre sens critique, et changez… ou pas !

Joël Quiniou

� Se mobiliser pour passer des

engagements aux actes

Le concept de développement durable n’est pas réservé auxforums internationaux. Chacun, à son niveau peut agirconcrètement.

Face aux défis environnementaux, nous devons nous engagerpas à pas vers de nouveaux modes de consommation, plussobres en ressources naturelles.

Pour répondre à ces enjeux, notre caisse a initié, depuisplusieurs années, une démarche RSO forte; la partager avecl’ensemble des salariés est important.

Agir pour l’environnement c’est moins polluer et multiplier lessources d’économies en optimisant nos consommations d’eau,d’électricité, de papier, en recyclant nos déchets, en rénovantnos modes de transports et nos façons d’acheter et deconsommer…

Ce guide contient des gestes simples et utiles, au quotidien,pour changer de comportement peu à peu, au bureau commeà la maison.

Vous avez plus de pouvoir sur l’environnement que vous ne lepensez,

ALORS, RELEVEZ LE DEFI, ET SUIVEZ LE GUIDE!

Les membres du groupe de travail

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Le papierLe papierLe papierLe papier

� Au bureau

� J’évite de tout imprimer et je n’imprime mes mails que s’ils nécessitent unetrace écrite

� J’imprime uniquement les parties du document qui m’intéressent� J’effectue mes corrections à l’écran� J’imprime en noir et blanc, en recto verso, en deux pages par page y compris

pour les diaporamas et je réduis les marges de mon document� Je joins une liste de diffusion à un document imprimé, plutôt que d’en imprimer

plusieurs exemplaires� Au sein du service, si j’ai besoin d’un document imprimé, je crée une

bibliothèque de documents pour le partager avec les collègues et éviter lesimpressions multiples

� J’utilise les enveloppes navettes à usage multiple pour les transferts dedocuments en interne

� Je favorise les courriers et les invitations par mails, en évitant la doublure papier� Je fais configurer les imprimantes et les photocopieurs de mon service en

recto/verso et en qualité brouillon� Je duplique mes documents à partir des imprimantes photocopieurs plutôt que

de l’imprimante individuelle� Je réutilise les versos non imprimés comme brouillon� Je respecte les consignes de tri sélectif et je dépose le papier à jeter, sans le

froisser, dans la poubelle réservée à cet effet� J’utilise l’archivage électronique pour mes documents� Je réutilise les chemises, les boites à archives, les dossiers suspendus lorsqu’ils

sont en état� Je n'imprime pas mes billets de train, d'avion, mes réservations d'hôtel, mais je

les enregistre sur mon smartphone, ma tablette, pour les présenter auxprestataires qui les acceptent sous ce format

� A la maison

� J’appose un autocollant « Stop Pub » sur maboite aux lettres

� Je crée une poubelle « spéciale papier »� Je dépose tous les papiers dans les bacs

réservés à cet effet ; inutile de retirer lesagrafes, spirales, …, elles seront enlevées lorsdu processus de recyclage

� Je me désinscris des listes de diffusiond’informations qui ne m’intéressent pas ouplus

� J’utilise du papier écolabellisé de qualitéenvironnementale, des boites et des classeursen carton recyclé

� Je choisis un papier léger (80 g/m² aumaximum)

� Je diminue les marges de mes documents etje choisis des polices de caractères adaptées

� Je n'imprime pas mes billets de train, d'avion,mes réservations d'hôtel ou de vacancesélectroniques, mais je les enregistre sur monsmartphone, ma tablette, pour les présenteraux prestataires qui les acceptent sous ceformat

� J’imprime en recto/verso et qualité brouillon� Je réutilise les versos non imprimés comme

brouillon et pour mes listes de courses parexemple

� J’utilise l’archivage électronique pour mesdocuments

� Je réutilise les chemises et les boites àarchives lorsqu’elles sont en état

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Comme tout produit, le papier est générateur d’impacts sur l’environnement tout au long de son cycle de vie. Le recyclage du papier est un réel enjeuéconomique et écologique : tous les papiers se trient et se recyclent au moins cinq fois. Il nous faut donc traquer le gaspillage et consommer lepapier de façon raisonnée.

L’éclairage L’éclairage L’éclairage L’éclairage ---- L’électricité L’électricité L’électricité L’électricité ---- Le chauffage Le chauffage Le chauffage Le chauffage

� Au bureau

Si je suis le dernier à partir, je fais le tour du service pour tout éteindre

Eclairage

� J’éteins la lumière lorsque la lumière naturelle est suffisante, et àchaque fois que je quitte une pièce (bureau, salle de réunion, locauxcommuns,…)

� J’évite de cumuler les sources de lumière artificielle (plafonnier et lampeindividuelle) et je choisis celle la plus adaptée à ma situation

Matériel informatique

� Quand je m’absente, j’éteins mon écran et quand je pars en fin dejournée j’éteins l’ensemble du matériel informatique : écran, unitécentrale, imprimante, scanner,… Si le matériel est branché sur une multiprise avec interrupteur, je coupe le courant grâce à cet interrupteur

� Si j’ai une imprimante personnelle, je l’allume uniquement si j’ai besoind’imprimer

� Pour les impressions en grande quantité, je privilégie l’imprimantephotocopieuse de l’imprimerie qui est moins consommatrice d’énergieque l’imprimante du service

� J’évite de laisser le matériel en veille et je débranche les chargeurs ettransformateurs lorsqu’ils ne sont plus utilisés

Chauffage

� En hiver, je ferme les portes du bureau pour y conserver la chaleur, jem’habille un peu plus chaudement

� En hiver je peux aérer le bureau pendant 5 à 10 minutes, en privilégiantles heures les plus chaudes de la journée et après avoir coupé lechauffage

� S’il fait trop chaud dans mon bureau, je baisse le thermostat et j’informel’administration générale; s’il y fait trop froid, j’informe l’administrationgénérale et j’évite de brancher un appareil d’appoint

� A la maison

Je m’intéresse aux énergies renouvelables : électricité verte,énergie solaire, le bois, les éoliennes, la géothermie…Je choisis mon fournisseur d’énergie en comparant les offres

Eclairage

� J’éteins la lumière dès que je quitte une pièce et je privilégie lalumière du jour en m’installant à proximité d’une fenêtre pour lireou travailler

� J’adapte la puissance des lampes à mes besoins et je les choisis« basse consommation »

� Je dépoussière régulièrement les lampes pour augmenter leur fluxlumineux

Appareils électriques

� Je fais la chasse aux petites lumières rouges et j’éteins tous lesappareils en veille; je débranche chargeurs et transformateurs nonutilisés

� J’installe des multiprises avec interrupteur pour faciliter l’arrêt desappareils électriques

� Je choisis les bons appareils électroménagers en me référant àl’étiquette énergie

� Je choisis les heures creuses pour faire fonctionner certainsappareils

� Je remplis complètement les appareils de lavage avant de lesdémarrer

� Je préfère le séchage à l’air libre; je peux pré-sécher mon linge àl’air libre et parfaire le séchage dans le sèche-linge, pour diminuerfortement sa consommation

Chauffage

� Je lutte contre les déperditions de chaleur : isolation, doublevitrage, rideaux et volets

� J’installe un système de régulation et j’adapte la température à monactivité (19° dans les pièces principales, 16° dans les chambres)

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La production de l’énergie nécessaire à notre quotidien a un impact majeur sur l’environnement. Pour diminuer notre consommation trois grandsprincipes : sobriété (traquer et diminuer les gaspillages), efficacité (choisir les équipements les plus économes) et substitution (remplacer les énergiesles plus polluantes).

L’eau, une ressource à protégerL’eau, une ressource à protégerL’eau, une ressource à protégerL’eau, une ressource à protéger

Au bureau

� Je privilégie l’eau froide pour me laver les mains

� Je ferme le robinet pendant que je me savonneles mains

� Je m’assure que les robinets sont bien ferméset qu’ils ne gouttent pas

� J’utilise le mode économique des chasses d’eau(les toilettes représentent 18% de la

consommation d’eau potable)

� Je ne jette rien dans les toilettes (cela créé des

difficultés à la station d’épuration) et j’utilise lespoubelles mises à disposition

� Je préviens l’administration générale si jeconstate un problème (fuite, pression trop

élevée ou insuffisante…)

� A la maison

� Je garde les mêmes réflexes qu’au bureau

� Je contrôle mon installation et je vérifie régulièrement qu’il n’y a pas de fuite

� Je protège mon compteur contre le gel et je le ferme pour toute absenceprolongée

� Je vérifie la pression de mon installation (à 3 bars, le débit est de 17l par minute, à

6 bars il passe à 25l par minute)

� J’agis sur les débits (mousseur hydro-économe, stop-douche, mitigeur

thermostatique, mécanisme double commande dans les toilettes,…)

� Je garde une bouteille d’eau au réfrigérateur, pour éviter de laisser couler l’eaulonguement au robinet en attendant qu’elle se rafraichisse

� Je ferme le robinet en me lavant les dents, en me rasant

� Je préfère la douche (60l pour 5 minutes) au bain (200l) et j’installe dans madouche un sablier

� Je ne démarre le lave-vaisselle et le lave-linge que lorsqu’ils sont pleins

� J’utilise des détergents biodégradables et je respecte les règles de dilution

� Je récupère les eaux de pluie

� J’arrose la pelouse pendant les heures les plus fraiches de la journée

� Je ne lave pas mon véhicule à la maison, ce qui est interdit par la loi (article 38-7

du code de Santé Publique), je vais dans une station de lavage qui retraite les eauxusées et optimise la consommation d’eau

� Je préfère utiliser la ventouse pour déboucher ou nettoyer un tuyau d’évacuation,j’évite ainsi les produits toxiques

� J’élimine le tartre dans les tuyaux grâce au vinaigre blanc chaud, qui remplace lesproduits dangereux

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L’eau, une ressource essentielle, en qualité comme en quantité. Précieuse, parfois rare, toujours fragile, il est essentiel de s’assurer au quotidien d’unequalité et d'une quantité d’eau suffisantes pour satisfaire nos usages. C’est pourquoi il faut l'utiliser de façon responsable pour la préserver, laprotéger.

Les fournitures de bureauLes fournitures de bureauLes fournitures de bureauLes fournitures de bureau

� Au bureau

� Avant de passer une commande de fournitures,◦ Je vérifie les stocks◦ Je fouille au fond de mes tiroirs et des armoires

pour voir s’il n’y a pas des fournitures oubliées◦ Je sollicite mes collègues◦ Je m’assure de l’utilité réelle de ces fournitures

� Je me satisfait de ce qui existe au catalogue desfournitures

� J’évite de stocker des fournitures, je commande enfonction des besoins réels sur la période considérée(semaine ou mois)

� Je conserve et je réutilise, dossiers, chemises,trombones, élastiques,…

� Je commande et j’utilise des blocs brouillon

� Je modère l’utilisation des surligneurs et descorrecteurs liquides qui contiennent des solvantsorganiques toxiques et des conservateurs nocifs

� Je ne mordille pas mes stylos, mes crayons, notammentceux qui sont recouverts d’un vernis constitué deproduits synthétiques

� Je sépare le papier de mes autres déchets et je recycleles cartouches d’encre

� Quand je réalise une opération de destruction desdossiers, je pense à récupérer les classeurs, les feuilletsmobiles et les chemises en bon état, pour leur donnerune seconde vie

� A la maison

� En règle générale, j’achète des produits◦ Recyclables et/ou recyclés (cartouches d’encre, papier)◦ Réutilisables ou rechargeables (stylos)◦ Durables et réparables◦ Efficaces dans leur utilisation

� Je privilégie les fournitures écologiques, pour protéger ma famille

� Je recherche les différents labels : écolabel européen, NF environnement,Ange bleu, Cygne blanc et ÖKO-TEST qui garantit l’absence de produitsnocifs pour la santé et l’environnement

� Je vérifie l’absence de PVC, de solvants, de vernis, de conservateur

� Je choisis des fournitures qui ne sont pas suremballées

� Je préfère◦ Les crayons en bois sans vernis◦ Les encres sans solvant chimique◦ Les cahiers et carnets avec une couverture en carton rigide◦ Les trombones en métal, non recouverts de plastique coloré◦ Les règles et taille-crayon en bois ou en métal, ni coloré, ni vernis◦ Les colles et les rouleaux adhésifs sans solvant et à base d’eau◦ Les feutres lavables, sans odeur, sans parfum, à base d’eau◦ Les gommes en caoutchouc naturel ou synthétique, non parfumées,

non teintées et sans étui, pour éviter un déchet supplémentaire◦ Les calculettes solaires, pour éviter les piles◦ Les CD réinscriptibles

� Je trie mes déchets et je dépose les petites fournitures de bureau depréférence en déchetterie, plutôt que de les mettre dans ma poubelle etje recycle mes cartouches d’encre en les déposant chez les revendeurs

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Que ce soit au bureau ou à la maison, on ne pense que très rarement au pouvoir que nous avons sur l’achat des fournitures de bureau. Elles ont eneffet un impact écologique fort sur la santé, mais également en termes d’achats et de déchets. Bien choisir ses fournitures, sans substances nocives,c’est important.

Les déplacementsLes déplacementsLes déplacementsLes déplacements

� Professionnels

� Si je prends un abonnement pour les transports encommun, ou la location d’un vélo proposé par unservice public (QUB ou BIBUS par exemple), monemployeur prend en charge 50% du montant del’abonnement

� Je viens au travail à pied, en vélo, en tram, en bus, entrain, selon mon lieu de résidence

� Pour les transports sur Brest, dans le cadre de monactivité, j’utilise la carte professionnelle Bibus

� Je privilégie les visioconférences pour diminuer mesdéplacements

� J’utilise les voitures de covoiturage entre Brest etQuimper

� Pour les trajets de moins de 120 km, je réserve la ZOE

� Je réserve ma voiture suffisamment de temps àl’avance et j’indique ma destination, le motif de montrajet et le nombre de personnes

� Je programme mes réunions sur une même journéepour diminuer mes déplacements

� Je réduis l’impact de mes déplacementsprofessionnels en voiture : conduite souple et alluremodérée, climatisation réservée aux longs trajets etaux journées les plus chaudes, moteur coupé quand jesuis à l’arrêt plus de 30 secondes

� J’évite d’utiliser ma voiture lors de la pause déjeuner

� J’utilise le car mis à ma disposition pour les réunionsgénérales

� Je covoiture avec mes collègues de travail pour lesdéplacements professionnels et les déplacementsdomicile/travail

Personnels

� Pour mes trajets de proximité, j’opte pour la marche à pied et je privilégie le parcours leplus adapté et le plus éloigné d’une route à fort trafic

� J’inscris mes enfants au Pédibus pour leurs trajets vers l’école

� J’explore les circuits touristiques pédestres de ma commune

� J’utilise le vélo pour des trajets un peu plus longs ; le vélo est le plus rapide des moyens dedéplacements en ville

� Je teste la location de vélos classiques ou à assistance électrique si elle existe dans macommune ; j’associe vélo et bus, vélo et train

� Pour mes déplacements urbains je prends les transports en commun, bus ou tram

� Je profite du développement de la multimodalité pour associer plusieurs modes detransports au cours d’un même déplacement : voiture individuelle, covoiturage, train, tram,bus, vélo, pied. Je profite des parkings relais

� Je prends le TER pour me déplacer entre deux communes et je monte dans le train avecmon vélo

� Pour un besoin ponctuel de voiture, je me tourne vers l’autopartage : un voiture pourplusieurs, dans un lieu donné

� J’organise le covoiturage avec mes amis : une voiture à plusieurs sur un parcours donné

� J’utilise ma voiture de façon adaptée à mes besoins et je garde mon véhicule en bon état

� Je réduis l’impact de mes déplacements: conduite souple et allure modérée, climatisationréservée aux longs trajets et aux journées les plus chaudes, moteur coupé quand je suis àl’arrêt plus de 30 secondes

� Je choisis ma voiture de façon raisonnée, avec une taille et une puissance adaptées à lacomposition de ma famille, selon ses émissions de CO2, son carburant, sa puissance

� Dans les grandes villes qui le proposent, je m’abonne à la voiture en libre service

� Pour aller en vacances je choisis le train ; c’est le moyen de transport longue distance lemoins énergivore et le moins polluant, en plus, je peux y mettre mon vélo en bagageaccompagné

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Les déplacements des personnes et des marchandises et l’utilisation massive de transports individuels dans des véhicules à moteur consommant descombustibles fossiles, génèrent des impacts pour l’environnement et l’aménagement des territoires. Les transports évoluent, notre pratique desdéplacements aussi, pour nous déplacer de façon plus durable et plus conviviale.

Les déchetsLes déchetsLes déchetsLes déchets

� Au bureau

� Je réduis les impressions papierau strict nécessaire

� Je recycle les piles, les mégots

� Je trie les déchets, je sépare lepapier et les produitsrecyclables des déchets ditsménagers

� Je tente le zéro déchet aurestaurant et/ou à la cantine

� Je participe aux collectes desjournées du don qui permettentde mettre en place des actionsde solidarité à partir d’articlesque j’aurais jetés

� A la maison

� J’ai un autocollant « Stop Pub » sur ma boîte aux lettres (je peux le commander sur le sitehttp://www.developpement-durable.gouv.fr)

� Les courses◦ Je vais faire mes courses avec des paniers et/ou des cabas réutilisables◦ J’achète à la coupe, au détail, en vrac, des fruits et des légumes moches◦ Je choisis les jus de fruit en bouteille de verre◦ Je privilégie les produits sans piles ou avec des piles rechargeables◦ Je prends des éco-recharges◦ Je préfère les produits les moins emballés et je choisis les emballages carton plutôt

que plastique◦ Je proscris les produits jetables (essuie-tout, filtre à café papier, papier alu,…),

vaisselle et couverts en plastique◦ J’utiliser des allumettes au lieu d’un briquet jetable◦ Je supprime les bouteilles d’eau au profit de l’eau du robinet◦ J'offre des cadeaux dématérialisés plus originaux qu’un cadeau peu apprécié qui

finira à la poubelle

� J’offre une seconde vie aux produits◦ Je troque les vêtements (vide dressing, boutique d’occasion, conteneurs des

associations, journées du don au travail)◦ Je relooke mes anciens meubles◦ Je donne livres, vêtements, meubles,…◦ Je bricole et je répare (ou je fais réparer) les appareils en panne◦ Je réutilise ce qui peut l’être (emballages durables, bocaux et récipients en verre)◦ Je loue ou j’emprunte le matériel que j’utilise occasionnellement◦ Je composte les déchets de cuisine◦ J’utilise les déchets de jardin (paillage, compostage)

� Je consulte des appli ou des adresses qui m’aident à réduire mes déchets◦ Checkfood : pour surveiller les dates de péremption◦ Guest Cooking : pour cuisiner les restes◦ OptiMiam : pour trouver des produits frais sous forme d’offres flash exclusives◦ www.crma.bzh/annuaire-reparacteurs : pour réparer au lieu de jeter

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Trier pour recycler nos déchets : le recyclage s’inscrit dans le cadre d’une économie circulaire et permet de passer d’une logique de gestion desdéchets à une logique de gestion des ressources. Il contribue à éviter le gaspillage de ressources naturelles et d’énergie, et diminue les impactsenvironnementaux.

S’y retrouver dans les différents labelsS’y retrouver dans les différents labelsS’y retrouver dans les différents labelsS’y retrouver dans les différents labels

� Au bureau

� La revue Du Nord au Sud affiche lelogo PEFC qui garantit une gestiondurable des forêts

� Des clauses de développementdurable sont intégrées dansl’ensemble des marchés passés parla Cpam

A la maison

� L’écolabel européen et l’étiquette énergie donnent des informations sur les consommations d’eau etd’énergie et permettent de choisir les appareils en fonction de leurs performances énergétiques. Leslogos environnementaux soulignent les critères d’utilisation de ressources renouvelables ou issues del’agriculture biologique, ou mettent en valeur une fabrication utilisant moins de gaz à effet de serre

� Energy Star concerne 14 catégories de produits dans le domaine des équipements de bureau. Ceux-cisont labellisés s’ils permettent de faire des économies d’énergie tout en conservant des caractéristiqueset un confort d’utilisation similaire à un produit non labellisé (ordinateurs, imprimantes,…)

� Pêche durable : ce logo apposé sur certains produits de la mer (vivants, frais ou réfrigérés) garantit queles produits certifiés respectent les critères d’une pêche durable

� Ecolabel français, la marque NF-Environnement certifie des produits qui présentent des impactsmoindres sur l’environnement et une aptitude à l’usage au moins équivalente à celle d’autres produitssimilaires

� L’Ecolabel européen, la « Fleur » est la certification écologique officielle européenne. Ce label concernedes produits qui ont des conséquences moins délétères sur la nature selon des critèresenvironnementaux et de performance. Un produit doit impérativement remplir tous les critères pourpouvoir obtenir le label écologique de l’UE

� Le Label AB certifie que le produit est issu de l’agriculture biologique pratiquée en France. Le Labelsuivant certifie qu’un produit est issu de l’agriculture biologique telle que pratiquée sur le territoireeuropéen. Ces logos garantissent, depuis 1980, une qualité attachée à un mode de production plusrespectueux de l’environnement et du bien-être animal

� L’Anneau de Mœbius, triangle constitué de 3 flèches signifie : « ce produit ou cet emballage contient65% de matières recyclées »

� Attention ! Ce label ne signifie pas que l’emballage est issu de matières recyclées ou encore qu’il estrecyclable. Il garantit seulement que le distributeur du produit contribue financièrement au programmeEco-Emballages. Les fonds ainsi obtenus servent à la mise en place de la collecte sélective des emballagesdes ménages, partout en France

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Il n’existe aucun produit zéro-impact. Produits « verts », « écologiques », « bons pour l’environnement »… tous ont des impacts négatifs surl’environnement : tout produit a besoin de matières et d’énergie pour être fabriqué, transporté et deviendra un jour un déchet… L’enjeu estd’identifier quel produit entraîne moins d’impact qu’un autre pour le même usage. L’essentiel est de savoir décrypter les étiquettes et les labels.

La santéLa santéLa santéLa santé

A la maison

• Alimentation

Pour l'achat des aliments, faire confiance aux petits producteurs etartisans, privilégier les cycles courts de distribution

Apprendre à lire les étiquettes, connaître les effets néfastes descomposants

Manger chaque jour plusieurs variétés de fruits ou légumes, bio chaquefois que possible

Eviter les produits suremballés pour limiter la migration toxique desemballages

• Logement

Bien choisir son lieu de vie

Aérer et dépoussiérer son lieu de vie

Limiter l'usage des nettoyants ménagers, désodorisants et parfumsd'intérieur. Les ranger dans des endroits inaccessibles aux enfants, dansdes placards fermés à clé

Les produits ménagers écologiques ont tous en commun de ne contenir niphosphate, ni phtalates, ni esther de glycol et d'être fabriqués avec desbases lavantes 100 % végétales, des parfums naturels et des emballages100 % recyclables. Même le papier toilette, en papier recyclé et sansadditif, est proposé aujourd'hui à la vente !

Préférer un ameublement non toxique [tout élément d'ameublementconstitué de particules de bois (agglomérés), de PVC, de collessynthétiques, recouverts ou non de stratifié, de peintures, lasures et /ouvernis, laisse échapper des vapeurs de solvants ou matières volatiles]

Privilégier l’éclairage à base de LEDs

• Hygiène

Limiter l'usage des produits de beauté, cosmétiques et teintures capillaires.Certains composants sont extrêmement polluants à produire, contaminent

durablement l'environnement et contiennent de nombreuses impuretésqui sont toxiques à long terme pour l’environnement et pour l’homme(goudron de houille dans les shampoings, formaldéhyde dans les vernis àongles, plomb dans les teintures, propylène glycol dans les lotions,phtalates dans les laques, sels d’aluminium dans les produits déodorants)

Le succès grandissant des produits de beauté bio est dû à la prise deconscience des dangers potentiels de certains conservateurs utilisés dansles cosmétiques classiques

Préférer les produits à base de plantes et d’huiles essentielles, sansédulcorant ni conservateur, colorant ou arôme artificiel et qui ne sont pastesté sur les animaux

Les savons ou pains dermatologiques sont moins polluants que les gelsdouche. Les savons d’acier éliminent les odeurs de cuisine et la nicotine surles mains

Le label « Cosmebio » garantit l’absence de parfum de synthèse, de siliconeet de la plupart des conservateurs, ainsi qu’un minimum de 95% decomposants d’origine naturelle, dont 5 à 10% issus de l’agriculturebiologique

• Les médecines alternatives ; des recettes à base de plantes qui ontdes propriétés médicinales reconnues

Phytothérapie : infusions, décoction, …

Aromathérapie : huiles essentielles

• Et pour Bébé ?

Des jouets en bois brut, non verni et une attention particulière auxmeubles choisis pour sa chambre, et pourquoi pas des meubles d’occasiondont les substances toxiques se sont déjà évaporées ?

Des savons et des crèmes certifiés « Cosmebio », une lessive spéciale bébéécolabellisée

Si l’utilisation des couches lavables est trop complexe, préférer descouches jetables écologiques labellisées ‘‘FSC’’ ou ‘‘Nordic Swan’’, en partiebiodégradables, elles ne sont pas blanchies au chlore et ne contiennent nimétaux lourds, ni résidus chimiques

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On retrouve dans nos organismes pas moins de 200 substances indésirables, avérées comme toxiques ! Il est essentiel d’identifier les sources desintoxications domestiques, de mieux connaître leurs conséquences sanitaires pour choisir des alternatives moins toxiques, lorsqu'elles existent.Devenons tous responsables de la qualité de notre santé !

L’alimentation :Acheter L’alimentation :Acheter L’alimentation :Acheter L’alimentation :Acheter malin malin malin malin ! ! ! !

� Au bureau

A la cantine, à la cuisine ou aurestaurant

� Je veille à la diversité de lastructure du repas

� Je limite la fréquence desplats trop gras et tropsucrés

� Je choisis les portions enfonction de mes besoinsalimentaires

� Je privilégie

o Les plats à base depoisson ou de fruitsde mer, avec un filetde citron, sans sauce

o Lesaccompagnementsde légumes et deféculents

o Les cuissons au four,au grill ou à la vapeur

o Les desserts de fruitsfrais

◦ A la maison

� Je fais mes courses avec mon panier� Je résiste à la publicité� Je préfère

◦ Les produits frais, en vrac, à la coupe◦ En bocaux plutôt que congelés◦ Le sucre brut (ou sucre complet qui contient naturellement des minéraux et des vitamines)

plutôt que le raffiné (dépourvu totalement de minéraux et de vitamines)� Je mange

◦ De saison, bio, local◦ Moins et moins riche◦ Moins de viande et de produits laitiers

� Je diminue la quantité au profit de la qualité� Je choisis les viandes issues des élevages en plein air, plus soucieux du bien-être des animaux� Je remplace la viande et le poisson par des associations de céréales (blé, maïs, riz, quinoa ,…) et

de légumineuses (lentilles, soja, pois cassés, fèves, pois chiches,…) riches en protéines végétales� Je choisis des poissons dont l’espèce n’est pas menacée� Je privilégie les produits

◦ Issus du commerce équitable◦ Portant des écolabels◦ Certifiés sans OGM

� J’achète◦ Moins transformé, moins emballé◦ Au fur et à mesure, selon mes besoins◦ En circuit court, directement chez le producteur, dans des magasins collectifs

d’agriculteurs, en AMAP, sur les marchés bio� J’évite l’eau en bouteille� J’accommode les restes pour lutter contre le gaspillage alimentaire� Je prends garde à la bonne conservation de l’ensemble des aliments et particulièrement des

fruits et légumes

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La façon de se nourrir a un impact déterminant sur l’environnement : l’alimentation représente à elle seule 30% de l’empreinte écologique enFrance. Par nos choix alimentaires nous pouvons favoriser des modes de production plus écologiques que d’autres.

Les Les Les Les pausespausespausespauses café, déjeuner …café, déjeuner …café, déjeuner …café, déjeuner …

� Au bureau

A la pause café

� J’utilise ma tasse personnelle pour ne pas avoir de gobelet à jeter

� Je n’apporte pas de bouteilles d’eau, je privilégie les fontaines à eau mise à disposition etj’utilise mon gobelet RSO

� Je peux apporter un thermos de café

� J’ai en stock quelques tasses non jetables pour mes visiteurs

� Je trie mes déchets (canettes, emballages,…)

Au déjeuner

� Si je dois quitter la caisse, je covoiture

� Dans la mesure du possible j’essaie de manger au plus proche : restaurant d’entreprise,restaurant à proximité immédiate pour m’y rendre à pied, cuisine, food-trucks

� J’apporte mes repas dans des boites de conservation réutilisables et hermétiques

� Je privilégie le « fait maison », je choisis les bons aliments pour un repas équilibré etdurable et je varie mes menus

� Je tente le zéro déchet, autrement je procède au tri sélectif et je nettoie après monpassage

� Je me pose réellement; je m’assieds; je prends mon temps pour déjeuner; je range montéléphone pour pouvoir parler avec les collègues

� Je prends l’air 5 à 10 minutes avant de reprendre mon activité

A la maison

A la pause café

� Je bannis les couverts en plastique, lavaisselle jetable

� Je préfère les grands conditionnementspour le thé, le café, le sucre, lesgâteaux

� J’évite les produits emballésindividuellement (sucres, gâteaux,…)qui génèrent des déchets importants

Au déjeuner

� Je suis vigilante face au risque degaspillage alimentaire

� Je me pose pour manger et je prendsle temps de savourer mon repas

� Je remplace les bouteilles d’eaugazeuse achetées par une fontaine àeau gazeuse

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La pause déjeuner constitue le moment idéal pour se détendre et se remettre sur pied, pour poursuivre la journée de travail. La pause-café estégalement un atout, car elle favorise le bien-être au travail et le renforcement des liens sociaux. Mais ces activités ont un revers: déplacements,transport des aliments, déchets, …

Un jardinUn jardinUn jardinUn jardin

Au bureau

� J’installe des plantes dépolluantes (aloès, palmier nain, phalangère, vigne d'appartement, croton, cyclamen, dragonnier, poinsettia figuierpleureur, lierre, Spatiphyllum...)

A la maison

� Je fréquente les jardins collectifs ou partagés, j’aménage mon balcon, les rebords de mes fenêtres

� Je vise l’objectif zéro traitement chimique, je confectionne mon propre compost et je récupère les eaux de pluie

� Je limite les dépenses d’énergie en utilisant une tondeuse à main

� Je recycle mes déchets verts et de cuisine pour un jardin au naturel

� Je développe la biodiversité dans mon jardin en créant des refuges pour les petits animaux et les insectes, je prévois des haies, des fleurs etdes coins peu entretenus

� Je mets des substances collantes ou rugueuses (cendre, sciure de bois, coquilles d’œufs émiettées, marc de café séché) pour faire fuir leslimaces et les escargots et je verse du purin de sureau dans les entrées de galeries pour éloigner les taupes

� Je choisis les plantes adaptées à mon jardin, des végétaux d’origine locale qui sont habitués au climat, et je choisis l’exposition qui leurconvient le mieux

� Je surveille les plantes invasives pour en limiter l’impact

� Pour lutter efficacement contre les mauvaises herbes, je plante des couvre-sols ou je paille mes parterres et le pied des arbustes etj’augmente la hauteur de tonte de ma pelouse (6 à 8 cm)

� Au potager je couvre la terre avec du paillis et du compost, je pense aux rotations des plantations, je choisis des variétés de légumesrésistantes aux maladies

� Pour me préserver, je crée mon potager sur des planches surélevées

� J’arrose malin plutôt le soir en été, après avoir légèrement biné le sol, sans surestimer les besoins des plantes, en fonction des conditionsmétéo et du sol

� Pour éviter les maladies, je veille à ne pas blesser les végétaux, je pense à nettoyer mes outils pour éviter qu’ils rouillent, je les désinfecteavec du vinaigre blanc

� Pour lutter contre les insectes, j’installe des plantes répulsives (œillets d’Inde, ciboulette, oignons, ail, basilic, dahlia), je réalise mes proprespréparations à base d’eau de cuisson, de savon noir, de macération d’orties et je choisis les produits autorisés en agriculture biologique(AB) avec la mention emploi autorisé dans les jardins (EAJ)

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Dans notre jardin nous pouvons préserver l’équilibre et faire de cet espace un lieu de vie pour les animaux et les plantes.

Les vacancesLes vacancesLes vacancesLes vacances

15151515

� Le transport

Préférer un mode de transport moins polluant, éviter de prendrel'avion notamment sur des distances courtes. En France, le TGV est unealternative très confortable et rapide. Penser au co-voiturage !

� Le logement

Il existe aujourd'hui de nombreux écolabels pour sélectionnerl'hébergement de nos vacances et ainsi privilégier les structures quis'investissent pour moins polluer l'environnement. Deux labelstémoignent de cet engagement : le label écologique européen et la clefverte

� A la plage, sur le littoral

Conserver détritus et les mégots pour les déposer dans les poubellesEviter la voiture: à proximité de la plage ? On s’y rend à pied ou à véloRéduire les activités motorisées : les jet-skis et scooters des merspolluent le littoral via les rejets de combustion du carburantAdopter une plongée sous-marine respectueuse en évitant deperturber la vie marine, regarder sans toucherLaisser les éléments naturels déposés sur le littoral qui constituent desabris pour la biodiversitéRespecter la flore, les dunes, les endroits sauvages, les sites protégésLimiter la pêche à ses besoins, et aux quotas autorisés, en respectantles tailles minimales de capture

� A la montagne

Suivre et respecter les sentiers balisés pour éviter de détruirel'écosystèmeEviter de déranger les animaux notamment en hiver, contourner lestroupeauxRester silencieux pour éviter de déranger les animauxPrendre des photos au lieu de cueillir les plantes

� A l'étranger

Se conformer aux usages locaux, notamment sur l’utilisation de l’eauUtiliser des produits d’hygiène naturels pour ne pas polluer dans lespays qui ne disposent pas de traitement des eaux uséesManger local pour soutenir les producteurs locaux en faisant attentionaux espèces menacées !Ne pas acheter

o De bijoux fabriqués en ivoire ou en écailles de tortues marinafin de ne pas favoriser le commerce d'espèces en voie dedisparition

o De souvenirs, potions, remèdes et cosmétiques fabriqués àpartir d'animaux ou d'arbres qui entretiennent une activitédestructrice pour leur habitat et leur survie

o D’animaux ou plantes exotiques pour ne pas contribuer audéveloppement d’un commerce illicite ou d’espèces invasivesqui menaceront les espèces locales

� Des vacances solidaires ?

Construire une école, réhabiliter des sentiers, participer à des projetsde reforestation, animer des ateliers sportifs ou artistiques pour desenfants en difficulté

� Des vacances pour apprendre ?

Des stages « nature » pour découvrir les milieux naturels et apprendreà les respecterDes stages pour s'initier au jardinage, à la cuisine, à la peinture, aubricolage écologique…

Adopter un comportement éco-citoyen pendant nos vacances, c'est facile ! Le tourisme durable c’est prendre conscience des effets néfastesqu'engendre le tourisme de masse sur l'environnement et les populations locales. Il existe de nombreuses possibilités pour profiter de vacancesagréables tout en minimisant l'impact négatif sur l'environnement et les populations locales.

Sport et environnementSport et environnementSport et environnementSport et environnement

A la maison

• Je n’achète que le nécessaireo Je suis bien équipé et non suréquipé, je privilégie la qualité à la quantité et je m’assure d’une pratique régulière avant de m’équiper

totalement, je pense aussi à la location• Je mutualise mes équipements

o Certains équipements ne servent que de temps en temps : je m’arrange avec mes collègues pour les emprunter ou les prêter• Je ne manque pas les bonnes occasions et les bourses d’échanges• J’achète pour longtemps

o J’évite le jetable et les effets de mode, j’entretiens mes équipements, je les fais réparer• Je donne une seconde vie à mon matériel

o Je le revends et je pense au recyclage en fin de cycle• Je préfère les modes de déplacements doux pour les petits trajets, les transports en commun et le covoiturage pour les grands

déplacements• J’économise l’eau et l’énergie

o Je fais attention à ma consommation d’eau lors des douches ou du nettoyage de mon matérielo J’éteins les lumières quand je quitte les locaux

• J’ai une alimentation saine et responsable, locale et de saison• Je réduis mes déchets et je les trie

o J’évite les produits emballés individuellement, je transporte mes produits dans des boites, j’utilise une gourde• Je respecte mon environnement

o J’utilise les chemins et sentiers de randonnéeso Je ramène mes déchets

• Je suis les règles et les usages en utilisant correctement les locaux et le matériel, en les gardant propres• J’agis pour le "mieux vivre ensemble" en partageant ces principes avec mes collègues

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Mettre en place des pratiques éco-responsables dans le domaine du sport est une nécessité face aux enjeux environnementaux actuels. Lesmanifestations sportives rassemblent un nombre important de participants et de spectateurs, et peuvent générer une grande production dedéchets, de dégradation des espaces et de rejets de CO2. Le sport a donc toute sa place dans la logique de développement durable.

L’engagement L’engagement L’engagement L’engagement associatif solidaireassociatif solidaireassociatif solidaireassociatif solidaire

� Au bureau

� S’engager au sein du Soubenn Social Club etsoutenir ses actions

� Participer aux journées du don organisées chaqueannée à la caisse : don du sang et collectesdiverses en partenariat avec des associationssolidaires

� S’inscrire aux manifestations caritativesextérieures; en faire un challenge au sein desservices

� Etre moteur au sein de son service pour entrainerles collègues

� A la maison

� Choisir en fonction de nos aspirations : AMAP, associations caritatives et/ouenvironnementales, ONG, Fondations, Collectifs, Clubs sportifs, aide auxdevoirs,...

� Accompagner

◦ Des personnes en situation de précarité

◦ Des jeunes

◦ Des malades

◦ Des anciens

◦ Des personnes isolées

� Identifier le temps que l’on peut mettre à disposition et envisager lesformations nécessaires pour une bonne implication

� Donner du matériel, du temps, de l’argent

� Acheter solidaire pour aider les associations qu’elles soient caritatives,environnementales,…

� Être un web acteur (moteurs de recherche Lilo, Ecosia)

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Les associations sont un vecteur essentiel de l’engagement citoyen et elles nous offrent la possibilité de mettre en forme et en action nosaspirations et nos valeurs. C’est un moyen de contribuer au développement économique, social, culturel, citoyen et durable de notre commune, denotre pays, de pays en voie de développement. L’intégration au sein d’un réseau associatif est également un élément de bien être et de lien social:occuper son temps, vivre une passion, partager, être utile …

Je calcule mon empreinte écologiqueJe calcule mon empreinte écologiqueJe calcule mon empreinte écologiqueJe calcule mon empreinte écologique

� L

Je mange de la viande

2 fois par jour

1 fois par jour

2 ou 3 fois par semaine

Rarement ou jamais

40

0

-10

-20

J’achète viande et poisson frais plutôt que surgelés

Jamais

Souvent

Toujours

10

0

-10

J’achète fruits et légumes frais et non préparés

Jamais

Souvent

Toujours

10

0

-10

J’achète des produits

Fabriqués de préférence en France, en Europe

Sans prêter attention au lieu de fabrication

-10

0

J’habite

Une maison non mitoyenne

Une maison mitoyenne

Un appartement

10

0

-20

Je me lave

En prenant des bains

En prenant des bains et des douches

En prenant des douches

10

0

-5

18181818

L’empreinte écologique, c'est une mesure de la surface de Nature qui est nécessaire pour subvenir à nos besoins et absorbernos déchets. Elle révèle notre impact sur la planète.

Je vais travailler

En voiture

En train

En métro, tramway, bus ou car

En vélo ou à pied

Je ne travaille pas

0

-30

-30

-50

-50

Ma voiture est

Une sportive

Un gros 4x4

Un monospace

Une grande routière

Une routière moyenne

Une petite citadine

Je n’ai pas de voiture

110

70

30

20

0

-5

-80

Je pars habituellement en vacances

En avion

En voiture

En bateau

En train

En vélo

A pied

0

0

-15

-10

-20

-20

Je privilégie les vacances en France ou en Europe

Oui

Non

0

20

Je sélectionne une seule réponse par question et je totalise les points correspondants, puis je consulte le tableau explicatif , sachant que cequestionnaire ne permet qu’une estimation approximative de l’empreinte écologique – ce questionnaire a été réalisé par Empreinte Ecologique SARL pour WWF France

Total de

point

Empreinte

écologique

Inférieur à -

70

Inférieure à 4

hectares

Entre -70 et

-10

Entre 4 et 5

hectares

Entre -10 et

10

Entre 5 et 5,4

hectares

Entre 10 et

50

Entre 5,4 et 6

hectares

Entre 50 et

100

Entre 6 et 7

hectares

Supérieur à

100

Supérieure à 7

hectares

L’empreinte écologique d’un Français et de 5,2 hectares

Une journée éco responsableUne journée éco responsableUne journée éco responsableUne journée éco responsable

19191919

Au bureau et à la maison

� Je m’assure que les lumières sont éteintes en partant� Je privilégie les transports en commun, le covoiturage, le vélo ou la marche pour aller au travail� Dès que je quitte mon bureau, et/ou dès qu’il fait assez jour, je stoppe les lumières� Au distributeur de boissons je préfère mon mug au gobelet en plastique jetable proposé par la machine� Je prends des notes sur des blocs de papier brouillon� Je n’imprime pas tous les documents qui me sont adressés et lorsque je lance une impression elle est systématiquement en recto verso� Chaque fois que cela est possible, j’opte pour la visioconférence plutôt que pour une réunion qui m’obligera à un déplacement� En réunion, je remplis les carafes mises à disposition et je n’oublie pas mon gobelet recyclable� Dans les sanitaires, je ne laisse pas l’eau couler, je choisis l’eau froide pour me laver les mains et si je constate une fuite, je préviens

immédiatement l’Administration Générale� Le midi, je covoiture pour aller déjeuner, ou je vais au plus proche à pied, si je reste sur place j’ai une « lunch box » pour transporter mon

repas, à la cantine je pratique le zéro déchet et je me sers en conséquence� En hiver, quand j’ouvre les fenêtres pour aérer mon bureau, je ferme les radiateurs� Je trie mes « déchets » pour les déposer dans les poubelles de tri sélectif� Je dépose la cartouche d’encre vide de l’imprimante à l’endroit prévu pour son recyclage � En quittant mon bureau je vérifie que tous les appareils électriques sont bien arrêtés (ordinateur, imprimante, écran, lumière) et/ou

débranchés (cafetière)� Pour mes courses je choisis les commerces de proximité et les circuits courts, j’achète des produits de saison et ceux qui portent des

éco labels, moins toxiques pour l’environnement, j’utilise des paniers ou des cabas plutôt que des sachets en plastique� Je réduis le gaspillage alimentaire en utilisant les produits selon les dates de péremption� Au jardin j’utilise les produits verts et je limite l’arrosage grâce au paillage � En voiture je n’utilise la climatisation qu’en cas de nécessité� Je débranche mon chargeur de téléphone dès que le plein est fait� Le soir avant de me coucher je stoppe tous les appareils en veille, y compris les box

Une journée type éco-responsable pour prendre de nouvelles habitudes et les pérenniser afin de consommer autrement, depréserver les ressources naturelles et de diminuer mon impact écologique, une sorte de « planète attitude »!

RemerciementsRemerciementsRemerciementsRemerciements

Je remercie tous les membres du groupe de travail, sans qui la réalisation de ce guide n’aurait pas été possible

� Gwénaël Bathany

� Catherine Bégot

� Pierrick Belbéoch

� Nicole Floch

� Gaïanne Gazeau

� Alain Goasduff

� Régine Gouerec

� Sandrine Lever

� Stéphane Mérour

� Gwénaëlle Moal

� Gilles Le Roy

� Nicole Quentric

� Marie-Christine Rozec

Lydie Gourlay, chef de projet RSOLydie Gourlay, chef de projet RSOLydie Gourlay, chef de projet RSOLydie Gourlay, chef de projet RSO

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