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Soirée des Rois → 5La Landwehr à Equilibre → 8
Nouveau logo → 11Interview de jeunes musiciens → 22
LE LANDWEHRIEN FAIT PEAU NEUVE
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Mes chers,La dernière soirée des Rois avait pour thème la communication. Il était donc tout naturel que son invité surprise soit un professionnel du domaine, en l’occurrence Darius Rochebin. Celui-ci a relevé l’impor-tance de la communication pour toute société, quelle qu’elle soit, mais aussi le lien parfois conflictuel entre média et politique. Et le tout autour de la fameuse tétine!
De notre côté, pour continuer à améliorer notre communication et la rendre plus sympathique et moderne, le Landwehrien fait peau neuve et se pare de couleurs. Après le nouveau logo – dévoilé à la Soirée des Rois – c’est au tour de notre revue bisannuelle de faire sa mue et de montrer son nouveau visage. Besten Dank an Alle, die an dieser Broschüre mitgearbei-tet haben, welche es uns erlaubt die Aktivitäten unseres Vereins zu verfolgen: Martin, Isabelle, die Redaktoren und Inserierenden sowie für diese Ausgabe den Verein Nuance welcher uns die neue Ausgabe bereitgestellt hat.
Mais les adaptations de la Landwehr ne sont pas que visuelles. Elles touchent aussi à l’organisation, à l’administration, à l’activité musi-cale. Quel plaisir pour moi de participer à ce�e évolution positive et de me sentir épauler par tant de landwehriens dévoués à notre
Le Landwehrien change de look
société. La Landwehr est une belle famille dans laquelle il fait bon vivre; la musique et l’amitié en sont le ciment.
Quel est notre avenir proche? Nous serons le 4 mai à Amriswil (TG) pour un concert de gala. Le lende-main, le dimanche 5 mai à 17 h 00, nous donnerons un second concert de gala à Guin avec la Fanfare municipale de Nyon et l’Harmonie d’Oerlikon Seebach, une des meilleures sociétés de musiques de Suisse. Venez nombrez à ce�e rencontre musicale de première qualité!
Nach der Teilnahme am Fronleichnam vom 30. Mai, werden wir uns am 15. Juni zum Galmwald begeben, um dort an der 300 Jahr- Feier des Eichenwaldes teilzune-hmen. Am 21. Juni werden wir zudem am Musikfest in Freiburg teilnehmen.
Votre présence à nos activités nous fait toujours plaisir; pour toute information, n’oubliez pas l’adresse de notre site internet www.
landwehr.ch.
Quant à notre Jeune Garde, elle donnera un concert le 25 mai aux Tornale�es (8 juin en cas de mau-vais temps), et participera à la Fête Cantonale des Jeunes Musiciens les 15 et 16 juin à Belfaux; nous leur souhaitons plein succès pour cet évènement. Afin de s’y préparer, elle donnera le dimanche 9 juin un concert de préparation à l’aula du Collège de Gambach avec les cadets de la Concordia. Et pour terminer leur saison, un stand up
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ErratumDans le numéro d'octobre 2012 du Landwehrien, certaines photos ont été mal a�ribuées. Nous prions les personnes concernées de bien vouloir nous excuser et voici donc le corrigé. Page 15 la photo prise en Chine est d’Emmanuel Gavillet et le portrait de Pierre Esseiva a été tiré d’un ancien Landwehrien (n°3 septembre 2001), page 20 les photos du concert avec La Concordia à Equilibre ont été prises par Noël Aeby.
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Maîtrise fédérale
Le samedi 12 janvier dernier se déroulait la soirée des rois, moment incontournable de la vie landwehrienne marquant la fin d’une saison riche en émotions et le début d’une nouvelle s’annonçant haute en couleur.
Ce�e année, pour sa première soi-rée des rois en tant que Président, Alain Deschenaux a réussi à convier une personnalité romande qu’on ne présente plus: Darius Rochebin. Ce dernier, débutant son allocu-tion par son célèbre «Mesdames, Messieurs, bonsoir», phrase tant familière à nos oreilles «rtsienne», a su captiver l’auditoire fort de quelques 200 personnes dès ses premières paroles. En tant qu’o-rateur, se sont également succé-dés les représentants politiques du canton et de la commune de Fribourg, Madame la Conseillère d’Etat Anne-Claude Demierre ainsi que Messieurs Pascal Kuenlin et Pierre-Alain Clément. Autre invité, Hubert Audriaz, personnalité incontournable et enchanteresse de la ville de Fribourg, n’a pas manqué d’apporter une touche d’humour pour bien commencer la soirée.
Outre son repas gargantuesque, composé, comme à l’accoutumée, de soupe, de pieds de porc, de tétine, de langue, de jambon, de saucisses et autres réjouissances, le tout agrémenté de choucroute,
Le samedi 12 janvier dernier se déroulait la soirée des rois, moment incontournable
de la vie landwehrienne.
la soirée des rois est aussi l’oc-casion de décerner des prix aux Landwehriennes et Landwehriens qui se sont particulièrement distin-gués au cours de l’année, soit par leur assiduité aux répétitions, ou
Soirée des rois: Millésime 2013
Darius Rochebin a débuté son allocution par son célèbre
«Mesdames, Messieurs, bonsoir».
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↑Darius Rochebin fait son entrée.
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↑ ↑Christian Levrat
et Anne-Claude Demierre.
↑les cuivres entonnant La Marche des Rois.
←Hubert Audriaz.
← ← ↑Signature du livre d'or.
← ←L'apéritif avant la choucroute.
par leur ancienneté. Saluons la per-formance de Frédéric Hertling et ses 100% de présence en automne, et celle de Dominique Kra�inger, alias «Bel-œil», huissier, pour ses 35 ans de bons et loyaux services au sein de la Landwehr.
ANNÉES DE SERVICE5 ans de servicepremier chevron d’argentIsabelle Ruf-Weber, directriceCarine Guex, basson Delphine Seydoux, flute
10 ans de servicedeuxième chevron d’argent Joëlle Pingeon, trompe�e
15 ans de servicetroisième chevron d’argentFrédéric Hertling, trombone
25 ans de servicepremier chevron d’orChristophe Emmernegger,clarine�e basse
30 ans de servicedeuxième chevron d’orJean-Pierre Martine�i, trompe�eRené Schwegler, tom
35 ans de servicetroisième chevron d’orDominique Kra�inger, huissier
ASSIDUITÉ Roger Baeriswyl, clarine�e 90%Pierre Bugnon, saxophone 91%Charly Zahnd, euphonium 91%Quentin Pierret, saxophone 95%Thomas Henkel, flute 96%Isabelle Dessibourg, clarine�e 96%Simon Jordan, clarine�e 97%Frédéric Hertling, trombone 97%
Au terme de sa partie o¸icielle, la soirée des rois a fait place à sa «nuit des rois», moment moins formel, mais ô combien distrayant où les sociétaires ont tout loisir de rencontrer les diverses personna-lités, parfois autour d’un verre
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Nous avions cru ne plus jamais le revoir ou disons plutôt qu’il croyait s’être débarrassé de nous. Mais était-ce notre faute si ce ne fut pas seulement les corps de musique qui qui�èrent l’Aula Magna mais aussi son concierge? Peut-être l’a-t-il lui-même choisi? Malgré sa beauté et sa grandeur, l’Aula ne s’était-elle pas fait quelque peu grinçante et inhospitalière? Tandis qu’Equilibre, sous ses formes excentriques, ses dédales d’esca-liers, ses ascenseurs capricieux et sa salle sombre et douille�e, lui parut plus mystérieuse? Ou alors ce cher concierge n’a-t-il fait que suivre La Landwehr et surtout sa directrice qui rappelez-vous lui avait dit «Oui!»?
Conciergerie mise à part, le concert commença, comme à l’accoutumée, par la Jeune Garde emmené par Joël Allred. Les jeunes musiciennes et musiciens débu-tèrent avec African Symphony de Van McCoy arrangée par Naohiro Iwai, suivi par The Ludlows de James Horner arrangé par Sean O’Loughlin, l’un des thèmes du film Légende d’automne. Continuant sur leur lancée, ils entamèrent Pirates of the Caribbean At World’s End de Hans Zimmer arrangé par Michael Brown et terminèrent par The Lord of the Dance de Ronan Hardiman arrangé par Johnnie Vinson, mor-ceau qui s’inscrivait parfaitement dans la ligne du concert. Le public
Après avoir qui�é l’Aula Magna de l’Université de Fribourg, La Landwehr donna ses premiers concerts de gala
à Equilibre le 8 et 9 décembre 2012.
ayant apprécié leur interprétation et leur énergie, les musiciennes et musiciens ne qui�èrent la scène qu’après un bis et sous des applau-dissements enthousiastes.La Landwehr prit alors place et commença par rendre un hommage à Oscar Moret (qui fut directeur du corps de musique) à l’occasion du centenaire de sa naissance. Ensuite vint Sacri Monti du compositeur bernois Mario Bürki, pièce qui ne manqua pas d’enchanter les auditeurs autant par ses moments épiques que par les chants qui transformèrent le temps de quelques mesures les musiciens en chanteurs. Pièce exigeante mais d’une puissance évocatrice telle qu’elle remporta un énorme succès auprès du public tout comme l’interprétation du jeune soliste Raphaël Sudan lors de la pièce suivante. Concerto for Piano and Wind «Hommages» d’Edward Gregson, demanda aux exécutants une concentration redoublée pour dépasser les di¸icultés rythmiques et faire prévaloir les prouesses du pianiste qui su s’approprier pleine-ment la pièce afin de la retrans-me�re au mieux.
Après la pause, la directrice, Isabelle Ruf-Weber laissa la bague�e à Thierry Wantz, directeur asssistant, pour Romanian Dances de Thomas Doss. Le morceau donnait le ton de la deuxième partie et sans être exactement libre de faire
n’importe quoi, les musiciennes et musiciens pouvaient se laisser aller à quelques cris et si¸lements qui déclenchèrent de larges sourires et invitèrent la salle à se plonger dans l’ambiance festive de la suite du concert. S’enchaînèrent ainsi les di¸érentes pièces dansantes dont justement Danse Bacchanale de Camille Saint-Saëns qui eu le mérite de faire poindre le bout de son nez à ce cher concierge, interprété par Gilles Bersier, qui se lança dans une liste des di¸érents bacs qu’il connaissait: bacs à sable, à fleurs, écrit ou encore oral mais bacchanale lui resta inconnu. La lecture du programme ne l’aida guère puisqu’il qui�a la scène en fredonnant «Parole, parole, parole» une «sanson» d’une certaine Dalida et non pas un air de l’opéra Sansom et Dalila duquel était tiré la fameuse danse!
Il ne s’arrêta pas là. Alors que la directrice Isabelle Ruf-Weber levait sa bague�e, il l’interrompit pour lui rappeler qu’elle lui avait dit «Oui!» l’année précédente et qu’il avait tout préparé à ce�e occasion. Malgré son dépit, la directrice ne pouvait pas nier et le morceau qui devait conclure le concert Wedding Dance de Jacques Press ne fit qu’encourager le concierge. Néanmoins il ne brûla pas les étapes, La Landwehr (avant de se jeter dans ce�e furieuse danse de mariage) devait encore jouer une
Les premiers concert de gala à Equilibre
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Le bleu de la Landwehr m’est familier depuis des années. Comme beaucoup d’enfants de la ville de Fribourg, j’ai pu l’admirer para-der dans les rues de la cité des Zaehringen. L’uniforme m’avait déjà marqué, puisque j’ai pu le voir arboré par mon père, qui a présidé ce Corps de musique pendant qua-torze ans. Lorsqu’on m’a demandé de proposer un nouveau logo à ce�e institution fière de plus de deux cents ans d’existence, c’était à la fois un honneur mais aussi un challenge. Le ton devait gar-der les aspects traditionnels de la Landwehr, tout en pouvant séduire un public jeune.
Il n’était donc pas possible de reme�re complètement en ques-tion l’identité visuelle. Des points de repère devaient être conservés. Ce point d’a�ache a été trouvé dans le drapeau, plus particuliè-rement les flammes de celui-ci. Il s’agissait bien sûr plus d’en reprendre son aspect visuel, que sa référence militaire.Ma première idée a été de reprendre la forme de la croix cen-trale du drapeau et d’y insérer le mot Landwehr sur deux lignes, en lieu et place des flammes en bas à gauche. Ensuite le tout était décalé vers le haut pour donner une dynamique. Il fallait montrer une idée de mouvement, de progres-sion. On retrouvait les flammes en haut à droite, comme un exposant,
Pour faire peau neuve, La Landwehr a mandaté Ludo Hartmann pour lui créer un nouveau logo.
une apostrophe. La jeunesse et la tradition se retrouvaient ainsi sur la même bannière.
Mon idée était par la suite de pouvoir isoler ces flammes sans y apposer le mot Landwehr. A l’heure des applications pour smart-phones et autres table�es, il faut également penser à une icône sur laquelle clique le visiteur curieux de pénétrer le monde merveilleux de la Landwehr.Quelques discussions et de nom-breux échanges d’e-mails plus tard, il fut décidé de diminuer la taille des flammes au profit du mot «Landwehr».
Suite à de nombreux croquis et variantes, nous avons trouvé les caractères qui composeraient le corps du nouveau logo. Comme la bougie sur une pièce montée, nous y avons apposé les flammes en exposant. Le nouveau logo était né. Mais la vraie jeunesse de la Landwehr, c’est sa relève, sa Jeune Garde et son Ecole de Musique.
Elles devaient également avoir leurs logos.
Pour respecter la forme décidée pour le logo Landwehr, les deux jeunes organismes ont repris la nouvelle typographie. Pour les couleurs, il était d’abord question d’avoir trois teintes di¸érentes. Puis, la Landwehr, la JGL et l’EML ont adopté un bleu indissociable du Corps de Musique de l’Etat et de la Ville de Fribourg.
A propos de la création d’un logoLa création d’un logo est un pro-cédé intéressant, que beaucoup de gens relativisent. Il est facile de recopier un logo très simple, car nous n’avons pas eu à faire toute la recherche et l’étude qui ont mené à ce�e réalisation. Par contre, redessiner une œuvre fourmillant de détails, n’est pas à la portée de tous. Pour la réalisation d’un logo, vous devrez travailler des heures durant sur des croquis perme�ant d’obtenir la forme ou le signe dis-tinctif o¸rant une analogie directe
A propos du nouveau logo N
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propose. On peut également passer son chemin. La référence est donc réalisée entre le signe et son univers. En une image, parfois sans avoir besoin d’en lire le nom, il est possible d’avoir une émotion et de prendre une décision. Telle est la force des bons logos et des marques à fort impact.Espérons que la nouvelle personnalité de la Landwehr et de la Jeune Garde provoque la bonne émotion sur l’a¸iche de leurs prestations.
Notes sur ludo hartmann...La musique et l’image sont intime-ment liées. Pour a�irer des gens à un spectacle ou un concert, il faut une a¸iche ou une image qui interpellent. Pour créer une image, une illustration, il faut parfois être accompagné par la musique. C’est mon cas. Il y a toujours un fond de musique à mon bureau.
Il y a à peu près dix ans, je débutais le storyboard de la bande dessinée La DisparTition, qui fait référence aux événements marquants de la Landwehr, de manière fantaisiste et humoristique. Depuis, il m’a souvent été confié des projets en relation avec La Landwehr, mais surtout la Jeune Garde. Parmi ces travaux: des a¸iches de concerts, la masco�e pour la tournée du Canada, l’illustration des flyers pour la Ba�erie de Marche, des personnages taille réelle pour la manifestation «La Musique est
au Centre» et le graphisme et les illustrations du CD des musiques et chants de Noël de la Jeune Garde. Il est intéressant de revoir les illustrations réalisées il y a quelques années pour y voir la progression. La DisparTition faisait beaucoup plus appel à l’ordinateur, notamment pour la création des éléments de décor en noir blanc, qui étaient beaucoup réalisés en dessin vectoriel. A ce�e époque je n’avais pas de table�e graphique. Tout était fait à la souris.
Depuis, je suis de plus en plus revenu à des techniques tradi-tionnelles pour le dessin noir blanc. Du feutre noir, je suis revenu au crayon. Il m’est di¸icile de créer quelque chose directement avec la table�e graphique. J’ai besoin du contact avec la feuille. Ensuite, le dessin est scanné et reste colorié avec un logiciel. Un jour j’aimerais me me�re à la peinture. Je suis très admiratif des artistes qui maîtrisent cet art. C’est aussi une discipline qui ne donne pas droit à l’erreur. Par contre, avec un logiciel, vous pouvez essayer di¸érentes teintes, ajouter ou supprimer des calques ou revenir à une version précé-dente. On travaille avec un filet en quelque sorte.
La musique a sans doute cela de commun avec la peinture. En concert, vous ne pouvez pas revenir en arrière. Une fausse note est une fausse note. Si vous vous arrêtez, c’est fini. Vous devez continuer, sans interruption. Pendant un enre-gistrement en studio, vous pouvez reprendre et recommencer.
J’ai beaucoup dessiné Fribourg. Je suis très a�aché à sa vieille ville.
C’est une source inépuisable d’ins-piration, de par son architecture notamment. Certaines œuvres de Teddy Aeby retranscrivent parfai-tement l’histoire cachée derrière la ville de Fribourg, notamment par ses dessins reprenant les murailles de la ville et de nombreux élé-ments disparus aujourd’hui. Il avait ce souci du détail qui nous faisait voyager dans ces merveilleux por-traits historiques de la ville.
Le dessin o¸re la liberté de pou-voir prendre ce qui nous intéresse pour recréer quelque chose de nouveau. C’est ainsi que j’ai réalisé une série de dessins ayant pour décor un Fribourg «réorganisé». On y retrouve la Cathédrale en bas de la Samaritaine, l’Hôtel-de-Ville sur la Planche Supérieure, la Place Georges-Python au bord de la Sarine etc...
Afin d’explorer toujours de nou-veaux concepts, je développe depuis peu des cartes Pop-up. Ce sont des formes en papier qui se créent en trois dimensions à l’ouverture de la carte et qui se replient à la fermeture de la carte. L’a�rait de ce type de projets est la possibilité d’avoir un objet tangible entre les mains. Ce n’est pas une simple image, un film ou une photo. Le contact ne se fait pas via écran, mais il est direct.
C’est pour apprendre ces
entre le logo et ce à quoi il fait réfé-rence. Outre le dessin, le logo fait intervenir la typographie. Comme cité précédemment dans le cahier des charges du logo Landwehr, cet exercice est di¸icile, puisqu’il faut trouver les le�res étant le plus en adéquation avec la forme du logo, mais également avec la personna-lité de la marque ou du produit. Si vous choisissez une police de carac-tère existante, vous ne pourrez pas vous contenter de l’apposer telle quelle. Vous devrez en modifier, la
hauteur, la largeur, l’espacement entre les caractères, voire alterner entre majuscules et minuscules.Le logo d’une célèbre marque américaine de chaussures et de vêtements de sport est extrême-ment simple et épuré. Il est même tellement connu et rentré dans l’inconscient collectif, que ce�e entreprise a pu s’o¸rir le luxe de supprimer le nom de la marque qui y était apposé. Est-ce qu’un jour les seules flammes bleues Landwehr feront automatiquement référence
au célèbre Corps de Musique?
Le blason n’est-il pas un ancêtre des logos? Sur la mer, lorsqu’on apercevait le «logo» des pirates, il fallait se préparer à comba�re ou à s’éloigner de cet équipage. Sur les champs de bataille, le «logo» pré-sent sur les drapeaux indiquait tout de suite l’appartenance du groupe. Aujourd’hui lorsqu’on voit une enseigne avec un logo, on rentre dans la boutique, car nous sommes a�irés par ce que ce�e marque
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Amriswil, le 4 maiLa Landwehr se rendra dans le canton de Thurgovie pour un concert de gala en commun avec la Stadtmusik d’Amriswil. Ce concert marquera l’inauguration d’un nouveau bâtiment adminis-tratif construit au centre ville par le groupe Nordmann. Ce�e prestation sera aussi l’occasion d’une rencontre entre le Président du Gouvernement du Canton de Thurgovie (directeur de l’économie cantonale) de la vice-président du Gouvernement fribourgeois Isabelle Chassot. La fête est organisée en partenariat avec la commune d’Amriswil et les locataires du nou-veau bâtiment.
Guin, le 5 maiA 17 h 00 au Podium de Guin, concert avec la Stadtharmonie Oerlikon Seebach, la Fanfare muni-cipale de Nyon et La Landwehr (voir page 27).
Fête Dieu, le 30 maiA Fribourg, La Landwehr partici-pera à la traditionnelle Fête Dieu avec la diane à 6 h 00, la messe à 9 h 00 suivie de la procession qui se terminera sur les marches de la cathédrale Saint-Nicolas.
Fête de la musique, le 21 juinLa Landwehr se produira à Fribourg à l’occasion de la Fête de la Musique. Vous pourrez prendre
Activités du premier semestre 2013
↑La forêt du Galm
fête les 300 ans de ses chênes et baptise ses armoiries.
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Galm, le 15 juinConcert à Galm à l’occasion de la fête organisée pour ses chênes de 300 ans. Commune politique sans habitants, la forêt et commune du Galm (district du Lac) est un cas unique en Suisse. Bien connue par certains comme lieu de détente, par d’autres pour la beauté et la qualité de ses chênes, la forêt du Galm fêtera le samedi 15 juin 2013 les 300 ans de ses peuplements de chênes et inaugurera à ce�e occasion ses armoiries.Durant toute la journée: possibilités de restauration en forêt, promenades en calèche, animations militaires et musicales du Moyen-Âge par les groupes «Compagnie des quatre lunes» et «Abaldir»,
Petit tour d’horizon des prochaines prestations musicales de La Landwehr
prévues ce printemps.
PROGRAMME DE LA FÊTE 9 h 00 Ouverture des festivités10 h 30 Partie o¸icielle: baptême
des armoiries et ouverture du nouveau «chemin des chênes» par la Conseillère d’Etat Marie Garnier, prestation de la Landwehr, apéritif
12 h 30 Repas o¸iciel18 h 00 Concert de la société de
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Le lieu de travail est un lieu de vie: Gabriela Berger, prémédia, avec son cheval de reining Pines Dusty Freckles.
Après une belle journée musicale (et sportive!) à Charmey le 15 sep-tembre (visite au camp musical de la JGL), nos petits musiciens ont pu se retrouver le samedi 3 novembre, lors d’un après-midi consacré à Vivaldi et ses quatre saisons. Lors du traditionnel Arbre de Noël, le 16 décembre, les flûtistes à bec ont présenté deux morceaux d’en-semble à un public conquis!
Ce printemps, les flûtistes de notre EML ont présenté deux nouvelles pièces d’ensemble lors du souper de soutien du samedi 9 mars. Au mois d’avril, toute l’EML se retrou-vera pour assister à un spectacle musical, avant de préparer l’au-dition annuelle qui se déroulera ce�e année le vendredi 28 juin à 18 h 00 dans la salle Henri Renevey
Durant le premier semestre 2012-2013, les jeunes prodiges de l’Ecole de Musique se sont rencontrés à plusieurs reprises
pour partager des moments d’amitié et de musique.
Quoi de neuf à l’EML?
à Beaumont. N’hésitez pas à venir encourager nos musiciens en herbe à ce�e occasion!Actuellement, nous sommes heu-reux de compter parmi nous pas moins de 28 élèves musiciens, flûtis-tes à bec ou instrumentistes. Cet automne, la première volée formée par l’EML a pu intégrer les rangs de la JGL et rejoindre «les grands» pour jouer en orchestre. Nous sommes fiers de voir nos jeunes poursuivre leur envol dans l’univers de la Landwehr!
Vous connaissez un jeune qui rêve d’entrer dans le monde magique de la musique, d’apprendre à jouer d’un instrument d’harmonie et de partager sa passion avec d’autres petits musiciens? N’hésitez pas à contacter la responsable de l’Ecole de Musique, Delphine Seydoux, qui
↓←Les jeunes lors de leur sortie
à Charmey.
↓Répétition des jeunes flûtistes.
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Montag geschlossen / Fermé le lundi
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Un petit tour à une répétition de la JGL permet d’a�ester qu’elle forme un groupe solide et joyeux. L’ambiance qui y règne n’a rien à envier au corps principal que ce soit de par le sérieux du travail e¸ectué ou de l’amitié entre les jeunes musiciennes et musiciens. Et quand on leur demande ce qu’ils préfèrent à La Landwehr, l’am-biance est la première réponse qui leur vient. Mais ça ne s’arrête pas là, pour d’autre c’est simplement «tout» ou plus particulièrement «Partager le plaisir de la musique ensemble!». Quant à leur directeur, Joel Allred, ils ne tarissent pas d’éloges à son sujet «Il est génial!» et «pas sévère». En e¸et il n’y a pas de doute à avoir, les jeunes appré-cient leur directeur, la répétition se déroule dans la bonne humeur et toujours avec le sourire mais ce n’est pas pour autant qu’ils ne s’appliquent pas.
Récemment ils ont préparé un concert avec Le Young Harmonic Band, avec lequel ils avaient déjà partagé l’a¸iche au printemps der-nier. A ce�e occasion, ils ont repris certaines pièces qu’ils avaient inter-prétées lors des derniers concerts de gala à Equilibre et à l’unanimité ils ont répondu que leur préféré c’était «Lord of the Dance» de Ronan Hardiman parce qu’il est entrainant même si en général tous les morceaux leur plaisent.
A la rencontre des jeunes musiciennes et musiciens qui viendront, d’ici quelques temps,
grandir les rangs du corps principal.
Quant aux concerts de gala, la plupart a¸irme ne pas avoir eu le trac, faire partie d’un groupe aide à a¸ronter le public, et tous ont pris beaucoup de plaisir à se produire
dans ce�e nouvelle salle malgré la fatigue engendrée par les allées et venues dans les escaliers! Un grand merci aux jeunes musiciennes et musiciens de m’avoir accordé un
Une répétition à la Jeune Garde
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Après le départ de Christelle Minguely, Joelle Pingeon et Alexandre Tinguely (membres du comité de la JGL) avaient assuré la présidence ad intérim de la JGL jusqu’au retour de Christophe Waber parti en année linguistique à Vienne dans le cadre de ses études d’architecture à l’EPFL, qu’il pour-suit actuellement à Fribourg, par un stage d’une année dans un bureau d’architecte. Le musicien, né en 1987, a grandi et habite toujours Villars-sur-Glâne. Il commence la clarine�e en automne 2000, après quelques années de flûte à bec, chez Jean-Daniel Lugrin (ancien clarine�iste solo à La Landwehr). Il intègre la JGL en 2001 et La Landwehr en 2004. Il dirigea même la JGL durant quelques mois lors d’un intérim en automne 2008. Jeune homme rigoureux et décidé, il avoue avoir le goût du travail bien fait. A côté de ses études et de la musique, Christophe Waber n’aime pas rester inactif, c’est un grand sportif qui apprécie la vitesse et l’endurance dans ses loisirs comme le ski, le vélo ou le v�.
Les jeunes musiciens ont donc la chance d’avoir un président dynamique, épaulé par un comité compétent et qui comme eux, a fait ses armes à la JGL. I.D
Nouveau président à la Jeune Garde
Depuis l'automne 2012, la JGL a un nouveau président en la personne de Christophe Waber.
Petite présentation du musicien.
JGL AGENDA • Samedi 25 mai, concert aux Tornalettes (le 8 juin en cas de pluie).• Dimanche 9 juin à 17 h 00, concert de préparation en commun avec
les Cadets de la Concordia, à l'aula du collège de Gambach, Fribourg. • Samedi 15 juin et dimanche 16 juin, Fête cantonale des jeunes à Belfaux. • Mercredi 19 juin à 17 h 00, concert à Fribourg Centre.
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On ne cesse de le répéter, La Landwehr est jeune, moyenne d’âge 34 ans. Il n’empêche que La Landwehr est aussi une société où se côtoient plusieurs générations allant des plus vénérables ou plus tendres. Petite interview de deux de nos plus jeunes membres, Quentin Pierret 17 ans arrivé dans les rangs de La Landwehr en 2011 mais à la JGL depuis 2005 et William Schaller 18 ans arrivé au pupitre en 2010 et à la JGL en 2008.
Comment avez-vous commencé la musique?Q.P.: Dans ma famille, ils sont tous dans la musique. D’ailleurs mon arrière grand-père, mon grand-père et mon père ont fait parti de La Landwehr. En plus mon autre grand-papa, Michel Savoy, fait toujours partie de La Landwehr. J’ai donc commencé la flûte à bec de 6 à 8 ans et ensuite mon par-rain, Philippe Savoy, maintenant aussi mon professeur au conser-vatoire, m’a proposé d’essayer le saxophone, instrument que je joue depuis.W.S.: C’est aussi une histoire de famille. Mon grand-père et mon père étaient musiciens. A l’époque je jouais de la flûte à bec, mon père voulait recommencer la trompe�e, nous sommes donc allés aux portes ouvertes du conservatoire. Au départ je voulais devenir clarinet-tiste mais finalement j’ai opté pour la trompe�e!
Quentin Pierret et William Schaller sont deux des plus jeunes musiciens dans les rangs de La Landwehr.
Mais comment y sont-ils arrivés?
Quel souvenir gardez-vous de votre première répétition à La Landwehr?Q.P.: La sonorité est ce qui m’a le plus marqué. C’est tellement dif-férent par rapport à la JGL. J’étais impressionné.W.S.: Oui, la sonorité et aussi les premières lectures à vue des pièces étaient compliquées. Q.P. et W.S.: Mais petit à petit on prend l’habitude et ça devient plus facile!
Jusqu’à maintenant, quel est le moment fort que vous avez vécu avec La Landwehr?Q.P.: Le voyage à Barcelone. J’en garde d’excellents souvenirs notamment avec les sax, nous avions une très bonne ambiance et il y avait une grande complicité entre les plus jeunes et plus âgés. Même si je me suis senti intégré tout de suite, un voyage est aussi l’occasion de faire plus ample connaissance avec les autres
musiciens. W.S.: Le voyage à Barcelone a été mémorable mais aussi la fête fédérale de Saint-Gall. C’était ma première grande sortie avec La Landwehr, mon premier concert en extérieur. Je me rappelle avoir vrai-ment eu la trouille en entrant sur scène. La salle était immense, on voyait le public tout autour et bien sûr l’idée de compétition faisait monter la pression!Q.P. et W.S.: N’oublions pas les tra-jets en car, surtout les retours!
Pourquoi avez-vous choisi de jouer dans une société de musique?Q.P.: À cause de l’ambiance mais surtout c’est plus intéressant, ça permet de progresser que ce soit techniquement ou musicalement. C’est très di¸érent de jouer en groupe, ça demande plus d’écoute mais c’est aussi plus motivant.W.S.: Après 4 ans de trom-pe�e, jouer tout seul ou avec le piano commençait à m’ennuyer. Jouer dans un ensemble change
Interview de deux jeunes musiciens
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«La sonorité est ce qui m’a le plus marqué. C’est tellement
di¸érent par rapport à la JGL. J’étais impressionné.»
↑William Schaller à gauche
et Quentin Pierret à droite.
énormément. Ça permet de faire des choses di¸érentes qu’on ne trouve pas dans des partitions solo, donc de s’améliorer et d’élargir ses connaissances musicales.
IMPRESSUMLe Landwehrien, 77e annéeRédactrice en chef: Isabelle Dessibourg Rédacteurs: Romain Lang, Delphine Seydoux, Martin Kopp, Ludo HartmannPhotographes: Laure�e Heim sauf: Xavier Rappo, page 17g, Delphine Seydoux, page 17d,
Isabelle Dessibourg, page 19b, Christophe Waber, page 21Layout: Nuance, MatranMise en page: Christophe Savoy, Cressier FRImpression et expédition: Stämpfli Publication SA, BernePublicité: La Landwehr, Case postale 200, 1709 FribourgInternet: [email protected], www.landwehr.chFacebook: landwehrfribourg
Et à côté de la musique, que font nos deux jeunes musiciens? Quentin est en première année d’apprentis-sage d’ébéniste, il pratique de temps à autre le uni hockey et le hockey. Quant à William en troisième année
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Die Landwehr passt sich seit über 200 Jahren immer wieder der sich ändernden Zeit an, so auch jetzt mit einer immer aktiveren Präsenz im Internet. So können Sie die Aktivitäten der Landwehr nicht nur im Landwehrien sondern immer aktuell und direkt verfolgen.
Wussten Sie, dass es eine Landwehr Fangruppe in Facebook gibt? Nein? Sie
finden uns einfach in Facebook unter landwehrfribourg. Dort finden Sie neben vielen Freunden auch Informationen und Fotos über frühere Reisen und Erlebnisse der Landwehr.Neben dem Facebook Auftri� hat sich in den letzten Jahren auch die Website immer wieder verändert. Mit dem neuen Logo präsentiert
Kommen Sie uns besuchen – auch im Internet
sich der aktuelle Internetauftri� der Landwehr auch in neuem Gewand. Der Internetauftri� der Landwehr ist in drei Sprachen gestaltet, wobei auf der englischen Version nur reduziert Informationen angeboten werden. Deutsch und Französisch werden hingegen parallel immer nachgeführt. Auf der Willkommensseite sind neben der Agenda immer neuste Nachrichten aus der Landwehrfamilie aufgeführt. So sind Sie immer aktuell informiert, was für Konzerte und Events anstehen und vor allem auch, wo Sie uns hören können. Selbstverständlich finden Sie viele Informationen über die Geschichte der Landwehr, seine Organisation und über unsere Dirigentin, Frau Isabelle Ruf-Weber.
Die Landwehr besteht ja bekannt-lich auch aus seiner Jugendmusik und der Musikschule. Beide die Landwehr sehr wichtigen Standbeine haben auch ihre Informationen auf der Landwehr Website. Unter Multimedia
Die Landwehr im Internet
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RésuméLa Landwehr vous invite à consulter son nouveau site Internet où vous trouverez toujours des informations actuelles et bien sûr les liens vers le site de La Jeune Garde et L’Ecole de Musique avec, en plus de photos, films ou articles de presse. Nous vous invitons aussi à visiter notre groupe sur Facebook que vous trouverez simplement en tapant landwehrfribourg. M.K
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La Stadtharmonie Zürich Oerlikon-Seebach est un orchestre sympho-nique à vent, qui évolue en caté-gorie excellence et est composée de plus de 80 musiciennes et musi-ciens amateurs. Après plus de dix années sous l’experte bague�e du directeur fribourgeois Eric Conus, la Stadtharmonie est dirigée depuis 2005 par le maestro tessinois Carlo Balmelli. La Stadtharmonie est reconnue pour sa sonorité équi-librée et chaleureuse ainsi que pour son expression musicale. Elle a comme objectif le travail de pièces exigeantes et l’exécution de nou-velles œuvres originales.
Ceci l’a amenée à participer ces dernières années à des festivals et concerts de gala de haut rang. En 2005, elle se présenta au congrès mondial WASBE à Singapour dans le magnifique complexe de l’espla-nade, puis en 2007 au festival Mid Europe à Schladming et en 2012 au Promenadekonzerte d’Innsbruck.
La Stadtharmonie se mesure régulièrement à ses pairs de la classe excellence et participe régulièrement aux di¸érentes fêtes fédérales et cantonales des musiques. En 2010, elle participa notamment à la fête cantonale des musiques fribourgeoises à Châtel-Saint-Denis, canton avec lequel, elle lie une amitié de longue date. La Stadtharmonie Zürich Oerlikon-Seebach est une société
Le 5 mai à 17 h 00, La Landwehr partagera l’a¬iche avec la Fanfare municipale de Nyon et
la Stadtharmonie Oerlikon Seebach. Petite présentation.
Concert du 5 mai au podium de Guin
de tradition. En 2009, elle fêta ses 125 ans d’existence et elle accom-pagne depuis 1933 la corporation («Zunft») St. Niklaus à la célèbre fête du Sechseläuten.
La Fanfare Municipale de Nyon a été fondée le 27 mars 1876. Durant ses plus de 130 ans d’existence, elle a eu l’occasion de participer à de multiples manifestations, tant en Suisse qu’à l’étranger. La Fanfare Municipale de Nyon a toujours eu pour but de faire honneur à sa ville et d’être une société d’amis voulant développer le goût de la musique et l’esprit de camaraderie.
Elle a revêtu son premier uniforme en 1889. Depuis lors, la fanfare a inauguré cinq fois une nouvelle tenue, dont la dernière le 11 sep-tembre 2004. La société a choisi alors un nouvel uniforme de parade plus léger, ainsi qu’une veste de concert. A ce�e occasion, la fanfare a présenté aussi une nouvelle bannière. Plus d’une douzaine de
directeurs se sont succédés à la bague�e. Le dernier, Serge Gros, est au pupitre depuis 2006. La présidence est confiée à Florian Burgin. A ce poste depuis 2001, il a aussi succédé à plusieurs prési-dents, dont Eric Chesaux, Président d’honneur et toujours membre actif.
La société a participé réguliè-rement au concours cantonal vaudois en y remportant souvent des lauriers. Son niveau a particu-lièrement progressé ces dernières années, puisqu’elle a remporté, en catégorie fanfare 2e division, le titre de championne vaudoise en 1998 à Granges-Marnand, puis le titre de championne vaudoise en 2003 à Gland, en catégorie harmonie 1re division. La fanfare a confirmé son niveau au 3e Festival de musique légère à Penthalaz en 2005 en montant sur la 1re marche. Avec son nouveau chef depuis 2006, Serge Gros, la fanfare a a�eint le 2e rang lors de la dernière
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La Stadtharmonie se mesure régulièrement à ses pairs de la classe
excellence en participant aux fêtes fédérales et cantonales.
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La Landwehr est d’abord est sur-tout une société de musique mais il ne su¸it pas de quelques musiciens et d’un directeur pour faire tourner ce�e grosse machine. Alors finale-ment comment fonctionne-t-elle?
Tout d’abord il faut un Président, Alain Deschenaux, secondé par Christophe Küng le Vice-Président. Pour simplifier, eux, ils s’occupent de tout: ils organisent, ils propo-sent, ils élaborent, ils délèguent, ils parlent en public enfin surtout le Président (vous pouvez pas le louper, c’est le plus grand!)
Ensuite ça se complique ou se simplifie c’est selon. L’organisation se divise en huit «départements». Le premier (bien sûr il ne s’agit pas d’un classement par impor-tance) dit Secrétaire général en la personne de Gérard Renz. Dans ce premier bloc on retrouve aussi notre archiviste Alexandre Chassot qui depuis des années e¸ectue un travail minutieux afin que tout soit classé et retrouvable. Le deuxième département c’est celui ô combien important de notre oncle Picsou alias Michel Magne grand magnat des finances. La troisième section, dans laquelle nous retrouvons Le Landwehrien ou le site Internet, est celle de la communication et du marketing dirigé par Martin Kopp. En quatre, la division pres-tations extérieures conduite par
La Landwehr est une grande organisation et pour qu’elle fonctionne correctement, tout un travail est e¬ectué dans l’ombre.
Mais qui fait quoi?
Christophe Küng grand logisticien qui sait toujours répondre aux questions (ce�e fois par ordre d’importance): «Qu’est-ce qu’on mangera?», «Où est-ce qu’on parque?» ou encore «On a rendez-vous à quelle heure déjà?». Domaine numéro cinq: les manifestations annuel-les avec par exemple les concerts de gala en décembre, gérées par Jacques Droux. Et finalement la sixième section, les fameuses a¸aires musicales présidé par
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Pour simplifier, eux, ils s’occupent de tout: ils organisent, ils proposent,
ils élaborent, ils délèguent, ils parlent en public enfin
surtout le Président
↑La Landwehr c'est aussi les repas
organisés après les répétitions par ceux qui le veulent bien!
Thierry Pochon, qui se divise elle aussi en plusieurs branches soit par exemple la commission de musique formé en partie par les responsa-bles de registres et la directrice, la bibliothèque dont s’occupe admira-blement Jean-Rodolphe Wampfler mais aussi la branche contrôle des présences administrée par Charles Zahnd qui récolte les listes dûment remplies par ses complices épar-pillés dans les registres. Le dernier secteur mais pas des moindres, puisqu’il s’agit de La Jeune Garde et
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La Landwehr hors des salles de concert
↑ ↑Cirque Knie le 31 octobre 2012.
↑←Célébration de la Toussaint
au cimetière Saint-Léonard le 1er novembre 2012.
← et ↑Répétiton publique à la salle Henri Renevey
le 23 novembre 2012.
SUR
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LA LANDWEHR DE FRIBOURGCase postale 2001709 Fribourg (Suisse)CCP 17-290-0www.landwehr.ch
