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Le Papa de Simon

Guy de Maupassant

(Université catholique de Louvain)Titulaire d’un régendat en français et en histoire

Document rédigé par Jessica Vansteenbrugge

Questionnaire de lecture

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Document rédigé par Jessica Vansteenbrugge

Le Papa de Simon

Guy de Maupassant

Questionnaire de lecture

QUESTIONNAIRE 7

EXERCICES DE VOCABULAIRE 10

CORRIGÉ 12Questionnaire

Exercices de vocabulaire

POUR ALLER PLUS LOIN 21

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Guy de MaupassantÉcrivain français

•  Né en 1850 à Tourville- sur- Arques•  Décédé en 1893 à Paris•  Quelques- unes de ses œuvres :

ʟ Boule de suif (1880), nouvelle ʟ Contes de la Bécasse (1883), recueil de nouvelles ʟ Bel- Ami (1885), roman

Né en 1850, Guy de Maupassant est un écrivain français, auteur de six romans et de plus de trois- cents nouvelles, de contes et de chroniques.

Il passe sa jeunesse en Normandie, où il commence des études de droit. En 1870, il s’engage comme volontaire dans la guerre franco- prussienne, puis s’installe à Paris où il tra-vaille dans deux ministères afin de gagner sa vie. Gustave Flaubert, qui est un ami de sa mère, le prend sous sa pro-tection et l’introduit dans les milieux littéraires. Il fréquente alors les écrivains réalistes et naturalistes, dont Émile Zola. De 1880 à 1890, il écrit des romans (Une vie, Bel- Ami) et de nombreuses nouvelles réalistes (Boule de suif, Contes du jour et de la nuit) ou fantastiques (Le Horla, La Peur) dans les-quelles il rend compte de sa vision pessimiste de la société. Il sombre peu à peu dans la folie et meurt en 1893.

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Le Papa de SimonUne plongée en pleine campagne

•  Genre : nouvelle réaliste•  Édition de référence : Le Papa de Simon, Paris, Le Livre

de Poche, 1967.•  1re édition : 1879•  Thématiques : différence, enfance, parenté, moquerie, 

mariage

Le Papa de Simon est une nouvelle réaliste publiée en 1879 dans laquelle l’auteur nous emmène à la campagne et nous fait ren-contrer des personnages simples : des écoliers, le petit Simon, sa maman célibataire, la Blanchotte, et l’ouvrier Philippe. Un jour, les enfants de l’école s’en prennent au petit Simon parce qu’il n’a pas de père. Leur comportement n’est que le reflet de ce que pensent leurs mères : la Blanchotte s’est livrée à un homme sans être mariée, et c’est honteux. Cette situa-tion rend Simon très triste. Heureusement, il croise la route de Philippe, un homme bon qui choisit de ne pas s’arrêter au qu’en- dira- t-on et sait analyser la situation avec son cœur…

Cette nouvelle brosse un tableau du monde rural et de la mentalité des gens « bien comme il faut », qui sont vils et cruels envers ceux qui sont différents d’eux.

Pour aller plus loin dans votre étude de l’œuvre, consultez aussi :

•  la fiche de lecture sur Le Papa de Simon

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QUESTIONNAIRE

1. Comparez les situations initiale et finale en complétant le tableau suivant. Relevez également l’élément pertur-bateur, ainsi que l’élément de résolution.

(4 lignes)

2. Relevez tous les éléments de description relatifs à Simon. Quel sentiment l’auteur veut- il susciter chez le lecteur ?(4 lignes)

3. Comparez les descriptions de la Blanchotte et de Philippe. En quoi peut- on dire que ces personnages sont complémentaires ?

(4 lignes)

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4. Observez les lieux associés à Philippe et à la Blanchotte. Que constatez- vous ?(6 lignes)

5. Décrivez le groupe d’enfants. Que représentent- ils ?(6 lignes)

6. Vrai ou faux ? Justifiez en deux lignes.

a) La Blanchotte est une mère indifférente vis- à- vis de son enfant.

b) La nature a un effet apaisant sur Simon.

c) La Blanchotte se montre dès le départ accueillante envers Philippe.

d) Philippe est un homme insensible.

e) Philippe a soigné son apparence pour aller demander à la Blanchotte de devenir sa femme.

f) L’histoire de la Blanchotte est bien connue dans la région.

7. Lorsque Philippe demande à la Blanchotte d’être sa femme, la réponse de celle- ci n’est pas évoquée expli-citement. Trois éléments permettent cependant de la comprendre. Lesquels ? Que traduisent- ils ?(6 lignes)

8. Qu’est- ce qui fait de cette œuvre une nouvelle ?(10 lignes)

9. Identifiez les caractéristiques du réalisme de Maupassant :

a) dans les descriptions(4 lignes)

b) dans des dialogues(2 lignes)

c) à travers le milieu social et géographique représenté(6 lignes)

10. Maupassant est un auteur plutôt pessimiste, qui croit que l’être humain est fondamentalement mauvais. Illustrez ce fait en faisant ressortir le côté négatif de chacun des personnages suivants :

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EXERCICES DE VOCABULAIRE

1. Le synonyme

a) Après  avoir  effectué  des  recherches,  définissez  ce qu’est un synonyme et citez quelques exemples.(2 lignes)

b) En vous servant du contexte du livre, donnez un synonyme aux mots suivants :

� Guère � Durs à leurs femmes � Narquois  � Inaccoutumé � Frêle  � Le bourdon 

2. Le champ lexical

a) Après  avoir  effectué  des  recherches,  définissez  ce qu’est un champ lexical et donnez- en un exemple.(2 lignes)

b) Dans le passage qui commence par « va le dire à ton papa » (p. 172)  jusque « précipitamment » (p. 173), repérez les termes renvoyant au champ lexical de la souffrance.(2 lignes)

c) Dans les lignes qui suivent ce passage, identifiez un autre champ lexical et illustrez- le par des exemples du texte.(2 lignes)

d) Quel sentiment la succession de ces deux champs lexicaux met- elle en exergue ?(2 lignes)

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CORRIGÉ

QUESTIONNAIRE

1. Comparez les situations initiale et finale en complétant le tableau suivant. Relevez également l’élément pertur-bateur, ainsi que l’élément de résolution.

L’élément perturbateur est l’agression verbale de Simon par les enfants de l’école qui lui demandent quel est son nom (de famille) pour lui faire admettre qu’il n’a pas de père. Suite à cela, l’enfant va chercher un papa. L’élément de résolution, c’est le fait que Philippe Rémy demande la Blanchotte en mariage.

2. Relevez tous les éléments de description relatifs à Simon. Quel  sentiment  l’auteur veut- il  susciter  chez le lecteur ?

Simon a 7 ou 8 ans et vit avec sa mère, mais il n’a pas de père. Il est pâlot et très propre. Il a l’air timide, presque gauche, et a une petite voix frêle. L’auteur nous présente ainsi un enfant qui semble faible et vulnérable. Il veut faire naitre un sentiment de compassion, de pitié chez le lecteur.

3. Comparez les descriptions de la Blanchotte et de Philippe. En quoi peut- on dire que ces personnages sont complémentaires ?

Ces deux personnages sont complémentaires :

ʟ par le jeu des couleurs, puisqu’elle est associée au blanc et lui au noir ;

ʟ par l’impression qu’ils dégagent, puisqu’elle dégage une impression de vulnérabilité, à cause de son aspect, de sa situation familiale et des attaques dont elle est la victime, tandis que lui dégage une impression de force, liée à son physique, son métier et son attitude.

4. Observez les lieux associés à Philippe et à la Blanchotte. Que constatez- vous ?

Philippe travaille dans une forge, et le lieu, tel qu’il est décrit, évoque l’enfer, le diable. On retrouve d’ailleurs les termes « ensevelis », « la lueur rouge d’un foyer », « un terrible fracas », « enflammés comme des démons », « le  fer  ardent »,  « torturaient »  (p.  179).  Par  contre, il est dit que la Blanchotte ne sort de chez elle que pour aller à l’église, qui est un lieu saint. On remarque donc

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à nouveau une opposition, qui fait néanmoins figure de complémentarité, entre ces deux personnages. En s’asso-ciant,  ils viendront combler le manque de Simon et lui permettront d’avoir une vie équilibrée et épanouie.

5. Décrivez le groupe d’enfants. Que représentent- ils ?

Ils sont méchants et cruels, rejetant ce qui est différent, ici un petit garçon qui n’a pas de père. De plus, ils sont lâches : ils n’hésitent pas à s’en prendre à un enfant seul et plus petit qu’eux, et s’enfuient lorsque le petit Simon leur lance des pierres.

Ils représentent les gens de la campagne. Ils sont impré-gnés des médisances que leurs parents échangent entre eux et, dans leur spontanéité naturelle, se les renvoient à la figure, sans prendre de gants.

6. Vrai ou faux ? Justifiez en deux lignes.

a) La Blanchotte est une mère indifférente vis- à- vis de son enfant.

Faux. Elle aime son enfant : elle est meurtrie jusqu’au fond de sa chair et l’embrasse avec violence, en pleurant, lorsqu’il lui raconte ce qui lui est arrivé au début de l’histoire.

b) La nature a un effet apaisant sur Simon.

Vrai. Arrivé près de la rivière, alors qu’il voulait se suici-der, il cesse de pleurer. Il est intéressé par le manège des poissons. Il vit alors quelques des minutes de béatitude et a grande envie de s’endormir sur l’herbe, dans la chaleur.

c) La Blanchotte se montre dès le départ accueillante envers Philippe.

Faux. Elle reste sévère sur le pas de sa porte, « comme pour défendre à un homme le seuil de cette maison où elle avait déjà été trahie par un autre » (p. 176).

d) Philippe est un homme insensible.

Faux. Il s’adresse à un petit garçon qui pleure pour le consoler, et le ramène chez lui. Ensuite, il est ému lorsque Simon relate l’évènement à sa mère et que celle- ci pleure.

e) Philippe a soigné son apparence pour aller demander à la Blanchotte de devenir sa femme.

Vrai. Maupassant explique qu’« il avait sa blouse des dimanches, une chemise fraîche et la barbe faite » (p. 181).

f) L’histoire de la Blanchotte est bien connue dans la région.

Vrai. Avant même de rencontrer Simon, les enfants de l’école le méprisent parce que leurs mères, qui sont au courant de son passé, méprisent la Blanchotte. Quant à Philippe, bien que nouveau dans la région, il connait vaguement son histoire et reconnait le fils de la Blanchotte quand il lui parle.

7. Lorsque Philippe demande à la Blanchotte d’être sa femme, la réponse de celle- ci n’est pas évoquée expli-citement. Trois éléments permettent cependant de la comprendre. Lesquels ? Que traduisent- ils ?

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ʟ Philippe croit entendre le bruit d’un corps qui s’af-faisse, en l’occurrence celui de la Blanchotte, ce qui traduit l’émotion de cette dernière.

ʟ Simon  distingue  le  bruit  d’un  baiser,  sans  le  voir, et des murmures de sa mère. Cela laisse supposer une relation d’amour entre les deux personnages.

ʟ Philippe crie à Simon qu’il peut dire à tous ses cama-rades que Philippe Rémy est son papa, et qu’il ira tirer les oreilles à tous ceux qui lui feront du mal. Cette annonce traduit l’officialisation de la relation entre Philippe et la Blanchotte.

On comprend donc grâce à ces trois éléments que la demande de Philippe est acceptée.

8. Qu’est- ce qui fait de cette œuvre une nouvelle ?

ʟ L’intrigue se concentre sur un évènement principal : Simon veut se trouver un papa.

ʟ Le nombre de personnages est restreint. Il n’y en a que quatre : Simon, Philippe, la Blanchotte et les enfants de l’école, qu’on peut considérer comme un tout.

ʟ Les  lieux  sont  peu  nombreux  :  l’école,  la  rivière, la maison de Simon, la forge où travaille Philippe.

ʟ La fiction s’étale sur une courte durée. Si elle dure en réalité trois mois, l’essentiel de l’action se déroule toutefois  en  quatre  jours.  Le  premier  jour,  Simon se fait agresser à l’école, puis rencontre Philippe. Le lendemain, il annonce à l’école qu’il a un papa nommé Philippe. Trois mois s’écoulent ensuite, durant  lesquels Philippe et Simon se  rapprochent. Maupassant n’évoque presque pas ces trois mois. Arrive enfin le jour où un enfant de l’école signale à 

Simon que Philippe ne peut être vraiment son papa, car il n’est pas marié à sa maman, ce qui entrainera la demande en mariage de Philippe à la Blanchotte. Et  le quatrième jour, Simon annonce le prénom et le nom de son nouveau papa aux enfants de l’école.

9. Identifiez les caractéristiques du réalisme de Maupassant :

a) dans les descriptions

La description du mendiant qui s’est jeté à l’eau pour en finir, par exemple,  insiste sur les détails crus  : c’est un « triste bonhomme », « lamentable », « malpropre et laid » qui, une fois mort, a l’« air tranquille », « les joues pâles », « sa longue barbe mouillée » et « ses yeux ouverts, très calmes ». Une impression de vérité se dégage de cette réalité qui est dure, d’autant plus qu’elle émerge du  souvenir  d’un petit  garçon de  7  ou 8  ans. Maupassant n’hésite pas à dire la réalité telle qu’elle est, sans la maquiller ni l’embellir.

b) dans des dialogues

L’utilisation du patois rend les conversations particulière-ment réalistes : « viens- t-en avec moi chez ta maman », « le gars à la Michaude », etc.

c) à travers le milieu social et géographique représenté

Maupassant situe son histoire dans un milieu rural, dans lequel il a lui- même grandi. C’est donc un milieu que l’auteur connait bien, ce qui rend sa peinture d’autant plus fidèle à la réalité. Les mentalités sont particulièrement 

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bien rendues, à travers les paroles médisantes rapportées des mères des enfants, et à travers les actes de ces der-niers qui, comme leurs parents, n’ont aucune tolérance par rapport à la différence.

Quant aux descriptions des lieux, telles que celles de la rivière et de la forge, elles sont à la fois très sensorielles et concises  :  l’auteur décrit  juste ce qui est nécessaire pour que le lecteur puisse bien se représenter les scènes, qui semblent ainsi très réelles.

10. Maupassant est un auteur plutôt pessimiste, qui croit que l’être humain est fondamentalement mauvais. Illustrez ce fait en faisant ressortir le côté négatif de chacun des personnages suivants :

EXERCICES DE VOCABULAIRE

1. Le synonyme

a) Après  avoir  effectué  des  recherches,  définissez  ce qu’est un synonyme et citez quelques exemples.

Un synonyme est un mot qui a  la même signification qu’un autre mot. Exemples : peur/frayeur ; joie/bonheur ; détente/repos ; sentier/chemin, etc.

b) En vous servant du contexte du livre, donnez un synonyme aux mots suivants :

� Guère : pas, peu � Durs à leurs femmes : violents avec leurs femmes � Narquois : moqueurs � Inaccoutumé : inhabituel � Frêle : fragile � Le bourdon : cloche (d’un certain poids)

2. Le champ lexical

a) Après  avoir  effectué  des  recherches,  définissez  ce qu’est un champ lexical et donnez- en un exemple.

Un champ lexical est un ensemble de mots qui se rap-portent à un même thème. Par exemple, le champ lexical de l’été : soleil, plage, détente, amusement, joie, crème solaire, insouciant, etc.

b) Dans le passage qui commence par « va le dire à ton papa » (p. 172)  jusque « précipitamment » (p. 173), repérez les termes renvoyant au champ lexical de la souffrance.

« Coup de pied », « mordait », « cruellement », « frappé », « déchiré », « meurtri », « écroulement », « larmes », « étranglaient », « suffocation », « pleurer », « sanglots ».

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c) Dans les lignes qui suivent ce passage, identifiez un autre champ lexical et illustrez- le par des exemples du texte.

Le champ lexical de la joie : « joie féroce », « gaietés », « danser », « refrain ».

d) Quel sentiment la succession de ces deux champs lexicaux met- elle en exergue ?

L’apparition de ce champ lexical met en valeur le senti-ment de victoire du groupe d’enfants, et donc contraste avec la souffrance de Simon. Le lecteur souffre avec ce dernier, et cette empathie est accentuée par la joie de ses ennemis face à sa peine.

POUR ALLER PLUS LOIN

ÉTUDES DE RÉFÉRENCE

•  « Maupassant, Guy de », Encyclopédie Larousse, sur http://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Maupassant/132339, consulté le 28 juillet 2014.

•  Novarino A., La Littérature française du xixe au xxe siècle, Toulouse, Milan, coll. « Les Essentiels Milan », 1999.

Gaudé• La Mort du roi Tsongor• Le Soleil des Scorta

Gautier• La Morte amoureuse• Le Capitaine Fracasse

Gavalda• 35 kilos d’espoir

Gide• Les Faux-Monnayeurs

Giono• Le Grand Troupeau• Le Hussard sur le toit

Giraudoux• La guerre de Troie  n’aura pas lieu

Golding• Sa Majesté des  Mouches

Grimbert• Un secret

Hemingway• Le Vieil Homme  et la Mer

Hessel• Indignez-vous !

Homère• L’Odyssée

Hugo• Le Dernier Jour• d’un condamné• Les Misérables• Notre-Dame de Paris

Huxley• Le Meilleur des mondes

Ionesco• Rhinocéros• La Cantatrice chauve

Jary• Ubu roi

Jenni• L’Art français  de la guerre

Joffo• Un sac de billes

Kafka• La Métamorphose

Kerouac• Sur la route

Kessel• Le Lion

Larsson• Millenium I. Les hommes qui n’aimaient pas les femmes

Le Clézio• Mondo

Levi• Si c’est un homme 

Levy• Et si c’était vrai…

Maalouf• Léon l’Africain

Malraux• La Condition humaine

Marivaux• La Double Inconstance• Le Jeu de l’amour et du hasard

Martinez• Du domaine des murmures

Maupassant• Boule de suif• Le Horla• Une vie

Mauriac• Le Nœud de vipères

Mauriac• Le Sagouin

Mérimée• Tamango• Colomba

Merle• La mort est mon métier

Molière• Le Misanthrope• L’Avare• Le Bourgeois gentilhomme

Montaigne• Essais

Morpurgo• Le Roi Arthur

Musset• Lorenzaccio

Musso• Que serais-je  sans toi ?

Nothomb• Stupeur et Tremblements

Orwell• La Ferme des animaux• 1984

Pagnol• La Gloire de mon père

Pancol• Les Yeux jaunes des crocodiles

Pascal• Pensées

Pennac• Au bonheur des ogres

Poe• La Chute de la maison Usher

Proust• Du côté de chez Swann

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Rabelais• Gargantua

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