Le Quotidien: 96 800 lecteurs par jour

Les quotidiens performentbien au Québec

Aux États-Unis, les quotidiens font face à des défis importants pour main-tenir leur lectorat et conserver leur position auprès des annonceurs. La situation est très différente au Québec, et même au Canada. Les perspectives d’avenir sont bien meilleures ici. Le lectorat et les tirages se maintiennent. L’économie est en meilleure santé.

Recruter des nouveaux lecteursLes quotidiens américains ne peuvent plus

faire de sollicitation téléphonique. Cette interdiction explique en bonne partie pourquoi le tirage payant des quotidiens diminue aux États-Unis. Ils ne peuvent pas recruter de nouveaux abonnés pour rempla-cer ceux qui quittent.

La réglementation au Canada exempte les quotidiens et ceux-ci peuvent continuer à faire de la sollicitation téléphonique, et donc assurer un roulement naturel dans leur base d’abonnés.

On peut donc prévoir que la situation aux États-Unis va continuer de se détériorer, alors qu’au Canada, les tirages des quotidiens vont demeurer assez stables malgré le contexte d’hyper fragmentation de l’écoute média.

Les quotidiens profitentde la situation

En renouvelant leur bassin d’abonnés, les quotidiens payants maintiennent dans l’ensemble leur lectorat alors que les auditoires des autres médias se fragmen-tent encore plus et tendent à diminuer dramatiquement. Les cotes d’écoute des grandes émissions de télévision et de radio baissent continuellement.

La majorité des magazines au Québec comme au Canada ont enregistré, en deux ans, des baisses de lectorat qui dépassent les 1 %. Hors, dans ce contexte, le lectoratdes quotidiens se maintient, ce qui augure bien pour l’avenir immédiat.

Les cotes d’écoute des grandes émissions de télévision et de radio baissent continuellement.

Des jeunes et des aînés

15%

27%

31%

27%

18/34 35/49 50/64 65 ans+* Source

NADbank 2005, 18+

Par groupe d'âge

Des jeunes et des aînésPar groupe d'âge

* SourceNADbank 2005, 18+

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32%

27%

17%

18/34 35/49 50/64 65 ans+

Une meilleure couverture, une mise en page renouvelée, un contenu avant tout orienté sur son milieu, un format convivial et une plus grande interaction de nos lecteurs… Tous ces éléments constituent des forces majeures du Quotidien et contribuent au succès de ce journal régional.

Bien que les médias de masse subissent une érosion constante des cotes d’écoute générée par une fragmentation toujours plus grande des auditoires, dans le monde de la presse écrite, le lectorat demeure plus fidèle à son journal.

La moyenne de lectorat du Quotidien est de 3,2 lecteurs par copie, ce qui représente 96 800 lecteurs par jour. Sans oublier le site Internet du Quotidien qui reçoit 200 000 visites par mois.

Le temps moyen accordé à la lecture du Quotidien est de 35 minutes la semaine et de 42 minutes le samedi. Tandis que les

lecteurs du Progrès-Dimanche consa-crent 57 minutes pour la lecture de leur hebdomadaire dominical.

Tout le monde lit Le Quotidien et le Progrès-Dimanche!

Le nombre de lecteurs masculin et féminin des journaux Le Quotidien et Progrès-Dimanche se divise pratique-ment de façon égale. Selon NADbank, 53 % d’hommes et 47 % de femmes lisent Le Quotidien. Au niveau du Progrès-Dimanche, 54 % d’hommes et 46 % de femmes lisent l’hebdomadaire.

Des jeunes aux aînés, grâce à leur contenu diversifié des journaux Le Quoti-dien et Progrès-Dimanche rejoignent l’ensemble des groupes d’âge. Les 18-34 ans représentent 15 % du lectorat du Quotidien les 35-49 ans, 27 %, les 50-64 ans, 31 % et les 65 ans et plus, 27 %. De son côté, le Progrès-Dimanche est consulté par 25 % des 18-34 ans, 32 % des 35-49 ans, 27 % des 50-64 ans.