Magazine gratuit - N° 37Juin 2007

Le souvenir de Pierre FrançoisLe souvenir de Pierre François

Récemment disparu, Pierre François reste présent par son travail. Saint-Jean de Védas lui a rendu un

premier hommage avec une exposition sur son art-postal dont il fut le créateur. Du 26 juin au 20 août, ses

dernières œuvres seront présentées à l'espace Félix par Fiesta Sète dont il a réalisé l’affiche 2007. On y

verra entre autres sa dernière toile où il donne sa vision de la Saint-Pierre. (Lire pages 12, 13 ,14)

ÉÉcchhooss

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« Ceux qui boivent pour oublier sont priésde payer d’avance » (François Garcia, du

Marina)

"Ah ! Te voilà, toi ? Regarde, la voilà la pompon-nette... Garce, salope, ordure, c'est maintenant,

que tu reviens ? Et le pauvre pompon, dis, quis'est fait un mauvais sang d'encre pendant cesdeux ans ! Il tournait, il virait, il cherchait dans

tous les coins... Plus malheureux qu'une pierre,il était... Et elle, pendant ce temps-là avec ses

chats de gouttières... Des inconnus, des bons àrien... Des passants du clair de lune. Qu'est-ce

qu'ils avaient, dis, de plus que lui ?" (MarcelPagnol-La Femme du boulanger)

Au moins, les sadiques ne sont pas indiffé-rents aux souffrances qu'ils causent. »

(Natalie Clifford Barney)

Alfred Gramente a fait vibrer St Louis

La décanale Saint-Louis a connu une grande soirée musicale grâce à Alfred Gramente qui y a dirigé ses dernièrescompositions : Sonnets de Pétrarque, poèmes occitans de Louisa Paulin, un poème de Sully prud'homme et une rêve-rie pour cordes. Les auditeurs ont été sous le charme et n’ont pas retenu leur enthousiasme. L’Ensemble PolyphoniqueSaint Clair, la soprano allemande Ulrike Van Cotten, l’organiste XavierCoutant, le quatuor à cordes composé, de Dorothée Fontcouverte, CécileDi Martino, Frédérique Genvrin, Henri Barthes, ont tous participé à cettebelle fête musicale.

Delon et SoulagesAlain Delon a présenté en mai à Paris, Espace Saint-Pères, une expo intitulée « Mes années 50 » réunissantune vingtaine de toiles acquises avec l’argent de ses pre-miers contrats. Elles révèlent son inclination pour l’ab-strait. Parmi elles, deux Soulages et un Dubuffet.

La folie du vendredi soirInaugurations et vernissages sont nombreux le vendredisoir, les organisateurs estimant que le public est plus librece jour-là.À Paris, c’est maintenant le jeudi que se produit ce phénomène de bousculade des invitations. Sans doute àcause des RTT qui ont raccourci la semaine…

Pauvre Câble !Pendant longtemps, le câble fut, à Sète, la bonne façond’avoir sur son téléviseur une meilleure image assortied’un son de qualité. Ce temps n’est plus et le satellitel’emporte largement. La vétusté des câbles et le manqued’entretien, dus à la fermeture du magasin Numericable,en sont la cause.

Pied grecUn toubib de mes amis me certifie que les personnesayant le pied grec ( c’est quand le deuxième orteil estplus long que le pouce) sont du type dominant. Je récla-me qu’à la prochaine présidentielle, les candidats passent pieds nus à la télé. Ainsi, on saura s’ils sont aptesà dominer la situation.

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Alain indépendant

Notre compatriote Alain de Pouzilhac,patron de la nouvelle chaîne de téléFrance 24, s’est fait remarquer endépensant 550 000 € en études demarché. « Une somme colossale »,convient-il, mais il la justifie par l’im-portance pour la France de cette chaî-ne internationale. Les premiers résultatslui donnent raison : européens et afri-cains reconnaissent l’indépendance etla qualité de cette « voix de la France». Rencontré à la Marine près de sonbeau bateau (notre photo) qu’ilretrouve chaque week-end amarré faceau resto de son beau-frère Gilles Dupuy, Alain nous a confié n’avoir reçu que deux plaintes : l’une de l’Iran, l’autre de la Tunisie. Gouvernements hautement démocratiques comme l’on sait.

4 générations !Rencontré à la terrasse de la Marine un groupe de la famille Cianni. De g à dr ; Sophie, la maman, Mimi, l’arrière grand-père, et Adriano sur les genoux de Robert, son grand-père. Quatre générations rassemblées.

SIÈGE SOCIALSÈTE78, Grand rue Mario RoustanBP 137 - 34202 Sète CedexTél. : 04 99 572 572 Fax : 04 99 572 570

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ÉÉcchhoossL’écrivain BrassensIl a fallu 1600 pages pour rassembler les textes de Georges Brassens dans « Œuvres complètes » édité auCherche Midi par Jean-Paul Liégeois. On y trouve la copieuse correspondance avec le philosophe libertaire Roger

Toussenot, deux recueils de poèmes inédits (« Descoups d’épée dans l’eau » et « Couleurs vagues »), ses deux romans « La lune écoute aux portes » etla fameuse « Tour des Miracles » ainsi qu’une centaine de chansons. Brassens, qui préférait lacompagnie des écrivains à celle des « chanson-neurs », avait écrit : »Je passe le plus clair de montemps en la compagnie des gens de la chanson.Inutile de nous étendre sur leur mentalité. Entouréde cinquante personnes des trois sexes, je merends à l’évidence : je suis seul » !(Dessin Aurélie Bordenave)

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PrévisionEn 2006, dans le monde entier, on a dépensé 5 foisplus d’argent pour des implants mammaires et duViagra que pour la recherche contre la maladied’Alzheimer. On peut donc en conclure que, dans 30ans, il y aura un très grand nombre de femmes avecde gros seins et d’hommes avec de superbes érec-tions mais incapables de se rappeler à quoi ça sert !

CagouleEntendu dans un bistro où se disputaient deux clients : « C’est quand on a vu ta tête qu’on a inventé la cagoule !». De telles méchancetés font moins mal qu’un coup de poing et ont le mérite de faire rire.MonomeFin avril, le traditionnel monome des lycéens a fait pas mal jaser dans le centre-ville, fortement sali par les jetsd’œufs, de farine et de liquides divers. Les employés municipaux ont eu fort à faire pour nettoyer rues, trottoirs et

immeubles. Autrefois, les mono-mes étaient plus bruyants. Ilsconsistaient à défiler dans lesrues en chantant des chansonspaillardes. Les bigotes se bou-chaient les oreilles et le bon peu-ple rigolait. Aujourd’hui, le jeuconsiste à salir les autres. Onpourrait pas revenir à la tradition? Pour l’an prochain, les profs demusique devraient réapprendreaux terminales les airs polissonstels que « Les 80 chasseurs » ou« La digue du cul ». Les pudi-bonds n’auraient qu’à se bou-cher les oreilles et les rues reste-raient propres.

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Malgré ses soucis financiers, l’équipe du grand show « Cette Histoire » repart dans son aventure.Le spectacle émigre au quai du Maroc et aura lieu du 28 au 31 juillet. Ce qui devrait permettre,grâce aux estivants, de faire le plein de spectateurs.

Cette Histoire

Conseil

Un conseil de Jean PaulMalachane : "A ceux qui n'hé-sitent pas à se lever aux aurores, un spectacle extraor-dinaire s'offre à leurs yeuxdans les petits chemins du montSt Clair. On y voit une féerie decouleurs printanières et l'onpeut y faire des rencontresinsolites !"Voilà un bon conseil mais il fautse dépêcher : le soleil de Juinva vite cramer les fleurettes.

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ÉÉcchhooss

« L'avenir est un lieu commode pour ymettre des songes »

(Anatole France)

ÉvangelismesNative de Sète et naïveconfirmée, la chanteuseEve Angeli vient de sortit unbouquin : « Évangélismes». Elle y publie ses penséeset ses déclarations provo-cantes qui ont fait le bonheur des talk-showstélévisés où elle est souventinvitée. Elle y assume cou-rageusement ses positions :« J’essaie de garder manaïveté de l’enfance. Jepréfère la candeur à l’aig-reur. » Ainsi, répondant àun journaliste à propos deses photos nues : « L’habit ne fait pas le moine, surtout si on est nu ! »

La PatelleChangement de propriétaire pour cette vénérable institution sétoise mais changementdans la continuité. Monique Abric s’est entouré de Samy aux fourneaux, Stephan en salle

et leurs épouses. Dans l’esprit ducréateur Serge Abric, ils conser-vent la carte des spécialités sétoi-ses, poissons et coquillages ainsique le fameux plat du jour à 5€!Aux beaux jours, le grand jardinvient s’ajouter aux vastes salles eton y mange sous les figuiers.Ouvert tous les jours sauf samedimidi.La Patelle, Chemin des QuillesTél. 04 67 53 07 36

Plébiscite pour RTSLes étudiants montpelliérains deSupCommerce ont décerné, à l’occasion dugala du 25° anniversaire de leur école, desprix aux meilleures entreprises régionales.En catégorie « Radios », ils ont choisi laradio sétoise Radio Thau Sète et ont mis entête d’une cinquantaine de radios nomi-nées, aux noms pourtant plus prestigieux.RTS : 106,5

Delcamp à la téléJacques-Henri Delcamp, ancien patron desCompagnons Comédiens sétois, est souventprésent sur le petit écran. En avril, on a pule voir dans "agathe contre agathe" puissur france2 dans le role d’un curé de laMadeleine!!!On a pu aussi le voir dans deux jolies scènes du téléfilm sur France3 "Allons petitsenfants" en rediffusion. Là il était cuisinieraux armées !

Paul DeliaMalencontreuse coquille sous leportrait du Docteur Guirauden(illustre famille sétoise) . L’auteurde ce tableau visible au Muséedans la salle du 19° siècle est PaulDelia et non Debré, autre famillebien connue et aussi un peu sétoise puisqu’apparentée auxLemaresquier.

ÉcrivainsInfatigable défenseur de la littéra-ture, Toni di Martino nous écrit :« Je creuse de plus en plus l'idéede réunir un café littéraire des écri-vains sètois. Je pense qu'il n'yaurait pas de difficultés à les ras-sembler. On pourrait imaginercette rencontre pendant les fêtes dela St.Louis. » Excellente idée car lalittérature est trop souvent oubliée.

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Une très vieille sourceAu Quartier-Haut,dans le jardinet duFoyer Port-Royal,11 rue Villaret-Joyeuse, nousavons pu constaterque la sourcejaillissant dans unpuits est particuliè-rement abondante

après les pluies d’avril-mai. Connue et utiliséedepuis la fondation du port, cette source restitue les eaux tombées sur St Clair en cheminant à travers les calcaires. Cette eau estclaire, limpide et fraîche.

Sous les eaux sétoisesEn 2000, le plongeur J.FChierbert repérait des vestigesen marbre par 7 mètres de fondau large de Sète. Il a fallu atten-dre sept ans pour que desfouilles officielles soient autori-sées bien que la découverte soitun secret de polichinelle. Enquelques jours, une statuette du2° siècle après JC , divers vesti-ges et des colonnes de marbreont été découverts et remis auMusée d’Agde. Dans le passé,d’autres trouvailles en merfurent plus spectaculaires. À500 mètres au large duCastellas, des plongeurs aga-thois ont remonté deux statuet-tes en bronze : un Césario de90 cm de haut et une stèle enbronze. Plus tard, ils remontè-rent un tableau en céramiquede 70 cm sur 50 cm représen-tant une allégorie de Dionysos.

Malheureusement, toutes cesmagnifiques œuvres d’art ontéchappé à Sète et ont étéconfiées au Musée du Capd’Agde. Ne restent au Muséede Sète que les trouvailles pré-historiques faites dans l’étangde Thau. C’est au bord de l’é-tang, par 2 mètres de profon-deur, qu’un site de l’âge duBronze (1 000 ans avant JC)recélant de nombreux objets futdécouvert à La Fangade (fouilles André Freises et HenryPrades). Plus loin, un villagelacustre de l’âge du Fer (650avant JC) fut repéré par LoloSpinosi (fouilles BernardBarraillé). Certes, ces vestigessont moins spectaculaires qu’u-ne statue romaine mais ils sonttellement plus anciens et nousdisent beaucoup sur la vie despremiers sétois.

RéchauffementRéchauffement climatique ou pas, les préhistoriens savent quenous sommes dans une période chaude. La dernière période gla-ciaire s’est terminée il y a 11 500 ans. L’histoire de la Terre est unealternance cyclique liée aux variations de l’orbite de la Terreautour du Soleil et de l’inclinaison de son axe de rotation.Se suc-cèdent donc en général des périodes froides de 100 000 ans etdes périodes chaudes de 10 000 ans. Nous devrions donc ètrerentrés en période glaciaire. Mais il y a eu des exceptions dans cecalendrier. Ainsi, il y a 400 000 ans, la période chaude a duré 32000 ans. Nous devons être dans le cas d’une période chaudeallongée, peut-être due à l’activité humaine. Les rejets de CO2 ont-ils empêché le retour des glaces sur l’Europe ?

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Cynique : Grossier personnage dont lavision déformée voit les choses comme elles

sont, et non comme elles devraient être.(Ambrose Bierce)

* Comité : Un groupe de personnes inca-pables de faire quoi que ce soit par elles-

mêmes qui décident collectivement que rienne peut être fait ! (W. Churchill)

ÉÉcchhoossSoulages et SarkoDe passage à Sète avant les présiden-tielles, l’ex-ministre de la Culture nousa appris que Pierre Soulages était lepeintre favori de Nicolas. Peut-êtrereverra-t-on dans son bureau les toilesde Soulages accrochées par GeorgesPompidou et que Giscard avait ren-voyé dans les réserves.

Au Musée FabreSensible aux regrets de voir l’ÉcoleMontpellier-Sète absente du MuséeFabre, Georges Frèche a obtenu duconservateur qu’il consacre cet étéune salle aux Desnoyer, Descossy,Bessil, Couderc, Sarthou, Richarmeet autres grandes figures régionales.

Di Tucci en ChineLes organisateurs du Festival musicalde Shangaï ont invité le compositeurJean-Jacques Di Tucci à présenter sanouvelle œuvre « Wai xing » qui uti-lise des instruments chinois tradition-nels. Cette commande a fait suite ausuccès obtenu l’an dernier par «Sirius » que le public chinois avait

adoré. Les chinois ont plus de chan-ce que les sétois…Poèmes en CDL’abbé Jean Rouquette, né à Sète en1938, continue son œuvre littéraireoccitane sous le pseudo de JoanLarzac. Il vient de sortir un album de25 poèmes édité par Patric aux édi-tions Aura. On l’a revu récemment àSète où il officia lors des obsèquesdeson vieil ami Pierre François.

Karpatt à l’OlympiaLe sétois Fred et son groupe Karpattn’en finit pas de grimper. Son dernieralbum « Dans d’beaux draps » s’estvendu à 20 000 exemplaires ! Il afait un tabac le 4 mai au Zenith etsera le 17 juin à l’Olympia.

Saint PierreFinalement, la Saint Pierre aura lieudu vendredi 29 juin au mardi 3juillet. Des dates qui tiennent comptede l’activité professionnele despêcheurs.

Un quatuor à ODu 1er au 26 juin, le Domaine d’O

accueille le Printemps desComédiens. Quatre sétois y partici-pent : Jacky Vilacèque, grand repor-ter à Midi-Libre, Jean-Pierre Vanel,viticulteur, le peintre André Cerveraet le philosophe Jean-Louis Cianni.

Peschot entrouvertDur de visiter les expos de la sallePeschot. Si certains artistes ouvrentrégulièrement, la plupart se conten-tent d’assurer le vernissage et neviennent ouvrir que sporadiquement.Ce serait bien s’ils étaient plus assi-dus et surtout s’ils indiquaient parune affichette leurs heures d’ouvertu-re. Tous ceux qui, en mai, se sontdéplacés inutilement et ont trouvéporte close apprécieraient cette poli-tesse.

Fanny chez MireilleElle a bien grandi la petite chanteusesétoise qui débuta à 8 ans et fit sonpremier Olympia à 10 ans ! Toujoursfanatique d’Édith Piaf, elle est invitéemercredi 20 juin sur France 3 dansl’émission de Mireille Dumas consa-crée à la Môme.

TouristeBouche bée devant les beautés sétoises, ce touriste n’en finissaitpas de photographier nos sites. Un touriste admiratif et pas dutout la dent dure.

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L’éclectique Pierre Lasne est aussiécrivain et éditeur. Pour lui, « l'im-pression numérique et la vente enligne sont en train de révolutionner lemonde de l'édition.... ça n'est paspour me déplaire. Pour l'instant j'es-suie les plâtres (comme d'hab) maisj'ai déjà quelques auteurs sous lecoude qui devraient rejoindre l'édi-tion de la Mouette d'ici Septembre.On en reparlera. »Voici son catalogue !Roman Le Cri de la Saint Jean

Pourquoi ce suicide? Qui était-il vrai-ment ce père auxmultiples facettes ?Ange ? Démon ?Humaniste ?Mafioso ? Parti à larecherche de l’âme

véritable de son père, Luigi va entre-prendre un voyage initiatique dans lecœur des hommes, au pays de la «Bouvine » et de la Tradition ; un voya-ge semé d’épreuves, d’énigmes, desang, de larmes, de joies, d’amour,d’humour et d’un CRI pour, peut-être,entrevoir une parcelle de vérité… Auteur : Pierre Lasne Imprimé : 204 pages, ISBN : 978-2-9505-8693-3Prix Public TTC : 16€

Je Suis ou la scissure de SylviusEn 2035, CamilleRivière travaille pourun grand groupeeuropéen de commu-nication. Il a été choi-si pour réaliser lapremière interview endirect-live de "DIEU"! Mais comment est-ce possible ? Toutau long des 33 chapitres, l'auteurentraîne le lecteur dans une réflexiongrave et pourtant drôle sur le pouvoirdu cerveau et de ses (futures ?) manipu-lations génétiques...

Auteur : Pierre LasneImprimé : 164 pages, ISBN : 978-2-9505-8695-7Prix Public TTC : 16€

L'inconnue de l'horlogeJacques Lagneauest un jeune journa-liste aveyronnaismonté à Paris pourréussir et devenircélèbre grâce à saplume. Ce nouveauRastignac devient

rapidement un "nègre" à succès trèsrecherché mais ne trouve pas d'édi-teur pour ses propres romans. Il déci-de de tout faire pour devenir célèbre,y compris le "pire" dont une Inconnueva être témoin !Auteur : Pierre LasneImprimé : 173 pages, ISBN : 978-2-9505-8694-0Prix Public TTC : 16€

Tranches de KarmasAndré Ribot a 36 ans. Il est sétois,célibataire, musi-cien professionnelet plutôt cartésien.Ce saltimbanquedont la vie est jalon-nées d'hôtesses debar, de légionnai-res, de voyous, deproducteurs de disques, de rugby-men... Ne semble pas être prédispo-sé à l'EXTRAORDINAIRE... Et pour-tant il va faire une rencontre qui vabouleverser ses "certitudes"...Auteur : Pierre LasneImprimé : 166 pages, ISBN : 978-2-9505-8690-2Prix Public TTC: 16€

BrochureLe Pierô Story ShowPlaquette de présen-tation du Pierô StoryShow. Pierre Lasne(dit Pierô) à la guitare électro

acoustique et au chant et PierrePeyras à la contrebasse et au chant.Photos : Jean Manuel PerezAuteurs : Jean Manuel Perez/PierreLasneImprimé : 16 pages, 8.5" x 11",Agrafé reliure, 80 blanc papier inté-rieur, pleines-couleurs encre intérieurePrix Public TTC : 10€

DictionnaireLe Communicationnaire 2007Ce livre est à la fois : un dictionnaire

de la communica-tion, en général,d’entreprise, enparticulier et de dis-tribution (la grandebien sûr !) dans ledétail ; un diction-naire du jargon de

la communication ; un dictionnaire dece que doit savoir un dircom en plusde la communication ; un recueil d’a-necdotes circulant dans la communi-cation ; un outil indispensable à l’étu-diant en communication ; une piqûrede rappel pour tous les professionnelsde la communication ; une professionde foi d’un ancien dircom traitantd’un sujet en perpétuelle évolutionavec juste un peu d’humour commu-nicatif ; un deuxième communication-naire… Auteur : Pierre LasneImprimé: 289 pages, ISBN: 978-2-9505-8696-4Prix Public TTC : 18€

Edition de la Mouette – 41 rue deslauriers roses 34200 Sete Tél : 06.12.87.51.73 – Courriel :editiondelamouette@aliceadsl.frRetrouvez Edition de la Mouette surwww.plc-communication.com

Le plus beau compliment que jepuisse faire à une femme est delui dire : Je suis aussi bien avec

toi que si j'étais tout seul.(Jean Yanne)

EDITION DE LA MOUETTE

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Formes, couleurs, dessins…. Mouvement, rythme, vitesse… La peinture de Karine Barrandon est belle, joyeuse, vive.Son travail se compose essentiellement de signes géométriques simples, de figures anthropomorphiques ou

animales, de nature. Le choix de ces thèmes n’est pas lefait du hasard : outre ses personnages étonnants, l’artis-te s’invente des routes imaginaires où le regard se poseet joue avec les lignes. Ailleurs, le végétal envahit tout eton aime se laisser submerger par ses feuilles colorées,ses arbres imposants, ses lianes, ses graines et ses fleursfrémissantes.

Karine Barandon va exposer à Poussan

( Foyer des campagnes) du 6 au 22 juillet .

97 Dans l’ atelier spirale Créé en 1997, L’Atelier Spirale est une association réunissant plusieurs artistes dans un même espace. Née du désir de travailleren groupe, cette association permet surtout des échanges et desrencontres entre plasticiens. Au départ constitué de six femmes, cegroupe de quatre à six personnes se renouvelle invariablementdepuis 10 ans maintenant.

peschot 97 Première exposition à la salle Peschot à Sète en 1997.Apparition des animaux totems et autres personnages :« un et une à la plage » « les oiseaux de cuisines » . Une deuxième exposition dans cette salle en 1999, aveccette fois un univers naïf et sacré dans lequel évoluentdes « êtres ».

ka-ba Karine barrandonCévenole, Lyonnaise, Sétoise,Arborassienne Fille, Femme,Maman, Copine, Lave vaissellePeintre, Infographiste, Illustratrice.

Karine Barrandon à POUSSAN

Karine Barrandon à POUSSAN

« Écritures : Livres sacrés de notre saintereligion, à ne pas confondre avec les récitsprofanes et mensongers sur lesquels sont

fondés toutes les autres croyances. »(Ambrose Bierce)

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« Laisse-moi respirer longtemps, long-temps, l’odeur de tes cheveux, y plongertout mon visage, comme un homme altéré

dans l’eau d’une source, et les agiter avecma main comme un mouchoir odorant,pour secouer des souvenirs dans l’air.

»(Baudelaire)

listes spirales 2002 Atelier Spirale. Des listes de signes, de couleur, de rythmes, denotes qui se déroulent, laissant apparaître un langage de trait qui s’inscrit sans cesse. Des ensembles, des lignes…

Karine

Jouer avec l’imageA l’occasion de cette exposition, Karine Barrandon donne à découvrir l’en-semble de son parcours artistique depuis 1996. Son travail se déploie en cinqvolets, 5 séries qui se répondent entre elles dans une valse de couleurs, derythmes, de douceur et qui témoignent de son évolution dans la création …entre contemplation et mouvement. A ses débuts, le travail de l’artiste est trèsproche du dessin, ses tableaux grouillent de personnages colorés et de formesrondes ou géométriques qui semblent vibrer dans la toile. Puis, comme un défi,viennent ensuite les grands formats. Le trait fait la forme, la forme prend vie.Le grand format est une belle expérience qui paradoxalement lui permet d’u-

tiliser le dessin au profit de formessimples, plus pures, plus lisses etainsi d’aller à l’essentiel. Plus tard,ses couleurs, ses formes et ses émo-tions vont vouloir explorer l’histoirede paysages entre urbanité et rurali-té. Dans ses oeuvres comme « figées» le progrès, les nouvelles technolo-gies, l’urbanisation côtoie la natureavec ses étendues vertes et bleues àperte d’horizon. Très vite, l’itinérairechange. La série « toujours verte » seveut volontairement brouillonne,explosive. La végétation envahit toutdans un débordement coloré. Puis,

naturellement, le dernier volet de l’exposition est un savant mélange de sesdeux dernières séries, en équilibre entre rythmes syncopés et immobilité.Karine joue avec les images, les détourne, les transforme et les retransmetavec une justesse et une sensibilité qui ne s’évadent jamais vers des sphèresinaccessibles. Tout un chacun peut saisir au travers de son univers quelquechose qui l’appelle pour lui dévoiler une partie de lui-même.

feuillage - plan En 2004, et 2005 pour le 360° deSpirale, Karine Barrandon est verte. Verteen peinture, en photo et vidéo. Paysages,plans, vues aérienne, la ville côtoie lacampagne. On passe des surfaces lisses et monochrome en 2004,au foisonnement de formes et de couleursen 2005.

Auto portrait en vert

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LE SOUVENIR DE PIERRE FRANÇOIS

Pierre François est né en 1935 à Sète. Une enfancepassée, avec ses quatre frères, entre la rue Lazare-Carnot, les divers quais sétois à regarder partir tous les bateaux, observer les artisans dans leurs ateliersouverts sur la rue, aller au cinéma etpeindre des portes avec de l’eau. Uneadolescence de rencontres, l’amitié indéfectible de l’écrivain occitan YvesRouquette. Parti pour Paris, il y travaillepour la presse et le cinéma, mais ilrevient définitivement à Sète en 1960pour l’amour d’une jeune femme et lalumière de sa ville natale. Sauf qu’il fautvivre. Il devient successivement ostréicul-teur, vendeur de machines à coudre, il

assiste les plongeurs et scaphandriers et surtout

« peintre du diman-che », c’est-à-dire qu’il necessera jamaisde peindre.Affiches, liv-res, décors et

costumes de théâtre, exposi-tions personnelles

… Son oeuvre,dans cette

multitude def o r m e s ,s a n soub l ie run artp o s t a l

pléthorique, s’est construite au fil desans, cohérente, enracinée, enrichie par

ses « admirations » pour Léger, Dufy, Klee,Picasso, Dubuffet… et les dessins de lagrotte de Lascaux qu’il avait visitée plu-sieurs fois. « Il peignait du côté de l’hom-

me du commun aux prises avec l’histoire, se plaçant horsdu temps et au centre du temps, ne disant rien d’autre quece que l’oeuvre peinte exprime : la joie et l’inquiétude,l’horreur et l’espérance, la volupté des corps comblés, lasplendeur et la misère de la civilisation technicienne, lechant du monde en toutes saisons » écrivait YvesRouquette en lui rendant hommage. Car Pierre Françoisvenait de nous quitter. C’était le 14 février dernier.

La Fratrie François. De g à dr : Pierre, Robert, Jean-Jacques, Charlyet Jean-Claude qui légende ainsi cette photo de 1970 : « Les frèresFrançois, c’est ainsi qu’on nous toujours appelés, ce dont je suis fiercomme je le suis d’être ton frère. Cinq frères, c’est comme les cinqdoigts de la main. Aujourd’hui, la vie nous prive du majeur maispas de son empreinte. Salut frangin, salut l’artiste ».

Un de ses nombreux pavois de joutes

Une de ses assiettes de joutes

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s

Le port de Sète, son avant-dernier tableau.

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Au Musée, il préside le concours de dessins d’enfants de Midi Libre. Le jury, de g à dr : André Freises, Bernard Barraillé, Jean-Pierre Le Bail, Pierre.

Tout en blanc pour la St Louis

Un tableau de sa période portrait

Pierre lors de son expo à Poussandevant sa toile « Pierrot fou de Godard». Précisons qu’il n’a jamais réalisé dedécors pour Godard.

Les femmes s'habillent toutes pareil à tra-vers le monde. Elles s'habillent pour embê-

ter les autres femmes. (E. Schiaparelli)

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Grosjean à St ClairJacques GROSJEAN, membre du CAPPS (Cercle des Artistes Plasticiens du Pays Sétois), peintre figuratif aux coloris très méditerranéens (paysages,scènes de genre et natures mortes) expose prochainement à:ST GUILHEM LE DESERT. ( galerie Cardabelle ) tous les jours du 1er au 15 Juillet de 10h30 à13h et de 14h à 19h - SETE SAINT CLAIR (Salle des Pèlerins) du 20 au 30 Juillet (mêmes horaires que ci dessus)

Kainulainen à Open SpaceLa galerie résolument ancrée dans l’art contemporain a pré-senté en mai et jusqu’au 3 juin un artiste éclectique utilisanttout à la fois peinture et photo. Pekka Kainulainen a choisipour ses œuvres un modèle qu’il a sous la main : lui-même! Il s’y révèle parfois tragique, parfois drole et sarcastique.Open Space, 8 rue Garenne.Ouvert du mardi au samedi de 10 à 12h30 etde 14 à 17h. Tél 04 67 78 93 28.info@openspacegallery.fr - Site : www.openspacegallery.fr

Rue GarenneSculpteur et animatrice d’ateliers d’expression créatriceà visée thérapeutique, Isabelle de Grandmaison partageune nouvelle galerie avec le peintre Joël Peztillault.Sculptures et peintures occupent donc un vaste espacequi s’ouvre dans la petite rue Garenne, au cœur duQuartier-Haut devenu un rendez-vous d’artistes. GalerieGarenne, 24 rue Garenne. Tel 04 67 74 50 23.www.grandmaison-sculptures.com www.joelpetillault.com

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Peintres sur la collineLes saint-clairiens organiseront leur traditionnelsconcours de peinture samedi 7 juillet. S’inscrire avant le15 juin.Contact : 04 67 53 49 89/04 67 53 21 45.Les concurrents seront invités à déjeuner au siège del’Amicale. Le soir, après la proclamation des résultats, ilsauront droit à une sardinade. Qui disait que la peinturene nourrissait pas l’artiste ?

Atelier SpiraleL’Atelier Spirale sera ouvert tous les dimanches de juin de15h à 19h pour y rencontrer les artistes : Marie Morel,Stéphane Jucquois, Maryse Pourrière. Atelier Spirale – 13, rue Rouget de Lisle à Sète.

Visites sur RDV : 04 67 53 67 94.

Karine BARANDON Du 2 au 22 juillet. Vernissage le 2 juillet à

18h30 Jean VÈRNEDE

du 3 au 19 août Vernissage le 3 août à18h30

Véronique AGOSTINI du 21 septembre au 10 octobre Vernissage

le 21 septembre à 18h30 SARRAUD-DELHER

du 1 au 11 novembre .Vernissage le 1ernovembre à 18h30

RENDEZ-VOUS AVEC L’ORGUE DE SAINT-LOUISAlain Hyrailles vient d’établir le programme des concerts desXXVIIèmes RENCONTRES AUTOUR D'UNORGUE de la Décanale.8 juillet - un trés grand nom de l'orgueAndré ISOIR (Saint germain des Prés -Paris) Bird - Mozart - Beauvarlet-Charpentier - Bellini - Bartok.15 juillet - Liesbeth SCHLUMBERGER(Assistante au CNSM Lyon) programmenon encore communiqué.5 août - TROMPETTE ET ORGUE - GuyTOUVRON - Alain HYRAILLESBuxtehude - Haendel - Bach - Guilain.12 août - Michel ALABAU (Saint Séverin - Paris) Bruna - Correa deArauxo - Rameau - Bach.19 août - Jesùs MARTIN MORO (SaintJean de Luz)Mozart - Bach - Buxtehude - Kerll -Cabanilles.TOUS LES CONCERTS SE DEROU-LENT EN LA DECANALE SAINT LOUIS à 19 h.Entrée -10 Euros. Contact : a.hyrailles.orgue@wanadoo.fr

Cette année l'accent est mis sur l'orgue Moitessier (classéMonument historique) avec à découvrir, mis à part André

ISOIR, un habitué comme Michel CHAPUIS,des organistes dont la réputation est nette-ment affirmée.Cercle algérianisteEntrée libre pour la conférence organiséepar le Cercle algérianiste de Sète-Bassin deThau samedi 9 juin à 10h30 dans la salle dela Maison du Pied-noir, Boulevard deVerdun. Le thème qui sera développé parMaurice VILLARD, auteur de plusieursouvrages, est "Sétif, le 8 mai 1945".En quelques heures, toute la frange orienta-le de l'Algérie est à feu et à sang. Cet évé-nement est resté très longtemps un sujettabou. Causes et conséquences de ce dramesont scrupuleusement examinées."Café NoirDans le cadre du Festival international duroman policier, conférence-débat jeudi 28juin à 18h30 au Bar « Le Because »

d’Olivier Martinelli pour son ouvrage « Fanzine » et d’AlainRomarin pour « Black Out ». Entrée libre 9 rue Victor Anthérieu.

INFOS

Les Expos à Poussan

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Juin au musée

Le Musée Paul-Valéry continue en juin la présentation de ses œuvres consacrées au 19° siè-cle (voir notre précédent numéro) . Dans cette page, d’autres oeuvres bien représentatives de l’époque et du talent des peintreslocaux.

Carlora Patti (1886) par Frossard

Joseph Lothié, jouteur du quaide Bosc (1900) par Émile Troncy

Fumeurs de kiff (1887) par Auguste Paul

Claude Empereur (1890) par Jean-Paul Sinibaldi

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Le 12 mai 2007 se déroulait la finale de la Coupe deFrance, entre l’Olympique de Marseille et le FC SochauxMontbéliard. Le FC de SETE qui atteint 6 fois la finale :1923, 1924, 1929, 1930, 1934 et 1942 (zonenon occupée, contre zone occupée), la remporta 2 fois,en 1930 et 1934. En 1929, après la demi-finalegagnée par Sète devant l’UR Dunkerque Malo (2-1), lesjoueurs de l’équipe se rendirent au siège de la

Fédération Française de Football. Henric; Skiller;Chadar; Harrisson; Barrett; Féjean;D. Boutet ; Beck ;Cazal ; Dormoy ; Galey. Le journaliste dujournal Le Sporting, nous raconte, l’anecdo-te qui s’est passée ce jour là, rue de Londres,et dont l’article s’intitulé « Au voleur » :On sait que quelques années après la fonda-tion de la Coupe d’Angleterre, l’objet d’artqui concrétise, si l’on peut dire, la victoire dela meilleure équipe britannique de football,fut dérobé dans une boutique de Londres oùil était exposé, et que toutes les recherchesde la police, alertée (et comment ! car ce futun scandale retentissant), restèrent vaines.On raconta, il est vrai, mais sous le man-teau, qu’il était « impossible » de mettre lamain sur l’auteur du larcin, cet auteur n’étantautre qu’un très noble personnage, collec-tionneur passionné, et très épris de football.Mais sait-on que, de même, la Coupe de France man-qua, l’autre jour… d’être « escamotée » ?Une équipe méridionale venue jouer à Paris, passait,samedi, dans les locaux de la rue de Londres. Dans l’en-

trée, la Coupe (enjeu du tournoi) s’étalait sur un socleimprovisé. Mais nul gardien ne veillait sur le précieux etsymbolique objet d’art.Un des visiteurs eut, soudain, l’idée d’une plaisanterie :il saisit la Coupe, la cacha comme il put sous son veston,et sortit. Déjà, il était sur les marches de l’escalier, quanddes cris retentissent de l’autre côté de la porte. Une dac-tylo éplorée clamait :

« Et la Coupe ! Elle a disparu !…Il y avait tant de désolation dans sa voixque Cazal (c’était lui !) reculant devant l’i-dée de faire, à une gracieuse fille, unepeine, même légère, et renonçant à sa bla-gue, rapporta la Coupe… et ramena lesourire sur les lèvres de la fidèle vestale dufootball français.Mais Sète avait perdu l’occasion de ravir laCoupe !…Est-ce que Cazal à porté un mau-vais présage ce jour-là, puisque Sète perditen finale ! Il fallu attendre 1 an de plus,pour qu’enfin, le Football de Sète ramènentà bon port le précieux trophée. Le capitai-ne sétois Cazal et le précieux trophée.Georges Bayrou (à gauche) peut enfinrespirer. Son FC de Sète, vient de rempor-

ter sa 1ère Coupe de France. A côté de Cazal, le prési-dent Gaston Doumergue. Il est à noter, que le 1er but

inscrit en équipe de France, par un joueur du FootballClub de Sète, fut marqué par Marcel Galey, lors dumatch France-Portugal (2-0), le 24 mars 1929. Henri Gévaudan

RÉTRO SPORT« Au voleur »,

La Coupe de France de football a disparu !

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HORIZONTALEMENT :: 11 -- bagagee quee l’onportee souss less yeuxx -- pluss fortt quee lee caïdd -2 -- vieuxx courrouxx -- amérindienn -- accordd dusudd -- 3 -- étoilee surr toilee -- pointss auu rugbyy -44 -- avaree -- petitt écrann -- 55 -- équerree -- voieurbainee -- 6 -- créaturess -- pareill -- 7 -- plan-chettee dee boiss -- pronomm trèss personnell -clubb méditerranéenn -- 8 -- trouu dee poutree -aigrii -- 9 -- traînardess -- possessiff -- 100 -trèss imporrtantsVERTICALEMENT :: A -- fréquentee -- B -- motdee passee -- morceauxx duu Tourr dee Francee -- C-- roii dee théââtree -- broutilless -- D -- doncscherss -- règlee enn formee dee lettree -- E -- doncappriss -- cachéss -- piècee jaunee -- F -- beauxjourss -- cee qu’ill yy aa dee mieuxx -- G -- levantt -aprèss biss -- H -- berceauu dee GeorgesBrassenss -- finn d’officee -- II -- gardienn dee cage-- saintt normandd -- articlee d’importationn -JJ -symbolee dee duretéé -- cantinee 33 étoiless -

Mots croisés

V A L I S E A G

A B C D E F G H I

A

I R E U T E O C

S T A R E S S A I

I R A T T E L E

T E R U E T R

E T R E S T E L

A I S M E O M

O P E S U R I E

L E N T E S T E S

E S S E N T I E L S

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« L'expérience est une lanterne attachéedans notre dos, qui n'éclaire que le chemin

parcouru » (Confucius)

« Les bizarreries de l’orthographe ne sontqu’un moyen de sélection sociale »

(Paul Valéry)

« Le théâtre est un service public, toutcomme l’eau, le gaz et l’électricité »

(Jean Vilar)

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RédactionBernard BARRAILLÉ

20 rue Jean Vilar - 34200 SèteTél. : 04 67 74 00 68 - Fax : 04 99 57 25 70

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JOUTES A LA POINTE COURTE EN 1968

Aprés le grand mouvement contestationaire, social et culturel, qui s’est développé dans toute la France enmai 1968, les femmes se sont libérées et sont en compétition et à égalité avec les hommes. Le sexe fort ena pris un coup ! Le meilleur exemple Local nous le trouvons à la Pointe Courte pour la fête du quartier enjuin 68. Les sosies féminins de Barthélémy Sabatier et Francis Crouzet ont été photographiés rue de la

pétanque. Ils se rendent, en tailleur, au tournoi mixte des forts : Ils feront le « bou-quet » à la revanche. C’est Vincent leMagnifique qui remportera le tournoi.L’honneur des mâles était sauf !

Francis CROUZET

"Le pire que vous puissiez faire à l'hommequi vous a pris votre femme, c'est de la lui

laisser". Sacha Guitry

« La vraie générosité envers l'avenirconsiste à tout donner au présent. »

(Albert Camus)

Les chiens vous regardent tous avec véné-ration. Les chats vous toisent tous avecdédain. Il n'y a que les cochons qui vous

considèrent comme des égaux. (W. Churchill)