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Trabajo realizado por alumnos de 3º ESO bilingüe del I.E.S. Alhakén II de Córdoba
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LE TOUR DU MONDE. CAHIER DE BORD.
I.E.S. ALHAKÉN II.
ALUMNOS DE 3º ESO-BILINGÜE.
Nous sommes en 1914. Dans cette époque tous les progrès technologiques du XIX ième
siècle se sont propagés dans le monde entier. Progrès technologiques comme le train
électrique, les grandes croisières, les caméras etc. Ces progrès vont être utilisés par
notre personnage pendant son passionnant voyage.
Je suis Andrew Ryan, un reporter de la revue « Rapture ». C’est une des meilleures
revues de géographie et faune du monde. Le directeur de la revue m’a proposé faire un
reportage des éléments géographiques les plus importants du Japon et de sa faune plus
caractéristique. Ce reportage est très important pour mes études journalistiques ; c’est
pour ça que je vais faire un voyage de Yokohama à Hong Kong pour compiler
l’information nécessaire pour mon reportage et je vais l’écrire dans un cahier : mon
cahier de bord.
JOUR 1.
Yokohama est une ville très jolie, c’est la capitale de Kanagawa. La température est
bonne mais il pleut beaucoup. D’abord, j’ai pris la décision de compiler de
l’information sur la géographie japonaise, qui est surtout de type volcanique. Avec le
train et après avec un cheval loué dans un petit village, je suis arrivé au Mont Fuji,
l’élément géographique le plus important du pays et la montagne le plus haut du Japon
avec 3.776 m d’altitude. Depuis l’Antiquité, le mont a été considéré sacré, c’est pour ça
que les femmes ont pu commencer à l’escaler il y a seulement quatorze ans. Il est classé
comme un volcan actif mais avec peu risque d’éruption. Contempler cette merveille de
la nature a été une expérience inoubliable. Je prends une photo incroyable. Je crois que
je vais l’insérer dans le reportage.
JOUR 2.
Après une dure journée dans le Mont Fuji, nous sommes retournés jusqu’ à Tokyo avec
le train pour nous reposer et faire un peu de tourisme. J’ai vu le Palais Impérial de
Japon. Il a des jolis jardins et il est la résidence official de l’empereur de Japon. Je suis
allé aussi au temple Zojo-Ji, fondé par le disciple de Kukai, Shuei. Je crois que pour
demain me rapprocher à la côte afin de compiler un peu plus d’information sur la
géographie et aussi sur la faune. Je vais prendre le train comme moyen de transport,
parce que, quand je suis allé au Mont Fuji, ça a été très confortable, et aussi quand j’ai
retourné à Tokyo. Je prends quelques photos des monuments, je ne peux pas les utiliser
dans le reportage mais je vais les garder chez moi comme un joli souvenir.
JOUR 3.
J’ai fait une déviation pendant la nuit avec un autre cheval pour visiter le Kitadake. La
seconde montagne plus haute de Japon qui se trouve dans les montagnes Akaishi, pour
moi une autre merveille géographique du Japon. Bien sûr!, j’ai pris des jolies photos,
comme celle-ci. La faune japonaise a 132 espèces de mammifères, 583 espèces
d’oiseaux et 66 espèces de reptiles, selon une compilation de dates japonaises que j’ai
faite. En plus, j’ai fait un arrêt dans la région de Honshû pour contempler des macaques
japonais. C’est le primate le plus grand de l’hémisphère nord et il peut supporter des
températures très baisses grâce à son pelage, qui est très coloris. Je crois que c’est
l’espèce terrestre la plus impressionnante du Japon, et peut-être du monde.
JOUR 4.
J’ai pris la croisière à minuit avec peur. Bon, c’est normal, après le naufrage du Titanic
il y a seulement deux ans. Mais cette croisière est plus petite, et en plus, après la
catastrophe, la sécurité de ces types de bateaux a augmenté. Je n’ai pas bien dormi cette
nuit. Au matin, il y a eu un petit tremblement de terre. Pour cette raison, la croisière
s’est arrêtée. Moi, j’ai eu très peur, mais j’ai sorti le journaliste que j’avais à l’intérieur.
Après une conversation avec le capitaine de la croisière, j’ai réussi à faire une
immersion sous-marine avec une cage spéciale pour être protégé.
Et après avoir contemplé des jolis poissons…Je l’ai vu…un requin lutin rosé. Une rareté
japonaise dont il y a seulement une poignée d’exemplaires dans le monde. Il a une
prolongation à mode du museau et il est capable d’étendre ses mâchoires, une capacité
inégalable.
JOUR 5.
Après toute la nuit dans la croisière, je suis arrivé à Hong Kong, ma destination finale.
Deux heures après le tremblement de terre, la croisière a récupéré son cap. À Hong
Kong, je me suis reposé toute la journée, parce que j’étais très fatigué.
J’ai déjà tout l’information nécessaire pour mon reportage. Je veux montrer au monde
l’information sur la géographie et la faune japonaise, mais il y a des reportages avec de
l’information semblable. C’est pour ça que je veux, surtout, faire sentir aux lecteurs
quelque chose pareil à celle que j’ai senti pendant mon voyage.
C’est dommage ! Je n’ai aucune photo du requin lutin rosé. Bon, c’est évident, c’est
impossible de faire des photos sous-marines.
Travail réalisé par
Enrique Jiménez Más
Juan Márquez Moríñigo
Miguel Ángel Pérez Aragón
Pablo Rodríguez Guillén
David Sánchez Rubio.
Introduction:
Je m’appelle Robert Anderson, je suis un célèbre détective anglais et dans ce moment je
suis en train de faire le tour du monde avec mes trois nièces : Elisabeth, Victoria et
Catherine, lesquelles sont orphelines, et avec ma formidable assistante, la belle jeune
française Héloïse Chavagneux. Nous voyageons avec l’objectif d’attraper le saillant
voleur français qui a volé la Pierre de Rosette du British Museum. On a parcouru tout le
monde en poursuivant ce voleur et maintenant nous sommes à New York.
Le 7 février, 1875.
Aujourd’hui on est arrivés à New York en train, le voyage jusqu’à New York a été très
dur, on a vécu beaucoup d’expériences, de problèmes et d’’aventures, mais nous
sommes très près d’attraper le voleur. On a pris un bateau à vapeur à destination de
Queenstown, en Irlande. Le
voyage de New York à Queenstown prend une durée de neuf jours, je sais que le voleur
pense rentrer en Angleterre parce que j’ai demandé à beaucoup de personnes sur cet
astucieux homme, et un capitaine m’a dit qu’il a pris un bateau pour Liverpool il y a un
jour. Je ne sais pas pourquoi parce que c’est une folle idée car toute la police anglaise
est en train de le chercher, mais ça n’importe pas, la seule chose importante pour moi est
de récupérer la Pierre Rosette pour obtenir la prime offerte par le gouvernement
britannique.
Le 11 février, 1875.
Le voyage en bateau est très dur, il fait du vent, il pleut beaucoup, il y a de l’orage et il y
a beaucoup de tempêtes, mes nièces ont mal au cœur pendant toute la journée tandis que
mon assistante discute avec d’autres passagers et je rêve avec attraper le voleur français
et devenir un héro pour toute l’Angleterre.
Le 18 février, 1875.
Aujourd’hui on est arrivés à Queenstown avec deux jours en retard à cause du mauvais
temps. Rapidement on est allés à Dublin, la ville la plus importante de l’Irlande. On est
arrivés à Dublin à cinq heures, l’heure du thé repas, et comme le bateau pour Liverpool
est sorti à huit heures on a décidé de prendre du thé avec des gâteaux, puis on a pris le
paquebot avec destination Liverpool.
Le 19 février, 1875.
Aujourd’hui, finalement on est arrivés à Liverpool à midi, là-bas mes trois nièces et
mon assistante ont fait du lèche-vitrine tandis que j’ai demandé à tous les capitaines de
navires s’ils ont vu l’astucieux voleur, mais personne ne connaissait un homme comme
le voleur, j’ai pensé finalement que tout était perdu quand un vieux homme s’approche
de moi et il m’a dit que cet homme a voyagé en son bateau, et qu’il lui dit qu’il pense
aller à Londres. Rapidement j’ai prévenu mes nièces et mon assistance et à trois heures
nous avons pris un train pour Londres. Normalement, il est possible parcourir la
distance Liverpool-Londres en cinq heures trente, mais lors du trajet, le train prend un
retard et on est arrivés à neuf heures à Londres.
Je me suis bien surpris quand je suis descendu du train et j’ai vu le voleur à la gare,
qu’est-ce qu’il fait ici ? Ça n’importe pas, alors j’ai commencé aussi à courir afin de
l’attraper, mais malheureusement il m’a reconnu et il a commencé à courir aussi. Alors,
je me suis enfui après lui, mes nièces et mon assistante m’ont vu et elles se sont enfuies
aussi. J’ai parcouru toute la ville jusqu’au Big Beng où le voleur est entré, mes nièces et
Héloïse sont arrivés aussi au Big Beng et nous avons décidé de nous cacher pour
attendre la sortie du voleur. Tandis que j’ai observé le Big Beng mon assistante a
prévenu la police. Tous ensemble ont été là-bas quand le voleur est sorti, il a été arrêté,
mais où est la Pierre de Rosette?
Le 20 février, 1875.
Le voleur a été arrêté mais on ne sait pas où se trouve la Pierre Rosette, et je ne sais pas
pourquoi le voleur a eu la folle idée de rentrer à Londres. Soudain j’ai résolu le mystère,
le voleur ne pouvait pas laisser Londres avec la Pierre Rosette, parce qu’il serait
découvert, donc il a décidé de cacher ça jusqu’à que toutes les choses se calment et il
pensait que hier serait un bon jour pour la prendre, mais il ne savait pas que moi, le
célèbre détective Robert Anderson était en train de lui poursuivre, et quel meilleur lieu
pour cacher une grande pierre que dans une grande horloge, je suis allé vite au Big
Beng, et j’ai raison ! Tu peux imaginer ma surprise quand je trouve la Pierre Rosette là-
bas !!
Le 21 février, 1875.
Aujourd’hui on a remis La Pierre Rosette au British Museum et j’ai obtenu ma prime,
mais ce voyage a été très fatigant, et je pense que j’ai besoin de un repos.
Travail réalisé par
Ionela Agafitei
María Alfaya
Sergio González
María Osuna
Andrea Saavedra