Le Verbe Grec

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NOUVELLE

COLLECTION

A

L U S A G E

DES

CLASSES

--------------------------------------- X X X IX ---------------------------------------

Andr DELOTTEAgrg de grammaire, Professeur au Lyce Henri-IV.

LE VERBE GRECexpliqu par la gram m aire historique avec un

TABLEAU DES VERBES IRRGULIERS

PARIS LIBRAIRIE C. KLINCKSIECK11, EUE DE LILLE, 11

1953

Tous droits de reproduction, traduction et adaptation rservs, Copyright by Librairie C. Klincksieqk, 1953.

TABLE DES MATIRESPLAN DE LOUVRAGEA vant - propos .......................................................................................................................... I ntroduction L a conjugaison g re c q u e ............................................................................................... .....9 Les sons du g r e c .............................................................................................................. 12 Lois phontiques g re c q u es........................................................................................... 14 P rem ir e partie L e P rsent (et lim parfait de lin d icatif)........................................................................ I n d i c a ti f ........................................................................................................................... Im pratif ................................................. *..................................................................... Subjonctif ....................................................................................................................... O ptatif ....................................................................................................................... (nous) levons. Deux radicaux au lieu d un : dsordre ! L analogie rtablit lunit en gnralisant un radical : le verbe redevient rgulier .

12

LES SONS

Les sons du grec 8 . A vant d num rer les lois phontiques quil est ncessaire de connatre pour comprendre la conjugaison grecque, il convient de donner quelques notions succinctes sur les sons du langage. L air, venant des poumons avec une certaine force, traverse le larynx et passe entre deux petits muscles, les cordes vocales ; si le voile du palais est abaiss, ]air sort la fois par le nez e t par la bouche, sil est relev lair sort seulement par la bouche. Mais av an t de schapper, il a t arrt plus ou moins compltem ent p ar la langue, les dents, les lvres. Cette succession d un arrt et d une dtente de l air donne naissance aux consonnes, aux voyelles, aux consonnes-voyelles. 9. C o n s o n n e s . Les consonnes sont des bruits. On peut les classer de diffrentes faons : 1 D'aprs leur point d'articulation :Si l air est arrt :

par les lvres sappliquant l une contre l autre, il y a production d une labiale ; par la langue qui se relve et s applique derrire les dents suprieures, il y a production d une dentale ; p ar la langue qui se relve e t sapplique contre le palais, il y a produc tion d une palatale. 2 D'aprs la nature des consonnes : L air fortem ent arrt, puis brusquem ent relch, produit une explo sion : on a affaire une occlusive. La langue se creuse en gouttire ; lair passe par ce conduit troit dont il frotte les parois : on a affaire une continue. L air est branl par le mouvement de va-et-vient d un organe (pointe de la langue dans le cas du r, cts de la langue dans le cas du 1 ) : on a affaire une vibrante. 3 Ces diffrentes consonnes sont appeles : sonores, lorsque leur mission saccompagne de la vibration des cordes vocales ; sourdes, dans le cas contraire ; orales (lat. : os, oris : bouche) lorsque lair venu des poumons schappe uniquement par la bouche ; nasales, lorsque lair schappe la fois par la bouche et p ar le nez. 4 Le grec connat des consonnes aspires dont lmission saccompagne d une expiration violente. (On reprsente, en grammaire, cette expiration par h.)

LES SONS

13

Il est trs im portant de rem arquer quen grec classique 9 ne reprsentait pas le son du f franais, comme lenseigne la prononciation rasmienne, mais la combinaison iz h. On sexpliquera ainsi facilement que 9 + > ^ ( - = n + )5 Les consonnes doubles. ^ et , qui ne figurent pas sur le tableau suivant, reprsentent, en un seul signe, deux sons diffrents.TABLEAU DES CONSONNES GRECQUESOCCLUSIVES C ONTINUES

v rne ib a t s

sourdes sonores sourdes aspiresa b ia l e s

nasales ( sonores) sonore sourde sonores M * v 1 < 7 X P

D P

e n t a l e s ............................. a l a t a l e s ..........................

S Y

T X

1. La prononciation de ce phonme est douteuse : dz ou zz ?

10. V o y e l l e s . Les voyelles ont un caractre musical ; sons priodiques, cest--dire capables de se reproduire intervalles rguliers, elles peuvent se prolonger, durer ; elles sopposent ainsi nettem ent aux consonnes, bruits instantans. Elles peuvent tre brves ou longues.

Remarque importante : ou et et. peuvent noter deux sons bien diffrents : a) une vritable diphtongue ( 1 1 , rem.). b) un son o, intermdiaire, par sa dure entre l om icronn e t l omga ; un son , interm diaire entre lepsilonn et l ta.11. L e s c o n s o n n e s - v o y e l l e s . Les consonnes-voyelles jouent tantt le rle de consonnes, tantt le rle de voyelles. Doues du caractre musical des voyelles, elles apparaissent l oreille comme des consonnes, si leur pronon ciation est brusquem ent interrompue. Ex. : Soient les m ots duel et nouer. Sils sont prononcs en deux syllabes (du-el, nou-er), u, ou sont des voyelles. Sils sont prononcs en une seule syl labe, u, ou sont des consonnes. En grec, il y eut primitivement 2 consonnes-voyelles : i (appele yod et note y par les grammairiens) et p (digamma) semblable au u consonne des Latins (prononce ou), au w des Anglais.

Remarque : Une diphtongue est la combinaison d une voyelle et d une con sonne-voyelle, prononces en une seule mission de voix, comme dans le franais pied.

-e

L

.............................

P

7T

x = *h

I I a S* 3

f I I O

14

LOIS PHONTIQUES

25 Lois phontiques grecques connatre pour comprendre la conjugaison des verbes

Consonnes 12. 1 Lorsque 2 consonnes se suivent, l une d entre elles (ordinaire m ent la premire) peut devenir semblable lautre ; il y a alors assimila tion. Ex. : *XsXsi7r(i,ai (cf. Xsi7rco) > XXeijxfxou ou prendre simplement le caractre sourd, sonore, ou aspir, de cette autre ; il y a alors accommodation. Ex. : *Ss8 iox(Jiou (cf. Stcoxco) > SsStcoyfJiat,1.2 A la fin d'un mot, u n (jl p r im itif s e s t ch a n g e n v ; u n t a d isp a ru .

Ex. : la dsinence (Xde l re personne du singulier, apparat en grec sous la forme v : 'XsiTOV (En latin, le m prim itif sest conserv) ; la dsinence de 3e personne du pluriel - v t apparat en grec sous la forme v : 'XeiTOv. (En latin le groupe n t sest conserv). 3 Lorsqu'une consonne cest le plus souvent un a a disparu au dbut d'un moty elle a t remplace par une aspiration ( 9,4) m arque p ar esprit rude. Ex. : *GlGX][ll > (7T7)(JU 4 a) Lorsqu'une consonne perd son aspiration, cette aspiration se reporte sur une autre consonne du mme m ot, ou, en t te du m ot, sous forme d esprit rude : Ex. : cf. et 2co. b) Lorsque deux syllabes conscutives commencent par une consonne aspire, l une des aspires est remplace par la sourde correspondante : Ex. : *Xu07]0t > XiS0y)Ti * Xu0si (st m arquant 1 allongement compensatoire de e aprs la disparition des dentales devant ( 12, 7 a), *(jvu(XL > evu[JLi (forme ionienne) ( 12, 6 b), qjii > efJii ( 1 2 ,6 b).1. Cest par accommodation quune nasale devient y devant une palatale : *tu-v-x< v> > T u y x ^ ^ *

LOIS PHONTIQUES

15

b) La disparition d une consonne peut tre aussi compense par le double ment de la consonne suivante :E x. : *(7vu(ju > vvt)[JU (forme a ttiq u e )1.Remarque : Ainsi sexplique, en attique, lexistence, dapparence paradoxale d aoristes sigmatiques sans sigma ( 41, Rem. 2). Le sigma a disparu derrire une liquide , et la voyelle prcdente s est allonge (voir infra, 6 b). Ex. : *crTeX IcrreiXa.6

Une liquide (X, pi, v, p) :

a) peut dvelopper, dans son voisinage immdiat, l apparition !un a. Il peut arriver ensuite que cette voyelle subsiste seule,la liquide ayant disparu. E x. : le d egr zro ( 5) d e la r a c in e 7rsv0, 7rov0 d e v r a it tr e tcv0 ; il a p p a ra t so u s la fo r m e 7coc0 (stoxOov).

b) En grec trs ancien, lorsquune liquide tait prcde ou suivie d 'un sigma , celui-ci a disparu. Cette disparition a t suivie d un allongement compensatoire (voir supra , 5 a et b).E x. : * sct(ju > stfju. * TlptCpaO s Tl[x-0 -t.-V 0 > T T t,pi(pV O T X -O -V O -L T Ttpia-O -t-CJ07]V > T p707)V lJU X - T ]V u-O -C 0Y Ttpia-o--a07)v > Tcpi(j)cy07)v X -O -C u -E 707)V 1. de *Xuoicto(12, 1. de *Tipt.a0L(70 ( 12, 8 -b) ocot, > ( ( 12, ll-b). 8-b et tableau I, P- 21).

87]X0-0-6-[JL7)V > 8 y)XoCX7]V j 9 lX [X )V s-o-C oC 7 S iq X o -o -t-o 1 > 875X010 9 iX-o-t.-o 1 > 91X010 9 lX-0 -l-T0 > C tX C 0 p0 T 8 t]X 6 - o - i,- t o > 8 t) X o c to 9 t,X JL 0a -O -p C o^ 8 y )X o -o - -p i 0 a > Sv]XopL0a 9 iX-o-t."Cr0 > S7)XOLa0 LXe-O TO > 91X L T -I-V OVO 8 y ) X o - o - i- v to > 8 t)X o c v to 8t]Xo-O--G0Y]V > 8y)Xofa07)V 9 iX-o-t-a0 Y > 9 iXoia0 Y ]v ]V 8y)Xo-O--(J07)V > 7]XolCT0Y)V 9t.X -t-C -O T07)V > 9lX ot(70TQ V 6 1. de *9iX0i 7T 7TL(T[xat (analogique des i de la I e p. du pluriel)*TC-TUt.0-C70CI, > 7T7TIG' 7C7rl 7T7Tia[i.0 a (cf. l re pers.) E C 2 *TC-7L0- *7T7{,00 ( 12, 8 a) > 7T 7C E t, _q0 l ( 12,7o b), *iS^rs > Kore. Remarque : A l ancien parfait de otty)(ju se rattachent les formes S-axoc-Bt ^ t S-ottoc-ts (Cf. 95, Remarque). 2 L'impratif parfait actif des autres verbes. 104. Forme priphrastique (participe parfait + im pratif de et pu) XsXuxox; g0 i : aie fini de dlier.B. Lep a r f a it d e l i m p r a t i f m o y e n - p a s s i f .

Redoublement, Racine, dsinences - cto (2 e pers. sing.) -o0s (2 e pers. plur.). Xs-Xu-go, X-Xu-(70s ; slao (de iyjjju) pour *s-s-cro, saOe, etc. Les formes des verbes labiale, palatale, dentale sexpliquent faci lem ent si on se reporte aux 98 101.TSTpl^O, TSTpLCp0S

Trercpa^o, 7T7rpax0sTOTCSiaO, 7US7CSK70S.

CHAPITRE IIILE PA R FA IT D U SUBJONCTIF

A. L e

p a r f a it d u

s u b jo n c t if a c t if .

105. Form sur le radical de l indicatif parfait, il se conjugue sur le subjonctif prsent de Xuo> : < T7]X6 > (de tcriQfxi) T0Y)X6) (de 7 SsScoxco (de SlScojjll) XeXiSxco (d a X\ico, 7r7rpyco (de repocTTco : indicatif parfait 7T 7Tpaya) etc... Remarques : 1 ) Le subjonctif de oISa prsente le vocalisme de la racine : eISco. 2 A lancien p arfait *CFTaa de arrfxi > (95, Rem., 103, Rem.) se rattache la l re personne du pluriel de subjonctif arcofjlev. B. L ep a r f a it du s u b j o n c t if m o y e n -p a s s i f .

106. Formes priphrastiques : XeX [A o u V sim).

XeX [a u vo fj... (Cf. am atus

Remarque : Exceptions : les subjonctifs parfaits moyens-passifs XXTco|Jiat que je possde (de xt&(aou : j acquiers), xxXco(xai que je m appelle (de xaXco)*, fji{xv(ofxai que je me souvienne (de fjufxvyjaxo) faire souvenir).

CHAPITRE IVLE PARFAIT DE LOPTATIF

A. Le1

p a r f a it

de

l o p t a t i f

a c t if .

U optatif parfait de oSa.

107. Degr e de la racine, voyelle de liaison s, suffixe iyj/i d optatif ( 28) et dsinences secondaires actives, la dsinence de 3 e personne du plu riel tan t sv (Cf. Tableau V III a, note 1, page 30). D o la conjugaison :Sing : l re p. 2e p. 3e p, ei8-e-7)-v et-s-v) 1 I * y ;; , ,

' / '.V ;V

.::;;:/i:V:f;';:-rtVy :

5

V / ;> V %

A

; ; ; t' V V ',i ' v .

,.

m ^ iW k

A PPEN D IC E : PRINCIPAUX VERBES IR R G U LIER SRACINE PR SENT AORISTE P A R FA IT

Furuit fttt

aY Plusieurs racines

ayco je conduis alp- je prends ala0-v-o-(jia[. ( 18, 50) je sens

^y-ay-o-v ( 38, Rem.)

fa-a ( 92, Rem. P )

eIXov flpTjxoc (de eaeXov, ( 93, Rem. et e-eX-ov), ( 38) 96, 4o)$cO*7)[JUXt

a lp fja * *

( 115, 0) alaO-/) aojAai ( H9)

aia0

7 ) 0 0 -0 -fJL7]V

( 103)

axou, axop xo6o> de ax- aigu jcoute o : l oreille (cf. dresser (de axoua-y-co) loreille ) X-tax-0-jj.ai je su^s pris ( 18, 6)-[xap-T-v-C i>

^xouaa

x-Tjxo-a (de axvjxofa) ( 96. 3 et 91)

x o ^ a o jjta t

( 117,30)

paX

s-X-co-v (de Yj-pX-cov, sXcov) ( 53 et 12. ll-c)

s-X-co-xa (de pepaXcoxa) X-A-ao^ai ( 103 et ( 119 et 117, 30 12, 9o b)

R.

jjlsp, jxp d o {X C QP

je me trompe a prothtique J largissement > 3, note 1, c )

fyjiapT -o-v

( 38)

7)jxpT-y)-xa ( 103)

^ a p T ^ o o jz a t

( 119 et 117, 3

v-ocX tcx co faX (v et Xiaxco) (cf. XiaTOj/m) ( 18, 6o) je dpense aovo jaugmente (auy-a-av-co : ar e s t un largis sement) (3, note 1, c)

v-^)X-co-oa ( 53)

v-Y)X-cD-xa (96, 40 et 103)

vaX TC -co-C ( H)

auy (cf.la t . a u g - o )

^ u ^ - 7 ) -o a

( 53)

Tjtf-Tj-xa ( 103)

a ^ -^ -o c

(11)

70RACINE PRSENT

VERBES IRRGULIERS

AORISTE

PARFAIT

FUTUR

O7 X uJ l Cr-6 -X ^ L (de aTC-oX-vu-pii) oX oXs je dtruis (cf. lat. abolre) ( 12, l e t 18, 7) qj-tx-v-o-piat -vou^at ( 18, 4o) jarrive

aTT-coXe-cia

aTT-oX-coXs-xa ( 96, 3)

dtaroX c ( 115. b)

IX

qp-ixo-^Yjv ( 42)

-y-jxaL ( 12, 1)

-ax-co je connais ( 16 et 18, 6)8 6 cx-v-co ( 18, 3o) 8 l -8 t^px, px PouX

^-[XoX-ov (18) -6ouX-y) 07]v (53 et 51) -yev-6-jjLY)v (42)

[xe-^6Xo-xa ( 103) pe-6o\jX-7)-(jiai ( 103) ye-yv-y)-(xat ( 103) ou y-yov-a ( 5 et 91) '-yva)-xa ( 96, 4o)

jxoX-oufAai (115bet 117,3) PouX-Y)-aopLat ( 119) yev-7j-ao^at ( H9)

yev, yov, yv

yvo)

l-yvco-v (39) -8 a x -o v

yvco-aopuxt (117, 3) 8*/)o[xat (117, 3)

Sotx

(38) S lS a ^ a

1

S e S iS o c x o c 8 i8 fa

8otx

(Le redoublement du prsent j enseigne (cf. disco pour stend irrgulirement tous les temps). di-dc-sco)

VERBES IRRGULIERS

7111 '.L'l ' gUPARFAIT FU T U R

R ACINE

PR SEN T

AORISTE

8ox

S0X --i-C 0

( 18, 20 Sva-jxai je peux S-o-^ai je menfonce, je me revts. Xa-v-co ( 12, 90 1 8 et 18, 3)S7U0pLat,

-8ooc

$-8oy-[Aou (Forme moyenne) S-8uv7)-{xat.

8 6 fa

Suva, Suvrj

-8uVY)-0Y]V

8 u v ^ -o o fx a i

Su

s-8u-v (39)

S-8u-xa

Su-ao^ou (117. 30) Xco, X qcc^... ( 115, d)

eXap eXau eXa *a> Y]pCOTY)CTa (largissement mieux : Y )p-6-^.7)V-W T-)

7 p)T7JXa }

jinteiroge Plusieurs racines epx t eXeuO, sXouO,eXu6,sX0

( 4 2 )

mie u x : p - a o ^ a i ( 119 et 117. 3 )

^ pX O ^at

je vais

^X0ov 38) (Homre :( 7]XU0V)

k .l J X-ifjXuO-a ou Xao(xat 96, 3) (pour XU0ao(xai (Homre : 12, 7oa, 117 Xr)Xu0a) 2 et 3) (

Plusieurs racines

eqO c C Rac. : e8. cf. lat. edere Refait sur l impratif ea0t (Hom.) ( 1 2 7ob)Sp-iGX-C

-cpocy-o-v ( 38)

8 -7 )8 -o -x o c (

96, 3 et 103)

gSopiat (ancien s u b j . H 4)

eu p

( je

18, 60)tr o u v e

Y)5p-0-V (

Tjp-T)- X C O (

38)

103)

aeX

(le x 6mpche lesprit rude 12, 4o b) jai

) Attentionl-CTX-O-V ( - G x - y j- x a (

5 et 38)

96, 4o e t 103)

U l e a p r it OU CY-'A-CTO

( 119)

72R A C IN E PRSEN T

VERBES IRRGULIERSA O R IS T E P A R F A IT FUTUR

0VY]CXOi ( d e 0 v - y)- icfx - co) v d o 0 a v ( je

S-0OCV-O-V (

18, 6o)m e u rs

38)

T-0v-7)-xa (103) x-xX-7)-xa (103,106et 109) x-x(x-Y)-xa ( 103)

(

Oavo^at 115, b)

xX do xaX et xaXe

xaXco-c jappelle xoqx-v-o ( 18, 3)je tr a v a ille

-xXe-a a

x ocX co ( 115, b) xajxou[jiai 115, d)

x^ do j l

xapi

l-xapi-o-v ( 38)

(

xajp, xa

xapyc > xaCco et xco ( 12. 9ob) je brle xXco 12, 9ob) je pleure xpco xpay-yco) 12, 10 c )je c rie

(

e-xau-aa 12, 9oa)

(

x-xau -xa 12, 9o a )

(

xa T C eo 12, 9o a)

xXap, xXa

(

-xXau aa ( 12, 9oa)

(

xXaiS-cro[jLai 12, 9 a et 117, 3)

(d e

xpay

(

-xpay-o-v ( 38)

x-xpay-a ( 91)

xE-xp adoptai (forme de futur antrieur)

Xa*

Xa-y-x-v-w 17 e t 18, 0) j o b t i e n s p a r le( so rt

s Xax-o-v ( 5 et 38)

eiXrjxa (Analogique du pft de Xapivco) etXiQa (de CTe-aX7)9-a) ( 12, 3 et 4ob et 92) X-XjO-a ( 91); p-7)-xa ( 103) X-Xot,7r-a 5 et 91)

(

X j Y o{jtat 117, 3)

oXa

(

Xa-[A 6v-co 17, et 18, 5o) je prends Xa-v-0-v-co 17 e t 18, 5 e)je m e t i e n s cach

s-Xa6-o-v ( 5 et 38)

(

117, 30)

Xa

(

(

e-Xa0-o-v 5 et 38)

(d s (

X/j-CC TO XtjO -ctco) 12,70 a)

Plusieurs racines X T Xoi7T, X T stT , U

Xyco je ds Xetrucoje la is s e

e I tc- o - v

(38) e-XiTT-o-v 5 et 38)

X ou p> co ( 115, d) Xst^co

(

(

VERBES IRRGULIERS

73P A R F A IT FUTUR

RACINE

PRSEN T

A O R IS T E

(jiaO

(

(xa-v-0-v-co 17, et 18,50) japprends(xxojJL at

-[xa0-o-v( 3 8 )

(i.e-[x0-7]-xa ( 103)

(

[xaO-^-oofxat 119et 117, 3")

p ia x *

je

combats

-^axe-adqA7)V

ti -fA x -w a t ( 1 0 3)

^axoO(Aou (do piaxaojjLat) ( 115, d)

XV7)

16 et 18, 6o) je me souviens(

-[i.V*/)-G07]V ( 5 2 )

(Subj.{xepLVoSpiat Opt. jie p v fifiT jv )

^.VY)-O0]CTO[Xat

[JLO)JJLaL [X-VU-pt.t (

18. 70) je jure

SfjL-o-aa ( 53)

(de ojx-o-ao(xaO o[L-&[L-o -xa (mais se conjugue ( 96, 3o et 103) analogiquement sur xaXw) ( 117,3o, 119)

o prothtique 5 3, c -f *va, vt) Plusieurs racines pa, l c S, t

CY L -V -V )-(J I ( 16) je suis utile pco-co je vois

9X-Y)-aa < p -7)-X >C X a cpeiX-7)-crca 1 (103) ( 5 3 ) ( H9) cpetXco (da ocpsXyco) Le y, suffixe de prsent, sten (forme ionienne) ou 38) P A R T A IT 8 c -8 p [x -7 )-x a ( 1 0 3 )

FUTURS p a (i.o u [x a i ( 1 1 5 b )

Tpxojje c o u rs

TU-y-xv-co( 1 7 e t 1 8 , 5) Tl>X, TUX j o b t i e n s p a r le s o r t

&-TUX-0-V( 5 et 38)

T-T6x-?)-Xa( 103)

TEuojAOCl ( 1 1 7 , 2 o e t 30)

U 7T-L-CTX-v-0-[JLaLaeX (v 0 ^r je p o r te

9euyo>soy, 9i>Y je f u is 9 6 0 C-V-CD 9 6 a , 9 O7] ( 5 , R e m ., 2) je d e v a n c e

90eipco90ep ( 0 p) d o 9 0 a p ( d e 90 p-y-o> 1 2 , lO o d ) je d tru is X a ip o i - 9 0 Lp-OC ( 4 1 , R e m . 2 ) -cp O o tp -xa ( 1 2 , 60) 0 p> ( 1 1 5 b)

Xa P

(d e x a p -y -w 1 2 , 1 0 o b) je m e r jo u is X a-ax -o i ( f i s , 60) j o u v r e l a bouche e t x a v co (d e x c-v -y -o ) 1 2 , lO o d ) m m e sens J

s-Xp-rj-v( 4 5 e t 4 6 )

x e -x ^ p -7 )-x a ( 103)

X a ip -^ )-o c o

ITii)

X( la rg ie e n x av )

e-X a v -o -v (f3 8 )

x -X T )v -a ( 91)

Xav-oO[xoii{

H 5 b)

VERBES IRREGULIERS

77PARFAIT FUTUR x> (comme au prsent) ( 115, d ) v y )- toijl< i < x

RACINE

PRSENTyit iy e x

AORISTE

XSF do Xe- Xu

Xe , xojxev

je verse Feor, Fo largie par ve > p oave, cove (cf. lat. ven-do)covofxai

de *e Xe-p-m (Tableau I; 12, 6 a et 9o b) Emprunt un autre verbe-7rpi-[jnQV

x -xu-xa

-a>VTQ-[JLai

-ouptat j'achte

("96,

40

)

(T l7, 3)

Im p rim p ar A. T a f f i n - L e f o r t , L ille (France).

Dpt lgal : 2* trimestre 1953.

64- 10- 52.

Imprim en France.